Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 La politique américaine comme si vous y étiez...

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rafi
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MessageSujet: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeDim 11 Mar 2012 - 21:39

Rappel du premier message :

Citation :
Ce militant démocrate qui défie Barack Obama

Candidat à la présidence, Darcy Richardson exprime la frustration d’une partie des progressistes états-uniens face au bilan du président sortant. Il participe aux primaires démocrates afin de «r amener,dit-il, Obama à gauche ».

Il n’a eu droit qu’à quelques entrefilets 
dans deux, trois journaux mais le New York Times ne l’a pas cité une seule fois dans 
l’un de ses articles. Il ne collecte que quelques milliers de dollars de-ci, de-là. Il ne bénéficie donc ni de la puissance financière ni de la couverture médiatique, éléments indispensables à toute campagne électorale 
aux États-Unis. Pourtant Darcy Richardson 
est bel et bien candidat à la présidence des 
États-Unis (www.darcy2012.com). Mieux 
même, il est le seul à défier Barack Obama 
dans plusieurs États. Même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, 
il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation 
de son candidat.

« Je suis le premier à admettre que je n’ai aucune chance de battre, voire d’inquiéter le président sortant », répète Darcy Richardson en 
préambule des rares interviews que des chaînes locales lui accordent. Même si Eugene 
McCarthy constitue sa référence politique 
(les deux hommes ont notamment milité ensemble au début des années quatre-vingt-dix dans l’aile gauche du Parti démocrate), ce féru d’histoire sait que 2012 n’est pas 1968. Cette année-là, le sénateur progressiste du Minnesota, Eugene McCarthy, avait défié, au nom 
du mouvement antiguerre, Lyndon Johnson, président depuis 1963, embourbé dans 
son escalade militaire au Vietnam. Après 
des premières primaires très serrées, 
Johnson renonça finalement à se représenter.

Pourquoi dès lors se lancer dans une telle 
bataille à cinquante-six ans ? Parce qu’Obama 
doit répondre de son bilan, rétorque en substance cet ancien assureur devenu auteur et bloggeur (www.battleground.com). « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. » L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous 
George Bush. « Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que 
le premier mandat d’Obama est en fait un 
troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush. »

Darcy Richardson a reçu le soutien 
de la Nouvelle Alliance progressiste (www.newprogs.org), organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte 
de la Maison-Blanche et qui avait appelé 
à une candidature unifiée pour défier 
Obama. Aucune des personnalités évoquées 
depuis plusieurs mois (Jeffrey Sacks, Robert Reich, Bernie Sanders, Dennis Kucinich…) 
n’a relevé le gant. Darcy Richardson, si. 
Son slogan de campagne : « Un démocrate progressiste pour président. » Et son espoir : « Ramener Obama à gauche. »

http://www.humanite.fr/monde/ce-militant-democrate-qui-defie-barack-obama-491746
Citation :

Aux États-Unis, il n’y a pas que Lyndon LaRouche pour accuser Obama d’avoir trahi ses promesses. Bien que boudé par la grande presse, le démocrate progressiste Darcy Richardson défie le président Barack Obama dans plusieurs États dans la course à la présidentielle. Car, même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.

Pour Darcy Richardson, qui mène lui aussi campagne pour rétablir la séparation des banques d’affaires des banques de dépôt (retour au Glass-Steagall Act), le bilan du mandat d’Obama est plus que calamiteux : «  Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat.  »

Et comme le précise un article paru dans l’Humanité du 8 mars : « L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite  : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. "Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush." »

La référence politique de Darcy Richardson reste Eugene McCarthy (rien à voir avec l’anti-communiste Joseph McCarthy). Ce sénateur progressiste du Minnesota avait défié en 1968, au nom du mouvement contre la guerre du Vietnam, Lyndon Johnson, président depuis 1963. Eugene McCarthy était aussi en très bonnes termes avec Lyndon LaRouche et s’était fait remarquer en 1988 en faisant campagne en faveur de l’Initiative de défense stratégique (IDS), initiative anti-guerre initié par LaRouche et caricaturé par la presse comme « la guerre des étoiles ». Il avait également signé l’appel pour un Nouveau Bretton Woods de LaRouche.

Aujourd’hui, Darcy Richardson dispose du soutien de la Nouvelle Alliance progressiste, organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Le slogan de campagne de Richardson  : «  Un démocrate progressiste pour président.  » Son espoir  : «  Ramener Obama à gauche.  »

http://www.solidariteetprogres.org/Le-candidat-democrate-progressiste-Darcy-Richardson-Obama-c-est-Bush-III_08678
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jf16
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeVen 17 Aoû 2018 - 20:05

Citation :
Voulu par le président Trump, le défilé des forces américaines à Washington est repoussé à une date ultérieure (MàJ)

Posté dans Amériques par Laurent Lagneau Le 17-08-2018


La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 4850

L’on peut être le président de la première puissance mondiale et ne pas être en mesure d’obtenir tout ce que l’on veut, comme par exemple un défilé militaire à Washington pour le centenaire de la fin de la Première Guerre Mondiale.

Séduit par le défilé du 14-Juillet 2017 auquel il avait été convié lors d’une visite officielle à Paris, le président américain, Donald Trump, fit part de sa volonté d’organiser une parade militaire à Washington à l’occasion du Jour de l’Indépendance [« Indépendance Day »].

Puis, en mars, conformément aux instructions qu’il avait reçues, le Pentagone annonça qu’un tel défilé serait organisé non par le 4 juillet mais à l’occasion du Veterans Day, entre la Maison Blanche et le Capitole. Et de préciser qu’il allait se « concentrer sur les contributions de nos anciens combattants à travers l’histoire de l’armée américaine, depuis la guerre d’indépendance et la guerre de 1812 jusqu’à aujourd’hui, en mettant l’accent sur le prix de la liberté. »

L’idée d’un tel défilé n’a pas manqué de susciter des critiques, parfois virulentes à l’endroit de M. Trump. Un élu du Congrès, Jim McGovern, alla jusqu’à dire que les parades militaires étaient « l’apanage des régimes autoritaires », ce qui n’était pas très sympathique non seulement pour la France mais aussi pour la Belgique et la Grèce pour ne prendre que quelques exemples.

Alors que le défilé du 14-Juillet, sur les Champs-Élysées, coûte entre 3,5 et 4 millions d’euros, le budget pour celui envisagé par le Pentagone serait estimé à plus de 90 millions de dollars, soit trois fois plus qu’envisagé initialement. Telle est la somme qui a été avancé par un responsable américain le 16 août. Et cela a donné lieu à une nouvelle vague de critiques.

« Nous pensons que l’argent d’un défilé pourrait être mieux dépensé en finançant entièrement le département des Anciens combattants et en donnant à nos troupes et leur famille la meilleure assistance possible », a réagi l’American Legion, une puissante association d’anciens combattants.

Résultat : le Pentagone a fait machine-arrière. « Le département de la Défense et la Maison Blanche souhaitaient organiser un défilé en l’honneur des anciens soldats américains et pour commémorer le centenaire de la Première Guerre mondiale », a rappelé le colonel Rob Manning, un porte-parole du Pentagone, dans un communiqué diffusé le 17 août. « Nous avions à l’origine pensé au 10 novembre 2018 pour cet évènement mais nous nous sommes mis d’accord pour examiner les possibilités en 2019 », a-t-il indiqué.

La nouvelle va donc ravir tous ceux qui s’opposaient à l’organisation de ce défilé, comme le contre-amiral John Kirby, un ancien porte-parole du Pentagone. « Les États-Unis n’ont pas besoin d’un défilé sur Pennsylvania Avenue […] pour montrer leur force militaire. Nous faisons cela tous les jours, pratiquement sous tous les climats du monde », avait-il fait valoir.

Peut-être… Reste, que par le passé, les forces américaines ont déjà défilé à Washington, notamment lors des cérémonies d’investiture des président Truman, Eisenhower et Kennedy. Et cela prit l’allure d’une vraie « démonstration de force » puisque des blindés et des missiles balistiques furent de la partie. Mais c’était durant la Guerre Froide…

Cela étant, le président Trump n’a pas manqué de réagir à l’annonce du Pentagone. « Les politiciens locaux qui dirigent (mal) Washington flairent l’aubaine quand ils en voient une. Quand on leur a demandé de nous chiffrer un prix pour la tenue d’un grand défilé militaire de célébration, ils voulaient un montant si ridiculement élevé que je l’ai annulé », a-t-il expliqué, via Twitter.

« Au lieu de cela, je vais assister au grand défilé déjà prévu sur la base aérienne d’Andrews à une date différente, et (je vais) aller au défilé de Paris, célébrant la fin de la Guerre, le 11 novembre », a continué le chef de la Maison Blanche. « Peut-être ferons-nous quelque chose l’année prochaine à Washington quand le prix aura NETTEMENT BAISSÉ. Maintenant nous pouvons acheter quelques avions de chasse de plus! », a-t-il conclu.

Photo : Investiture du président Kennedy – 20 janvier 1961 – National Archives and Records Administration

http://www.opex360.com/2018/08/17/voulu-president-trump-defile-forces-americaines-a-washington-repousse-a-date-ulterieure/
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeJeu 20 Sep 2018 - 20:50

Washington a placé 33 personnes et entités russes supplémentaires, dans les secteurs militaire et du renseignement sur sa liste noire

https://francais.rt.com/international/54048-sanctions-contre-russie-washington-ajoute-33-russes-liste-noire
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeJeu 20 Sep 2018 - 20:52

Les USA sanctionnent une entité chinoise qui avait acheté des armes russes

https://fr.sputniknews.com/international/201809201038165234-usa-sanctions-societe-chinoise/

ça s'approche!!! doucement mais surement!!!
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMar 25 Sep 2018 - 16:10

The Financial Times a écrit:

US to set up $60bn agency to counter China in developing world


Reboot of commercial lending to emerging nations in face of Beijing ‘economic warfare’


The US is preparing to create an agency that can invest up to $60bn in the developing world in an effort to counter what some in Washington describe as China’s use of debt to wage “economic warfare”.

In what observers say is the biggest shake-up of US commercial lending to developing countries in 50 years, the Overseas Private Investment Corporation will be folded into the new agency and allowed to invest in equity. At present Opic can invest only in debt, putting it at a disadvantage to European development finance institutions (DFIs).

Ray Washburne, president and chief executive of Opic, told the FT that China – by using what he called “loan-to-own programmes” – was “creating countries that have the shackles of debt around them”. That amounted to “economic warfare”, he said.

By more than doubling Opic’s lending ceiling to $60bn and allowing it to invest in equity, he said, it would be put on “an equal footing with other DFIs”.

Riva Levinson, president of KRL, a Washington-based emerging markets consultancy, said she hoped legislation could be passed by the Senate before midterm elections in November. “This is the first real attempt to recognise that the US needs to support its companies in the commercial battlefield in the developing world,” she said. “Because China is taking it all.”

The Better Utilization of Investments Leading to Development act (Build Act), which passed the House in August, has bipartisan support, including from close allies of President Donald Trump such as Wilbur Ross, secretary of commerce.

Opic will be folded into the new agency, called the International Development Finance Corporation. The arrangement has been sold to the president, as spearheading private-sector investment and countering China’s so-called debt diplomacy, while making a profit for the US taxpayer, according to those involved in talks.

“Opic started out being viewed as corporate welfare and within a year the office of management and budget was giving it an extra $30bn,” said Ms Levinson. “It’s a blueprint of how to get things done in Trump’s Washington.”

In August, 16 senators wrote to Steven Mnuchin, US Treasury secretary, complaining that the International Monetary Fund was bailing out countries that had got into trouble because of what they called “predatory Chinese infrastructure financing”.

The letter expressed concern that Chinese lending to Djibouti in the Horn of Africa could enable Beijing to take control of the country’s container port. Last year, Beijing opened its first overseas military base in Djibouti on the Red Sea.

“The Chinese are all state-owned enterprises and it’s part of their foreign policy to go in and control things for the benefit of the Chinese state,” said Mr Washburne.

Some recipient countries have also begun to question Chinese lending practices. In June, Malaysia suspended $22bn of China-backed projects while it reviewed financing terms.

In Africa, some citizens’ groups have said Chinese deals favour corrupt officials more than the state.

“The Chinese have an edge with the African political elites, but not so much with the people,” said Kwasi Prempeh, executive director of the Center for Democratic Development in Ghana. “African elites are doing business with them because there’s not a lot of transparency. But at the popular level, the Chinese cannot muster the soft power of the west.”

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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMar 25 Sep 2018 - 17:54

Si ils veulent concurrencer la Chine il faudra pas demander d'accorder des droit aux homo ni avoir un droit de regard sur leur conception des droits de l'homme...

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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMar 25 Sep 2018 - 18:01

Fahed64 a écrit:
Si ils veulent concurrencer la Chine il faudra pas demander d'accorder des droit aux homo ni avoir un droit  de regard sur leur conception des droits de l'homme...

si ils veulent concurrencer la chine, il faut qu'ils revoient le prix de vente de leurs matos ainsi que la restriction sur leur utilisation.
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMer 10 Oct 2018 - 2:15


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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeDim 21 Oct 2018 - 20:42

Citation :
Les États-Unis se retirent du traité sur les Forces nucléaires intermédiaires

Posté dans Diplomatie, Otan, Russie par Laurent Lagneau Le 21-10-2018


La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 653

La décision que vient de prendre Washington n’est pas surprenante étant donné les récentes déclarations faites récemment par Robert Wood, l’ambassadeur américain sur le désarmement, à Genève. Ainsi, le 20 octobre, et alors que son conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, était à Moscou pour « poursuivre » le dialogue avec l’exécutif russe, le président Trump a annoncé le retrait des États-Unis du traité sur les Forces nucléaires intermédiaires [FNI], négocié et signé en 1987 afin de mettre un terme définitif à la crise des Euromissiles entre les Occidentaux et l’Union soviétique.

Pour rappel, ce traité FNI, signé par le président américain, Ronald Reagan, et son homologue soviétique, Mikhael Gorbatchev, interdit les missiles balistiques et de croisière sol-sol ayant une portée comprise entre 500 et 1.000 km ainsi que ceux dont la portée est comprise entre 1.000 et 5.500 km.

Or, depuis 2014, Washington accuse Moscou d’avoir violé ce traité en développant, et même en déployant, le missile SC-X-8 [ou 9M729 « Novator »], dont la portée serait supérieure à 500 km.

« La Russie n’a pas respecté le traité. Nous allons donc mettre fin à l’accord et développer ces armes », a ainsi déclaré le chef de la Maison Blanche. « Ils [les Russes] le violent depuis de nombreuses années », a-t-il poursuivi. « Je ne sais pas pourquoi le président Obama n’avait pas renégocié ou ne s’était pas retiré », a-t-il ajouté en évoquant son prédécesseur démocrate.

« Nous n’allons pas les laisser violer l’accord nucléaire et fabriquer des armes alors que nous n’y sommes pas autorisés. Nous, nous sommes restés dans l’accord et avons honoré l’accord. Mais la Russie n’a malheureusement pas respecté l’accord », a encore fait valoir M. Trump.

Si elle a admit l’existence du 9M729 « Novator », la Russie a toujours nié que ce missile violait le traité FNI. Et l’annonce de M. Trump, a estimé Sergueï Riabkov, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, « serait un pas très dangereux qui, j’en suis sûr, ne sera pas compris par la communauté internationale et va même s’attirer de sérieuses condamnations. » Et d’ajouter : Ce traité est « significatif pour la sécurité internationale et la sécurité nucléaire, pour le maintient de la stabilité stratégique. »

Aussi, a continué M. Riabkov, si les États-Unis continuent à agir de « façon maladroite et grossière » et à se retirer unilatéralement de traités internationaux, « alors nous n’aurons pas d’autre choix que de prendre des mesures de rétorsion y compris concernant la technologie militaire. » Toutefois, a-t-il dit, « nous ne voulons pas en arriver là. »

Cela étant, considérant que le Traité FNI « est un élément fondamental de la sécurité euro-atlantique », l’Otan a demandé à la Russie des informations au sujet de ce missile 9M729 « Novator ». Visiblement, la réponse tarde à venir.

« Après des années de dénégations, la Russie a récemment reconnu l’existence d’un nouveau système de missiles, baptisé 9M729. La Russie n’a fourni aucune réponse crédible sur ce nouveau missile », avait en effet déploré Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’Otan, au début de ce mois. « Tant qu’ils [les Russes] ne répondent pas, l’hypothèse la plus plausible est qu’il s’agisse d’une violation du traité INF », avait-il estimé.

Avant le traité FNI, celui relatif aux forces conventionnelles en Europe, signé à Paris en novembre 1990 par les pays membres de l’Otan et ceux du Pacte de Varsovie, n’est déjà plus qu’une coquille vide, la Russie l’ayant officiellement dénoncé en 2015, après un moratoire décidé huit ans plus tôt.

http://www.opex360.com/2018/10/21/les-etats-unis-se-retirent-du-traite-sur-les-forces-nucleaires-intermediaires/
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeDim 4 Nov 2018 - 23:54




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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeLun 5 Nov 2018 - 15:57


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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMer 7 Nov 2018 - 17:03

Paris Match a écrit:
Elections de mi-mandat : les Démocrates gagnent la Chambre des représentants

https://www.parismatch.com/Actu/International/Election-de-mi-mandat-les-Democrates-gagnent-le-Congres-1586051

au passage deux femmes une somalienne et l'autre d'origine palestinienne remportent des places dans la chambre.

la roue tourne et trump doit avoir que dans 2 ans il va faire partie de l'histoire.
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rafi
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMer 7 Nov 2018 - 18:42

Bonsoir,

Une femme d'origine palestinienne élue aux USA alors que beaucoup de pays, y compris arabes, n'en ont rien à faire de la Palestine et des palestiniens qui vont avec, c'est assez paradoxal. Nul n'est prophète en son pays dit-on...
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMer 7 Nov 2018 - 19:07

Non c'est faux Rafi ! Le système américain est très ouvert et les codes de société permette ce type de situation quelque soit ton origine ethnique culturel et cultuel !

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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeMer 7 Nov 2018 - 19:11

Salut Fahed,

Oui, mais non, je reconnais que c'est bien et je suis d'accord avec toi. Wink
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeJeu 8 Nov 2018 - 15:01

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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeSam 8 Déc 2018 - 21:17

Citation :
Donald Trump nomme le général Mark Milley chef d'état-major

Par: rédaction
8/12/18 - 17h56 Source: Belga

La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 13a10d13
© ap.


Donald Trump a annoncé samedi la nomination au poste de chef d'état-major américain du général Mark Milley, actuel chef d'état-major de l'armée de terre.


Le général Milley, un brillant officier de 60 ans diplômé de l'université de Princeton qui a notamment participé aux guerres d'Irak et d'Afghanistan, succèdera ainsi au général Joe Dunford qui doit prendre sa retraite.

"Je suis reconnaissant envers ces deux hommes incroyables pour leurs services rendus à notre pays", a ajouté le président américain sur Twitter. Il a précisé que la date de la passation de pouvoir entre les deux hommes "est encore à déterminer", un signe que le départ du général Dunford, qui devait prendre sa retraite en octobre 2019, pourrait être précipité.

Selon plusieurs médias américains, le ministre de la Défense Jim Mattis aurait préféré la nomination du chef d'état-major de l'US Air Force, le général David Goldfein, en vertu d'une tradition au Pentagone selon laquelle les diverses armes se succèdent à la tête de l'état-major.

Or aucun général de l'armée de l'Air n'a dirigé l'état-major américain depuis 2005.

Mais M. Trump, qui a rencontré les deux hommes, aurait préféré la personnalité expansive du général Milley, qui émaille ses discours d'humour et de références historiques, à la retenue cérébrale du général Goldfein, très populaire au sein de l'US Air Force.

M. Trump avait laissé entendre vendredi qu'il annoncerait cette nomination lors du traditionnel match de football américain Army/Navy, prévu dans l'après-midi de samedi, mais il a finalement choisi Twitter pour faire cette annonce.

https://www.7sur7.be/7s7/fr/39092/Dossier-Trump/article/detail/3503074/2018/12/08/Donald-Trump-nomme-le-general-Mark-Milley-chef-d-etat-major.dhtml
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeJeu 20 Déc 2018 - 23:41

Le général Mattis démissionne de son poste
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeSam 22 Déc 2018 - 15:44

https://www.theatlantic.com/ideas/archive/2018/12/trump-administration-after-mattis/578890/

Citation :

Trump, Unchecked


Thomas Wright


With Mattis gone, the president is now free to indulge his most visceral instincts.

Senior fellow at the Brookings Institution
Donald Trump
Mandel Ngan / AFP / Getty

Unlike H. R. McMaster, Rex Tillerson, and Nikki Haley, James Mattis was never going to go quietly. He has read too much history and is too cognizant of his duty for that. His letter of resignation was all the more devastating for its understatement. For more than a year, senior administration officials have constructed the fiction that the United States is following a foreign policy of competing with authoritarian powers. Anyone who has talked with one of these officials in private will be familiar with the mantra—look at the substance of the National Security Strategy, not the tweets. Never mind that the president never spoke of this strategy, even when he made remarks introducing it.

Mattis laid bare the reality. He wrote that his views “on treating allies with respect and also being clear eyed about malign actors and strategic competitors” make it impossible for him to continue to serve the president, because “you have a right to have a Secretary of Defense whose views are more aligned with your views on these and other subjects.”

In a post for Task & Purpose, Paul Szoldra, a former marine, pointed to a speech Mattis delivered in 2014, shortly after he retired from the Marine Corps. He was asked whether there was anything that would lead a four-star general to resign in protest. “You have to be very careful about doing that,” Mattis said. “The lance corporals can’t retire. And they’re going. That’s all there is to it.” He emphasized that he always expected to be heard by policy makers, but not to be obeyed. “My portfolio was narrower than the president’s. He was the commander in chief. He was voted in by the American people.” Be careful, he cautioned, because a leader’s first obligation is to that lance corporal. “You abandon him only under the most dire circumstances, where the message you have to send can be sent no other way. I never confronted that situation.”

That dire situation is now upon us. So what happens next?

Read: James Mattis’s letter of resignation

President Donald Trump’s views are well known to anyone who cares to look. In his speeches over the past two years, he has consistently identified four threats to America—immigrants, alliances, trade deficits, and terrorism. (He used to talk a lot about North Korean nuclear weapons, as well, but appears to have since struck a de facto bargain with Kim Jong Un. North Korea has ceased testing missiles and nuclear bombs, and relations between the two countries have warmed.) Over three decades, Trump has consistently expressed admiration for authoritarian leaders, especially in Russia. But above all, Trump wants the freedom to do as he wants, when he wants, free from constraints. He wants to be indulged. He wants to be a king.

The turning point of the Trump administration came on July 17, 2017. For the first six months of his presidency, Trump largely deferred to the so-called axis of adults of Tillerson, McMaster, and Mattis. When he diverged from their advice—when, for example, he refused to endorse Article 5 of the North Atlantic Treaty while speaking at NATO headquarters—he soon backtracked under pressure. But on July 17 he had had enough. He was sitting through yet another interagency meeting, this time on the Iran nuclear deal, known as the Joint Comprehensive Plan Of Action. Not only did all of his advisers recommend staying in the deal—the three options in front of him required it. He agreed to effectively extend the deal one more time but demanded that the next time, he be given an option to withdraw.

After that meeting, Trump began to push back. He started giving orders unilaterally—to move the embassy to Jerusalem, to meet with Vladimir Putin, to meet with Kim Jong Un, and even to hold a military parade. But as long as the axis of adults remained in place, he was constrained. So he began to force them out. If there is a common theme behind the reshuffle, it is that Trump replaces independent thinkers with sycophantic loyalists or those too weak to stand up to him. If past practice is any guide, Trump will double down on loyalists when he replaces Mattis. Men such as John Bolton and Mike Pompeo do not agree with Trump on many issues, but they value their loyalty to him personally above their own views and they will never try to thwart his will.

Read: The Trump administration’s lowest point yet

Bolton learned this lesson early on. When he became national-security adviser, many observers commented on the irony that his first task would be to implement a policy of diplomatic outreach toward North Korea, something he opposed so vociferously in his previous time in government that President George W. Bush fell out with him over it. Three weeks into the job, Bolton tried to sabotage the talks by claiming that the administration was looking to the Libya model, whereby Muammar Qaddafi unilaterally disarmed. It was apparently intended as a dog whistle that would pass unheard by Trump but that would cause the North Koreans to sink the talks before they began. The North Koreans were furious, as intended. The South Koreans also noticed, though, and complained to Trump. Pompeo backed them up, and Trump was furious. Bolton was excluded from high-level meetings with North Korean officials and was only added to the Singapore summit at the last minute. He learned his lesson—he has not again explicitly worked against the president.

Bolton now focuses on the issues he is interested in and the issues Trump is interested in, but nothing else. Bolton is preoccupied by international law and made opposition to the International Criminal Court and other institutions one of his top priorities. One European diplomat told me that Bolton has spent exponentially more time on dealing with the Western Sahara territorial dispute between Morocco and the Algerian backed Polisario Front—a pet issue of his for decades, given United Nations involvement—than with post-conflict planning for Syria. Days before Trump’s announcement of a retreat from Syria, Bolton briefed European officials that the United States would be staying. Even more significant, Bolton has effectively abolished the interagency process by which major national-security decisions are made in formal consultations with the relevant departments, thus allowing Trump to freelance to his heart’s content.

When Pompeo became secretary of state, he faced a fateful choice: forge an alliance with Mattis, or indulge the president at every turn. He chose the latter course; Trump once remarked that Pompeo is the only person on his team with whom he never fights. This choice trapped Pompeo in a vise. He became secretary when morale was low. He has helped to rebuild the department, but he has dramatically shrunk the role of secretary of state. Foreign diplomats I’ve talked to describe him as the secretary for Iran and North Korea because he works on nothing else. Even on these issues, he will not stand up for himself.

Jeffrey Goldberg: Mattis always understood Trump’s severe defects

The president’s decision to withdraw U.S. troops from Syria is widely seen as benefiting Tehran. Pompeo, along with Bolton, tried to convince Trump to change his mind, but they folded once he made his decision. Pompeo is particularly wary of opposing the president. On North Korea, he persists in embracing the myth that a process of denuclearization is under way despite all evidence to the contrary. This puts him in the awkward position of looking foolish and naive. It’s a dangerous place for someone who is so ambitious, which is maybe why he has become so testy in his conversations with journalists when questioned about North Korea.

When Bolton and Pompeo began, they believed that they could persuade Trump to accept them bringing some of the Never Trumpers who opposed the president during the election on to their staff. Those hopes were dashed when Trump rebuked Mike Pence for trying to hire Jon Lerner as his national-security adviser; Lerner had worked for an anti-Trump political-action committee during the campaign. Pence, for his part, has been even quieter than Bolton and Pompeo, refusing to take any stance, even in private, that is at odds with the president. The talent pool has been almost drained dry; there is no untapped reserve of experienced, qualified, Trump-supporting national-security aides. While many people have resigned, other senior officials are remaining in place because they are worried about the real-world consequences of their positions remaining vacant indefinitely, or being filled by someone unqualified.

We are left with a Cabinet that is weak, terrified, and myopic. Meanwhile, the president is empowered and unbound—but also insecure and desperate. Nothing can be ruled out anymore. The president is free to indulge his visceral instincts unchecked. The unilateral declarations on Syria and Afghanistan are just the beginning. It is quite possible that he will try to withdraw U.S. forces from South Korea and Germany, renege on Article 5 of the North Atlantic Treaty, or strike a comprehensive grand bargain with Xi Jinping over the objections of Japan.

It will surely get worse. As the revelations from Robert Mueller’s investigation inflict blow after blow and the subpoenas fly from House Democrats, Trump will become more erratic and dangerous in his decision making. Of all the resignations, the second most damaging after Mattis may be John Kelly. Few liberals shed a tear for him on his departure, but his flaws were largely counterbalanced by one vitally important redeeming feature—he was a stabilizing force on national security. He could check Bolton and channel Mattis. He could play interference. And now he is gone, replaced by Mick Mulvaney, who has no national-security experience.

David Frum: No more excuses

America’s allies had hoped to ride out the next two years. Senior officials from multiple European and Asian allies told me that they had concluded by mid-2018 that they could engage with the administration but that things went off the rails whenever the president was directly engaged, which was usually on a foreign trip. They decided to deliberately reduce the opportunities for him to be involved. Thus, the 70th anniversary of the NATO summit would not be marked by a leaders’ summit, but would instead occur at the foreign-ministers level (it will be hosted by Pompeo in Washington, D.C.). The agendas for G20 and G7 summits are being pared back, frequently with the support of officials in Washington. But those plans count on an administration that checks Trump, not one that empowers him. It is very possible that America’s adversaries will try to take advantage of the disarray. If Putin or Xi makes a major move, such as trying to test America’s alliances, it will be soon.

With the hollowing out of the Trump administration, the onus now passes to Congress. In her book Troublesome Young Men, Lynne Olson tells the story of Conservative Party rebels in the 1930s who spoke up against their leader and brought Winston Churchill to power. One of the remarkable things about Trump’s first two years is that not a single up-and-coming Republican politician took a stand against the president. Other than John McCain, the only Republicans who did anything are either semi-retired (John Kasich) or retiring (Jeff Flake).

Even leaving morality to one side, that is surprising. Senators such as Tom Cotton see themselves as Trump’s successors, but some might have taken the other side of the bet, especially if they hope to be active in politics for the next two decades. If Trump fails and is discredited, those who paid a price for standing against him will be rewarded. Every defeat and every humiliation will be transformed into a badge of honor. There will be little reward for those who jump on the bandwagon after his fall has become inevitable. Republicans may have increased their majority in the Senate, but this dynamic could be a wild card. As Trump’s troubles deepen, the incentive for younger senators to become troublesome will grow. The confirmation hearings for Mattis’s successor will provide an early test of whether any have grown bold enough to break ranks.

There is a narrative arc to the Trump presidency—a radical, constrained by the system, who breaks out and follows his instincts. The next chapter is predictable. Possessing all the power he ever desired, he will be undone by his own character. All that remains to be seen is how, at what cost, and if his party will do anything to stop it.
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeSam 22 Déc 2018 - 16:25

Il va falloir acheter pas mal de matos US pour la jouer comme Erdogan Laughing

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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeSam 22 Déc 2018 - 17:11

Effectivement, leur point de repère c'est le poids dans la balance...

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L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.

feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeLun 24 Déc 2018 - 21:56

Foreign Policy a écrit:

Boeing’s Pentagon Takeover


Patrick Shanahan, a former executive for the aerospace giant, is poised to take over for Secretary of Defense James Mattis.


La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 48290510

Boeing’s growing clout with U.S. President Donald Trump’s Pentagon can no longer be ignored.

Trump announced Sunday morning on Twitter that he is forcing outgoing Defense Secretary James Mattis to leave earlier than expected, and he named Deputy Secretary of Defense Patrick Shanahan, a former Boeing executive, as acting secretary. Mattis, a retired Marine general, was slated to leave at the end of February. Shanahan will now take over on Jan. 1.

“Patrick has a long list of accomplishments while serving as Deputy, & previously Boeing. He will be great!” Trump tweeted.

Although Shanahan has not been formally tapped for secretary of defense, which requires Senate confirmation, sources say he is one of the White House’s top picks for the job.

Shanahan’s ascent is just the latest manifestation of the growing influence the world’s largest aerospace company has in Trump’s Pentagon. In the last six months, Boeing has won three multibillion-dollar competitions for major Department of Defense aircraft programs, despite massive delays in delivering a new tanker fleet to the U.S. Air Force.

Now, senior Pentagon leaders are forcing the Air Force to purchase a new version of Boeing’s legacy F-15 fighter, a non-stealth jet that first flew in 1972, which will compete for the Air Force’s limited resources with Lockheed Martin’s new F-35 fighter jet.

The reportedly $1.2 billion proposal to buy a dozen new variants of the “F-15X,” the same version of the aircraft Boeing is building for Qatar, reflects Boeing’s outsize influence with senior leaders in the Trump administration, a phenomenon that dates back to the beginning of the president’s term. As early as February 2017, Trump floated buying additional Boeing F/A-18 Super Hornet fighter jets, instead of the F-35. The U.S. Navy placed an order for over 100 new Super Hornets this spring.

Trump also has a personal relationship with Boeing CEO Dennis Muilenburg. The two men negotiated directly to reach a $3.9 billion deal for a new Air Force One presidential aircraft, which Trump claimed saves taxpayers $1.4 billion.

Certainly, Boeing has fought hard to offer the Pentagon its products at extremely competitive prices and allowed the department to boast considerable cost savings.

Boeing has adopted “an across-the-board aggressive posture in lobbying, pricing, and product development, largely due to fears that they were being eclipsed,” said Richard Aboulafia of the Teal Group. In addition, “very strong profits from Boeing’s commercial jetliner side … permits more aggressive bids by the military side.”

Boeing declined to comment.

There is no indication that Boeing has an unfair edge in Pentagon procurement, but sources said the trend is nevertheless concerning.

The F-15X “is being forced on the Air Force” by senior Pentagon leaders, said one source with knowledge of the discussions. The same senior leaders are simultaneously trying to persuade the U.S. Marine Corps to buy Boeing’s F/A-18 Super Hornet, a newer version of another non-stealth aircraft first flown in the Vietnam War era, the source said.

“It is interesting that fourth-generation aircraft, an option which has been completely off the table for the Air Force and Marine Corps for two decades, is now thrust on the table and done so by senior leadership wholly outside the services,” the source said.

Experts said buying F-15Xs does not make financial sense for the Air Force. The F-15X is an “entirely new airplane given systems and structural updates” that would likely stand alone as its own fleet, much like how the C-model and E-model F-15s are treated as different types. This would drive require a separate infrastructure, injecting “massive significant programmatic and sustainment costs” over the life of the fleet, said Doug Birkey of the Mitchell Institute for Aerospace Studies Air Force Association.

While the F-15 carries more missiles than the F-35, the non-stealth aircraft will not be able to survive against a near-peer enemy such as Russia or China, which both have advanced anti-aircraft missiles and air superiority fighters. The only way such an aircraft would have a chance of surviving in that environment is if it were flanked by robust electronic warfare and surface-to-air missile radar-suppression capability—much of which the Air Force divested in the 1990s, according to Birkey.

“That’s a very expensive way of doing business and drives risk far higher,” Birkey said. “This isn’t about a one-to-one comparison with the F-35—it’s two entirely different ways of fighting.”

“It’s a troubling path,” Birkey continued. “Our concern is you are going to get this very small fleet, it is going to be a stepchild that is going to suck up finite resources, and it is not going to be usable in the missions in which you need to help the most.”

The F-15X proposal, which was first reported by Bloomberg, will be included in the Air Force’s upcoming budget request to Congress.

The Pentagon would not confirm the proposal on the record.

“Since we are still in the pre-decisional budget coordination, the department won’t comment on the budget until it is released,” said Defense Department spokesman Lt. Col. Mike Andrews.

Chief Pentagon spokesperson Dana White said Mattis is focused on a smooth transition.

“The Secretary of Defense serves at the pleasure of the President,” White said. “Sec Mattis will work with Deputy Shanahan and department leadership to ensure that the DOD remains focused on the defense of the nation during this transition.”

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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeJeu 3 Jan 2019 - 20:56


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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeSam 5 Jan 2019 - 14:48

On achète la plupart de nos avions chez Boeing ...

Foreign Policy a écrit:

Trump’s ‘Compliant’ New Pentagon Chief


Patrick Shanahan’s record of deference to the U.S. president could be a reason for the White House to install him permanently as defense secretary.  



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Patrick Shanahan, the acting U.S. defense secretary as of Jan. 1, could be just the kind of man President Donald Trump wants at the helm of the Pentagon.

Known as “Mr. Fix-It” during his 31 years at Boeing, Shanahan has a reputation for cutting costs and cleaning up troubled programs like the 787 Dreamliner. These kind of management skills will no doubt come in handy in overseeing the nation’s largest bureaucracy.

But even more appealing to the White House, perhaps, is Shanahan’s record of deference to the president.

In his previous position as deputy secretary of defense, “Shanahan was never interested in challenging Trump or, for that matter, [former Secretary of Defense James] Mattis—he was running the business side of things,” said Michael O’Hanlon of the Brookings Institution. “Naturally, he was going to come across as a more compliant figure.”

When Trump asked the military to stand up a Space Force—a plan Mattis initially opposed—Shanahan took up the mantle, spearheading the Defense Department’s effort to establish the new service branch. When Trump ordered a ban on transgender service members, Shanahan took on a leading role in recommending the path forward. When Trump demanded the Pentagon cut defense spending by 5 percent next year, Shanahan announced that the department would prepare two budgets for his review—a $733 billion option, and a scaled-down $700 billion alternative.

This was in contrast to Mattis, who occasionally slow-walked White House orders—for example, Trump’s desired military parade in Washington, D.C., on Veterans Day.

And during an extraordinary 95-minute cabinet meeting on Jan. 2, Shanahan looked on silently as the president assailed America’s wars in the Middle East, rewrote the history of Afghanistan and Russia, and slammed U.S. military leaders—including Shanahan’s former boss.

“What’s he done for me? How has he done in Afghanistan? Not too good. Not too good. I’m not happy with what he’s done in Afghanistan,” Trump said. “As you know, President Obama fired him, and essentially so did I.”

Hours later, Shanahan tweeted that he “Had a great day today – participated in a Cabinet meeting at the @WhiteHouse.”

Experts said Shanahan’s behavior during the meeting was concerning.

“I think we can expect the acting secretary, as he was yesterday, to be complicit in the continued corrosion of civil-military norms by the president,” said Kori Schake, the deputy director-general of the International Institute for Strategic Studies. “The president wants a complicit cabinet, and he’s gotten one, with the single honorable exception of [Director of National Intelligence Dan Coats].”

For some observers, one concern is that the White House will be able to manipulate Shanahan more easily than it did Mattis.

“Pat Shanahan is not a policy person,” said Loren Thompson, an analyst with the Lexington Institute. “That’s why people like [National Security Advisor John] Bolton and [acting Chief of Staff Mick] Mulvaney are pushing him [for secretary of defense]. They know that if they have a technocrat installed, they will have more latitude to do whatever they want.”

Trump himself touted that he and his new acting Pentagon chief are on the same page on the very issue over which Mattis resigned—the treatment of allies. During the cabinet meeting, the president seemed to pit the two men against each other, seeming to indicate that Shanahan may take a tougher stance against allies that the president perceives as taking advantage of the United States.

“A lot of our allies were taking advantage of our taxpayers and our country. We can’t let that happen,” Trump said. “And Pat Shanahan agrees with that, and he’s agreed with that for a long time. So—and that was very important to me. I couldn’t get other people to understand it.”

The Department of Defense declined to comment on the meeting.

Mark Cancian, a senior advisor with the International Security Program at the Center for Strategic and International Studies, cited Shanahan’s “superb” record as a defense industry executive but said his lack of experience dealing with both allies and Congress could mean he is “challenged to fill Mattis’s shoes.”

O’Hanlon, of Brookings, also cautioned against judging Shanahan prematurely. But he pointed out worrying weaknesses in the team at the top of the Pentagon. In addition to Shanahan’s inexperience, John Rood, a former Lockheed Martin executive who now serves as the undersecretary of defense for policy, “gets mixed reviews,” and Gen. Mark Milley “hasn’t had the same kind of command jobs” as Chairman of the Joint Chiefs of Staff Joseph Dunford, who he is set to replace later this year.

“When you put all this together, there are reasons to worry about how the team is going to function … on crisis decision-making, allies, relationship-building, or on handling the Chinas and Russias of the world,” O’Hanlon said.

Ultimately, Shanahan may not end up in the chief Pentagon spot permanently. According to a Thursday New York Times report, the White House is seriously considering nominating Jim Webb, a former Democratic senator and secretary of the Navy, for the job.

But if Trump does pick Shanahan, will he end up being a yes man for the White House?

“You have to have that worry,” O’Hanlon acknowledged.

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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeSam 5 Jan 2019 - 16:18

Citation :
Le cerveau de l'attentat contre l'USS Cole pourrait avoir été tué au Yémen (Pentagone)


Washington, 4 jan 2019 (AFP) -


Le cerveau de l'attentat d'octobre 2000 contre le navire de guerre USS Cole dans le port d'Aden (sud) qui a fait dix-sept morts, le Yéménite Jamal al-Badaoui, pourrait avoir été tué le 1er janvier au Yémen, a indiqué vendredi l'armée américaine.

"Les forces américaines ont mené une frappe de précision le 1er janvier dans le gouvernorat de Marib, au Yémen, dont la cible était Jamal al-Badaoui, un ancien agent d'Al-Qaïda au Yémen impliqué dans l'attentat contre l'USS Cole", a indiqué le commandant Bill Urban, un porte-parole du commandement central de l'armée américaine (Centcom).

"L'armée américaine examine encore les résultats de la frappe selon un processus approfondi, pour confirmer sa mort", a-t-il ajouté, dans un communiqué.

Selon un responsable militaire ayant requis l'anonymat, c'était la première frappe américaine au Yémen depuis juillet.

Jamal al-Badaoui a été inculpé en 2003 par la justice américaine de 50 chefs d'accusation de terrorisme pour son rôle dans l'attentat contre l'USS Cole en octobre 2000 et de tentative d'attaquer un autre navire de guerre américain en janvier de la même année.

Le 12 octobre 2000, un canot manoeuvré par deux kamikazes a explosé contre le destroyer USS Cole, qui s'approvisionnait en carburant dans la rade d'Aden, éventrant le flanc du bâtiment.

L'attentat, qui a coûté la vie à dix-sept militaires américains ainsi qu'à ses deux auteurs, a été revendiqué par le chef du groupe jihadiste Al-Qaïda, Oussama ben Laden.

Les Etats-Unis accusaient Badaoui d'être le cerveau de cet attentat, et d'avoir fourni des bateaux et des explosifs aux kamikazes.

Il figurait sur la liste des personnes les plus recherchées de la police fédérale américaine (FBI), qui offrait une récompense de 5 millions de dollars pour toute information qui permettrait son arrestation.

"Badaoui était détenu par les autorités yéménites en lien avec cet attentat quand il s'est évadé de prison en avril 2003. Badaoui avait été capturé à nouveau en mars 2004 mais il s'était échappé à nouveau le 3 février 2006", indiquait le FBI dans son offre de récompense.

Les réseaux jihadistes, notamment Al-Qaïda dans la Péninsule arabique (Aqpa) et le groupe Etat islamique (EI) ont exploité la guerre qui déchire le Yémen depuis 2015 pour étendre leur contrôle sur le sud du pays.

L'administration Trump est sous la pression du Sénat américain, pourtant contrôlé par le camp républicain du président, qui a voté en décembre une résolution pour que Washington cesse de soutenir militairement la coalition menée par l'Arabie saoudite luttant au Yémen contre les rebelles Houthis appuyés par l'Iran.

https://www.marine-oceans.com/actualites/17482-le-cerveau-de-l-attentat-contre-l-uss-cole-pourrait-avoir-ete-tue-au-yemen-pentagone
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MessageSujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...   La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 Icon_minitimeSam 5 Jan 2019 - 16:30

Citation :
Anticipant des troubles à Kinshasa, les États-Unis ont envoyé 80 militaires au Gabon

Posté dans Afrique, Forces terrestres par Laurent Lagneau Le 05-01-2019


La politique américaine comme si vous y étiez... - Page 23 13a967

Qui succédera à Joseph Kabila, l’actuel président de la République démocratique du Congo [RDC], en fonction depuis 2001? On devrait bientôt le savoir, les résultats des élections présidentielles et législatives organisées le 30 décembre devant être théoriquement connus le 6 janvier.

Reporté à plusieurs reprises depuis 2016, ce scrutin présidentiel pourrait permettre une alternance démocratique à la tête de la RDC. Une première depuis 1960. Mais à la condition, toutefois, que ses résultats ne soient pas contestés. Or, rien n’est moins sûr… Depuis la tenue de ces élections, Internet a été coupé durant le dépouillement, de même que l’accès à certains médias.

A priori, et d’après la Conférence épiscopale congolaise [Cenco], le candidat de la coalition Lamyuka [opposition], Martin Fayulu, ferait la course en tête. Ce que conteste le Front commun pour le Congo [FCC], qui soutient Emmanuel Ramazani Shadary, considéré comme étant le « dauphin » de M. Kabila.

« Ces élections ont permis l’expression de la volonté souveraine du peuple congolais. Les résultats qui seront proclamés devront être conformes au vote du peuple congolais », a ainsi prévenu François Delattre, le représentant de la France auprès des Nations unis, lors d’une réunion du Conseil de sécurité dédiée à la RDC.

Aussi, étant donné que des troubles post-électoraux ne sont pas à exclure, le président Trump a pris les devants en décidant l’envoi de 80 militaires à Libreville, au Gabon. Équipés du « matériel de combat approprié » et bénéficiant d’une soutien aérien, leur mission sera de se tenir prêts à intervenir pour protéger les emprises diplomatiques et les ressortissants américaine à Kinshasa dans le cas où il y aurait une flambée de violences à l’issue de la publication des résultats de ces élections, est-il expliqué dans la lettre envoyée par le chef de la Maison Blanche au Congrès.

La présence de ce contingent américain, dont il n’est pas exclu qu’il puisse être renforcé en cas de besoin, devrait « jusqu’à ce que la situation en matière de sécurité en République démocratique du Congo devienne telle qu’elle ne sera plus nécessaire », a précisé M. Trump.

Les militaires américains ne sont pas en territoire inconnu au Gabon étant donné que, au cours de ces dernières années, ils y ont mené plusieurs exercices et actions de formation au profit des forces gabonaises, via l’US AFRICOM.

La France a déjà une présence militaire au Gabon, avec le 6e Bataillon d’Infanterie de Marine [BIMa] et les éléments Air 470 [EA 470]. La mission des Éléments français au Gabon [EFG], qui comptent 350 militaires, est d’assurer la défense des intérêts et des citoyens français, d’appuyer les déploiements opérationnels et de contribuer à la coopération militaire régionale.

http://www.opex360.com/2019/01/05/anticipant-des-troubles-a-kinshasa-les-etats-unis-ont-envoye-80-militaires-au-gabon/
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