Israël savait que l'Iran était actionnaire du fournisseur allemand de 3 sous-marins
AFP 06/12/2016
Israël savait que l'Iran, son ennemi numéro un, était actionnaire du groupe allemand qui va fournir à l'Etat hébreu trois sous-marins supplémentaires, a affirmé mardi le ministre de la Défense Avigdor Lieberman.
Une controverse a éclaté en Israël ces derniers jours à la suite de révélations des médias selon lesquels l'Iran Foreign Investment Compagny (IFIC), la compagnie publique iranienne qui gère les capitaux investis dans des entreprises étrangères, détient une participation de 4,5% dans le capital du groupe allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS).
Les sous-marins commandés par Israël à ce groupe, susceptibles d'être équipés de missiles nucléaires, sont destinés avant tout à des missions d'espionnage au large des côtes iraniennes ou à des attaques en cas de guerre nucléaire entre les deux pays, selon des experts militaires étranger.
"Nous savions que l'Iran était actionnaire du groupe allemand depuis 2004", a assuré Avigdor Lieberman, dont les propos ont été diffusés par la télévision publique.
En évoquant la date de 2004, le ministre faisait allusion aux trois sous-marins commandés récemment, mais aussi aux cinq autres submersibles allemands dont Israël s'est équipé et d'un cinquième bâtiment qui doit être livré prochainement.
Avigdor Lieberman a affirmé qu'Israël "n'avait pas d'autres choix" que le groupe allemand pour s'équiper de sous-marins. Selon des responsables du ministère de la Défense cités par les médias, Israël a obtenu des responsables de TKMS des assurances que les Iraniens n'avaient pas accès à des informations confidentielles sur les sous-marins livrés et commandés par Israël.
Le groupe allemand a confirmé que l'IFIC a détenu 7% de ses actions avant que cette participation descende sous les 5% à partir de mai 2003, mais sans préciser le pourcentage exact que détient cet organisme iranien actuellement
Le contrat pour des sous-marins a déjà déclenché de sérieux remous. Le procureur général israélien a ordonné la semaine dernière une enquête à propos d'allégations suggérant un possible conflit d'intérêts impliquant l'avocat personnel du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Les médias ont révélé que Me David Shimron était le représentant en Israël de TKMS.
Claque monumental infligé à Israel par l'administration Obama à 1 mois de son départ. L'AIPAC et Trump n'ont rien pu faire, c'est une première historique ! Israel condamné et sommé de stoper la colonisation à Jerusalem Est. Netanyahu est sur le c..
Obama se venge. Beaucoup de soutiens de Trump ont des liens de près ou de loin avec Israel, et ils ont jouer un grand rôle dans son élection ... en échange d'un soutien inconditionnel et total de l'administration Trump a Israel . Obama l'a pas avalé
Claque monumental infligé à Israel par l'administration Obama à 1 mois de son départ. L'AIPAC et Trump n'ont rien pu faire, c'est une première historique ! Israel condamné et sommé de stoper la colonisation à Jerusalem Est. Netanyahu est sur le c..
Trump qui débarque à L’ONU pour foutre la pression aux votants c'est du jamais vu, d'autant plus qu'il n'est même pas encore investit ! On peut dire que cette institution est en déliquescence et n'en a plus pour très longtemps.
BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
Trump a sauvé Israël d’un « choc » diplomatique d’Obama à l’ONU, selon un responsable à Jérusalem
L’ambassadeur israélien à l’ONU remercie Trump pour son soutien ; Le vote a été reporté jeudi à la demande du Caire après un appel de Trump à Sissi AFP ET TIMES OF ISRAEL STAFF 23 décembre 2016, 12:53
Le Conseil de sécurité de l’ONU adopte une résolution condamnant la colonisation israélienne
La résolution 2334 a recueilli 14 voix en sa faveur, passant grâce à l’abstention américaine.
LE MONDE | 23.12.2016 à 20h49
[...]A l’origine, le texte avait été présenté mercredi soir par l’Egypte, à la surprise générale. Mais Donald Trump est intervenu pour peser de tout son poids de président élu auprès d’Abdel Fattah Al-Sissi. Il a demandé au président égyptien de renoncer à son initiative. Son interlocuteur n’a pas voulu compromettre ses futures relations avec le président américain, et a donc retiré son texte. Mais le volte-face de l’Egypte n’a pas condamné son initiative. Quatre membres non permanents du Conseil de sécurité – la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela – ont pris le relais du Caire, pour promouvoir la résolution dans une version identique.[...]
Trump a sauvé Israël d’un « choc » diplomatique d’Obama à l’ONU, selon un responsable à Jérusalem
L’ambassadeur israélien à l’ONU remercie Trump pour son soutien ; Le vote a été reporté jeudi à la demande du Caire après un appel de Trump à Sissi AFP ET TIMES OF ISRAEL STAFF 23 décembre 2016, 12:53
Le Conseil de sécurité de l’ONU adopte une résolution condamnant la colonisation israélienne
La résolution 2334 a recueilli 14 voix en sa faveur, passant grâce à l’abstention américaine.
LE MONDE | 23.12.2016 à 20h49
[...]A l’origine, le texte avait été présenté mercredi soir par l’Egypte, à la surprise générale. Mais Donald Trump est intervenu pour peser de tout son poids de président élu auprès d’Abdel Fattah Al-Sissi. Il a demandé au président égyptien de renoncer à son initiative. Son interlocuteur n’a pas voulu compromettre ses futures relations avec le président américain, et a donc retiré son texte. Mais le volte-face de l’Egypte n’a pas condamné son initiative. Quatre membres non permanents du Conseil de sécurité – la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela – ont pris le relais du Caire, pour promouvoir la résolution dans une version identique.[...]
Vous êtes un cran en retard ! Faut suivre l'actualité ! A part l'UAE plus personne ne supporte sissi dans la péninsule ! Le divorce est déjà consommé avec les ksa et le qatar ! Au sein même de l’Égypte des dissensions sont en cours après que sissi ait mis à la retraite deux généraux qui l'ont aidé a faire le putch !
Résolution de l'ONU contre la colonisation israélienne : "Une vengeance d'Obama"
Le Conseil de Sécurité de l'ONU a adopté vendredi soir une résolution demandant l'arrêt de la colonisation israélienne. Analyse de cette décision avec Pascal Boniface, le directeur de l'Institut de relations internationales et stratégiques.
Une résolution réclamant l'arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens occupés a été adoptée, vendredi 23 décembre, par le Conseil de sécurité de l'ONU. Israël a immédiatement rejeté ce vote et prévenu que le pays ne l'appliquera pas. C'est un véritable camouflet pour le gouvernement de Benjamin Netanyahou. Les Etats-Unis, qui d'ordinaire opposent leur veto à ce genre de résolution, ce sont cette fois-ci abstenus. Analyse de ce revirement avec Pascal Boniface, le directeur de l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Il répond à franceinfo.
franceinfo : Comment expliquez-vous cette abstention des Etats-Unis ? Pascal Boniface : C'est un peu une vengeance d'Obama qui veut faire un coup d'éclat alors qu'il va quitter le pouvoir. Benjamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, l'a humilié plusieurs fois en appelant à voter pour Mitt Romney [son adversaire républicain] pendant la campagne [présidentielle] américaine en 2012. Donc Barack Obama a décidé cette fois-ci de ne pas mettre son veto et d'envoyer un message personnel à Netanyahou et peut-être prendre acte pour l'avenir puisque maintenant qu'il ne sera plus président, il va être plus libre de ses paroles et peut-être va-t-il plus s'investir sur ce dossier ?
Barack Obama va quitter la Maison Blanche le 20 janvier 2017. Quelles conséquences cette résolution peut-elle avoir ? Elle restera. C'est une base légale. Alors bien sûr, ça ne va rien changer sur le terrain. On ne va pas obliger Israël à la respecter. Mais dans la longue bataille politique et diplomatique, c'est un point. Même si lorsque que Donald Trump [président élu] va arriver à la Maison Blanche, il ne va pas tenir compte de cette résolution, celle-ci existera quand même. Les partisans de ceux qui veulent faire pression sur Israël, notamment les partisans du boycott, vont être renforcés par cette résolution.
La Jordanie salue une décision historique. Quelles conséquences peut-on attendre après cette résolution, pour les pays voisins? L'Égypte devait porter cette résolution et ensuite elle a cédé aux pressions indirectes de Donald Trump. Les pays arabes sont très divisés, notamment la Jordanie et l'Égypte qui ont un accord de paix avec Israël mais qui ont des opinions publiques hostiles à Israël, qui estiment que le processus de paix n'avance pas et que le sort des Palestiniens est foulé au pied.
Cette résolution peut-elle avoir un impact sur le processus de paix bloqué depuis 2014 ? Hélas non. On peut même dire que ce processus n'existe plus. Il est évoqué mais il n'existe pas dans la réalité et les Israéliens vont certainement faire le gros dos. Ils se disent qu'il suffit d'attendre quelques jours et le 20 janvier, Donald Trump sera à la Maison Blanche et ils en auront fini avec ce type de problème parce que le Conseil de sécurité de l'ONU sera de nouveau bloqué sur Israël. Ensuite, c'est un peu une bataille mondiale de l'opinion qui va commencer et qui se joue sur un plan différent.
Et qu'en est-il de la Conférence de paix prévue à Paris le 15 janvier ? Israël a déjà opposé une fin de non-recevoir à cette conférence et bien sûr c'est là que le bât blesse. Israël dit qu'il faut négocier bilatéralement avec les Palestiniens mais il n'y a pas de négociation bilatérale et dès qu'il y a une proposition internationale qu'elle vienne du Conseil de Sécurité ou de la France, Israël proteste en disant que c'est une ingérence inadmissible.
Tout le monde veut faire passer cette résolution pour une vengeance d'Obama. Seulement il ne faut pas oublier le nombre incroyable de résolutions similaire que les USA ont bloqué. De plus, on observe plus encore que le sort de la Palestine et des palestiniens n'est qu'un jeu politique pour certains pays. preuve s'il en est que le sort de la Palestine ne doit dépendre que de la volontée des palestiniens.
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
pyromane Colonel-Major
messages : 2021 Inscrit le : 22/06/2011 Localisation : Ailleurs Nationalité : Médailles de mérite :
Israël s'isole diplomatiquement, le chantage aux européens ne marche plus et le soutien américain, même avec un Trump président ne va pas suffire à réparer les dégâts causés par ce fou de Netanyahou. Moi j'ai hâte de voir tout les faux libéraux arabes qui chantaient les loua,ges de la démocratie israélienne retourner leur veste quand ca sera passé de mode.
Des députés veulent que Netanyahu explique sa politique diplomatique à la Knesset
Yesh Atid demande que Netanyahu soit interrogé sur ses mesures punitives contre les pays qui ont soutenu la résolution anti-implantations à l’ONU
Le parti Yesh Atid a appelé lundi une influente commission de la Knesset à convoquer le Premier ministre Benjamin Netanyahu pour qu’il explique la détérioration dangereuse des relations extérieures d’Israël » suite au vote de la résolution du Conseil de sécurité des Nations unies qui condamne les implantations israéliennes.
Le parti d’opposition a envoyé une lettre au député Avi Dichter, qui préside la puissante commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset, pour lui demander de convoquer Netanyahu, qui est aussi ministre des Affaires étrangères, pour qu’il explique la situation.
« Ces derniers jours, depuis la décision de Conseil de sécurité des Nations unies sur les implantations, nous avons vu une détérioration dangereuse des relations extérieures d’Israël, en particulier avec des puissances mondiales majeures et certains de nos meilleurs amis », est-il écrit dans la lettre.
« Nous pensons qu’il est impératif que la commission se réunisse dès que possible et convoque le Premier ministre, qui comme vous le savez est aussi ministre des Affaires étrangères, et entende comment il compte gérer cette crise », est-il écrit dans la lettre adressée à la commission qui approuve le budget militaire et s’occupe des questions très sensibles sécuritaires et militaires.
Suite à la décision, Netanyahu a fustigé les 15 pays qui sont membres du Conseil de sécurité, et a convoqué les ambassadeurs dimanche pour une réprimande officielle à Jérusalem. Il a également annoncé une série de mesures punitives à leur encontre, dont l’annulation de rencontres avec de très hauts responsables et le gel de contacts diplomatiques.
Netanyahu a vanté ses efforts visant à élargir les relations diplomatiques d’Israël dans le monde, et a récemment fait une rare visite en Afrique et dans le Caucase, ce qu’il a dit être un signe de rétrécissement de l’isolement d’Israël dans le monde.
Mais Yair Lapid, le président de Yesh Atid, qui se présente comme une sorte de ministre des Affaires étrangères de l’opposition, a souvent déploré les tentatives de Netanyahu de jongler entre les postes de Premier ministre et de ministre des Affaires étrangères, qui jouent au désavantage diplomatique d’Israël.
Lapid a déclaré dans un communiqué qu’au lieu de sanctionner les puissances mondiales, Israël devrait tenter d’empêcher des mesures diplomatiques qui peuvent nuire à l’image sécuritaire et économique du pays.
« Ce que nous devrions faire maintenant, c’est renforcer nos relations extérieures, pas les compromettre », a-t-il déclaré.
Netanyahu, qui a déclaré que les membres du Conseil de sécurité avaient « craché » sur Israël, a ordonné une série de mesures ces derniers jours visant à souligner le mécontentement de Jérusalem après le vote de la résolution 2334.
jf16 General de Division
messages : 38536 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Israel:Economie, contrats d’armements, R&D, coopération militaire.. Mar 10 Jan 2017 - 11:23
Citation :
ROYAUME-UNI : UN MEMBRE DE L’AMBASSADE ISRAÉLIENNE VEUT "ÉLIMINER" DES PARLEMENTAIRES "PRO-ARABES"
INTRIGUE - Dans une séquence vidéo volée, un membre de l’ambassade israélienne au Royaume-Uni explique qu’il souhaite "éliminer" les parlementaires britanniques considérés comme hostiles, dont le vice-ministre des Affaires étrangères. 08 janv 12:59
La séquence vidéo volée par un journaliste d’Al Jazeera a tout pour alimenter les futurs scénarios des séries politiques. Une conversation au cours d’un diner entre un membre de l’ambassade d’Israël au Royaume-Uni et une ancienne collaboratrice d’un ministre d’Etat a révélé les tentatives d'influence de la diplomatie israélienne à propos de la situation au Moyen-Orient. Le "diplomate" indique même vouloir "éliminer" certains parlementaires qu’il juge hostiles.
La discussion entre Shai Masot, qui se décrit comme un officier des services de renseignement israélien et travaille avec l’ambassade israélienne, et Maria Strizzolo, ancienne assistante du ministre d’Etat rattaché au département de l’Education et ex vice-président du Parti conservateur Robert Halfon, est enregistrée par un journaliste d’investigation travaillant pour la chaîne de télévision Al Jazeera. Il opère sous couverture, en se faisant passer pour le membre d’un groupe de pression pro-Israélien.
Un scandale pour faire tomber les parlementaires hostiles à Israël ?
Lors de cette rencontre, Shai Masot explique à Maria Strizzolo qu’il cherche à discréditer les parlementaires britanniques hostiles à Israël. "Vous savez, si vous cherchez bien, je suis sûre qu’il y a quelque chose qu’ils essaient de cacher", lui répond la collaboratrice, ajoutant plus loin dans la conversation qu’ "un petit scandale" pourrait être bénéfique. "Puis-je vous donner les parlementaires que je vous suggère d’éliminer ?", demande le membre de l’ambassade, avant de préciser au journaliste sous couverture que Maria Strizzolo le sait très bien.
Il se fait ensuite plus précis en glissant le nom du vice-ministre des Affaires étrangères Alan Duncan. "Il cause beaucoup de problèmes", justifie-t-il. Duncan s’était ouvertement montré hostile envers la politique d’extension israélienne en déclarant en octobre 2014 que "les colonies sont des colonies illégales construites dans le pays de quelqu’un d’autre. Elles constituent un vol".
Le président du comité des Affaires étrangères de la Chambre des communes Crispin Blunt fait lui aussi partie de la "hitlist" (liste de cibles), dévoile Maria Strozzolo. Shai Masot le décrit comme faisant partie des "super pro-Arabes […]. Je ne peux pas (les) supporter. Ce sont d’horribles personnes". Le membre de l’ambassade israélienne se montre en revanche plus satisfait de Boris Johnson, secrétaire d’Etat des Affaires étrangères, qu’il qualifie "d’idiot" mais qu’il trouve "bon" avec Israël. "Si quelque chose arrive, ce ne sera pas sa faute… ce sera celle d’Alan Duncan".
L'ambassade cherche à minimiser l'affaire
Face à ces révélations, la diplomatie israélienne a rapidement tenté d’éteindre le feu. L’ambassadeur d’Israël au Royaume-Uni Mark Regev s’est excusé auprès d’Alan Duncan et lui a fait savoir que l’ambassade considérait les remarques (de Shai Masot) complétement inacceptables. Ce n’est pas le point de vue du gouvernement israélien, a-t-il annoncé, ajoutant que Maisot n’était pas un diplomate et qu’il verrait les termes de sa mission au sein de l’ambassade s’arrêter rapidement.
Crispin Blunt, l’une des cibles citées dans la conversation volée, a lui estimé que de tels agissements méritaient une enquête. Un porte-parole des Affaires étrangères a expliquéque la mise au point de l'amabassadeur israélien permettait de clôre l'affaire. Celle-ci intervient alors que l'Onu a voté le 23 décembre l'arrêt de la colonisation israélienne à Jérusalem-Est. Une résolution que l'Etat hébreu n'entend pas respecter.
Sujet: Re: Israel:Economie, contrats d’armements, R&D, coopération militaire.. Sam 21 Jan 2017 - 13:30
Citation :
Russia: moving US embassy to Jerusalem significant challenge for security
BETHLEHEM (Ma'an) -- Russian Deputy Foreign Minister Mikhail Bogdanov said on Thursday that US plans to relocate its embassy in Israel from Tel Aviv to Jerusalem would “create a significant challenge for security in the region," according to Russian news agency Sputnik.
Sputnik reported that Bogdanov’s statement came following an incident earlier Thursday in which Israeli Ambassador to Russia Gary Koren told Sputnik that Israel would welcome the potential US decision, adding that “Moscow had also grounds for such a move.”
Commenting on Koren’s statements, Bogdanov said that "probably he has joked in such a manner.” Meanwhile on Wednesday, during a press conference with his Polish counterpart President Andrzej Duda in the southern occupied West Bank city of Bethlehem, Palestinian Authority (PA) president Mahmoud Abbas called upon US president-elect Donald Trump to “work on achieving peace in the region and expressed willingness to work with him to achieve this goal.”
Abbas also noted that “this year might be the final chance to launch talks and work on conducting the two-state solution,” and called upon all countries which haven’t recognized the Palestinian state, “to follow the lead of 138 other countries that have already recognized Palestinian state.”
The Israeli government has also openly expressed its anticipation for a Trump presidency when right-wing politicians believe they will more easily advance plans to expand Israeli settlements and consolidate Israeli annexation of East Jerusalem and other parts of the West Bank.
The fate of Jerusalem has been a focal point of the Israeli-Palestinian conflict for decades, with numerous tensions arising over Israeli threats regarding the status of non-Jewish religious sites in the city, and the "Judaization" of East Jerusalem through settlement construction and mass demolitions of Palestinian homes. While members of the international community have rested the solution to the Israeli-Palestinian conflict on the discontinuation of illegal Israeli settlements and the establishment of a two-state solution, Israeli leaders have instead shifted further to the right as many Knesset members have called for an escalation of settlement building in the occupied West Bank, and with some having advocated for its complete annexation.
http://www.maannews.com/Content.aspx?id=775012
Invité Invité
Sujet: Re: Israel:Economie, contrats d’armements, R&D, coopération militaire.. Ven 27 Jan 2017 - 0:15
Citation :
"Une Europe «en train de s'effondrer» n'a pas à donner de leçons aux Israéliens, estime Lieberman
Le ministre israélien de la Défense Avigdor Lieberman a déclaré lors d'une conférence que l'Union européenne n'avait aucune leçon à donner à Israël concernant la Palestine, étant donné qu'elle était elle-même «en train de s'effondrer».
«Je conseille aux Européens, aux Américains et aux Russes de se tenir à l'écart du conflit israélo-palestinien. Quiconque veut aider à résoudre le conflit devrait tout d'abord se refuser à impliquer de façon excessive le reste des puissances mondiales, à commencer par l'Europe. [...] Ils ne contribuent pas du tout à résoudre le problème, ils ne font que le rendre plus complexe», a déclaré le ministre israélien de la Défense lors d'une conférence de l'Institut des études sur la sécurité nationale à Tel Aviv.
«Lorsque vous aurez remporté un succès [avec votre politique], alors vous pourrez venir et nous faire la leçon», a-t-il ajouté, affirmant que l'Union européenne «se cherch[ait] et [était] en train de s'effondrer».
Néanmoins, le ministre de la Défense, connu pour son franc-parler, a reconnu que la résolution du conflit ne pourrait se faire de façon bilatérale, mais plutôt par un accord régional avec les «états sunnites pragmatiques».
«Y aller à pleine puissance jusqu'à ce qu'ils agitent le drapeau blanc» S'exprimant sur la possibilité d'un prochain conflit, le ministre a tenu des propos évocateurs à propos de la stratégie qu'emploierait l'armée israélienne.
«Peu importe où le prochain conflit aura lieu, il faudra y participer avec toute notre puissance. Recruter toute l'armée, toute la réserve ; y aller à pleine puissance jusqu'à la fin, jusqu'à ce que l'autre côté... se lève un drapeau blanc. Nous ne nous arrêterons pas au milieu», a-t-il affirmé.
Se référant à la possibilité que cette guerre ait lieu à Gaza, celui-ci a déclaré que «si nécessaire», un quart de la bande de Gaza serait occupée, et «plus au besoin».
Lors d'un entretien donné au journal palestinien Al-Quds en octobre dernier, Avigdor Lieberman avait déjà prévenu : «Gaza [...] essaye d’éliminer l’Etat d’Israël. S’ils imposent une nouvelle guerre à Israël, cela sera la dernière.»
Lors de la dernière opération contre le Hamas, pendant l'été 2014, plus de 2 100 personnes, avaient été tuées dans la bande de Gaza. Selon les chiffres de l’ONU, au moins 1 460 des victimes, dont 500 enfants, sont mortes dans des frappes aériennes israéliennes. Du côté de Tel Aviv, 64 soldats n'étaient pas revenus de l'opération.
Publié le 8 février 2017/ Actualité Industrie et matériels
Les soupçons de corruption à l’occasion des contrats de vente de trois sous-marins, produits par ThyssenKrupp, à Israël se renforcent. Le député d’opposition travailliste Erel Margalit a fourni au procureur général Avichai Mandelblit et à la police une série de témoignages sur le versement de pots-de-vin à des responsables officiels israéliens, dont des officiers, en vue de favoriser ces transactions.
Selon le député, des hommes politiques, dont Benjamin Netanyahu, pourraient être impliqués dans la mesure où David Shimron, l’avocat personnel du Premier ministre, a pris une part active dans la conclusion de ces contrats.
Parmi les matériels fournis par Erel Margalit, figurent, selon lui, des documents du groupe allemand sur des transferts illégaux de fonds qui ont eu lieu à partir de 2004. Le député a précisé qu’il s’était procuré ces documents lors d’une visite en Allemagne et dans d’autres pays. «Mes découvertes sur l’implication de responsables israéliens prouvent qu’aucune enquête sérieuse n’a été menée jusqu’à présent.»
Le député a présenté une pétition signée par plus 20 000 Israéliens à la Cour suprême pour obtenir qu’une véritable enquête criminelle soit enfin lancée. La plus haute instance judiciaire israélienne a fixé une audience au 1er mars et ordonné à Benjamin Netanyahu et à son avocat d’apporter leur réponse à la pétition. Selon plusieurs commentateurs, les soupçons sont à ce point sérieux que les deux contrats conclus avec le groupe allemand pourraient être annulés dans les prochaines semaines.
Condamnation d'un soldat israélien: la Ligue arabe dénonce "l'absence de justice"
AFP 22/02/2017
La Ligue arabe a dénoncé mercredi "l'absence de justice" et le "racisme" d'Israël au lendemain de la condamnation à 18 mois de prison d'un soldat israélien pour avoir achevé un assaillant palestinien.
Le soldat Elor Azaria, qui a aussi la nationalité française, a été condamné mardi pour homicide par un tribunal militaire israélien. Il avait été filmé en mars 2016 par un militant propalestinien alors qu'il tirait une balle dans la tête d'Abdel Fattah al-Sharif à Hébron en Cisjordanie occupée.
Le Palestinien venait d'attaquer des soldats au couteau. Atteint par balles, il gisait au sol, apparemment hors d'état de nuire. La vidéo s'était propagée sur les réseaux sociaux.
Le verdict "dévoile l'étendue du mépris israélien pour le sang palestinien (...) et le degré de racisme atteint par les institutions de l'occupation", souligne dans un communiqué l'organisation panarabe basée au Caire. "La peine traduit une absence de conscience et une absence de justice", assène le communiqué.
Les organisations de défense des droits de l'Homme, qui avaient salué la mise en accusation du soldat, se sont senties confortées dans leur ancienne dénonciation de l'impunité dont bénéficient les soldats israéliens selon elles.
Le soldat encourait 20 ans de prison. Mais les juges ont délivré "un signal dangereux indiquant que les auteurs d'actes graves contre les Palestiniens sont protégés par le système", a déploré Amnesty International.
Israël: prison pour un ex-Grand Rabbin condamné pour corruption
AFP 23/02/2017
L'ancien Grand Rabbin d'Israël Yona Metzger a été condamné jeudi à quatre ans et demi de prison ferme pour avoir touché des pots-de-vin de plus de 1,8 million d'euros, a-t-on annoncé de sources judiciaires. Un tribunal de Jérusalem a rejeté un plaider-coupable conclu au début de l'année entre l'accusé et le parquet qui prévoyait une peine limitée à trois ans et demi et une amende de 1,2 million d'euros.
Le Grand Rabbin ashkénaze (juifs d'Europe de l'est) avait démissionné en juillet 2013 après avoir exercé ces fonctions pendant près de 10 ans. Il a avoué avoir reçu des pots-de-vin pour un montant total de 10 millions de shekels (2,4 millions d'euros). Il a également été reconnu coupable de fraudes, d'abus de confiance, de blanchiment d'argent et de fraude fiscale.
Plusieurs associations à but non lucratif liées à Yona Metzger ont reçu des dons, dont une partie a été détournée par le Grand Rabbin. Il a également été reconnu coupable d'avoir accepté des pots-de-vin dans des affaires soumises au Grand Rabbinat. Israël a deux Grands Rabbins, un ashkenaze pour les juifs originaires d'Europe et un séfarade pour les juifs orientaux. Ils supervisent l'activité des tribunaux rabbiniques qui ont le monopole sur les mariages et les divorces pour les juifs en Israël, pays où il n'y a pas de séparation entre l'Etat et la religion.
Le Grand Rabbinat emploie également du personnel chargé de délivrer les certificats de cacheroute pour s'assurer que les produits alimentaires sont conformes aux prescriptions du judaïsme. Un ancien Premier ministre, Ehud Olmert purge depuis février 2016 une peine de 19 mois de prison pour corruption. Son successeur, l'actuel chef du gouvernement Benjamin Netanyahu a été interrogé par la police à plusieurs reprises ces dernières semaines pour des faits présumés de corruption.
Enquête en Israël sur l'achat de sous-marins allemands
Jérusalem, 27 fév 2017 (AFP) -
Le ministère israélien de la Justice a annoncé lundi l'ouverture d'une enquête sur des faits de corruption présumés lors de l'achat de sous-marins allemands dans lesquels seraient impliqués des proches du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Le ministère a toutefois précisé que M. Netanyahu n'était pas considéré comme un suspect dans cette affaire.
En novembre, le procureur général d'Israël a demandé à la police d'effectuer une enquête préliminaire sur l'achat par Israël de sous-marins Dolphin auprès du groupe allemand ThyssenKrupp.
Au vu des éléments collectées par la police qui font naître la suspicion que certaines personnes impliquées dans ce marché ont commis "des délits constituant des faits de corruption", le procureur général a décidé d'ouvrir une enquête judiciaire complète, a précisé le ministère de la Justice.
Il n'a donné aucune précision sur les personnes visées, mais des médias israéliens ont cité le nom de David Shimron, l'avocat personnel du Premier ministre.
Selon la chaîne de télévision Channel 10, M. Shimron est également le représentant en Israël de l'homme d'affaires Miki Ganor, agent du groupe allemand ThyssenKrupp Marine Systems qui doit construire ces sous-marins, ce qui constituerait un conflit d'intérêts.
Après les révélations de cette télévision en novembre, M. Netanyahu avait assuré ne pas savoir que Me Shimron était en relation avec la transaction.
Le Premier ministre israélien fait, lui, l'objet depuis fin 2016 de deux enquêtes: l'une pour des cadeaux luxueux que sa famille et lui sont soupçonnés d'avoir reçus de la part d'hommes d'affaires, l'autre pour avoir tenté de négocier une couverture journalistique plus favorable avec le patron du plus grand quotidien national payant. Il dément ces accusations.
messages : 38536 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Israel:Economie, contrats d’armements, R&D, coopération militaire.. Jeu 2 Mar 2017 - 18:22
Citation :
Israël exporte du gaz vers la Jordanie
AFP 02/03/2017
Israël a discrètement commencé pour la première fois à exporter vers la Jordanie du gaz extrait d'un champ gazier en Méditerranée, a annoncé jeudi une des entreprises impliquées dans ces ventes.
Les exportations ont commencé en janvier, a précisé Delek Drilling, un groupe faisant partie d'un consortium qui exploite les réserves gazières israéliennes. Aucune annonce officielle n'a été faite jusqu'à présent. C'est la première fois qu'Israël exporte du gaz naturel, a affirmé une porte-parole de Delek Drilling.
Les groupes jordaniens Arab Potash et Jordan Bromine ont conclu un accord en 2014 pour l'importation durant une période de 15 ans de 2 milliards de m3 de gaz du champ gazier israélien Tamar. A l'époque, le contrat avait été évalué à 771 millions de dollars.
La Jordanie est un des deux pays arabes avec l'Egypte à avoir signé un accord de paix en 1994 avec Israël. Mais cet accord est contesté par une partie de la population jordanienne dont près de la moitié est d'origine palestinienne.
Les détracteurs du contrat gazier, dont les islamistes qui constituent le premier parti d'opposition, rejettent tout coopération avec Israël considéré comme un pays ennemi. Mais la Jordanie pauvre en source d'énergie ne dispose que de peu d'alternatives. Israël a également peu de ressources naturelles mais a découvert ces dernières années plusieurs importants champs gaziers.
En septembre 2016, un contrat estimé à 10 milliards de dollars a été signé pour l'exportation vers la Jordanie de gaz extrait du champ offshore surnommé Leviathan. Pour répondre aux critiques, le ministre jordanien de l'Information Mohamed Momani avait affirmé que ce contact allait permettre de réduire de 600 millions de dollars par an la facture énergétique de son pays. Les fournitures de gaz en provenance de Leviathan doivent débuter en 2019.
Sujet: Re: Israel:Economie, contrats d’armements, R&D, coopération militaire.. Sam 4 Mar 2017 - 2:45
Citation :
Gideon Levy : « Israël aime les guerres »
Il n’y a pas d’autre façon de lire le rapport de la Cour des comptes de l’État sur la guerre de Gaza en 2014 et il n’y a pas de conclusion plus importante à en tirer
Israël aime les guerres. Il en a besoin. Il ne fait rien pour les empêcher et, parfois, il les provoque. Il n’y a pas d’autre façon de lire le rapport de la Cour des comptes de l’État sur la guerre de Gaza en 2014 et il n’y a pas de conclusion plus importante à en tirer.
Tout le reste – les tunnels, le Conseil national de la sécurité, le cabinet et les services de renseignement –, ce sont des foutaises, rien de plus que des efforts pour nous distraire du principal. Le principal, c’est qu’Israël veut la guerre. Il a rejeté toutes les alternatives, sans même en discuter, sans leur manifester le moindre intérêt, afin de satisfaire sa volonté.
Israël voulait également des guerres, dans le passé. Depuis la guerre de 1948, toutes ses guerres auraient pu être évitées. Elles étaient manifestement des guerres voulues, bien que la plupart n’aient eu aucune utilité et que certaines d’entre elles aient même causé des dégâts irréparables. Tout simplement, Israël les a déclenchées. Parfois, des guerres lui ont été imposées mais, même dans ce cas, elles auraient pu être évitées, comme celle de 1973. Certaines de ces guerres ont mis un terme à la carrière de ceux qui les avaient déclenchées et, pourtant, coup après coup, Israël choisit invariablement la guerre en tant que première option de prédilection. On doute qu’il soit possible de dénicher une explication rationnelle du phénomène, mais le fait est que, chaque fois qu’Israël s’en va en guerre, il reçoit le soutien large, automatique et aveugle de l’opinion publique et des médias. Il n’y a donc pas que le gouvernement et l’armée, qui aiment la guerre. Tout Israël aime la guerre.
La chose est prouvée par le fait que les commissions d’enquête publient des rapports quasi identiques après chaque guerre – le rapport sur la guerre de Gaza est presque un plagiat du rapport de la Commission de Winograd après la deuxième guerre du Liban, en 2006. (« La guerre a été déclenchée à la hâte et de façon irresponsable. ») Une fois qu’on a tout appris et tout oublié, il est clair que quelque chose de fort pousse Israël vers la guerre.
C’est presque de cette façon aussi que cela s’est passé durant l’été de l’opération « Bordure protectrice », alors qu’il n’y avait absolument aucune raison de déclencher cette guerre. Et c’est de cette façon que cela se passera lors de la prochaine guerre qui guette à l’horizon. Quel dommage que l’« alerte rouge » de mardi, dans le sud, ait été une fausse alerte. C’était presque l’occasion de frapper un coup disproportionné sur Gaza, de la façon qu’apprécient tellement le ministre de la Défense Avigdor Liemerman et Israël ; c’était le genre d’incident idéal pour attirer Israël dans une nouvelle guerre.
Son scénario est déjà affiché, ses partisans enthousiastes ne loupent aucune occasion d’y inciter et son histoire est semblable à celle des guerres couvertes par les rapports de la Cour des comptes de l’État. La prochaine guerre fera elle aussi l’objet d’un rapport. Vous et moi et la prochaine guerre, et le prochain rapport.
Il est raisonnable de présumer que la prochaine guerre va éclater à Gaza. Sa justification est déjà toute prête. L’horreur à propos des tunnels, qui a été gonflée dans les proportions grotesques d’une guerre nucléaire mondiale, a été créée dans ce but. Des engins primitifs de combat suffisent pour créer une parfaite justification de la guerre. Et, comme lors de la précédente opération, « Bordure protectrice », personne ne prend le temps de poser la question : Quid de Gaza qui, dans trois ans d’ici, ne sera même plus habitable pour des humains ? Quelle est la réponse que nous attendons de sa part au vu du danger existentiel que courent ses habitants ? Pourquoi se presser ? On a le temps. En attendant, on peut détruire Gaza d’un moment à l’autre.
Gaza gâte Israël avec des guerres de luxe. Israël n’aime rien plus qu’une guerre contre une armée inexistante, contre des gens qui n’ont pas la moindre couverture de zone, pas de blindés, par d’artillerie, rien qu’une armée de gens sans chaussures et de tunnels, ce qui permet à Israël de se lancer dans des histoires grandioses d’héroïsme et de deuil. Des bombardements israéliens contre des gens désarmés, ce que, pour l’une ou l’autre raison, on appelle la guerre, avec un minimum de pertes pour Israël et un maximum pour les Palestiniens – c’est ainsi que nous aimons nos guerres.
La Cour des comptes de l’État a constaté que le cabinet ne discutait pas d’alternatives à la guerre. Il aurait dû y avoir un cri retentissant d’un bout à l’autre du pays, mais il a été englouti dans l’absurdité de l’histoire des tunnels. Tout enfant de Gaza sait qu’une telle alternative existe, que, si Gaza s’ouvre au monde, ce sera différent. Toutefois, pour cela, de courageux dirigeants israéliens sont nécessaires, mais il n’y en a pas. Des masses entières d’Israéliens sont nécessaires pour dire un « non » sans équivoque aux guerres – mais il n’y en a pas non plus. Pourquoi ? Parce qu’Israël aime les guerres.
Publié le 2 mars 2017 dans Haaretz Traduction : Jean-Marie Flémal