Armée Israélienne / Israel Defense Forces (IDF)

Rappel du premier message :

inanc a écrit:

GlaivedeSion a écrit:

Le hezbollah a confirmé que le drone lui appartenait et qu'il était de fabrication iranienne,je pense que c'est une provocation délibéré visant a crée une guerre ou du moin une escalade de quelques jours pour faire une diversion par rapport a la guerre en syrie et la crise économique que connait l'iran du aux sanctions.

Est-il envisagé une quelconque réaction de la part de votre armée ?

L'armée a envoyé des avions et des hélicoptères survolés le liban et simuler des raids,rien de plus.
nous ne sommes pas tombés dans leurs pièges(hezbollah+iran+syrie) déjà qu'ils ont pas réussie déclencher une guerre avec la turquie,c'est pas nous qui allons leurs fournir des excuses.

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$234 Milliards : L’Aide Astronomique Des USA À Israël Depuis 1948


Dépendance où indépendance d’Israël vis à vis des Etats-Unis ? Aucun doute sur ce point : les israéliens sont dopés aux aides américaines. Les relations entre les États-Unis et Israël sont un facteur important dans la politique globale du gouvernement des Etats-Unis au Moyen-Orient.

Les États-Unis maintiennent avec Israël une relation de proximité et de soutien notamment via une aide financière annuelle et des accords militaires. Le passage de Barack Obama en Israël est l’occasion de faire le bilan de l’aide américaine à Israël depuis 1948. Le chiffre est impressionnant : 234 milliards de dollars!

Selon une étude publiée récemment : « L’aide mili­taire amé­ri­caine en direction d’Israël cor­respond, selon cer­tains, à une véri­table sub­vention de l’appareil militaro-​​industriel israélien, dans la mesure où l’Etat hébreu béné­ficie de condi­tions uniques pour pouvoir passer des com­mandes à des fabri­cants d’armes israé­liens grâce, en grande partie, à des fonds américains.

Selon Stauffer, les Etats-​​Unis ont déversé des mil­liards de dollars dans la tech­no­logie mili­taire israé­lienne, laquelle se trouve en com­pé­tition directe avec celle des Amé­ri­cains. Stauffer cite comme exemples le pro­gramme de chas­seurs “Lavi” et le système de missile Arrow.

De plus, Israël obtient d’importants rabais sur ce qui est considéré comme du “surplus” mili­taire amé­ricain. Les indus­tries mili­taires israé­liennes dictent leur loi à leurs homo­logues amé­ri­cains ; les ache­teurs amé­ri­cains, prétend Stauffer, sont obligés de sous-​​traiter à des firmes israé­liennes la fabri­cation de cer­tains com­po­sants mili­taires – com­mandes qui autrement seraient allées aux entre­prises américaines ».par:Michael Kaplan

http://www.jerusalemplus.com/234-milliards-laide-astronomique-des-usa-a-israel-depuis-1948/

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Les flux de données des drones israéliens piratés par les services de renseignement américains et britanniques


Posté dans Moyen-Orient, Renseignement par Laurent Lagneau Le 30-01-2016



Selon des documents mis en ligne par le site The Intercept, le Government Communications Headquarters (GCHQ), le service britannique chargé de collecter le renseignement électronique, et son homologue américain, la NSA (National Security Agency) ont, pendant des années, intercepté les flux vidéos obtenus par les drones utilisés par l’armée israélienne.

Lancée en 1998, l’opération « Anarchist » a ainsi mobilisé des infrastructures de la Royal Air Force (RAF) installées dans le massif du Trodoos, à Chypre, ainsi qu’un site de la NSA implanté dans le nord de la Grande-Bretagne.

Le site de Troodos « a longtemps été considéré comme un ‘joyau de la couronne’ par la NSA car il offre un accès unique au Levant, en Afrique du Nord, et la Turquie », souligne ainsi The Intercept, qui, pour cette révélation, s’est appuyé sur des documents diffusés par Edward Snowden, un ex-consultant de la NSA actuellement réfugié en Russie.

Les drones communiquent avec leurs stations de contrôle par satellite. Ainsi, les antennes installées à Troodos ont capté la « liaison descendante » (du drone vers la station de contrôle) après avoir déterminé les fréquences utilisées.

A priori, tous les modèles de drones israéliens ont été visés par l’opération Anarchist. Même ceux de fabrication iranienne utilisés par le Hezbollah (des Ababil III), mais dans une moindre mesure.

Les services britanniques et américains ont ainsi pu avoir accès aux informations obtenues par les drones israéliens au cours de leurs missions au-dessus de la bande de Gaza, de la Cisjordanie et de l’Iran.

La crainte de l’administration Obama était, à une certaine époque (et même sans doute encore aujourd’hui) de voir Israël bombarder les infrastructures nucléaires iraniennes. Aussi, l’opération Anarchist a permis de surveiller de près les mouvements des drones israéliens.

« Notre capacité à recueillir et à suivre » les drones israéliens est « importante pour la détection initiale de toute frappe préventive ou de rétorsion potentielle contre l’Iran », indique en effet un document du GCHQ évoqué par The Intercept. En outre, l’opération Anarchist a constitué « l’un des seuls moyens pour fournir des informations dans la minute pour soutenir une opération alliée dans la région », a-t-il été aussi affirmé.

Outre les drones, les analystes britanniques et américains ont même pu avoir accès aux données d’un F-16 israélien engagé dans l’opération Plomb durci (novembre 2008), comme s’ils étaient à la place du pilote.

« Cibles potentielles, objectifs, priorités, (…) les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont profité des impressionnantes capacités israéliennes en terme de renseignement et ont vu tout ce qu’Israël voyait », a résumé le quotidien Yediot Aharonot.

Toutefois, la qualité des images obtenues n’est pas toujours très bonnes, en raison des systèmes de brouillage israéliens. Ces derniers ont pu visiblement être contournés par un logiciel open-source appelé AntiSky.

Le ministère israélien des Affaires étrangères n’a pas souhaité commenter ces révélations. Pas plus que Tsahal. Toutefois, Yuval Steinitz, le ministre de l’Énergie, qui eu aussi à s’occuper de celui du Renseignement, a dit ne pas être surpris.

« Nous savons que les Américains espionnent tout le monde, même nous, leurs amis », a-t-il déclaré à la radio militaire israélienne. « C’est néanmoins décevant parce que depuis des décennies, nous n’avons pas espionné ou rassemblé des informations aux Etats-Unis », a-t-il ajouté.


http://www.opex360.com/2016/01/30/les-images-recueillies-par-les-drones-israeliens-piratees-par-les-services-de-renseignement-americains-britanniques/

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01/02/2016

Israël prépare l’arrivée du F-35 !




L'Armée de l'Air israélienne (H'eil Ha'Avir) prépare l’arrivée tout azimut du Lockheed-Martin F-35. D’une part avec la modernisation des flottes de F-16 et F-15 qui resteront l’ossature indispensable à la sécurité aérienne du pays. Mais de l’autre côté la Force aérienne accélère les préparatifs en vue de la livraison du premier Lockheed-Martin F-35I prévue pour la fin de l'année.

Les F-35 seront sur les installations de la base de Nevatim, le premier escadron « Golden Eagle » servira d’unité de préparation et de transition sur le nouvel appareil. Les préparatifs pour le déploiement des F-35 comprennent la mise en place d'un centre de simulation, dont une partie fonctionne déjà.

Un premier groupe de pilotes de chasse israéliens a débuté sa formation sur le F-35 aux Etats-Unis. Ces pilotes seront le premier à piloter l'avion en Israël.


Un F-35 différent :

Les israéliens participent au programme F-35 avec notamment la production de 811 paires d’ailes par Israel Aerospace Industries (IAI). De plus, Elbit Systems fournit le viseur de casque du pilote. Par contre, l’Etat Hébreu a refusé une partie du programme international de maintenance. Le pays ne fera réviser que des sous-systèmes à l’étranger.

Il faut également noter, que les F-35 israéliens seront sensiblement différents avec un système de communication unique dans le cockpit. DE plus, les F-35 israéliens disposeront d’un second système de liaison de données, connu sous le nom de »Ravnet-300 » et produit par la société Rafael Défense. Ce système qui est à certains égards comparables au système « Link16 » standard de l'OTAN, fonctionne nettement plus rapidement et permet plusieurs applications. Mais les israéliens vont encore plus loin, avec le remplacement du système de guerre-électronique ASQ-239 « Barracuda » de BAE Systems. Cette demande n'a pas été acceptée par Washington, mais il y a des indications très nettes, que le chasseur furtif livré en Israël, pourra être doté d’un système de guerre-électronique conçu dans le pays et qui se base sur la vaste expérience opérationnelle de l'IAF au Moyen-Orient.

Rappel :

Le F-35 permettra à l’Etat d’Israël de maintenir une suprématie aérienne et son avance qualitative technologique dans la région, notamment en matière de dissuasion, mais également en cas de frappes préventives. Par contre, du fait du nombre réduit de F-35, l’ossature du combat aérien sera maintenu avec les F-15 et F-16 modernisés.

Photo : Vue d’artiste du futur F-35 israélien@ IAF

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2016/02/01/israel-prepare-l-arrivee-du-f-35-860709.html

Citation :

Centre canadien: L’Afrique du nord et l’Europe sous menaces de missiles ‘nucléaires’ israéliens

         
Montréal: Ces missiles de longues portées pourraient être tirés par des sous-marins de la marine israélienne.

Israël constituerait une menace nucléaire pour les pays d’Afrique du Nord et de nombreux pays européens.

C’est ‘The Centre for Research on Globalization (CRG)’, un centre basé à Montréal et crée et présidé par l’économiste russo-canadien, d’origine juive, Michel Chossudovsky, qui en a fait l’affirmation.

En effet, dans un article signé par le journaliste britannique et contributeur du CRG, Anthony Bellchambers, le centre canadien, a indiqué que la Marine Israélienne, qui s’est armée avec des sous-marins de fabrication allemande, de 'classe Dolphin', placerait un certain nombre de pays d'Afrique du Nord et d'Europe, sous la menace de missiles à longue portée, pouvant être armées de têtes nucléaires et tirés à partir de ses sous-marins.

Le CRG a avancé que les ‘Dolphin’ israéliens sont armés d’un imposant arsenal de munitions de plusieurs types, dont des dizaines de torpilles mais surtout d’un nombre important de 'SLCM - submarine-launched cruise missile' (des missiles de croisières lancés par les sous-marins).

Ces missiles de croisière, explique le CRG, ont une portée d'au moins 1500 km et sont largement soupçonnés d'être équipés, chacun, d’une ogive nucléaire de 200 kg, contenant jusqu'à 6 kg de plutonium.

Le centre canadien a indiqué que cette capacité de frappe nucléaire israélienne signifierait que l’Etat hébreux peut placer à volonté, ses sous-marins au centre de la méditerranée et tirer ses ogives nucléaires sur pratiquement tous les pays d'Europe et d'Afrique du Nord.

Cela comprend, indique le CRG les pays de la liste suivante (ordre alphabétique):
Algérie, Autriche, Bulgarie, Egypte, France, Allemagne, Grèce, Italie, Pays-Bas, Hongrie, , Jordanie, Libye, Maroc, Pologne, Espagne, Syrie, Arabie Saoudite, Turquie, Royaume-Uni, Ukraine.

http://www.lemag.ma/Centre-canadien-L-Afrique-du-nord-et-l-Europe-sous-menaces-de-missiles-nucleaires-israeliens_a95698.html

Avec les SM ils auront une capacité de 2nd frappe ....comme les grandes puissances, ce ne possède pas les puissances nucléaire non déclarer (inde, pakistan, korée du nord, iran )

Ils l'ont déjà depuis au moins 6/8 ans. Les premiers dolphin avaient déjà été transformé pour recevoir des tubes de 655mm (missile croisières popeye).

Citation :

Israël : les soldats vont garder leurs armes en dehors de leur service


AFP 23/02/2016

Les soldats israéliens ont reçu ordre de porter leurs armes personnelles en rentrant chez eux même en dehors de leur service pour pouvoir intervenir à la suite de la recrudescence des attaques de Palestiniens, a indiqué mardi l'armée.

"Le chef d'état-major, le général Gadi Eisenkot a ordonné que les soldats portent leurs armes même en dehors de leurs service" en rentrant chez eux pour des permissions, par exemple, a affirmé une porte-parole militaire à l'AFP.

Cette décision a été prise à la suite de la polémique provoquée par la mort jeudi dernier d'un soldat en permission qui a été tué à coups de couteau lorsqu'il faisait ses courses par deux Palestiniens dans une zone commerciale israélienne en Cisjordanie occupée.

Son épouse a ensuite raconté aux médias que son mari avait demandé à ses supérieurs d'emporter son arme pour se protéger, mais que ses supérieurs avaient refusé. Le soldat avait été contraint de déposer son arme dans l'armurerie de sa base. Le couple résidait dans la colonie israélienne de Maale Mikhmas proche du lieu de l'attaque.

Ce témoignage avait provoqué une vive polémique dans les médias dont la plupart avaient critiqué le fait que l'immense majorité des soldats en permission revenaient chez eux désarmés et ne pouvaient pas se défendre ou intervenir en cas d'attaques de Palestiniens.
Jusqu'à présent, les soldats n'étaient pas autorisés à emporter leurs armes de crainte qu'elles ne soient volées ou utilisées pour commettre des suicides.

Depuis le début de la vague de violence actuelle il y a près de cinq mois, 176 Palestiniens et 27 Israéliens ont été tués, ainsi qu'un Erythréen, un Américain et un Soudanais, selon un décompte de l'AFP. La plupart des Palestiniens tués sont les auteurs ou auteurs présumés d'attaques contre des Israéliens, commises dans leur très grande majorité à l'arme blanche.

http://www.lorientlejour.com/article/971899/israel-les-soldats-vont-garder-leurs-armes-en-dehors-de-leur-service.html

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Israel pourrait reconsidérer l'acquisition de F-35


Dans Actualité Défense, Actualité Avions de combat
Publié le 29/02/2016 à 19h40, par Antony Angrand


Plutôt que du F-35, Israël souhaiterait acquérir des F-15I que cette nation pourrait moderniser à volonté,
sans être tributaire de Lockheed Martin, qui n'a pas fourni les codes sources du F-35A. © Lockheed Martin


Si en 2008 l'acquisition de JSF paraissait très attirante pour la force aérienne israélienne, il semblerait qu'il en soit tout autrement aujourd'hui. Le F-35 est considéré par Israël comme ayant une autonomie inadéquate, un emport d'armement limité et une furtivité perfectible.

Pire aux yeux des israéliens, les Américains refusent de partager les codes sources de l'appareil, ce qui revient à dire que les israéliens seraient dans l'incapacité de modifier la plate-forme selon leurs propres besoins et que les moteurs devraient être envoyés en Turquie ou aux Etats-Unis pour être entretenus ou réparés.

En septembre 2008, le département américain de la défense avait approuvé la vente de 25 F-35 à Israël. Le contrat de vente, à hauteur de 15,2 Md$ incluait une option d'achat de 50 chasseurs bombardiers additionnels pour les années à venir.

Israël fut particulièrement intéressée par l'acquisition de l'appareil sous version F-35B, en raison de ses capacités ADAC/V, qui lui auraient permis en cas de conflit de ne pas être exposé aux dégâts infligés aux pistes de décollage. Mais c'est la version F-35A qui a été retenue, dont 33 appareils vont être livrés en deux fois.

Le premier d'entre-eux devrait arriver en 2017. Plus de 20 appareils étaient supposés livrés l'année dernière, mais la commande a été réduite à 14 avions par une commission gouvernementale dirigée par le ministre de l'énergie, Yuval Shteinitz. 17 JSF sont toujours en commande pour 2017 et l'armée de l'air israélienne souhaite voir la livraison d'appareils supplémentaires en 2020.

Le gouvernement Netanyahou a demandé à Washington de lui vendre le F-15SA destiné à l'Arabie Saoudite. Mais l'administration Obama a refusé, présentant le JSF comme étant la seule plate-forme disponible pour Israël grâce à l'aide financière américaine qui est estimée à plus de 3 Md$ par an.

Les F-15 sont considérés comme stratégiques à la défense du pays, l'appareil biréacteur a déjà largement fait ses preuves au cours des différents conflits qu'a traversé Israël ces dernières décennies. Il a de plus une capacité d'emport d'armement qui dépasse largement celle du F-35, il est notamment question de moderniser son avionique et son radar.


"Israel ne peut pas continuer sur cette voie et a besoin d'appareils ayant fait leurs preuves au combat", a commenté une source proche du gouvernement israélien. "Israel serait alors contrainte de payer un prix surélevé pour l'achat, l'entraînement de ses pilotes et l'exploitation opérationnelle de 50 avions inadéquats [...] jusqu'à ce que l'appareil n'atteigne son plein potentiel, nous aurions alors des dizaines d'avions avec des capacités limitées".

http://www.air-cosmos.com/israel-pourrait-reconsiderer-l-acquisition-de-f-35-64389  

Citation :

Pire aux yeux des israéliens, les Américains refusent de partager les codes sources de l'appareil, ce qui revient à dire que les israéliens seraient dans l'incapacité de modifier la plate-forme selon leurs propres besoins et que les moteurs devraient être envoyés en Turquie ou aux Etats-Unis pour être entretenus ou réparés.

Il est prévu que la Turquie fasse la maintenance des F35 at home ?

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Négociations cruciales pour Israël


Stratégie et politique 8 mars 2016

Les négociations entre Israël et les Etats-Unis sur une augmentation substantielle de l’aide militaire américaine, en guise de “compensation” pour l’accord sur le nucléaire iranien appliqué depuis janvier, entrent dans leur dernière ligne droite. Après la visite de Joe Biden, le vice-président américain, dans les prochains jours, ce sera au tour de Moshe Yaalon, le ministre de la Défense, d’aller discuter de ce dossier en fin de semaine à Washington, avant la venue de Benjamin Netanyahu. «Si tout se passe comme prévu, les discussions devraient être bouclées d’ici la fin mars», estime un responsable du ministère de la Défense.

Les dirigeants israéliens espèrent que la bataille pour obtenir le soutien du “vote juif” à l’élection présidentielle va inciter l’administration démocrate à se montrer “généreuse”. L’accord de dix ans entre les deux pays, aux termes duquel Israël recevait environ 3,1 milliards de dollars d’aide militaire annuelle, arrive à expiration l’an prochain. L’enjeu est considérable pour l’Etat hébreu : cette contribution représente 20 % du budget de la Défense. De plus, le ministère de la Défense avait obtenu qu’un demi-milliard de dollars soient utilisés pour passer des commandes d’équipements auprès de groupes israéliens, le reste servant à financer des importations d’armement américain, y compris des avions et des hélicoptères.

Israël a, en outre, obtenu une aide supplémentaire pour le développement de projets spéciaux. Les Etats-Unis ont ainsi payé pour sept des neuf batteries d’interception de roquettes de type “Dôme de fer” et ont participé aux dépenses liées à la production du “Arrow 3”, le système d’interception de missiles balistiques, et de la “Baguette magique”, une arme antimissile de moyenne portée. Les Etats-Unis se sont aussi déclarés prêts à financer une partie du système de détection des tunnels creusés par le Hamas à partir de la bande de Gaza vers le sud d’Israël en vue d’y infiltrer des commandos. Israël a enfin obtenu le droit de puiser, en cas de “situations d’urgence”, dans les réserves d’armes et de munitions que l’armée américaine a stockées sur le territoire israélien. En échange, les Etats-Unis ont pu établir une base de radars dans le désert du Néguev, même si Israël n’a pas encore été autorisé à accéder en temps réel à ces données.

Pour obtenir une rallonge, les dirigeants israéliens affirment que la levée des sanctions internationales va permettre à Téhéran d’investir 20 milliards de dollars dans des commandes militaires, essentiellement auprès de la Russie. Des achats qui vont inciter les pays du Golfe à s’équiper d’armements modernes auprès des Etats-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne. Des armes qui pourraient, un jour, être utilisées contre Israël et remettre en cause son “avantage qualitatif” que le Congrès américain s’est engagé à préserver par une loi.

Restent deux inconnues : le montant annuel de l’aide de 2017 à 2027 et la nature des équipements qui seront fournis. Benjamin Netanyahu espère obtenir au moins 4 milliards de dollars par an, et souhaiterait pouvoir commander non pas deux mais quatre escadrilles de F-35, de nouveaux F-15 à double propulsion, des hélicoptères de transport, deux ravitailleurs KC-46 de Boeing (250 millions de dollars l’unité) ainsi que des V-22. Israël espère aussi obtenir des missiles qui pourraient être utilisés contre l’Iran, au cas où ce pays ne respecterait pas les termes de l’accord sur le nucléaire, ainsi que des nouvelles bombes à forte capacité de pénétration contre les bunkers et des installations souterraines.

«Ces négociations vont déterminer la puissance de l’armée israélienne pour au moins une décennie», ajoute le responsable du ministère de la Défense.

http://www.ttu.fr/negociations-cruciales-israel/

https://www.washingtonpost.com/world/middle_east/israel-to-launch-one-of-the-most-advanced-missile-defense-systems-in-the-world-with-us-help/2016/03/03/6383cb88-dfd5-11e5-8c00-8aa03741dced_story.html

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Israel to launch multibillion-dollar defence system that can destroy ballistic missiles and orbiting satellites


TEL AVIV – A joint exercise now being conducted between thousands of Israeli forces and the U.S. European Command represents a final test before Israel begins to deploy one of the most sophisticated missile defence systems in the world.

When it is complete, Israel’s multibillion-dollar rocket and missile air defence system will be far superior to anything in the Middle East and will likely rival, and in some ways surpass, in speed and targeting, air defences deployed by Europe and the United States, its developers say.

The United States has provided more than $3.3 billion over the past 10 years to support the defensive system, which will be able to knock down not only

Though Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu and President Obama have had a strained relationship, rubbed raw by their deep disagreement over the Iran nuclear deal, U.S. spending on Israel’s air defences has soared in the last decade, from $133 million in 2006 to $619 million in 2015.

The Israeli defence establishment and its American partners have designed a layered system that will allow the Jewish state to respond to simultaneous attacks from multiple fronts – the relatively crude homemade rockets lobbed by Hamas from the Gaza Strip, the mid-range rockets and missiles fired by the Shiite militants of Hezbollah from Lebanon, and the long-range ballistic missiles being developed by Iran that could carry conventional or chemical warheads.

In addition, Israel’s new X-Band radar will allow its forces to detect incoming missiles 500 or 600 miles out, vs. 100 miles, the current limit of their radar tracking systems, according to summaries of the systems provided to Congress.

“I define the system as pioneering,” said Uzi Rubin, former head director of Israel’s missile defence program. “Even the United States doesn’t have anything as complex, as sophisticated.”

The system will also be able to prioritize incoming rockets and missiles by calculating their trajectories. Some missiles may not be intercepted, if their targets are fields and farms, but projectiles that would hit populated areas or important infrastructure – such as military bases, oil refineries and nuclear facilities – would be stopped.

The Israeli missile defence system is being built in partnership with U.S. defence contractors, including Raytheon, Boeing and Lockheed Martin.

The Israelis are planning to start deploying their coordinated system of radars, launchers and interceptors over the coming months, though there have been delays in the past, they warn.

In December, Israel and the U.S. Missile Defense Agency celebrated successful tests of two new ballistic missile defense systems – David’s Sling, which is designed to intercept short- and medium-range threats, and Arrow-3, which is intended to stop long-range attacks and knock out enemy targets in space by deploying “kamikaze satellites,” or “kill vehicles,” that track their targets.

The David’s Sling and Arrow-3 will join Iron Dome and the existing Arrow-2 in coming months.

The Iron Dome batteries were responsible for intercepting 90 percent of their targets during Israel’s war with Hamas in the summer of 2014, according to Israel Defence Forces, when Hamas fired 4,000 rockets and mortars at Israel from the adjacent Gaza Strip.

On Tuesday, the Defence Ministry announced that major components of the David’s Sling defence system will be delivered to the Israel Air Force “over the course of several weeks.”

Israel called David’s Sling “the world’s most revolutionary innovation in the family of interceptor systems.” The system is designed primarily to handle the kinds of rockets and missiles, built by Iran and Russia, and now in the possession of the Hezbollah militia in Lebanon and the Syrian regime of Bashar al-Assad.

Beyond the threat posed by the splintering of Syria, Israel is worried that Syrian missiles could be transferred to Hezbollah or acquired by the Islamic State or al-Qaeda.

In a recent speech, Hezbollah leader Hassan Nasrallah threatened that his militia’s missiles could strike ammonia storage tanks in Israel’s Haifa port in a future showdown with Israel, warning that the damage would be equivalent to an atomic bomb and could kill 800,000 people.

Maj. Gen. Nitzan Alon, the Israel Defence Forces head of operations, said Hezbollah could have upward of 100,000 rockets and missiles stored in Lebanon.

In 2006, before the deployment of Iron Dome, Hezbollah fired about 4,000 projectiles at Israel’s northern cities, causing some 40 civilian deaths and significant damage.

Israel’s military leaders warn civilians that no air defence system is perfect – or even close to it.

“There is no hermetic defence or total security that will intercept everything fired at Israel. In the next real war, rockets will fall on the State of Israel,” said Brig. Gen. Zvika Haimovich, commander of the Israel’s Aerial Defence Division.

Haimovich briefed reporters last week in the middle of “Juniper Cobra,” a biennial U.S.-Israel air defence drill, scheduled to end on Thursday.

More than 1,700 U.S. soldiers and sailors, alongside American civilians and contractors, are taking part in the exercise, which is focused on computer simulations of coordinated and sustained air attacks on Israel from multiple fronts.

In such a scenario, U.S. air defence probably would come into play, and the drill is designed not only to test Israel’s soon-to-be deployed systems, but also to improve how well U.S. and Israeli assets can communicate and coordinate their response.

“The purpose of this exercise is to improve interoperability of our air defence forces and our combined ability to defend against air and missile attack,” said Lt. Gen. Timothy Ray, U.S 3rd Air Force commander.

“And just as important,” Ray said, “it signals our resolve to support Israel and strive for peace in the Middle East.”

exercice Juniper Cobra 16  

ils preferent le F15 au JSF

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sraeli Navy to roll out new C2 system across fleet

Yaakov Lappin, Tel Aviv - IHS Jane's Defence Weekly
20 March 2016


The Israeli Navy will gradually introduce a new command-and-control (C2) system for all its vessels within three years, according to a senior naval officer.

Israel's order of four Saar 6-class missile corvettes from the German company ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS) was the catalyst for developing a new C2 system that can be used across the entire fleet. The vessels are expected to arrive over the next 4-5 years and will be primarily tasked with defending Israel's offshore energy platforms.

"This won't just be for the Saar 6. Ultimately, it will be for all vessels," the source stressed. "Everyone will benefit."

The officer said the C2 system will significantly enhance both intra-naval networking and interoperability between the navy, the ground forces, and the air force. "We are developing a version that can talk to the whole of the military," the source said.

This will bring to an end a situation where the navy's littoral patrol boats, such as the Dvora class, carry both the navy and ground forces C2 systems so they can provide support to units operating close to the sea. Components of the new C2 system will be installed in fast patrol boats by the end of this year, the source said.

The officer said the patrol boats will then be able to provide more fire support than they did during Operation 'Protective Edge' in 2014, when they launched Gil (Spike-MR) guided missiles at militant targets in the Gaza Strip.

"Once we achieve full interoperability with the ground forces, we will have a C2 envelope that brings capabilities and data processes out to sea," he said. "We will be able to deal with every target on shore, and to rapidly complete the sensor-to-shooter cycle from every vessel, much more rapidly than in the past."

The new system will also link up the radars operated by the navy and air force.

Citation :

IDF armoured units getting Backtrail logistics trailers

Yaakov Lappin, Tel Aviv - IHS Jane's Defence Weekly
21 March 2016


The Israel Defense Forces (IDF) is in the process of taking delivery of Urdan Backtrail logistics trailers that can be towed by its tanks, armoured personnel carriers (APCs), and armoured engineering vehicles.

Urdan announced on 17 March that the IDF had ordered "dozens" of the trailers.

A military source said on 22 March that the 188th and 7th Armored Divisions have already begun receiving the trailers, while an Urdan company official confirmed that IDF infantry units that operate heavy APCs are also scheduled to receive them.

The military source said the trailers will be used alongside the M548 tracked cargo carriers rather than replace the ageing logistics vehicles.

Citation :

Israel’s Navy New Anti-Ship Missile
By News Desk - Mar 27, 2016




srael’s Navy conducted a successful test firing of surface-surface missiles from a Saar 5 corvette. The test included the launch of missile RGM-84 Harpoon and a new weapon, assumed to be an indigenous surface-to-surface missile developed for the Israel Navy by Israel Aerospace Industries (IAI).

The blurred images shown on this video depict a missile longer and faster than the Harpoon, possibly driven by ram-air propulsion to achieve supersonic cruise and extended range. IAI has been known to continue the development of surface-to-surface missiles beyond Gabriel 3, the latest variant of the Gabriel family that entered service in the early 1970s.

One of the members of IAI’s advanced anti-ship missiles was described in open sources as part of IAI’s Skimmer maritime combat helicopter mission suit.

The existence of such missile was never confirmed but the fact that Israel hasn’t updated its Harpoon (RGM-84D) missiles into Block II configurations (RGM-84L), unlike most other Harpoon users which implemented this option.

Hints about a possible existence of a new Israeli surface attack weapon surfaced in the early 2000s, as IAI participated in an international tender to equip the new ‘Formidable’ frigates of the Singaporean Navy frigates. Eventually Singapore selected the Harpoon missile.

The Gabriel 5 was designed to be superior compared to most contemporary missiles, particularly when employed in littoral waters. It used an advanced active radar seeker backed by a sophisticated weapon control to optimize operational effectiveness in a target congested battlespace. The missile significantly improved target selectivity capability, especially in littoral waters, typically congested with marine traffic, and interference generating extensive and complex false target signals.

As an advanced attack missile Gabriel 5 could penetrate the target’s protection, both soft- and hard-kill defenses. It was designed with sophisticated electronic counter-countermeasures (ECCM) dealing with chaff, advanced decoys and active ECM.
Gabriel 5 and Barak 8 were described as part of a new offensive and defensive system suite under development at IAI’s Missiles and Space division.






http://defense-update.com/20160327_israeli_anti_ship_missile.html

Citation :

srael-Russia Brass Continue to Coordinate Over Crowded Skies in Syria
Barbara Opall-Rome, Defense News 6:29 p.m. EDT March 31, 2016
Despite Pledged Drawdown, Putin Flexes New Forms of Military Muscle


TEL AVIV — Despite Moscow’s declared mid-March drawdown of forces in Syria, Israeli experts say Russian military presence there remains considerable — and potentially more lethal — as to warrant continued talks aimed at preventing operational clashes between Israeli and Russian airpower and targeting systems.

A delegation of Russian military officers is due here the week of April 4 for another unannounced round of so-called deconfliction talks, sources here say.

The talks, led at the level of vice chief of staff, come amid beefed up operations by Russian Ka-52 Hokum and Mi-28 Havoc attack helicopters and unconfirmed reports of nuclear-capable Iskander short-range ballistic missiles (SRBMs) — known in NATO as SS-26 — deployed near the Syrian regime’s coastal stronghold of Latakia.

“When [Russian President Vladimir] Putin said they were leaving, he didn’t say all his forces were leaving,” said Israel Defense Forces (IDF) Brig. Gen. Avi Peled, head of the J5’s International Military Cooperation Division.

“They still have their troops, their aircraft and I’m sure the S400 and other capabilities, and that’s the reason we’re going to set up a new meeting to make sure safety measures continue to be in place.”

Since Putin actively entered the Syrian civil war on behalf of the government of President Bashar al-Assad, Israel and Russia have held four rounds of talks and maintain near daily contact to prevent unintended clashes.

During that time, Russian fighters breached Israeli airspace on at least two occasions, but quickly reverted back to Syrian skies without incident, unlike similar events at the Turkish border that culminated in Ankara’s November 2015 downing of a Russian Su-24 and Moscow’s subsequent deployment of S400 air defenses.



n a March 29 interview, Peled said the bilateral military-to-military meeting would take place “very soon … in the coming days.”

And while Peled declined to discuss specific new Russian capabilities deployed since Putin’s March 14 declaration of an achievement-driven drawdown in Syria, the IDF officer praised Russian professionalism in enforcing the so-called Safety Measures Mechanism.

“These meetings are conducted in a good spirit and with utmost professionalism… We had some mistakes between us in the last six months, but with the understanding that we are not enemies,” he said.

Since Putin’s pledged mid-March withdrawal of “the main part” of Russian forces, the Kremlin has announced the return of at least three tranches of Su-24M, Su-34 and Su-25 aircraft, each accompanied by cargo-filled Il-76 or Tu-154 heavy airlifters.

“He changed the shape of the forces, but he didn’t evacuate,” a senior Israel Air Force officer told Defense News. “He’s brought in different assets and returned things he had less use for. … Now there’s more emphasis on air support by attack helicopters.”

But contrary to expectations of a large-scale withdrawal, Israeli intelligence assessments project a protracted Russian presence in Syria, including indefinite deployment of S400 air defenses and other new assets, including a sizable contingent of Russian sappers, engineers, canine forces and mine-clearing robots deployed around the regime’s recently retaken city of Palmyra.

Israeli officers could not or would not officially confirm introduction of road-mobile Iskander-M SRBMs, which the Russian-language website military-informant.com first reported as being spotted at Russia’s Hmeymim air base near Latakia.

In photos and in video screen captures from a news show aired March 27 on Tzezda television, a nationwide network affiliated with the Russian Ministry of Defense, a single two-missile launcher — closely resembling that of the Iskander — can be seen on the side of a runway at Hmeymim shortly after a large airlifter takes flight.

“At first glance, it looks like an Iskander launcher,” said Uzi Rubin, a former director of Israel’s Missile Defense Office who analyzed the online, open-source imagery. “But why would they position such an important strategic asset without camouflage in the middle of a field, a few hundred yards from the runway where everyone can see it? It doesn’t make sense.”

In a March 31 interview, Tal Inbar, another leading Israeli missile expert, also noted the very close resemblance of published images to the Iskander, but recommended waiting for official confirmation if the Russians indeed deployed the highly precise, all-weather, day/night missile in Syria.

If true, the 400-kilometer-range system could reach significant parts of Syrian, Turkish and Israeli territory, as well as points in Jordan and Iraq.

“If Moscow wanted to retain an option for attacking or counterattacking positions while preserving the impression that it was downsizing its force, Iskander could be the answer,” Inbar said. “Unlike airpower, where each sortie is visible, the Iskander is a very low-signature alternative. And once fired, it’s hard to tell Iskander fragments from the older Russian SS-21s in the Syrian arsenal … so they also gain options for plausible deniability.”

Rubin and other experts here said the possible deployment of the Iskander, while significant, should not pose a direct threat to Israel due to successful, ongoing deconfliction talks.

“As long as they don’t hand it over to the Syrians when or if they depart, this should be viewed in the same vein as the Russian S-400,” Rubin said.

He added, “They’re not targeted at us and I expect both sides will make sure that it stays this way.”

Email: bopallrome@defensenews.com
http://www.defensenews.com/story/defense/2016/03/31/israel-russia-brass-continue-coordinate-over-crowded-skies-syria/82485908/

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srael Defense Minister: F-35 Will Preserve Qualitative Edge
Barbara Opall-Rome, Defense News 4:38 p.m. EDT April 5, 2016



HERZLIYA, Israel — Defense Minister Moshe “Bogey” Ya’alon told visiting Lockheed Martin executives and test pilots Tuesday that Israel’s planned F-35I force would allow it to preserve the nation’s qualitative military edge (QME) against regional adversaries.

Following a briefing at Air Force House in Herzliya, Israel, by Jack Crisler, F-35 vice president for business development and strategic integration, and Chief Test Pilot Alan Norman, Ya’alon said he heard “all the comments” and criticisms of the big-ticket program, yet is confident the fifth generation fighter — with Israeli-unique add-ons — would serve Israel well for generations to come.

“This plane is already operational in the US, and has flown not a few flight hours — more than 50,000 during the test program,” Ya’alon said. “We obviously will add our own capabilities, our knowledge and our experience to each plane. … I’m very happy that we’ll know how to preserve the qualitative military edge of the Israel Defense Forces and of the Israel Air Force through acquisition of this important plane.”
Ya’alon said he intends to attend the rollout of the first F-35I in Fort Worth, Texas, this summer and that plans are on track to receive the first two aircraft by the end of the year.

In a conference on Sunday, Brig. Gen. Tal Kalman, the Israeli Air Force (IAF) chief of staff, said the service expects to declare an initial operational capability (IOC) — the first of any nation other than the US — at the end of 2017, less than a year after taking receipt of the first aircraft.

“We’re happy to be one of the first countries, one of the first air forces in the world, to operate this aircraft. We will render it operational not long after it is received here, and we will continue to receive more and more aircraft over the years,” Ya’alon said.

Israel has signed on for 33 aircraft thus far: a first batch of 19 in 2010, and another tranche of 14 in February 2015. A follow-on order for an additional 17 planes — expected later this year, provided the US and Israel conclude a new 10-year aid package — would bring Israel’s committed number of F-35Is to 50.

http://www.defensenews.com/story/defense/air-space/air-force/2016/04/05/f-35-israel-lockheed-martin/82666534/

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IDF Interested in Buying Suicide Drones, Israel Aerospace Industries Exec Says
The executive says such drones, which carry grenades, have been sold to foreign armies but would not specify which.
read more: http://www.haaretz.com/israel-news/.premium-1.713711

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Udi Adam Tapped to Head Israel’s MoD, Replacing Dan Harel
Barbara Opall-Rome, Defense News 11:18 a.m. EDT April 12, 2016


TEL AVIV — Israeli Defense Minister Moshe Ya’alon on Tuesday tapped retired Maj. Gen. Udi Adam as the ministry’s new director general. Adam would oversee such critical issues as US-Israel technology exchanges, Israeli exports and the implementation of the Israel military’s new five-year plan.

If Ya’alon’s nominee is approved by relevant Israeli authorities, Adam will replace retired Maj. Gen. Dan Harel, who announced plans to retire from the top Ministry of Defense (MoD) managerial post on March 20, pending the arrival of a designated successor.

Since 2013, Adam has served as chairman of Israel Military Industries (IMI), where he worked with MoD and the Government Companies Authority to prepare the state-owned company for long-planned privatization. In recent months, however, privatization plans appear once again to be derailed due, in large part, to an apparent conflict of interest with a firm hired by the government to assess IMI’s market value and Elbit Systems, which enlisted the same firm in support of what is now a sole-source bid to procure IMI.


In his April 12 announcement, Ya’alon cited a number of top priority issues that Adam would prove “exceedingly capable” in handling, including military modernization plans, implementation of the military’s five-year Gideon Plan, aspects of a new US-Israel military aid package, and “activities of the defense industries and defense exports.” Tellingly, the statement did not include overseeing government privatization plans on behalf of MoD.


A second-generation general officer, Adam is the son of Yekutiel Adam, the former IDF deputy chief of staff who was killed during the 1982 Lebanon War before he could take up his post as former Prime Minister Menachem Begin’s choice as director of the Mossad intelligence agency.

During Israel’s controversial and much-criticized 2006 Lebanon War, Adam commanded Israel’s Northern Command. He resigned a few months after that war, having apparently lost the confidence of then IDF chief of staff, Dan Halutz. Ironically, it was Halutz — having irrevocably lost public confidence — who was forced to resign in early 2007. Adam went on to serve capably in a number of public positions, including director-general of Israel’s Nuclear Research Center and chairman of IMI.

“In recent weeks, I’ve evaluated a number of worthy candidates for the position and came to the conclusion that Udi Adam is the right man at the right time to successfully lead the ministry amid all the challenges,” Ya’alon said. “I know Udi Adam many long years as a warrior and a commander, and afterwards in his position at the Nuclear Research Center and at IMI. I have no doubt that he has integrity, capability and personal maturity to carry out his duties in an exceedingly capable manner.”

http://www.defensenews.com/story/defense/international/mideast-africa/2016/04/12/israel-defense-ministry-udi-adam-dan-harel/82931604/

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IDF expected to buy Rotem L loitering munitions

Yaakov Lappin, Tel Aviv and Jeremy Binnie, London - IHS Jane's Defence Weekly
11 April 2016



The Israel Defense Forces (IDF) has expressed strong interest in acquiring one of the new loitering munitions (LM) developed by Israel Aerospace Industries (IAI), a senior source from the state-owned company said on 10 April.

The source was referring to the Rotem L, a small quadcopter designed to be used by infantry in urban environments. The electrically powered munition is operated by a soldier using a tablet-like control screen, has 30 minutes of endurance, and has both standard and infrared cameras.

It carries two fragmentation grenades each weighing 450 g , and after being launched vertically, can automatically fly towards a target assigned by the operator.

"Rotem can enter windows or manoeuvre around fences," IAI said in a statement about the new munition when it was unveiled during the Singapore Airshow in February.

It descried the Rotem L as "the ideal solution to obtain situational awareness as well as reach selected targets in dense and chaotic urban environments."

The IAI source said the Rotem L is at the end of the development stage, describing it as a "suicide munition" that would be highly useful to field commanders in complex battle environments. "It maintains a low-profile, quiet flight and uses broadband communications to send back data," the source said.

IAI has also nearly completed development of Green Dragon, a silent, electrically powered LM with two hours of flying time. Launched from a sealed canister, as many as 16 can be carried on a small vehicle. "We are starting to market it," the source said.

It can collect visual intelligence of surrounding areas up to a range of 40 km before attacking a specified target with its 3 kg warhead, according to IAI.

"The operator has a small tablet-sized control panel and a tactical low-power datalink to the LM. The Green Dragon operator also has a built-in 'abort and go around' capability to prevent unnecessary collateral damage or mistaken targeting," IAI said, describing the Green Dragon as "an ideal cost-effective weapon for infantry, special ops, and other similar users".




http://www.janes.com/article/59442/idf-expected-to-buy-rotem-l-loitering-munitions

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Israel Air Force Offers to Shorten Hundreds of Pilots’ Contracts in Cost-cutting Move
Cutbacks aimed at reducing number of majors in IAF, who receive extra benefits.
read more: http://www.haaretz.com/israel-news/.premium-1.714199

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Israel Tests Engineering Versions of APS-Protected Troop Carrier




TEL AVIV, Israel — Israel launched operational tests this week of actively protected combat engineering versions of its locally developed Namer, a heavy troop carrier based on the Merkava Mk4 main battle tank.

Video and still photos released Wednesday by Israel’s Ministry of Defense shows three combat engineering derivatives: a bulldozer version to be operated by company commanders; a breaching and obstacle bridging version to be operated by platoon commanders; and a towing version to be operated by platoon sergeants.

Equipped with the Trophy Active Protection System (APS) against anti-tank missiles, mortars and RPGs, the combat engineering Namers will allow Israeli ground forces to deal with terror tunnels, bridge obstacles and maneuver in high-threat areas.

Tests are being conducted at the Israeli military’s combat engineering school in the south of the country, in coordination with the Israeli MoD and the Mantak Tank Production Authority, developers and producers of Namer and Merkava armored platforms.

“The combat engineering Namers endow brigade-level teams with capabilities they never had before,” said Brig. Gen. Baruch Matzliah, director of the Mantak development and production authority. “They will overcome any engineering obstacle in the modern battlefield and will allow efficient and effective, force protecting maneuvers while preserving maximum operational readiness.”

In January, MoD announced that it completed integration of the Trophy APS on initial Namer vehicles and was ready to enter into serial production. Developed by state-owned Rafael Advanced Systems, Trophy is operational with multiple brigades of Merkava Mk4 tanks and was credited with saving lives during Israel’s summer 2014 war in Gaza.

Trophy is designed to neutralize all types of chemical energy threats in flight, from RPGs to high-explosive rounds and tandem warhead anti-tank guided missiles. According to Rafael marketing data, it provides 360-degree protection against multiple launchings “while maintaining a pre-defined safety zone for friendly dismounted troops.”




It was first activated during a March 2011 operation at the Gaza border, when a Trophy-equipped Mk4 tank destroyed an RPG-29 with no damage to the protected tank or its four-man crew. It scored another operational intercept in August 2012 against an anti-tank missile fired at a Mk4 near a crossing point in central Gaza.

In a December 2015 interview at an Israeli base bordering Gaza, Capt. Tzuri Dill, a Merkava Mk4 tank commander with the 46th Battalion, part of the 401 Brigade, recounted an incident during the summer 2014 Gaza war when a company commander’s tank was targeted by a Kornet anti-tank missile from a distance of 3.5 kilometers. “We understood the tank was targeted, but the system worked like a charm. Because of [Trophy], the threat was neutralized. Everything was automatic,” he recounted.

In another recent interview at the Gaza border, a company commander from the Golani infantry brigade said his men were excited at the prospect of receiving APS-equpped Namer troop carriers. “We have the best protected tanks in the world and soon, with this new APS capability, we’ll be even better equipped for every kind of scenario,” Capt. Ran Tinkiguey told Defense News.

Email: bopallrome@defensenews.com


http://www.defensenews.com/story/defense/land/vehicles/2016/04/13/israel-tests-engineering-versions-aps-protected-troop-carrier/82994890/

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19/04/2016

Israël négocie l’achat de C-130J Additionnels !




Israël a débuté des négociations en vue de d’augmenter sa flotte d’avions de transport tactique de Lockheed-Martin C-130J « Super Hercule ».

Trois Lockheed-Martin C-130J « Super Hercules » nommé "Samson" (Shimshon en hébreu) au sein de sont déjà en service au sein de la Kheil HaAvir, sur la base aérienne de Nevatim. Deux appareils doivent encore être livrés prochainement. L'armée de l'air israélienne (IAF), exploite des C-130 depuis 1971.

Le C-130J « Super Hercules » :

Le C-130J «Super Hercules» est la version la plus avancée du célèbre C-130 cargo, il incorpore une technologie de pointe pour réduire les besoins en personnel, de fonctionnement de soutien avec des coûts de cycle de vie plus actuel que pour les anciens C-130. Le modèle dispose également d'une maniabilité accrue et une manutention plus courtes. Il est doté de nouveaux moteurs Rolls-Royce Allison AE 2100D3 dotés d’hélices à six pales.

Du point de vue de l’extérieur, le C-130J semble n’être qu’une version allongée du célèbre Hercules, cependant, il est équipé d’un poste de pilotage informatisé permettant de réduire le nombre de pilotes à deux. Il a une capacité de 26.000 kg de carburant et il est configuré pour recevoir des réservoirs additionnels de 11.000kg de carburant.


Photo : C-130J « Samson » israélien @ IAF

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2016/04/19/israel-negocie-l-achat-de-c-130j-additionnels-861265.html