Actualités internationales

Rappel du premier message :

On appelle ça de la dissuasion Gémini et jusqu'à présent, ça a plutôt bien marché comme ça pour Pyong Yang
Une légende vietnamienne parle de tambours qu'on plaçait sous la chute d'une cascade pas très loin des frontières avec la Chine, quand les troupes de l'empereur marchait sur le pays. Les éclaireurs chinois croyaient alors entendre le bruit d'une importante troupe en marche venant à leur rencontre, ce qui faisait rebrousser chemin aux soldats de l'empereur. Bien des vies humaines auraient été ainsi conservées pendant de longues années
Dans une guerre déclarée, le sud subirait indéniablement de lourdes pertes, mais le nord n'a pas les moyens de remporter une victoire décisive. Il risque au contraire d'entraîner ainsi sa fin

Sale temps pour le clan Massoud, Hakimullah Massoud le chef des Taliban Pakistanais vient de se faire tuer par un drone Américain au Pakistan.

http://www.nytimes.com/2013/11/02/world/asia/drone-strike-hits-compound-used-by-pakistani-taliban-leader.html?partner=rss&emc=rss&smid=tw-nytimesworld&_r=0

Son prédécesseur & cousin avait connu le même sort.

C'est plus le Mollah Omar et l'ISI qui vont être content..

Les US ont passé une vitesse supérieur :

- Libi capturé en Libye.

- Un Shebab, expert en fabrication de bombes tué avec un drone.

- Le chef des Taliban Pakistanais, l'organisateur de l'attaque contre un bureau de la CIA, tué.

Je serai Al Shishani, Al Jolani ou Al Baghdadi je m'inquiéterai.

Inanç a écrit:

Les US ont passé une vitesse supérieur :

- Libi capturé en Libye.

- Un Shebab, expert en fabrication de bombes tué avec un drone.

- Le chef des Taliban Pakistanais, l'organisateur de l'attaque contre un bureau de la CIA, tué.

Je serai Al Shishani, Al Jolani ou Al Baghdadi je m'inquiéterai.

Ce n'est pas les US qui get the gear up mais la population en a marre et les rewards par des millions de dollars hard cash,un million de dollars imagine toi 30 famille afghan et paki peuvent vivre pour plus que 20 ans nowdays "money talks and bullshit walks"

Mais souvenez vous que le dommage colateralle est tres lourde avec ces attaques de drones. Les innocents finissent par payer de leurs vies d'une facon ou d'une autre.

Dommages collatéraux ? Bizarrement, on parle jamais des attentats des Taliban Pakistanais, ils ont tué des milliers de Pakistanais depuis des années, faut pas l'oublier.

Quand un US tue 10 civils, on crie au massacre, quand c'est un illuminé qui fait sauter une mosquée chiite et tue 25 civils, personne n'en parle ...

une ideologie n est jamais vaincu par des drones. Faudrai plutot aider le Pakistan a evolue leur systeme educative pour faire face a la pourriture d'Alqaida & Co.

Le Pakistan est dans une fixette à la Grecque avec l'Inde sur le Cachemire et la possibilité d'un conflit à tout moment.

Sans parler de la corruption et de l’extrémisme qui règne dans les régions tribales.

Le timing est mauvais, le Pakistan veut des peace talks avec TTP, faut espérer que ça capote pas.

Je serai mauvaise langue, je dirai que les US font tout pour faire dérailler les éventuelles négos pour que le Pakistan reste dépendant.

Bernard Kouchner propose la création d'un état touareg ...

Enfin on parle des vrais sujets de fond...merci koukouch

Citation :

La piraterie en Somalie, un chiffre d'affaires de 300 millions en sept ans

Selon le document de 130 pages rédigé par la Banque mondiale, Interpol et l’observatoire des Nations unies sur les trafics de drogue, les flux financiers générés par la piraterie ne profitent guère aux pirates eux-mêmes, qui ne touchent qu’entre 0,01 et 0,025 % des rançons. Sur les 105 cas de navires piratés et libérés à la suite de versement de rançon, le rapport estime que les financeurs (pirate financiers) récupèrent entre 35 et 75 % des sommes.
Les multiples intermédiaires et les populations locales en bénéficient au travers de la vente au prix fort des denrées et matériels nécessaires aux pirates, dont le fameux khat, dont le prix a été multiplié par trois sur la période observée. Les bénéfices réalisés par les premiers bénéficiaires de la piraterie sont réinvestis dans le trafic de drogue (dont le khat), la prostitution, l’immobilier, l’import-export, les services financiers à l’échelle internationale.
L’essentiel des flux quittent la Somalie pour Djibouti, Dubaï ou Nairobi, l’Arabie saoudite. Au-delà de la réponse navale militaire, « opération efficace mais de plus en plus coûteuse », les auteurs du rapport préconise une « coopération internationale de lutte contre les circuits d’argent sale à l’échelle de toute la région. »

http://www.lemarin.fr/articles/detail/items/la-piraterie-en-somalie-un-chiffre-daffaires-de-300-millions-en-sept-ans.html

300 millions   Annabi prepare toi,moi et toi en route en somalie pour devenir leurs conseillers finacier pour gerer leur porte folio:D 

Citation :

La 1ère vidéo de l'abordage de l'Arctic Sunrise de Greenpeace par les forces russes !


This video is the first to show the moment that the Greenpeace ship the Arctic Sunrise was boarded by Russian authorities. The vessel was siezed on September 19, after staging protests against the Prirazlomnaya oil platform, owned by Russian energy firm Gazprom.
The footage - shot by crew members of the ship, and supplied to BuzzFeed by Greenpeace - shows Russian authorities absailing from a helicopter onto the deck of the Arctic Sunrise. 30 people from the ship are currently in custody in Russia, facing charges of hooliganism - after initially facing charges of piracy.
The crew of the ship engage in what is described as peaceful non-cooperation - attempting to prevent the boarding by getting in the way with their arms in the air.
The ship was taken without any significant violence - the video shows guns being waved, shouted threats and some shoving, but little direct physical force.
Russia’s detention of the ship’s crew has drawn international condemnation, with the Dutch taking the Russian authorities to the International Tribunal for the Law of the Sea, in an effort to force the immediate release of the detainees.
Russian says that the protestors were threatening the security of Russian workers at the oil rig.

The First Video Of The 'Arctic Sunrise' Being Boarded

Citation :

Les Etats-Unis et Israël perdent leur droit de vote à l'Unesco


Les Etats-Unis et Israël ont perdu automatiquement, vendredi 8 novembre, leur droit de vote à l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture). Ces deux pays ont en effet cessé de payer leur contribution après l'admission de la Palestine en 2011 au sein de l'agence onusienne.

"Ni l'un ni l'autre n'ont présenté la documentation nécessaire ce matin pour éviter de perdre le droit de vote", a précisé une source de l'Unesco.
Washington ne s'est pas acquitté de sa cotisation en 2011, 2012 et 2013. "Les Etats qui n'avaient pas réglé leur cotisation avaient jusqu'à 10 heures aujourd'hui pour présenter une justification de non-paiement et un plan de paiement des arriérés, a-t-on précisé à l'Unesco, dont l'Assemblée générale se tient à Paris. A 10 heures, rien n'a été reçu de la part des Etats-Unis."

Cette procédure automatique a lieu au moment où les Etats-Unis tentent de sauver les négociations de paix israélo-palestiniennes qui se déroulent dans un climat tendu depuis l'annonce de la relance de la colonisation israélienne en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-Est.

http://mobile.lemonde.fr/international/article/2013/11/08/les-etats-unis-et-israel-perdent-leur-droit-de-vote-a-l-unesco_3510753_3210.html

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Le vice-ministre iranien de l'industrie tué par balles à Téhéran

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/11/10/le-vice-ministre-iranien-de-l-industrie-tue-par-balles-a-teheran_3511449_3218.html

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Despite Tensions, US-GCC Military Relations Strong


DUBAI, PARIS AND WASHINGTON — Despite frustration over US policies in Egypt, Syria and growing negotiations with Iran, military relations between the US and Gulf Cooperation Council (GCC) remain strong with nations poised to continue buying billions in hardware, officials and analysts said.
“No one in the region wants to have a bad relationship with the US; no one, and everything [American officials] want, we want,” one Arabian Gulf source said. “But over and over again over the last two years [US officials] have promised too many people too many things and failed to deliver; that’s the issue.”
Relations have been strained this year after the US decided not to launch a punitive strike against the Syrian government, which the UN said used chemical weapons against civilians. GCC states had begun to line up behind the US for a military intervention. The US was ready to strike Syria, if not for an eleventh hour deal hashed out between Washington and Moscow to destroy Damascus’ chemical weapons.
Washington’s reaction to political instability in Egypt also irritated US allies in the region that supported the ouster of the Islamist Morsi government. The US has suspended some military aid and delivery of weapons to Cairo.
GCC countries also say Washington has failed to engage in a dialogue before launching diplomatic talks between the US and Iran that promise eased sanctions in exchange for Tehran renouncing nuclear weapons.
“No one in the region is against having a good relationship with Iran that will benefit all of us, but you can’t start negotiating with them without consulting with us, your allies, who are living 200 miles from Iran and host your bases,” the gulf source said.
Saudi Arabia declining a two-year seat on the UN Security Council was an expression of frustration over Syria and Iran developments, especially with Washington, prompting a visit from Secretary of State John Kerry.
“The GCC and the US share three types of relationships,” said Theodore Karasik, director of research at the Institute of Near East and Gulf Military Analysis. “A strategic relationship, a military-to-military relationship and a political relationship. Some are good and some are poor.
“The US can continue their military relationship due to its robust structure and combined objectives, but the other two are under duress,” he said. “It is very important to understand the point of view emanating from the gulf today being based on partnerships and not just purchases.”
For their part, a high-level official in Paris expressed confidence that the Middle East considers France a “reliable country,” and keen to expand ties in the region.
Weapons Deals on the Rise
But despite disagreements with Washington, weapons trade between the US and GCC nations have flourished.
“There will always be political and regional issues and differences between the US and the GCC, but they will be eventually overcome,” said Abdul Khaleq Abdullah, a political science professor at the United Arab Emirates University. “The structural strategic relationship is deeply rooted, but at the moment, it is not at its best but will grow again.”
Between 2008 and 2011, GCC nations received $15.9 billion in new weapons, according to the Center for Strategic and Inter­national Studies think tank in Washington. Of that, $9.4 billion were American-made, while $4.6 billion was built in Western Europe. China delivered these countries $900 million in weapons across that same period.
But one analyst said Saudi Arabia’s recent rejection of a seat at the UN Security Council might hit American arms sales.
“You all heard the comments Saudi Arabia made a few weeks ago on turning down the seat on the security council,” Craig Fraser, managing director at FitchRatings, a debt rating agency, told journalists in Paris.
“Saudi Arabia is one of the largest international customers for some of the US contractors,” he said. “I would estimate some of the contractors could get 10 percent of their revenues from Saudi Arabian contracts in the next few years, so it’s a substantial amount of business.”
So far, there have been no visible signs of reducing US purchases.
In October, US defense giant Lockheed Martin announced a deal with Riyadh for two KC-130J refueling tankers that could expand to 25 aircraft.
Yet, there has been a growing sense of caution surrounding US defense sales because of the political upheaval in the region.
After last year’s attack in Benghazi, Libya, US State Department officials counseled caution, looking to make sure that weapons wouldn’t fall into the hands of radicals or be used by new governments to suppress dissents.
But that caution hasn’t stopped sales from happening.
“I haven’t seen any indication that foreign policy decisions are leading to a down spiral in US overseas sales,” said Andrew Shapiro, a former senior State Department official who headed the bureau responsible for foreign military sales. “If anything, the last few years have seen significant increases in sales.”
That said, turmoil in the region has slowed the handover of some systems.
The Obama administration recently halted delivery of fighter aircraft, tanks and spare parts to Egypt, in a move US officials have emphasized were temporary.
Much of that decision was about domestic pressure, given US legal obligations to cut aid following a coup.
The reaction in Egypt, however, has been less understanding, one source said, adding that anger with Washington is running high after American officials first backed the ouster of the Morsi government.
“When it comes to Egypt, America was confused,” Abdullah said. “It did not know what stand it had to take and tried to please everyone. This did not fare well as the US started losing many friends in Egypt.”
Still, sales to the region have and likely will continue to rise, Shapiro said, given hardware is only part of the rationale for buying American.
“Arms sales are not just about particular sales,” he said. “They’re not just about a particular product or a particular sale. They are also part of the relationship between our overseas partners and the United States.”
By that measure, Middle East countries are increasingly cozying up to the US.
Criticism From Both Parties
US lawmakers and analysts who closely follow national security and foreign policy issues acknowledge Washington’s friendships in the region have seen better days.
“Things certainly have hit a dry patch — or maybe an oil slick,” quipped Senate Armed Services Committee Chairman and Intelligence Committee member Sen. Carl Levin, D-Mich.
Anthony Cordesman of the Center for Strategic and International Studies said American officials “should understand and respect the reasons Saudi Arabia and every other friendly regional state — again including Israel — questions our recent actions and our current politics and commitments.”
“While anyone who talks to ... State Department and US CENTCOM experts, and examines our security cooperation with the Arab states, can see real progress in many areas of our security cooperation with Saudi Arabia and the Arab states, far too much of our rhetoric and far too many of our policies in dealing with Syria, Iran, Egypt and other states ... has created all too many reasons for Saudi and other Arabs to fear and distrust,” he wrote in a Nov. 4 paper.
Senate Foreign Relations Committee Ranking Member Sen. Bob Corker, R-Tenn., and other Republicans — joined by a growing number of Democrats — are frustrated and bewildered by the Obama administration’s Middle East policies.
“The response of our allies has been negative. These are relationships that our administration has directly with these countries ... and they don’t feel very good about what’s happening,” Corker said during a brief Nov. 5 interview. “Saudi Arabia, Egypt, are just two examples. You look at Syria and just look at our changes in aid, it was like: Ready. Fire. Aim.”
Sen. John McCain, R-Ariz., a senior member of the Senate Armed Services and Foreign Affairs committees, called Washington’s relations with its Middle East allies “the worst I’ve ever seen it.”
“They no longer trust us, and they no longer believe in our word. All the chickens are coming home to roost,” McCain told Defense News on Nov. 5. “When a president of the United States says he’s going to attack a country and then doesn’t, that gives the countries that are in direct threat from what’s going on there great pause.
“Bandar said when they didn’t take the seat on the Security Council, ‘This is not a message to the UN, this is a message to the US,’ ” McCain said, referring to Saudi intelligence chief Prince Bandar bin Sultan. “Israel has the same skepticism. It exists all over the Middle East and all over the world.”
Senate Foreign Relations Committee Chairman Sen. Bob Menendez, D-N.J., last month called the White House’s reluctance to directly provide weapons to Syria’s opposition forces an “embarrassment.”
Such sharp criticism from both parties has some of the White House’s allies on Capitol Hill defending its policies and actions. They contend the Obama administration took the only actions on Syria and Egypt it could and is doing the kind of face-to-face diplomacy needed to mend any damaged fences.
Asked if the administration is too uninvolved in the Middle East, Senate Foreign Relations East Asian and Pacific Affairs subcommittee Chairman Sen. Ben Cardin, D-Md., replied, “Goodness, no.”
“The United States spends more time on the Middle East than any other nation that’s not a Middle Eastern nation already,” he said. “It’s been our high priority focus for some time.”
Levin said administration officials “can only do what [Secretary of State John] Kerry is already doing: He’s traveling around the region saying, ‘The action we have taken is the right action for this particular time in this particular place, but that doesn’t mean that we’re not good friends and allies.’ ”
McCain, on the other hand, sees the secretary’s trip in a less-flattering way, describing it as “Kerry running around like the guy that follows the elephants in the circus parade.”
Senators interviewed for this piece were split on whether Saudi Arabia and other regional nations getting closer to Beijing should trouble the US.
“Sure, I worry about it. They are adjusting to a world without US leadership,” McCain said. “And it is the result of a diminution of US leadership, which is the direct responsibility of the president of the United States.”
Corker shrugged and said “it depends on what kind of role [the Chinese] are playing.”
“To be candid, I’m not too concerned with other countries getting involved in fighting terrorism,” Corker said with a wink before turning serious and expressing a sentiment shared by McCain.
“What I do view as a problem is other countries viewing us as not being reliable. And I think that’s where we are today,” Corker said. “That is highly problematic in a number of dealings. That’s the biggest problem, I think, this administration has created.”

http://www.defensenews.com/article/20131110/DEFREG02/311100004/Despite-Tensions-US-GCC-Military-Relations-Strong

 

Citation :

6 of 14 new states on U.N. Human Rights Council called abusers
By Carol J. Williams

November 12, 2013, 6:58 p.m.

Member states of the United Nations on Tuesday elected 14 new countries to serve on the Human Rights Council, drawing fire from rights advocates critical of six of the incoming delegates for their dubious national track records in respecting personal freedoms.

Most criticized were the elections of China, Russia, Cuba and Saudi Arabia to the 47-member body, on which states sit for rotating three-year terms. But some groups also questioned the choices of Algeria and Vietnam.

Other new members chosen to represent geographic regions were France, Macedonia, Maldives, Mexico, Morocco, Namibia, South Africa and Britain, the U.N. General Assembly office reported after the secret balloting at its New York headquarters.

"This is a black day for human rights,” said Hillel Neuer, executive director of the independent Geneva-based rights group U.N. Watch. "Today the U.N. sent a message that politics trumps human rights, and it let down millions of victims worldwide who look to the world body for protection."

The six new members in question are responsible for "massive violations of the freedoms of speech, press, religion and assembly," Neuer's group reported after what it called a comprehensive review of the countries' response to opposition, protest and ethnic and religious minorities.

Outside the U.N. building, a group of protesters demanding Tibetan freedom unfurled a banner declaring "China Fails Human Rights," in an attempt to spotlight their complaints of abuse at the hands of China's communist authorities, the Associated Press reported.

"Allowing China to become a member of the U.N. Human Rights Council calls into question the council's credibility," said Edward McMillan-Scott, European Parliament vice president for human rights and democracy. "China's human rights record is well-documented. Numerous reports by the U.N. itself have highlighted degrading and inhumane treatment that is routine in China: forcible abortions, religious persecution, the oppression of minorities."

Philippe Dam, who monitors the Geneva-based rights council for Human Rights Watch, questioned the suitability of Saudi Arabia to sit in judgment of human rights matters when it "massively cracks down on migrants: 33,000 arrests, 14,000 deportations in 8 days," he said on Twitter.

Saudi Arabia's election to a seat on the more influential U.N. Security Council last month drew similar protests, but the kingdom took the unusual step of rejecting its selection. In a statement from the Foreign Ministry, Saudi officials denounced the Security Council as ineffectual because of its failure to halt the civil war in Syria or to bring peace between Israelis and Palestinians.

Jordan, which had been a candidate for the rights council, withdrew its petition for that body in what was seen as a maneuver to get the Saudi seat on the Security Council when the General Assembly addresses how to fill the unexpected vacancy.

The U.S. ambassador to the United Nations, Samantha Power, issued a statement on the selection of new Human Rights Council members, regretting that the list included "some that commit significant violations of the rights the council is designed to advance and protect."

She said the new panel choices served as "a reminder that the council's important work remains unfinished."

http://www.latimes.com/world/worldnow/la-fg-wn-un-human-rights-council-abusers-20131112,0,4717401.story#axzz2kXJ9oIIg

LA times was always objective in world affairs and specially Moroccan Sahara.

T'aurais pu mettre en gras d'autres pays qui ne sont pas au dessus de tout soupçon ou suspicion nest ce pas;) 

je ne suis pas des rights advocates pour le faire,c´est a eux qu´il faut dire ca,ils ont nommé 6

Citation :

http://m.bfmtv.com/article.html#art645874

Citation :

Enlèvements au Mali : Une stratégie d'Aqmi pour contrer la guerre des drones ?

Début février 2013, l'Associated Press (AP) mettait la main sur les fragments d'un « combat hand book » (fascicule-guide du combattant) d'AlQaida au Maghreb Islamique (AQMI) trouvé dans les décombres d'un bâtiment abandonné par les forces insurrectionnelles à Tombouctou au mali. Ce fascicule précisait les conduites et actions à mener pour contrer la surveillance et les attaques de drones. Pour venir à bout des drones, ce document, signé et daté de 2011, prône comme « solution en or » de kidnapper des Occidentaux « où que ce soit dans le monde »! L'information était passée presque inaperçue en ce début d'année, mais elle risque de revenir en force au regard de l'actualité quasi concomitante entre l'enlèvement des deux journalistes Ghislaine Dupont et Claude Verlon assassinés au Mali et l'imminence de la mise en service du drone américain « Reaper » par les forces militaires françaises.



La découverte de l'Associated Press précéda de quelques jours celle de journalistes de RFI et de Libération qui découvrirent l'ensemble des documents associés. Les médias firent alors principalement écho à l'information majeure qui en ressort : AQMI dispose d'une stratégie politique et militaire globale au Mali.

Bien loin de l'image souvent véhiculé d'une horde de barbares sanguinaires, de fous de Dieu, AlQaida apparaît clairement comme un groupe structuré à ramifications internationales, armé de têtes pensantes capables d'élaborer des stratégies et plans d'action complexes allant du court au long terme. Leurs réflexions puisent leur source dans le retour d’expérience tiré de tous les théâtres sur lesquels ils ont opéré. Et ils sont en capacité de les diffuser à toutes leurs branches.

Ainsi, l’expérience acquise des attaques de drones subies en Afghanistan et au Pakistan a permis la rédaction de ce guide très pragmatique. Initialement destiné au théâtre Yéménite, il se retrouve entre les mains des jihadistes au Mali et guide les combattants d'AQMI.

Composé de 22 actions d'application relativement aisée, il propose des biais aussi variés que le camouflage des véhicules, le brouillage des communications des drones, l'interception de ses communications à partir de moyens et logiciels en vente libre sur Internet pour quelques centaines d'euros, des consignes de conduite individuelle (se mettre à couvert d'arbres ou de bâtiments, fuir du véhicule en cas de suspicion de présence de drone...).

Ayant longtemps sous-estimé les capacités d'AlQaida à maîtriser les technologies permettant d'intercepter et de brouiller le systèmes de communication (et donc de guidage) de leur drones, les Américains furent désagréablement surpris de retrouver en 2009 sur Internet des films de l’œil de leur drone « Predator » postés par ce groupe. Cela met en avant la très grande vulnérabilité du système de télécommande de l'arme drone, son talon d'Achille en quelque sorte : il semble pouvoir être perturbé avec des moyens limités. Tout du moins, il apparaît parfaitement probable que l'adversaire puisse, par l’écoute des émissions hertziennes satellitaires relativement aisée sur un théâtre comme le Sahel, où le ciel est assez faiblement encombré d'émissions parasites, identifier la présence d'un drone (même sans le voir) et adapter son comportement pour ne pas être vu, utiliser un bouclier humain, ou peut-être même réunir les conditions pour qu'un groupe de civils soit pris pour cible et bombardé, créant des dommages collatéraux auxquels ils tireraient un bénéfice certain, la politique des drones se retournant dès lors contre leurs adversaires.

 

Mais c'est surtout dans le dernier paragraphe du document d'Aqmi que figure la stratégie la plus problématique pour nos décideurs, la sécurité de nos militaires et de nos ressortissants en Afrique. Partant du principe que le principal argument d'emploi des drones par les puissances occidentales est d'éviter le développement d'une opinion publique anti-guerre puisque leurs seules pertes possibles ne peuvent être que matérielles et non plus humaines, AlQaida prône de ramener l'homme dans la boucle par une stratégie éprouvée : puisque ne disposant plus de combattants contre qui combattre, il convient de mettre en œuvre tous les moyens pour récupérer des otages dont l'emploi coule de source comme monnaie d'échange ou bouclier humain. De surcroît, il est précisé que ceux-ci peuvent être capturés partout dans le monde !

Sans vouloir chercher absolument à ramener l'assassinat de nos deux journalistes de RFI à cette stratégie, il est tout de même impossible de ne pas s'interroger compte tenu de l'imminence de l'arrivée du « french Reaper » au Mali. Cet élément de cette guerre pourrait tout à fait avoir été un mobile d’enlèvement. Mais dans ce cas, ces otages étant d'une valeur inestimable, la thèse qu'ils aient été assassinés par Aqmi semble pour le moins contradictoire. Ce groupe terroriste aurait eu tout à gagner à démontrer sa capacité à les garder vivant et en bonne santé. Aussi la revendication qu'un tel acte ait pu être perpétré par AQMI est d'autant moins crédible. Dans tous les cas, la mise en place du drone de combat français accroît l'insécurité de nos ressortissants sur le sol africain et laisse craindre malheureusement de nouvelles prises d'otages dans un futur proche.

 

Comme l'explique Edwy Plenel dans son dernier billet, il n'est point de « Barbares » mais des êtres-humains perpétuant des actes barbares. Le terrorisme est souvent assimilé à ceux qu'on désigne, par simplification réductrice, de Terroristes, alors que c'est un moyen d'action, hautement condamnable bien sûr, mais déshumanisant les groupes qui en font usage. Ce faisant, nier l'humanité de l'Autre, aussi horrible que soient ses actes, conduit souvent à sous-évaluer, voir oblitérer son intelligence et sa capacité de riposte. Ainsi, la mise en place de nouvelles armes ou stratégies militaires antiterroristes, évaluées en fonction de leurs effets, oublie-t-elle souvent de mesurer leur efficacité au regard de leurs conséquences. D'autant que celles-ci ne laissent guère à l'adversaire de choix de réaction s'il ne dispose pas des mêmes moyens techniques.

Tel risque d'être le cas avec l’avènement du drone de combat français sur le théâtre malien si nos stratèges de la Défense ne prennent pas la pleine dimension des stratégies anti-drones développées dans le fascicule d'AQMI.

Hélas, la guerre(illa) au Mali ne fait que commencer. Les mois précédents n'auraient-ils été qu'un simple échauffement ?

http://blogs.mediapart.fr/blog/jreagle/111113/enlevements-au-mali-une-strategie-daqmi-pour-contrer-la-guerre-des-drones

Citation :

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131114.OBS5498/exclusif-le-sanctuaire-bulgare-d-al-qaida.html

Voila une autre tentacule...

Citation :

Lisbonne : Le comité directeur de l'initiative '5+5 défense' se réunit

Lisbonne - La 17ème réunion du Comité directeur de l'initiative ''5+5 défense'', s'est tenue sur deux jours à Lisbonne, avec la participation des 10 pays membres de l'initiative.
 
Cette rencontre a réuni, outre le Maroc, les représentants de l'Algérie, la Tunisie, la Libye, la Mauritanie, l'Espagne, la France, l'Italie, le Portugal et Malte.
 
Cette réunion intervient en préparation de celle des ministres de la Défense des pays membres de l'Initiative, prévue en décembre prochain au Portugal qui assure la présidence tournante de l'initiative ''5+5 défense'' au titre de l'année 2013.
 
Initiée en 2004, l'Initiative qui regroupe cinq pays européens et les pays du Maghreb se propose de renforcer la coopération entre les Etats membres à travers la promotion de l'action commune et des compétences entre leurs forces armées respectives et l'échange d'expériences et d'expertises.
 
L'objectif de cette initiative est la prise en compte, en commun, des problèmes de sécurité dans la Zone de la Méditerranée occidentale, la lutte contre le terrorisme et les trafics de tous genres, la surveillance et la sécurité maritimes, la sûreté aérienne, la protection des populations civiles en cas de catastrophes, en plus du domaine de la formation et de la recherche.

http://rpdefense.over-blog.com/2013/11/lisbonne-le-comit%C3%A9-directeur-de-l-initiative-5-5-d%C3%A9fense-se-r%C3%A9unit.html

Citation :

http://www.leblogfinance.com/2013/11/philippines-rivalite-usachinejapon-pour-des-operations-militaires-aide-humanitaire-ou-hegemonie.html