Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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MessageSujet: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeJeu 17 Aoû - 16:28

Rappel du premier message :

ATTAQUE TERRORISTE À BARCELONE ALERTE INFO UNE FOURGONNETTE PERCUTE LA FOULE LE 17AOUT 2017
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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMer 12 Déc - 17:34

Et ceux qui sont pas déclaré et travaillent au black?

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMer 12 Déc - 17:43

Ça va aussi créer un certain appel d'air d'immigration vers l'Espagne. C'est alléchant 900 euros pour un marocain/africain dans un pays avec un bon système de santé, et un coût de la vie intéressant.
En plus le soleil et les tapas Smile
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Adam
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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeLun 24 Déc - 19:31

AFP a écrit:

Espagne : alertée d'un risque d'attentat, la ville de Barcelone renforce sa sécurité pour Noël


Après une mise en garde du bureau des affaires consulaires du département d'Etat américain, Barcelone a décidé «un renforcement ponctuel des mesures de sécurité dans les zones de grande affluence». Un attentat islamiste avait touché la ville en 2017.

La ville de Barcelone, déjà victime d'un attentat en 2017, a été placée en état d'alerte ce 24 décembre après un avertissement émanant des autorités américaines au sujet d'un risque d'attaque terroriste pour les fêtes de fin d'année.

«Espagne : faites preuve d'une prudence accrue dans les zones où il y a des mouvements de véhicules y compris des bus, dans la zone des Ramblas de Barcelone à Noël et au premier de l'An», avait en effet écrit, la veille sur son compte Twitter, le bureau des affaires consulaires du département d'Etat américain.

«Des terroristes pourraient commettre une attaque et cibler des zones touristiques, de transports ou autres zones publiques», a-t-il ajouté. La police régionale des «Mossos d'Esquadra et le reste des forces de police travaillent sur cette menace», a réagi Miquel Buch, responsable régional de l'Intérieur en Catalogne, ce 24 décembre sur la radio locale Rac1.

Selon le journal El Pais, un Marocain de 30 ans, titulaire d'un permis pour conduire des cars, est recherché par les forces de l'ordre.

Le quotidien El Periodico de Catalunya assure quant à lui que la police régionale de Catalogne a évoqué dans une note interne la possibilité qu'un individu tente de foncer dans la foule avec un autobus à Barcelone, la deuxième ville la plus peuplée d'Espagne. Contactée par l'AFP, la police régionale n'a pas confirmé ces informations mais a reconnu «un renforcement ponctuel des mesures de sécurité dans les zones de grande affluence».

Un porte-parole du ministère espagnol de l'Intérieur a de son côté souligné que le niveau d'alerte terroriste dans le pays restait au niveau 4 (sur 5), comme c'est le cas depuis 2015, mais que les mesures de sécurité avaient été renforcées le 11 décembre en raison des fêtes de fin d'année. Les Ramblas de Barcelone avaient été la cible d'une attaque terroriste le 17 août 2017 lorsqu'un Marocain de 22 ans s'était lancé sur cette célèbre allée au volant d'une camionnette, provoquant la mort de 14 personnes.

Il s'était ensuite enfui dans une voiture après en avoir tué le conducteur. Quelques heures plus tard, cinq de ses complices l'avaient imité, fauchant des passants dans la station balnéaire de Cambrils avant de les attaquer au couteau et de poignarder à mort une femme. Cette double attaque avait été revendiquée par l'organisation djihadiste Etat islamique.

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMer 30 Jan - 14:44

Je suis jaloux


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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeJeu 14 Fév - 18:01

Econostrum a écrit:

Des élections législatives se profilent après le rejet du projet de budget 2019 par le Parlement espagnol



Actualités Espagnoles - Page 8 30711389-29209203

Pari perdu pour le socialiste Pedro Sanchez. Le premier ministre espagnol a échoué, mercredi 13 février 2019, à faire accepter son projet de budget 2019 au Parlement. Principalement en cause, les partis indépendantistes catalans (Parti démocrate européen catalan et Gauche républicaine de Catalogne) qui ont voté contre au nom de la politique du gouvernement menée dans leur région. Alors que se tient, à Madrid, le procès de douze séparatistes accusés de rébellion, de sédition et de détournements de fonds après la proclamation de l'indépendance de la Catalogne en octobre 2017.

Leurs voix sont venues s'ajouter à celles du parti centriste Ciudadanos et du parti conservateur Parti populaire (PP) pour au final donner 191 voix contre, 158 pour et une abstention.

Cet échec souligne aussi la faiblesse du Parti socialiste (PSOE) qui détient moins du quart des sièges au Parlement et doit donc jouer sur des alliances de fortune.

Le rejet du budget devrait ouvrir sur des élections législatives anticipées qui pourraient se dérouler en avril 2019 (premier tour le 14 ou le 28 voir le 26 mai) selon des sources gouvernementales interrogées par la presse espagnole.

Pedro Sanchez avait remplacé en juin 2018 Mariano Rajoy (PP) qui avait préféré démissionné avant le vote d'une motion de censure déclenchée par la condamnation, le 24 mai 2018 par la justice espagnole, de vingt-neuf membres de son parti pour corruption, détournement de fonds publics et blanchiment.

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeSam 13 Avr - 20:55

Foreign Policy a écrit:

Is Spain Heading for an Electoral Wreck?



In this month’s election, the choice could boil down to a government influenced by a xenophobic party or one under constant threats by separatists.



When Spaniards go to the polls on April 28 to elect a new government, they will be choosing from no fewer than five major political parties. The outcome will likely be a repeat of the 2015 vote, in which no single political party won a clear majority of parliamentary seats or proved skillful enough to cobble together a coalition government. The impasse forced a do-over election, in 2016, leaving the country without a government for almost a year. A sequel to this political drama could hardly come at a worse time, with the Spanish economy still recovering from the blows of the massive financial crisis that began in 2008; relations with the prosperous northeastern region of Catalonia, which tried to break away from Spain in 2017, still tense; and far-right populism looming on the horizon.

Leading the pack in the run-up to the vote is the Spanish Socialist Workers’ Party (PSOE), fronted by current Prime Minister Pedro Sánchez. It was only last June that the PSOE, Spain’s oldest active party, came to power as a result of a surprise vote of no confidence against the government of Mariano Rajoy of the conservative People’s Party (PP). The vote, which was triggered by corruption charges that reached deep into the PP and the Rajoy administration, spelled an end to the PP’s six years in power.

Once in office, Sánchez had expected to be able to wait a few years before facing the voters himself. He was forced to call for early elections, though, when Catalan parliamentarians, who had previously supported Rajoy’s ouster, joined right-wing opposition parties to defeat Sánchez’s 2019 national budget. The separatists were retaliating against Sánchez for his refusal to support a referendum on Catalan independence. But their vote against the budget still came as a surprise. Unlike Rajoy, Sánchez had opened a dialogue with the Catalan separatists and had included in his 2019 budget proposal a large increase in public spending in Catalonia.

At the polls this month, the PSOE will face a battered PP. Rajoy’s dismissal—unprecedented in Spanish politics because of the constitution’s onerous conditions for removing a sitting prime minister—triggered a bitter power struggle. The eventual winner, Pablo Casado, a parliamentarian from the province of Ávila, has tried to keep the party together. But he has been dogged by a series of scandals involving his education, including false claims that he did postgraduate studies at Harvard University.

Also in the running are two political parties propelled to prominence by the financial crisis: the populist, leftist Podemos (We Can) and the center-right Ciudadanos (Citizens). Once seen as a real threat to the PSOE, Podemos lost its luster after its leaders were revealed to have profited from their personal ties to the Hugo Chávez regime in Venezuela. Ciudadanos, a party based in Catalonia but a fierce opponent of Catalan independence, has capitalized on Spaniards’ desire for national unity. It is now the largest party in the region and a formidable national player as well.

Finally, there’s Vox. A new far-right populist party, it is the wild card of the 2019 elections. Its emergence has challenged the popular notion that Spain’s long experience with authoritarianism under General Francisco Franco makes the country immune to right-wing populism. Vox advocates an extreme anti-immigrant agenda, which includes deporting all undocumented immigrants, banning the teaching of Islam in public schools, and building walls around Ceuta and Melilla, two Spanish enclaves in North Africa. This agenda won Vox 12 parliamentary seats in last December’s regional election in Andalusia, mainland Spain’s southernmost region and a point of entry for thousands of undocumented immigrants.

Although Vox’s opposition to immigration wins the party headlines, the real driver behind its growth is an upsurge in Spanish nationalism kicked off by Catalonia’s attempted secession. (These days, national flags drape the streets of all major Spanish cities, including Barcelona, the Catalan capital.) Vox advocates for rescinding Catalonia’s autonomy charter, which has been in place since the late 1970s, abolishing all traces of regional governance in Spain, and banning separatist parties. No other party embraces such extreme and likely unconstitutional measures, but they do hold considerable appeal among ordinary Spaniards who believe that Catalan separatists have held almost every aspect of Spanish politics hostage for two years.

El País, Spain’s newspaper of record, projects that the PSOE will win the elections with 28.6 percent of the vote, the PP will get 20.2 percent, Ciudadanos 15.8 percent, Podemos 13.5, and Vox 11. If those numbers are correct, neither a left-wing PSOE-Podemos bloc nor a right-wing PP-Ciudadanos-Vox bloc would garner enough seats to form a government. With this much political fragmentation, according to El País, “the parliamentary majority, the presidency, and the government are entirely up in the air.” It also enhances the political clout of a host of regional-nationalist parties whose political influence far surpasses their capacity to generate votes.

Leading regional-nationalist parties include the Basque Nationalist Party, Compromís (a coalition of parties from the Community of Valencia), and two Catalan parties: Together for Catalonia and the Republican Left of Catalonia (ERC). The last two parties are the leading forces behind the push for Catalan independence, including the 2017 referendum on Catalan independence, which the courts ruled unconstitutional, and the subsequent declaration of the Catalan Republic. The architects of the referendum are currently on trial in Madrid on charges of rebellion, sedition, and misuse of public funds, save for former Catalan President Carles Puigdemont, who fled to Belgium to escape prosecution.

A government propped up by either Vox or a separatist party would pose considerable peril to Spanish democracy. On the one hand, a bloc comprising PP, Ciudadanos, and Vox would mirror the current coalition that governs Andalusia. Initial fears that Vox would turn Andalusia into a cradle of far-right governance in Europe have not been realized, but Vox has tried to swing the region to the right in ominous ways. Included in its agreement to form a government with PP and Ciudadanos was a clause to rescind the 2007 Law of Historical Memory, the landmark law that provided reparations for the victims of the Spanish Civil War and Franco’s dictatorship; a plan to combat what it calls Islamic fundamentalism; and full enforcement of existing immigration laws. Beyond those, Vox has been campaigning nationally on rescinding laws protecting LGBT and women’s rights.

On the other hand, a coalition of PSOE, Podemos, and any number of regional-nationalist parties would essentially mean re-electing the coalition that ousted the PP from power last June. And that would be a prescription for continued political instability. After all, the current government lasted for less than a year. Catalan separatists have already put the PSOE on notice that they would expect the coalition to unambiguously commit to Catalan self-determination. Marta Vilalta, a spokesperson for ERC, has hinted that ERC support for the PSOE would be contingent on a “democratic solution” to the crisis in Catalonia. So far, the PSOE has shown no indication that it is prepared to give in to such demands.

Facing the unsavory prospects of a government influenced by a xenophobic party or one under constant threats by separatists, it is understandable that many Spaniards are praying for a political miracle: the emergence of a centrist coalition that brings together the leftist PSOE and the right-leaning Ciudadanos. Such a coalition would aim to end Catalan separatists’ stranglehold on politics and keep Vox well away from policymaking. Yet there’s no precedent for such an alliance in Spanish politics. And the hostility that the members of each party have shown for one another during the campaign suggests that a centrist coalition is very unlikely.

Amid all the uncertainty, the electoral campaign is in full swing. Sánchez is positioning himself as a liberal warrior. An avowed feminist, he is touting his record among OECD countries for highest proportion of women in his cabinet—65 percent. He also recently introduced legislation aimed at reducing the gender pay gap (which in Spain stands at 14.2 percent, lower than the European Union average of 16.2 percent), and at increasing parental leave by 2021. And he is sparing no effort to scare Spaniards about Vox, including by evoking the specter of Francoism. “The Fascists are coming” is a frequent rallying cry among the left.

Meanwhile, splintered into three separate political parties, the right appears to be too busy infighting to hit back. In fact, the split on the right could well be the Socialists’ trump card. Traditionally, Spain’s rural provinces, known as La España vacía (Empty Spain), since they include some of the least densely populated parts of Europe, are some of the biggest PP strongholds. And because of the peculiarities of Spain’s proportional system, they are overrepresented in the national parliament, the Cortes Generales. As reported by one study, “The 28 most sparsely populated constituencies have just 20 percent of the population but 30 percent of the seats in parliament—103 out of 350.” But this year, the three-way split within the right could make the PSOE the winner in many rural districts.

The outcome in Spain, the eurozone’s fourth-largest economy, will reverberate across Europe. The Socialists’ unexpected return to power in Madrid last summer was celebrated by liberals and progressives across Europe as a bright spot in an otherwise bleak landscape for European social-democratic parties—and perhaps even the onset of a social-democratic revival. Others saw it as a sign that the far-right populist wave, which had washed over countries as diverse as Britain, Poland, and Italy, was receding. If Sánchez manages to cling to power, a repeat of last June’s euphoria across Europe would be more than justified. If the right-wing opposition overwhelms him, Spain will become yet another casualty of the wave.

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMar 16 Avr - 18:24

Citation :



Espagne : La Marocaine Dina Bousselham au cœur d’un scandale politique


Ancien bras droit du président du parti espagnol d’extrême gauche Podemos, la jeune marocaine Dina Bousselham s’est retrouvée au cœur d’un scandale politique.



Le directeur du bureau de communication du palais de la Moncloa, Alberto Pozas, a démissionné ce lundi. Cette démission intervient suite au scandale qui a éclaté après la divulgation de plusieurs informations sensibles que contenait le téléphone de la Marocaine Dina Bousselham, rapporte le média Ok Diario.

L’affaire débute fin février lorsque l’ex-commissaire José Villajero -derrière les barreaux depuis 2017- a affirmé devant la Cour Suprême espagnole, qu'Alberto Pozas, qui à l’époque était directeur du magazine Interviú, lui avait remis en 2016, une clé USB contenant les données du téléphone de Dina Bousselham, ex-bras droit de Pablo Iglesias et actuelle secrétaire des migrations du parti politique Podemos.

Les informations partagées en interne entre les membres du parti s’étaient retrouvées à la une des principaux quotidiens espagnols. Le premier média a avoir évoqué le contenu du téléphone était El Confidencial en mars 2016. Suivront après plusieurs médias rapportant les propos désobligeants et parfois même les menaces proférées par le président du parti, Pablo Iglesias, en parlant de ces rivaux et certains journalistes espagnols.

Le juge de la Cour Suprême a ainsi estimé que les données du téléphone pourraient être intéressantes dans le cadre de l’enquête concernant les campagnes de financement du parti d’extrême gauche. Il décidera ainsi de conserver l’appareil, rapporte le site Ok Diario.

Au départ, un téléphone volé

Le téléphone en question aurait été volé fin novembre 2015 devant un centre commercial, rapporte le quotidien El Mundo ; les premières révélations ont suivi quelques mois après. Pourtant, ni Pablo Iglesias, ni Dina Bousselham n’avaient déposé plainte, souligne la même source. Ce n’est qu’après les déclarations de l’ex-commissaire que le président du parti a déclaré qu’il s’agissait d’une campagne orchestrée pour le discréditer, et ce à la veille des élections municipales.

Néanmoins, les théories et spéculations vont bon train dans les rédactions du pays ibérique. L’une d’elle est que la Marocaine, âgé de 28 ans, aurait exfiltré le contenu elle-même. Un journaliste du magazine Interviú qui a consulté le contenu du téléphone affirme que l’affaire est simplement une histoire de jalousie, alors que la jeune marocaine et Pablo Iglesias entretenaient une liaison.

Qui est Dina Bousselham ?

Dans un entretien accordé à Yabiladi en septembre 2018, la Marocaine était revenue sur ses débuts aux côtés du président de Podemos. Après des études en sciences politiques, elle a été contactée par son ancien professeur qui n’est autre que Pablo Iglesias. La jeune femme sera engagée en tant qu’assistante parlementaire lorsqu’il était député européen.

Une expérience enrichissante et qui l’a forgé, nous expliquait-elle. En 2015, Pablo Iglesias s’était présenté aux élections, tout le cabinet s’est délocalisé de nouveau à Madrid. La jeune politologue, qui restera dans son cabinet, grimpera les échelons très rapidement pour occuper actuellement le poste de secrétaire de la communication du parti politique dans la capitale et chapeaute le sujet des migrations dans la communauté de Madrid.

De plus en plus au premier plan, Dina Bousselham faisait ces derniers mois le tour des plateaux télévisés et des conférences, notamment autour de la question du Sahara Occidental. Dans la ligne du parti, la Marocaine a exprimé plus d’une fois son soutien à «l’autodétermination du peuple sahraoui (…) pour qui son parti sera le porte-voix s’il parvient à remporter les élections, afin que la question soit résolue de manière juste et digne».



...Suite : https://www.yabiladi.com/articles/details/77161/espagne-marocaine-dina-bousselham-coeur.html


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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMar 16 Avr - 19:21

Harkia touchée par la malédiction des Chorfas Laughing

Pour qui elle se prend za3ma auto machin... Qu'elle aille se racheter une dignité avant de vouloir faire sa harkia !!!

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMar 16 Avr - 21:31

Allah i n3el dine li ma i hchem, harkia de m**** Evil or Very Mad bien fait pour sa gueule, tu vends ton pays pour pas cher en plus tangeroise même pas du sahara. Je l'a croise je lui crache a la gueule, je ne l'a connaissait même pas cette traître.

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMar 16 Avr - 22:08

maintient elle est bien baisée recto verso
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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMar 16 Avr - 22:11

pourquoi ils disent marocaine, c'est une espagnole ce n'est plus une marocaine

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeLun 25 Nov - 20:44

Citation :
Un submersible servant à transporter de la drogue a été repéré par la Guardia civil espagnole

par Laurent Lagneau · 25 novembre 2019


Actualités Espagnoles - Page 8 _12f3a41

Les images diffusées en juillet dernier par l’US Coast Guard étaient assez impressionnantes : elles montraient l’arraisonnement d’un submersible, au profil relativement élaboré, utilisé par les narco-trafiquants sud-américains pour acheminer de la drogue aux États-Unis.

Repéré dans le Pacifique lors d’une reconnaissance aérienne malgré sa peinture bleue censée le rendre plus discret, ce submersible transportait pas moins de 18 tonnes de cocaïne et 420 kg de marijuana. Il était mis en oeuvre par un équipage de 5 hommes.

Jusqu’alors, les narco-trafiquants utilisaient des submersibles beaucoup moins imposants. Plusieurs avaient d’ailleurs été interceptés par les forces navales colombiennes et mexicaines au cours de ces dernières années. Généralement, ils naviguaient avec un bateau-mère à proximité, ce qui limitaient les risques.

Cela étant, les cartels de la drogue avaient visiblement des plans plus ambitieux. En 2000, la police colombienne avait mis la main sur un sous-marin encore en construction, qui devait mesurer 25 mètres de long et être capable de plonger à 100 mètres de profondeur et ayant une autonomie de 3.000 nautiques.

Quoi qu’il en soit, et selon des chiffres données par CNN, les gardes-côtes américains n’intercepteraient que 11% des submersibles mis en oeuvre par les narcotrafiquants pour transporter leur drogue aux États-Unis.

Ce phénomène va-t-il concerner bientôt l’Europe? Aussi surprenant que cela puisse paraître, au regard des distances en jeu, ce n’est pas exclu, à en juger par la découverte que viennent de faire la Guardia civil et la police espagnole à Cangas, en Galice, près de la frontière portugaise.

Ainsi, dans la nuit du 23 au 24 novembre, un submersible soupçonné d’avoir traversé l’Atlantique a été détecté qu’il approchait des côtes galiciennes. L’intervention des forces de sécurité espagnoles a permis d’interpeller deux individus mais un troisième a cependant réussi à prendre la fuite. Cependant, l’équipage a réussi à saborder le navire qui, selon les chiffres avancés par les autorités locales, mesure une vingtaine de mètres et contiendrait au moins 3 tonnes de cocaïne à bord.

Le Groupe spécial d’activités subaquatiques de la Guardia civil a été mobilisé pour renflouer ce submersible. D’après le quotidien El Periodico, il serait parti du Surinam, du Guyana voire de l’embouchure de l’Orenoque [Venezuela]. Mais la marchandise qu’il transportait serait bien d’origine colombienne.

Des « sources ont indiqué que le but [du submersible] était de transférer la drogue sur un autre navire. Une opération que l’équipage n’avait pas encore effectuée, ce qui explique vraisemblable la raison pour laquelle il a décidé de saborder le sous-marin et de s’échapper », avance La Razon.

A priori, c’est la première fois, en Europe, que des narco-trafiquants se font prendre la main dans le sac en usant d’un tel procédé. En 2006, un sous-marin de fabrication artisanal avait cependant été découvert, abandonné, par la Guardia civil à Punta Borneira. Mais les recherches à bord n’avaient pas permis de trouver la moindre trace de drogue. Va-t-il falloir songer à doter les frégates de surveillance et les patrouilleurs Antilles-Guyane de sonars de coque?

Photo : Submersible utilisé par les narco-trafiquants (c) Marine colombienne – Archive

http://www.opex360.com/2019/11/25/un-submersible-servant-a-transporter-de-la-drogue-a-ete-repere-par-la-guardia-civil-espagnole/
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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeVen 21 Fév - 18:49

Citation :
L’Espagne et l’Algérie ont un désaccord au sujet de leur frontière maritime

par Laurent Lagneau · 21 février 2020


Actualités Espagnoles - Page 8 _12f2243

En avril 2018, l’Algérie a adopté un décret ayant modifié ses frontières maritimes près de l’archipel espagnol des Baléares. Or, d’après le quotidien El Pais, le nouveau tracé concernerait les eaux entourant l’île de la Cabrera, située à une dizaine de kilomètres au sud de Majorque. Qui plus est, Alger n’avait pas averti Madrid des intentions.

Ce décret était jusqu’alors passé pratiquement inaperçu… Mais le gouvernement des îles Baléares a récemment demandé à Madrid de « clarifier » la situation, étant donné, avec cette décision prise unilatéralement par Alger, la zone économique algérienne engloberait une partie des eaux du Parc national de Cabrera.

D’ailleurs, sur ce point, le ministre de l’Environnement du gouvernement régional, Miquel Mir, soupçonne les autorités algériennes de chercher à ouvrir la voie à de futurs projets de prospection d’hydrocarbures dans cette zone protégée. En clair, le décret en question aurait été inspiré par la société algérienne Sonatrach [Société d’état pour la recherche, l’exploitation et la commercialisation d’hydrocarbures].

Actuellement, dans cet espace, seules sont autorisées les campagnes de prospections à vocation scientifique. À ce titre, le gouvernement régional a accordé une licence à l’institut italien INOGS [Instituto Nazionale di Oceanografia e di Geofisica Sperimentale]. D’où l’hypothèse sous-entendue par certains que cet organisme aurait cédé le résultat de ses recherches à la Sonatrach. Ce qui expliquerait la décision d’Alger.

Quoi qu’il en soit, la ministre espagnole des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya, a souligné, ce 20 février, que « quand tes eaux territoriales chevauchent celles de ton voisin, cela doit donner lieu à négociation, et dans la pratique, ces négociations durent très très longtemps. »

Pour le moment, Madrid n’a fait qu’exprimer son désaccord sur le nouveau tracé des frontières maritimes algériennes. « Ce que nous avons fait est d’exprimer notre désaccord (pour) obliger l’autre partie à démarrer une négociation. Et cette négociation, depuis 2018, n’a pas eu lieu », a en effet expliqué la cheffe de la diplomatie espagnole.

Cela étant, cette dernière évoquera ce dossier avec son homologue algérien à l’occasion d’une visite à Alger, 26 février prochain. Les discussions risquent de s’éterniser… Et sachant que l’approvisionnement de l’Espagne en gaz naturel dépend à 50% de l’Algérie, les autorités algériennes auront sans doute quelques arguments à faire valoir.

Par ailleurs, l’Espagne discute également de ses frontières maritimes avec le Maroc. Ce dossier a, par le passé, suscité des tensions entre les deux pays. Lors d’une visite de Mme Gonzalez à Rabat, en janvier dernier, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, avait assuré qu’il « n’y aurait pas de politique du fait accompli ou de décision unilatérale » sur ce sujet. Son homologue espagnole avait quant à elle rappelé que le Maroc avait « le droit de délimiter sa zone maritime internationale » mais à condition de le faire « en accord avec l’autre pays et en respectant les règles et normes de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer. »

En 2002, les tensions entre Madrid et Rabat avait été vives au sujet de l’îlot [espagnol] inhabité de Persil, situé à 250 mètres des côtes marocaines et à 8 kilomètres de la ville espagnole de Ceuta. En juillet de cette année-là, l’armée marocaine y avait envoyé 6 soldats pour y mettre en place un avant-poste. L’Espagne y avait envoyé ses forces spéciales [Grupos de operaciones especiales] y avaient pour y rétablir la souveraineté.

http://www.opex360.com/2020/02/21/lespagne-et-lalgerie-ont-un-desaccord-au-sujet-de-leur-frontiere-maritime/
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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeDim 25 Oct - 14:36

Sil les nôtres les suivent se serait une catastrophe... Déjà je vois plein de petits commerçants et de petits métiers de mon quartier, demander l’aumône... une autre fermeture générale serait une explosion...

MAP a écrit:

L’Espagne décrète un nouvel état d’alerte de 15 jours, prorogeable pour six mois


dimanche, 25 octobre, 2020 à 14:34

Madrid – L’Espagne a décrété dimanche un nouvel état d’alerte de 15 jours, régime d’exception correspondant à un état d’urgence sanitaire, suite à la propagation alarmante du nouveau coronavirus dans le pays.

Cette mesure, qui entrera en vigueur cet après-midi, a été adoptée lors d’un Conseil des ministres extraordinaire tenu sous la présidence du chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez.

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeLun 23 Nov - 23:06

Le Roi Felipe VI placé en quarantaine...

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeJeu 7 Jan - 19:41

L'autre junte.... à la différence de l'algérienne.. celle-ci sait se maquiller ....

Foreign Policy a écrit:

Spain’s Military Has No Time for Democracy

Retired officers nostalgic for the Franco dictatorship are denouncing the country’s elected government. King Felipe should condemn these anti-democratic forces just as his father did in 1981.



Actualités Espagnoles - Page 8 King-f10

At the end of November, retired members of Spain’s military sent two letters directly to the country’s King Felipe VI, expressing concerns about the “social-communist” government in Madrid and the danger it poses—or so they said—to Spanish unity. In these emotional missives—one signed by 73 formerly senior army officers, the other by 39 retired air force officers—the retirees address the monarch explicitly as head of the armed forces, and pledge their allegiance to the “homeland,” the “national cohesion” of which, they claim, has been weakened by the minority government led by Socialist Prime Minister Pedro Sánchez.

These extraordinary letters were followed by a manifesto along similar lines, published on Dec. 6, the day on which Spaniards approved their 1978 Constitution in a national referendum. This one described Spain’s Socialist-led government as “a serious risk to the unity of Spain and its constitutional order,” and was signed by more than 400 former members of the Spanish military, as well as by one of former dictator Francisco Franco’s grandsons.

The outrage expressed in these documents was sparked by the deal that Sánchez cut in November with leftist, pro-independence groups from the Basque Country and Catalonia, in return for their votes for the 2021 budget. The irony, of course, is that historically, Spain’s unity and constitutional integrity has not been damaged or threatened by cross-party compromise, but rather by the military’s intervention in its politics.

For all but the most reactionary elements of Spain’s political class and military, these letters constitute an unpleasant reminder of the past. In July 1936, an armed rebellion led by Gen. Francisco Franco was launched against the Popular Front government, a leftist coalition of Socialists and communists that had won the general election in February that year. After three years of brutal civil war, Franco’s forces triumphed over the Republicans in 1939, replacing the elected government with a military dictatorship that lasted for the next four decades.

Ominously, the vision hinted at in the letters recently sent to the royal household and the open statement—of the military and monarchy standing united against Spain’s imperfect yet democratically elected government—sounds similar to that which inspired Franco’s rebellion 84 years ago.

Cross-party bartering is unavoidable in modern Spanish politics, especially for Sánchez’s minority coalition, which holds just 155 of the 350 seats in Congress (the Socialists have 120, Podemos 35). That said, the Socialist leader has ventured far from the center to secure sufficient support for his 2021 budget; in doing so, he’s made kingmakers of parties more accustomed to acting in the murky shadows of mainstream politics (the Republican Left of Catalonia, known as ERC, and the Basque EH Bildu occupy just 13 and 5 seats in congress, respectively).

In 1997, the current leader of EH Bildu, Arnaldo Otegi, took the helm of a leftist Basque pro-independence group called Herri Batasuna. Renamed Batasuna in 2001, it was banned by Spain’s Constitutional Court two years later for acting as the political wing of ETA, a radical group that committed bombings, kidnappings, and murders in its pursuit of an independent Basque Country.

Otegi’s attempt to restart Batasuna in 2009 earned him a 10-year jail sentence, which was reduced to six-and-a-half years by Spain’s Supreme Court in 2012. In the 1980s, the former ETA member also served half of a six-year term for his role in kidnapping Basque businessman Luis Abaitua.

The ERC is equally passionate about Catalan independence, but unlike ETA, it has never resorted to bombs or kidnapping in its quest for a Republic of Catalonia (although there were violent protests in Barcelona in the wake of the 2017 referendum). Oriol Junqueras, Catalonia’s former vice president, currently leads the party from jail after receiving a 13-year sentence for his role in organizing the region’s failed breakaway bid of October 2017. Along with then-Catalan president Carles Puigdemont, Junqueras orchestrated an independence referendum that was declared illegal in advance by Spain’s Constitutional Court, in which 90 percent of the 43 percent of voters who turned out voted for Catalan secession. As well as Junqueras, eight other Catalan separatists are doing time for arranging the vote, and for the unilateral declaration of independence that followed. Puigdemont fled to Belgium to avoid the same fate, where he’s remained ever since.

Sánchez’s budget deal is far too generous, especially to the ERC, which has secured more funding for Catalonia—the wealthiest region in Spain—and a tweaking of tax laws in Barcelona’s favor. But his budgetary wrangling with these parties in no way implies sympathy with their separatist tendencies.

Sánchez has repeatedly stated his opposition to Catalan secessionism and, when the Supreme Court sentenced Junqueras and others in October 2019, he described it as the culmination of an “exemplary legal process.” ETA isn’t around to condemn anymore (it disarmed in 2017 and dissolved in 2018), but the Socialist Party’s leaders have always deplored its violence—so much so, in fact, that one wonders whether one of Sánchez’s predecessors would object to his deal with Otegi. After an ETA car bomb exploded in Madrid in 2005 and injured 42 people, then-Socialist Prime Minister José Zapatero declared that the group had “no place in politics or civil society.”

Nevertheless, it’s hard to think of two parties—except for leftist Podemos, the Socialists’ junior partner in government—more likely to trigger the grumbling of Spain’s royalist old guard. The letters’ signatories appear nostalgic for the time when anti-establishment ideologies could be eradicated by force, and when the Socialists and Conservative Popular Party easily swapped power back and forth, without having to pander to secessionists or radicals. (After all, separatist and independent parties of any stripe were illegal during Franco’s dictatorship.)

This isn’t the first time since the Civil War that Spain’s military has intervened in, or at least expressed strong opinions on, the country’s territorial and constitutional disputes. In early 2006, José Mena Aguado, a lieutenant general in the Spanish army, shed his political neutrality and criticized a proposed Catalan Statute of Autonomy, which sought to augment the northeasterly region’s self-governance by modifying a similar statute from 1979. Among the more controversial additions was the definition of Catalonia as a “nation” in the document’s introduction.

Reactionary branches of the military, as well as the Conservative People’s Party, were incensed, claiming that the proposed statute was flagrantly anti-constitutional (the PP was the only force to oppose the statute in the national congress). Aguado was placed under house arrest for declaring that, if it was passed, he’d have no choice but to activate Article 8 of the 1978 Spanish Constitution, which states that the armed forces are responsible for defending Spain’s “territorial integrity” and “constitutional order.”

Back in 2006, the new autonomy statute seemed to be a bigger deal for Aguado than it did for Catalans. When it was put to a referendum in June 2006, not even half of the regional population participated, although, of those that did, 74 percent voted in favor. The 2006 Statute aroused far greater interest four years later, when Spain’s Constitutional Court did what the military had wanted to do and effectively tore it up. The Court declared that the opening definition of Catalonia as a “nation” had no legal significance, rewrote 14 of its laws, and heavily modified a further 27. In response, one million people protested on the streets of Barcelona.

One imagines that the authors of the letters recently sent to Felipe also interpret this section of the Constitution in the same way—as justifying unilateral action by a military that’s supposed to be politically neutral. If any current member of Spain’s armed forces were to act on this interpretation, though, one hopes they would face legal sanctions at least as tough, if not tougher, than those imposed upon the Catalan separatists responsible for 2017’s referendum.

Aguado, clearly, still feels the same way about the Catalonia issue: Now retired, he added his signature to the manifesto published on Constitution Day. He, nor any other of the signatories of the letters or the open statement, face any legal sanctions for signing the documents, precisely because their retired status negates their obligation to be politically neutral. Spain’s chief of defense staff has said that, as such, their words should be read as expressing personal opinions that in no way represent “the collective to which they once belonged.”

The same goes for the retired air force officials who recently talked of “executing 26 million sons of bitches” in a WhatsApp group chat, in a reference to Catalan separatists (they also signed the letter to Felipe). Spain’s defense minister Margarita Robles isn’t so sure about their lack of legal culpability, though, and has sent details of the conversation to public prosecutors to determine whether a crime was committed.

Separatist tensions also played a part in the most notorious intervention in Spanish politics by the country’s military since the Civil War. In 1981, after six years of burgeoning democracy, military officers attempted a coup against the coalition government, which was struggling to contain hostilities in the Basque Country. In early February of that year, ETA murdered a kidnapped engineer and, a week later, one of its members was tortured and killed by police in Madrid. These two violent deaths proved a flashpoint, and on Feb. 23, 200 armed Civil Guard soldiers stormed Congress (one of them, Commander Ricardo Zancada, was among the 400 signatories of the anti-government manifesto of Dec. 6. He received a 12-year jail sentence for his role in the coup).

The captors held the assembled deputies hostage for almost a day, during which time King Juan Carlos I made a televised speech urging respect for democracy and the rule of law (a much-lauded intervention which has recently been overshadowed by fraud allegations against the former monarch). After 18 hours of high drama, some of it shown on live TV, the rebels surrendered without killing anyone.

Juan Carlos’s son Felipe made a similar appeal to the nation in the fall of 2017, in response to the escalating situation in Catalonia. It was an unprecedented excursion into politics for a usually low-key monarch, and one which may have led the retired generals to believe that he shares their concerns about the deterioration of national unity. Yet they are surely mistaken in thinking that Juan Carlos’s son would sanction any sort of armed uprising against Sánchez’s government, even if it is led by Socialists and reliant on radical secessionists to pass a budget.

An armed intervention, of course, has not been explicitly called for by the recent letters’ signatories, who, in any case, are no longer active members of Spain’s armed forces; but if another were attempted, it would deserve Felipe’s condemnation, not his encouragement—just as 1981’s assault on democracy deserved his father’s severest criticism.

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeJeu 7 Jan - 19:58

Merci pour le partage. La catalogne sera leur cryptonite Smile à mesure de l'effritement européen, l'Espagne pourrait se voir disloquer à moins d'un retour à la dictature et la guerre civil !

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeVen 8 Jan - 6:29

A part les gentils, j'ai vu des photos prohibée ou le soldat satanas espagnol ne fesait pas de différence entre marocain et marocaines, une vraie haine... eux et leur berger allemand comme alliés.
Pourtant le Portugal avait prévenu l'Espagne avant de s'attaquer militairement contre son ancien colon. J'ai un livre qui date de cette époque , il commence à s'abîme a cause de son âge.
Mais Abdelkrim était bien parti pour développer le Rif amazigh.... mais lui est son père se sont fait humilier par un général raciste, ou il a flanqué des gifles et de le viré de son bureau a coup de pied au rectum puis jeter en prison comme une merde.
A la même façon que Tariq Ben Zyad Al Barbary ,a débarqué, Franco a fait la même chose.
Mais l'Espagne a été la prostituée du Maroc et du Français.ont s'est bien moqué.

Même des espagnol loyaux le reconnais sans complexe.
Mais il y encore une poignée de vieux vicieux entrain de disparaitre 2020... Place au NG.
Je ne sais pas pourquoi tout les espagnols que j'ai croisé m'ont jalouse mais une peur le paralysé comme une arnaque..sauf 2 policier avec qui j'ai de bons souvenirs..
L'affaire de perejil a commencé par des groupes de skinhead qui chassé les Bouzebal de chez nous, slaves or debt, lors des ébullition d'El ejido, ils préfèrent les immigrés est européen que arabe. Mais heureusement que la police et guardia civil ont déplacer les marocains derrière une montagne pour les protéger.pdt que les sauvages se sont acharné sur la commmunote maghrébine..
Jamais ils auraient osez faire ça au maghrébin de France... heureusement que je connais leur langue et leur histoire, plus raciste qu'un Maroc1 tu trouveras pas, royalement raciste.. sans haine.
Les Portugal sont très croyant comme nous, ils croient aux don et miracle, ils aimeraient bcp H2 ...pdt le feuilleton perejil.les italien et algériens était pro espagnol, mais Portugal et France pro 🇲🇦
Bref je pense que la touche atocha leur a servi de leçon.
Je trouve cela dommage je pensais que l'Espagne et le Maroc était demi frère..
Mais c'est plutôt le Portugal.

Mais ont a un héritage culturel et très intéressant, que c'est bougnoules de l'est ou du sud... entre Portugal,Espagne, Maroc.
Attention le roi espagnol et innocent.
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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeDim 17 Jan - 21:27

Un article espagnol qui parle des rapports de force espagne-algérie :
https://www.alertadigital.com/2021/01/17/argelia-una-amenaza-para-espana/

Une traduction :
Citation :


Les yeux des quelques Espagnols ayant une certaine conscience de la défense sont principalement tournés vers le sud, vers une monarchie musulmane avec laquelle notre pays a plusieurs litiges territoriaux sur les lieux de souveraineté en Afrique du Nord et les eaux entourant l'archipel des Canaries ; qui n'hésite pas à recourir à quelque chose qui ressemble à du chantage dans ses relations extérieures avec Madrid ; et qui se réarme à bon rythme grâce à un financement saoudien.

Mais un peu plus à l'est, une autre nation arabe de tradition socialiste est en tête des dépenses militaires en Afrique du Nord, triplant les dépenses du Maroc et doublant celles de l'Egypte, considérée comme la grande puissance régionale. Ce pays, c'est l'Algérie. Et bien que beaucoup la considèrent comme une nation éloignée, loin de tout intérêt ou préoccupation pour l'Espagne - malgré le fait qu'elle ait servi de refuge et de camp d'entraînement à l'ETA dans les années 80 -, peut-être ce fait les fait-il réfléchir : entre le cap de Gata (sud-est de l'Espagne) et le cap Fígalo (nord-est de l'Algérie), il y a à peine 160 km.

De notre pays, la République algérienne démocratique et populaire n'est pas considérée comme un ennemi potentiel. Nous avons un accord de bon voisinage en vigueur depuis 2002, nous sommes son troisième client le plus important (principalement des hydrocarbures) : Alger est notre principal fournisseur de gaz naturel grâce à deux gazoducs qui traversent la Méditerranée) et sa course à l'armement semble avoir plusieurs objectifs clairs : dissuader le Maroc, lutter contre l'insurrection et contrôler son vaste territoire et ses frontières chaudes avec les nations sahariennes et la troublée Libye.

Ces objectifs expliquent peut-être pourquoi l'Algérie possède la force de chars la plus performante en Méditerranée, avec 1400 unités, dont 500 sont des T-90 modernes acquis ces dernières années auprès de la Fédération de Russie. Elle pourrait même justifier l'achat, en 2016, de 42 puissants hélicoptères d'attaque Mi-28 pour compléter ses Mi-24 modernisés, qui peuvent être utilisés pour assurer la réalisation de ces objectifs.

Mais l'Algérie a également incorporé une autre série de systèmes qui semblerait impliquer que le pays nord-africain entend, à son échelle, imiter la stratégie anti-accès et de refus de zone (A2/AD) suivie par Pékin et Moscou. Une stratégie basée sur l'acquisition de systèmes de défense aérienne avancés ; une force sous-marine importante et préparée et une aviation moderne et performante qui empêche la libre utilisation de l'espace aérien et maritime par les nations adverses.

Un rapide tour de la base de données SIPRI révèle qu'au cours des vingt dernières années, l'armée de l'air algérienne s'est équipée de 57 Su-30 MKA (elle s'attend à en recevoir 16 de plus) et a modernisé ses 46 Mig-29, tout en maintenant en service l'intercepteur Mig-25. Sa défense aérienne a acquis le système S-300 PMU-2 - très redouté à l'Ouest - et le fameux - et en même temps remis en question - système automoteur Pantsir.

Sa marine est passée, en 10 ans, de 2 à 6 sous-marins Kilo. Les quatre derniers, sur les 636 standard, sont capables de lancer des missiles de croisière Kalibr, d'une portée estimée à 300 km. Mais en outre, sa force de surface, composée jusqu'à il y a une dizaine d'années de navires russes vétérans des classes Nanuchka et Koni (et de quelques patrouilleurs lance-missiles de la classe Osa), dispose maintenant de deux frégates Meko A200 de construction allemande, de trois corvettes chinoises de classe C-28 (armées du missile antinavire C-802) et attend de recevoir, au cours de cette année 2021, trois autres corvettes de la classe Steregushchiy. La cerise sur le gâteau est un LPD commandé à l'Italie en 2011 et une flotte d'hélicoptères modernisée et équipée des versions les plus récentes du Lynx et du EH-101.

Comme si tout cela ne suffisait pas à inquiéter, le pays nord-africain semble être le client de quatre lanceurs 9P78 du système Iskander, un système de missiles classé "balistique à moyenne portée", d'une portée allant jusqu'à 500 km, d'une charge explosive pouvant atteindre 700 kg et d'une vitesse cinq fois supérieure à celle du son. Bien positionnés au Cap Figalus, ils seraient capables de menacer tout le secteur sud-est de notre territoire national.

Ces acquisitions font-elles partie de la stratégie d'Alger contre Rabat ? Peut-être. Mais la réalité est que, à 200 km au sud de notre côte sud, les forces armées algériennes sont en train d'acquérir des capacités auxquelles nous ne sommes pas encore en mesure de répondre.

Tout cela se passe dans un pays qui, bien qu'il ait résisté aux effets de la première vague de protestations sous le couvert du Printemps arabe, est plongé dans un processus de renouveau politique depuis que les protestations populaires - soutenues par des secteurs des forces armées - ont forcé la démission du président Bouteflika, qui a gouverné le pays nord-africain d'une main de fer jusqu'en 2019.

Entouré d'États en déliquescence ou de situations de sécurité intérieure très complexes, l'arsenal algérien pourrait devenir une menace pour l'Espagne s'il tombait entre de mauvaises mains au cas où - hypothétique, mais nullement impensable - la fragile stabilité du pays nord-africain se détériorerait. Et si tel était le cas, notre pays ne dispose pas d'une capacité anti-sous-marine adéquate, il n'a pas les moyens nécessaires (surtout en quantité) pour garantir la supériorité aérienne, ni la capacité de détruire ou de supprimer (DEAD/SEAD) la puissante défense aérienne de l'Algérie.

Ce sont peut-être ces faiblesses de notre part qui enhardiront ce pays, que nous considérons officiellement comme ami - mais qui se voit en position de force - à étendre unilatéralement ses eaux pour qu'elles recouvrent celles du parc national de Cabrera en février 2020.

La réalité est que notre flanc sud, le Maroc et l'Algérie, connaît une course à l'armement notable. Dans le même temps, nos forces armées enchaînent plusieurs années d'investissements rares (ou mal conçus et inefficaces), ce qui a entraîné la perte de capacités, bref la perte d'une position de supériorité militaire permettant de dissuader ou, si nécessaire, de défendre nos intérêts contre toute menace ou agression.
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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMer 20 Jan - 22:35

https://fr.hespress.com/185933-explosion-a-madrid-3-morts-et-plusieurs-blesses-selon-le-dernier-bilan.html?fbclid=IwAR0PYVW1k1tboCYE_lJp0qQ01JYjmYFGhui7ThL7M4tW1G97RVjFeLmqdK8 a écrit:

RIP aux victimes

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeSam 23 Jan - 18:56

https://fr.le360.ma/monde/espagne-le-chef-detat-major-de-larmee-demissionne-pour-setre-fait-vacciner-trop-tot-232034 a écrit:


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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeSam 23 Jan - 19:03

Comme quoi meme apres 35 ans d'Union Européenne, ca reste au fond des Kholotos

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeLun 25 Jan - 18:52

Econostrum a écrit:

Gibraltar, le rocher méditerranéen grain de sable du Brexit

Malgré la signature, la veille de Noël, d'un pavé de près de 1 300 pages fixant les relations post-Brexit entre la Grande-Bretagne et l'Union européenne, la question de Gibraltar n'a pas encore été totalement tranchée. Elle ne le sera qu'après des négociations bilatérales entre Londres et Madrid. En attendant, la libre-circulation des personnes entre ce territoire jugé non autonome par l'Onu et l'Espagne n'est pas remise en cause. Gibraltar devrait même bénéficier du statut Schengen dans six mois.


Au milieu de la mer tourmentée des nouvelles relations entre l'Union européenne et le Royaume-Uni, un rocher continue d'émerger, Gibraltar. Distant de seulement 14 kilomètres du Maroc, et visible des côtes de Tanger, ce territoire de 5,8 km² partage une frontière avec l'Espagne et la ville andalouse de La Linea de la Concepcion.

Voici deux ans, Madrid exigeait l'ouverture de discussions bilatérales sur le futur statut de Gibraltar avec la Grande-Bretagne. L'Espagne conditionnait même son paraphe du "traité de retrait" à un retour de sa souveraineté sur ce territoire. "J'ai le regret de dire qu'un gouvernement pro-européen comme celui de l'Espagne votera, s'il n'y a pas de changement, non au Brexit", menaçait, mardi 20 novembre 2018, Pedro Sanchez, président du gouvernement espagnol.
 
Le 26 novembre 2018, Madrid acceptait finalement de voter "oui" à cet accord. Pedro Sanchez s'empressait de jubiler : "je viens d'annoncer au roi que l'Espagne est parvenue à un accord sur Gibraltar (...) Nous allons résoudre un conflit qui dure depuis plus de 300 ans." Il fanfaronnait même : "Nous perdons tous avec le Brexit, en particulier le Royaume-Uni, mais en ce qui concerne Gibraltar, l'Espagne gagne." Une version contestée par son homologue de la Perfide Albion, Theresa May, pour qui "Gibraltar est britannique."

Un grain de sable dans l'immensité du chantier du Brexit

Les ressortissants du Rocher avaient déjà en novembre 2002, lors d'un référendum, rejeté à 98,97% toute souveraineté partagée entre la Grande-Bretagne et l'Espagne. En remontant plus loin, au début de la "question de Gibraltar" en septembre 1967, seuls quarante-quatre électeurs sur 12 182 s'étaient prononcés favorablement pour une annexion par l'Espagne.

Le rocher ne constitue qu'un minuscule grain de sable dans l'immensité du chantier du Brexit. A tel point que l'acte de divorce signé, la garde de Gibraltar reste toujours à fixer. Le 31 décembre 2020, un accord de principe entre Madrid et Londres, permet de maintenir une libre circulation des personnes entre l'Espagne et Gibraltar. Il n'est que provisoire. Le sort du rocher ne sera véritablement entériné qu'après la signature d'un accord cadre entre les deux capitales.  

Les Gibraltariennes et les Gibraltariens, quelque 33 700 âmes, ont voté à 95,9 % contre le Brexit lors du référendum de juin 2016, avec un taux de participation de 83,6%. À ces habitants, il convient d'ajouter environ 10 000 Espagnols qui franchissent au quotidien la frontière d'une longueur de 1,2 km² pour travailler ou faire du shopping (alcool, carburants, tabacs...). Difficilement à certaines époques, comme en 2017 avec le renforcement des contrôles. "L'Espagne a toujours utilisé les files d'attente comme une arme politique contre Gibraltar, depuis le premier jour de l'ouverture de la frontière", se plaignait, à l'époque, Joseph Garcia, chef adjoint du gouvernement local. À l'époque franquiste, une grille de fer a séparé, durant dix-neuf ans, le rocher du reste du continent. La frontière terrestre a rouvert en 1985, favorisant le tourisme et le commerce.

Un statut ambigu
 
Gibraltar figure, depuis 1946, sur la liste officielle de l'Onu des territoires non autonomes, ceux dont "les populations ne s'administrent pas encore complètement elles-mêmes", selon les termes onusiens. Au même titre que le Sahara occidental. Il est le seul sur le continent européen à y apparaître.
 
Désigné comme territoire britannique d'outre-mer par le Royaume-uni, il est administré par un gouverneur Lieutenant général, Edward Davis, disposant de compétences sur la Défense, les Affaires étrangères, la sécurité intérieure et les questions économiques. Un ministre en chef (Chief Minister), Fabian Picardo, gère toutes les autres tâches avec son gouvernement. Un parlement de dix-sept membres vote les lois. La reine Élisabeth II est son chef d’État.




Une frontière terrestre bientôt Schengen

Gibraltar deviendra durant l'été 2021 le seul territoire britannique membre de Schengen (dont il ne fait pas partie actuellement). Malgré le Brexit, les Espagnols, comme les autres membres de l'Union européenne, franchissant la frontière baptisée la Verja, n'auront toujours pas besoin de montrer leur passeport. Mais, les passagers en provenance d'un aéroport britannique devront présenter le fameux sésame, puisque le Royaume-Uni ne fait pas partie de cet espace de libre échange.

"Nous sommes parvenus à un accord de principe sur Gibraltar. Il nous permettra de supprimer les barrières et d'évoluer vers une zone de prospérité partagée", souligne Pedro Sanchez. Le statut sera revu d'ici quatre ans avec une nouvelle consultation entre Britanniques et Espagnols comprenant un enjeu de taille : qui exercera les contrôles douaniers à l'aéroport de Gibraltar ? Transitoirement, les agents de Frontex, l'agence européenne de garde-frontières et garde-côte, s'acquittent de cette tâche depuis le 1er janvier 2021. Ils doivent cependant rendre des comptes aux autorités espagnoles. Une façon de ménager la chèvre et le chou face à l'opposition des Britanniques à laisser la police espagnole exercer cette mission.
 
En attendant, des mesures restrictives s'appliquent. A quelques exceptions près, il n'est plus possible d'amener de la viande, du poisson (sauf si frais et éviscéré), des coquillages, du lait ou des produits laitiers sur le sol espagnol à partir de Gibraltar. A l'inverse, le le gouvernement local de Gibraltar admet que "les personnes pourront continuer à faire leurs courses dans les supermarchés espagnols et à faire entrer ces produits à Gibraltar après avoir quitté l'Espagne par La Linea de la Concepcion, comme c'est le cas actuellement".

Une économie européano-dépendante

Gibraltar réalise un PIB de 2,34 milliards de livres de Gibraltar (2,6 mrds€), réalisé à 100% dans le secteur des services.

Son économie repose sur quatre piliers : les services financiers (20% du PIB), le tourisme (notamment shopping), les services maritimes et le secteur des jeux en ligne et autres paris (un quart du PIB total). Au 31 décembre 2018, les banques implantées à Gibraltar détenaient 9,1 mrds€ d'avoirs. Sur les onze institutions de crédit autorisées, huit sont des branches ou des filiales de banques internationales, deux sont locales et une dépend d'une entreprise britannique. Le territoire compte cinquante-huit compagnies d'assurances et trente-neuf intermédiaires en courtage. Depuis novembre 2014, Gibraltar dispose de sa propre bourse.

Le territoire bénéficie d'un régime fiscal spécifique défini en 1967 et d'un statut spécial unique européen (ce dernier disparu avec le Brexit). Le territoire offre une taxe de seulement 10% sur les revenus des entreprises domiciliées (17 175 à fin décembre 2018), avec un impôt de 20% pour les entreprises à la position dominante, et l'absence de TVA. Une personne est considérée comme résidente à Gibraltar si elle y passe au moins 183 jours par année fiscale, ou plus de 300 jours durant trois ans consécutifs.
 
Mais le rocher n'a jamais été dans l'espace Schengen, ni membre de l'union douanière et n'a donc jamais pu bénéficier de toutes les politiques communes européennes (commerciale, agricole, pêche). Paradoxalement, le Brexit va modifier tout cela (voir article ci-dessus).
 
Gibraltar ne reçoit aucune aide économique de la Grande-Bretagne.
 
Longtemps sur la liste grise des paradis fiscaux de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique), Gibraltar en a été retiré en 2009. Le territoire a adhéré en juillet 2019 au cadre inclusif sur le BEPS de l'organisation et du G20. Il s'est ainsi engagé à mettre en œuvre l'ensemble des mesures adoptés par ce dispositif accueillant désormais 130 pays et juridictions et luttant contre "l'érosion de la base d'imposition et le transfert de bénéfices (BEPS) (...) les stratégies exploitant les failles et les différences de règles fiscales en vue de faire disparaître des bénéfices à des fins fiscales ou de les transférer dans des pays ou territoires où l'entreprise n'exerce guère d'activité réelle", selon l'OCDE. Le 1er septembre 2020, elle publiait son rapport d'évaluation sur la transparence et l'échange de renseignements à des fins fiscales sur Gibraltar. Un document de 126 pages.

Pour les autorités espagnoles, Gibraltar demeure un paradis fiscal. Le traité paraphé en mars 2019 entre le Royaume-Uni et l'Espagne, sur la base de celui signé entre l'UE et Londres en novembre 2018, précise que "les personnes morales et autres entités gibraltériennes" doivent établir leur résidence fiscale en Espagne si elles obtiennent la majeure partie de leurs revenus, y possèdent la majeure partie de leurs actifs ou si la majorité de leurs propriétaires ou dirigeants y résident. Madrid entend grâce à cet accord résoudre plus facilement les conflits de résidence fiscale et limiter les effets du statut spécifique de Gibraltar qui porte préjudice au Trésor espagnol.

Une histoire mouvementée

Gibraltar tient son nom de l'arabe Djebel Tariq (le mont de Tariq). Le Berbère Tariq ibn Ziyad a été l'un des principaux acteurs de la conquête de l'Espagne au VIe siècle par les Omeyyades. Elle a débuté depuis ce rocher en 711. Il s'appelait avant Mont Calpé. Dans l'Antiquité, il constituait une des deux Colonnes d'Hercule (avec le djebel Musa au Maroc).

Tout à tour phénicienne, carthaginoise, romaine, wisigoth, musulmane, espagnole, le sort de cette position stratégique en Méditerranée pour contrôler les entrées et les sorties de ce détroit menant à l'océan Atlantique, va être fixé après le dernier un conflit sur ses terres.
Le 13 juillet 1713, le traité d'Utrecht, mettant fin à la guerre de Succession d'Espagne, entérinait la prise de Gibraltar par les forces anglo-hollandaises en août 1704. L'Espagne cédait par ce texte ce territoire qui devenait officiellement, en 1830, une colonie britannique (Crown Colony). "À perpétuité" précisait d'ailleurs le document. Ce qui n'empêchera pas les Espagnols de tenter plusieurs fois de reconquérir ce bastion, militairement et politiquement. Sans succès jusqu'alors.

Si l'Anglais est la langue officielle, beaucoup d'habitants de Gibraltar parlent espagnol et Llanito, un dialecte à base de mots majoritairement anglais et espagnols. Mais aussi génois médiéval, hébreux, maltais et portugais.



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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMer 27 Jan - 0:09

PharmaMar démontre l'efficacité de l'aplidine dans le traitement contre Covid-19 - ABC

Aplidin, l'antiviral de l'espagnol Pharmamar, réduit la charge virale du covid-19 de près de 100%

Si le traitement est efficace chez l'homme, le virus SRAS-CoV-2 ne pourra pas devenir résistant au médicament aussi facilement
L'antiviral que la société espagnole Pharmamar étudie pourrait être le premier d'une nouvelle génération de médicaments visant à contrôler la pandémie de covid-19. La revue 'Science' a publié hier les résultats d'une étude préclinique dont la conclusion est définitive: `` Nous pensons que nos données et les premiers résultats positifs de l'essai clinique PharmaMar suggèrent que la plitidepsine (aplidine) devrait être sérieusement envisagée pour les essais cliniques pour le traitement. de covid-19 ».

Chez les patients, pour le moment, seul l'essai clinique de phase II Aplicov-PC a été réalisé, pour le traitement des patients adultes atteints de covid-19, qui nécessitent une hospitalisation, avec de bons résultats de sécurité et d'efficacité.

L'étude, menée auprès de 45 patients de 13 hôpitaux espagnols, a donné des résultats positifs et la société travaille avec les autorités réglementaires espagnoles et d'autres pays pour lancer un essai clinique de phase III.

Le médicament, contrairement aux antiviraux traditionnels tels que le remdesivir, cible une protéine hôte plutôt qu'une protéine virale. "La plitidepsine est un inhibiteur extrêmement puissant du SRAS-CoV-2, dont le principal avantage est qu'elle cible une protéine dans les cellules humaines et non une protéine du virus", explique Kris M. White, de l'école de médecine Icahn. Mount Sinai (USA) et l'un des auteurs de la recherche.

L'article assure que "l'activité antivirale de la plitidepsine contre le SARS-CoV-2 est produite par l'inhibition de la cible eEF1A". Cela signifie que, si le traitement est efficace chez l'homme, le virus SRAS-CoV-2 ne pourra pas devenir si facilement résistant au médicament par la mutation.

La plitidepsine est un inhibiteur extrêmement puissant du SRAS-CoV-2, dont le principal avantage est qu'elle cible une protéine dans les cellules humaines et non une protéine du virus

Pablo Avilés, un chercheur de Pharmamar, explique que la plitidepsine, agissant sur eEF1a, empêche le virus d'utiliser la machinerie cellulaire pour se répliquer et ainsi créer de nouvelles particules virales. En d'autres termes, lorsqu'un virus infecte une cellule, «il prend le contrôle de la machinerie cellulaire pour se répliquer et créer de nouvelles particules virales. «La plitidepsine agit sur les mécanismes cellulaires que le virus prend en charge et empêche le virus de se reproduire. C'est comme si le virus avait besoin d'un «copieur» pour se répliquer à l'intérieur de la cellule et que la plitidepsine bloque ce copieur.

Et c'est ce qui le différencie des autres antiviraux et lui donne un avantage car, dit Avilés, "cela le rend indépendant de la souche virale", ce qui est pertinent pour la formation actuelle de nouvelles souches de coronavirus. "S'il arrive finalement à la clinique, il pourrait être administré à n'importe quel type de patient infecté donc, théoriquement, cela fonctionnerait quelle que soit la souche."

En outre, dit White, «si la plitidepsine réussit à traiter le COVID-19, le virus SARS-CoV-2 ne pourra pas devenir résistant au traitement par mutations, ce qui est une préoccupation majeure avec la propagation actuelle de nouvelles variantes en provenance du Royaume-Uni. et Afrique du Sud ».

De tous les inhibiteurs du SRAS-CoV-2 que nous avons classés dans la culture tissulaire et les modèles animaux depuis que nous avons commencé nos études avec le SRAS-CoV-2, la plitidepsine a été le plus puissant, soulignant son potentiel.

Le laboratoire dirigé par l'espagnol Adolfo García-Sastre, directeur de l'Institut pour la santé mondiale et les pathogènes émergents, de l'école de médecine Icahn du mont Sinaï, est à la pointe de l'enquête depuis la découverte de l'agent causal du covid- 19. sur la biologie moléculaire, la pathogenèse, le traitement et la prophylaxie des infections à SRAS-CoV-2.

`` De tous les inhibiteurs du SRAS-CoV-2 que nous avons classés dans la culture tissulaire et les modèles animaux depuis le début de nos études sur le SRAS-CoV-2, la plitidepsine a été le plus puissant, soulignant son potentiel en tant que thérapie pour le traitement du covid -19 ", assure le coordinateur de l'étude publiée dans" Science ".

La pandémie de SRAS-CoV-2 a créé un besoin de thérapies antivirales qui peuvent être rapidement transférées à la clinique. Il y a quelques jours, José Alcamí, chercheur à l'Institut de santé Carlos III, a déclaré à ABC Salud qu'il y avait un besoin urgent d'antiviraux. Cela a conduit les chercheurs à examiner des antiviraux cliniquement approuvés.

Et l'un d'eux est la plitidepsine, un médicament approuvé pour une utilisation dans le myélome multiple. Dans l'étude "Science", dans les cellules humaines, il a démontré une puissante activité anti-SRAS-CoV-2, 27,5 fois plus élevée que le remdesivir testé dans la même lignée cellulaire.

La société travaille avec les autorités réglementaires espagnoles et d'autres pays pour lancer un essai clinique de phase III

Et, lorsqu'il est testé sur des cellules pulmonaires humaines, il réduit considérablement la réplication virale. En outre, après avoir mené d'autres expériences avec le remdesivir et la plitidepsine in vitro, les chercheurs suggèrent que la plitidepsine a un effet additif avec ce médicament déjà approuvé et serait un candidat potentiel pour une thérapie combinée.

Alors que les antiviraux traditionnels, comme le remdesivir, ciblent les enzymes virales qui sont souvent sujettes à des mutations et donc au développement d'une résistance aux médicaments, les antiviraux qui ciblent les protéines des cellules hôtes nécessaires à la réplication virale pourraient empêcher la résistance.

Les chercheurs ont également testé le médicament chez des souris infectées par la suite par le SRAS-CoV-2. Les souris qui ont reçu le médicament de manière prophylactique avaient une charge virale et une inflammation pulmonaire réduites par rapport aux souris témoins.

Le document indique également que, bien que la toxicité soit une préoccupation dans tout antiviral ciblant une protéine cellulaire humaine, le profil de sécurité de la plitidepsine est déjà documenté chez l'homme.

La publication conclut que le mécanisme `` différent '' de la plitidepsine est conféré par une efficacité antivirale in vivo, c'est pourquoi ses auteurs estiment que `` ces données et les premiers résultats positifs de l'essai clinique PharmaMar suggèrent que la plitidepsine devrait être sérieusement envisagée pour se développer. les essais cliniques pour le traitement du covid-19 ».

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MessageSujet: Re: Actualités Espagnoles   Actualités Espagnoles - Page 8 Icon_minitimeMer 27 Jan - 0:15

trés bonne nouvelle...

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