Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine-Tome 1- | |
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kaiidow Invité
| Sujet: Économie marocaine-Tome 1- Mar 13 Mar 2007 - 18:06 | |
| 13.03.2007 | 16h42 Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.
"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.
Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc". "Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.
Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.
Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée. La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.
Source: MAP |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 13 Mar 2007 - 18:20 | |
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| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 24 Avr 2007 - 18:11 | |
| IMTC acquiert 4 navires porte-conteneurs · Un investissement de plus d’un milliard de DH
· Une acquisition qui porte la flotte d’IMTC à 14 navires
L’armateur marocain, International maritime transport corporation (IMTC) vient de prendre livraison de quatre navires porte-conteneurs de la dernière génération. L’investissement consenti dans ces acquisitions est de plus d’un milliard de dirhams (125 millions de dollars). IMTC devient ainsi la première compagnie maritime en Afrique. En effet, la flotte de la compagnie s’élève désormais à 14 navires. Sa capacité totale de transport est ainsi portée à 150.000 tonnes. Selon Mohamed Karia, président d’IMTC, les quatre unités ont été construites en Allemagne au chantier Sietas. Ils ont chacun une capacité de 1.700 conteneurs “teu” et 400 conteneurs réfrigérés. Leur portée en lourd est de 22.310 tonnes et leur vitesse peut atteindre 22 nœuds. Ils sont équipés de 3 grues de 45 tonnes et de propulseurs de manœuvre. Longs de 178,5 mètres chacun, les quatre navires sont larges de 27,60 mètres. Ils disposent chacun d’un propulseur avant de 900 kW et d’un autre propulseur arrière de 600 kW. Ils ont un tirant d’eau de 18,87 mètres et sont équipés, et donc aptes, pour le transport de marchandises dangereuses. Ces navires sont destinés aux services de feedering et de relais pour le transport de conteneurs secs et réfrigérés sur le marché international, indique Karia. Ce dernier a indiqué à L’Economiste qu’il y a une perspective de participation aux activités de feedering au nouveau port de Tanger Med dans le courant de l’année 2008. «Nous avons réalisé cet important investissement pour accompagner l’évolution de l’activité maritime dans notre pays», dira encore Karia. C’est donc l’occasion, après de nombreuses années d’absence des trafics de long cours, pour l’armement marocain de renouer avec la tradition de participation au transport des marchandises au niveau international, ajoute-t-il. Cette initiative devrait être étendue à d’autres activités tels le transport de phosphate, d’acide phosphorique, de charbon, de soufre et de céréales. Pour le président d’IMTC, le Maroc se doit de se positionner sur le secteur du transport maritime. Un secteur qui se libéralise et où la concurrence est de plus forte. La prochaine entrée en activité totale du port Tanger Med doit inciter au développement de l’activité maritime, estime Karia. Pour le patron d’IMTC, l’avenir du transport de marchandises est dans le maritime. Le Maroc, pays exportateur, mais aussi importateur, doit disposer de la flotte qu’il faut.
Jamal Eddine HERRADI |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 28 Avr 2007 - 13:09 | |
| J'ai ma belle soeur qui est marocaine, j'aimerais me rendre Inch ALLAh au Maroc cette année, soit avec mon frere, ma belle soeur et mon petit chouchou de neveu, ou un ami, nan un frerot marocain les prix des habits, des restos par rapport en france c'est beaucoup moins chers ????? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 28 Avr 2007 - 13:12 | |
| - sukhoi33 a écrit:
- J'ai ma belle soeur qui est marocaine, j'aimerais me rendre Inch ALLAh au Maroc cette année, soit avec mon frere, ma belle soeur et mon petit chouchou de neveu, ou un ami, nan un frerot marocain les prix des habits, des restos par rapport en france c'est beaucoup moins chers ?????
La comparaison est presque impossible, pour les habits, si tu veux te contenter de bonnes imitations, tu trouvera plein de choses a bon prix, pour la bouffe, tu peux te faire plaisir et ca ne te coutera rien. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 28 Avr 2007 - 13:26 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 28 Avr 2007 - 14:43 | |
| quelle ville ?? car ya une difference |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 28 Avr 2007 - 15:32 | |
| marrakech desole s'il y a une faute d'orthographe |
| | | Invité Invité
| | | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 15:50 | |
| Tanger Med I et II : Le premier ouvre, le second démarre bientôt : Un pôle économique émergent Benhamed Mohammadi 09 Juillet 2007
Si le premier entre en exploitation avant fin juillet, le second port en extension du premier verra ses travaux démarrer fin 2008 début 2009. En réalité, il s’agit du même port qui connaît, sous une forte impulsion Royale, une extension des infrastructures aptes à absorber un trafic global de 8,5 millions de conteneurs plaçant, ainsi, la capitale du détroit au même niveau des géants européens à l’instar de celui de Hambourg ou de Rotterdam.
Le port Tanger Med I est déjà opérationnel. Depuis le lancement du plus gros chantier en ce début de troisième millénaire, il fallait bien marquer une pause de réflexion, pour dresser le bilan d’étape et mesurer les perspectives restant à concrétiser. Ce qui fut fait, le lundi dernier à Casablanca, par les dirigeants de TMSA en charge des deux complexes portuaires de Tanger-Med I, qui entre en activité avec le premier terminal à conteneurs concédé, ce mois de juillet et Tanger-Med II dont les travaux démarreront fin 2008 début 2009. Et les ambitions non dissimulées par le président Saïd El Hadi, annoncent un futur exceptionnel, pour la mise à niveau d’une région vitrine de l’Europe qui, enfin, ses atouts compétitifs et ses avantages comparatifs, pour se hisser au top 3 des plus grandes infrastructures portuaires de la Méditerranée. Car la capacité de trafic, essentiellement de transbordement, des deux ports cumulés, 3,5 millions d’EVP pour le premier et 5 millions d’EVP pour le second, permet de dépasser celle saturée actuelle du plus grand port de la Méditerranée, Algésiras avec ses 4,5 millions de tonnes EVP pour rivaliser, sur un même pied d’égalité, à l’horizon 2012-2013, avec les plus grands ports européens comme Hambourg (9 millions d’EVP) et Rotterdam (8 millions d’EVP). Si on additionne les atouts de ce double méga-projet, l’on ne peut que souligner qu’il s’agit d’un chantier, dans sa conception, sa dimension, la diversification de ses activités et l’étendue de l’espace géographique qu’il couvre au carrefour de plusieurs continents, unique au monde en ce début de nouveau millénaire. En effet, le complexe de Tanger-Med est bien le seul et unique projet dans le globe crée à partir du néant, sur la plage déserte d’Oued Rmel entre Tanger et Tétouan à proximité de Ksar Essaghir, engloutissant des investissements capitalistiques d’une vingtaine de milliards DH, publics et privés compris.
Un projet intégré Cette envergure s’explique par les consistantes tripolaires du complexe qui comprend un port équipé de deux terminaux à conteneurs, un autre dédié aux hydrocarbures et un quatrième ferroviaire. A cela, s’ajoute le second périmètre attenant à l’espace marchandises, qui est destiné aux trafics passagers et roulier, devant entrer en service en 2009. Ce pôle portuaire est accompagné par un ensemble de zones d’activités logistiques, industrielles, commerciales et une autre zone franche après le succès qu’a connu l’actuelle TFZ, qui a vu doubler le nombre d’investisseurs depuis le lancement de Tanger Med entre 2002 et 2006. Enfin, vient s’adjoindre un pôle territorial et les infrastructures d’appui en matière de voies de communication, notamment autoroutières et ferroviaires. Et ce n’est pas fini, puisque vient d’être décrétée l’ordonnance Royale du 26 avril dernier, de la construction d’un second port, Tanger-Med II, à l’ouest du premier, doté d’une longueur de quai de 2000 mètres linéaires. En fait, il s’agit d’une extension de la première infrastructure qui sera réalisée sur le même site reconfiguré avec le périmètre «Passagers et roulier», pris en sandwich entre les deux grands périmètres de commerce. Le processus de mise en place des concessions pour le second port, a déjà démarré en mai dernier et la signature des contrats de location des nouveaux terminaux à conteneurs, d’une capacité globale de trafic de 5 millions d’EVP, sera finalisé au premier semestre 2008 pour entamer les travaux début 2009 au plus tard, avant l’exploitation commerciale de Tanger Med II vers la fin 2012. Au total, les investissements générés par ce gigantesque complexe, tournent autour de 40 milliards DH. Gazette du Maroc http://www.lagazettedumaroc.com/articles.php?r=5&sr=957&n=532&id_artl=13981 |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 15:59 | |
| pour les Casablancais du Forum
Exclusif : à quoi ressemblera la corniche de Casa d'ici à un an
Le boulevard de la Corniche sera réaménagé, la voie mitoyenne à la mer sera transformée en allée piétonne de 30 m de large. Le boulevard de Biarritz sera ouvert à la circulation dans les deux sens. Espaces verts, bancs, fontaine, projecteurs géants : la corniche redonnera leurs droits aux piétons.
L’été prochain, les Casablancais ne reconnaîtront plus la corniche de Aïn Diab, très prisée par les promeneurs, de jour comme de nuit, été comme hiver, malgré les problèmes de circulation et de stationnement. Le Conseil de la ville voit les choses en grand. Il a décidé de consacrer quelque 40 MDH au réaménagement de cette zone.
Les travaux commencent dès cet été sur le boulevard de Biarritz. Cette voie à sens unique, qui va de l’hôtel Suisse jusqu’au rond-point du complexe cinématographique Megarama, sera ouverte dans les deux sens, avec trois voies de chaque côté, ce qui permettra de drainer une grosse partie des véhicules qui, aujourd’hui, encombrent la route côtière pour aller vers Sidi Abderrahmane et au-delà.
Le reste du chantier, celui concernant la corniche, commencera en septembre prochain pour s’achever quelque 8 mois après. Qu’entend-on y faire ? Redonner ses droits aux piétons. La circulation automobile sera maintenue dans le sens où elle se fait actuellement, mais seulement sur la voie de gauche. Ce côté sera aménagé, avec des places de stationnement, une voie cyclable, un couloir pour les autobus et une voie pour les voitures.
Les places de parking, elles, seront aménagées par lots de trois, séparés par des arbres. A droite, la conception sera tout autre. Le terre-plein central, qui sert aujourd’hui de parking, et la voie de droite seront transformés en voie piétonne d’une largeur de 30 mètres dotée de bancs, d’espaces verts et d’une allée qui s’inspire de ce que les architectes urbanistes ont conçu de mieux dans certaines villes côtières. Selon Rachid Haouch, architecte-paysagiste en charge du projet, le concept s’inspire ouvertement de la Promenade des anglais à Nice, ou de la Croisette à Cannes, pour ne pas parler de Copacabana au Brésil. En tout cas le concept est le même.
Une autre corniche sera aménagée à Aïn Sebaâ L’éclairage de l’ensemble sera assuré par des poteaux de 72 mètres de hauteur avec des projecteurs d’une portée de 300 mètres, pouvant donc éclairer la plage. C’est, nous dit-on, le maire de Casablanca, Mohammed Sajid, qui tient à redonner au piéton ses droits en milieu urbain, et pas seulement sur la corniche, mais partout en ville. Quand on attire son attention sur l’état lamentable de la chaussée dans certaines grandes artères de la ville, comme le boulevard Zerktouni, Mohamed Sajid confirme sa préoccupation pour les piétons.
«Il n’y a jamais eu à Casablanca ni dans aucune autre ville marocaine de Plan de déplacement urbain (PDU), ni d’ailleurs de politique de la ville, et Casablanca est la première à se doter d’un tel schéma. Je conçois tout à fait que nous, automobilistes, continuions à subir quelques désagréments, mais nous avons décidé de commencer par les trottoirs, car le piéton ne bénéficie actuellement d’aucune attention».
Et M. Haouch de renchérir : «Tout a tourné depuis des années autour de la gestion du trafic et l’on n’a jamais pensé qu’il pourrait y avoir de mode de déplacement alternatif à la voiture. Casablanca, qui a été conçue à l’origine autour du boulevard Moulay Youssef et du bd. Zerktouni et son prolongement le bd. de la Résistance comme périphérique, s’est étirée à perte de vue, et la ville a tourné le dos à sa côte». Aujourd’hui, tout le travail qui est fait sur la corniche consiste à suivre la volonté du citoyen qui a choisi cet endroit comme lieu de promenade et de détente, explique l’architecte.
Car, ajoute-t-il, si on part de Casa-Port jusqu’à Aïn Diab, avec toutes les infrastructures en construction (la marina, les tours, les centres d’affaires, etc.), on constate que Casablanca est en train de reconquérir sa côte. Ceci est d’autant plus vrai qu’une deuxième corniche sera aménagée, selon le maire, à l’autre extrémité de la métropole, vers Aïn Sebaâ.
La partie habitée sera réaménagée en médina moderne Reste qu’entre le bd. de la Corniche et le bd. de Biarritz, au milieu de cet espace plus ou moins circulaire dit «chapeau de gendarme», il y a des terrains vides et des lieux d’habitation et de commerce dont certains datent du Protectorat. Ils feront partie d’une sorte de médina moderne. «Toute la partie habitée, vers le poste de gendarmerie, va être traitée comme un village avec des rues piétonnes et des commerces qui seront appelés par la force des choses à se mettre à niveau», prévoit l’architecte.
Par contre, sur l’autre partie, il est prévu la construction de blocs de tours, à l’instar de celles qui surplomberont la marina de Casablanca. Les responsables de la ville essaient de sensibiliser les propriétaires des sites, et il semble que, pour certains d’entre eux, l’idée est parfaitement admise. «Nous avons adopté une démarche consensuelle avec tous les intervenants, Agence urbaine, Lydec, propriétaires, et tout le monde y trouve son intérêt», conclut Rachid Haouch
Mobilier urbain Des œuvres d’art pour fontaines
Le rond-point du Mégarama sera réaménagé. Il y est prévu un grand rond-point doté d’une superbe fontaine en forme de voilier. Ce concept a été imaginé par l’architecte paysagiste Rachid Haouch, et la construction confiée à «Fontanier», un autre architecte spécialisé dans la conception de fontaines.
Et des fontaines, il va y en avoir beaucoup à Casablanca puisqu’une autre, en forme de volcan, sera édifiée au carrefour de l’Espace porte d’Anfa (immeuble de la Banque populaire), exactement à l’intersection des bd. d’Anfa, déjà remis à niveau, et Massira al Khadra. dont les plans sont prêts. Pour ce boulevard, le budget est arrêté à 30 MDH
Mohamed Moujahid Publié le : 06/07/2007
Vie Eco http://www.lavieeco.com/Economie/exclusif-a-quoi-ressemblera-la-corniche-de-casa-d-ici-a-un-an |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 16:02 | |
| L'ONE: Gros appétit à l’international · Un positionnement en Afrique subsaharienne
· Une expertise reconnue
DE mémoire de jeune, à Freetown, capitale de la Sierra Leone, on n’avait vu ça! Décembre 2006, les rues de la capitale sont illuminées, pour la première fois, après deux décennies d’obscurité. Un «miracle» réalisé par l’Office national de l’électricité (ONE), adjudicataire d’un contrat de production concessionnel de 10 MW ainsi que du développement d’un barrage hydro-électrique de près de 150 MW. Une conférence des donateurs était organisée, lundi à Rabat, pour la réhabilitation du secteur électrique de ce pays, l’un des plus pauvres du monde au regard du PIB par habitant, estimé en 2006 à 900 dollars et des infrastructures quasi inexistantes. Le réseau électrique de la capitale, mis à rude épreuve des années durant, nécessite une restauration complète. L’ONE, qui avait effectué un diagnostic du système sierra-léonais, a dépêché une trentaine de ses techniciens sur place pour la mise en place d’un plan d’action d’urgence: alimenter la capitale à travers la réhabilitation des centrales de production électrique et du réseau de distribution de la National Power Authority. L’ONE n’en est pas à sa première expérience en Afrique subsaharienne. Une véritable stratégie de renforcement de la présence dans le continent est même initiée avec la création d’un pôle dédié. Objectif affiché: se positionner en «partenaire de référence à l’échelle africaine et régionale et consolider la position du Maroc comme carrefour régional de l’énergie», annonce-t-on à l’Office. L’ONE se positionne de plus en plus comme acteur principal particulièrement en Afrique de l’Ouest, grâce d’une part aux interconnexions et d’autre part, à son savoir-faire sur la planification, l’exploitation et la maintenance dans les zones rurales. L’Office s’est en effet forgé une place jugée solide notamment en Mauritanie pour la réalisation d’une centrale diesel à Nouadhibou, au Sénégal pour l’élaboration de schémas directeurs pour la production d’énergie électrique et où il a aussi été déclaré adjudicataire préféré pour une concession d’électrification rurale pour 25 ans (cf. www.leconomiste.com). En Gambie, l’ONE a réalisé une mission d’assistance technique pour sécuriser le réseau électrique de la ville de Banjul et enfin la toute dernière opération au Nigéria. L’Office vient en effet de signer avec la Société nigérienne de l’électricité (Nigelec) deux partenariats portant sur la formation et la gestion des ressources humaines. Prochaine étape, les pays arabes où l’Office, affirme-t-on, prospecte de nouveaux marchés. Une expertise reconnue à l’international, même si l’ONE est en proie à des difficultés certaines sur son propre terrain. Le contexte électrique actuel, caractérisé par une croissance de la demande avoisinant les 8% depuis 2003, pose la question de l’équilibre offre-demande de manière de plus en plus impérieuse.
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Une conférence pour «illuminer» la Sierra Leone
LA rencontre de lundi dernier, coprésidée par les deux ministres des Affaires étrangères, Mohammed Benaïssa et Momodu Koroma, a réuni une pléiade de ministres des deux pays, des institutions financières internationales et certains Etats bailleurs de fonds. La cagnotte constituée est substantielle. Le Qatar a misé 5 millions de dollars, la Banque islamique de développement 10,5 millions et la Banque mondiale 7,5 millions. L’Espagne et la Grande-Bretagne, via l’Union européenne ainsi que le Koweït ont promis des dons, sans pour autant avancer de montants.
Amine BOUSHABA Economiste http://www.leconomiste.com/ |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 19:52 | |
| ONE signe avec Iberdrola
L’ONE a signé le 10 juillet avec Iberdrola Renouvelables, filiale du groupe espagnol Iberdrola, un accord de principe pour l’étude de faisabilité de la construction de 2 parcs éoliens d’une puissance de 100 MW chacun. Situés aux environs de Taza et Laâyoune, les 2 parcs s’inscrivent dans le cadre de l’offre de service de l’ONE, Energie Pro. De son côté, Iberdrola Renouvelables va se rapprocher des industriels consommateurs pour créer un consortium de clients à qui sera destinée la production des parcs éoliens à construire.
Economiste |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:00 | |
| Casablanca Marina: La commercialisation dès 2008 · Le plan initial a été largement modifié
· Dix autres hectares gagnés sur la mer · Plus de 17 hectares d’espaces verts!
Premier break pour le chantier de la marina de Casablanca. Ou appelez-la plutôt «Casablanca Marina», puisque c’est son nom officiel. Depuis leur redémarrage en mars 2006, les travaux ont été menés grand train et plus vite que le calendrier. Maintenant, le site est désert, à l’exception de la drague. Les responsables attendaient l’autorisation de lotir, mais celle-ci a été délivrée jeudi dernier, et les grands travaux ainsi reprendront dans les semaines à venir. Aujourd’hui, l’assiette foncière, 26 hectares en tout, a été entièrement préparée. La CGI (Compagnie générale immobilière), filiale de CDG Développement chargée du projet, va se lancer dans l’équipement du site. Le projet est très attendu par Casablanca et surtout par ses décideurs. Pour ces derniers, la réalisation du projet va faire taire de nombreuses critiques quant à la faiblesse des infrastructures de la métropole. Casablanca Marina va apporter plusieurs équipements essentiels tels que le palais des congrès et étoffer l’offre touristique à travers le port de plaisance et la construction de deux hôtels de grande capacité. En outre, une importante offre d’immobilier résidentiel et professionnel est au programme.
· La médina respire
Pour le moment, le chantier n’est qu’un grand espace terrassé. Seule une esplanade sur le bord de mer est aménagée et accessible au public. Déjà, les Casablancais, pêcheurs et sportifs, commencent à la fréquenter. Il y en a même qui profitent de la longue promenade en béton pour s’offrir des grillades de poissons frais. Un plaisir qu’ils seront amenés à abandonner, en principe, puisque l’esplanade sera recouverte d’un plancher et joliment décorée. En attendant, les jeunes se sont appropriés l’endroit, et les murs sont déjà couverts de graffitis. Une seconde promenade sera aménagée en parallèle. Elle est située à un niveau supérieur et placée dans une allée de verdure. C’est peu dire que le projet accorde une importance particulière aux espaces verts, puisque les deux tiers de la superficie globale y sont dédiés, soit plus de 17 hectares. Les architectes (voir encadré) ont tout fait pour économiser le terrain; ils ont construit en hauteur, en profondeur mais pas en surface. Le parking ainsi que toute la circulation sur le site seront souterrains. Seuls les circuits pour les livraisons aux petits commerces et les interventions d’urgence sont prévus à la surface.
· Un unique constructeur
Le projet a également opté pour un mode de construction en hauteur. Bientôt, les immeubles jumeaux du Maârif, le Twin Center, seront détrônés; le site devrait abriter les deux plus hautes tours casablancaises: R + 35. L’une sera dédiée à un usage bureau, la seconde aménagée en hôtel. Encore faut-il que l’Agence urbaine donne son aval. D’aucuns avancent que des constructions aussi élevées en bord de mer sont risquées; les fondations seraient fragilisées par le contact de l’eau. Pourtant, il n’y a qu’à voir la marina de Dubaï surplombée de tours vertigineuses et qui résistent sans difficulté à la nature. M’Hammed el Merini, directeur du projet précise, par ailleurs, que certains matériaux utilisés sont les mêmes que ceux des barrages. Le béton en contact avec l’eau ne comporte aucune armature métallique, c’est un béton souple que le mouvement de l’eau ne gêne pas. La Marina aura beaucoup attendu avant de voir le jour. Plusieurs ébauches de projet ont été initiées sans atteindre l’étape de réalisation. Les sociétés et les architectes se sont ainsi succédés sans pouvoir poser leur empreinte sur le projet tant convoité. Dernière tentative en date: celle de la société étrangère Der Krikorian, qui a entamé les travaux sur le site sans pouvoir mener à bout le projet, et ce, à cause d’un conflit l’opposant l’ex-Odep (Office national de l’exploitation des ports). La société avait quand même réussi à grignoter quelques hectares sur l’océan, il y a plus de 10 ans. Donc tout est revenu dans le giron de l’Etat, via la CDG.
· Remanié pour cause de fermeture
Cette fois, le projet est bien parti pour être achevé. La CGI a la ferme intention de rester derrière le chantier jusqu’à la livraison finale de tous les «produits». Une fois les équipements mis en place, les travaux de construction seront lancés. La société prendra en charge toutes les constructions sur le site: résidences, palais des congrès, centre commercial et même les hôtels. «Les compagnies hôtelières qui auront remporté les marchés de la Marina recevront des murs et non des terrains», précise El Merini. Cela ne semble guère contraignant pour les futurs exploitants qui, selon les responsables, se bousculent déjà. Plusieurs d’entre eux ne sont pas encore présents au Maroc. Leurs noms ne sont pas encore dévoilés, concurrence oblige. Mais les premiers ne tarderont pas à être connus, puisque la commercialisation dans la première tranche du site est prévue pour 2008. Casablanca Marina sera placée dans une zone qui a longtemps été délaissée: El Hank, l’ancienne médina... Des endroits où peu de Casablancais ont l’habitude de s’aventurer. Et même la proximité de la mer ne les a pas encouragés à s’approprier ces quartiers réputés pour leur insécurité. Des projets comme la Marina, le réaménagement des jardins intramuros de l’ancienne cité ou encore le Festival de Casablanca, qui a installé des scènes dans ces zones, ont encouragé le grand public à s’intéresser de près à ce patrimoine délaissé.
· Fermer ou ouvrir?
Le plan initial de la Marina, dévoilé lors de l’inauguration en mars 2006, a dû ainsi être changé pour préserver ce contact renouvelé. L’Agence urbaine a fortement contesté à l’ancien plan la rupture qu’il opère entre le promeneur et la mer. Le projet se constituait en blocs étanches qui cachaient la vue de l’horizon. La nouvelle conception a ouvert des passerelles donnant un accès direct sur la plage. Ceci dit, voir l’océan à partir du boulevard Sidi-Mohammed-Ben-Abdellah est toujours impossible, car les deux zones se trouvent à des niveaux différents: le boulevard est trop haut par rapport à la mer. Reste à savoir si le projet sera entièrement ouvert au public. Les produits de Casablanca Marina sont destinés à une clientèle haut de gamme à travers ses hôtels ou encore son luxueux centre commercial... Faut-il pour autant en restreindre l’accès? Selon M’Hammed El Merini, la plupart des produits seront ouvert au grand public. Il indique que «la question se pose uniquement pour la partie résidentielle». Celle-ci compte une grande surface verte, des jardins qui ne profiteront peut-être pas aux visiteurs. Selon El Merini, cela dépendra aussi du mode d’exploitation choisi pour ces résidences: location ou vente. C’est également cela qui décidera des moyens de sécurisation du site. Les zones clôturées seront gardées par des agents privés; le reste sera sous la responsabilité de l’Etat. Si le volet sécurité n’est pas sérieusement considéré, le site risque d’être boudé par les promoteurs, et les esplanades se situant sur des parties reculées et bien cachées pourraient se transformer en endroits dangereux.
Qui travaille sur la Marina? - CGI, filiale de CDG Développement, est le chef de file. Elle est chargée de l’aménagement et de toutes les constructions sur le site. Après la livraison des bâtiments, la société cèdera la place à une filiale de la CGI, Exprom, pour la gestion permanente du site. - Sama Dubai est le partenaire de la CDG pour le financement du projet. - 4 architectes travaillent sur le projet. Il s’agit d’Abdelouahed Mountassir et d’Abdelmoula Imad Eddine, en collaboration avec François Leclercq et Yves Lion. - Somagec, Société marocaine de génie civil, s’occupe des travaux maritimes. - Scet Scom, également filiale de CGI, est le bureau d’études qui s’occupe aussi des études de métré. Plusieurs autres bureaux d’étude ont contribué au projet: Valliance Consulting et Créargie Maroc (étude marketing) BCEM et Citec (étude du trafic), Transsolar (étude environnementale).
Le plus petit et le plus haut
Drôle de contradiction: la marina de Casablanca abritera l’hôtel plus haut et le plus petit de la métropole. Ce dernier est un R+2 qui sera construit dans la première tranche du projet. La hauteur du bâtiment a été limitée pour ne pas cacher l’océan à la médina et pour que le port de plaisance garde une vue sur la cité historique. Le second hôtel sera formé de 35 étages. Il sera construit sur la deuxième tranche pour tenir tête à son vis-à-vis, une tour de la même hauteur qui sera transformée en bureaux. Autre record de la marina, le centre commercial qui fera deux fois et demi le fameux Mégamall de Rabat.
Ichrak Moubsit
Economiste |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:04 | |
| Réalisation d'un taux de croissance de plus de 8 % en 2006 Publié le : 12.07.2007 | 14h22 Le Premier ministre, Driss Jettou a souligné qu'en 2006, l'économie nationale a réalisé de très bonnes performances avec un taux de croissance de 8,1%, une inflation maîtrisée à près de 3,3 %, un déficit budgétaire aux alentours de 1,7%, des réserves en devises de 21 milliards de dollars et un PIB supérieur à 600 milliards de dirhams, soit 2.300 dollars par habitant contre 1.400 seulement en 2002.
La croissance économique moyenne, qui n'excédait guère les 2 %, continue de développer des taux relativement importants, en enregistrant durant les cinq dernières années un taux dépassant les 5 %, a indiqué M. Jettou dans un entretien publié, jeudi, par le quotidien "Aujourd'hui Le Maroc" (ALM).
La bonne santé de l'économie nationale s'illustre également à travers une augmentation de 30% de la recette de la TVA intérieure et d'une augmentation de 14% de la TVA à l'import, a-t-il souligné.
"Nous avons également enregistré une croissance spectaculaire de 20% du secteur des télécommunications, une augmentation sans précédent de 12% des exportations industrielles qui ont totalisé 112 milliards de dirhams" a-t-il précisé, dans cet entretien, inséré dans une édition spéciale d'ALM intitulée "Driss Jettou 2002-2007".
Il a, en outre, fait état d'une régression de 3,5 points en quatre années du taux de chômage qui s'est situé à 9,7 % en 2006.
Au cours de la même année, un effort de redressement global de quelque 9 milliards de dirhams a été engagé, ainsi que des programmes d'investissement ambitieux dépassant les 50 milliards de dirhams, a ajouté le Premier ministre, qui présentera, la semaine prochaine, le bilan du gouvernement devant le Parlement.
Concernant le volet social, le Premier ministre a relevé les avancées enregistrées en matière de logement social où l'engagement du gouvernement relatif aux 100.000 unités par an a été largement dépassé, de même que le chantier de généralisation progressive de la couverture médicale.
Evoquant l'éducation et la formation, M. Jettou a souligné que le gouvernement a honoré ses engagements en matière d'accélération de la cadence de formation professionnelle, initié des actions d'amélioration de la qualité d'enseignement et lancé l'initiative 10.000 ingénieurs.
Le monde rural, a-t-il ajouté, a bénéficié à son tour d'un intérêt particulier notamment en matière de renforcement et d'amélioration de la desserte en services sociaux de base, estimant qu'en 2007, l'électrification et l'approvisionnement en eau potable seront généralisés.
Quant au tourisme, M. Jettou a indiqué que ce secteur a engrangé des recettes en augmentation de 30%, soit 6 milliards de dollars, rappelant que le Maroc a accueilli en 2006 quelque 6,6 millions de touristes, dont 45% de la catégorie des touristes individuels.
Il a, d'autre part, relevé que le budget dépend de moins en moins des recettes de la privatisation, qui sont passées d'une moyenne de 12 milliards de dirhams par budget à 6 milliards pour l'actuel budget.
| MAP |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:08 | |
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| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:13 | |
| merci belle images mais pour la marina de casa moi j'ai trouver ceci comme image http://www.cdg.ma/admin/gphotos/upload/9-image-82.jpg ??? Pour Tanger Med son site a ouvers http://www.tmsa.ma/
Dernière édition par le Jeu 12 Juil 2007 - 20:18, édité 1 fois |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:17 | |
| - maverick a écrit:
- merci belle images
mais pour la marina de casa moi j'ai trouver ceci comme image http://www.cdg.ma/admin/gphotos/upload/9-image-82.jpg ??? oui je les vu cette image, mais je la trouve bizarre puisque la marina n'est pas sur le front de la mer, regarde au loin la mosquée H2 |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:19 | |
| bas on verra le résultat dans quelque année inchallah |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:30 | |
| les dubai towers de Casablanca http://www.guessous-architecte.com/KBIR/56.jpg |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 20:53 | |
| Vous avez les photos des projets proposé par les Architectes en suite le Maroc choisie le plus beau projet proposé
Si elle ressemble à la première photo elle sera magnifique |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 21:02 | |
| pour les marinas sur l'atlantique c'est un peu craignos, vu la barre et la houle forte et surtout le vent tt le temps... je pense que les yachts mouillerons a saidia c'est tout, casablanca ,agadir seront delaisées car trop lointaines, pas faciles d'accés entre autre, sauf les regattes avec des voiliers , la ok c viable, juste pour une etape
on veut se lancer dans tout et n'importe quoi n'importe ou surtout |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 12 Juil 2007 - 21:06 | |
| P.S civil casablanca a attiré beaucoups plus de navire de croisiere que tt autre ville marocaine....
a dubai ils font l'incomparable pkoi on pourrait pas nous, pour l'instant al hamdoulillah, il y a des centaines de projets au maroc a coups de milliard de dollars... |
| | | kaidow Invité
| | | | kaidow Invité
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