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| Sujet: UPM Ven 11 Juil - 11:28 | |
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- L'Europe doit privilégier les pays du Maghreb
10/07/2008 | Mise à jour : 11:08 |
Denis MacShane, l'ancien ministre britannique des Affaires européennes de Tony Blair, aujourd'hui député travailliste, incite la France à convaincre les autres membres de l'Union européenne d'accorder une plus grande attention à la rive sud de la Méditerranée.
Faut-il désormais réduire la géopolitique à des acronymes ? On connaissait déjà l'Otan, l'UE, l'OMC. Plus récemment, les habitués de Davos ont parlé de la montée en puissance des Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine).
L'Europe peut aussi choisir de diriger son attention vers les MAT le Maroc, l'Algérie et la Tunisie , les trois pays du Maghreb qui en sont les plus proches géographiquement, mais aussi du fait de leur langue et de leurs intérêts communs. Il y a deux types de nonistes en Europe. Ceux qui, comme les Irlandais aujourd'hui ou les Français hier, ont dit non à l'Europe. Et ceux qui, se désignant comme de bons Européens, opposent un non à toute idée novatrice concernant l'Europe. Lorsque le président Sarkozy a proposé la création d'une Union méditerranéenne, les sages de Bruxelles et de Berlin n'ont pas manqué de rechercher dans leur dictionnaire des raisons de dire non. Comme le notait La Rochefoucauld : « Le bon naturel qui se vante d'être si sensibleest souvent étouffé par le moindre intérêt ». Pourtant, rien ne pourrait faire plus de bien à l'Europe que de s'engager de manière constructive, intelligente et durable aux côtés des trois États MAT.
Berlin et Bruxelles ont répondu avec hostilité à l'initiative du président Sarkozy. Cependant, l'Europe a besoin de ce type de coup diplomatique pour afficher son élan, son leadership et faire oublier son suivisme et sa politique étrangère, faite du plus petit dénominateur commun susceptible d'émerger des réunions du Conseil européen.
Le processus de Barcelone fut lancé en 1995. Treize ans plus tard, ses résultats sont peu tangibles à l'exception de l'accord intervenu entre le Royaume-Uni et l'Espagne au sujet de Gibraltar. Sur des thèmes aussi fondamentaux que le Moyen-Orient, Chypre, le veto de la Grèce à l'encontre de la Macédoine ou encore l'hostilité d'États de l'Union européenne, telles que la Roumanie et l'Espagne, à l'égard du Kosovo, la politique euroméditerranéenne a produit plus de communiqués de presse que de changements concrets dans les comportements et les mentalités.
À l'inverse de ce qui se produisit avec l'entrée réussie de la Mitteleuropa dans l'Union européenne et avec le décollage de la Pologne, de la Hongrie et des États baltes, Bruxelles et les dirigeants européens n'ont porté qu'une faible attention aux MAT.
Il est vrai que les trois nations du Maghreb se heurtent à des problèmes majeurs. Les difficultés que rencontre l'Algérie sont trop longues à lister. La Tunisie se rapproche sans doute le plus, dans le monde nord-africain, du modèle d'un État qui cantonne l'islam au domaine de la foi et non du politique. Des femmes y sont ministres et la Tunisie a un revenu per capita plus élevé que celui d'États dans les Balkans comme la Serbie, l'Albanie et la Macédoine, qui revendiquent pourtant leur candidature à l'entrée dans l'UE.
Avec son nouveau roi, le Maroc a expérimenté une phase de renouveau mais, comme la Tunisie et l'Algérie, il reste incapable de rompre avec l'approche autoritaire de la politique qui ressemble à celle qui prévalait en Corée ou à Taïwan il y a 25 ans ou que connaissent certains pays d'Amérique latine aujourd'hui. Cependant, faut-il juger les pays MAT selon la même grille de lecture que celle réservée à la Suède ou à la Suisse contemporaine ?
L'Europe doit prendre pleine conscience de la pression permanente qu'exercent dans et sur ces États les forces islamistes conservatrices, réactionnaires à l'extrême, qui cherchent à détruire les droits existants et à introduire un État taliban dans lequel le fondamentalisme religieux étoufferait toute liberté.
On peut ne pas aimer l'administration Uribe en Colombie mais, mise à part l'extrême gauche, personne ne souhaiterait la voir remplacée par les assassins, les kidnappeurs et les narcotrafiquants que sont les FARC. De la même manière, si Amnesty International et Reporters sans frontières ont raison de critiquer les gouvernements au pouvoir dans les MAT, l'Europe devrait avoir l'honnêteté politique de reconnaître que l'alternative que représenterait une idéologie islamiste et djihadiste au pouvoir à Alger, Tunis ou Rabat, serait bien pire.
L'Europe serait mieux avisée de demander à l'Algérie de mieux dépenser les 100 millions de dollars de réserves de change provenant des revenus énergétiques du pays, pour développer une économie de marché plus moderne et pour recycler une partie de l'argent récolté grâce à la flambée du prix du pétrole en Europe. L'approche plus ouverte affichée par le Maroc et la Tunisie à l'égard d'Israël et leur langage plus tolérant vis-à-vis des Juifs, qui contrastent avec ceux qui sévissent au Caire et à Damas, devraient aussi recevoir des encouragements.
Enfin, la création d'une zone de libre-échange entre les pays MAT pourrait intervenir comme une ultime gratification, en lieu et place des frontières closes qui séparent l'Algérie et le Maroc et rappellent l'hostilité économique qui prévalait entre les nations européennes avant la création du marché commun. Certes, les échanges, le commerce et la création d'emplois pour les plus démunis ne permettent pas à eux seuls de résoudre les divergences politiques. Néanmoins, ils aident à alléger les tensions. Les trois pays pourraient devenir des paradis pour le tourisme européen.
La France doit convaincre ses partenaires européens de se tourner vers les MAT. Aucun premier ministre britannique, par exemple, ni même un ministre de haut rang, ne se soucie de rendre visite aux capitales du littoral sud-ouest de la Méditerranée. Les visites politiques, les échanges économiques et la reconnaissance des contraintes que subissent les gouvernements locaux face à leur population en colère et à la menace que pose l'islamisme fondamentaliste ne vont pas suffire à rapprocher les MAT de l'Europe. Mais la possibilité d'une coopération, d'un partenariat et d'un respect mutuel peut faire évoluer au mieux les esprits et les comportements.
La France a peut-être cherché à faire des MAT son domaine réservé. Elle a des liens uniques et forts avec l'Afrique du Nord. Nicolas Sarkozy, en proposant l'Union méditerranéenne, a cherché à inviter l'Europe entière à relever ce nouveau défi, celui d'aboutir, dans les prochaines décennies, à une européanisation soft des pays du bassin austral de la Méditerranée. Un pari risqué. Oui, mais l'autre option, celle des pays MAT qui ne connaîtraient ni le développement ni la démocratie, est pire. Aujourd'hui, l'Europe doit faire face à la pression de l'immigration, celle des millions d'Africains qui rêvent de venir partager notre richesse. La meilleure réponse consiste à démontrer que la création de richesses et la justice sociale peuvent naître en Afrique. Et il n'y a pas de meilleur endroit pour commencer qu'avec nos voisins africains les plus proches. Nicolas Sarkozy a dû revoir à la baisse ses ambitions sur le projet d'Union méditerranéenne. Mais la France a eu raison de se montrer ambitieuse. Les pays MAT méritent aussi le soutien de Bruxelles et des 26 autres capitales européennes. http://www.lefigaro.fr/debats/2008/07/12/01005-20080712ARTFIG00006-l-europe-doit-privilegier-les-pays-du-maghreb-.php - Citation :
RELATIONS INTERNATIONALES - ZAKI LAIDI
La rente contre le développement [ 11/07/08 ]
Ne nous berçons pas d'illusions. Malgré les apparences et les discours, la Méditerranée est aujourd'hui avant tout une frontière impitoyable entre deux rives divergentes. Au Sud, le niveau de vie par habitant est 12 fois plus faible qu'au Nord. Plus préoccupant encore est la dégradation incessante des indicateurs de développement humain de la région. Sur les 153 pays recensés par le PNUD, la Tunisie arrive au 91e rang, l'Algérie au 104e, la Syrie au 108e, l'Egypte au 112e et le Maroc au 126e.
La Méditerranée est sur sa rive sud le sas d'une Afrique subsaharienne encore plus mal lotie.
Au regard de cette situation, le projet d'Union pour la Méditerranée, dont le pilotage sera en fait assuré du côté européen par Bruxelles, présente trois avantages. Il propose de se concentrer sur des projets concrets plutôt que sur des stratégies trop globales. Il laisse de côté des questions politiques insolubles et qui, de toute façon, n'ont jamais été traitées dans un cadre méditerranéen. Enfin, ce projet laisse ouverte la question des financements, ce qui est à la fois paradoxal mais judicieux. Paradoxal car sans financement, rien ne se fera. Judicieux car, contrairement à des idées reçues, le mal-développement de la rive sud ne tient pas à l'absence de ressources mais à la mauvaise allocation de celles-ci. Cette mauvaise allocation résulte de nombreux facteurs. Mais le plus fondamental se situe dans la défaillance de gouvernance économique et politique de ces pays. Car loin d'être le produit d'une sous-administration ou d'un déficit des compétences locales, cette mauvaise gouvernance est la marque de fabrique de régimes rentiers dont il n'est pas acquis que le développement soit le souci prioritaire.
Certes la notion de régime rentier renvoie à des réalités différentes et contrastées. Mais elle se résume généralement à une stratégie visant à accumuler des ressources provenant du sous-sol (énergie) ou de l'étranger (revenus des immigrés, aide extérieure, recettes touristiques) sans chercher à créer à partir de ces ressources de la valeur ajoutée locale ou nationale. Autrement dit, les régimes rentiers ont de l'argent. Mais ils veillent à ce que cet argent reste sous leur contrôle et ne génère aucune création de richesse locale autonome qui pourrait leur échapper. Ces régimes ont donc pour souci prioritaire de maintenir le statu quo social et surtout d'éviter toute autonomisation de la société par rapport à eux. D'où la quasi-impossibilité pour eux d'être démocratiques dans la mesure où c'est la canalisation et le contrôle de l'expression de la société qui pérennise leur maintien au pouvoir. Dans un pays comme l'Egypte par exemple, la quasi-totalité de ses ressources ont un caractère rentier (aide américaine, tourisme, revenus des immigrés, redevances du canal de Suez). L'Etat qui gère et monopolise la rente a donc tout intérêt à ce que la population bénéficie des retombées de cette rente sans qu'elle puisse se l'approprier. L'Etat « offre » magnanimement des ressources à des citoyens qui sont en échange sommés d'accepter sa tutelle. On ne voit pas par quel miracle un tel régime se doterait d'un plan de développement qui pourrait immédiatement entraîner sa chute. Le schéma n'est guère différent dans un pays pétrolier comme l'Algérie. Malgré l'accroissement phénoménal de ses ressources, le pays s'enfonce dans une crise sociale de très grande ampleur. Là encore, cette réalité peut paraître économiquement paradoxale. Mais politiquement, elle fait sens. La rente n'est pas là pour amorcer une stratégie de développement mais pour pérenniser le contrôle politique de la société. C'est la raison pour laquelle l'Algérie fait massivement appel aux Chinois pour construire routes et aéroports, alors que le chômage de la population atteint des niveaux exceptionnellement élevés. Là encore mieux vaut offrir un logement à un chômeur que de créer des emplois pour une population qui, ayant acquis un emploi, serait amenée à revendiquer des droits sociaux ou des droits politiques. Naturellement ces régimes nient cette réalité en bloc, qu'ils accompagnent d'une rhétorique anti-occidentale fort convenue. Il n'est par exemple pas rare d'entendre des responsables politiques de haut rang de ces pays affirmer le plus sereinement du monde que l'Europe ne veut pas leur développement. Personne, naturellement, n'est dupe de ce discours. Mais il permet de gagner du temps.
Il y a naturellement peu de chances que l'Union pour la Méditerranée modifie cette réalité politique complexe, car le changement ne pourra venir que de l'intérieur. Malgré tout, il importe de tout essayer. Si cette « union » n'aboutit pas à financer des « éléphants blancs » et permet d'impliquer un peu plus dans le développement les sociétés civiles, cela ne sera déjà pas si mal.
ZAKI LAIDI est directeur de recherche à Sciences po.
http://www.lesechos.fr/info/analyses/4751183-la-rente-contre-le-developpement.htm |
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| Sujet: Re: UPM Ven 11 Juil - 11:48 | |
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- Le Maroc veut être un élève modèle de l'UPM
De notre envoyé spécial à Tanger Thierry Portes 10/07/2008 | Mise à jour : 21:21 |
Géographiquement et politiquement, Rabat est le plus proche allié de l'UE sur la rive sud.
Le roi du Maroc, devant lequel Nicolas Sarkozy avait formulé, à Tanger, sa vision d'une civilisation méditerranéenne revivifiée, s'apprête à participer de bonne grâce, dimanche à Paris, à la relance du partenariat Euromed. Le flamboyant discours prononcé par le chef de l'État français, le 23 octobre 2007, demeure dans nombre d'esprits marocains, et, certes, des espoirs ont été déçus depuis que les relations entre l'Europe et ses voisins du Sud ont regagné leur plus morne cours. Toutefois, les responsables investis dans le partenariat avec l'Union européenne s'en tiennent à leur ligne de conduite habituelle, ainsi résumée par un diplomate : «Le Maroc est pour tout ce que lui propose l'Europe, ce qui le différencie de ses voisins.»
La diplomatie marocaine avait une inquiétude, exprimée dès le 23 octobre 2007 par Mohammed VI, dans sa réponse au discours de Tanger : que «ce projet visionnaire et ambitieux, celui de l'Union pour la Méditerranée» ne contrecarre son objectif primordial, qui est l'obtention d'un «statut avancé» avec l'Union européenne. Aujourd'hui, le roi peut d'autant plus sereinement s'en venir le 15 juillet à Paris qu'est programmé, le 13 octobre suivant, le Conseil d'association qui devrait accorder au Maroc une place privilégiée auprès de l'UE, juste en dessous des pays candidats à l'adhésion.
«Ce discours de Tanger était un très beau discours, du point de vue formel», note Bruno Dethomas, le chef de la délégation de la Commission européenne au Maroc. Dans son bureau de Rabat, les documents venus de Bruxelles dictent la réalité : «Le processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée.» Dans le jargon communautaire, l'UPM est ainsi devenue le prolongement de l'Euromed décidée à Barcelone en 1995. Il n'en demeure pas moins, précise Bruno Dethomas, que ce discours de Tanger a eu un effet d'«entraînement» et a «affirmé une volonté politique» pour un partenariat euroméditerranéen qui était à bout de souffle.
Un monde à part
«Le mérite du discours de Tanger, dit-on en écho au ministère des Affaires étrangères marocain, est d'avoir placé la Méditerranée au centre du débat européen.» Directeur général des affaires politiques de ce ministère, sherpa du Maroc pour l'UPM et négociateur principal sur le «statut avancé», Youssef Amrani personnalise la cohérence de l'engagement proeuropéen du Maroc. Bloqué dans ses relations avec le Maghreb, sa frontière demeurant fermée avec l'Algérie, ce pays a décidé de se tourner vers le nord.
Tanger, d'où l'on voit le rocher de Gibraltar par temps clair, est aujourd'hui l'objet de bien des attentions. L'ouverture d'une première zone franche a coïncidé avec la montée sur le trône de Mohammed VI, en 1999. À 15 km à l'est de la ville, TFZ (Tanger Free Zone) est un monde à part. Derrière un poste de douane, 353 sociétés y profitent de la main-d'œuvre bon marché, de relations avec l'administration réduites au strict minimum et d'exonérations fiscales pour produire des biens exportés sans avoir été taxés sur le sol marocain. Le doigt sur la liste des sociétés françaises, espagnoles, hollandaises ou allemandes implantées à TFZ, son directeur général, Jamal Mikou, s'excuse presque d'avoir devancé l'appel de Nicolas Sarkozy. «L'Union pour la Méditerranée est déjà une réalité pour nous», dit-il.
Le nouveau port de Tanger est, avec TFZ, l'autre maillon de la chaîne économico-commerciale qui relie le Maroc à l'Europe. Initialement prévu sur la côte atlantique le projet s'appelait Tanger-Atlantique , ce port, baptisé Tanger Med, a été implanté, en 2003, sur le cap marocain le plus proche de l'Espagne (14 km). «Sur l'Atlantique, on faisait perdre 4 heures à tout navire venant charger ou décharger en Europe», explique Anouar Alasri, le directeur marketing et commercial de Tanger Med.
Ce port sert de plate-forme logistique : les conteneurs arrivant de Chine par le canal de Suez sont reroutés sur d'autres navires vers les différents ports européens, Gènes ou Rotterdam, sans entrer sur le marché marocain. Les produits fabriqués à TFZ profitent évidemment du même circuit, sans douane ni taxe. Sur cet énorme couloir maritime entre les détroits de Suez et Gibraltar, l'idée est de brancher des «autoroutes de la mer» pour relier en continu les différents ports de la Méditerranée. C'est l'un des projets concrets de l'UPM. Le port de Tanger, qui est idéalement positionné pour redistribuer les conteneurs de marchandises sur des plus petits navires, a déjà signé en juin dernier un accord avec Barcelone. Mais pour que d'autres autoroutes soient ouvertes, «il faut une volonté politique, explique Anouar Alasri, car il faut libérer de la place sur les ports et subventionner des bateaux qui, au début, ne seront pas pleins».
«On est pour le maximum d'échanges.» Voilà la réponse d'Anouar Alasri à la question du commerce avec Israël. Le processus de Barcelone, ce qui a d'ailleurs contribué à son essoufflement, comme demain l'UPM demeurent les seules enceintes où Arabes et Israéliens se retrouvent. Mais, plus que la question du commerce avec l'Algérie, c'est celui avec Israël qui demeure un tabou pour l'opinion arabe. Les diplomates et les chefs d'entreprises marocains conviennent, en privé, qu'on frise le ridicule, d'autant que les routes commerciales avec Israël existent. Le dialogue méditerranéen permettra peut-être un jour de les officialiser. http://www.lefigaro.fr/international/2008/07/11/01003-20080711ARTFIG00046-le-maroc-veut-etre-un-eleve-modele-de-l-upm-.php |
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| Sujet: Re: UPM Ven 11 Juil - 11:55 | |
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Investment in the Mediterranean The Med’s moment comes
Jul 10th 2008 From The Economist print edition Globalisation is bringing a wave of money to the Mediterranean
LOOK southward from the southern tip of Spain, across the strait of Gibraltar. There, only 14km (nine miles) away through the slight sea haze, arises the vast construction works of a new seaport to the east of Tangier in northern Morocco. Tanger Med (pictured) opened its first docks last July. Handling 3.5m containers a year, it is already as big as Felixstowe, Britain’s biggest port. A second terminal opens this summer, and within seven years its annual capacity will rise to 8.5m. It will be the largest container port in the Mediterranean, not far behind Europe’s biggest, Rotterdam (although merely one-third the size of the Asian giants of Singapore, Shanghai and Hong Kong). Similar ports are being finished in Algeria, Egypt, Malta and Tunisia.
One-third of the world’s container traffic already passes through the Mediterranean, bringing manufactured goods from China and South-East Asia to Europe and the east coast of America. The Moroccans, spending some €3.5 billion ($5.5 billion) on Tanger Med, and others along the coast hope that if they build, a big slice of global commerce will come to their shores. Goods will arrive to be broken down into smaller loads and sent around Europe. Manufacturers will set up factories in tax-free zones planned around the docks, bring in components for assembly and serve the huge market across the water.
Already there is substance in the haze. The Mediterranean’s southern and eastern coasts are pulling in huge quantities of foreign direct investment, on a scale second only to China among emerging economies (see chart 1). The wave started about five years ago, and now private-equity groups and large investment funds from the oil-rich Gulf states are joining in. Tanger Med is but one mighty symbol that something is stirring along the coastline.
This is not the story usually told about the Mediterranean’s poorer coasts. The MEDA ten (a group of southern and eastern economies) have an average income per head of only $6,200, putting them roughly where western Europe was in 1950 and Romania was in 1975. Even though the gap in GDP per head has been closing, thanks to falling fertility rates as well as relatively faster economic growth, at today’s pace it would take almost 160 years for the MEDA ten to catch up with the European Union average. Unemployment is probably between 20% and 30%, even though official figures say it is around 12%.
This last figure helps to explain why Europeans have tended to see the other side of the sea as more of a threat than an opportunity: a source of immigrants, often young and illegal, mainly Muslim and frequently unwelcome. In Italy, Spain and tiny Malta, illegal arrivals are of especial concern. Another reason is nervousness about the region’s political health. Work your way around the map below and you will find few true democracies and much instability, actual or potential.
Yet commerce is scarcely a novelty in the Mediterranean. Centuries ago, the Middle Sea was a hub of world trade: to the Romans, it became mare nostrum—“our sea”—surrounded by the empire. Now the inflow of foreign direct investment may be reversing a long relative decline in the fortunes of the southern and eastern shores. The MEDA economies have managed to step up their growth rates to 4.4% since the turn of the century. A summit to be held in Paris this weekend may give the Mediterranean’s revival a further push.
Tanger Med is a point of arrival for foreign investors. The leading shipping and port companies, such as Maersk and DP World will have terminals there. This February Renault and Nissan started preparing the ground for a huge car factory costing €600m. The Franco-Japanese alliance aims to build low-cost cars and vans not just for Europe but for markets around the world, mostly in emerging economies where the basic Renault Logan has already proved a winner. Annual output will start at 200,000 vehicles, but will double within a few years.
Twenty years ago, Europe’s car industry stopped building new factories in low-wage Spain and Portugal, and turned to eastern Europe, including Turkey. The step across the Med, to a country where wages are one-fifth of what they are on the northern shore, is of great significance. Competitors will watch and may follow. Morocco has already attracted car-parts firms such as Leoni (from Germany), Valeo (France) and Clarcor (America). For 50 years Europe’s car factories have shipped in labour from Turkey and north Africa to their factories in Germany and France, and invested little to the south. Now the capital is moving to the labour: the mountain is moving to Muhammad, if you will.
Things have been stirring on the poor side of the sea since 2000, albeit painfully slowly. In 1995 the EU started what is known as the Barcelona Process, intended to forge a Mediterranean free-trade area by 2010. By and large, that is happening through bilateral agreements between the southern countries and the EU. Sadly, the southerners’ political conflicts and lack of will to act in concert—they do not even trade much with each other—meant that each country was dealing alone with the Europeans. That has cost them. For example, industrial products can move across the sea tariff-free, but agricultural products from countries such as Morocco are still subject to EU tariffs.
Piecemeal as it is, the political and economic partnership offered by the EU has prompted change to the south. According to Bénédict de Saint-Laurent, director of ANIMA, a network of inward investment agencies for the MEDA countries, it has prompted economic, financial and fiscal reforms which have made their economies much more open and more transparent. Inflation has come down from an average above 20% to around 5%. Debt has come down from 80% of GDP to around 60%, budget deficits from 5% to 3%. This has been fuelled by rises in receipts from tourism and remittances from migrant workers in Europe, as well as oil and gas revenues. The fiscal squeeze may not have done much for the region’s poor, but for the first time governments have the means to build better roads and houses, which are much needed.
Europe has also injected capital into the MEDA countries: around €8.7 billion between 1995 and 2006, plus loans worth €15 billion from the European Investment Bank and partners such as the World Bank under a programme known as FEMIP (Facility for Euro-Mediterranean Investment and Partnership). Between 2007 and 2013 another €14.9 billion is due to be sent as EU aid, with €8.7 billion from FEMIP. If that seems generous, an analysis by ANIMA suggests that at €8.30 per person up to 2006 and €12 up to 2013, it is minuscule compared with the hundreds of euros per person showered every year on eastern European countries before they joined the EU, and tinier still next to the structural funds lavished on Ireland, Greece and Portugal. But the EU’s involvement could be about to rise.
On taking office last year the president of France, Nicolas Sarkozy, launched his own plan for a Union for the Mediterranean. This was sold as a way of resuscitating the Barcelona Process—although its true purpose may have been to offer Turkey a consolation prize instead of membership of the EU. At first Germany’s chancellor, Angela Merkel, took a dislike to it, seeing in it a new club without the EU’s northern members but paid for with EU (ie, mainly German) money. Now it is within the purview of the EU, Ms Merkel seems more at ease with Mr Sarkozy’s scheme, which has been diplomatically renamed “The Barcelona Process: Union for the Mediterranean”. This weekend in Paris Mr Sarkozy, whose country now holds the European presidency, will hope to put more flesh on his idea.
The EU’s clout and money are probably necessary to get the new union going. But there is a risk that European governments will concentrate on immediate questions of security and migration rather than on measures to boost the economies of their southern neighbours (which in turn may improve security and limit northward migration). In June Benita Ferrero-Waldner, the EU’s commissioner for external relations, told the European Parliament that real projects were needed to bring about economic solidarity. But she could cite only the promotion of fast sea-routes and a motorway linking the Maghreb (in the west) with the Mashrek (Egypt and the eastern shore). This weekend’s meeting, however, may produce a plan for closer integration. Despite the Franco-German row, observers such as Mr de Saint-Laurent credit Mr Sarkozy with breathing life into the flagging Barcelona Process.
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| Sujet: Re: UPM Ven 11 Juil - 11:56 | |
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- Follow the money
Whatever happens at a political level, the economic signs are encouraging. There is a groundswell of foreign direct investment in the region. According to figures collated by ANIMA, the southern and eastern shores of the Mediterranean are now attracting more investment than other emerging economies such as India, Mercosur or southern Africa; only China catches more. That raises three questions: where is it coming from; where is it going; and who is investing?
For the first time the MEDA countries as a whole are punching their weight in terms of inward investment: they have about 4% of the world’s population and are now getting a slightly higher share of investment flows. Inward investment has grown sixfold in six years.
The leading recipients have been Turkey, Israel and Egypt. The prospect of entry into the EU has fuelled Turkey’s five-year inward investment boom, though political difficulties and the slow pace of adhesion to Europe may explain a recent slowdown. Israel, with its hyper-educated technical workforce, boosted by arrivals from the former Soviet Union, has been a happy, high-tech hunting ground for American investors. Renault have moved in too, to make electric cars. Egypt’s political stability and economic reforms since 2004 have attracted investment too—notably the €12.9 billion purchase in December last year of Orascom Cement by Lafarge of France, paid for in Lafarge shares. Behind these leaders, Algeria and Morocco have each seen inward investment grow tenfold since 2002.
To be sure, there are downs as well as ups: the dotcom bust curbed American investment in Israeli technology; and first estimates for 2007 show a fall of about $8 billion across the region, caused by fewer mega-projects in tourism and property, a slowing of privatisation and fewer purchases of Israeli firms by American ones. A plan by Agrium, a Canadian company, to build a $1.2 billion fertiliser factory in Egypt was halted by local business rivals and environmental protests. Even so, says ANIMA, the number of investment projects is still running at around 800 a year.
Behind this groundswell lie several factors. The boom in energy and raw materials has brought in oil and gas explorers but also investors in petrochemicals, fertilisers and cement. The maturity and saturation of European markets is another reason to look south. Privatisation of banks and telecoms firms has also attracted investors, notably from the Gulf. The recent strength of the euro against the dollar should help too. Safran, a French aeronautical firm, is directing investment to Morocco to escape the pain of the strong euro. It is a big supplier to Airbus, which has made it clear that it expects its suppliers to price in dollars. EADS Socata, another subsidiary of Airbus’s parent company, has also invested directly in Morocco for the same reason.
The source of the funds has changed in the past five years (see chart 2). Europe still accounts for about 40%, but North America’s share has shrunk from 25% to around 10%. Meanwhile the portion coming from the oil-rich Gulf states has risen from 16% to over 30%. More intriguingly, the share of emerging economies such as Brazil and India has climbed from 8% to around 20%.
Although energy is an important draw for investors, it accounts for less than one-sixth of the whole (see chart 3). Banking (led by European banks) has not been far behind. Industries such as telecoms, chemicals, metalworking, tourism and car parts continue to attract dozens of deals a year across the region. Europeans have been buying homes by the thousand. Many are long-term residents rather than tourists.
The inward investors can be grouped into four types, according to Mr de Saint-Laurent. The first might be called “offshore” investors. These are firms attracted by deposits of oil and gas in places such Algeria, Libya, Morocco and Tunisia. They are offshore in that they ship in all their labour, equipment and supplies. They pay the state for the resources they extract, but have little further effect on the local economy. The second group consists of European companies, led by the French but also including the Spanish and Italians. Reflecting their colonial histories, the French and Spanish tend to be found in the west, the Italians farther east. These investors usually form joint ventures or buy local small and medium enterprises, if only because such partners are needed in the Islamic Arab cultures of the region.
Third comes a new group, the Gulf funds. Their billions tend to go to the huge resorts springing up along the coast. Investors from Dubai have a €10 billion project in southern Tunis, a €3 billion development in Algeria and €600m site in Morocco. With them come Spanish builders, such as Sacyr Vallehermoso, which see on the southern shores of the Mediterranean an opportunity to recreate the old boom on the Costas back home. These investors have something in common with the offshore oil-and-gas brigade: often, not much spills over into the local economy besides low-paid jobs for cleaners and waiters.
The fourth group, also newcomers, are perhaps the most interesting: investors from emerging markets. Several Indian companies have set up shop in the region. Tata has invested in motor manufacturing and outsourced information-technology work in Morocco. Wipro Technologies, a computer-services firm, also does IT work in the region. Ranbaxy Laboratories, a drugmaker, has factories there. Gujarat State Fertilisers and Coromandel Fertilisers from India are investing in a Tunisian factory to make phosphoric acid from the rich local reserves of phosphorus. South Korean investors also pop up, for instance with a car-parts factory in Tunisia and hotels in Syria. These industrial investors have no qualms about taking over local companies with thousands of employees—meaning that they are thoroughly integrated into the local economy, and their activities have a big knock-on effect.
The region’s boosters would also like to attract more money from a fifth group of increasingly interested investors: private-equity funds. The rapid increase in foreign direct investment flows is encouraging, because they indicate the region’s attractiveness to international capital: the export markets it can serve, wage costs and so forth. Increased interest from private-equity groups in small and medium enterprises would be a measure of these investors’ confidence in the entrepreneurship on offer around the Mediterranean.
In 2007 private-equity funds had a remarkable year in emerging markets, with 204 funds raising $59 billion, about 80% more than in 2006. Around 140 funds are reckoned to operate in the south and east of the Mediterranean, plus another 181 in Israel (which is a case apart, because of the virtual integration of its economy with America in general and Silicon Valley in particular). But the funds are starting to spread throughout the region, with 18 in Morocco ($846m invested), ten in Egypt ($611m), nine in Tunisia ($64m) and nine in Turkey ($1.2 billion). The trend, however, has been to go for project finance rather than investments in smallish companies.
Med revival
The falling away of the countries on the Mediterranean’s southern and eastern shores from their European neighbours has been sad and wasteful. Algeria once was the breadbasket of the Roman empire; today it is the biggest wheat importer in Africa. Many things hold the region back, not least bad infrastructure, poor education and dysfunctional politics. The new economic hope is not evenly spread: foreign direct investment is swallowed disproportionately by Egypt, Israel and Turkey.
The boom in energy and raw materials should give many countries a start in building their economies up. If foreign investors do no more than harvest the oil and gas and leave, the region may simply stall again. What is needed is more of the joint-ventures and industrial projects represented by firms such as Safran and Renault-Nissan. But the real test will be whether the region’s economy can be broadened and deepened. Then clearer shapes may emerge through the haze across the strait. c'est un peu long mais c'est interissant |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 12:59 | |
| - Citation :
- Le Maroc, plateforme réflexive du projet de l’Union pour la Méditerranée
APA-Rabat (Maroc) Le projet de l’Union pour la Méditerranée (UMP), qui sera lancé officiellement dimanche à Paris en présence de 44 chefs d’Etat et de gouvernement, a conféré, dès le départ, au Maroc une place de choix dans la démarche réflexive pour lancer le projet et lui baliser le chemin de la pérennité.
C’est à la ville marocaine de Tanger (nord) que le président français Nicolas Sarkozy a lancé, le 23 octobre dernier, ce projet qui se veut une plateforme « idoine » de coopération multidimensionnelle entre le nord et le sud via notamment les pays qui se partagent le pourtour méditerranéen.
Une idée que le chef de l’Elysée a défendue « bec et ongles » tellement elle englobe une approche de « multilatéralisation », de partenariat, d’interdépendance et d’une nouvelle génération de coopération.
Encore une fois c’est à la ville impériale de Fès (nord est du Maroc), en juin dernier, que le projet a été mûrement réfléchi en la présence d’un florilège d’experts des deux rives de la méditerranée pour notamment éviter les blocages et dépasser les hésitations.
Cette rencontre n’a pas manqué de révéler, au grand jour, que certains pays, comme la Libye, ne croient pas en « la légitimité » de cette nouvelle structure.
A mi chemin, les chantiers de l’UMP montent d’ores et déjà au créneau comme la dépollution de la Méditerranée, le plan solaire, les autoroutes de la mer, l’accès à l’eau, la protection civile, la création d’une agence pour la promotion des PME.
Y figurent également des projets sur la gouvernance pour favoriser les investissements des entreprises dans les projets liés à l’eau, mise en place d’une autoroute maritime entre Alexandrie et Tanger, un plan solaire méditerranéen, un espace scientifique pour mettre en réseau les pôles d’excellence, indique-ton .
Le sommet de Paris promet une brochette de thèmes clés pour la région et pour le démarrage effectif de «l’Union » tels l’environnement, le développement durable, l’énergie, la sécurité alimentaire, l’éducation et la culture.
Des thèmes aussi bien variés que décisifs qui en disent long sur l’élan de cette démarche, aux yeux des observateurs, appelée à être imprimée d’une « volonté politique infaillible ».
Selon l’Elysée, les projets à mettre en marche feront appel au « financement communautaire » mais aussi aux instances compétentes comme la Banque africaine de développement (BAD), la Banque mondiale, les agences de coopération en plus du secteur privé.
Limitée au départ aux deux rives de la Méditerranée, l’UMP, avant même son lancement, s’est transformée en une «grande union » de 44 membres dont les 27 de l’Union européenne (UE).
Cette union concntre un marché frôlant les 800 millions d’âmes. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 16:04 | |
| tous ceci est une grande arnaque, d'abord cela justifierait un rapprochement des régimes arabes avec israel, ensuite on verra une appropriation des marchés des pays du sud par les entreprises françaises, italiennes et espagnoles et enfin cela affaiblira de manières significative toute proposition de coopération sud-sud.
même si je suis quelqu'un de très pragmatique, et que je sais que cette union pourrait avoir un grand impact sur les économie des pays sud, la philosophie de M Sarkozy m'intrigue, après l'abandon de la doctrine de la France-Afrique et le rapprochement avec le "camp occidental" (terme détestable utilisées par la nouvelle diplomatie française) il essaye de rebooster les intérêt français dans la région pour ne pas dépendre totalement des États-unis, en plus cela ne fera que servir la politique française en matière d'immigration, en renforçant la coopération dans ce domaine avec les pays du sud du bassin et en oubliant les vrais causes de ce fléau, nous deviendront les gardiens des frontières européennes sans en avoir les avantages. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 16:25 | |
| - freedom a écrit:
- tous ceci est une grande arnaque, d'abord cela justifierait un rapprochement des régimes arabes avec israel, ensuite on verra une appropriation des marchés des pays du sud par les entreprises françaises, italiennes et espagnoles et enfin cela affaiblira de manières significative toute proposition de coopération sud-sud.
même si je suis quelqu'un de très pragmatique, et que je sais que cette union pourrait avoir un grand impact sur les économie des pays sud, la philosophie de M Sarkozy m'intrigue, après l'abandon de la doctrine de la France-Afrique et le rapprochement avec le "camp occidental" (terme détestable utilisées par la nouvelle diplomatie française) il essaye de rebooster les intérêt français dans la région pour ne pas dépendre totalement des États-unis, en plus cela ne fera que servir la politique française en matière d'immigration, en renforçant la coopération dans ce domaine avec les pays du sud du bassin et en oubliant les vrais causes de ce fléau, nous deviendront les gardiens des frontières européennes sans en avoir les avantages. les régimes marocains et israeliens sont déjà rapproché depuis des decennies par la force des choses car dans les années 50s et 60s plus de 300 000 juifs marocains sont partis à israel, imagine aujourd'hui le nombre d'israeliens originaires du maroc et attachés à leur pays d'origine. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 17:03 | |
| - freedom a écrit:
- tous ceci est une grande arnaque, d'abord cela justifierait un rapprochement des régimes arabes avec israel, ensuite on verra une appropriation des marchés des pays du sud par les entreprises françaises, italiennes et espagnoles et enfin cela affaiblira de manières significative toute proposition de coopération sud-sud.
ce language idealiste m´est connu de quelquepart on aura des relations avec israel que ca vous plaise ou non! meme mahmoud abbas veut venir,et vous voulez etre plus palesto qu´eux meme changez bon dieu! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 19:15 | |
| Moi je suis pour que nos chers juifs reviennent tous chez eux dans la terre qui les a vu naitre et qui les a toujours respecté et surtout qu'ils arretent de se faire maltraiter par les ashkenazes et risquer leur vies face aux opprimés, mais c'est un autre debat...
L'UPM pour l'instant me semble plus un projet pour nous detourner de notre continent, l'Afrique, et pour nous transformer en frontiere pour l'Europe, mais attendons de voir la suite avant de nous prononcer, même si je doute que Sarko se preocuppe d'autre chose que sa propre gloriole. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 19:47 | |
| - Citation :
- Le roi du Maroc absent du sommet de l'Union pour la Méditerranée
RABAT - Le roi du Maroc Mohammed VI ne se rendra pas dimanche à Paris pour le sommet de l'Union pour la Méditerranée (UPM) et sera remplacé par son frère, le prince Moulay Rachid, a indiqué une source proche du gouvernement marocain.
Le souverain marocain a renoncé à assister au sommet pour cause de "calendrier chargé", a indiqué samedi cette source sous couvert de l'anonymat.
Le sommet doit réunir plus de quarante chefs d'Etat de l'Union européenne et du pourtour méditerranéen.
(©AFP / 12 juillet 2008 19h01) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 20:34 | |
| Bien joué, on ne peut tourner son dos a l'Afrique qui a besoin de nous et qui a beaucoup a nous offrir ( tout est a faire ou presque)! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 20:46 | |
| Je pense que c'est pour d'autres raisons, car l'Europe est de loin une plus grosse priorité et un bien meilleur partenaire que l'Afrique. Il aurait du envoyer Moulay (?) en Afrique et lui en France avec 44 autres chefs d'états |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 20:46 | |
| ca ne m'étonne pas le Roi préfére inaugurer des centres sociaux ou lancer des projet de developpement dans les trous perdu du Maroc, que de participer a des réunion international avec luxure et petit four D'ailleur aujourd'hui meme pendant que ses collègues sont arriver dans les luxieux hotel parisiens, le Roi a lancer plusieur projet sociaux -économique a Saidia et Nador http://www.map.ma/fr sa priorité n'est ni l'Afrique, ni l'Europe c'est le...Maroc Bref plutot Taza que Gaza.... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:06 | |
| - dr.watson1 a écrit:
- Je pense que c'est pour d'autres raisons
le siege ne reviendrai plus a tanger apparement..tunis ou barcelone |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:10 | |
| On comprend mieux maintenant la réaction de M6, UPM est voué a l'échec comme le processus de Barcelone. Au départ ce fut une bonne idée mais depuis que les Allemands ont foutu leurs nez dedans l'UPM a perdu de son importance, ca devient un Barcelone Bis |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:22 | |
| merkel n´aime pas le sud par nature,c´est connu ici,pour elle cé st l´Est et rien que l´est,elle a un faible pour la culture russe et parle russe de part qu´elle vient de la DDR(ex-allemagne de l´est)
c´est la bete noire des etrangers ici,et surtout des turques,donc c´est normal qu´elle ne veut pas financer des projets "importants" pour des bougnouls du sud..dommage car c´etait vraiment un bon projet de sarko.
mais la cause de..avec le roi je crois que c´est plus grave que ca,y´aurai des pressions de léspagne et d´europe en general pour forcer la main au sudistes pour la directive "retour" de leur etrangers,ce que le roi a refusé violement(200.000 en espagne)
siege..ou..retour? |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:24 | |
| ne vous cassez pas la tete a chercher le pourquoi du comment le Roi ne va pas a Paris parcequ'il a mieux a faire a Nador, Saidia, et compagnie, encore une fois je n'est plus a vous démontrer le style M6 Pour l'UPM, je pense que c'est trop tot pour ce prononcer, on verra par la suite mais c'est sur que le fait de rajouter les pays de l'UE non méditéranéen va compliquer les choses | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:26 | |
| j´ai des difficultés a m´habituer a ce style franchement..on ne sait plus ce qui peut se passer |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:34 | |
| Les turques veulent maintenant joué un rôle Important dans l'UPM. 44 pays et 3 sièges disponible c'est vrai que rendre visite dans des regions du Pays est une bonne chose, mais il existe des chose beaucoup plus importante que d'allé a Nador alors qu'il y a un sommet Hyper important pour l'avenir de la Région, Rien empêche le Roi d'allé a Nador un autre jour, par contre la date de l'UPM ne sera pas déplacés, donc le plus important c'est l'UPM. La raison de Yak est la plus probable ! Il y a du y avoir un changement de dernière minute pour le siège de l'UPM et pour marquer son désaccord le Roi n'est pas venu. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:38 | |
| et dans la politique internationale casser un mot donné ca se paie cher...c pas bien ca! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 21:55 | |
| - Citation :
- Le roi du Maroc absent du sommet de l'Union pour la Méditerranée
RABAT (AFP) — Le roi du Maroc Mohammed VI ne se rendra pas dimanche à Paris pour le sommet de l'Union pour la Méditerranée (UPM) et sera remplacé par son frère, le prince Moulay Rachid, a indiqué samedi une source proche du gouvernement marocain.
Le souverain marocain a renoncé à assister au sommet pour cause de "calendrier chargé", a indiqué samedi cette source sous couvert de l'anonymat.
Le sommet doit réunir plus de quarante chefs d'Etat de l'Union européenne et du pourtour méditerranéen.
Le prince Moulay Rachid, considéré par le protocole royal comme le représentant personnel du souverain marocain, a quitté samedi après-midi le Maroc pour Paris, selon la même source.
"Le roi doit inaugurer une série de chantiers notamment à Oujda et Nador, dans le nord du Maroc", a indiqué la même source en écartant "toute hypothèse" de différend avec la France sur le projet de l'UPM.
"Le Maroc soutient fermement ce projet et il le défendra toujours car il s'agit d'un processus d'intégration qui sera bénéfique pour les peuples de la région", selon la même source.
Le royaume chérifien avait récemment manifesté, selon la presse marocaine, un intérêt pour accueillir le secrétariat général de l'Union pour la Méditerranée, un poste pour lequel l'Espagne et la Tunisie étaient également en compétition.
Le roi du Maroc, qui était en visite privée en juin dernier à Paris, avait rencontré le président français Nicolas Sarkozy.
Le 23 octobre 2007, lors de sa visite d'Etat au Maroc, Nicolas Sarkozy a invité à Tanger (nord) les chefs d'Etat de la Méditerranée à une réunion en France en juillet 2008 pour jeter les bases "d'une union économique, politique et culturelle" de la Méditerranée.
Samedi, l'hebdomadaire marocain Telquel (indépendant) s'est demandé pourquoi le Maroc n'avait pas jusqu'ici annoncé officiellement qui devrait le représenter au sommet de Paris.
"Alors que Abdelaziz Bouteflika (président algérien), longtemps indécis, a finalement annoncé qu'il se rendrait à Paris le 13 juillet au sommet de l'UPM, (le roi) Mohammed VI n'a pas encore fait part de ses intentions", écrit l'hebdomadaire.
"Cet attentisme est d'autant plus surprenant, ajoute Telquel, que les staffs respectifs du (roi) Mohammed VI et du président français n'ont cessé de s'envoyer des signaux encourageants par le biais notamment du conseiller royal André Azoulay et d'Henri Guaino, conseiller de Sarkozy".
Selon les observateurs à Rabat, toute visite officielle du roi du Maroc à l'étranger fait l'objet préalablement d'une annonce officielle communiquée par le protocole royal. Ca confirme que c'est bien a cause du Siege de l'UPM que M6 n'est pas là. Bonne decision d'M6 ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 22:10 | |
| Non Yakouza très mauvaise décision d'M6 , c'est pas une conférence ou un jeux téléviser pour ne pas assister , c'est peut être le sommet qui vas changer la face du monde, et cette union dont vous êtes tous septiques, pourrait bien se transformer en vrai UE, et changer notre pays et tous les 40 autres pays ! Et en plus avec tous mes respect a Moulay Rachid, il bien placer pour représenter le royaume dans un mariage royal à Monaco, ou des funérailles du pape de Vatican, ou n'importe quelle cérémonie officiel, mais pas représenter le Maroc dans un évènement international majeur , c'est le rôle du chef d'État pas de son frère dommage ! Voila un autre article qui prouve le contraire, en faite en attend demain pour voir s'il vient oui ou non, il pourras bien partir ce soir. - Citation :
Mohammed VI sera présent lors du Sommet des chefs d'Etat invités par le président Sarkozy pour le lancement officiel de l'Union pour la Méditerranée
Mohammed VI se rendra à Paris pour assister, ce 13juillet, au Sommet des chefs d'Etat et de gouvernements des deux rives lançant les bases de l'Union pour la Méditerranée (UPM). C'est ce que confirme une source informée qui indique que le Souverain sera accompagné d'une forte délégation marocaine. L'on apprend également que le déplacement royal sera précédé par l'arrivée sur place de Taïeb Fassi Fihri, éventuellement pour participer à une réunion informelle des ministres des Affaires étrangères des pays concernés : 39 au total, dont 12 du sud de la Méditerranée.«Le Soir» a également appris que, comme d'habitude lors de tels déplacements royaux, des équipes de la RAM travaillaient déjà, mercredi et jeudi, à la préparation de l'avion utilisé par Mohammed VI.
Aucune source parmi celles contactées par nos soins n'a toutefois pu confirmer, ou infirmer, l'éventualité d'un mini-sommet entre Mohammed VI et Abdelaziz Bouteflika qui se sont «évités» depuis longtemps et lors de moult rendez-vous. A moins qu'ils ne décident d'agir à l'image des deux chefs d'Etat libanais et syrien qui se sont mis d'accord sur un tête-à-tête en marge de la grand-messe de Paris. Mercredi dernier, Michel Sleimane et Bachar Assad ont réglé la chose par téléphone.
Le déplacement de Mohammed VI à Paris, au lendemain de la visite du chef du gouvernement espagnol au Maroc, confirme la volonté exprimée par le royaume, depuis le début, de ne pas rester en marge de cette Union en devenir. Car, si Nicolas Sarkozy avait commencé à parler de l'UPM en févier 2007 lors de la campagne pour les présidentielles, c'est au Maroc, l'automne de la même année, qu'il a annoncé ce qui pourrait ressembler aux contours de cette structure
Mieux encore, c'est dans la ville de Fès, et sous le haut patronage du Souverain, qu'un premier congrès a été organisé autour de l'UPM, du 2 au 5 juin, en présence de responsables de premier plan de plusieurs pays concernés. Par la suite, ce sont des responsables marocains qui ont été dépêchés à Paris, où ils ont été reçus à l'Elysée par les proches collaborateurs de Nicolas Sarkozy, auxquels ils avaient remis les conclusions du congrès de Fès.
Selon des sources diplomatiques, le Maroc aimerait encore renforcer sa position dans cette union naissante en en accueillant le siège ou du moins en en abritant celui du secrétariat général. Le siège de l'UPM attise déjà les convoitises des Français, avec notamment la patronne des patrons, Laurence Parisot, qui a appelé à ce qu'il soit domicilié à Marseille.
Seul chef d'Etat qui aurait pu «gâcher» la méga-fête de Nicolas Sarkozy, Mouammar Kadhafi ne se rendra finalement pas à Paris, mais continue à multiplier les critiques contre l'initiative du président français. Dernière sortie en date, le guide de la Révolution libyenne a joué sur la présence d'Israël pour alerter sur le risque d'une normalisation entre les pays arabes et l'Etat hébreu par le biais de l'Union pour la Méditerranée Car, confirment les médias français, aussi bien le chef du gouvernement israélien. Ehud Olmert, que le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. feront le déplacement à Paris.
Pour Mohammed VI, il s'agira tout simplement d'un deuxième déplacement dans l'Hexagone en l'espace de moins d'un mois après un séjour privé. Lors de ce dernier, le Souverain a rencontré, dans sa résidence, Nicolas Sarkozy et a tenu à le faire savoir par le biais des médias officiels.
Mohammed Boudarham Source: Le Soir Echos |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: UPM Sam 12 Juil - 22:17 | |
| encore une fois c'est assez trouble comme histoire pour le siège le Maroc était dans la course avec la Tunisie et Malte mais l'Algérie ne voulais pas qu'il soit au Maroc ( selon Jeune Afrique et Liberté) peut etre que ce fut l'une des promesse de Sarko pour que Bouteflika viennent ? Cependant, toujour celon Jeune Afrique, une contrepartie aurai été donner au Maroc que le secrétaire général soit Marocain, on parle de HASSAN ABOUYOUB ambassadeur itinérant du Maroc... Donc on ne voit pas en quoi le Roi "boycotterai" le sommet encore une fois je croit que c'est plus pour inaugurer les structure sociaux, et aussi une facon de dire au marocain, "regarder je préfère m'occuper de vous que de faire de la figuration a coté de Sarko" pour mon frère Big boss c'est bien Moulay Rachid qui va représenter le Royaume a Paris - Citation :
- Maroc-France-UPM : Arrivée à Paris de SAR le Prince Moulay Rachid
Paris, 12/07/08- SAR le Prince Moulay Rachid est arrivé, samedi après-midi à Paris, pour représenter SM le Roi Mohammed VI au Sommet de l'Union pour la Méditerranée (UPM), qui s'ouvre dimanche dans la capitale française.
A sa descente d'avion, SAR le Prince Moulay Rachid a été accueilli, notamment, par l'ambassadeur du Maroc en France, M. Fathallah Sijilmassi, l'ambassadeur du Maroc, délégué permanent du Royaume auprès de l'Unesco, Mme Aziza Bennani, l'ambassadeur, Consul général du Maroc à Paris, M. Abderrazak Jaidi, un représentant du Protocole du Palais de l'Elysée, l'attaché militaire de l'ambassade du Maroc, le colonel-major Abdelkrim Nhamoucha et par le conseiller politique près de l'ambassade du Royaume, M. Hicham Bensoltane.
SAR le Prince Moulay Rachid prendra part demain aux travaux du sommet de l'UPM qui signe l'acte de naissance de cette union.
Dernière modification 12/07/2008 17:43. MAP-Tous droits réservés | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Dim 13 Juil - 1:39 | |
| - big boss a écrit:
- Non Yakouza très mauvaise décision d'M6 , c'est pas une conférence ou un jeux téléviser pour ne pas assister , c'est peut être le sommet qui vas changer la face du monde, et cette union dont vous êtes tous septiques, pourrait bien se transformer en vrai UE, et changer notre pays et tous les 40 autres pays !
Et en plus avec tous mes respect a Moulay Rachid, il bien placer pour représenter le royaume dans un mariage royal à Monaco, ou des funérailles du pape de Vatican, ou n'importe quelle cérémonie officiel, mais pas représenter le Maroc dans un évènement international majeur , c'est le rôle du chef d'État pas de son frère dommage !
Voila un autre article qui prouve le contraire, en faite en attend demain pour voir s'il vient oui ou non, il pourras bien partir ce soir. Le sommet qui va changer la face du monde! Rien que ça! Il faut vraiment avoir le don de voir le futur pour se permettre de dire que M6, Docteur, thèse sur les relations Nord-Sud, grandi dans le pouvoir,dispose des rapports des services secrets et connait la majorité des dirigeants personellement, a fait un tres mauvaise decision! Le monsieur sait ce qu'il fait et dispose des conseils avisés d'Andre Azoulay qui n'est plus a presenter... Big Boss, il faut prendre ton temps avant de poster. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: UPM Dim 13 Juil - 15:19 | |
| - Citation :
ce language idealiste m´est connu de quelquepart Laughing
on aura des relations avec israel que ca vous plaise ou non! meme mahmoud abbas veut venir,et vous voulez etre plus palesto qu´eux meme Suspect
changez bon dieu! ce langage idéaliste est le plus réaliste qui soit, la question palestinienne en soit ne représente aucun intérêt idéologique pour moi, le problème est dans le fait que si on accepte Israël sans résolution juste de cette question on ne peut avoir une paix sociale durable, car même si au Maroc le régime est proche d'Israël,nos concitoyens restent profondément méfiant envers cette entité très agressive, en plus même si le régime bénéficie des quelques miettes que lui jettent les états-unis et l'Europe en conte-partie, le Maroc ne sera jamais regardé comme un égal par ces pays, le revirement des politiques étrangères de ces derniers prouve bien qu'il cherchent la résurrection de l'entité occidentale comme étant un bloc uni, et nous ne serions que les garants de cette unité en la protégeant de ses victimes en Afrique et en moyen-orient. Le "terrorisme islamistes" (un autre mot que je déteste) et l'insécurité énergétique, sont ceux que craint le plus ces pays, et cette union n'est là que pour retarder leur chute vu les nouvelles puissances émergeantes, il faut comprendre que plus nous sommes liés à eux plus nous sommes enclin à servir leurs intérêts car le faussé est trop grand entre les deux rives. Dans le nouveau monde qui se crée il faut que les pays du sud abandonnent leurs idéologies et leurs complexes du colonisés pour un pragmatisme qui leur fera profiter de la multi-polarisation du globe, alors que l'UPM ne cherche qu'à nous lier au pôle dit "occidentale". |
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