Documentaires militaires(Guerres,Materiel..)

Rappel du premier message :

-Envoyé spécial : Guerre au Liban



Jeudi 7 septembre 2006 - France 2 - 20h55

Document 34 jours de guerre, plus de mille morts, des destructions qui se chiffreraient en milliards de dollars, et près d’un million de réfugiés. Le 14 août un cessez le feu fragile semblait mettre fin aux hostilités au Liban. Deux journalistes d’Envoyé spécial, Grégoire Deniau et Philippe Levasseur, au Liban et en Israël avec des combattants proches du Hezbollah ou avec des unités de combats de l’armée israélienne, ont suivi cette actualité à l’étranger.
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Durée : 24min
Format : RMVB
Hébergement des fichiers : Megaupload
Qualité : TV-RIP
Nombre des fichiers : 1
Taille : 155Mo


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Planète - Stalingrad


Série documentaire de 3 épiosdes diffusées en mars 2010 sur Planète

Durée : 51min par épisode
Réalisation : Jörg Müllner
Production : ZDF/TVS/Teleac NOT/YLE
Année : 2003

La bataille de Stalingrad a été la plus sauvage et la plus sanglante de la Seconde Guerre mondiale. D’août 1942 à février 1943, l’Armée rouge et l’armée du Reich s’affrontent pour la possession d'une grande ville russe au nom symbolique. La défaite allemande marque un véritable tournant dans le conflit et le début de la fin pour Hitler. Un documentaire en trois parties.
Depuis juin 1941, les troupes allemandes marchent sur la Russie, incendiant villes et villages et assassinant nombre de civils sur leur passage. En août 1942, après une série d’erreurs stratégiques, la 6ème armée du Reich se retrouve seule aux portes de Stalingrad. Hitler, qui désire plus que tout voir cette cité au nom évocateur tomber aux mains des Nazis, ordonne à ses troupes de prendre la ville. Staline, conscient de l’enjeu symbolique que revêt Stalingrad, interdit l’évacuation des civils. Il espère ainsi galvaniser ses hommes et leur donner une raison supplémentaire de défendre la cité. Le 23 août, l’aviation allemande bombarde massivement la ville. 40 000 Russes perdent la vie en cette seule journée. Stalingrad est détruite à 80%. Mais le combat ne fait que commencer : les survivants s’organisent, se terrent et livrent des batailles de rue sanglantes à leur ennemi. Au mois de novembre, les Allemands finissent par occuper 90% de la cité au prix d’incroyables carnages. Hitler jubile et annonce sa victoire, mais Staline prépare sa riposte et envoie un million d’hommes pour reprendre la ville qui porte son nom. Cette mini-série, construite autour de témoignages de survivants de la bataille et d’images d’archives filmées par les deux armées, a été nommée aux International Emmy Awards 2003 dans la catégorie « Meilleur documentaire ».


Format : DivX
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Qualité : TV-RIP
Nombre des fichiers : 1 par épisode
Taille : 373 à 390Mo par épisode


Ici pour telecharger l'épisode 1 : L'assaut

Ici pour telecharger l'épisode 2 : Le chaudron

Ici pour telecharger l'épisode 3 : La débâcle

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TANKS - Les blindés de la Deuxième Guerre mondiale


PREMIERE PARTIE

Panzer I & II



Les chars légers allemands, héros des premières victoires d'Hitler


L'une des idées toutes faites sur la seconde guerre mondiale reste encore celle que les victoires allemandes, au début du conflit, furent remportées grâce à la suprématie des chars allemands sur ceux de la Grande Bretagne, de la France et de l'Union soviétique. La suprématie numérique était incontestable mais ce fut surtout la supériorité tactique de l'état major du IIIème Reich qui emporta haut la main la décision.

En effet les panzers I et II qui équipaient majoritairement les unités blindées étaient, au début de la guerre, déjà dépassés ! Les chars alliés étaient, pour la plupart plus puissants, mieux armés, en un mot technologiquement supérieurs. Mais le génie militaire des généraux Guderian, Rommel et Von Manstein dans l'utilisation des blindés fit largement la différence. Cette suprématie fut particulièrement éclatante dans le déroulement de la bataille de France et des batailles qui suivirent, jusqu'en 1942.

Sommaire :
- L'Allemagne se réarme
- L'armée allemande s'entraîne
- L'Allemagne attaque
- Victoires sur tous les fronts
- Hitler affronte la Russie

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Panzer III



Un acteur majeur sur tous les fronts de 1939 à 1945.


Produit dès 1938, ce n'est qu'à partir de d'avril 1940 que le panzer III, modèle L, se développa vraiment. Dans sa version initiale, il était équipé d'un canon de 37 mm, insuffisant. Il fallut attendre plusieurs mois pour que ce grave défaut soit corrigé et ce malgré l'insistance de Guderian et de Hitler lui même. Le Panzer III fut alors doté d'un canon de 50mm, à tube court et enfin, plusieurs mois plus tard, du canon L60 à tube long, celui que le Führer réclamait depuis la campagne de France.

Le Panzer III enfin bien armé, fut engagé dans toutes les offensives sur le front russe. Mais les chars soviétiques se révélèrent remarquablement mobiles sur tous les terrains (boue, neige, sols glacés), bien protégés et bien armés. La titanesque bataille de Koursk qui vit des milliers de blindés s'affronter, mit fin à la carrière du Panzer III en tant que char de combat. Il fut alors utilisé pour d'autres missions, en particulier en tant que véhicule de commandement, transportant dans sa tourelle un important matériel de communication.

Cette vidéo guide les spectateurs sur les plus grands champs de bataille, en suivant la trace des Panzer III, est révélatrice de l'incroyable compétition technologique à laquelle se sont livrées les armées en présence.

Sommaire :
- Les débuts et les premiers combats
- Les Panzer III sur le front russe
- Avec Rommel en Afrique du Nord
- Face aux nouveaux chars soviétiques
- La fin du Panzer III en tant que char de combat

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PANZER IV



Le cheval de bataille de l'armée allemande


En découvrant le prototype du nouveau char Panzer IV en 1936, peu nombreux étaient ceux qui pouvaient se douter être en face de l'arme qui allait devenir le cheval de bataille de l'armée allemande. Au départ le rôle du Panzer IV, char moyen, était de prêter main forte au Panzer III plus petit et plus léger mais qui allait constituer l'épine dorsale des nouvelles Panzerdivisions. La suite des évènements allait prouver que la Wehrmacht, en concevant un char avec une caisse et une tourelle plus grandes, avait créé un engin dont le potentiel dépassait largement celui des Panzer III. Dés 1942, ces derniers devenus obsolètes laissèrent leur place aux Panzer IV. Il fut produit durant toute la seconde Guerre Mondiale. Mais son histoire ne s'arrête pas en 1945. Les derniers obus tirés par un Panzer IV le furent pas les Syriens contre Tsahal sur le plateau du Golan en 1967. 7350 exemplaires toutes versions confondues furent fabriquées entre 1938 et 1945.

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LE PANZER V - PANTHER



Le Panzer V "Panther" en première ligne sur tous les fronts, jusqu'à la chute de Berlin.


Conçu et fabriqué en un an, pour faire face aux redoutables T-34 soviétiques, le Panzer V est resté dans l'histoire sous le nom de Panther. Il fit ses premières armes en 1943 lors de la bataille de Kursk, point fort de l'opération Citadel. Le Panther n'était pas un char lourd. Il pesait 45 tonnes, était particulièrement manoeuvrable et son formidable long canon détruisait un T-34 à 3000 mètres avec des obus de 75 mm !

Mais ce n'est qu'en mars 1944, après des débuts difficiles dus à la rapidité de sa conception, que le Général Guderian le déclara pleinement apte au combat. Jusqu'à la chute de Berlin, en mai 45, le Panther fut en première ligne dans tous les combats ; bataille de Normandie, bataille des Ardennes, toutes les actions de résistance désespérée à l'avancée de l'Armée Rouge, partout, les Panther furent des combattants impitoyables.

Cette vidéo, à travers l'histoire de ce char mythique, retrace les trois années de guerre les plus meurtrières du second conflit mondial.

Sommaire :
- Création, production et premiers engagements
- Les Alliés débarquent en Normandie
- Les Panther sur tous les fronts
- La bataille des Ardennes

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PANZER VI - LE TIGRE



Une terrifiante réputation. Une formidable machine de guerre.


Front russe 1942 - Une machine de guerre de 56 tonnes, lourdement blindée, construite autour d'un fantastique canon de 88 mm d'une portée de 2700 mètres et d'une grande précision, fait son apparition : c'est le char Tigre. Aucun autre char de la Seconde Guerre Mondiale n'allait gagner, au fil des batailles, une aussi terrifiante réputation, créant une incroyable psychose de peur parmi les troupes alliées en 1ères lignes. Et pourtant, ce symbole de puissance du IIIème REICH ne fut construite qu'à 1500 exemplaires alors qu'environ 50000 Sherman américains et plusieurs dizaines de milliers de T-34 (environ 40000) russes furent engagés dans les combats.

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L'ARTILLERIE BLINDEE ALLEMANDE



Marder, Wespe, Hetzer, Nashorn, Wirblewind, Ostwind, Werfer, Goliath...


Ils s'appelaient Marder, Wespe, Hetzer, Nashorn, Wirblewind, Ostwind, Werfer, ou Goliath... Tous ces engins automoteurs, plus ou moins blindés, étaient avant tout, les supports mobiles d'une incroyable variété de canons et de munitions. Tous avaient des missions particulières à remplir : soutenir l'infanterie, détruire les chars, abattre les chasseurs et les bombardiers, pilonner les positions ennemies, etc...

Ce programme est inédit. C'est la première fois en France qu'est présenté ce large panel d'armes autopropulsées, en action, dans toutes les grandes batailles, sur le front de l'Est ou de l'Ouest.

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LES VÉHICULES BLINDÉS ALLEMANDS



L'incroyable armada des véhicules blindés allemands. Peut-être l'atout n°1 de la Wehrmacht.


La seconde Guerre Mondiale est terminée depuis bientôt soixante dix ans et pourtant, les historiens et experts militaires poursuivent recherches et réflexions sur les raisons de l'extraordinaire réussite des armées d'Hitler au début du conflit et les causes multiples de l'échec final. Et aujourd'hui, à côté des avions et des chars, le rôle déterminant joué par les automitrailleuses et les semi-chenillés émerge clairement. Aucune armée au monde n'avait et n'a jamais depuis disposé d'une telle variété de véhicules de combat, adaptés à toutes les formes d'engagement et de missions sur tous les champs de batailles, quelque soit le terrain.

Dans cette vidéo, des dizaines d'engins semi-chenillés filmés en action défilent sous le regard incrédule du spectateur. Ils portent tous des numéros différents mais leur nom générique est SdKfz pour Sonder Kraftfahrzeug littéralement " véhicules automobiles à usages spéciaux ". Une vaste gamme d'armement les équipait, ce qui leur donnait un grand champ d'application.

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LES BLINDÉS DE L'AXE



Panzer, Panther, Tigre, CV 33, L3, M11, M13, Ha-Go, Chi-Ha etc...


La seconde Guerre Mondiale fut marquée par l'apparition d'une nouvelle génération de véhicules de combat blindés, chenillés et à roues, de chars, de voitures blindées et de canons automoteurs.
Pour amener l'infanterie au plus près de la ligne de front, les transports de troupe, eux aussi blindés, étaient suivis par une noria de ponts mobiles, véhicules de déminage et de dépannage, lance flamme, bulldozers et bien d'autres engins spécialisés.
Tous avaient un but commun : mener la guerre avec rapidité, et frapper l'ennemi sur ses points faibles.
C'est pour cela qu'il y avait des engins rapides, légers de cavalerie de reconnaissance et de chasse, de même que des forteresses lourdement armées, capables d'encaisser de puissants coups et d'y répondre.
Depuis leur création, pour certains avant 1939, jusqu'à la fin du conflit, les chars de l'Axe et surtout les chars allemands ont été constamment renforcés, réarmés, améliorés afin de répondre aux impératifs stratégiques et aux conditions de terrain, ainsi qu'aux progrès des matériels alliés. L'industrie militaire allemande, formidablement performante, a longtemps mené le jeu. Mais certains chars et blindés italiens se sont révélés rapides et efficaces. Quant aux Japonais, les blindés ne furent jamais leur point fort, sauf aux Philippines et en Malaisie. Mais ils ne résistèrent pas longtemps aux Sherman américains...

Cette vidéo est très importante pour comprendre le rôle primordial des blindés dans la Seconde Guerre Mondiale, les présente tous ; mais surtout les montre en action : duels, déminage de terrain, mais aussi nettoyage au lance-flamme etc. Une vidéo à la fois spectaculaire et technique.

Sommaire :
La percée des chars allemands - Le Blitzkrieg
Les blindés japonais et italiens
Les nouveaux blindés allemands
Le Tigre

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A SUIVRE...

TANKS - Les blindés de la Deuxième Guerre mondiale


DEUXIÈME PARTIE


CHARS KV - Les mastodontes de l'Armée Rouge



Lorsque Hitler lança , en 1945, son attaque contre la Russie, ses soldats n'imaginaient pas qu'ils allaient devoir affronter un monstre d'acier contre lequel les canons antichars de 37 et 50 mm, les canons des Panzer, ni aucun autre ne pouvaient rien.La première réaction des Allemands fut la consternation et la panique. Le KV ou plutôt les KV, KV1, KV2 se révélèrent être un atout majeur pour contrer les troupes du IIIème Reich. Pendant le pacte germano-soviétique, les Russes s'étonnèrent de découvrir que le Panzer IV était le char le plus lourd de la Wehrmacht alors qu'eux -mêmes fabriquaient déjà des tanks beaucoup plus imposants comme le KV ou le T-34.

Le concept " KV " évolua au cours du conflit, les KV, KV 1 et KV 2 et jusqu'en 1944, époque à laquelle les Russes sortirent les IS (S pour Staline), IS 1 et IS 2. Ces derniers descendants des KV étaient plus fiables et plus manœuvrables. Ils ouvrirent la voie aux troupes soviétiques lors de la marche sur Berlin. Et sous la dénomination T 10 il resta en service dans l'Armée rouge jusqu'à la fin des années 60, représentant une réelle menace pour le bloc de l'ouest, démuni d'armes aussi redoutables.

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LE T-34 - Fer de lance de l'armée rouge



Le maître des steppes

Le T-34, conçu, fabriqué et utilisé en Russie, a été le vainqueur de la compétition meurtrière entre l'armée allemande et l'armée soviétique. C'est grâce à lui que Moscou ne fut pas prise et c'est lui qui emmena, après la terrible bataille de KURSK les troupes soviétiques à Berlin, le 30 avril 45.
L'histoire du T-34 est vraiment remarquable, à commencer par sa fabrication qui fut délocalisé dès fin 41 en Sibérie orientale et en Asie centrale avec toute l'industrie militaire. C'est un fait historique sans précédent que d'avoir déplacé 2500 usines sur une aussi grande distance.

Sommaire :
- Naissance de l'armée rouge
- Hitler attaque la Russie
- Staline délocalise 2500 usines à l'Est
- La bataille de Kursk
- Le T-34/85

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M4 - SHERMAN



Une Epopée Guerrière, une Prouesse Industrielle.

De El Alamein à Iwo Jima, des plages de Normandie au coeur de Berlin, de la Sicile aux steppes de Russie, le M4 Sherman a combattu sur toutes les routes de la victoire. Il s'est révélé, au fil des batailles, fiable et efficace dans toutes les missions dont il fut chargé, qu'il s'agisse de stopper les redoutables Tigres allemands (dont les canons de 88 surclassaient pourtant les canons de 75 des SHERMAN), de transporter les fantassins, de neutraliser au canon lance-flammes les bunkers profonds.

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LE CROMWELL



Un char rapide et manœuvrant présent sur tous les fronts .

Un char britannique face aux Panzer
Le premier char fut fabriqué par les Britanniques en 1915 et utilisé sur le champ de bataille en 1916.L'état-major britannique garda longtemps le leadership puis le perdit, dépassé par les
Allemands, avant le début de la seconde guerre mondiale. Il développa alors le concept de
Cruiser-tanks mais pas toujours avec succès. Jusqu'à l'apparition du A27 M , plus connu sous le nom de CROMWELL, un poids lourd !
Une puissance impressionnante de 600 chevaux, une vitesse de 60km/heure et une autonomie de 280 km mais surtout un canon de 75 mm et trois mitrailleuses de 7.92 mm.
Il pouvait affronter tous les Panzer, mais il n'était pas de taille à lutter contre le Panther et le
Tigre que les Allemands lançaient dans la bataille. Seul lui restait sa vitesse et sa facilité à gravir les pentes.
Il était même, dans ce domaine important et surtout pendant la bataille de Normandie, meilleur que le Sherman américain pourtant plus moderne. Le concept de Cruiser Tank fut à son apogée avec le Comet, un Cromwell revisité. Mais il arriva trop tard pour jouer un rôle important dans le conflit.
Précis, des documents bien illustrés : une vidéo précieuse.

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LES BLINDES ALLIES



Le seconde Guerre Mondiale fut marquée par l'apparition d’une nouvelle génération de véhicules de combats alliés, chenillés et à roues, de chars, de voitures blindés et de canons automoteurs.
Pour amener l'infanterie au plus près de la ligne de front, les transports de troupes, eux aussi
blindés, étaient suivis par une noria de ponts mobiles, véhicules de déminage et de dépannage, lance flamme, bulldozers et bien d'autres engins spécialisés. Tous avaient un but commun : mener la guerre avec rapidité, et de frapper l'ennemi sur ses points faibles. C'est pour cela qu'il y avait des engins rapides, légers, de cavalerie de reconnaissance et de chasse, de même que des forteresses lourdement armées, capables d'encaisser de puissants coups et d’y répondre.

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LE BLITZKRIEG



Les Panzers d'Hitler à la conquête de l'Europe

Cette vidéo est la 1ère d'une série de 4, tous aussi passionnants qu'indispensables pour découvrir ou mieux comprendre l'histoire de la 2ème guerre mondiale. C'est à travers celle des blindés qu'elle

nous est racontée. Les chars de combat eurent autant d'impact sur les guerres du 20ème Siècle que l'arc et la poudre à canon en eurent sur les guerres du passé. Vidéo passionnante, parce qu'il est réalisé à partir de films pour la plupart jamais vus en France, issus des archives allemandes, anglaises, françaises, il retrace les évènements qui précédèrent les débuts de la 2ème guerre mondiale (l'invasion de l'Autriche, des Sudètes, de la Pologne..)ainsi que la 1ère phase de celle ci : la victoire de l'Allemagne nazie sur les alliés franco-britanniques.

Cette vidéo explique et illustre très précisément la stratégie victorieuse d'Hitler : le Blitzkrieg ou "guerre éclair". Les Panzerdivisions jouèrent le premier rôle dans cette stratégie, aidées par les Stukas de la Luftwaffe et dirigées par des généraux prestigieux, au premier rang desquels Guderian et Rommel. Les premières batailles de blindés eurent lieu au cours du 1er conflit mondial,

La Grande Guerre.
C'est le 15 septembre 1916 que le char anglais Mark 1 partit au combat dans le nord de la France.
Cette première vidéo de la série commence à cette date et se termine à la reddition des troupes françaises en juin 1940. De grandes batailles de chars vont marquer les années suivantes, de la Russie à l'Afrique jusqu'à la défaite de Hitler et de ses alliés. A découvrir dans les vidéos suivantes.

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LES PANZERS D'HITLER



Panzers contre T-34 et KV-1 les impitoyables combats

Cette vidéo est la deuxième d'une série de quatre, toutes aussi passionnantes qu'indispensables pour découvrir ou mieux comprendre l'histoire de la deuxième guerre mondiale. C'est à travers celle des blindés qu'elle nous est racontée. Les chars de combats eurent autant d'impact sur les guerres du XXème siècle que l'arc ou la poudre à canon en eurent sur les guerres du passé. Cette vidéo passionnante, parce que réalisé à partir de films pour la plupart jamais vus en France, issus des archives allemandes, anglaise, russes, françaises.

Après l'invasion de l'Autriche et de la Pologne et la victoire sur les armées franco-britanniques,
Hitler se porte au secours de Mussolini en Afrique du Nord. Mais surtout, en Juin 1941 il déclenche "l'opération Barbarossa". C'était le nom de code désignant l'invasion de la Russie et ce malgré le pacte de non-agression de 1939. La percée allemande est foudroyante : la stratégie du "Blitzkrieg" ou "guerre éclair" porte une fois encore ses fruits. Quelques mois plus tard, face à une armée russe, mieux organisée, mieux équipée et placée sous les ordres du maréchal Zhukov, mais luttant aussi contre le "général hiver russe" -boue, neige, glace- l'armée allemande est stoppée.
Et pourtant, après de terribles combats, des centaines de milliers de morts, des millions de
prisonniers, d'énormes pertes matérielles, tout laissait prévoir une issue fatale pour la Russie.
Les Panzers 3 et 4 allemands et les T-34 et KV-1 russes se livraient, sans répit des combats d'une incroyable férocité, dans les plaines russes. Et pendant ce temps, Rommel écrivait avec l'Afrika Korps de nouvelles pages d'histoire guerrières en Afrique du Nord. Les Panzers avaient alors comme adversaires dans le désert, les chars anglais Matilda, Churchill et Crusader. La bataille de Sidi Rezegh les vit s'affronter dans un duel dantesque !

Sommaire :
Les anglais écrasent les avions de Mussolini
Rommel contre attaque
Hitler envahit la Russie
Le maréchal Zhukov prend le commandement
La bataille de Sidi Rezegh
L'hiver russe stoppe les armées allemandes

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LES PREMIÈRES DÉFAITES DU IIIe REÏCH




A la fin de l'année 1941, la formidable machine de guerre allemande est stoppée à quelques kilomètres de Moscou où les divisions T34 du Maréchal ZHUKOV restaient supérieures en nombre à tout ce que la WEHRMACHT pouvait mobiliser. En réalité, les soldats du III REICH se battaient aussi contre l'hiver russe plus terrible que toutes les armées. En afrique du Nord, ROMMEL avait emporté une dévastatrice bataille de chars à SIDI REZEGH mais il n'avait pu empêcher les Britanniques de secourir TOBROUK.
Nous sommes le 1er janvier 1942. Les mois suivants vont voir en Russie et en Afrique du Nord s'affronter des chars PANZER-TIGRE-T34-MATILDA-CHURCHILL-CRUSADER, de nouveaux canons antichars redoutables et des forces aériennes de plus en plus destructrices.

Mais, plus marquants encore sont les affrontements qui vont opposer les plus grands généraux de la 2° Guerre Mondiale, MONTGOMERY, PATTON, ROMMEL, VON PAULUS, MODEL, ZHUKOV, etc...
Cette vidéo met tous ces personnages en scène dans ce qui est reconnu comme les deux plus grandes batailles de chars de l'histoire : EL ALAMEIN et KOURSK. elles se solderont par la défaite des armées d'Hitler, laissant présager l'issue du deuxième conflit mondial.
Ce sera lesujet du quatrième épisode de la collection.

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LA VICTOIRE FINALE DES ALLIES



Les derniers affrontements Sherman et T-34 contre Tigre et Panzer

Eisenhower - Bradley - Montgomery - Zhukov - Patton - furent les figures les plus mémorables des dernières grandes batailles de la 2ème Guerre Mondiale. Leur victoire est pour toujours gravée dans les tablettes de l'histoire. Le débarquement en Sicile et la bataille d'Anzio, la résistance des Allemands dans les plaines de Russie, la chute de Berlin et la libération de Paris : tous ces moments épiques dont les chars ont été des acteurs majeurs sont racontés dans ce nouveau DVD de la collection Tanks, grâce à des films inédits.

Tanks SHERMANS américains, T-34 russes, PANZER et TIGRE allemands ont lutté jusqu'au bout dans le dernier acte de cette tragédie. Mais le plus passionnant est sans conteste la contre-attaque allemande dans les Ardennes, aussi brutale que désespérée. C'est une des séquences les plus fortes de la vidéo, car la bataille des Ardennes a fait douter un moment de la victoire finale des alliés.

Sommaire :
- Les débarquements : Sicile et Normandie
- Sherman contre Panzer et Tigre dans la campagne de France
- Paris libéré - la jonction des armées alliées
- Russes et Alliés pénètrent en Allemagne
- La bataille des Ardennes - la fin des combats

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Fin de cette première série sur les Tanks

France 2 - En vol avec l'Armée de l'Air


Documentaire diffusé le 23 mars 2010 sur France 2

Durée : 1h51min
Production : Froggies
Année : 2010

Michel Drucker, entouré de nombreux invités, artistes, et témoins militaires ou civils va célébrer, à l'occasion du 75e anniversaire de l'Armée de l'Air, les hommes et les femmes de ce corps d'armée. Depuis la base aérienne de Saint- Dizier, il va ainsi mettre à l'honneur celles et ceux qui portent les armes de la France, et s'engagent au péril de leur vie pour assurer la sécurité du pays. Ils témoigneront de leur engagement en France mais aussi sur les théâtres d'opérations à plusieurs milliers de kilomètres de la métropole (en Afghanistan, à Djibouti, en Guyane, en Haïti...)


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Format : DivX
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Qualité : TV-RIP
Nombre des fichiers : 1
Taille : 764Mo


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Très belle émission, à voir absolument

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Merci Rmaf, tu es un chef, je voulais absolument voir l'émission mais de la ou je suis c'était impossible

Vente d'Armes : Dans les Filières du Trafic





En septembre 1991, l'ONU décrète un embargo sur les armes à destination des pays de l'ex-Yougoslavie, alors en guerre.
Pourtant, dans les mois qui suivent, des tonnes de matériel militaire sont acheminées.
Les Croates reçoivent fusils, lance-roquettes, véhicules blindés et avions.
Le principal organisateur de ce trafic est Jacques Monsieur, trafiquant d'armes international franco-belge de 56, depuis arrêté par le FBI.
Pour la première fois, les acteurs de cette vente racontent comment ils ont réussi à contourner l'embargo.
Ils accusent la DST et la DGSE, les services secrets français, d'être intervenus.
La journaliste Vanina Kanban a demandé aux autorités politiques françaises de l'époque, notamment à Roland Dumas, Hubert Védrine et Christian Quesnot, de réagir à ces révélations.

Présenté par : Stéphane Haumant
Origine : CANAL +
Genre : Documentaire
Date de sortie : 11 décembre 2009
Hébergeur : Hotfile
Qualité : TVrip
Langue : Français
Découpé avec : WinRar
Nombre de fichiers : 5
Taille des fichiers : 100 Mo
Taille totale : 500 MB


http://hotfile.com/dl/34595624/8a00d5d/Special20Investigation20Vente20 d20armes.part1.rar.html

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http://hotfile.com/dl/34598499/ebc7f8b/Special20Investigation20Vente20 d20armes.part3.rar.html

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Pour information

Le 2 septembre dernier à New York, un Franco-Belge de 56 ans, Jacques Monsieur, tombe dans un traquenard du FBI. Un agent du Bureau fédéral se fait passer pour un émissaire iranien afin d'acquérir des pièces de rechange pour des chasseurs F-5 Freedom Fighter achetés du temps du shah. Monsieur, baptisé «le Renard» dans les milieux des trafiquants d'armes, risque aujourd'hui une peine de 65 ans de prison.

Qui est vraiment Jacques Monsieur ? Comment cet homme qui a travaillé pour la CIA et le Mossad en livrant des armes à l'Iran durant la guerre Irak-Iran a-t-il pu tomber dans un piège aussi grossier ? Si les Occidentaux soutenaient officiellement l'Irak de Saddam Hussein, il fallait surtout que les deux pays sortent exsangues de cette guerre !
Devait-on faire taire une fois pour toutes cet encombrant personnage, détenteur de multiples secrets d'Etat ? Ce qui arrangerait bien des pays, à commencer par le nôtre !
Car l'excellente enquête très fouillée de Vanina Kanban aborde un autre aspect de l'activité du «Renard» : la violation par la France, au bénéfice de la Croatie, de l'embargo voté par le Conseil de Sécurité de l'ONU le 25 septembre 1991 sur les armes à destination de la Yougoslavie. A l'aide d'images d'archives et de témoignages d'acteurs français et croates de premier plan, la réalisatrice remonte le fil du trafic illicite des ventes d'armes. Si, à l'époque, François Mitterrand manifeste une certaine bienveillance à l'égard de la Serbie, celle-ci se double d'un soutien discret à la toute nouvelle république croate. Ce que les diplomates appellent «la politique des deux fers au feu». Dans ses carnets, rendus célèbres par l'affaire Clearstream, le général Philippe Rondot note que la DGSE a entretenu des relations avec les Croates à partir du second semestre 1991. «Il s'agit d'une mission d'assistance clandestine aux forces spéciales croates, explique l'ex-maître espion. Des officiers de la DGSE, sous couverture, se sont trouvés en contact avec le général Ante Gotovina, à Zagreb puis à Zadar. C'est ainsi que l'un de ces personnels a suivi le déroulement de l'opération «Oujla («Tempête») de reconquête des Krajnas [de la Krajina, NDLR] par l'armée croate.» La reconquête s'est vite avérée n'être qu'une épuration ethnique. Et c'est pourquoi, depuis 2001, Gotovina était recherché par le Tribunal international pour la Yougoslavie (TPIY). A l'époque, les relations douteuses entre Paris et le général croate commencent à «fuiter». Ce qui avait soulevé, en 2003, l'ire de la présidente du TPI, Caria Del Ponte, qui disait à qui voulait l'entendre que Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Défense, la menait en bateau. En un mot : Paris protégeait le général ! Gotovina sera finalement arrêté en décembre 2005, aux Canaries.
Si les agents secrets français ont prête assistance active aux Croates, la DST, le contre-espionnage dépendant du ministère de l'Intérieur, est accusée d'avoir contribué au trafic d'armes organisé par Jacques Monsieur. A l'époque, le «Renard» ne dispose pas d'autorisation officielle du ministère de la Défense nécessaire pour exercer son métier de courtier, euphémisme utilisé par les Etats. Il se tourne alors vers la DST qui, selon deux anciens des forces spéciales croates, lui donne le feu vert.
«En 1992-1993 sont acheminés par mer 50 lance-missiles sol-air, 4 000 obus de 105 mm et 5 000 munitions de 122 mm, pour une valeur de 10 millions de dollars», raconte T., visage flouté, un Croate ancien officier para. «La DST suivait pas à pas les activités de Monsieur», poursuit-il. Pour monter une expédition, les fournisseurs des anciens pays du bloc de l'Est envoient un télex au «Renard» l'avertissant de l'heure d'arrivée au large des côtes croates d'une cargaison, une information relayée immédiatement au contre-espionnage français. Alors, sur la zone sous embargo international contrôlée par La Royale, le bateau chargé d'armes se glisse dans le golfe de l'Adriatique jusqu'au point de débarquement. Yves Bonnet, patron de la DST à l'époque, confirme, à visage découvert, que notre pays a contribué au contournement de l'embargo. En revanche, Hubert Védrine, secrétaire général de l'Élysée, courageux, se défausse sur l'armée; la grande muette ! «François Mitterrand n'était pas au courant, affirme Védrine. S'il y a eu des instructions pour violer l'embargo, c'est au ministère de la Défense que la décision a été prise.»

Critique de : Farid Aichoune
http://teleobs.nouvelobs.com/tv_programs/2009/12/14/chaine/canal/15/30/special-investigation

Comment la population française a-t-elle pu garder confiance en son chef d'État alors que celui-ci les assommait de propagande ? Dès 1940, le maréchal Philippe Pétain a, en effet, multiplié les opérations de communication afin de diffuser les principes de ce qu'il appellait la «révolution nationale». Rejet du parlementarisme, antisémitisme d'État et retour à la terre n'en sont que les aspects les plus connus.
L'idéologie officielle du régime mis en place par Pétain n'a pas empêché le vieil homme de conserver son aura positive dans l'opinion française de l'époque. L'historien Denis Peschanski et de nombreux témoins tentent de mettre en évidence les grands axes de la propagande pétainiste, ainsi que les structures qui ont permis sa diffusion. Le culte de la personnalité du maréchal semble avoir fait l'objet d'une rare exaltation.

Histoire de Jorge Amat (2008)





Pour information :

Après l’invasion allemande, la France effondrée se choisit un nouveau chef : le maréchal Pétain. Installé à Vichy, il instaure « l'État français » appelé aussi « régime de Vichy », système politique qui évolue rapidement vers le fascisme.

Un nouveau régime politique
Le maréchal Pétain à 84 ans quand il devient chef de l'État français.
Ancien héros de la bataille de Verdun, il inspire confiance et respect. Le 10 juillet 1940, la grande majorité des députés et sénateurs lui confient les pleins pouvoirs pour diriger le pays. La République étant pour lui responsable de la défaire, il entend reconstruire la France sur des bases nouvelles en redonnant au pays ses vraies valeurs. Il rejette ce qu’il appelle « l'anti-France », constituée selon lui des communistes, des résistants et des juifs, et pense que, puisque la France est vaincue, il vaut mieux se soumettre à l’Allemagne.

La « Révolution nationale »
Le Maréchal Pétain veut construire un nouveau modèle d'État autoritaire, paternaliste, catholique et corporatiste. Instaurant la « Révolution nationale », il entreprend de réformer la société et la vie politique françaises. Construite autour de la devise « Travail, Famille, Patrie » - qui remplace « Liberté, Égalité, Fraternité », la Révolution nationale entend redonner à la France ses valeurs traditionnelles.

Le travail est remis à l’honneur, et en particulier les activités agricoles. Une charte du Travail organise des corporations, c’est-à-dire des groupes de métiers contrôlés par l’Etat qui dissout les syndicats et interdit les grèves. La famille a comme fondement la mère au foyer, dont le rôle est célébré lors de la fête des Mères officialisée par le régime de Vichy. La patrie, enfin, et le culte du maréchal sont chaque jour rappelés à la jeunesse dans le cadre de l’école.

Le gouvernement de Vichy devient chaque jour plus autoritaire et met en place, à partir de 1943 , une police d'État, la milice, qui collabore avec la police allemande et pourchasse bientôt sans relâche les résistants, les juifs et tous les opposants au régime.

LA MISE EN PLACE D’UN NOUVEAU RÉGIME POLITIQUE
Le 17 juin 1940, au lendemain de l’invasion allemande, la maréchal Pétain lance un appel sur les ondes.« Français, j’assume à partir d’aujourd’hui la direction du gouvernement de la France. Je fais à la France le don de ma personne pour atténuer son malheur. C’est le cœur serré que je vous dis aujourd’hui qu’il faut cesser le combat. Je me suis adressé cette nuit à l’adversaire pour lui demander s’il est prêt à rechercher avec nous les moyens de mettre un terme aux hostilités.
Que tous les Français se regroupent autour du gouvernement que je préside pendant ces dures épreuves et fassent taire leur angoisse pour n’écouter que leur foi dans le destin de la patrie. »

Maréchal, nous voilà !
L’état français s’organise désormais autour de la personnalité du maréchal, objet d’un véritable culte soutenu à grand renfort de propagande. Les portraits de Pétain sont affichés dans tous les lieux publics et se répandent aussi dans tous les foyers des Français.
L’exaltation du vieux maréchal résolu à sauver la France devient le thème favori des médias.
Une attention toute particulière est portée à la jeunesse. Les valeurs du nouveau régime lui sont inculquées quotidiennement et il est fréquent de voir les enfants des écoles défiler en tenue de sport, le bras tendu, à la façon du salut nazi en chantant Maréchal, nous voilà !

La collaboration d'État
Espérant obtenir des avantages auprès du IIIe Reich, le régime de Vichy s’oriente vers une collaboration avec l’Allemagne. C’est à Montoire que le maréchal Pétain rencontre Hitler, le 24 octobre 1940. Prenant pour modèle la politique raciste du Reich, des lois antisémites sont promulguées, interdisant de nombreux métiers aux juifs et créant même un commissariat aux Questions juives qui apportera volontiers son soutien à la mise en œuvre de leur déportation. En juin 1942, la politique de collaboration s’aggrave avec l’instauration de « La Relève » qui envoie des ouvriers français travailler outre-Rhin en échange du retour de prisonniers de guerre.

Pierre Laval, chef du gouvernement, déclare à la radio : « Ouvriers de France ! C’est pour la libération des prisonniers que vous allez travailler en Allemagne ! » Et devant des auditeurs stupéfaits, il ajoute : « je souhaite la victoire de l’Allemagne parce que, sans elle, le bolchevisme demain s’installerait partout. »

En novembre 1942, avec l’occupation de la zone Sud de la France par l’Allemagne, la collaboration franchit un nouveau pas. Arrivent au pouvoir les collaborationnistes les plus déterminés.
L'Allemagne nazie observe cette politique avec un mélange de mépris, de satisfaction et d’exaspération.

Source : France 2

Histoire - Histoire de Comprendre




"Histoire de comprendre" est une émission courte, produite et diffusée par la chaîne française La Cinquième, présentée par Alexandre Adler, traitant de sujets historiques controversés du XXe siècle.



Staline a-t-il été assassiné ?
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Kennedy est-il mort pour le Vietnam ?
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Pourquoi la Chine a-t-elle occupé le Tibet ?
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La Suisse a-t-elle été neutre pendant la guerre ?
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Kolwezi, pourquoi la France a sauvé Mobutu ?
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1989, comment la Pologne s'est-elle émancipée ?
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Berlin 1961, pourquoi le mur ?
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Lin Biao a-t-il voulu renverser Mao ?
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Le Maccartysme, la démocratie américaine à l'épreuve
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1947 - Que voulaient les PC français et italien ?
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1945, pourquoi Yalta ?
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25 février 1948, le coup de Prague
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Rome 1943, la chute de Mussolini
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Gagarine ou comment l'URSS a gagné la course à l'espace?
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La longue marche de Martin Luther King
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1972, la fin de la guerre froide en Asie
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Il y aura d'autres épisodes que je posterai au fur et à mesure

Canal + - Spécial Investigation

Birmanie : Résistants, Business et Secret Nucléaire





Malgré la difficulté des journalistes à travailler en Birmanie, témoignages et documents apportent un éclairage sur les projets des militaires au pouvoir.
La Birmanie est l’un des pays les plus fermés et les plus surveillés de la planète.
Impossible d’y travailler en tant que journaliste indépendant. La mise en danger des traducteurs et des guides est extrêmement élevée. La moindre image doit être volée.
Pourtant, grâce au courage de membres de la résistance intérieure, nous avons pu travailler, sous couverture, au cœur des secrets de ce pays-prison qui semble gouverné par le Roi Ubu.
Images, témoignages et documents inédits nous éclairent sur les projets des militaires birmans et leur mode de financement. Enfin, nous avons pu mettre en lumière les entreprises occidentales respectables qui aident la dictature à se « bunkeriser ».


Sommaire

Contrôler Internet
Les militants de la démocratie se servent d’Internet comme d’outil principal de contre- information et de combat. Les militaires, au pouvoir depuis un coup d’état en 1990, répriment dans le sang tout soulèvement démocratique, comme celui de 2007, mais ont du mal à contrôler Internet. Chaque jour des secrets d’état arrivent en pièces jointes sur les boites mails de l’opposition en exil en Europe. Mettre les télécommunications sous surveillance est devenu un enjeu vital pour eux.

Alcatel Shangai Bell
Nous avons découvert qu’Alcatel, via sa filiale chinoise Shangai Bell, travaille pour militaires birmans dans la mise en place d’un réseau « sécurisé » de télécommunication. Théoriquement, le pouvoir birman est isolé, frappé de sanctions, boycotté par la quasi-totalité de la communauté internationale. En fait, il en va autrement. Dans la presse officielle, les militaires se vantent de travailler avec Alcatel à la fabrication d’un réseau à leur service.

Les comptes Off Shore des généraux birmans
4,8 milliards de dollars, c’est l’argent que les généraux birmans auraient réussi à détourner du budget national. L’information, fondée sur un rapport du FMI, émane d’une ONG américaine, Earth Rights. L’argent vient du gaz exploité par le français Total et l’américain Chevron. Le gaz est le principal revenu de la Birmanie. L’argent serait déposé sur des comptes off shore d’un paradis fiscal : Singapour.

Secret nucléaire
Depuis quelques mois, les services de renseignement américains et européens, soupçonnent les militaires birmans d’utiliser leur argent noir pour financer un programme nucléaire clandestin. Des documents « fuités » montrent des allers-retours avec la Corée du Nord. Des déserteurs affirment l’existence d’un programme nucléaire militaire clandestin. Objectif : une bombe avant 2014.
Pour la résistance démocratique, il y a urgence : si la Birmanie acquière la bombe atomique, cela signifie certainement que les militaires pourront rester indéfiniment au pouvoir. Tout comme leurs homologues Nord Coréens.

Realisateur : Paul MOREIRA
Origine du film : CANAL +
Durée : 55 mIN
Genre : Documentaire
Date de sortie : 03/2010
Qualité : TVrip
Langue : Français
Hébergeur : MegaUpload
Découpé avec : WinRar
Nombre de fichiers : 6
Taille des fichiers : 100 MB
Taille totale : 570 MB

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Pour information/

L'enquête débute en Norvège. Oslo est à la Birmanie ce que Londres était à la France libre. The Democratic Voice of Burma, organisation à but non lucratif produisant des programmes de radio et de télévision relayés par satellite, y a son siège. Chaque jour, des informations sensibles lui parviennent de Birmanie par mail. Le média des opprimés a des sources au sein de la police, des ministères. Parfois, ce sont les dignitaires du régime eux-mêmes qui fuitent les indiscrétions.

Certains le paient très cher. Comme cet officier de l'armée, condamné à mort pour leur avoir transmis des documents. Son ordinateur était sous surveillance.
Rangoon, le stupa doré des pagodes, la brume du fleuve Irrawaddy chanté par Kipling. Mais aussi, au coin des rues, ces regards inquisiteurs. Dans l'ancienne capitale coloniale anglaise, les mouchards sont partout. La Birmanie est un des pays les plus fermés, les plus surveillés de la planète. La moindre image doit y être volée.

Travailler dans un pays aussi paranoïaque sans complicité est impossible. Le simple fait d'adresser la parole à un Occidental étant suspect, les guides et traducteurs s'exposent aux plus grands risques.
Un putsch a renversé le général Ne Win après un quart de siècle de dictature. D'autres militaires ont pris la suite il y a vingt ans et s'opposent à toute ouverture démocratique par la force. Victorieuse des seules élections pluralistes jamais organisées dans ce pays, Aung San Suu Kyi, Prix Nobel de la paix, est assignée à résidence dans sa maison de famille. La junte n'a tenu aucun compte des résultats du scrutin.
« Ce gouvernement gouverne sans le peuple. Il a peur du peuple. Mais nous, on a confiance dans le peuple », déclare un moine réfugié en Thaïlande. En 2007, lors des protestations massives contre la vie chère réprimées dans le sang, les bonzes ont rejoint pour la première fois la population. Aujourd'hui, les religieux contestataires se cachent. L'un des leaders les plus recherchés de la résistance a pour nom de guerre : King Zero. Dans le QG de l'insurrection en exil, le stratège en robe safran prépare le prochain soulèvement. Chaque jour, des moines franchissent la frontière pour recevoir ses consignes.
Rencontre dans l'anonymat d'une chambre d'hôtel de Rangoon. Un opposant confirme que les militaires sont obsédés par les fuites sur internet. La junte, voulant encourager le tourisme pourvoyeur de devises, a autorisé l'ouverture de cybercafés où se sont rués les Birmans, qui n'ont généralement pas d'ordinateurs chez eux. C'est ainsi qu'une vidéo tournée lors du mariage de la fille du chef de l'Etat a fait un tabac sur le Web, à la grande fureur du généralissime Than Shwe. Un blogueur a écopé de vingt ans de prison, mais le régime ne s'en est pas tenu là. Pour contrôler les télécommunications à la source, les militaires se sont offerts une cyberville en pleine jungle.
Qui leur a fourni la technologie ? La filiale chinoise d'Alcatel-Lucent. L'objectif avoué des généraux est d'assurer une bonne sécurité grâce au filtrage des sites Web. Autrement dit : un
système permettant de retrouver les adresses IP et de mettre hors d'état de nuire les « cyber criminels ». Difficile de concilier cela avec le code de bonne conduite et la directive relative aux droits de l'homme prônés par la firme. « Le réseau de télécommunications mis en place en Birmanie a reçu l'aval de l'ONU », affirme le porte-parole de la multinationale en France, Laurent de Segonzac. Il ne convainc pas.
« La junte envisage chaque investissement étranger non seulement comme un profit économique, mais aussi comme un soutien positif à leur pouvoir. Ce genre d'aide psychologique est aussi nocif qu'une aide financière directe au régime », déclarait Mme Suu Kyi dans une interview. Cela n'empêche aucunement les Chinois, les Anglais, les Américains et les Français de travailler avec les militaires de Rangoon. Un gazoduc de 70 kilomètres achemine du gaz naturel jusqu'en Thaïlande. Le gisement est exploité principalement par le français Total et l'américain Chevron. Pour le régime birman, ce gaz représente une manne. Des millions, des milliards de dollars grâce auxquels les généraux se seraient lancés dans un programme nucléaire.
En juillet 2009, à Bangkok, Hillary Clinton a évoqué l'inquiétude des États-Unis au sujet d'un transfert de technologie entre la Corée du Nord et la Birmanie. Pour les résistants d'Oslo, il est clair que les généraux veulent la bombe pour consolider leur pouvoir. De lourds soupçons pèsent depuis le voyage en 2008 d'une délégation de militaires birmans à Pyongyang. Si une dictature aussi misérable que celle de Kim Jung Il arrive à tenir tête à la superpuissance américaine grâce à quelques ogives (plus ou moins hypothétiques), pourquoi la république de l'Union du Myanmar n'en ferait-elle pas autant ?

Eric de Saint Angel

Arte - Viêtnam, La Trahison Des Médias




Jusqu'à quel point les images peuvent-elles décider du sort d'une guerre ? Patrick Barbéris revient sur le tournant de la guerre du Viêt-nam, l'offensive du Têt, et sur son traitement médiatique dans un documentaire choc.
Viêtnam, janvier 1968. En sept ans, la présence militaire américaine dans la seconde guerre d'Indochine est passée de quelques centaines de conseillers militaires à un contingent de 500 000 hommes. Fin janvier 1968 - période de trêve et de fête du nouvel an lunaire, le Têt -, les forces nord-vietnamiennes encerclent la base américaine de Khe Sanh, et déclenchent une guérilla urbaine de grande échelle dans le Sud Viêtnam. Certain de sa puissance de feu, l'état-major américain croit alors tenir l'affrontement frontal tant attendu. Jusque-là, les bombardements massifs du Nord Viêtnam avaient exténué l'ennemi mais les signes probants de victoire manquaient face à des combattants invisibles tapis dans la jungle. L'initiative nord-vietnamienne est perçue comme une tentative désespérée et le "début de la fin". Les combats dans Saïgon donnent aussi aux nombreux journalistes américains présents sur place l'occasion et la matière pour abreuver l'Amérique profonde d'images de leurs soldats en action. Mais si l'armée américaine remporte en effet des victoires écrasantes sur le terrain, les images générées par ces combats produisent l'effet inverse. On assiste à l'exemple spectaculaire et paradoxal d'une guerre où la victoire militaire fabrique des images de défaite et aboutit à une débâcle politique.

Réalisé par : Patrick Barbéris

Origine: Arte
Réalisé en : 2008
Durée: 1h29
Taille: 651 MO
http://www.megavideo.com/?d=HGXJUUOV
http://www.megaupload.com/?d=HGXJUUOV


Informations supplémentaires/

Le poids des images
Alors que la période précédant cette bataille produisait des images éparses qui, pour l'ensemble des téléspectateurs américains, justifiait cette guerre, celle du Têt a fait naître des visions d'apocalypse devenues traumatiques et universelles (les combats pour l'ambassade en pleine réception, la guérilla urbaine de Hué). Grâce aux reportages télévisés, l'offensive du Têt a été la première guerre en images : les reporters sont devenus des acteurs à part entière du conflit. Des photographies devenues célèbres comme celle de ce Viêtcong exécuté en pleine rue (qui valut au photographe Eddie Adams le prix Pulitzer), des reportages de l'époque, mais aussi des films tournés par les militaires sur place forment la riche matière de ce passionnant documentaire. Son auteur-réalisateur, Patrick Barbéris (à qui l'on doit aussi, entre autres, Roman Karmen, un cinéaste au service de la révolution diffusé par ARTE), prend soin de croiser les témoignages des journalistes ayant couvert le conflit avec les analyses des militaires et des conseillers politiques américains, dans une perspective qui prend une résonance très actuelle, au vu de la situation en Irak.

Source : Arte

Visionner sur Dailymotion/

https://www.dailymotion.com/video/x8njl1_vietnam-16-la-trahison-des-medias_tech
https://www.dailymotion.com/video/x8njr9_vietnam-26-la-trahison-des-medias_tech
https://www.dailymotion.com/video/x8nk2s_vietnam-36-la-trahison-des-medias_tech
https://www.dailymotion.com/video/x8nk9t_vietnam-46-la-trahison-des-medias_tech
https://www.dailymotion.com/video/x8nuvo_vietnam-56-la-trahison-des-medias_tech
https://www.dailymotion.com/video/x8nulf_vietnam-66-la-trahison-des-medias_tech

HISTORIA - L'EXERCICE MAPLE FLAG : JEUX DE GUERRE





La vie dans les Forces armées canadiennes.
Au cœur d'un entraînement conçu pour les pilotes de l'armée de l'air canadienne.

Partie 1 - http://www.megaupload.com/?d=PJAD66RV
Partie 2 - http://www.megaupload.com/?d=W8W0M8CT



LA COMPÉTITION SANDHURST

Compétition entre l'armée canadienne, américaine et britannique.

http://www.megaupload.com/?d=JKROJ3OC

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France 5 - Nucléaire les Hommes de la Dissuasion

Nous sommes à bord d'un sous-marin nucléaire lanceur d'engins dans les profondeurs des océans. Témoins du quotidien des sous-mariniers, nous découvrons les coulisses de ce métier de l'ombre. Nous partageons les états d'âme de ces hommes en huis clos et éloignés de leur famille, qui, chaque jour, se préparent à tirer leurs missiles nucléaires sur la cible que leur aura indiqué le Président de la République. Leurs familles, à terre, vivent dans l'attente du retour. Les "hommes de la dissuasion" sont les maîtres d'œuvre de ce que l'on appelle la dissuasion nucléaire, que la France a choisi en 1958, par la voix du Général De Gaulle pour assurer son indépendance vis-à-vis des grandes puissances...

Documentaire - 2006 - France - durée: 1h25
Taille du fichier :406 MB
http://hotfile.com/dl/36096224/3685b89/Nuclaire-les.Hommes.de.la.Dissu asion.part1.rar.html
http://hotfile.com/dl/36096225/5b021d2/Nuclaire-les.Hommes.de.la.Dissu asion.part2.rar.html

La bataille de Crète oppose les troupes britanniques et alliées (néo-zélandaises, australiennes et grecques) aux parachutistes allemands pendant 10 jours, du 20 au 31 mai 1941, ce fut la dernière bataille de la campagne des Balkans.

Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lance une invasion aéroportée sur la Crète sous le nom de code « Opération Merkur ». 17 000 parachutistes allemands sous les ordres du général Kurt Student sont largués sur trois points : Maleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur but est de s’assurer de ces trois aérodromes pour permettre l'arrivée de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui dispose alors de la maîtrise du ciel, alors que la Royal Navy est encore maîtresse des mers et empêche tout débarquement.

Pendant deux semaines, la bataille fait rage ; au moins 4 000 paras allemands sont tués, et 500 capturés. Malgré la victoire allemande sur les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Bernard Freyberg, qui ont perdu 15 000 hommes, aucune autre opération aéroportée d'envergure ne sera lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre et les Fallschirmjäger seront employés comme troupes d'élite sur tous les fronts.

Ce DVD permet de découvrir, grâce à des films d'archives saisissants, le rôle capital joué pendant la terrible Guerre du Pacifique, par les patrouilleurs, identifiés P T .
Il s'agissait en fait, de vedettes lance-torpilles de 24 mètres rapides, manœuvrables, lourdement armées et commandées par des marins intrépides.
J.F Kennedy était l'un d'eux lorsqu'en pleine nuit, un destroyer japonais éperonna sa vedette PT 109, la coupant en deux.
Kennedy réussit à s'en sortir et sauva 11 hommes de son équipage.
Les patrouilleurs du Tokyo Express, cette voie maritime de ravitaillement au trafic incessant et vital, destruction des points de débarquement cachés dans les criques de Iles ,etc ...

Leur rendant hommage, c'est sur un de ces patrouilleurs que le général Mac Arthur revint aux Philippines comme il l'avait promis, après en avoir été chassé, trois ans auparavant.

Excellente rubrique! Merci.

8 mai 1945 : huit jours après le suicide de Hitler dans son bunker de Berlin, l'Allemagne capitule.
L'Europe est un champ de ruines. Le monde découvre l'horreur des camps de concentration. La guerre a fait cinquante millions de morts. Pendant 12 ans, de 1933 à 1945, une nation entière a suivi un homme dans sa folie.
Hitler a conduit son pays de la conquête de l'Europe à la ruine. Il voulait créer un empire, le troisième Reich, qui devait durer mille ans mais son règne de terreur a causé des millions de morts.
Soixante ans plus tard, alors que la majorité d'entre nous n'a pas connu la guerre, la rédaction de M6 se propose de retracer, à travers un documentaire didactique et sobre, cette époque cruciale de notre histoire. Ce documentaire n'a pas vocation à bouleverser l'interprétation de cette période mais à expliquer de façon simple et claire le contexte de ces années, l'ascension et la chute du nazisme. Une des grandes forces de ce documentaire réside dans les images en couleur exceptionnelles et souvent inédites qu'il nous propose. Des images tournées dans l'intimité des hauts dignitaires nazis, Hitler est filmé par son chauffeur ou par sa maîtresse Eva Braun, mais aussi des documents bouleversants filmés à l'intérieur du ghetto de Varsovie ou lors de la libération du camp de Buchenwald. De nombreuses images inédites proviennent de fonds d'archives inexploités (archives russes récemment ouvertes ou fonds d'archives régionaux allemands jamais utilisés). Leurs propriétaires ignoraient la plupart du temps jusqu'à l'existence de ces images. Adapté d'un document anglais produit par TWI, " Hitler : la folie d'un homme " a été complété d'images d'archives sur les années de guerre en France. Des images en couleurs qui pour certaines sont également inédites..

super reportage ce soir sur arte sur les sous marins

le 1er sous marin furtif
http://videos.arte.tv/fr/videos/quand_le_chasseur_devient_la_proie-3249630.html

K129 ne répond plus - Un sous-marin russe aux mains de la CIA
http://videos.arte.tv/fr/videos/k129_ne_repond_plus_un_sous_marin_russe_aux_mains_de_la_cia-3249618.html

Planète - Tigres en plein ciel


Documentaire diffusé le 16 Juillet 2010 sur Planète

Durée : 51min
Réalisation : Bertrand Schmit
Production : Planete & France 5
Année : 2009

Depuis plus de quarante ans, les escadrons de chasse de l'Otan, dont le tigre est l'emblème, ont coutume de se rassembler dans le cadre du Nato Tiger Meet. Ce documentaire entraîne le téléspectateur dans leur sillage.

Pendant huit jours, des centaines de pilotes et de mécanos de toutes nationalités partagent leurs savoir-faire et leurs expériences lors du Tiger Meet.

Moment clé de la semaine, une compétition insolite récompense aussi bien les performances en vol que l'esprit de camaraderie ou encore le respect des traditions des membres de l'association.

Avec leurs avions spécialement décorés pour l'occasion, les Tigres vont présenter leur meilleur sketch, qui nécessite un entraînement de très haut niveau.

En juin dernier, l'élite de l'aviation militaire internationale se réunissait sur la base aéronavale de la flottille 11 F de Landivisiau, en Bretagne.

Ce documentaire pénètre dans les coulisses de ce grand show et montre ce qui anime les participants. Combatifs, fraternels, solidaires... les Tigres se retrouvent pour échanger, apprendre, développer, transmettre, garantir la cohésion des troupes, rapprocher les hommes et les encourager à surmonter les épreuves


Format : DivX
Hébergement des fichiers : zshare
Qualité : TV-RIP
Nombre des fichiers : 1
Taille : 669Mo


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Planète - Top gun, mission Europe


Documentaire diffusé le 16 Juillet 2010 sur Planète

Durée : 46min
Réalisation : Gard A. Andreassen & Amund Lie
Production : Basic TV
Année : 2008

Pendant sept mois, 15 pilotes issus de cinq nations suivent un entraînement intensif, considéré comme le meilleur du monde, pour apprendre à maîtriser à la perfection les fameux F-16 Falcon américains. Pour la première fois, des caméras ont été autorisées à filmer ces virtuoses de l'air au sein de la prestigieuse EPAF (European Participating Air Forces). La base militaire de Leeuwarden, aux Pays-Bas, accueille la promotion 2008 de l'EPAF, composée de jeunes pilotes ayant déjà six ans d'expérience et plus de mille heures de vol à leur actif. Tous ont été recrutés selon des critères drastiques


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Format : DivX
Hébergement des fichiers : zshare
Qualité : TV-RIP
Nombre des fichiers : 1
Taille : 615Mo


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un tres bon Documentaire de la BBC sur la chronologie de la guerre du Golf 1991,en 6 parts,1 heure,
un regale pour les fans d´armes et amateur-strateges.