Missiles

Rappel du premier message :

Citation :

Missiles

Un missile est un projectile autopropulsé et guidé, constitué de :

Un propulseur : moteur fusée, réacteur (généralement statoréacteur), voir les deux (une fusée donnant l'impulsion de départ, avant d'être relayée par un statoréacteur)

Un système de guidage, qu'il soit externe (téléguidage) ou indépendant (autoguidage).

Une charge utile : ce peut être une charge militaire (explosive, incendiaire, chimique, biologique, etc), un système électronique (drone de reconnaissance, missile scientifique ou expérimental) voire un simple poids pour équilibrer l'engin (missile cible), ou pour transporter une masse inerte (missile de propagande transportant des tracts)

Remarque : dans son acception initiale le terme de missile désignait un projectile, quel qu'il soit. Ce sens est aujourd'hui obsolète mais peut encore se trouver dans des ouvrages datant d'entre les deux guerres mondiales. La règle généralement utilisée de nos jours veut que :

les engins possédant un guidage soient nommés missiles, quel que soit le système de propulsion.

les engins propulsés par un autre moyen qu'une fusée à poudre soient nommés missiles. À part quelques prototypes datant des environs de la Seconde Guerre mondiale, tous ces engins ont un système de guidage.

les fusées à poudre sans guidage soient nommées roquettes (de l'anglais rocket = fusée).

que les projectiles (guidés ou non) se déplaçant sous la surface de l'eau soient nommés torpilles

Cependant, il existe des exceptions, tels les projectiles des lance-roquettes multiples qui, de nos jours, sont le plus souvent autoguidés tout en conservant le nom de roquettes, ou des prototypes datant d'une période où les systèmes électroniques étaient bien plus coûteux, fragiles et volumineux qu'actuellement. Une telle utilisation de ce terme est exceptionnelle et, en général, due à un contexte historique particulier (prototype ancien, dénomination qui perdure bien qu'elle soit devenue impropre).

Propulsions

Différents types de propulsions ont été ou sont utilisés. Ce sont principalement des fusées, des réacteurs ou des engins mixtes.

Fusées :
A carburant solide : c'est encore le propulseur le plus courant pour les petits missiles. En particulier les missiles individuels anti-char.
A carburant liquide : la dangerosité des carburants et comburants employés a été la cause de leur abandon progressif. Ce type de propulsion est cependant extrêmement efficace pour l'envoi de "gros" missiles utilisant une technologie moyenne voire faible. Le premier missile réussi utilisant cette propulsion a été le V2 allemand de la Seconde Guerre mondiale.
Réacteurs :
Simple flux : des essais ont été effectués après la Première Guerre mondiale, abandonnés à cause du prix de revient de tels missiles.
Eventuellement double-flux ou turbo-fan ou modèle plus moderne que le simple flux.
Stato-réacteur : le propulseur actuellement le plus courant sur les missiles. Bon marché, faciles à fabriquer et solides, les statoréacteurs sont devenus le principal mode de propulsion des missiles non semi-balistiques (une fusée est nécessaire pour la sortie de l'atmosphère)
Stato-réacteur "classique" à carburant liquide :
Stato-réacteur à carburant gazeux : le carburant est stocké sous forme de gaz comprimé (rare car le container est lourd), ou de produits solides, se décomposant en gaz inflammables lorsqu'ils sont chauffés. Les carburants gazeux se mélangeant mieux au comburant (air) que les carburants liquides, ce systèmes est plus efficace à très grande vitesse (Mach 5 et plus). Ce type de stato-réacteur extrêmement rapide est souvent nommé scramJet.
Stato-fusée : les stato-fusées sont des stato-réacteurs à carburant solide. Le carburant est déposé sur la paroi interne du réacteur. L'alimentation en comburant se fait par une prise d'air, identique à celle d'un stato-réacteur "classique". Les stato-fusées sont extrêmement économiques en entretien. Cela entraîne des économies d'argent, de personnel qualifié ainsi qu'une fiabilité accrue après de longues périodes de stockage. Sont aussi parfois nommés stato-fusée des stato-réacteurs dont les prises d'air peuvent être fermées, et où un comburant (généralement de l'oxygène stocké sous forme liquide) peut être injecté. Cela permet au moteur de se comporter comme un stato réacteur en atmosphère, ou en fusée. En 2007, ce type de moteur en est, généralement, au stade expérimental.
Fusée/Stato-réacteur : ce couple de propulseurs est classique pour les missiles Sol-Air, Sol-Mer et Sol-Sol. La fusée donne au stato-réacteur la vitesse qui lui est nécessaire pour fonctionner, puis il est éjecté. A contrario, de nombreux missiles Air-Air, Air-Mer, Air-Sol ne sont propulsés que par un stato-réacteur, la vitesse initiale permettant l'ignition du stato-réacteur étant la vitesse de l'avion tirant le missile.

Guidage

D'un point de vue technique, il existe de nombreux systèmes de guidage différents. Ils dépendent des caractéristiques de la cible et du degré de précision que la mission et la munition rendent nécessaires.

Guidage inertiel : tout d'abord utilisé sur les missiles à longue portée (missiles stratégiques et missiles de croisière) ; il utilise une centrale inertielle associant trois gyroscopes (un pour chaque axe), ce qui leur permet de maintenir un cap de façon prolongée. Cependant, les gyroscopes étant victimes d’une certaine dérive sur les longues distances, on tend à leur adjoindre aujourd’hui un système de guidage par GPS pour recaler leur positionnement. Des bombes et missiles de dernière génération mis en œuvre par l'armée américaine fonctionnent ainsi.
Guidage topographique : certains missiles de croisière comparent en permanence la topographie du terrain survolé à une carte préalablement établie qu’ils gardent en mémoire, repérant ainsi toute variation par rapport à l’itinéraire fixé.
Guidage laser : lorsqu’une grande précision est requise (missile anti-char ou anti-bunker), on utilise généralement un guidage laser. La cible est illuminée par un laser dont la tache est perçue par le système d'autoguidage du missile qui s'aligne dessus pour assurer l'impact.
Guidage vidéo : une caméra permettant généralement une vision nocturne est installée dans le nez du missile et permet de guider le missile à distance.
Guidage infrarouge : essentiellement utilisé par les missiles sol-air et air-air de courte portée, un autodirecteur infrarouge permet de se caler sur le rayonnement infrarouge émis par les tuyères du turboréacteur ou du turbomoteur de l'appareil ennemi. L'avantage de ce genre de système est son autonomie et son fonctionnement passif (il ne produit que peu de signaux détectables). La portée du détecteur d'infrarouges n’excède toutefois guère une vingtaine de kilomètres.
Guidage radio : avec le filoguidage et l'autoguidage inertiel, c'est le système le plus anciennement utilisé. Il a cependant été abandonné pour des application militaire, sa sensibilité au contres mesures électronique (brouillage, prise de controle) le rendant peu fiable.
Guidage optique/astral : certains missiles semi-balistique sont doté d'un télescope leur permettant de repérer des étoiles servant de repère de navigation. Ce système n'est utilisable qu'hors atmosphère ou à très haute altitude, faute de quoi il ne serait possible de tirer les missiles que par des nuits sans nuages. Nota: ce système est toujours associé à d'autres systèmes.
Guidage par variation de pesanteur : certains missiles semi-balistiques ont été équipés de systèmes détectant les variation de pesanteur. La croûte terrestre n'étant pas homogène, la pesanteur varie légèrement suivant l'endroit ou l'on ce trouve, et non uniquement suivant l'altitude. L'étude de ces variation est une technique traditionnelle de l'étude du sous-sol. A partir du moment ou il a été possible de miniaturiser suffisamment un système d'évaluation de la pesanteur, il a été possible de se servir de cette information pour guider un missile. Une des difficultés rencontrées à été la constitution de cartes recensant ces variations. Les éventuelles cibles rechignant à laisser un ennemi potentiel avoir accès a de telles informations. De tels systèmes de mesure de pesanteur utilisent l'atténuation de la pesanteur entre 2 points superposés, et non le calcul de la pesanteur associè à la connaissance de l'altitude. Nota: ce système est toujours associé à d'autres systèmes.
Guidage par détection des anomalies magnétiques : la cause de ces anomalies est, là aussi, les variations de composition et d'épaisseur de la croûte terrestre. Nota: ce système est toujours associé à d'autres systèmes.
Filoguidage : certains missiles à courte portée (comme les missiles anti-char) utilisent un guidage par fibre optique ou par câble électrique. Ils dévident derrière eux, durant leur vol, un long fil grâce auquel un opérateur leur expédie des informations depuis la station de tir, souvent afin de les guider. Le poste de tir est généralement constitué d'un système de pointage optique opéré par un tireur.
Guidage radar : tout d'abord employé sur les missiles sol-air et air-air de moyenne et longue portée, qui ont généralement recours à un guidage radar actif (le missile possède alors son propre radar) ou bien semi-actif (dans ce cas, le missile utilise le radar de l’avion lanceur). Le guidage radar semi-actif est utilisé par le AH-64 Apache de dernière génération pour guider ses missiles antichar, à la place du filoguidage utilisé jusqu'à présent.
Certains missiles, souvent anti-navires, utilisent successivement plusieurs types de guidage: inertiel juste après leur lancement, puis radar lorsqu’ils ont localisé leur cible. D'autres se calent sur les ondes électromagnétiques émises par leurs cibles (cas des missiles anti-radar). De nos jours, tous les missiles devant parcourir de grandes distances (balistique, semi-balistique, croisière) associent différentes techniques, complémentaires les unes des autres.

http://aviondecombat.e-monsite.com/rubrique,missiles,224942.html

Citation :

Hardbut, charge anti-bunkers franco-britannique
Un tir d'essai du nouveau missile à charge pénétrante HARDBUT a eu lieu sur le site d'essais de missiles de la DGA à Biscarosse.


Ce missile anti-bunkers de nouvelle génération, le HARDBUT NGMWS (Hard and Deeply Buried Target, Next Generation Multiple Warhead System) a été testé pour la deuxième fois avec le concours de la DGA, du DSTL et du CEA. Ce prototype de missile est le fruit d'un partenariat franco-britannique dans le cadre d'un programme dont la maîtrise d'ouvrage a été confiée à MBDA UK. La conception du missile est réalisés par les ingénieurs de plusieurs industriels de défense européens, dont Thales Missile Electronics, QinetiQ et BAE Systems.

Le missile Hardbut est basé sur le principe des charges en tandem, une première charge située à la pointe du missile étant détonée afin d'ouvrir un passage à une charge secondaire (go-through bomb - GTB). Cette deuxième charge est renforcée et équipée d'un dispositif d'armement durci (Ruggedized Electronic In-line Fuze - REIF). Le REIF est un dispositif d'armement de nouvelle génération mettant en œuvre "des algorithmes élaborés de déclenchement".

Ce nouveau test a permis de démontrer la capacité du missile à pénétrer une cible "massive" en béton armée, tout en conservant la charge secondaire et ses systèmes électroniques en état de fonctionnement. Un troisième essai permettra de clore les travaux de recherche du programme Hardbut.

Le concept NGMWS offre une alternative intéressante aux charges anti-bunkers de grand format, telles que la CMP-1000 ou la bombe MOP américaine.

Il est à noter que le programme HARDBUT a bénéficié de l'expertise de la société britannique Fluid Gravity Engineering, spécialiste de la simulation et de la modélisation physique, qui s'intéresse en particulier aux explosions, à l'électromagnétisme et à la déformation des matériaux.

Sources: DGA, MBDA

question defense.

Citation :

Raytheon and Boeing Complete Third JAGM Launch

Raytheon and Boeing have successfully completed the third missile launch of the joint air-to-ground missile (JAGM) in preparation for engineering and manufacturing development (EMD).
Boeing Advanced Weapons and Missile Systems director Carl Avila said the ATK rocket motor advances the Raytheon and Boeing JAGM from the preliminary design review stage.
"While still being able to withstand the rigours of rotary-wing flight, JAGM is also capable of withstanding temperatures of minus 65°F, which might be experienced on an F/A-18 E/F Super Hornet or unmanned aircraft," he said.
The JAGM features a fully integrated tri-mode seeker that incorporates semi-active laser, uncooled imaging infrared and millimetre wave guidance.
The weapon will include components from the Raytheon small diameter bomb II and the Boeing Brimstone.
On 23 October, the JAGM was fired using the Boeing-ATK rocket motor, which was designed for EMD

airforce-technology

Citation :

Next Generation AEGIS Missile



Three companies were awarded development contracts in 2010 to demonstrate conceptual designs for the Next Generation Aegis Missile (NGAM) – Boeing, Northrop Grumman and Lockheed Martin. While Raytheon, the manufacturer of all Standard Missiles has not been mentioned in relation to this future program it is likely that they will again partner with Lockheed Martin for this development. The two companies have recently extended their AEGIS cooperation to support the Ground Based Interceptor missile.

NGAM has entered preliminary development phase in November 2010. This new capability will rely on the 'Standard Missile 3 Block IIB' (SM-3 Block IIB) sponsored by the U.S. Missile defense Agency. The new missile will enhance the capabilities of future AEGIS cruisers to defeat ballistic missiles by extending their range and sensor capability to target ballistic missiles on the ascent phase of their flight.

The missiles currently used for missile defense are SM-3 Block IA, first generation Aegis BMD missiles. These missiles are deployed on 24 Aegis BMD-equipped warships - 20 in the U.S. Navy and four in the Japanese Maritime Self-Defense. Twelve additional ships have been identified for modification to perform ballistic missile defense in the next 3 years. These vessels are all operating the Aegis version 3.61 weapon system.

The second-generation Aegis BMD Weapon System (Version 4.0.1) is already integrated on CG-70 Lake Erie. This system is designed to defeat more complex ballistic missile threats. Aegis BMD 4.0.1 includes the BMD signal processor, which improves target identification. The new version marks the beginning of the transition to the Navy’s open architecture – a transition that will be complete with software upgrades, known as Advanced Capability Build 12. Certification and deployment of the new system is scheduled for September 2011
http://www.defense-update.com/features/2010/november/18112010_aegis_ng.html

Citation :

Successful interception of a Ballistic Missile by a SAMPT system

25 November 2010



On 18 October 2010 at 11.49, the SAMP/T Surface-to-Air Medium Range missile system intercepted its first ballistic target at the DGA Missile Launch Test Centre (CELM) in Biscarosse.
Based on the knowledge that our operational forces could no longer do without a high performance and modern ground-to-air protection system against tactical missiles, the French Military Programme Law 2003-2009 responded to this need by developing the SAMP/T Surface-to-Air Medium Range missile system which has just come into service for forces serving in the Luxeuil air defence artillery squadron.
The SAMP/T system combines the Arabel radar, a real-time engagement module and the Aster 30 missile. As part of its responsibility for the fire control function, Thales is also participating in designing and producing homing devices for Aster missiles. With the supply of 15 SAMP/T systems under the FSAF (Future Surface-to-Air Family) programme, Thales is demonstrating its capacity to play a leading role in the field of ground-based anti-aircraft and anti-missile defence.


Thales

Scalp naval

Mica Vl

Tu m'etonne que Tsahal en veut toujours plus de se monstre

Citation :

MBDA Missile Systems celebrated a milestone in the company’s U.S. history today during a ceremonial rollout of the 10,000th Diamond Back wing assembly at their Westlake Village, California division.

The Diamond Back wing assembly is used by the US Air Force’s Small Diameter Bomb (SDB Increment 1) program. The Boeing Company is the prime contractor. In 2010, MBDA Missile Systems received a Boeing Performance Excellence Award for its work as a Diamond Back wing manufacturer. The Boeing Company issues the award annually to recognize suppliers who have achieved superior performance. MBDA maintained a Silver composite performance rating for each month of the 12-month performance period, from Oct. 1, 2009, to Sept. 30, 2010.

Jerry Agee, CEO of MBDA Missile Systems in the US said: “This production milestone and the performance award are a credit to every employee who had a hand in designing and building Diamond Back wings and a testament to the high quality of our work force.”

The fully integrated Diamond Back wing for SDB is in full rate production and has been combat proven in Operation Iraqi Freedom and Operation Enduring Freedom. Future variants of the Diamond Back wing are in development for other applications, including MBDA’s SABER (Small Air Bomb Extended Range) weapon.

defpro

l'équivalent espéré des BVRAAM occidentaux qui tarde toujours de venir

RVV-AE-PD (R-77M-PD) (Russian Federation), Air-to-air missiles - Beyond visual range

Citation :

During the 1990s an improved, extended-range version of the RVV-AE/R-77 active-radar BVR missile (NATO codename AA-12 'Adder') was drawn by the Vympel design bureau. The new version was designated RVV-AE-PD (PD, Priamotochni Dvigatel = ramjet or Povyshenoy Dalnosti = improved range) and the parallel designation R-77M-PD was also applied. Vympel declines to use the Russian R-77 service designation for the missile as the baseline R-77 never fully entered Russian Air Force service (et que certains prétendent avoir déjà ). Vympel always refers to the missile under its export designation, RVV-AE. The developed RVV-AE-PD was to have a solid propellant ramjet motor with a maximum range of 160 km (86 miles) ( par rapport à la RCS de quelle target allez savoir surrement d'un antonov). Vympel sources state that ground tests to prove the basic ramjet concept were completed in 1989. During the 1990s the company investigated different fuels and revised gas generators to improve the basic design. However, a lack of national funding consistently hampered progress. Some of the technology adopted for the RVV-AE-PD programme was transferred from a secretive collaboration between Vympel and Matra (now MBDA) to develop advanced ramjet missiles. According to Vympel, this joint project ended in 1994. Some sources suggested that renewed testing of a ramjet motor began in 1995 and that full flight tests of the missile started in 1998. There is no confirmation from Vympel that such a level of progress has been achieved.By the mid-2000s Vympel had proposed several performance enhancements and design changes to the production-standard RVV-AE/R-77 missile.

http://articles.janes.com/articles/Janes-Air-Launched-Weapons/RVV-AE-PD-R-77M-PD-Russian-Federation.html

Un récit sur l'utilisation du missile CROTALE en situation réel ( opération épervier) contre un TUPOLEV-22 Lybien.





http://air-insignes.waibe.fr/article-36--defense-sol-air-2.html?PHPSESSID=33e52a660e43267250622c6a853494e8

J'espère que les dernières version sont meilleurs

L'Aster 30 nouveau est (va) arrivé........
http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Le-futur-Aster-30-pourra-intercepter-des-missiles-de-1500-km-de-portee_a578.html

grand merci Mourad

il ont fait que 4 tire en 4 ans pour validé l'ASTER !!! ??? c'est pas beaucoup
il fut plus d'essai que ca pour etre sur que le missile fonctione bien en situation reele c'est tres different

bolderiz a écrit:

il ont fait que 4 tire en 4 ans pour validé l'ASTER !!! ??? c'est pas beaucoup
il fut plus d'essai que ca pour etre sur que le missile fonctione bien en situation reele c'est tres different

et c est combien de tirs pour les S X00 ?

docleo a écrit:

bolderiz a écrit:

il ont fait que 4 tire en 4 ans pour validé l'ASTER !!! ??? c'est pas beaucoup
il fut plus d'essai que ca pour etre sur que le missile fonctione bien en situation reele c'est tres different

et c est combien de tirs pour les S X00 ?

c'est un systeme eprouvé qui date des année 80 et qui a eu plein de modernisation et de teste pour etre aujourdhui a maturité meme si il a jamais été testé dans de vrai combat .

Citation :

Raytheon to upgrade AIM-9X air-to-air missile to extend its range and replace obsolescent parts

PATUXENT RIVER NAS, Md., 24 Aug. 2012. Engineers at the Raytheon Co. Missile Systems segment in Tucson, Ariz., are making plans to upgrade the U.S. military's AIM-9X Sidewinder air-to-air missile to extend the weapon's range and address existing obsolescence issues.

The AIM-9X is a relatively short-range infrared heat-seeking missile that equips most jet fighters, fighter-bombers, and other offensive combat aircraft in the U.S. arsenal, and is used to shoot down enemy aircraft close by. The AIM-9X works by homing in on an enemy aircraft's hot engine exhaust. Variants of the AIM-9 Sidewinder have been deployed since the 1950s.
Officials of the U.S. Naval Air Systems Command at Patuxent River Naval Air Station, Md., announced plans this month to award a sole-source contract to Raytheon to perform missile upgrades on the AIM-9X not only to extend the missile's range and deal with obsolescent components, but also to address insensitive munitions requirements.
Insensitive munitions, mandated by U.S. law, refer to weapons that only burn, rather than explode, when subjected to unintentional slow or fast heating, bullets, shrapnel, shaped charges, or the detonation of another nearby munition.

Military officials want to ensure the AIM-9X does not explode unintentionally due to accidents or combat damage to safeguard military personnel and equipment from weapons-related accidents.

The Navy is awarding a sole-source to Raytheon for the AIM-9X upgrades because the company is the original manufacturer of the missile, and military officials have determined that only one responsible source and no other supplies or services will satisfy military requirements. The amount of the contract has yet to be negotiated.

Hughes Missile Systems won a competition to design and build the AIM-9X -- short for air intercept missile -- in 1996. Raytheon subsequently acquired Hughes Missile Systems in 1997. In the AIM-9X contract, the military did not buy a technical data package for re-procurement purposes, and required Raytheon to retain configuration control of all items not affecting the system specification.
Access to the technical data package is necessary for the AIM-9X missile upgrades, and awarding a contract to any other company than Raytheon would cause substantial duplication of costs and design delays, Navy officials say.
The AIM-9X is among the latest versions of the AIM-9 missile family. It entered service in 2003 on the Navy F/A-18C Hornet fighter-bomber and on the U.S. Air Force F-15C jet fighter. It has an imaging infrared focal plane array seeker with 90-degree off-boresight capability for accuracy.
The missile is compatible helmet-mounted displays such as the U.S. Joint Helmet Mounted Cueing System, and features 3-D thrust-vectoring control for increased turn capability. The AIM-9X also includes an internal cooling system.
The latest version of the AIM-9X is called the AIM-9X Block II, which is undergoing testing this year. This newest version has lock-on after launch capability for use with the F-35 Lightning II joint strike fighter and the F-22 Raptor advanced tactical fighter.
For questions or concerns about the pending sole-source contract to Raytheon to upgrade the AIM-9X, contact Raytheon's Mark Gottshall by phone at 520-794-0557, or by e-mail at msgottshall@raytheon.com.
For more information contact Raytheon Missile Systems online at www.raytheon.com/businesses/rms, or Naval Air Systems Command at www.navair.navy.mil.

Citation :

JAGM Demonstrates Dual-Mode Seeker in High-Speed Captive Flight Tests

ORLANDO, Fla., Oct. 23, 2012 – Lockheed Martin [NYSE: LMT] successfully tested its Joint Air-to-Ground Missile (JAGM) dual-mode seeker in high-speed captive flight tests, demonstrating its ability to track ground targets while flying at tactical speeds.

The company-funded tests were conducted on a Sabreliner jet at Yuma Proving Ground, Ariz. The data collected from the tests validated the maximum ranges of the seeker’s millimeter wave and semi-active laser sensor modes against representative targets.

“By demonstrating the maturity of our low-cost dual-mode seeker in these captive flight tests, we are fully supporting the Army’s efforts to restructure the JAGM program for greater affordability in both development and unit costs,” said Frank St. John, vice president of tactical missiles and combat maneuver systems in Lockheed Martin’s Missiles and Fire Control business. “Less than two months after receiving the continuing technology development contract award, we are already lowering risk by testing the dual-mode seeker our customer requires in a tactical scenario.”

Under the continuing technology development contract, Lockheed Martin will qualify its JAGM guidance section equipped with a dual-mode seeker that will be manufactured on the existing HELLFIRE production line. The modularity and open architecture of Lockheed Martin’s JAGM design readily support a low-risk spiral to a tri-mode seeker, should the U.S. Army desire such a capability in the future.

Lockheed Martin’s JAGM draws upon a legacy of battle-tested weapons and has successfully fielded missiles with both JAGM seeker modes; the precision-strike semi-active laser on HELLFIRE® and the all-weather fire-and-forget millimeter wave on LONGBOW.

Platforms for JAGM include the U.S. Army’s AH-64 Apache attack helicopter and MQ-1C Gray Eagle unmanned aerial system. Lockheed Martin’s JAGM is also compatible with other HELLFIRE platforms.

http://www.deagel.com/news/JAGM-Demonstrates-Dual-Mode-Seeker-in-High-Speed-Captive-Flight-Tests_n000010868.aspx

Citation :

Tir de qualification réussi d'un AASM laser sur une cible terrestre mobile

La Direction générale de l'armement (DGA) a réalisé avec succès, le 12 décembre 2012, le dernier tir de qualification de l'Armement air-sol modulaire (AASM) en version à guidage terminal laser.



Ce tir concrétise les efforts de recherche et développement soutenus par la DGA depuis 2005, notamment à travers des programmes d'études amont. La version laser permet de compléter la gamme AASM qui comprend déjà une version inertie-GPS et une version infrarouge, toutes deux en service dans les forces françaises. Plus de 200 tirs d'AASM ont été réalisés par les avions Rafale de l'armée de l'air et de la marine nationale lors de l'opération Harmattan.

Le tir a eu lieu sur le site de Biscarrosse de DGA Essais de missiles. Le Rafale qui a tiré était équipé d'un pod de désignation laser Damoclès. La cible, un véhicule 4x4 téléopéré, suivait une trajectoire de vitesse variable. L'arme a percuté la cible illuminée par le pod alors qu'elle roulait à 50 km/h.

Ce succès fait suite à un premier tir à longue portée sur une cible fixe à terre et un deuxième tir sur une cible en mer réalisés en 2012 sur le site de Biscarrosse. Il complète la démonstration de performance de l'AASM laser, qui allie à une capacité "stand-off" la capacité d'atteindre des cibles rapides et manoeuvrantes, terrestres ou navales, avec une précision métrique.

L'AASM est constitué d'un kit de guidage et d'un kit d'augmentation de portée se montant sur des corps de bombe standard. Cet ensemble permet de tirer à distance de sécurité de la cible (plus de 50 km) hors de portée des défenses sol-air adverses, dans toutes les conditions météorologiques, de jour comme de nuit. La DGA a commandé 380 exemplaires de l'AASM laser à Sagem (groupe Safran).

TB

Citation :

USS Monsoon Patrol Coastal (PC) Griffin Test Video

Citation :

MBDA Marte MK2/S Anti-Ship Missile Release Trial From Airbus Military C295 MPA


Airbus Military and MBDA have successfully demonstrated the release of an instrumented Marte MK2/S anti-ship inert missile installed under the wing of the C295 maritime patrol aircraft. This flight was the last of a series of trials performed in a joint Airbus Military – MBDA collaboration to validate the aerodynamic integration of Marte on C295, its handling qualities and performance tests.



The installation of weapons under the wings provides new operational capabilities to the C295 MPA allowing the aircraft to perform new missions demanding by the customers. In the anti-submarine warfare (ASW) role, the C295 is already in-service carrying the MK46 torpedo.

This successful trial provides further proof of the operational versatility of the Marte missile and clearly establishes it as the benchmark weapon in the medium weight anti-ship missile sector.

The Marte Mk2/S is already integrated on the AW-101 and the NFH (Naval NH90) helicopters in service with the Italian Navy and integration activities for the Marte ER on the Eurofighter Typhoon are currently underway.

The MBDA Marte MK2/S missile is a fire-and-forget, all-weather, medium-range sea-skimming anti-ship weapon system, equipped with inertial mid-course guidance and radar homing terminal guidance, and capable of destroying small vessels and heavily damaging major vessels. The missile has a weight of 310 kg and is 3.85 m long.

http://www.navyrecognition.com/index.php/news/defence-news/year-2013-news/april-2013-navy-world-naval-forces-maritime-industry-technology-news/997-mbda-marte-mk2s-anti-ship-missile-release-trial-from-airbus-military-c295-mpa-.html

Est ce qu'un missile antimissile peut t-il détruire un missile nucléaire ??