US Marine Corps (USMC)

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  Talisman Saber2013, 81mm mortar, Marines, live-fire, bilateral exercise, interoperability  

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FFDj : stage au CECAD pour la 26e MEU (US)  

Mise à jour : 15/08/2013 15:32

Du 31 juillet au 7 août 2013, les militaires du 5e Régiment InterArmes d'Outre-Mer (RIAOM) des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont organisé et encadré un stage d’initiation au Centre d’Entraînement au Combat et d’Aguerrissement de Djibouti (CECAD) au profit des éléments américains du 26eMarine Expeditionary Unit (MEU) stationnés sur le camp de Lemonnier de Djibouti.

Ce stage avait pour objectif l’aguerrissement, le travail du leadership et le renforcement de la cohésion. Durant une semaine, les 6 instructeurs du 5e RIAOM ont encadré près de 400 stagiaires américains, au rythme de deux sections différentes par jour.




Du 31 juillet au 7 août 2013, les militaires du 5e Régiment InterArmes d'Outre-Mer (RIAOM) des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont organisé et encadré un stage d’initiation au Centre d’Entraînement au Combat et d’Aguerrissement de Djibouti (CECAD) au profit des éléments américains du 26e Marine Expeditionary Unit (MEU) stationnés sur le camp de Lemonnier de Djibouti.  
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Les stagiaires ont effectué chaque matin un parcours nautique et chaque après-midi une piste d’audace. Chacun de ces parcours comprenait une dizaine d’obstacles. Le parcours nautique a été effectué en méthode découverte, autrement dit sans reconnaissance préalable. Ce parcours avait pour objectif de mettre les stagiaires en situation difficile afin qu’ils fournissent un effort collectif. En effet, certains obstacles de ce parcours ne sont franchissables qu’en groupe tels que : la planche irlandaise, la planche d’équilibre ou encore le chapeau chinois. La piste d’audace s’effectue également en méthode découverte et  comporte également certains obstacles nécessitant d’être franchis en groupe. Le premier d’entre eux étant un mur de 4.60 mètres de hauteur. Le groupe s’unit pour hisser un premier stagiaire, qui une fois en haut de l’obstacle, fait descendre la corde facilitant le franchissement du groupe. Le piste d’audace est également constituée de  cages, de buses, de poutres mobiles ou encore de rampés sous barbelés.

Les FFDj mènent régulièrement des actions avec les militaires américains présents à Djibouti. A la fin du mois de mai dernier, les FFDj et la 26e MEU avaient effectué un  exercice de largage de parachutistes sur le site du Qaîd, à 85 kilomètres à l’Ouest de Djibouti. Au-delà des collaborations avec la MEU, la coopération franco-américaine est constante dans la région. Les états-majors des FFDj et le commandement américain du groupe de forces armées et interalliées pour la Corne de l’Afrique (Combined Joint Task Force – Horn of  Africa CJTF-HOA) se réunissent ainsi régulièrement afin de coordonner l’ensemble de leurs activités à Djibouti. Depuis le 12 avril 2012, cette coopération a été renforcée par la signature d’un accord entre les FFDj et le CJTF-HOA permettant l’échange de prestations et de services logistiques dans le domaine du transport aérien de fret et de personnel.

Les Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné, permettant de disposer de réservoirs de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé), ainsi qu’à la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient également d’une capacité d’entrainement permanente avec le centre d’entrainement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.






Du 31 juillet au 7 août 2013, les militaires du 5e Régiment Inter Armes d'Outre-Mer (RIAOM) des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont organisé et encadré un stage d’initiation au Centre d’Entraînement au Combat et d’Aguerrissement de Djibouti (CECAD) au profit des éléments américains du 26e Marine Expeditionary Unit (MEU) stationnés sur le camp de Lemonnier de Djibouti.  






Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense

http://www.defense.gouv.fr/ema/forces-prepositionnees/djibouti/actualites/ffdj-stage-au-cecad-pour-la-26e-meu-us  

voila comment on fabrique des Marines à l'USMC !!! :balkom: 

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Publiée le 14 août 2013

26th Marine Expeditionary Unit (MEU) Maritime Raid Force Marines and Marines assigned to 26th MEU Command Element conduct M18A1 Antipersonnel Claymore detonation, immediate action and bounding drills at a range in Jordan, June 19, 2013. Exercise Eager Lion 2013 is an annual, multi-national exercise designed to strengthen military to military relationships and enhance security and stability in the region by responding to modern day security scenarios. The 26th MEU is a Marine Air-Ground Task Force forward-deployed to the U.S. 5th Fleet area of responsibility aboard the Kearsarge Amphibious Ready Group serving as a sea-based, expeditionary crisis response force capable of conducting amphibious operations across the full range of military operations.

 

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Publiée le 21 août 2013  

U.S. Marines assigned to 26th Marine Expeditionary Unit (MEU) Command Element and 26th MEU Marine Raid Force Marines conduct static line and double bag static line parachute operations from a KC-130J Super Hercules assigned to Marine Aerial Refueler Transport Squadron (VMGR) 352, over Djibouti, Aug. 10, 2013. The 26th MEU is a Marine Air-Ground Task Force forward-deployed to the U.S. 5th Fleet area of responsibility aboard the Kearsarge Amphibious Ready Group serving as a sea-based, expeditionary crisis response force capable of conducting amphibious operations across the full range of military operations.

 

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Refueling the F-35B Lightning II with VMGR-352


Marine Aerial Refueler Transport Squadron 352 “Raiders” conducted fixed-wing aerial refueling training with Marine Attack Squadron 211 “Wake Island Avengers” and Marine Fighter Attack Squadron 121 “Green Knights” over eastern California, Aug. 27.

This training teaches pilots and air crew to refuel an aircraft without landing using a KC-130J Super Hercules, thus extending the operational capability of the aircraft during combat missions.

During the exercise, the Raiders refueled three F-35B Lightning II Joint Strike Fighters with VMFA-121 and two AV-8B Harriers with VMA-211.

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A Marine was killed and four others injured when an Amphibious Assault Vehicle caught fire Monday morning at the Marine Corps Air Ground Combat Center in Twentynine Palms, Calif.

Cpl. Nicholas Sell of 3rd Assault Amphibian Battalion, 1st Marine Division, out of Camp Pendleton, Calif., was participating in a battalion assault course as part of the Integrated Training Exercise when his AAV caught fire around 11:20 a.m., Combat Center spokesman Capt. Justin Smith said in a release. Sell, 21, was a native of Eagle Point, Ore., who had been in the Marine Corps since 2010. He had deployed once to Afghanistan
Rest in Peace Corporal Sell. Speedy recovery to the other Marines.

http://www.marinecorpstimes.com/arti...-fire-29-Palms

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Deux généraux renvoyés après un attentat contre une base de l'OTAN

Le commandement des marines américains a renvoyé lundi deux généraux, suite à l'attentat en 2012 contre une base de l'OTAN où était déployé le prince d'Angleterre Harry. La sanction est extrêmement rare.
Elle a été prise après qu'une enquête militaire a démontré que les généraux n'avaient pas correctement assuré la sécurité du camp Bastion, base de l'OTAN dans la province très instable du Helmand, dans le sud du pays, a annoncé le général James Amos dans un communiqué.
Dans la nuit du 14 au 15 septembre 2012, un attentat avait tué deux marines américains et blessé huit autres. Six avions de combat américains avaient également été détruits.
Soldats des Tonga
Les deux officiers, "qui n'ont pas exercé un jugement à la hauteur de généraux" ont été priés de partir en retraite, précise le corps des marines dans son communiqué.
Au moment de l'ouverture de l'enquête conduite par la force internationale de l'OTAN, en mai dernier, le quotidien américain "Washington Post" avait avancé que les patrouilles américaines chargées de surveiller les environs du camp avaient été réduites.
Les Britanniques, qui stationnaient sur la base, auraient eux délégué à des soldats du royaume des Tonga (îles de Polynésie) la responsabilité des tours de surveillance, mais ceux-ci n'auraient pas assuré leur service dans certaines de ces tours.

http://www.romandie.com/news/n/Deux_generaux_renvoyes_apres_un_attentat_contre_une_base_de_l_OTAN49011020131047.asp

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Spearhead completes testing milestone
First JHSV demonstrates capabilities

Approximately 280 Marines with three 2nd Marine Division units took part in the at-sea testing of the Navy’s joint high-speed vessel, USNS Spearhead (JHSV 1), July 31 to Aug. 6.

Marines embarked Spearhead with their weapons, gear and vehicles for one week and traveled from Morehead City, N.C., to Mayport Naval Station, Fla., and back.

Elements of 1st Battalion, 2nd Marine Regiment, 2nd Light Armored Reconnaissance Battalion, and 2nd Assault Amphibian Battalion participated in Spearhead’s tests and trials.

“Marines are on board because they are helping to conduct two different tests. In any acquisition program there are required tests that have to occur in order for the Navy to say this ship is ready to go,” said Maj. Andrew Hamilton, the Marine Corps liaison officer for the JHSV program at Naval Sea Systems Command. “One test is called the Initial Operational Test and Evaluation. The second test is called the Total Ship Survivability Trials.”

IOT&E determines if the ship is operationally effective and operationally suitable, and ensures the ship can perform the capabilities it was designed to perform. A wide range of maritime operations to determine operational effectiveness and suitability were assessed during IOT&E. For the TSST, damage control events were simulated, evaluating the ability of the ship and crew to control damage, and reconfigure and reconstitute mission capability after damage. The test also assessed the capability of the crew and an embarked force to abandon ship.

Each TSST event resulted in simulated casualties who were selected at random. Marines were given casualty cards, which told them exactly what injury they received and if they were conscious, unconscious, bleeding or bruised. Marines had to record if they applied self-aid or received buddy-aid. Marines had several corpsmen aboard to lead these exercises.

“In addition to evaluating the recoverability of the ship and crew, these damage control events help us to gather data as it relates to human injury and the treatment required onboard ship. Collecting more data for initial treatment, buddy aid, extended treatment and evacuation helps us to create more accurate models to assess medical capabilities and manning required onboard ships,” said Amber Huffman, the test manager for the JHSV program. “The Marines were very enthusiastic in supporting the drills and were very fast in their response times. The types of treatments they administered were a lot more advanced than what we thought they would be, given the supplies the USNS Spearhead has onboard,” Huffman said.

One of the damage control drills required Marines to evacuate Spearhead via the Marine Evacuation System, an inflatable slide that was deployed from the starboard side of the ship into an inflatable life raft. The evacuation of 177 Marines took approximately 15 minutes.

While many of the events tested the ship’s capabilities to support an embarked force, the 96-hour underway time was also used for the Marines to plan for an operation and test their own capabilities. While aboard, Marines performed military occupational specialty cross training on weapons and vehicles. Platoon commanders conducted additional classes covering the combat orders process, map reading skills, tactical decision games, and a professional military education class on the Chosin Reservoir during the Korean War. Vehicle maintenance was also conducted on all vehicles on board.

Marines with 1st Battalion, 2nd Marine Regiment, held a competition to see which Marines could disassemble and reassemble M240B machine guns. They also familiarized themselves with 60mm mortars and took multiple-choice tests on weapon capabilities, nomenclature, map symbols and basic infantry knowledge.

“With modern combat you can’t ever be too sharp,” said First Sgt. Brian Moody, Bravo Company, 1st Battalion, 2nd Marine Regiment, from Greenwood, S.C.

Marines also tested ship communications using the ship’s satellite.

When all ship capability tests and unit capability testing was complete, Marines unloaded the six light armored vehicles, 11 amphibious assault vehicles, three 7-ton trucks and nine Humvees.

“Our close cooperation with the Marine Corps helped demonstrate a realistic testing environment as we prepare this fast, flexible ship for the Fleet,” said Capt. Henry Stevens, strategic and theater sealift program manager for Program Executive Office Ships.

Spearhead is designed for rapid, flexible, intra-theater transport of troops and military equipment of approximately 600 tons for 1,200 nautical miles at an average speed of 35 knots. Spearhead has sleeping accommodations for 104 mission personnel, and airline-style seating for up to 312. Its aviation flight deck can support day and night flight operations for a wide variety of aircraft.

http://www.msc.navy.mil

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Somalie-Libye: comment les États-Unis ont mené leurs raids antiterroristes

Samedi, les forces spéciales américaines sont intervenues sur deux fronts. En Somalie, à l'encontre de commandants Shebab dans le pays et en Libye, afin de traquer l'un des leaders présumés d'Al-Qaida. 


Deux raids ont été menés samedi par les forces spéciales américaines en Somalie et en Libye. (Photo d'illustration)

REUTERS

C'est une opération d'envergure qu'ont lancé samedi matin, à l'aube, les forces spéciales américaines. Elles ont en effet mené deux raids audacieux, l'un en Somalie et l'autre en Libye, visant deux chefs islamistes soupçonnés d'actes terroristes, dont l'un au moins a été capturé, selon des responsables à Washington. Un porte-parole du Pentagone, George Little, a confirmé tard samedi soir à Washington que des forces spéciales américaines avaient capturé en Libye Abou Anas al-Libi, un des leaders présumés d'Al-Qaïda, recherché par les États-Unis pour son rôle dans les attentats de 1998 contre les ambassades américaines en Tanzanie et au Kenya. Il se trouve entre les mains de l'armée américaine dans "un lieu sûr, à l'extérieur de la Libye", a précisé ce porte-parole. 
Plus tôt dans la soirée, ce même porte-parole confirmait un autre raid, lancé cette fois en Somalie et visant un autre islamiste apartenant lui au groupe somalien shebab. "Je peux confirmer qu'hier, le 4 octobre, des militaires américains ont été engagés dans une opération de contre-terrorisme à l'encontre d'un terroriste shebab connu", a indiqué samedi soir ce porte-parole du Pentagone. Ce dernier n'a toutefois pas été en mesure de confirmer si ce responsable shebab, dont l'identité n'a pas été révélée, avait été tué, capturé ou s'il avait échappé à ce raid des forces spéciales. 

Arrivée par la mer en Libye
En Libye, les forces américaines --des Navy Seals, commandos d'élite de la marine, selon le New York Times--, ont eu plus de chance en mettant fin à une traque de plus de quinze ans. Abou Anas al-Libi, de son vrai nom Nazih Abdul Hamed al-Raghie, 49 ans, était membre du Groupe islamique de combat libyen (Gicl) avant de rallier le réseau d'Al-Qaïda.
Il figure parmi les personnalités les plus recherchées par le FBI, qui a offert cinq millions de dollars pour sa capture. Accusé par la justice américaine pour son rôle dans les attentats de 1998, il pourrait être transféré aux Etats-Unis. 
En Somalie, l'opération a été lancée pour capturer un leader shebab "très recherché", a expliqué un responsable à Washington, précisant qu'aucun militaire américain n'avait été blessé au cours de l'attaque. Selon un responsable américain cité par le New York Times, ce dirigeant shebab a probablement été tué, mais les forces spéciales américaines ont été obligées de se retirer avant d'avoir confirmation de cette mort. 
Il s'agit de la plus importante opération américaine menée sur le sol somalien depuis que des forces spéciales ont tué il y a quatre ans un chef des islamistes shebab, Saleh Ali Saleh Nabhan. Elle survient deux semaines après l'attaque, revendiquée par les shebab, du centre commercial Westgate à Nairobi, et qui a fait au moins 67 morts. 
Commandants shebab visés
Les shebab ont de leur côté affirmé avoir été attaqués dans la nuit de vendredi à samedi par des forces spéciales britanniques et turques qui visaient une de leurs bases importantes dans le port somalien de Barawe (sud), qu'ils contrôlent toujours. Londres a cependant démenti samedi soir tout rôle dans cette opération. 
Un responsable local, Mohamed Abu Suleiman, a dit que "les ennemis d'Allah ont encore essayé de prendre par surprise les commandants moujahidines dans une attaque tard dans la nuit, en utilisant un hélicoptère militaire, mais on leur a infligé une leçon et ils ont échoué". 
Egalement interrogé, le porte-parole shebab Abdulaziz Abu Musab a assuré, sans en apporter la preuve, que l'opération avait été conjointement menée par des "Britanniques et des Turcs", qui ont débarqué selon lui par bateau sur la plage. Le porte-parole a fait d'état d'un mort dans les rangs shebab et de "nombreuses victimes" parmi les forces étrangères. "L'opération ratée a été menée par des Blancs", qui ont accosté à bord de "deux petits bateaux partis d'une plus grande embarcation en mer (...) Un garde shebab a été tué, mais les renforts sont arrivés rapidement et les étrangers ont fui", a-t-il raconté. 
Des témoins ont de leur côté fait état d'intenses échanges de tirs dans la nuit. "J'ai été réveillé par le bruit d'un hélicoptère tournant autour du quartier et quelques minutes plus tard, des coups de feu ont éclaté et duré près de 10 minutes", a raconté un témoin sous couvert d'anonymat. "Je ne sais pas exactement ce qui s'est passé, mais c'était une attaque organisée visant une maison où se trouvaient des commandants shebab", a-t-il poursuivi. "Ce matin, on ne peut pas s'approcher du lieu de l'attaque, des shebab lourdement armés ont bouclé la zone", a indiqué un autre habitant, Mohamed Nune. 
Plusieurs opérations dans le passé
Les shebab ont subi d'importants revers militaires dans le centre et le sud somaliens ces deux dernières années, infligés par l'armée éthiopienne et une force de l'Union africaine (Amisom) à laquelle participe le Kenya voisin. L'armée éthiopienne et l'Amisom interviennent pour soutenir les fragiles autorités de Mogadiscio. Mais les islamistes affiliés à Al-Qaïda contrôlent encore de vastes parties des zones rurales. Barawe est situé à quelque 180 km au sud de la capitale somalienne Mogadiscio. C'est un des rares ports encore contrôlés par les islamistes.
Plusieurs opérations de forces spéciales occidentales ont été menées en Somalie dans le passé, notamment pour tenter de libérer des otages aux mains des islamistes ou de groupes de pirates. En janvier 2013, une opération commando française avait échoué à libérer l'otage Denis Allex, un agent des services français de renseignement. Denis Allex, probablement un pseudonyme, avait a priori été tué par ses ravisseurs. Un membre du commando avait également péri dans l'opération. 
En janvier 2012, les Navy Seals avaient libéré deux travailleurs humanitaires, une Américaine et un Danois, au cours d'une opération commando menée avant l'aube dans la région de Hobyo (centre) servant de repaire aux pirates somaliens. La Somalie est en état de guerre civile, livrée au chaos depuis la chute du président Siad Barre en 1991.

[url=http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/somalie-libye-comment-les-etats-unis-ont-mene-leurs-raids-antiterroristes_1288433.html?xtor=EPR-181-[XPR_Quotidienne]-20131006--24069692@264870391-20131006135655]

60 Minutes has obtained a new video showing Super 61 being shot down in Somalia

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Never-before-seen military footage of "Black Hawk Down"

Vidéo   http://www.cbsnews.com/video/watch/?id=50156409n


Most Americans know what happened in Mogadishu, Somalia, during America's first battle against al Qaeda 20 years ago thanks to the Oscar-winning film, "Black Hawk Down." Now for the first time, they can see how the actual battle unfolded in footage obtained by 60 Minutes. Lara Logan's report, containing the images and combat veterans' eyewitness accounts of the battle, also follows the secret, 7-month effort of a retired soldier and his wife to repatriate the helicopter's wreckage. This remarkable 60 Minutes story will be broadcast almost 20 years to the day of the battle Sunday, Oct. 6 at 7:30 p.m. ET/PT.

The footage that will bring viewers back to the start of the mission, the battle and the downing of "Super 61," the call sign of the doomed helicopter, is military surveillance footage shot of the mission. It captures the scenes on Oct. 3, 1993, in Mogadishu that inspired the film.

A mission that day to capture top lieutenants of a Somali warlord was going fairly well until Super 61 took a rocket-propelled grenade -- a lucky shot that somehow found its fast-moving target. "It took a direct hit to the tail boom and started a slow rotation," says Norm Hooten, a Special Operations team leader that day who has never spoken publicly about the incident until now. "It was a catastrophic impact. That's the only way I can describe it," Hooten tells Logan.

Hooten and two other veterans who were there that day then tell Logan their harrowing experiences in the battle to retrieve the bodies and survivors of the crash in an hours-long ordeal recreated in the film. Nineteen died in the battle.

David Snelson, a former Army intelligence officer, and his wife, Alisha Ryu, have lived in Mogadishu for the past three years. When they heard that a planned new construction might disturb the wreckage site of the Super 61, they got an idea to save it and went to find it. "So we drove down into Bakaara Market...you had to kind of crane your neck and look at it because it was a cactus field," says Ryu. "But what I did see was this blade sticking out, what it looked like [was] a helicopter blade."

Ryu and Snelson then came up with a carefully thought-out plan to recover as many pieces of the aircraft as they could while drawing as little attention as possible in an area now controlled by al-Shabab, essentially al Qaeda in Somalia. 60 Minutes hired a local cameraman to follow their furtive efforts, a task the couple paid for out of their own pockets.

"Above anything else, you think about the men...what they went through," Snelson tells Logan. "We didn't do this for anybody else but them. I'll get [the Super 61's remains] home."

parts they were able to recover at the site, including the rotor blade and some foot pedals, now reside in the Airborne and Special Operations Museum in Fayetteville, N.C.

"I think it's coming back to where it belongs," says Hooten. "And that matters. To anybody that was-- that was there that night, it matters."

http://www.cbsnews.com

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Cracks found in F-35B test model

WASHINGTON — Cracks were found in the fuselage of a test model of the F-35B, the Marine Corps variant of the joint strike fighter, Defense News has learned.

The discovery will have no impact on flights occurring on any of the three F-35 variants, but will require that the test model be shut down for two to four months while inspectors look at the issue.

“During a late August 2013 inspection of the F-35B short takeoff/vertical landing (STOVL) ground article used for durability testing, two minor cracks were identified in one of the ground article’s four primary wing carry-through bulkheads,” Kyra Hawn, an F-35 program spokeswoman, said in an Oct. 10 statement.

The cracks appeared after more than 9,400 equivalent flight hours, or roughly 17 years of flight time. The F-35 program of record requires a lifecycle of 8,000 hours per plane; the test vehicle will eventually go through a simulation of two lifetimes, or 16,000 hours.

In other words, while the cracks are hardly a good thing, this was a problem discovered after extensive stress testing designed to find such problems. That said, a fix will need to be introduced into the production line, as well as added to previously produced models.

“A combined effort by government and Lockheed Martin engineering teams is underway to address modifications to the bulkhead that will be incorporated into production and the fleet as part of the normal program concurrency process to ensure aircraft full life,” Hawn’s statement said.

Hawn added that the cost and time needed to retrofit fixes for the issue into the current F-35B fleet are unknown at the moment. About 50 of the F-35Bs will require retrofitted bulkhead repairs.

The program office estimates modifications would add “less than two pounds” to the overall weight of the aircraft.

The F-35, a stealthy fifth-generation fighter, comes in three varieties. The F-35A is a conventional takeoff and landing model; the F-35B is a jump-jet design; and the F-35C is designed for use on aircraft carriers.

The F-35B will be used primarily by the US Marine Corps, which have targeted July 2015 for Initial Operational Capacity (IOC). That IOC date will not be impacted by this issue, according to Hawn.

http://www.marinecorpstimes.com

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Raytheon test fires enhanced Marine Corps anti-tank weapon system

Upgraded system can perform surveillance and targeting on the move

REDSTONE ARSENAL, Ala., Oct. 23, 2013 /PRNewswire/ -- Raytheon Company (NYSE: RTN) successfully completed an initial round of live-fire testing with a new U.S. Marine Corps Light Armored Vehicle Anti-Tank (LAV-AT) weapon system. The upgraded, highly mobile, anti-armor LAV-AT weapon system is designed to protect reconnaissance and light infantry. Its mission is to defeat threats at long-range, day or night, and in all weather conditions.

(Photo: http://photos.prnewswire.com/prnh/20131023/NE02268)

"Raytheon is delivering an enhanced capability designed to save Marines' lives," said Michelle Lohmeier, vice president of Land Warfare Systems for Raytheon Missile Systems. "The new turret and thermal systems can perform surveillance and targeting on the move, providing greater situational awareness. Raytheon has also reduced the size of the equipment to provide more crew space inside the vehicle."

In April 2012, the U.S. Marine Corps awarded Raytheon a contract to develop and integrate an anti-tank weapon system on four LAV-ATs. All four vehicles will go into development testing later this year, with operational testing to follow in late 2014.

About Raytheon
Raytheon Company, with 2012 sales of $24 billion and 68,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, security and civil markets throughout the world. With a history of innovation spanning 91 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems; as well as a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter @Raytheon.

http://raytheon.mediaroom.com

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Marines fly first F-35 STOVL mission at Eglin

10/28/2013 - EGLIN AIR FORCE BASE, Fla. --

The 33rd Fighter Wing and the F-35 Lightning II program reached a new milestone when Marine Fighter Attack Training Squadron-501 completed its first short take-off and vertical landing mission here Oct. 24.



Maj. Brendan M. Walsh flew the hour-long mission in which the aircraft remained in the STOVL configuration for the entire flight. The aircraft flew pattern procedures around the base before gliding in, stopping in mid-air about 100 feet off the Eglin runway, performing a stationary right turn and slowly lowered to the ground.



"This mission made one of the key capabilities for this fighter an operational reality not just for VMFAT-501, but for the entire F-35B program," said Lt. Col. David Berke, the VMFAT-501 commander. "Our expeditionary operations are rapidly evolving, and STOVL capabilities give us a flexibility to stage our aircraft not just from major bases and carriers, but also out of damaged airstrips and other austere operating sites."



Walsh is the only pilot at Eglin qualified to fly in the STOVL configuration, but he said the flight paved the way to locally train F-35B instructors and new students in STOVL operations



"STOVL is going to quickly become a routine, administrative function of the F-35B, said Walsh. "We will upgrade all current pilots to a field STOVL qualification. This will facilitate the F-35B community training for shipboard operations in the near future, and it will allow more focus on training for tactical mission sets."



Walsh qualified in vertical landing operations six months ago at Marine Corps Air Station Yuma, Ariz.



"I came to this program as an F-18 pilot, so to become the first STOVL qualified instructor in the fleet without a background in vertical landings is a testament to the ease of operation of the F-35," Walsh said.



STOVL operations allow the F-35B to operate in austere conditions, and it is a key difference between the Marine variant and other F-35 variants.



The STOVL operation also marks a significant achievement in the program for some partner countries. VMFAT-501 hosts three pilots and 13 maintainers from the United Kingdom's Royal Air Force and Royal Navy.

http://www.eglin.af.mil

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USMC orders additional TSS for AH-1Z Cobra



Lockheed Martin will produce additional Target Sight Systems (TSS) for the US Marine Corps' (USMC’s) AH-1Z Cobra attack helicopter under a $33.9 million follow-on production contract awarded by the Naval Surface Warfare Center (NSWC), Crane Division.
The TSS is the fire control system on the USMC AH-1Z Cobra. Its sensors provide pilots with enhanced capabilities to acquire, track and designate targets. The highly stabilised sensor suite includes a laser designator, colour video display and a third-generation, mid-wave, forward-looking infrared sensor with advanced image processing.
Brad Partain, senior program manager of airborne systems at Lockheed Martin Missiles and Fire Control, said: ‘This contract allows our TSS team to move seamlessly into an accelerated delivery schedule ensuring the system is available to warfighters during critical missions. The system enables pilots to see farther, engage threats with increased confidence and safely return to base.’
The initial TSS production contract was awarded in March 2008, followed by additional production contracts in June 2010, August 2011 and May 2012. Lockheed Martin delivered the first TSS in June 2009, and recently began early delivery of production units to support Lot 8 AH-1Z aircraft. TSS Lot 10 deliveries will be complete in December 2015. 

http://www.shephardmedia.com/news/rotorhub/usmc-orders-additional-target-sight-system-ah-1z-c/

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Predator B UAV EW demonstrations continue


The Predator B unmanned aerial vehicle (UAV) has completed a second demonstration to explore its electronic attack capabilities. The demonstration was conducted at the US Marine Corps' (USMC's) Weapons and Tactics Instructor course held at Marine Corp Air Station (MCAS) Yuma.
Following on from an earlier successful effort between the USMC, Northrop Grumman, and General Atomics Aeronautical Systems (GA-ASI), the demonstration saw a company-owned Predator B integrated into a Marine Aviation Command and Control (C2) network. Control of the aircraft’s Electronic Warfare (EW) payload and other assets was used to deliver effects across the Electro-magnetic Spectrum (EMS).
According to GA-ASI, this C2 capability was exercised from the Cyber/Electronic Warfare Coordination Cell located at MCAS Yuma and addressed simulated targets located hundreds of miles north at Naval Air Weapons Station China Lake. 
The USMC is currently analysing the jamming data in an effort to quantify the EW effectiveness better and the company expects the official results to be released soon. 

http://www.shephardmedia.com/news/uv-online/predator-b-uav-ew-demonstrations-continue/

Flottant dans l'océan Atlantique le 29 octobre, le navire d'assaut amphibie polyvalent USS Bataan (LHD 5) de l'United States Marine Corps avec à son bort le 22e Marine Expeditionary Unit (22eMEU) a participé à la formation,d'embarquement et de débarquement des véhicules légers d'attaque M1161 Growler dans les Hélicoptères CH-53 Super Stallion.

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Four Marines Killed in Range Accident at Camp Pendleton

Four Marines were killed in a Wednesday accident at a range on Camp Pendleton, Calif., officials at the base told USNI News on Thursday.

The Marines were on a range maintenance operation at the base’s Zulu impact area when the accident occurred at around 11 a.m. PST, base spokesman Lt. Ryan Finnegan said.
“The cause of the accident is under investigation,” Finnegan said.
A NBC report said the deaths were due to detonation unexploded ordnance.
The Zulu impact area is where ordinance from artillery, mortars and fighters strike during training.
The names of the victims will likely be released on Friday, Finnegan said.
It’s unclear the type of maintenance the Marines were performing. Range maintenance includes cutting grass, animal control as well as removal of unexploded ordnance.

http://news.usni.org/2013/11/14/four-marines-killed-range-accident-camp-pendleton

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Les Etats-Unis déploient un millier de Marines aux Philippines (officiel)
     

WASHINGTON, 15 nov 2013 (AFP) -    

Les Forces américaines du Pacifique ont annoncé jeudi soir le déploiement d'un millier de Marines aux Philippines pour contribuer aux opérations d'aide d'urgence après le passage dévastateur du super typhon Haiyan.

Environ 900 militaires de la 31e Unité expéditionnaire des Marines embarqueront à bord de deux navires amphibies de l'US Navy, - le Germantown et l'Ashland -, ont indiqué les Forces des Marines du Pacifique.

Les navires devraient arriver aux Philippines dans environ six jours. Ils ont quitté Sasebo, leur port d'attache japonais, dans la journée de jeudi, en direction d'un camp de base des Marines à Okinawa.

Cent Marines supplémentaires provenant de la même unité rejoindront leur destination par avion.

Les bateaux doivent apporter sur place des équipements lourds de chantiers tels que des pelleteuses, des camions à bennes et des dépanneuses - , des véhicules d'assaut amphibies, et des véhicules à chenilles qui peuvent fonctionner aussi sur terre que sur l'eau, des générateurs et des réservoirs d'eau portables.

Environ huit appareils de type MV-22 Osprey, avec rotors basculants, doivent aussi partir pour l'aéroport international de Manille dans les prochains jours, ce qui doublera le nombre d'Ospreys disponibles dans la zone.

Les Marines seront chargés de la remise en état des routes et de la distribution du matériel de survie.

L'annonce de leur arrivée intervient quelques heures après l'arrivée aux Philippines du porte-avions George Washington, avec 5.000 marins à bord, qui apportent des équipements, des soutiens logistiques et une expertises dont des miliers de Philippins sans-abri et affamés manquent cruellement depuis qu'ils ont été frappés par le typhon.

C'est l'un des huit navires américains qui se sont dirigés vers la région dans le cadre de l'"Opération Damayan" , un terme qui signifie "solidarité".

Le président Barack Obama a demandé instamment aux Américains de faire des dons généreux à leur ancienne colonie asiatique.

http://www.marine-oceans.com/actualites-afp/6539-les-etats-unis-deploient-un-millier-de-marines-aux-philippines-officiel

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Marine Corps of United States tests M203 grenade launcher with new recently-developed sight

Marines from 3rd Marine Regiment conducted an M203 40 mm grenade launcher shoot with a recently-developed sight as part of new equipment testing at Kaneohe Bay Range Training Facility, Nov. 19, 2013. Captain Robert Tavzel, a project officer with Marine Corps System Command, and native of Fredericksburg, Va., said the new sight was developed in response to an urgent universal need statement.
Monday, November 25, 2013 10:42 AM

http://www.armyrecognition.com/november_2013_defense_industry_military_news_uk/index.php

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MARINE CORPS BASE CAMP PENDLETON, CA - MARINE CORPS BASE CAMP PENDLETON, Calif., -- A High Mobility Artillery Rocket System practices sighting in on targets during a training exercise at the Mobile Immersion Trainer here, Nov. 14, 2013. Photo By: Cpl. Joseph Scanlan

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Trois femmes Marines réussissent l'école d'infanterie, une première


Trois jeunes femmes du corps des Marines ont passé avec succès l'entraînement de base de l'infanterie, une première dans le cadre d'une expérience pilote décidée après l'autorisation donnée aux femmes de participer directement aux combats, a-t-on appris auprès des Marines.
Ces trois jeunes Marines, dont l'âge et l'identité n'ont pas été divulgués, ont survécu à sept semaines d'un entraînement exigeant, au cours duquel elles ont multiplié les marches de 20 kilomètres équipés d'un paquetage de 40 kilos, tiré avec toutes sortes d'armes et appris les tactiques de base de l'infanterie.
Elles étaient 15 au début du programme au sein d'une compagnie d'environ 120 hommes. «Les femmes qui se sont retirées de l'étude l'ont fait pour plusieurs raisons, que ce soit par choix personnel, parce qu'elles ne répondaient pas au niveau d'exigence requis, ou en raison de blessures», a confié le capitaine Geraldine Carey.
39 femmes suivent actuellement l'entraînement d'infanterie
L'armée américaine mène actuellement des expériences pilote pour mettre en place des tests, notamment physiques, qui ne discriminent pas les femmes, avant de leur ouvrir des postes dans l'infanterie ou encore la cavalerie blindée, qui leur était auparavant interdits.
Dans une décision historique, le secrétaire à la Défense d'alors, Leon Panetta, avait annoncé en janvier qu'il autorisait les femmes à participer directement au combat, entérinant ainsi une réalité apparue au cours des conflits en Irak et en Afghanistan: les femmes ont combattu dans des guerres sans véritable ligne de front mais certains postes leur étaient pourtant interdits car étant par nature au contact direct des combats.
Les femmes représentent 205.000 des quelque 1,4 million de militaires d'active, soit près de 15% des effectifs de l'armée. Plus de 280.000 ont été déployées sur les théâtres d'opérations depuis 2001, et 152 l'ont payé de leur vie. Les trois femmes, qui doivent être diplômées au cours d'une cérémonie sur la base de Camp Geiger (Caroline du Nord, sud-est) ne peuvent cependant pas à ce stade intégrer une unité d'infanterie, l'expérience n'étant pas terminée.
Quelque 39 femmes suivent actuellement l'entraînement d'infanterie au sein de trois compagnies, selon la capitaine Carey. Aucune femme, sur les 10 qui l'ont tenté, n'a en revanche pour l'instant réussi le cours d'officier d'infanterie, encore plus exigeant.

http://www.20minutes.fr/societe/1253039-20131121-etats-unis-trois-femmes-marines-reussissent-ecole-infanterie-premiere

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USMC Conducts Operational Assessment of G/ATOR System


2013-12-04T05:00:00-0800

BALTIMORE – Dec. 4, 2013 – The AN/TPS-80 Ground/Air Task Oriented Radar (G/ATOR) system, built by Northrop Grumman Corporation (NYSE:NOC) for the U.S. Marine Corps, has successfully conducted developmental testing and supported two Weapons and Tactics Instruction (WTI) events at Marine Air Control Squadron (MACS) Yuma over the past 10 months. These events supported the operational assessment of the G/ATOR system for Milestone C.

During the assessment, Northrop Grumman's AN/TPS-80 provided excellent situational awareness by successfully detecting, tracking and identifying a wide range of aerial targets. The radar also demonstrated its ability to extract targets from heavy clutter backgrounds. The radar also exceeded its objective-level operational availability requirement.

"Under very intense testing conditions, our AN/TPS-80 detected and tracked targets that other systems at the exercise were not able to," said Jeffrey Q. Palombo, Vice President and General Manager of Northrop Grumman's Land and Self Protection Systems Division. "We look forward to continuing our strong partnership and collaboration with the Marine Corps on this program as it proceeds to Milestone C."

The AN/TPS-80 is the first ground-based, multimission radar to be developed for the Department of Defense. Designed to detect and track a wide variety of threats, the radar is built with an open, scalable architecture to enable digital interoperability and incorporation of new capabilities through software-only updates.

Earlier this year, Northrop Grumman's AN/TPS-80 Engineering Development Model (EDM) system demonstrated its ballistic missile defense capability by successfully detecting multiple rocket launches during company-funded testing at Wallops Island, Va. The Government AN/TPS-80 EDM system then completed two phases of government developmental testing at the Surface Combat Systems Center (SCSC) at Wallops Island before undergoing more rigorous developmental testing at MACS Yuma.

Completion of the developmental testing and assessment, along with the successful conduct of the production readiness review in September, positions the USMC for a Milestone C decision to authorize low-rate initial production.

Northrop Grumman is a leading global security company providing innovative systems, products and solutions in unmanned systems, cyber, C4ISR, and logistics and modernization to government and commercial customers worldwide. Please visit www.northropgrumman.com for more information.

http://www.northropgrumman.com

interessant ce G/ATOR,le genre d´architecture/defense qui nous interesse