Projet massif d´Energie Solaire-Eolien

Rappel du premier message :

voila,je viens d´entendre sur un canal allemand economique qu/ un consortium allemands de 20 Cie (dont Deutsche Bank,RWE,Siemens..) se sont reunis pour financer un projet de 400B€ d´energie solaire,installé en afrique du nord(maghreb) et EAU

je vais chercher un article

le DG de l'One était parti faire un tour en russie, pour éventuellement de parler du premier reacteur marocain! l'Espagne met les mains et les pieds pour bloquer tout programme nucléaire civil marocain ! la ministre des énergies avaient déclarée dans une scéance parlementaire que y en aura pas avant 2018, wait&see

pourquoi l'espagne voudrai nous privé de nucléaire ? Personne ne nous soupsonne de vouloir aquérir la bombre !!

Fahed64 a écrit:

Quant à l'énérgie solaire qui et plus propre et plus prometteuse...

Faut se méfier de tout...

Citation :

Décidément, rien n’est parfait. Voilà que la fabrication des panneaux solaire favorise le réchauffement. Leur fabrication utilise un gaz, le trifluorure d’azote (NF3). Ce gaz, qui n’est pas inclus dans le protocole de Kyoto, représente actuellement moins de 1% des gaz à effet de serre en circulation. Il est 17’000 fois plus nocif que le CO2, et a une durée de vie 5 fois plus longue. Ces dernières années, sa concentration dans l’atmosphère a augmenté de manière imprévue. Il est censé être confiné pendant la fabrication des panneaux. Pourtant il augmente. On incrimine la Chine et la Russie, qui seraient peu regardantes sur les mesures de sécurité.

http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/12/22/quand-les-panneaux-solaires-favorisent-le-rechauffement-clim.html

La fission nucléaire est ce qu'il y a de mieux aujourd'hui en attendant la fusion thermonucléaire, mais rien n'empêche de jouer sur les deux tableaux.

bansheequader a écrit:

100 % ok avec fahd. Pkoi le maroc ne prendrait que 10 ans pour acquérir la technologie nucléaire ?

Merci

Parce que le Maroc dispose déjà d'un minimum de savoir faire en la matière. Cela fait longtemps déjà que les Marocains font de le recherche en physique nucléaire et depuis quelques années, ils ont un réacteur de recherche pour se faire la main, à Mâamora, prés de Rabat.
Les Espagnoles prétendrent craindre un accident nucléaire au Maroc, ils refusent ainsi l'installation d'une centrale que ce soit prés de l'Espagne ou des îles canaries. Pourtant, ils ont une centrale au sud, qui pourrait représenter une menace pour le nord du Maroc en cas d'accident.

je crois qu'on devrait faire les deux, le projet solaire sera financé par les allemands et nous financeront le nucléaire, et on exportera l'excédant a des pays comme l'Espagne qui soufrent de plus en plus du manque d'approvisionnement en électricité.

Citation :

Desertec
Un Projet énergétique de 400 milliards d'euros
Une initiative pour fournir de l'énergie renouvelable à l'Europe et au MENA
Publié le : 13.07.2009 | 15h11

Ce n'est plus une vision lointaine, c'est technologiquement séduisant et en plus, réalisable.


Fournir, de manière durable, à l'Europe, au Moyen-Orient et à l'Afrique du Nord des énergies renouvelables : tel est l'objectif de l'initiative industrielle « Desertec », officiellement lancée lundi à Munich, Allemagne. Ce projet à long terme porte sur la production d'énergie électrique par un réseau de super-centrales thermiques solaires (paraboles solaires et non panneaux photovoltaïques), situées là où il y a du soleil à foison, principalement dans le nord de l'Afrique (ceinture saharienne), ainsi que des parcs éoliens au large de cette région d'Afrique et au nord de l'Europe, alors que l'énergie produite devrait être transportée (exportée) aux centres de recharges européens par des lignes de transport de travées de haute tension et de courant direct (HVDC) posées au fond de la Méditerranée, selon une étude élaborée par le groupe allemand Siemens. Il est également prévu de construire plusieurs centrales solaires de taille moyenne entre 50 et 200 MW sur une vingtaine de sites s'étendant du Maroc à l'Arabie Saoudite. Le coût de cet investissement a été estimé à 400 milliards d'euros jusqu'en 2050, dont 350 milliards d'euros pour la construction des centrales et 50 milliards pour les lignes de transmission nécessaires, selon Siemens.

Développé pour la première fois dans les années 1970, le concept « Desertec » a été relancé à partir de 2000 et fait actuellement l'objet d'intenses débats. Dans ce sens, une nouvelle initiative « Desertec II », qui comprend un nombre d'entreprises de renom, a été mise en place avec pour objectif de développer, à moyen terme, « un concept technique et économique pour l'énergie solaire de l'Afrique », explique les concepteurs. Une vingtaine de multinationales, surtout allemandes, veulent rapidement poser les jalons de la production et de la livraison de courant électrique solaire d'Afrique vers l'Europe pour couvrir jusqu'à 15% des besoins en électricité de l'UE à partir de 2025, l'aidant en cela à atteindre ses objectifs de réduction des gaz à effet de serre.

Ainsi, à l'invitation de la compagnie d'assurances allemande « Münchener Rück », en tête de consortium, des cadres de grandes entreprises comme Siemens, RWE, ABB, Schott-Solar et de sociétés du sud de l'Europe et d'Afrique du Nord étaient présents lundi à la réunion de Munich, pour jeter les bases de ce projet gigantesque et en présenter des plans concrets de mise en oeuvre d'ici deux à trois ans, avec la signature d'un protocole d'accord créant officiellement l' «Initiative industrielle Desertec». Des représentants de la Deutsche bank, de la Ligue arabe et du gouvernement allemand étaient de la partie. D'après des données contenues dans l'étude, la production mondiale d'électricité devrait passer de 21.000 Térawatt/heure (TWH) en 2008 à 37.000 TWH en 2030. Les énergies fossiles continueront de représenter «l'épine dorsale» de cette production malgré leur régression de 68% en 2008 à 60% à la faveur d'une croissance de la part des énergies renouvelables. Pour 2030, environ 40% des investissements dans les centrales électriques à travers le monde devraient être consacrés pour le développement de sources d'énergies renouvelables.

Cette évolution s'explique, selon l'étude, par le changement climatique, la flambée de la demande mondiale en électricité et la «pénurie» de combustibles fossiles. Parmi ces énergies alternatives, l'éolien sera, de loin, le plus utilisé pour produire de l'énergie dans le monde entier avec une part de 49%, suivi par le solaire (28%), la biomasse (19%) et la géothermie (3%). Le marché des centrales solaires thermiques devrait dépasser 10 milliards d'euros d'ici à 2015.

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Pourparlers avec le Maroc

Le projet Désertec, soutenu par le privé mais fortement encouragé par le gouvernement allemand, est à l'origine une idée lancée par le club de Rome, un groupe de réflexion sur l'environnement qui réunit des scientifiques, des industriels et des fonctionnaires de 53 pays. Elle s'inscrit dans l'initiative de Coopération Transméditerranéenne pour l'Énergie Renouvelable (TREC), un réseau également soutenu par le Club de Rome. TREC produit des études portant sur la sécurité énergétique de l'Europe, du Maghreb et du Proche-Orient. Enfin, TREC et Désertec, déjà en pourparlers avec des pays comme l'Algérie, la Tunisie, le Maroc ou la Jordanie, collaborent avec le projet de «Plan Solaire Méditerranéen», projet phare de l'Union pour la Méditerranée, qui envisage, entre autres, de développer «des capacités additionnelles d'électricité bas carbone, et notamment solaire», pour une puissance totale de 20 mégawatts sur le pourtour méditerranéen.



Par Réda BENNIS | LE MATIN

Il faut aussi se méfier du club de Rome repaire de malthusiens, si le projet est soutenu par eux, c'est pas innocent...



Rafi

Citation :

Project to Power Europe With Sahara Sun Gains Momentum

By REUTERS
Published: August 24, 2009

RABAT, MOROCCO — A €400 billion plan to power Europe with sunlight from the Sahara is gaining momentum, despite warnings about starting a large corporate project using new technologies in countries of northern Africa where the rule of law is weak.

Desertec, as the $573 billion initiative is called, would be the world’s most ambitious solar power project. Fields of mirrors in the desert would gather solar rays to boil water, turning turbines to electrify a new carbon-free network linking Europe, the Middle East and North Africa.

Its supporters — a dozen finance and industrial firms mostly from Germany — say that it would keep Europe at the forefront of the fight against climate change and help North African and European economies to grow within greenhouse gas emission limits.

But critics warn of numerous pitfalls, including the politics of the Maghreb region, Saharan sandstorms and the risk to desert populations if their water is diverted to clean dust off solar mirrors.

The detractors say that the concentrated solar power technology behind Desertec involves greater costs and risks than the fast-growing patchwork of smaller-scale photovoltaic cell installations that generate most of Europe’s solar energy today.

Desertec’s founders are lured by the fact that more energy falls on the world’s deserts in six hours than the world consumes in a year.

“The Sahara offers every advantage you want: proximity to Europe, virtually no population and more intense sunlight,” said George Joffe, a research fellow and Maghreb expert at Cambridge University in England, who is not affiliated with the plan. “It would be mad to pass up this opportunity.”

Proposed by the Club of Rome, an international group of experts that suggests solutions to global problems, Desertec became an industrial project last month when the reinsurer Munich Re sponsored a kick-off at its headquarters in the Bavarian capital.

The experts have yet to draw up a business plan or specify how the project would be financed. But they hope to recruit shareholders and partner companies from a variety of countries.

“We have a special relationship with climate change,” said Peter Hoeppe, the head of Munich Re’s Geo Risk Research department. “It affects our core business, the insurance of weather-related natural catastrophes, which count among the most expensive losses we have to bear.”

Many European governments aim to cut their greenhouse gas emissions by 80 percent below 1990 levels by 2050.

Desertec’s backers say it would also be a positive gesture from the developed world to countries of the Middle East and North Africa, which stand to suffer most from the more frequent droughts and the expansion of deserts blamed on global warming.

Desertec says the Sahara could one day deliver 15 percent of the electricity used by Europe, but company officials expect the plan to advance in small stages with completion around 2050.

Still, supporters of more established solar energy technology, like photovoltaic cells, argue that decentralized generation will prove more popular. Falling prices for those cells would make the heavy infrastructure needed for Desertec’s concentrated solar power unviable.

European governments already importing fossil fuels from northern African countries like Algeria. But critics of Desertec argue that, given the choice, most would opt for the security of producing renewable energy within their own borders.

“Sahara power for northern Europe is a mirage,” said Hermann Scheer, a member of the German Parliament and the head of the European Association for Renewable Energy. “Those behind the project know themselves that nothing will ever come out of this.”

Mr. Scheer is an architect of renewable energy policy in Germany, which included a strong emphasis on photovoltaic technology. He said the costs of Desertec were being played down and its technical capabilities overestimated.

Desertec would need 20 or more efficient, direct-current cables each costing up to $1 billion to transmit electricity north beneath the Mediterranean.

Proponents say that North African countries that import most of their energy like Morocco and Tunisia could also benefit from Desertec.

But Desertec would need tight coordination between regional governments to succeed, and Maghreb states have tried and failed for two decades to integrate their economies and deepen political ties.

The border between Morocco and Algeria is shut and relations are poisoned by a dispute about the western Sahara.

Morocco says it has already identified sites to place the curved solar mirrors, not deep in the Sahara but in populated areas just north of the desert to ensure a supply of water to clean mirrors and cool turbines.

Morocco imports 96 percent of its energy and subsidizes fuel to make it more affordable for the poor, a massive drain on state resources.

“We would be generating enough power for us, and for export, for the next 100 years,” said Said Mouline, the head of Morocco’s renewable energy agency.

Algeria has the biggest chunk of desert and a private Algerian company, Cevital, has signed up for Desertec. But Algeria, the second-largest county in Africa after Sudan, is isolated and struggling to reform a Soviet-style economy after a brutal civil conflict in the 1990s.

The government has tightened terms on inward investment and says it will only work with Desertec if it allows partnerships between Algerian and foreign firms and a transfer of technology.

“If these conditions are not met, we are not interested,” said the energy and mines minister of Algeria, Chakib Khelil. “We don’t want foreign companies exploiting solar energy from our land.”

Analysts play down the risk to infrastructure posed by rebels aligned with Al Qaeda in Algeria, saying that the investment risks pose a far bigger problem.

“There is the risk of expropriation of assets, reneging on license agreements, corruption and bureaucratic red tape which could stop things getting off the ground,” said Henry Wilkinson of Janusian Security Risk Management.

Wolfram Lacher of the consultancy Control Risks agreed: Security risks can be managed, but the project could become entangled in broader talks between the European Union and north Africa on energy, investment and trade.

http://www.nytimes.com/2009/08/25/business/global/25sahara.html

faramineux et tres ambitieux come proget..400 miliards $ ..c'est le PIB annuel d'un etat CEE ..comment il vont denicher toute cette somme ?

d'accord une image vaut bien mille paroles..mais là t'as pas oublier de nous dire quelque chose par hasard .

gigg00 a écrit:

d'accord une image vaut bien mille paroles..mais là t'as pas oublier de nous dire quelque chose par hasard .

c'est un quiz je pense

une carte sans légende avec le drapeau européen c'est comme un quiz

a votre avis?

c'est pas si compliquer que ca:
quelqun a poser une question, j'ai repondu aussitot avec les tofs

il veut dire que cette region va payer pour l´EU.
mais c´est pas tout vrai,vu que ce sont des institutions financieres europeenes qui vont le financer

C'est même un peu fantaisiste, les pays du Golf n'ayant aucune raison de financer un projet de production d'énergie alternative

se tirer une balle dans le pied

c'est les pays du golfe et l'ue ou alors l'un des 2 qui vont casquer

ils (les arabes) vont financer quand meme, leur petrole ils trouveront tjr a qui le vendre, on est pas le seul pays au monde a en acheter.


les EAU investissent dans le tourisme dans notre pays alors qu'eux meme sont un pays a vocation touristique puisque pensant a l'apres petrole, donc certaines tehories dans les reponses plus haut ne tiennent pas la route.

Pour ce projet, pourquoi faudrait-il que se soit des etats, ou des groupes d'etats (UE, CCG) qui paierait ?
Ce devrait être les opérateurs (EDF, ENI....) qui devraient prendre en charge ces projets. Ce sont eux, in fine qui détiennent l'expertise, et eux qui achèterons les Kwh produits.
Je trouve drôle qu'il faille attendre que les allemands évoque un projet pareil pour en parler, alors qu'il semble evident, depuis toujours, que ce potentiel existe et reste inexploité. Perso, je ne crois pas tellement à ce projet, à cause des difficultés a stocker l'electricité. Il faut rapidement et localement consommer les kwh produits.
Il ne faut pas oublier qu'avec les nouvelles technologies, pour produire de l'electricité, plus besoin de chaleur, la lumière suffit...en plus je ne vois pas l'europe se rendre dépendante de nos contrés pour son approvisionnement en energie. Il y a un gap entre le projet de scientiques, et la donne politique qu'il sous tend.
Concentrons-nous sur des projets nationaux, plus petits certes, mais aussi plus simple a gérer (évitons la démarche de voisin, pour qui seuls les projets gigantesques, sans graduation, comptent).

PGM

This project is interesting because it will allow to our country to decrease its dependence to oil...

3la slamtek red star

Yakuza a écrit:

3la slamtek red star

allah yslmak khouya

3wachar mabrouka

ils auront de l'energie solaire pour l'electricitè et qu'est ce qu'on aura nous ?

Il y aura sûrement des contreparties, mais il faut savoir négocier pour obtenir le max, surtout des transferts de technologie