Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
|
| Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. | |
| | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:06 | |
| Salut ou Salam, j'ai crée ce topic car je suis passionné par cet histoire de la péninsule Ibérique . Je n'arrive pas à trouver des documentaire sur ce sujet, si vous trouvez quelque chose, n'hésitez pas à le mettre Mes ancêtres du cotés paternelle sont des réfugie de la RECONQUISTA Andalus, c'est pour cela que je m'intéresse a l'histoire d'Al Andalus. PS: ci se topic est mal placé ( histoire militaire) dites le mois, merci de votre compréhensions. A + |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:20 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:24 | |
| Evolutions des frontières d'Al Andalous jusqu'aux Guerres de Grenades : |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:25 | |
|
|
Citation: |
La conquête de la péninsule ibérique wisigoths
La Conquête musulmane de la péninsule Ibérique se déroule dans les années 711-732 après celle du Maghreb. Avant leur arrivée, la péninsule Ibérique est unie sous les Wisigoths.
Vers 680, le comte Flavius Ervigius (Ervig) profite de la faiblesse du souverain wisigoth Wamba pour usurper le trône pendant sept années. La fin de ce règne marque le début du chaos : peste et famine, mais aussi menaces franques au nord. Le pouvoir se maintient tant bien que mal en privilégiant une extrême centralisation et en tentant de prolonger les cadres de l'autorité wisigothique.
Cependant, en 710 meurt le roi Wittiza laissant un fils Akhila (Agila ou Achille) qui est renversé par le gouverneur de Bétique, Rodéric (ou Rodrigue). Akhila, réfugié à Septem (Ceuta), conserve tout de même des partisans dans la péninsule qui entretiennent une guerre civile.
Invasion de l'Hispanie:
Selon les sources, en 711, Julien, partisan d'Akhila entre en conflit avec le roi Rodéric qui aurait violé sa fille. Cette fille reste dans l'imaginaire collectif comme la florinda terme désignant une dame aux mœurs légères. L'identité de Julien est très obscure : s'il est fort probable qu'il fut un exarque byzantin, certaines sources privilégient l'hypothèse d'un duc vassal des rois de Tolède ou bien encore d'un seigneur berbère indépendant qui a échappé à la conquête arabo-musulmane.
Julien (ou Ollian pour la chronique mozarabe de 754) prend contact avec le gouverneur musulman de l'Ifriqya Musa ibn Nusair. Et, en avril 711, un contingent d'environ 12 000 soldats, dont une large majorité de Berbères[1], commandés par l'un d'eux, le gouverneur de Tanger Tariq ibn Ziyad, prend pied en Hispanie.
Rapidement renforcé, il défait une première armée wisigothe commandée par un cousin du roi, Sancho. Le roi Rodéric, alors confronté aux Francs et aux Basques au nord, dut rassembler une armée pour affronter ce nouveau péril. Cependant, au cours de la bataille de Guadalete le 19 juillet 711, les partisans d'Akhila préférèrent le trahir. C'est la chute brutale de l’Hispania wisigothe.
Rapidement, les musulmans prennent Séville, Ecija et enfin Cordoue, la capitale. Les Juifs, maltraités lors des règnes précédents notamment avec leur conversion forcée en 617, offrirent un accueil favorable aux musulmans (ce qu'on leur reprochera en 1492). En 714, la ville de Saragosse est atteinte. En 716, sur une pièce de monnaie, apparaît pour la première fois le terme d'« al-Andalus » désignant l'Espagne musulmane, par opposition à l’Hispania des chrétiens.
Le choc contre la cavalerie franque, revêtue d'armures d'écailles, à la bataille de Poitiers en 732, brise l'élan des cavaliers légers et rapides qui jusqu'ici l'ont emporté sur toutes les terres traversées et les troupes refluent peu à peu sur le sud de la France.
Ceci met un terme à la conquête fulgurante qui s'est déroulée jusque lors et les conquérants préfèrent maintenant pérenniser la conquête notamment en Septimanie conquise en 719 dont Narbonne devient sous le nom d'Arbûna le siège d'un wâli pendant quarante ans, la capitale d'une des cinq provinces d'al-Andalus, aux côtés de Cordoue, Tolède, Mérida et Saragosse. Les musulmans laissent aux anciens habitants, chrétiens et juifs, la liberté de professer leur religion moyennant tribut[2]. La Septimanie est considérée comme incluse dans les limites d'al-Andalus[3] ceci longtemps encore après sa reprise par Pépin le Bref en 759[4].
Les musulmans chassés de Gaule se replient dans la péninsule ibérique, dans le nouveau pays d'al-Andalus, dont la formation dépend de douze walis (gouverneurs de provinces) nommés par les califes omeyyades de 716 à 754.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAte_musulmane_de_l%27Hispanie |
|
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:26 | |
| Citation: | Le nouvelle Etat musulmans
Les troubles internes :
La période suivante est marquée par la succession de 21 gouverneurs, de 711 à 726, qui prennent de plus en plus d'indépendance par rapport au califat de Damas. À partir de 720 les conflits internes s'aggravent alors que la tendance Kaisite l'emporte. En 739 une grande révolte des Berbères éclate dans le Maghreb occidental et se répercute en Espagne. D'abord victorieux à Cordoue, ils seront vaincus et doivent quitter la péninsule. La guerre civile perdurera pendant une quinzaine d'années.
Le renversement des Omeyyades par les Abbassides a pour conséquence l'émancipation de l'Espagne : Abd al-Rahmân, petit-fils du dernier calife omeyyade, se réfugie en Afrique du Nord, parmi les tribus berbères dont sa mère est issue. Son affranchi Badr lui ayant obtenu le ralliement des Syriens et d'une partie des Kalbites d'Espagne, il passe dans ce pays et s'empare de Cordoue en 756, où il se proclame émir.
L'émirat de Cordoue :
L'émirat doit lutter aussi bien contre les Berbères que contre divers chefs arabes. Deux d'entre eux, les gouverneurs de Barcelone (Sulayman ben Yaqzan ibn al-Arabi) et de Saragosse, provoquent même l'intervention de Charlemagne (778 : épisode de Roncevaux)[9]. Juste avant sa mort, Abd al-Rahmân avait fait construire une partie de la Grande mosquée de Cordoue (785-788). Après la mort d'Abd al-Rahmân Ier (788), ses descendants réussissent à consolider sa dynastie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Al-Andalus |
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:27 | |
| Citation: | Le Califat de Cordoue
Origine:
La conquête musulmane de l'Espagne s'est faite en 711 et les territoires conquis ont, ensuite, été constitués en un émirat omeyyade relevant de l'autorité des califes de Damas. Les Omeyyades sont détrônés, en 750, par les Abbassides qui fondent leur propre dynastie. Pour assurer la survie de la nouvelle dynastie, presque tous les membres de la dynastie omeyyade sont massacrés mais, le prince Abd al-Rahman Ier réussit à s'enfuir et à gagner l'Espagne. Il y établit une nouvelle dynastie à Cordoue et le pays devient, en 756, un émirat indépendant. Le 16 janvier 929 Abd al-Rahman III s’affranchit de l’autorité politique et religieuse de Bagdad en s’attribuant les titres de calife. L'État des Omeyyades de Cordoue se transforme, ainsi, en califat qui va exister jusqu'en 1031. En 932, Tolède tombe aux mains des Omeyyades de Cordoue après un siège qui a infligé une terrible famine aux habitants. Le califat entre dans une période de paix et de prospérité. Vers 950, Abd al-Rahman III porte son autorité sur le Maghreb de Tanger à Alger. Il se heurte aux attaques des Fatimides. En 955, le diplomate Hasdaï ben Shatprut est envoyé en compagnie d’un autre émissaire négocier un traité de paix avec le roi Ordoño III des Asturies. Le duc de Castille accepte à son tour un accord de paix. A la mort d'Ordoño III à l'automne 956, son frère le roi de León Sanche Ier le Gras refuse d’honorer le traité de paix. La guerre reprend entre chrétiens et musulmans, et Sanche est battu sévèrement pendant l'été 957. Renversé par Ordoño IV en 958, Sanche obtient l'aide du calife de Cordoue pour regagner son trône, deux ans plus tard, et renouvelle la paix.
Épanouissement :
Abd al-Rahman III transforme et embellit Cordoue et fixe sa résidence à Madinat al-Zahra, ville créée pour sa favorite Zahra à huit kilomètres de Cordoue. Sous son règne et celui de son successeur al-Hakam II, Al-Andalus connait la prospérité. L'expansion du califat de Cordoue sous Almanzor (977-1002).
Sous le règne d'al-Hakam II à partir de 961, le califat est à son apogée. Son successeur Hicham II, en raison de son jeune âge, règne sous la tutelle du vizir du palais Ibn Abî’Amir (Almanzor). Celui-ci parvient à vaincre les Arabes qui s’étaient rebellés après son coup de force en s’appuyant sur de nouveaux arrivants berbères. Almanzor est victorieux de Ramire III de León en 978. Il relance la guerre sainte à partir de 980. Dans al-Andalus, il maltraite et persécute les mozarabes. Juifs et chrétiens se réfugient vers le nord. Il lance des raids contre la Catalogne et les Asturies. Barcelone est détruite en 985, ses habitants sont faits prisonniers sans que le roi des Francs ne réponde à leur appel. Les Juifs de la ville sont massacrés. En 997, il prend Saint-Jacques de Compostelle dont le sanctuaire est détruit.
Effondrement :
À la mort d'Almanzor en 1002, le califat de Cordoue amorce sa chute tandis que l’armée nomme et destitue les califes. La guerre civile éclate à la mort de son fils Abd al-Malik al-Muzaffar en 1008. Les Berbères, les Arabes, les Slaves et les Espagnols s’affrontent pour le pouvoir. Cordoue est saccagée par les chrétiens en 1009. Madinat al-Zahra, la résidence du calife près de Cordoue, est détruite par les Berbères en 1013. Dès 1023, Abbad Ier, qadi (juge) de Séville se déclare indépendant et fonde le royaume abbadide qu’il agrandit avant sa mort. En 1027, les Cordouans font enfermer le dernier calife omeyyade dans une pièce avec sa fille qu’il adorait. Ils manquent de mourir de faim avant d’être relâchés. Suite à son éclatement à partir de 1031, le Califat est partagé entre 23 roitelets indépendants (Reyes de taifas,muluk at tawaif). Leurs gouverneurs se proclament émirs et lient des relations diplomatiques avec les royaumes chrétiens.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Califat_de_Cordoue |
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:27 | |
| Citation: | Epoque des taïfas
Une taïfa( طائفة ) ou royaume de taïfa (ملوك الطوائف) est un royaume situé dans la région d'Al-Andalus. Durant les périodes d'instabilité politique, il y a eu plusieurs taïfas en Al-Andalus. Chaque taïfa est basée sur un nœud urbain central, la médina primitive, et règne sur les zones environnantes.
Situation géostratégique:
Le roitelet d’une taïfa est faible, et concurrent de ses voisins. Al-Andalus est alors morcelée et chaotique. La situation s’inverse par rapport au Califat, ce sont des colonnes chrétiennes qui effectuent cette fois des chevauchées pour tirer butin, otages, prisonniers ou mieux, soumettre un roitelet d’une taifa à payer un paria (tribut). Les États chrétiens étant en cours de formation, ils ne pouvaient annexer les territoires après une victoire. Ils emportaient donc le butin ou la promesse de tribut en laissant le potentat local sur place.
C’est une époque chaotique et de division en al-Andalus, la fitna
Classement des taïfas:
Les taïfas sont classées selon l'origine ethnique de leur dirigeant et non de leur population, souvent diverse. Les trois origines des dirigeants sont :
* chefs tribaux berbères comme les Zirides à Grenade, ou les Ifrenides à Ronda et à Cordoue ; * mercenaires des armées slaves anciennement esclavons, les saqālibas des Califes (principalement dans le royaume de Valence et le royaume d'Almeria ) ; * émirs arabes proclamant leur domination sur certaines zones, comme les Abbadides à Séville (le plus important des royaumes) et les Toujibides puis les Houdides à Saragosse.
Les trois époques des taïfas:
Au cours de l'histoire d'al-Andalus, il y eut trois époques d'anarchies où les différents royaumes, appelés taïfas, luttaient entre eux :
* la première période de taïfas, de 1031 (effondrement du califat de Cordoue) à 1085 (conquête almoravide) ; * la seconde période de taïfas, de 1145 (effondrement des almoravides) à 1163 (conquête almohade) ; * la troisième période de taïfas, de 1226 (effondrement des almohades) à 1266 (Reconquista) : seul l'émirat de Grenade survécut à cette période.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ta%C3%AFfa |
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:27 | |
| Citation: | La conquête des Almoravide
* Les princes arabes d’Espagne, parmi lesquels Al-Mutamid ibn Abbad de Séville, menacés par Alphonse VI de Castille, font appel à l’almoravide Yussuf Ibn Tashfine. * 23 octobre : bataille de Sagrajas, victoire des Almoravides sur les Castillans à Sagrajas (Zalaca), dans la province de Badajoz. Le progrès des armées musulmanes furent interrompus par le départ d'Ibn Tashfine pour le Maghreb, où le rappelait la mort de son fils. Les chrétiens reprirent alors l'offensive vers Murcie et Almeria, Al Mutamid prit le parti de se rendre en personne auprès d'Ibn Tachfine pour implorer une nouvelle intervention des Almoravides (1088 ou 1090). Ibn Tachfine rendit inutilisable la puissante base militaire d'Alédo (Au Sud-Ouest de Murcie), contre laquelle les Taifas avaient échoué, et rétablit la situation. Tout annonçait une grande offensive des forces conjuguées des Almoravides et des Maures. Mais les royaumes musulmans d'Espagne étaient trop faibles pour prêter un concours efficace à Ibn Tachfine et trop divisés pour ne pas tenter le chef berbère de développer sa puissance à leurs dépens. Il eut tôt fait de ne plus agir en allié, mais en maître. Si les rois des Taifas, lettrés et corrompus, méprisaient le fruste et austère Saharien, le peuple, victime des représailles chrétiennes, et les jurisconsultes (foqahâ) opposaient à l'incrédulité des émis andalous le malékisme strict de ces Berbères, qu'ils considéraient comme les envoyés de Dieu. Fort de ce double appui, Ib Tachfine put se poser en arbitre des querelles, exiler les rois et confisquer leurs territoires. Les foqahâ légitimèrent chacun de ses empiétements par une [[fatwa]]. Il réussit ainsi à reconstituer l'unité de l'Islam en Espagne (1094). Il respecta pourtant le royaume de Saragosse, qu'il considérait comme un État-tampon entre chrétiens et Almoravides. Valence, aux mains du Cid, puis de sa veuve Chimène, ne tomba qu'en 1102 au pouvoir des Almoravides. Quand Ibn Tachfine mourut, presque centenaire, dit-on, il légua à Ali, le fils de 23 ans qu'il avait eu d'une esclave chrétienne, un immense empire qui comprenait l'Espagne musulmane jusqu'à Fraga (au Sud-Ouest de Lerida) au Nord, les îles Majorque, Minorque et Ibiza (1106 ou 1107).[1]
Ibn Tashfine englobe les émirats arabes d’Espagne dans ses conquêtes d’Afrique du nord. Les Castillans sont refoulés au nord du Tage. Le contingent juif, qui tenait l’aile gauche du roi de Castille, aurait été massacré en premier lieu par les Almoravides (« bataille des turbans jaunes) ».
* Le chef des Almoravides veut forcer les Juifs de Lucène à la conversion. Il y renonce contre une forte somme d’argent.
Conséquences pour Al-Andalus :
* 1090 : Youssef Ibn Tachfin règne sur tout al-Andalus.
Cette période met fin à l'époque des taifas.
Entre 1142 et 1147, des taïfas (potentats locaux) sont remis en place par suite à l'effritement du pouvoir dans l'Empire almoravide.
Conséquences pour la Reconquista:
Il faut attendre les Almohades pour que les royaumes chrétiens s'unissent. Des dissensions persistent entre les souverains, qui marquent une pause dans la Reconquista pour assimiler les marches taillées sur les territoires dans l'époque précédente.
Évènements de 1147:
Au Maghreb, les Almohades sous Abd al-Mumin assassinent le dernier chef Almoravide à Marrakech et en font leur capitale.
Les Almohades sous Abd al-Mumin débarquent au pays d'al-Andalûs (Espagne).
* Alphonse Ier de Portugal profite du déclin des Almoravides, prend Lisbonne et Santarem (avec l’aide d’une flotte anglo-flamande faisant route vers le Proche-Orient) et consolide son royaume.
* 1236 : Les chrétiens s’emparent de Cordoue après avoir avancé jusqu’à Grenade. * Le pape étend les privilèges de la croisade (indulgence) aux Espagnols qui ont pris Almeria.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAte_almoravide |
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:29 | |
| Citation: | Conquête Almohades
La conquête des Almohades désigne le bref moment de la réunification du Pays d'al-Andalûs sous l'égide des Almohades, qui mènent une poussée irrésistible sur tout l'espace disponible de la péninsule ibérique, balayant les restes de leurs adversaires battus à Marrakech, les Almoravides.
Ils ne stabilisent pas leur pouvoir, et se heurtent aux armées combinées des royaumes de Castille, d'Aragon et du comté de Barcelone.
Datation: 1147-1212
Conséquence : fin de la période dite de la conquête almoravide.
Abu Yusuf Yaqub al-Mansur et son père Abu Yaqub Yusuf étendent leur autorité à tout le pays d'al-Andalus; les Almohades infligent une défaite à Alphonse VIII de Castille à la bataille d'Alarcos en 1195. C'est une mauvaise surprise pour les chrétiens, alors divisés concernant la démarche à suivre et préoccupés par la fondation de leurs états, à tel point qu'ils perçoivent l'arrivée de leurs adversaires comme un contre-mouvement dans leur Reconquista.
Par conséquent, cette défaite de la Castille va engendrer une union nouvelle des royaumes chrétiens pour faire front à cette nouvelle menace ; suite à la bataille de Las Navas de Tolosa perdue par les Almohades le 16 juillet 1212, al-Andalus tombe dans le chaos.
La réduction du territoire ne laisse alors qu'une poche entre les mains des Sarrasins que pour deux siècles encore : le Royaume de Grenade (édification de la frontera militar, et les iles majorquines.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAte_des_Almohades |
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:29 | |
| Citation: | Le Royaume de Grenades
Le Royaume de Grenade est la dernière terre mauresque en Espagne, point final de la Reconquista pour les castillans.
L'objet de cet article est de décrire les évènements historiques pendant les périodes des Ziris et des Nazaris, ainsi que le récit ultime des Guerres de Grenade dans la dernière décennie.
Ce royaume connaît trois périodes:
La taifa:
Après l'effondrement du Califat de Cordoue, les Zirides établissent une taïfa sur la zone urbaine et sa province alentour.
Datation : 1012-1090[1].
* Zawi ibn Ziri 1012 - 1019 * Habus ben Maksan 1019 - 1038 * Badis ben Habus 1038 - 1073 * Abdallah ben Bologhin 1073 - 1090
Malaga fut annexée en 1056 par les Zirides de Grenade.
Domination almoravide:
Grenade cesse d'être gérée par des princes locaux durant cette période. Tout al-Andalus est entre les mains des Almoravides en 1094.
Émirat de Grenade 1238-1492:
Les Nasrides prennent Grenade, et y établissent un émirat en se soumettant temporairement aux Castillans par le biais d'un serment de vassalité, prêté à Ferdinand III en 1246, suite à la capitulation de Jaén.
Cette vassalité sera aliénante pour leur camp; elle leur permettra néanmoins dans les années sans guerre de bâtir les palais de l'Alhambra, leurs joyaux.
Compte tenu des succès des Castillans, qui vont devoir faire une pause pour intégrer les terres conquises au milieu du XIIIe siècle, ce royaume, dirigé par les Nasrides à compter de 1238, devient le dernier bastion subsistant d'Al-Andalus sur la péninsule Ibérique, jusque sa cession en 1492.
Le territoire correspondant devient l'Andalousie, augmenté des zones de Séville, Cordoue et Gibraltar, dans l'Espagne d'aujourd'hui.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Grenade |
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:30 | |
| - Citation :
- Sciences et Techniques en Al Andalous
Les sciences et techniques issues de la civilisation islamique se développent en al-Andalus dès les premiers temps de la Conquête musulmane de l'Hispanie. Les troupes démobilisées suite à la défaite face à la cavalerie franque, composées d'arabes et de berbères appelés collectivement Maures, en s'installant dans ces nouvelles terres de la péninsule Ibérique, sont émerveillées de la présence de ruisseaux et de terres si fertiles.
C'est un véritable âge d'or de la civilisation islamique qui va donner naissance à ces nouveaux savoirs dans la péninsule. Ils engendreront des merveilles d'architecture telles que l'Alhambra et la grande mosquée de Cordoue.
Cet article décrit les traits civilisationnels originaires d'al-Andalus, puis transmis à l'Occident chrétien, en parallèle avec l'apport byzantin.
Les plaisirs chevaleresques:
Essor de la poésie et des passe-temps courtisans :
* poésie arabe des caballeros d'Al-Andalûs (amor caballescero); ces cavaliers maîtrisant à la fois les arts de la guerre et la mystique musulmane, transmirent au sud de la France, par la Provence, leur style de versification qui inspira ensuite les vers de Dante à Florence. * Dans le même mouvement se transmet le jeu d'échecs, que les arabes rencontrèrent en Perse et diffusèrent sur leurs terres.
La pensée conceptuelle:
Essor de la philosophie, accompagnant celle de la médecine :
* La médecine des humeurs d'Averroès (Ibn Rushd) reprend celle des Grecs. * La mystique d'Ibn Arabi. * Si l'influence philosophique d'Avicenne (Ibn Sina, persan) en Occident a été dépassée par celle d'Averroès, sa pensée sur la distinction de l'«essence» de l'être et de l'existence sera exploitée par Thomas d'Aquin ; elle est une des bases de la philosophie scolastique néo-aristotélicienne du Moyen Âge chrétien. * Le syncrétisme issu des cultures assimilées par l'Islam résulte de l'intégration des pensées des civilisations précédentes, dont les écrits sont traduits en arabe; ses prolongements sont dans les arts, la médecine et la philosophie, théologique en Islam, ceci incluant la critique.
La linguistique et les chiffres:
* De nombreux mots castillans proviennent directement de l'arabe. Par exemple, quasiment tous les mots ayant un préfixe en al, qui est l'article "le" en arabe, ainsi que des expressions courantes comme ojalá (Inch Allah). Par dérivation, ces mots se diffusent dans les langues voisines de l'Occident chrétien avec des modifications (le mot castillan alcachofa, issu de l'arabe al-kharshûf est par exemple à l'origine du mot artichaut en français).
Les savoir-faire:
Plafond à caissons de la salle du trône de la Aljafería de Saragosse.
* Le système d'irrigation déjà très développé en Andalousie, du fait des Romains qui édifièrent canaux et aqueducs, et par ailleurs de l'Ordre cistercien. Les Maures le développent et y apportent des innovations techniques, dont une partie provenaient de Perse : la roue à godets ou noria ; La gestion est assurée par le tribunal des eaux à Séville. Puis ils creusent des citernes souterraines (algibes) à Grenade. * coutume des ablutions (avec le savon, ou pain d'Alep dont la fabrication, initialement faite à Gallipoli sera acclimatée plus tard à Marseille), et qui, bien que connu en Europe depuis l'époque gauloise, n'était utilisé que comme shampooing. * Art de la céramique (azulejos) et du stuc * Essor de la géographie, par la cartographie dans le royaume arabo-normand de Sicile. * Technique de la faïence hispano-mauresque, développée et transmise en Europe.
Transmission à l'Occident:
Ces bénéfices s'entendent tant en termes de transfert technologique qu'en termes de création artistique et littéraire. Citons les deux exemples les plus connus :
* Mahomet. swt . recommande « d'aller chercher le savoir jusqu'en Chine » (`uTlubi l-`ilma wa-law fi-S-Sîn). * Le zéro, ainsi que son arithmétique, furent inventés en Inde avant la conquête musulmane. C'est par leur présence depuis l'Inde jusqu'en Espagne que les musulmans, par les traductions d'Al-Khawarizmi, mathématicien de culture persane né à Khiva dans l'actuel Ouzbékistan, assureront sa diffusion dans leur empire.
* Les armées musulmanes du royaume de Grenade se servent au XIIIe siècle et pour la première fois en Europe, de la poudre noire ; ils introduisent les armes à feu qui vont révolutionner la technologie militaire. L'armée castillane rattrape le retard lors des guerres de Grenade (1481) en systématisant leur emploi dans des régiments d'arcabuceros, embryon des futurs tercios.
Ces apports anticipent la Renaissance. L'Europe a alors environ deux siècles de retard sur le monde musulman, bien que des villes comme Venise aient à cet égard un statut un peu hors norme.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_islamique_en_al-Andalus
Dernière édition par snak-boss le Mer 7 Juil 2010 - 16:33, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 16:30 | |
| Citation: | Les Religions
L'Espagne musulmane:
L'islam sunnite a été la religion officielle de l'Espagne musulmane de la conquête en 711 jusqu'à la chute du royaume de Grenade en 1492. Les autres « religions du Livre » furent acceptées avec, toutefois, des périodes de répression.
La présence chrétienne:
Avant les années 1200, l'al-Andalus était essentiellement sous domination musulmane. Lorsque les chrétiens commencèrent à s'unir pour repousser les musulmans installés depuis les années 720, la région était dirigée par un calife, le calife de Cordoue. Plus tard, la Reconquista, reconquête chrétienne, commença, et finit après la bataille de Las Navas de Tolosa en 1212, victoire catholique, aux portes de Grenade.
En 1237, en pleine déroute, un chef musulman nasride prend possession de Grenade et fonde le royaume de Grenade, reconnu vassal par la Castille en 1246 et qui devait ainsi lui payer un tribut. De temps en temps, éclataient des conflits par le refus de payer et qui se terminaient par un nouvel équilibre entre l'émirat maure et le royaume chrétien. En 1483, Muhammad XII devient émir, dépossédant son père, événement qui déclencha les guerres de Grenade. Un nouvel accord avec la Castille, provoqua une rébellion dans la famille de l'émir et la région de Málaga se sépara de l'émirat. Málaga fut pris par la Castille et ses 15 000 habitants furent faits prisonniers ce qui effraya Muhammad.
Ce dernier, pressé par la population affamée et devant la suprématie des Rois Catholiques, qui avaient même de l'artillerie, capitule le 2 janvier 1492, terminant ainsi onze ans d'hostilité pour Grenade et sept siècles de présence du pouvoir islamique en Espagne. La présence de populations musulmanes ne prit fin qu'en 1609, lorsqu'elles furent totalement expulsées d'Espagne par Philippe III.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Al-Andalus |
Citation: | Article detaillés sur les Juifs Séfarades:
Les Séfarades (parfois orthographié sépharade) constituent une branche du judaïsme qui suit le judaïsme liturgique espagnol et portugais (en particulier dans la prononciation des mots des prières). Certains ont contribué aux sciences et techniques en al-Andalus comme Maïmonide, Abraham ibn Ezra, Juda Halevi, Nahmanide, Salomon ibn Gabirol, Moïse de Léon. Le terme "Sépharade" désigne aussi souvent les Juifs du Maghreb, dont bon nombre se sont installés suite à l'expulsion de 1492.
Étymologie:
Les Séfarades tirent leur nom de l'hébreu Sefarad qui désigne la Péninsule Ibérique. Ce mot est un hapax, c'est-à-dire un terme qui n'apparaît qu'une seule fois, dans la Bible et désignerait Sardes, la capitale de la Lydie sur le fleuve Pactole, dont le fameux Crésus fut roi au VIe siècle av. J.-C. Un rapprochement de sonorité avec les Hespérides, nymphes de l'occident, n'est pas exclu.
Il est possible aussi de voir dans le mot « séfarade » un lien avec l'akkadien et surtout l'arabe safar (« voyage »), qu'on retrouve dans safari en swahili. En effet, l'idée du perpétuel exil, du Juif errant, la nécessité de fuir sans cesse les persécutions peut avoir produit une appropriation patronymique du concept de voyage, d'errance (ce que ce mot signifie aussi en akkadien).
Au sens étroit, Sefarad qui en hébreu, veut dire Espagne, désigne ce pays et les Juifs originaires de cette région.
Une autre origine possible voudrait que le mot "sfarad" soit un anagramme du mot "pardes" en permuttant le p avec le s pour donner la racine trilitère "spard" puis sepharad désignant ceux qui étudient le sod, littéralement la kabale [réf. nécessaire]
Lato sensu, le terme désigna progressivement les communautés juives ayant adopté certaines formes rituelles propres au Juifs originaires d'Espagne et du Portugal. Ceux-ci, après leurs exils de 1492-1493, se sont en effet répandus à travers le bassin méditerranéen (et dans une moindre mesure aux Pays-Bas, à Bordeaux et dans quelques autres points d'Europe du Nord-Est), influençant les populations juives locales arabo-berbère. En Israël, le grand rabbin séfarade représente surtout les Juifs issus des anciens pays arabes, bien plus que ceux se réclamant d'une identité ibérique, désormais fortement diluée.
Diaspora:
Contraints par le décret de l'Alhambra signé par la reine Isabelle la Catholique en 1492 de quitter l'Espagne, les Séfarades conservent néanmoins une langue proche du castillan du XVIe siècle que l'on nomme judéo-espagnol, encore parlées aujourd'hui, et connaissant des expressions voisines telles que le judéo-catalan, le judéo-portugais et le ladino.
Les juifs d'Espagne s'exilent essentiellement en Afrique du Nord, dans les Balkans, en Grèce et en Anatolie alors sous le contrôle de l'Empire ottoman, mais aussi en Italie. Les juifs du Portugal l'emmenèrent vers les Pays-Bas. Les séfarades émigrent aussi dans le Nouveau Monde ; ce furent les premiers juifs d'Amérique. Au Brésil, des juifs luso-néerlandais constituent la Synagogue Kahal Zur Israel, prémière congrégation réligieuse juive des Amériques en 1636.
Le décret de l'Alhambra de 1492, responsable de l'expulsion des Séfarades d'Espagne, est resté en vigueur officiellement jusqu'en 1967.
Spécificités:
Outre les différences de prononciation avec les ashkénazes, il existe des différences mineures dans les programmes de prières et dans la façon de pratiquer certains commandements de la loi juive[1]. Les différences majeures entre séfarades et ashkénazes ne sont pas dans le domaine religieux, mais surtout dans le domaine culturel et physique : langue vernaculaire, chansons, musique, poésie, littérature, nourriture...
http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9farade |
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 20:02 | |
| Une précision s impose,La premiere attaque,celle ou Tarik Bnou Ziyad a mené a la tete de 12.000 guerriers BERBERES(AMAZIGH marocains) les arabes se comptaient sur les doigts des mains. Aprés s etre imposé dans la premiere bataille dans les environs de Jabal TARIK Face a l armée ennemie com- posée de 40.000 combattants,T.B.Z avanca jusqu au environs de TARIFE(TARIFA),C est a cet endroit qu il re recoit une missive ressemblant plus a des menaces qu a un ordre..............................enfin il re- cut l ordre formel de moussa bnou noussair DE NE PLUS AVANCER D UN PAS. Ce dernier alors envoya son fils accompagné de qq 300 cavaliers arabes pour s accaparer la direction de l invasion et cueiilir ainsi le fruit et la paternité(la gloire) des victoires de nos redoutables guerriers amazighs. Quand je lis (Histoire) :La conquete de l Andalousie PAR LES ARABES,je ne peux m empecher de sourire |
| | | reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 20:15 | |
| Tarik Ibn Zyad etait un Berbère Ulhassa des Aurès et la grande majorité de ses troupes etaient des guerriers Djerawa que le gouverneur Arabe de Kairouan voulais a tout prix eloigner de son palais (quitte a les envoyer au casse pipe) parce qu ils avaient combattus avec la Kahina . Il y avait une petite douzaine de Ulemas Syriens au milieux de 12 000 soldats Berbères lors du debarquement d apres Ibn Khaldoun | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 22:56 | |
| Tu sais forcémment mon cher REESE que la polémique au sujet de l origine exacte de Tarik ibn ziad est sujet d un polémique historique ou personne n est d accord avec personne d autre,chacun éssaie de s accaparer et de s approprier son origine. Les uns disent que c est un perse affranchi de moussa bnou Noussayr D autres disent que c est un visigoth Beaucoup lui renient meme son origine amazighe,et qu il est de la tribue ZENATA La these de Ibn Khaldoun de "KAHINA+TARIQ B ZIYAD est une théorie comme une autre inverifiable car Ibn Khaldoun a vécu bien longtemps aprés T. B Z. donc il n était pas un contemporain pour nous apporter un témoignage crédible. Pour moi il est de la tribu ZENATA qui est se trouve dans l oriental marocain entre Taza et le rif (Beni Iznassen) . C est la ou les troupes ont été mobilisées. Tout le reste n est que pure supputation et tentative d appropriation. |
| | | reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 23:01 | |
| les Ulhassa sont des Zenatas tout comme les habitants des Aurès et les Zenatas (ou Iznatens ) sont des Amazighs leurs descendants sont presents dans tout le Maghreb ( Maroc Algerie , Tunisie et Libye) . Et Ibn El Khaldoun est la indeniablement la reference reconnue et indubitable de l Histoire medievale du Maghreb mon cher ami. Pour la conclusion de ton intervention tu as le droit d avoir ta propre opinion , je ne te le conteste nullement | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 23:22 | |
| Moi qui suis d'origine berberes, je suis heureux que se conquerant MUSULMANS (comme ca, il n ya pas de polemiques) a réussis a partagé l'Islam dans la peninsule Iberique!!!! |
| | | reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 23:36 | |
| il n y a pas de polemiques , AMADEUS veut juste que Tarek soit originaire du bon coté de la frontiere sinon il est pas content | |
| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Mer 7 Juil 2010 - 23:51 | |
| - reese a écrit:
- il n y a pas de polemiques , AMADEUS veut juste que Tarek soit originaire du bon coté de la frontiere sinon il est pas content
c'est pas parcequ'il veut reese .. mais c'est la réalité .. au moins c'est la plus probable .. et celle qui a été bien démontré .. je suis totalement d'occord avec AMEDEUS _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Jeu 8 Juil 2010 - 0:23 | |
| Bah, Qu'il sois née dans le territoires marocains ou pas, cet homme est dans l'histoires du Maghrebes (Alegeries, Maroc, Tunisies, Mauritanies et Libye) |
| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Jeu 8 Juil 2010 - 0:30 | |
| - snak-boss a écrit:
- Bah, Qu'il sois née dans le territoires marocains ou pas, cet homme est dans l'histoires du Maghrebes (Alegeries, Maroc, Tunisies, Mauritanies et Libye)
l'histoire du Maroc et de l' Islam .. pas du maghreb !! il des gens qui se servent de ceci pour essayer de partager notre histoire si je dis pas la voler .. sans qu'ils puissent atteindre leur resultats !! _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Jeu 8 Juil 2010 - 0:50 | |
| Salam Fremo, Pour l'Islam, je n'ai pas besoins de le dire car tous le monde sait qe cet homme est dans l'histoires de l'islam. Tous les pays que je viens de cité partagent les même valeurs et les même histoires, car ce sont les colonisateurs (surtaut les Francais et les Anglais) qui ont définis les frontieres des états du Magrhebes et de la majeurs parties du mondes musulmans ! Si tu n'est pas d'accords, ce n'est pas graves car j'aime voir les point de vue de mes compatriotes sur ce sujet! Bslama Fremo!!! |
| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Jeu 8 Juil 2010 - 1:08 | |
| - snak-boss a écrit:
- ... Tous les pays que je viens de cité partagent les même valeurs et les même histoires, car ce sont les colonisateurs (surtaut les Francais et les Anglais) qui ont définis les frontieres des états du Magrhebes et de la majeurs parties du mondes musulmans ! ...
Attention à ce que tu dis là .. tu met le Maroc dans la même case que ces etats .. avant l'arrivée des colonisteurs, il existait qu'un seul Etat dans la région, qui est l'Empire Allouite Marocaine ... le colonisateur n'a fait que créer des etats et découper le Maroc .. _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. Jeu 8 Juil 2010 - 1:20 | |
| Certe, le Maroc fut le derniers etat musulmans independant avant l'accord ALGAZERIS si je me souvient bien. Mais les collonisateurs en mis de la dicorde entre les Marocains,Mauritaniens,ect... C'est vraiment navrant de voir qu'il y a eut des guerre entre nous....Mais la generations prochaines fera peut_etre pas les meme erreurs que l'anciennes generations |
| | | reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: v Jeu 8 Juil 2010 - 12:54 | |
| - Fremo a écrit:
- et celle qui a été bien démontré ..
ou ca ? Quand a l empire Alaouite Marocain existait il au VIII siecle et s est il jamais etendu jusqu au Constantinois ? | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. | |
| |
| | | | Al Andalus: de la conquête jusqu'à sa destruction en 1492. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|