Actualités internationales

Rappel du premier message :

la hawla wa la quwata ila billah
a Mekka meme et en ces temps de omra!!
et ca preserve les lieux de l´islam ces machins..

farewell a écrit:

Citation :

Vladimir Poutine propose la création d'une "Union eurasienne"

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20111004.FAP5872/vladimir-poutine-propose-la-creation-d-une-union-eurasienne.html

voila le cancer obsessionnel de la russie qui refait surface (urss bis)

@maatawi

R.I.P

Moi je dis il sait ce qu'il fait et s'il y pense c'est peut être pas une simple obsession mais des contraintes régionales qui le pousse à le faire

Citation :

Thaïlande: envoi de préservatifs


Les autorités thaïlandaises s'escrimaient à parachuter des préservatifs dans les régions touchées par les inondations, de peur de faire face à une avalanche de grossesses intempestives, a indiqué un responsable à l'AFP. Cinq hélicoptères ont été affrétés par le ministère de la Santé pour transporter des médicaments dans des zones particulièrement touchées de la province de Lop Buri (centre).

"Les volontaires locaux nous ont dit que les villageois ne savaient pas quoi faire pendant les inondations, donc pour éviter un baby boom, nous avons ajouté des préservatifs", a expliqué un responsable de l'Institut des urgences médicales de Thaïlande. Les inondations, les pires depuis des décennies en Thaïlande, ont tué 237 personnes, submergeant de nombreuses régions du pays, notamment une partie de la cité historique d'Ayutthaya et la ville de Chiang Mai, toutes deux des destinations touristiques majeures.

Lors des deux derniers mois, les trois-quarts des provinces du royaume ont été inondées et des millions de personnes ont été affectées. Le gouvernement a annoncé le déploiement d'environ 10.000 soldats, 500 véhicules militaires et plus de 100 bateaux. Mais il admet une certaine impuissance. "On ne peut pas arrêter la pluie et il est difficile d'évacuer l'eau vers la mer. On a fait tout ce qu'on a pu mais ce n'est pas assez", a reconnu le ministre des Sciences et de la Technologie, Plodprasop Suraswadi.

lefigaro

Yakuza a écrit:

Citation :

Michael Bloomberg, qui avait envoyé ses forces de police, la veille, arrêter les 600 à 700 militants partis traverser le pont de Brooklyn
...Les tabassages ont commencé.

elle est ou HRW avec sa poupée qui vient chanter la democratie a rabat?
il est ou le departement qui chante "faut laisser les gens manifester librement"?
a la crise la crise,j´aime cette crise

moi j'attends un article du grand "démocrate" : Reda Benchemsi, qui est en ce moment aux USA ..

je penses qu'il va durement attaquer le "pouvoir US" et reclamer la liberté immédiate de ces militants de la liberté et de la democratie

@ yassine1985

l'histoire a montré maintes et maintes fois que ces tentatives russes (qui ont couter beaucoup de vies russes, d'énergie, de propagande et d'argent etc pour rien au final) ne sont que le fruit d'un désir de pouvoir sans veritable projet civilisationnel et de concertation afin de creer une dynamique avec les peuples sous influence ou d'un objectif a court ou moyen terme afin de proteger la seule russie de danger exterieur...

Le seul encrage ou reside son avenir est l'Europe (d'ailleurs l'Europe sera extrement puissante avec la russie) d'autant qu'elle a largement les moyens de se faire sa place au seins de ses freres européens ( france, allemagne...)

@maatawi
c'est l'info la plus étonnante que j'ai pu lire...

cordialement

farewell a écrit:

@ yassine1985

l'histoire a montré maintes et maintes fois que ces tentatives russes (qui ont couter beaucoup de vies russes, d'énergie, de propagande et d'argent etc pour rien au final) ne sont que le fruit d'un désir de pouvoir sans veritable projet civilisationnel et de concertation afin de creer une dynamique avec les peuples sous influence ou d'un objectif a court ou moyen terme afin de proteger la seule russie de danger exterieur...

Le seul encrage ou reside son avenir est l'Europe (d'ailleurs l'Europe sera extrement puissante avec la russie) d'autant qu'elle a largement les moyens de se faire sa place au seins de ses freres européens ( france, allemagne...)
cordialement

J'ai jamais dis que s'était pour le bien des autres peuples .... et je vois trop mal une Russie européenne.

une russie entre l'europe et l'asie, c'est justement sa son dilemne...Leur postulat de départ fut de considerer la russie comme le centre de gravité distint de l'europe occidental et d'y edifier un puissant empire (ce qui n'etait pas denuer de sens) il suffit de lire l'histoire de la russie, mais aujourd'hui on connait que trop bien l'impasse de cette vision, le poids de l'heritage sovietique encore present et a vif au moment ou un capitalisme sauvage prolifere n'aide pas les russes a prendre un cap qui changera son histoire...

voici un élément de reflexion sur ce sujet passionnant:

Citation :

Poutine veut-il recréer l'Union soviétique?

http://www.slate.fr/lien/44639/poutine-union-sovietique

PS:

Citation :

J'ai jamais dis que s'était pour le bien des autres peuples

je le sais bien , ce n'etait pas mon propos ni le sujet que tu m'as soumis par ailleurs, en tout cas j'ai apprecier cet échange...

Cordialement yassine1985

Jour de grosse colère

Note: l'AfSud, ce "grand" pays africain, refuse le visa au Dalai Lama pour ne pas facher son "ami" Chinois...

Citation :

Le rire de Desmond Tutu a beaucoup fait pour sa réputation. Mais ses colères gagnent aussi à être connues. Mardi 4 octobre, ce n'est pas seulement un coup de gueule, mais un coup de sang auquel s'est abandonné le Prix Nobel de la paix sud-africain lorsqu'il lui a fallu admettre que, faute de se voir accorder un visa, son invité, le dalaï-lama, ne pourrait être présent à son anniversaire au Cap, vendredi.

Le 7 octobre, cela fera exactement quatre-vingts ans, jour pour jour, qu'il est impossible de faire taire Desmond Tutu. L'archevêque émérite du Cap, "conscience morale" de l'Afrique du Sud, espérait compter le guide spirituel des Tibétains parmi ses invités et lui, offrir, cela va sans dire, une tribune. Ce dernier devait prendre la parole lors d'une cérémonie dans une université, le 8 octobre. Chose qui a le don d'irriter les autorités chinoises, déterminées à le réduire au silence. Or, Pékin est proche de l'Afrique du Sud, et a joué notamment un rôle-clé pour accueillir le pays de Nelson Mandela et Desmond Tutu dans le club des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et désormais, donc, Afrique du Sud). Récemment, le ministre des affaires étrangères, Hong Lei, déclarait que son pays "appréciait hautement le soutien précieux de l'Afrique du Sud à la Chine sur les questions de Taïwan et du Tibet".

Les autorités sud-africaines, bien sûr, nient que Pékin ait joué le moindre rôle dans l'affaire, et même tenté une diversion en accusant le dalaï-lama de ne pas avoir formulé convenablement sa demande de visa. Cette ligne d'explication n'a pas séduit Desmond Tutu, et sans doute déclenché l'ouverture des vannes de sa colère contre le Congrès national africain (ANC), le parti de la lutte anti-apartheid au pouvoir en Afrique du Sud : "Nous allons prier comme nous avons prié pour la chute du gouvernement d'apartheid, nous allons prier pour la chute du gouvernement (de l'ANC) qui nous représente tous si mal" , s'est emporté le Prix Nobel, ajoutant que le pouvoir actuel était "pire que le régime d'apartheid". Et de faire devant la presse, index dressé vers le ciel, oeil étincelant de colère, cette mise en garde à l'ANC, parti "de la majorité" (les Noirs, opposé à la minorité, les Blancs) : "Moubarak bénéficiait du soutien d'une large majorité. Kadhafi bénéficiait d'une large majorité. Faites attention. Je vous mets en garde. Faites très attention !"

Le dalaï-lama est-il une victime collatérale des ambitions sud-africaines de jouer un rôle plus important au sein du groupe des pays émergents ? En 2009, il avait dû renoncer déjà à se rendre en Afrique du Sud, faute de visa. Cette fois, son ami est décidé à ne pas laisser l'affaire sans suite.

Desmond Tutu n'a pas de responsabilité politique. Mais il est l'auteur d'une partie des mythes qui ont permis à l'Afrique du Sud, ex-pays de la honte, de se réinventer en "nation arc-en-ciel", expression dont il est, du reste, crédité. Il est aussi l'un des piliers de soutènement symboliques du pays. Il entre toujours une part de mensonge dans la composition des mythes. Ceux de l'Afrique du Sud ne font pas exception. Mais au moins le mensonge de la "nation arc-en-ciel" était-il utile, même s'il commence à être usé jusqu'à la trame.

L'éclat de l'archevêque émérite du Cap intervient à un moment où l'ANC traverse une mauvaise passe, miné par les affaires de corruption, et les rivalités entre des factions en son sein, avec l'émergence de rivaux du président Jacob Zuma qui poussent la candidature de Khalema Motlanthe, actuel vice-président, pour être installé lors du congrès du centenaire de l'ANC, en 2012, comme candidat du parti et par conséquent, futur président.

Dans cette perspective, ce dernier multiplie les déplacements. Il rentre tout juste de Pékin où il a eu le plaisir de présider à la signature d'un accord entre les banques de développement chinoises et sud-africaines pour un montant de 2,5 milliards de dollars, en même temps que d'une série d'accords-cadres pour des projets miniers.

L'ANC, par la voix de son porte-parole Jackson Mthembu, a tenté de ramener la sortie de Desmond Tutu à un moment d'égarement : "Nous appelons l'archevêque à reprendre ses esprits et à travailler avec l'ANC et son gouvernement, d'abord pour se pencher sur le dossier du dalaï-lama, et deuxièmement pour fournir une vie meilleure à l'ensemble de la population d'Afrique du Sud." S'intéresser au dalaï-lama serait-il un obstacle aux perspectives de bien-être de la population sud-africaine ? Voilà qui serait étonnant. Il est peu vraisemblable que les habitants des townships les plus déshérités qui, presque chaque jour, organisent des émeutes pour protester contre l'absence de services publics à travers le pays, aient identifié le leader spirituel tibétain comme la cause de l'absence d'eau, d'électricité, d'emplois et de sécurité dans leurs quartiers si éloignés des banlieues résidentielles, vers lesquelles les responsables politiques de l'ANC ont migré depuis longtemps.

Triste evolution pour ce pays

De nombreux gauchiste dans le monde ont voulu intoxiqué l'opinion mondiale en faisant passer certains pays émergents comme le Brésil,l’Afrique du sud et le Venezuela voir dans une moindre mesure l'Inde comme des pays adoptant une politique plus en phase avec l'opinion mondiale mais depuis les ''printemps arabes'' et maintenant cette affaire autour du dallai lama ont montré aux yeux du monde ce que valent leurs politiques étrangères et que au delà des discours de façade se sont les intérêts qui commande.

GlaivedeSion a écrit:

De nombreux gauchiste dans le monde ont voulu intoxiqué l'opinion mondiale en faisant passer certains pays émergents comme le Brésil,l’Afrique du sud et le Venezuela voir dans une moindre mesure l'Inde comme des pays adoptant une politique plus en phase avec l'opinion mondiale mais depuis les ''printemps arabes'' et maintenant cette affaire autour du dallai lama ont montré aux yeux du monde ce que valent leurs politiques étrangères et que au delà des discours de façade se sont les intérêts qui commande.

Excepte le Brezil et l'Inde dans lequel existe une dynamique interne propre, les autres pays a mon opinion sont stucturellemt corrompus et domines par une ideologie qui peut changer de face (venezuela) ou de couleur (AfSud) ou de "personnage" (Russie) ou de discours (Chine) mais qui reste essentiellemt la meme, coincee dans des reflexes tiers-mondistes (victimization, racialisation, xenophobie "naturelle", importantion de modeles socio-economiques "prets-a-porter" sans creativite).

Ils est donc naturel qu'ils se solidarisent...

Citation :

Le prix Nobel de la paix décerné à la présidente du Liberia et à deux militantes des droits de l'homme

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 07.10.11 | 11h25 • Mis à jour le 07.10.11 | 11h47



Le prix Nobel de la paix 2011 a été conjointement attribué, vendredi 7 octobre, à trois femmes : Ellen Johnson Sirleaf, présidente du Liberia, Leymah Gbowee, elle aussi libérienne, et à la Yéménite Tawakkul Karman pour leur lutte non violente pour la sécurité et les droits des femmes.


Ellen Johnson Sirleaf est la première femme à avoir été élue présidente d'un Etat africain. Sa compatriote Leymah Gbowee est récompensée pour son travail de mobilisation et d'organisation des femmes de toutes ethnies et de toutes religions pour mettre fin à la guerre civile et garantir la participation des femmes aux élections.

Avec la Yéménite Tawakkul Karman, le comité Nobel distingue une femme qui a œuvré pour la paix, la démocratie et les droits des femmes avant et pendant le "printemps arabe". Le comité Nobel espère que le prix décerné à ces trois femmes "contribuera à mettre fin à la répression dont les femmes sont toujours victimes dans de nombreux pays et à exprimer le grand potentiel que les femmes peuvent représenter pour la paix et la démocratie".

Ellen Johnson Sirleaf, 72 ans, qui briguera un second mandat lors de la présidentielle du 11 octobre au Liberia, est entrée dans l'histoire en devenant en 2005 la première femme élue chef de l'Etat sur le continent africain, à la tête d'un pays de quatre millions d'habitants traumatisé par des guerres civiles qui, de 1989 à 2003, ont fait quelque 250 000 morts, détruit ses infrastructures et son économie.


La Libérienne Leymah Gbowee est une militante pacifiste qui a contribué à mettre fin aux guerres civiles ayant ravagé son pays jusqu'à 2003. Depuis qu'elle s'est illustrée dans des mouvements de non-violence, cette quadragénaire, issue de l'ethnie Kpellé, a trouvé un autre surnom sur la scène internationale : "La guerrière de la paix."

Contre les démons de la guerre, Leymah Roberta Gbowee a recours à la prière. Elle exhorte les femmes à faire comme elle, à prier pour la paix – ce qu'elles font sans distinction de religion, souvent vêtues de blanc. Le mouvement prend de l'ampleur pendant la conflit, jusqu'à la grève du sexe, obligeant le régime de Charles Taylor à les associer aux pourparlers de paix.
Leymah Gbowee "est plus que courageuse. Elle a bravé la 'tempête' Charles Taylor, l'a obligé à aller à la paix alors que la plupart d'entre nous, hommes, fuyions pour sauver notre vie", estime Nathan Jacobs, fonctionnaire de 45 ans

PGM

Tension entre la France et la Turquie. Suite aux propos de Sarkozy. La Turquie vient de lui demander de regardé ces oignons et ses problèmes économique et sociale. Et de regardé dans un miroir, en référence a Algérie et l'Afrique.

tshaashh a écrit:

GlaivedeSion a écrit:

De nombreux gauchiste dans le monde ont voulu intoxiqué l'opinion mondiale en faisant passer certains pays émergents comme le Brésil,l’Afrique du sud et le Venezuela voir dans une moindre mesure l'Inde comme des pays adoptant une politique plus en phase avec l'opinion mondiale mais depuis les ''printemps arabes'' et maintenant cette affaire autour du dallai lama ont montré aux yeux du monde ce que valent leurs politiques étrangères et que au delà des discours de façade se sont les intérêts qui commande.

Excepte le Brezil et l'Inde dans lequel existe une dynamique interne propre, les autres pays a mon opinion sont stucturellemt corrompus et domines par une ideologie qui peut changer de face (venezuela) ou de couleur (AfSud) ou de "personnage" (Russie) ou de discours (Chine) mais qui reste essentiellemt la meme, coincee dans des reflexes tiers-mondistes (victimization, racialisation, xenophobie "naturelle", importantion de modeles socio-economiques "prets-a-porter" sans creativite).

Ils est donc naturel qu'ils se solidarisent...

Ton analyse est très pertinente, pour en revenir au Brésil et l'Inde bien entendu ils ont une dynamique propre comme la quasi totalité des pays sur terre néanmoins et je parle du bresil de l'afrique du sud et du venezuela en particulier. il est indéniable que ces pays ont chercher a exister sur la scène international en adoptant un style non calqué sur l'occident ce qui est normal,mais la ou le bas blesse c'est qu'ils ont voulu ce poser en alternative sois disant ''neutre'' et non affilié au mode de pensée americano-européen,je pense notamment au dossier iranien,lybien,syrien,saoudien....ou clairement ces pays ont montrés au mieux les limites de leurs diplomatie étrangère au pire une complaisance et un soutien scandaleux (soutien au dicateur lybien et syrien de la part de chavez),position attentiste de la part du bresil et de l'afrique du sud sur les dossiers syriens et lybiens ,incapacité de trouver un compromis satisfaisant sur le nucléaire iranien de la part du bresil et de l'afrique du sud (+ la turquie mais c'est un autre debat) etc etc bref ses pays que les gauchiste comme roland dumas on présenter a l'opinion mondiale comme des models a suivre (je pense a une emission sur france 3 en particulier qui passe tard le soir j'ai oublié le nom desole) ont voler en éclat une fois confronté a de grave crise international ces pays ont concrètement montré qu'ils ne valent pas mieux que l'occident qui les uns comme les autres sont aux ordres de leurs intérêts .

Baybars a écrit:

Tension entre la France et la Turquie. Suite aux propos de Sarkozy. La Turquie vient de lui demander de regardé ces oignons et ses problèmes économique et sociale. Et de regardé dans un miroir, en référence a Algérie et l'Afrique.

un demi million de voix d’arméniens pour 2012 sa vaut le coup pour quelques escarmouches

Citation :

JOHANNESBURG (Reuters) - L'absence du dalaï-lama pour cause de non-délivrance de visa a jeté une ombre sur la messe célébrée vendredi au Cap pour ses 80 ans par l'archevêque anglican Desmond Tutu, icône de la lutte anti-apartheid.

La décision du gouvernement sud-africain de ne pas accorder à temps de visa au chef spirituel des Tibétains en exil a plongé

Mgr Tutu dans une vive colère contre le Congrès national africain (ANC, au pouvoir).

"Nous allons prier pour la chute du gouvernement (ANC) qui nous représente si mal", avait tonné mardi le prix Nobel de la paix 1984 en affirmant que le pouvoir actuel était d'une certaine manière pire que le régime d'apartheid.

Vendredi, l'archevêque émérite du Cap a célébré une messe devant un parterre de rock stars, de responsables politiques et de paroissiens de la cathédrale St-George, là même où il lançait jadis des prêches enflammés contre le système de discrimination raciale en vigueur dans son pays.

"Il n'y a, dans cette enceinte, qu'une rock star, et c'est Mgr Desmond Tutu", a estimé le chanteur de U2, Bono, l'un des invités de marque aux cérémonies étalées sur trois jours.

La charge du prélat contre l'ANC, qui s'est défendue d'avoir agi sous la pression du gouvernement chinois dont le dalaï-lama est la bête noire, a d'autant plus surpris que Desmond Tutu est toujours considéré, après Nelson Mandela, comme l'une des consciences morales de la "nation arc-en-ciel".

L'archevêque, réputé pour son franc-parler et sa liberté de ton, a en revanche remercié publiquement le vice-président sud-africain Kgaleman Motlanthe d'avoir assisté à la messe.

Le n°2 sud-africain se trouvait il y a une semaine à Pékin où il portait des toasts en l'honneur des dirigeants chinois, qui cherchent à isoler à tout prix le dalaï-lama sur la scène internationale . "Merci d'être venu malgré les récents contretemps entre nous", a déclaré le prélat à son hôte.

Quant au président Jacob Zuma, que Desmond Tutu n'a jamais porté dans son coeur, il lui a lancé une pique en observant dans un message de félicitations que l'archevêque suscitait l'admiration de "milliers" de ses compatriotes - dans un pays comptant près de 50 millions d'habitants.

Le lauréat du Nobel 1984 a abandonné la quasi-totalité de ses fonctions officielles il y a un an environ. Il a créé une fondation pour la paix et conseille les dirigeants politiques.

Peroshni Govender, Jean-Loup Fiévet pour le service français, édité par Gilles Trequesser

http://fr.news.yahoo.com/labsence-du-dala%C3%AF-lama-assombrit-les-80-ans-155639091.html

longue vie a Desmond Tutu

Post supprimé tshaashh

Citation :

Computer virus hits US Predator and Reaper drone fleet

Deja poste dans Cyberguerre/Cyberwarfare

Selon Reuters:

Citation :

Exclusive: China launches lobbying push on currency bill

(Reuters) - China has launched an intense lobbying effort in Washington to kill legislation that would punish it for its currency system, in the latest display of its more sophisticated approach to influence U.S. policy.

A 12-member "Congressional Liaison Team" inside the Chinese embassy has been meeting with aides to key lawmakers, making phone calls to congressional offices and speaking to the White House on the issue, according to Chinese and U.S. officials.

The Chinese embassy has also been paying a blue chip Washington law firm $35,000 a month to lobby Congress on its behalf and to provide China with a greater understanding of congressional politics.

The effort reflects how sophisticated China's lobbying in Washington has become. Just 10 years ago China routinely ignored Congress, with some of its officials believing the Senate and House of Representatives were mere mouthpieces for the executive branch.

And Beijing's rare attempts to influence U.S. politics were clumsy and ill-informed, officials say.

Chinese officials have been warning Congress and the White House that passage of the currency bill, which advocates retaliatory tariffs on Chinese exports if the yuan remains artificially low against the dollar, could trigger a damaging trade war.

The Senate on Tuesday passed the bill by a 63-35 vote. Its fate in the House of Representatives looks more uncertain.

"China's position on this issue is very clear," a Chinese embassy official told Reuters. "So congressional staff at the embassy have not only been reaching out to the Congress, but have also been talking to all branches of the U.S. government, including the administration."

The official, who spoke on condition of anonymity, said embassy staff had been holding meetings on Capitol Hill with key aides, and "I know there have been communications with the White House." The official did not know which White House officials, or lawmakers, had been approached.

"We have been explaining to them our position and hoping they can convince the majority of senators and representatives to take rational steps by not politicizing this issue," the official said.

Orrin Hatch, a Republican senator who voted against the legislation, said it was important to listen to the Chinese.

"I think we have to give consideration to people who are leaders in their country. I don't know how much influence they would have, but they certainly ought to be given consideration. I always do," Hatch said outside the Senate.

He described the Chinese representatives who came to Capitol Hill as "very concerned" about the currency legislation.

"I did see some in the hallway, and all they did was encourage me with what I was doing," he said. Hatch had proposed an amendment requiring the administration to engage in multilateral negotiations with China, but it was not brought to a vote in the Democratic-controlled Senate.

President Barack Obama declined to support the legislation last week, but he did accuse China of "gaming the system".

Keeping the yuan artificially low boosts Chinese exports because it makes its products cheaper on world markets.

Supporters of the legislation -- a coalition of Democrats and Republicans -- say a rise in the yuan would make U.S. exports more competitive, creating American jobs. Opponents say a trade war would hurt an already anemic U.S. economy.

LOBBYING FIRM

China began to realize the importance of lobbying after being repeatedly outfoxed on Capitol Hill by Taiwan, which had a sophisticated and effective operation to influence legislation.

In 2005, the Chinese embassy retained Patton Boggs, one of the top lobbying shops in Washington. The relationship continues with the embassy paying a monthly retainer of $35,000, according to disclosure forms lodged under the Foreign Agents Registration Act.

According to the FARA filings, the Chinese embassy paid Patton Boggs $104,090 on May 5, 2011, and $105,000 on May 13 -- enough to cover six months' retainer fees. A Patton Boggs official declined to comment on the firm's work for the Chinese embassy.

"They have built up a very nuanced understanding of how Congress works," a former U.S. official with extensive experience of dealing with the Chinese told Reuters. "They have much more comprehensive understanding of what role Congress plays in these debates."

The official said that on the currency legislation, Chinese embassy staff "have been engaging with the Hill, and I do know that this is an important issue to the Chinese and they have been putting resources into it."

A congressional aide said in recent years the Chinese lobbying effort has become more sophisticated. They no longer complain about every bill that affects them. "They now realize some of the bills are not going anywhere," the aide said.

These days, the aide said, Chinese diplomats visit Capitol Hill and "they come here and sit down and talk to you, but it's like any other country."

(Reporting by Tim Reid and Susan Cornwell; Editing by Deborah Charles and Paul Simao)

Citation :

Complot iranien déjoué: les USA consultent le Conseil de sécurité de l'ONU

Les Etats-Unis ont entamé mercredi des réunions individuelles avec les ambassadeurs des pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU pour trouver une riposte diplomatique au complot iranien présumé contre l'ambassadeur d'Arabie saoudite à Washington.
Il n'était pas clair dans l'immédiat quelle forme de réaction les Etats-Unis attendaient du Conseil de sécurité à l'encontre de l'Iran, désigné par Washington comme le cerveau de cette tentative d'attentat, ce que Téhéran a démenti.


L'ambassadrice américaine à l'ONU Susan Rice a rencontré en tête-à-tête les autres ambassadeurs des quinze pays du Conseil de sécurité.
La Grande-Bretagne et la France ont déjà indiqué qu'elles soutiendraient les initiatives américaines. L'ambassadeur de Russie à l'ONU Vitali Tchourkine a qualifié l'affaire de "bizarre" dans des commentaires devant la presse.
Mme Rice "tient des consultations individuelles avec les membres du Conseil de sécurité aujourd'hui (mercredi) pour les informer du complot et solliciter leur soutien" afin que l'Iran rende des comptes, a indiqué un responsable américain sous couvert d'anonymat.
Résolution de condamnation ou autre représaille? "Nous avançons étape par étape", a confié un diplomate occidental sous couvert d'anonymat.
La justice américaine a annoncé mardi l'inculpation de deux ressortissants iraniens accusés d'avoir tenté d'assassiner l'ambassadeur saoudien Adel Al-Jubeir à Washington.
Pour la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, l'Iran s'est engagé dans "une escalade dangereuse". Elle a demandé mercredi "aux autres nations" de s'associer aux Etats-Unis pour "condamner cette menace à la paix internationale et à la sécurité".
L'Iran a rejeté en bloc les accusations américaines, accusant Washington d'avoir monté l'affaire de toutes pièces pour créer une "crise artificielle" entre l'Iran et ses voisins arabes, en particulier l'Arabie saoudite.
Téhéran, déjà sous le coup de sanctions du Conseil de sécurité pour son programme nucléaire, a qualifié les accusations de Washington de "complot diabolique" dans une lettre adressée au Conseil de sécurité.
Cette affaire est "une violation scandaleuse du droit international, dont les auteurs et les commanditaires devront rendre compte", a affirmé mercredi le Quai d'Orsay.
"Pour la France, c'est une affaire extrêmement sérieuse", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero.
La Grande-Bretagne apportera son soutien "aux mesures prises pour tenir l'Iran responsable", a déclaré un porte-parole du Premier ministre britannique David Cameron qui a qualifié le complot présumé de "choquant".

Complot iranien ou complot anti-iranien ?

Reuters:

Citation :

Poutine en Chine sur fond de désaccord sur le gaz
(Avec déclarations de Poutine, négociations sur le gaz)

par Gleb Bryanski

PEKIN, 11 octobre (Reuters) - Le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, a entamé mardi une visite en Chine pour renforcer la coopération entre deux pays capables de s'entendre sur la scène internationale afin de contrer certains efforts diplomatiques occidentaux, mais toujours habités par une méfiance réciproque.

"Notre objectif est de diversifier nos relations économiques", a déclaré Vladimir Poutine à l'issue d'une rencontre avec le Premier ministre chinois, Wen Jiabao.

Cette visite de deux jours est son premier déplacement à l'étranger depuis qu'il a annoncé qu'il comptait briguer un nouveau mandat de président l'an prochain.

Le Premier ministre russe espère favoriser ainsi une expansion des échanges commerciaux entre les deux pays, qu'il voit à 200 milliards de dollars en 2020 contre 59,3 milliards en 2010.

"Je crois que tout le monde comprendra que face aux difficultés connues de l'économie mondiale, cet aspect de la relation sino-russe a un impact stabilisateur", a souligné Vladimir Poutine.

L'agence officielle Chine nouvelle juge que la visite du chef du gouvernement russe "illustrera(it) la coopération de plus en plus profonde entre la Chine et la Russie", devenus des géants de l'économie internationale.

Le Premier ministre russe a assuré que les deux pays avançaient vers la conclusion d'un accord de fourniture de gaz en cours de négociation depuis des années. "Nous approchons de la dernière phase", a indiqué Vladimir Poutine.

Le vice-Premier ministre russe Igor Setchine, qui a rencontré son homologue chinois Wang Qishan, a également évoqué des "progrès importants" au sujet de ce contrat sur 30 ans par lequel la Russie fournirait jusqu'à 68 milliards de mètres cubes de gaz par an à la Chine.

MEFIANCE RECIPROQUE

De nombreux obstacles subsistent cependant.

"La Russie veut lier le prix du gaz aux prix du pétrole comme elle le fait en Europe, mais la Chine considère que ce prix est trop élevé", explique Gordon Kwan, du cabinet de recherches Mirae Asset Securities.

La différence de prix entre les négociateurs est de l'ordre de 100 dollars pour mille mètres cubes, soit environ 30% du prix moyen facturé par Gazprom à l'Europe cette année, dit-il.

Igor Setchine a en revanche précisé que les deux parties avaient résolu leurs divergences sur le montant de la facture pétrolière russe à la Chine.

Le 1er janvier, la Russie a commencé à fournir 300.000 barils de pétrole par jour à la Chine via l'oléoduc Sibérie orientale-océan Pacifique. Mais Moscou a accusé ensuite la Chine de lui devoir plusieurs dizaines de millions de dollars, en raison d'une dispute tarifaire.

Vladimir Poutine est accompagné de nombreux patrons, dont ceux des compagnies énergétiques publiques Gazprom et Rosneft et du producteur d'aluminium UC RUSAL . Il doit rencontrer mercredi le président chinois, Hu Jintao.

Malgré les démonstrations publiques de bonne entente entre Moscou et Pékin, leurs relations restent marquées par une méfiance, notamment côté russe, remontant à la période de la Guerre froide lorsque des différends territoriaux faillirent dégénérer en conflits armés.

Les deux voisins s'entendent cependant pour dénoncer ce qu'ils perçoivent comme un interventionnisme excessif de la part des Etats-Unis et de leurs alliés sur la scène internationale.

Toutes deux membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies, la Russie et la Chine ont uni leurs forces le 4 octobre pour opposer leur veto à un projet de résolution européen condamnant la répression du mouvement de contestation en Syrie par les forces du président Bachar al Assad. (avec Sui-Lee Wee, Bertrand Boucey pour le service français, édité par Gilles Trequesser)

Le Parisien
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/poutine-a-pekin-7-milliards-de-dollars-d-accords-entre-russie-et-chine-11-10-2011-1649058.php

Poutine à Pékin, 7 milliards de dollars d'accords entre Russie et Chine

Citation :

......
Le ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué que des responsables des deux pays avaient signé dès lundi 16 accords économiques et commerciaux représentant un montant total de plus de sept milliards de dollars "dans le secteur des transferts de technologies, de la recherche et du développement et du développement des ressources minières".
Les deux puissances ont d'importantes relations économiques, notamment dans le domaine de l'énergie: la Russie est le premier producteur d'hydrocarbures du monde et la Chine le premier consommateur d'énergie. La Chine est devenue en 2010 le premier partenaire commercial de la Russie.
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Citation :

Amnesty International calls on Canada to arrest George W. Bush

Surrey - Amnesty International is calling upon Canada to fulfill its obligation under international law and arrest former U.S. president George W. Bush when he visits Surrey, B.C. for an economic summit on October 20.
London-based Amnesty International is calling on Canada to arrest former United States president George W. Bush if and when he visits Surrey, British Columbia next week over "his responsibility for crimes under international law including torture," according to a statement from the group.
“As the U.S. authorities have, so far, failed to bring former president Bush to justice, the international community must step in. A failure by Canada to take action during his visit would violate the UN Convention Against Torture and demonstrate contempt for fundamental human rights,” argued Susan Lee, a spokeswoman for Amnesty International in the National Post.
If Bush decides to cancel his visit over fears of arrest from Canadian authorities, this would not be the first time the former president's travel plans have been changed in response to public calls to action from Amnesty International. Bush cancelled a similar trip to Switzerland back in February, 2011.
In outlining Amnesty's case against George W. Bush, which has been backed by the International Civil Liberties Monitoring Group, the National Post writes that:

Bush authorized the use of “enhanced interrogation techniques” and “waterboarding” on detainees held in secret by the Central Intelligence Agency between 2002 and 2009.
The detention program included “torture and other cruel, inhuman and degrading treatment [such as being forced to stay for hours in painful positions and sleep deprivation], and enforced disappearances,” it alleged.
Amnesty’s case, outlined in its 1,000-page memorandum, relies on the public record, U.S. documents obtained through access to information requests, Bush’s own memoir and a Red Cross report critical of the U.S.’s war on terror policies.
Amnesty cites several instances of alleged torture of detainees at the Guantanamo Bay naval facility, in Afghanistan and in Iraq, by the US military.

Canada's Justice Minister, Rob Nicholson, was unavailable for comment to the media reporting on the story, although the Toronto Sun speculates that Canada will likely ignore the call to arrest for the former U.S. president.
“Bringing to justice the people responsible for torture is central to [our] goal," argues Alex Neve, secretary general of Amnesty International’s Canadian branch. "It is the law… And no one, including the man who served as president of the world’s most powerful nation for eight years can be allowed to stand above that law.”

Read more: http://www.digitaljournal.com/article/312705#ixzz1afDvTkK8

qu´ils le font et les US marcheront sur l´Alberta pour "liberer le soldat Bush" de la tyrannie canadienne

Yakuza a écrit:

qu´ils le font et les US marcheront sur l´Alberta pour "liberer le soldat Bush" de la tyrannie canadienne

tkt le Canada a refusé avant même que Bush n'ai entendu l'info

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Norway killer says 80 militant cells in Europe: police

Reuters) - Anders Behring Breivik, who has confessed to the bomb and shooting attacks that killed 77 people in Norway in July, says there are up to 80 cells in Europe with militant anti-Islamic ideals like his own, Norwegian investigators said on Thursday.

Norwegian police said previously that Breivik had said there were two or three cells in Norway, apart from himself, and "several" elsewhere in Europe that shared his plans to stop what they saw as an Islamic invasion of Europe.

"It's more like three in Norway and 80 around Europe," police prosecutor Christian Hatlo told Reuters, adding that Breivik had made the allegation since shortly after his arrest on July 22.

Hatlo added: "We have not uncovered a single one of them."

He said the police had intentionally played down Breivik's alleging of 80 like-minded cells in order to avoid causing panic across the continent at the time.

Police spokesman Roar Hansen, who has briefed reporters since the attacks, confirmed the number.

"The number I now have is between 60 and 80," he said. "But I don't think they (investigators) trust what Breivik is saying on this matter."

(note perso: les ces reseaux depassent en sophistication "intellectuelle" nos suicidaires barbus de circonstance. Il suffit juste de voir comment un certain site S...F... interdit en Europe qu iest la plaque tournate de leur coordination subit des attaques journalieres depuis isrl et reste fluide et debout. Breivik est peut etre un cingle comme beacoup de types deseperes et perdus qui se reconfortent en "heros martyrs", mais l'infrsatruture derriere est regie par des pros. sur tout les plans)

Hatlo said Norwegian police had asked authorities in 20 nations to interview 35 non-Norwegians in connection with the July 22 killings caused by a bomb in Oslo and a gun massacre at a nearby island summer camp for Labor Party youths.

Fifteen of the 35 remain to be interviewed, he said, though none is considered a potential accomplice.

He said the purpose of the international inquiries was to document Breivik's travels, purchases and ideological alliances.

"We still think he (Breivik) did this alone and we have not uncovered any accomplices. But it is far too early to draw any final conclusions," Hatlo said.

At a news conference on Thursday Hatlo said investigators had recovered 186 shell casings from the island where Breivik attacked the summer camp, killing 69 of his 77 victims.

Reuters.

Un des probleemes en Afrique: pas assez de recherche archelogique dans le continuent qui a abrite les premiers jours de l'Humanite....
voila ce qu'on trouve lorsqu'on cherche

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Ancient paint shop discovered in South Africa

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Researchers in South Africa have discovered what may have been the world's earliest artist's studio.

A 100,000-year-old workshop used to mix and store the reddish pigment ochre has been discovered in Blombos Cave on the rugged southern coast near Cape Town. At the same site, scientists have found some of the earliest sharp stone tools, as well as evidence of fishing.

Ochre powder, crushed bone, charcoal and a liquid were mixed in abalone shells like these to make paint, scientists believe. Science
The latest find is reported in Friday's edition of the journal Science. It includes pieces of ochre, grinding bowls, shells for storage and bone and charcoal to mix with the pigment.

Lead researcher Christopher Henshilwood of the University of Bergen, Norway, said the find represents an important benchmark in the evolution of complex human mental processes.

The ochre could have been used for painting, decoration and skin protection, according to the researchers.

The discovery shows that even at that time "humans had the conceptual ability to source, combine and store substances that were then possibly used to enhance their social practices."

Two separate tool kits for working ochre were found at the site, the researchers said.

Henshilwood, who is also affiliated with the South Africa's University of Witwatersrand, said in a statement that researchers believe that pieces of ochre were rubbed on rock to make a fine red powder, and that was mixed with crushed bone, charcoal, stone chips and a liquid. The mixture was put into abalone shells and stirred with a bone.

Blombos Cave's entrance is on the Indian Ocean coast. It appears part of the cave was used to mix and store the reddish pigment ochre 100,000 years ago. (Magnus Haaland/Science)


Ochre powder, crushed bone, charcoal and a liquid were mixed in abalone shells like these to make paint, scientists believe. Science