Le close-combat, ou combat rapproché, est une méthode de combat spécifique aux militaires appelés à devoir, au cours de missions de contact, soit préserver leur peau, soit menacer celle de l’ennemi, le plus souvent sans apport d’autres armes que poignards et mains nues. Le militaire au combat traitera son ennemi avec la même délicatesse que celui-ci lui réserve. Le close combat n’est pas une philosophie sympa. Celui qui est en face de toi voudra souvent ta peau. Les adversaires ne se saluent pas, ils ne s’estiment pas, ils ne se font aucune promesse de loyauté et de droiture. Le seul respect sera celui imposé par le plus fort, le plus brutal et le plus définitif parfois. Ce corps à corps de soldats emprunte aux autres disciplines, judo, boxe, karaté et autre kung-fu, le meilleur et de pire des recettes de combat rapproché avec un nécessaire taux d’agressivité élevé.
La mission Ruse, souplesse, rapidité, force, perversité, tout y est combiné pour une recherche d’effet maximum, la neutralisation temporaire ou définitive d’un adversaire qui nous aura surpris ou que nous aurions à surprendre. La gentillesse, au combat, n’existe pas, il faut être celui qui vaincra vite et souvent avec une exigence de silence dont la garantie sera un des effets recherchés. Pas le temps de demi-mesure, on n’étrangle pas à moitié de même qu’on ne se laisse pas étrangler à moitié, c’est du tout ou du rien. Du tout si je veux sortir vainqueur ; alors je libère toutes les foudres dont je suis capable et l’acte devra, pour aboutir, être servi par le plus haut degré d’agressivité dont je suis capable. Du rien ; alors ce pourrait être l’esquive pour mieux frapper ensuite, voire abandonner la cible sans, valable pour les deux cas, compromettre la mission.
L’entraînement est primordial
Pour une efficacité maximum, la seule tolérée en terme de résultat, il faudra répéter le geste des centaines puis des milliers de fois pour qu’il devienne, avec toute une collection de gestes de combat, l’arme redoutable d’un réflexe dont le soldat ne se départira jamais. La préparation est douloureuse, les conditions doivent coller à la réalité, combats en zone urbaine, aquatique, désertique, aux conditions extrêmes de températures, de fatigue et de stress. Ce stress d’une intensité terrible avec ses jets d’adrénaline singuliers au moment ou l’homme devient prédateur par la volonté du législateur. La mission terminée il tentera de redevenir un homme comme les autres en s’efforçant de garder tous ses points sur son permis..
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Dernière édition par FAMAS le Sam 13 Aoû 2011 - 21:14, édité 1 fois
FAMAS Modérateur
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pour les videos qu a poste Famas, le francais c est du Full contact l americain c est de la kickbox et modern Arnis (j en ai fait durant 6 mois pour apprendre a utiliser mon baton telescopique ).pour le belge c est du silat .
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Il y a toutefois une chose qui n'est dite nulle part (enfin il ne me semble pas l'avoir entendu ou vue), c'est qu'en cas de réel engagement vous perdez pas loin de 40% de vos possibilitées à cause du stress!
Raison pour laquelle il convient de suivre un entraînement assidu et de manière régulière; dans le but d'obtenir un certains nombres d'automatismes capables de vous sortir d'affaire