Sujet: Les mensonges qui justifie les guerre Jeu 28 Juin 2012 - 19:03
j 'ouvre ce poste apres avoir lu le message de GIMINI, comme quoile president iranien obligé des enfant habillé en blanc a sauté sur des mine avec un clé autour du coup, qui est la clé du paradie
j'aimerai qui repertorie ici les mensonge qui on justifié des conflit, comme par exemple la guerre du vietnam et la fausse histoire du navir US attaqué pour justifié leur intervention., ou encore l'Irak et les arme de destruction massive
si vous avez d'autres exemple n'hesité pas .
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Les mensonges qui justifie les guerre Jeu 28 Juin 2012 - 20:37
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atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Les mensonges qui justifie les guerre Jeu 28 Juin 2012 - 20:56
zapbox a écrit:
j 'ouvre ce poste apres avoir lu le message de GIMINI, comme quoile president iranien obligé des enfant habillé en blanc a sauté sur des mine avec un clé autour du coup, qui est la clé du paradie
j'aimerai qui repertorie ici les mensonge qui on justifié des conflit, comme par exemple la guerre du vietnam et la fausse histoire du navir US attaqué pour justifié leur intervention., ou encore l'Irak et les arme de destruction massive
si vous avez d'autres exemple n'hesité pas .
Mais ça n'est pas un mensonge, la vrai histoire que j'ai entendu dans des documentaires traitant de la guerre Iraq/Iran; c'est que à l'époque, des jeunes iraniens se présentaient volontairement pour passer à pied des champs de mines placés par l'Irak dans le but de nettoyer le chemin aux forces militaires. C'était une source de fierté pour les iraniens, c'était une façon de mourir en shahid. Si je trouve le documentaire en question de le poseterais ici.
Invité Invité
Sujet: Re: Les mensonges qui justifie les guerre Jeu 28 Juin 2012 - 21:13
zapbox a écrit:
j 'ouvre ce poste apres avoir lu le message de GIMINI, comme quoile president iranien obligé des enfant habillé en blanc a sauté sur des mine avec un clé autour du coup, qui est la clé du paradie
j'aimerai qui repertorie ici les mensonge qui on justifié des conflit, comme par exemple la guerre du vietnam et la fausse histoire du navir US attaqué pour justifié leur intervention., ou encore l'Irak et les arme de destruction massive
si vous avez d'autres exemple n'hesité pas .
Je souhaite que lse modos ferment ce thread car toutes les guerres sont bases sur du mensonge, a diverses echelle.
Rien de perso zapbox mais c est une perte de temps.
On pourrait mettre ces documents dans les thread concernant les pays.
Seuls les mauvais mesnonges seront identifiees de toutes facons. Les mensonges non-pro...
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Sujet: Re: Les mensonges qui justifie les guerre Jeu 28 Juin 2012 - 21:20
moi je trouve que c’est utile de faire un condensé des justification fourni pour justifié des conflit arme dans le monde dans un meme topic
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Les mensonges qui justifie les guerre Jeu 28 Juin 2012 - 22:19
zapbox a écrit:
moi je trouve que c’est utile de faire un condensé des justification fourni pour justifié des conflit arme dans le monde dans un meme topic
ok zapbox,tshash je sais ou il veut aller.On va se prepare pour un regale.
Invité Invité
Sujet: Re: Les mensonges qui justifie les guerre Jeu 28 Juin 2012 - 22:36
Citation :
Mensonges d’Etat par Ignacio Ramonet, juillet 2003
C’est l’histoire du voleur qui crie : « Au voleur ! » Comment pensez-vous que M. George W. Bush intitula le célèbre rapport d’accusation contre M. Saddam Hussein qu’il présenta le 12 septembre 2002 devant le Conseil de sécurité de l’ONU ? « Une décennie de mensonges et de défis » (voir document). Et qu’y affirmait-il en égrenant des « preuves » ? Un chapelet de mensonges ! L’Irak, disait-il en substance, entretient des liens étroits avec le réseau terroriste Al-Qaida et menace la sécurité des Etats-Unis parce qu’il possède des « armes de destruction massive » (ADM) - une expression terrifiante forgée par ses conseillers en communication.
....
Ils s’inscrivent dans une longue tradition de mensonges d’Etat qui jalonne l’histoire des Etats-Unis. L’un des plus cyniques concerne la destruction du cuirassé américain Maine dans la baie de La Havane en 1898, qui servit de prétexte à l’entrée en guerre des Etats-Unis contre l’Espagne et à l’annexion de Cuba, Porto Rico, les Philippines et l’île de Guam.
Le soir du 15 février 1898, vers 21 h 40, le Maine fut en effet victime d’une violente explosion. Le navire sombra dans la rade de La Havane et 260 hommes périrent. Immédiatement, la presse populaire accusa les Espagnols d’avoir placé une mine sous la coque du navire et dénonça leur barbarie, leurs « camps de la mort » et même leur pratique de l’anthropophagie...
Deux patrons de presse allaient rivaliser dans la recherche du sensationnel : Joseph Pulitzer, du World, et surtout William Randolph Hearst, du New York Journal. Cette campagne reçut le soutien intéressé des hommes d’affaires américains qui avaient beaucoup investi à Cuba et rêvaient d’en évincer l’Espagne. Mais le public ne manifestait guère d’intérêt. Les journalistes non plus d’ailleurs. En janvier 1898, le dessinateur du New York Journal, Frederick Remington, écrivit de La Havane à son patron : « Il n’y a pas de guerre ici, je demande à être rappelé. » Hearst lui câbla en réponse : « Restez. Fournissez les dessins, je vous fournis la guerre. » Survint alors l’explosion du Maine. Hearst monta une violente campagne comme on le voit dans Citizen Kane, le film d’Orson Welles (1941).
Pendant plusieurs semaines, jour après jour, il consacra plusieurs pages de ses journaux à l’affaire du Maine et réclama vengeance en répétant inlassablement : « Remember the Maine ! In Hell with Spain » (Souvenez-vous du Maine ! En enfer l’Espagne !). Tous les autres journaux suivirent. La diffusion du New York Journal passa d’abord de 30 000 exemplaires à 400 000, puis franchit régulièrement le million d’exemplaires ! L’opinion publique était chauffée à blanc. L’atmosphère devint hallucinante. Pressé de partout, le président William McKinley déclara la guerre à Madrid le 25 avril 1898. Treize ans plus tard, en 1911, une commission d’enquête sur la destruction du Maine devait conclure à une explosion accidentelle dans la salle des machines (11)...
Manipulation des esprits
En 1960, en pleine guerre froide, la Central Intelligence Agency (CIA) diffusa auprès de quelques journalistes des « documents confidentiels » démontrant que les Soviétiques étaient en passe de remporter la course aux armements. Immédiatement, les grands médias commencèrent à faire pression sur les candidats à la présidence et à réclamer à cor et à cri une substantielle augmentation des crédits de la défense. Harcelé, John F. Kennedy promit de consacrer des milliards de dollars à la relance du programme de construction de missiles balistiques de croisière (the missile gap). Ce que souhaitaient non seulement la CIA, mais tout le complexe militaro-industriel. Une fois élu et le programme voté, Kennedy devait découvrir que la supériorité militaire des Etats-Unis sur l’Union soviétique était écrasante...
En 1964, deux destroyers déclarent avoir été attaqués dans le golfe du Tonkin par des torpilles nord-vietnamiennes. Aussitôt, la télévision, la presse en font une affaire nationale. Crient à l’humiliation. Réclament des représailles. Le président Lyndon B. Johnson prend prétexte de ces attaques pour lancer des bombardements de représailles contre le Nord-Vietnam. Il réclame du Congrès une résolution qui va lui permettre, dans les faits, d’engager l’armée américaine. La guerre du Vietnam commençait ainsi, qui ne devait s’achever - par une défaite - qu’en 1975. On apprendra plus tard, de la bouche même des équipages des deux destroyers, que l’attaque dans le golfe du Tonkin était une pure invention...
Même scénario avec le président Ronald Reagan. En 1985, il décrète soudain l’« urgence nationale » en raison de la « menace nicaraguayenne » que représenteraient les sandinistes au pouvoir à Managua, pourtant élus démocratiquement en novembre 1984 et qui respectaient à la fois les libertés politiques et la liberté d’expression. « Le Nicaragua, affirme cependant M. Reagan, est à deux jours de voiture de Harlingen, Texas. Nous sommes en danger ! » Le secrétaire d’Etat George Schultz affirme devant le Congrès : « Le Nicaragua est un cancer qui s’insinue dans notre territoire, il applique les doctrines de Mein Kampf et menace de prendre le contrôle de tout l’hémisphère (12) ... » Ces mensonges vont justifier l’aide massive à la guérilla antisandiniste, la Contra, et déboucheront sur le scandale de l’Irangate.
On ne s’étendra pas sur les mensonges de la guerre du Golfe en 1991, largement analysés (13) et demeurés dans les mémoires comme des paradigmes du bourrage de crâne moderne. Des informations constamment répétées - comme « L’Irak, quatrième armée du monde », « le pillage des couveuses de la maternité de Koweït », « la ligne défensive inexpugnable », « les frappes chirurgicales », « l’efficacité des Patriot », etc. - se révélèrent totalement fausses.
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Le 20 février 2002, le New York Times dévoilait le plus pharamineux projet de manipulation des esprits. Pour conduire la « guerre de l’information », le Pentagone, obéissant à des consignes de M. Rumsfeld et du sous-secrétaire d’Etat à la défense, M. Douglas Feith, avait créé secrètement et placé sous la direction d’un général de l’armée de l’air, Simon Worden, un ténébreux Office de l’influence stratégique (OIS), avec pour mission de diffuser de fausses informations servant la cause des Etats-Unis. L’OIS était autorisé à pratiquer la désinformation, en particulier à l’égard des médias étrangers. Le quotidien new-yorkais précisait que l’OIS avait passé un contrat de 100 000 dollars par mois avec un cabinet de communication, Rendon Group, déjà employé en 1990 dans la préparation de la guerre du Golfe et qui avait mis au point la fausse déclaration de l’« infirmière » koweïtienne affirmant avoir vu les soldats irakiens piller la maternité de l’hôpital de Koweït et « arracher les nourrissons des couveuses et les tuer sans pitié en les jetant par terre (15) ».Ce témoignage avait été décisif pour convaincre les membres du Congrès de voter en faveur de la guerre...
...
On se souvient que, début avril 2003, les grands médias américains diffusèrent avec un luxe impressionnant de détails son histoire. Jessica Lynch faisait partie des dix soldats américains capturés par les forces irakiennes. Tombée dans une embuscade le 23 mars, elle avait résisté jusqu’à la fin, tirant sur ses attaquants jusqu’à épuiser ses munitions. Elle fut finalement blessée par balle, poignardée, ficelée et conduite dans un hôpital en territoire ennemi, à Nassiriya. Là, elle fut battue et maltraitée par un officier irakien. Une semaine plus tard, des unités d’élite américaines parvenaient à la libérer au cours d’une opération surprise. Malgré la résistance des gardes irakiens, les commandos parvinrent à pénétrer dans l’hôpital, à s’emparer de Jessica et à la ramener en hélicoptère au Koweït.
Le soir même, le président Bush annonça à la nation, depuis la Maison Blanche, la libération de Jessica Lynch. Huit jours plus tard, le Pentagone remettait aux médias une bande vidéo tournée pendant l’exploit avec des scènes dignes des meilleurs films de guerre.
Mais le conflit d’Irak s’acheva le 9 avril, et un certain nombre de journalistes - en particulier ceux du Los Angeles Times, du Toronto Star, d’El País et de la chaîne BBC World - se rendirent à Nassiriya pour vérifier la version du Pentagone sur la libération de Jessica. Ils allaient tomber de haut. Selon leur enquête auprès des médecins irakiens qui avaient soigné la jeune fille - et confirmée par les docteurs américains l’ayant auscultée après sa délivrance -, les blessures de Jessica (une jambe et un bras fracturés, une cheville déboîtée) n’étaient pas dues à des tirs d’armes à feu, mais simplement provoquées par l’accident du camion dans lequel elle voyageait... Elle n’avait pas non plus été maltraitée. Au contraire, les médecins avaient tout fait pour bien la soigner : « Elle avait perdu beaucoup de sang, a raconté le docteur Saad Abdul Razak, et nous avons dû lui faire une transfusion. Heureusement des membres de ma famille ont le même groupe sanguin qu’elle : O positif. Et nous avons pu obtenir du sang en quantité suffisante. Son pouls battait à 140 quand elle est arrivée ici. Je pense que nous lui avons sauvé la vie (16) . »
En assumant des risques insensés, ces médecins tentèrent de prendre contact avec l’armée américaine pour lui restituer Jessica. Deux jours avant l’intervention des commandos spéciaux, ils avaient même conduit en ambulance leur patiente à proximité des lignes américaines. Mais les Américains ouvrirent le feu sur eux et faillirent tuer leur propre héroïne...
L’arrivée avant le lever du jour, le 2 avril, des commandos spéciaux équipés d’une impressionnante panoplie d’armes sophistiquées surprit le personnel de l’hôpital. Depuis deux jours, les médecins avaient informé les forces américaines que l’armée irakienne s’était retirée et que Jessica les attendait...
Le docteur Anmar Ouday a raconté la scène à John Kampfner de la BBC : « C’était comme dans un film de Hollywood. Il n’y avait aucun soldat irakien, mais les forces spéciales américaines faisaient usage de leurs armes. Ils tiraient à blanc et on entendait des explosions. Ils criaient : « Go ! Go ! Go ! » L’attaque contre l’hôpital, c’était une sorte de show, ou un film d’action avec Sylvester Stallone (17) . »
Les scènes furent enregistrées avec une caméra à vision nocturne par un ancien assistant de Ridley Scott dans le film La Chute du faucon noir (2001). Selon Robert Scheer, du Los Angeles Times, ces images furent ensuite envoyées, pour montage, au commandement central de l’armée américaine, au Qatar, et une fois supervisées par le Pentagone, diffusées dans le monde entier (18).
L’histoire de la libération de Jessica Lynch restera dans les annales de la propagande de guerre. Aux Etats-Unis, elle sera peut-être considérée comme le moment le plus héroïque de ce conflit. Même s’il est prouvé qu’il s’agit d’une invention aussi fausse que les « armes de destruction massive » détenues par M. Saddam Hussein ou que les liens entre l’ancien régime irakien et Al-Qaida.