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| Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi | |
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Auteur | Message |
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Fremo Administrateur
messages : 24819 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Sam 16 Fév 2013 - 13:01 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: participation à la MINUSMA / MALI Dim 21 Avr 2013 - 13:05 | |
| Citation : - Citation :
- Des soldats burundais seront « bientôt » déployés au Mali, dans le cadre de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma) ou de la future opération de maintien de la paix de l’ONU, a affirmé mardi à Paris le président burundais Pierre Nkurunziza.
« (…) Mon pays participe activement à des missions de maintien de la paix en Afrique et dans le monde, en Somalie, au Darfour (Soudan), en Côte d’Ivoire, en Haïti et bientôt au Mali », a déclaré le chef de l’Etat burundais lors d’une conférence à l’Institut français des relations internationales (Ifri).
« Le Burundi a été approché au niveau de l’Union africaine mais aussi au niveau de la Cédéao (Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest) pour apporter notre contribution, compte tenu de notre expérience, et pour aider le Mali à avoir la paix », a-t-il ajouté. Le président n’a pas donné de précision sur le nombre de soldats qu’il pourrait envoyer.
Le président français François Hollande avait remercié lundi son homologue burundais pour s’être déclaré disposé à participer à la Misma.
« Le Burundi a été sollicité. Si c’est dans le cadre de la Misma, pas de problème, si ce sont les Nations unies qui transforment cette mission en mission onusienne, pas de problème. L’essentiel, c’est qu’on doit être présent aux côtés de notre frère et voir comment le Mali peut avoir la paix », a poursuivi le président burundais.
Selon une source diplomatique européenne, l’opération de maintien de la paix de l’ONU qui pourrait être mise en place à l’été après un vote au Conseil de sécurité en avril, pourrait compter jusqu’à 10.000 hommes, avec notamment le Burundi et la Mauritanie, en plus des soldats africains de la Misma.
Commentaire : cette annonce faite au début de ce mois vient renforcer la volonté de ce petit mais ô combien attachant pays, de contribuer lui aussi à la mission de paix au Sahel A SUIVRE |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Dim 21 Avr 2013 - 13:08 | |
| Amenokhal99,les articles sont a mettre en citation : marquer l´article et cliquer le bouton a 2 bulls + fournir la source merci _________________ | |
| | | augusta General de Division
messages : 8293 Inscrit le : 18/08/2010 Localisation : canada Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mer 4 Sep 2013 - 19:41 | |
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| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Jeu 5 Sep 2013 - 20:51 | |
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| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mar 10 Sep 2013 - 21:21 | |
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| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Lun 28 Oct 2013 - 21:17 | |
| - Citation :
- Djibouti : formation au Burundi au profit de l’AMISOM
Mise à jour : 28/10/2013 16:59
Du 1er septembre au 11 octobre 2013, les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) se sont rendues au Burundi pour conduire un détachement d’instruction opérationnel (DIO) au profit du 25e bataillon burundais d’infanterie de la force de défense nationale (FDN).
Une trentaine de militaires du 5e régiment interarmes d’outre-mer (5ème RIAOM) et de la direction interarmées du service de santé des armées (DISSA) se sont rendus au Burundi, pour instruire les 850 soldats et cadres burundais de ce bataillon qui va rejoindre la mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM).
La formation était organisée en plusieurs modules d’instruction. La première semaine a été consacrée à l’instruction sur le tir de combat (ISTC). Au cours des suivantes, les instructeurs ont dispensé des cours de transmission, de topographie, de Techniques d’Intervention Opérationnelle Rapprochée (TIOR) et de combat (du niveau individuel au niveau section).
L’équipe santé du DIO, composée d’un médecin, d’un infirmier et d’un auxiliaire sanitaire a assuré une double mission : le soutien sanitaire des militaires du détachement et l’enseignement du sauvetage au combat de niveau 1 aux infirmiers et brancardiers du 25e bataillon de l’AMISOM. A la demande du détachement santé burundais, l’équipe sanitaire a également abordé le sauvetage au combat de niveau 2.
Ces formations opérationnelles sont effectuées à la demande des pays africains et peuvent être adaptées en fonction des besoins exprimés, notamment dans le cadre d’un déploiement opérationnel spécifique. La France a participé à la formation de la majorité des contingents burundais et ougandais de l’Union Africaine (UA) déployés en Somalie dans le cadre de l’AMISOM.
Les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) dans le cadre des accords de Défense entre la République de Djibouti et la France, constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé), ainsi qu’à la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie.
http://www.defense.gouv.fr/ema/forces-prepositionnees/djibouti/actualites/djibouti-formation-au-burundi-au-profit-de-l-amisom | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | annabi Général de corps d'armée (ANP)
messages : 6945 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mar 12 Nov 2013 - 23:15 | |
| - Citation :
- Burundi/RDC: Bientôt des drones de surveillance militaire dans la Région
Selon digitalcongo.net , à Kinshasa, lundi 11 novembre 2013, M. Martin Kobler, le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en RDC, a informé que les drones pour la surveillance des zones infestés par les groupes armés à l’Est de la RDC seront effectifs à la fin de ce mois de novembre 2013.
Le général Santos Carlos Cruz, commandant de la Force de la Monusco, a, expliqué que : « La question de déploiement des drones est complexe. Ils ne seront pas déployés par rapport à l’action du M23, mais aussi d’autres activités des groupes armés encore actifs … Ces forces négatives commettent beaucoup d’exactions, les drones sont très importants pour nous donner des informations utiles à cet effet…Nous avons reçu la première équipe de postulants de contractants. Nous allons pouvoir être opérationnels dès la fin du mois de novembre. La base opérationnelle initiale de déploiement de ces drones sera Goma … 5 mois après ce lancement nous allons augmenter notre capacité ». La mission onusienne doit lancer son premier drone de surveillance dans l’Est du pays à la fin du mois de novembre. Dès avril 2014, ces drones fourniront en temps réel les images, les photos et les renseignements sur cette région frontalière de l’Est de la RDC Congo.
http://burundi-agnews.org/sports-and-games/?p=9475 | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mar 17 Déc 2013 - 21:22 | |
| - Citation :
- déc 16, 2013
Les Européens balbutient, les Américains articulent
(BRUXELLES2) Deux avions de transport C17 Globemaster III de l’US Air Force ont quitté aujourd’hui le Burundi pour la république centrafricaine, en soutien de l’opération africaine (MISCA) a annoncé un porte-parole du Pentagone aujourd’hui. Et deux autres devraient suivre demain. Ils vont transporter environ 165 matériel, et du matériel, notamment un camion de 1,5 tonnes, véhicule de transport protégé, etc. Depuis le 12 décembre, début de l’engagement américain, 8 vols de C-17 ont relié la capitale du Burundi à la Rép. centrafricaine. Soit 432 passagers transportés, 25 palettes d’équipement, comme le décompte le colonel Steve Warren. Deux C-17 et une petite équipe de soutien était arrivée en Ouganda le 11 décembre.
Vérification des armes des soldats burundais avant l’embarquement à Bujumbura (Crédit : US Air Force, photo by Staff Sgt. Erik Cardenas)
http://www.bruxelles2.eu/?s=en | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mer 4 Juin 2014 - 21:39 | |
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| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Ven 11 Sep 2015 - 21:29 | |
| - Citation :
- Burundi: le chef de l’armée réchappe d’une embuscade, 7 morts
11 septembre 2015
Le numéro 1 de l’armée burundaise, le général Prime Niyongabo, a réchappé vendredi d’une embuscade contre son convoi à Bujumbura, au cours de laquelle sept personnes ont été tuées, ont annoncé à l’AFP des sources policières.
« Il y a eu un attentat contre le chef d’état-major de l’armée, le général Prime Niyongabo, heureusement il n’a rien eu, mais deux des assaillants ont été tués et un troisième capturé », a déclaré à l’AFP le directeur-général adjoint de la police burundaise, le général Godefroid Bizimana. Un haut-gradé de la police a précisé à l’AFP que quatre militaires de son escorte avaient également péri ainsi qu’une policière.
http://maliactu.net/burundi-le-chef-de-larmee-rechappe-dune-embuscade-7-morts/#sthash.MzAQkWFx.dpuf | |
| | | augusta General de Division
messages : 8293 Inscrit le : 18/08/2010 Localisation : canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Lun 28 Sep 2015 - 15:21 | |
| - Citation :
- Burundi : une position militaire attaquée près de Bujumbura, l’armée récuse la thèse d’une rébellion naissante
10 septembre 2015 à 15h36 — Mis à jour le 10 septembre 2015 à 15h37
Une position de l'armée burundaise a été attaquée mardi par un groupe non identifié dans la commune Kanyosha, près de Bujumbura. Bilan de cette première attaque contre des militaires sous le troisième mandat de Nkurunziza : trois soldats blessés et deux assaillants tués.
Il n’y a pas lieu de parler de rébellion naissante, selon l’armée burundaise. Dans la nuit de mardi 8 septembre, des hommes non encore identifiés ont attaqué une position militaire dans la commune Kanyosha, près de Bujumbura la capitale. Une agression, la première contre l’armée depuis le début de la crise burundaise en avril, qualifiée de « tentative d’attaque » par l’armée.
D’après l’armée, deux assaillants ont été tués et trois militaires légèrement blessés. Un des assaillants portait une tenue policière mais leurs identités demeurent toujours inconnues. « Des habits de policiers circulent partout en ce moment, tout le monde peut s’en procurer. Cela ne veut pas dire qu’il s’agit d’un déserteur de la police nationale. Nous n’avons trouvé aucun papier pouvant nous aider à les identifier mais les recherches continuent « , a confié à Jeune Afrique le colonel Gaspard Baratuza, porte parole de l’armée.
L’attaque perpétrée peu après 18h a duré environ trente minutes et n’a jusque-là pas été revendiquée. Même si certains habitants « ayant entendu beaucoup d’armes lourdes » pensent à la naissance d’une rébellion, le porte parole de l’armée se veut rassurant. « Je ne pense pas que des rebelles seraient organisés comme ça. Les étapes d’une rébellion sont connues… » a-til précisé, sans néanmoins donner plus de détails.
Les habitants environnants craignent pour leur sécurité
La commune de Kanyosha est considérée par les autorités burundaises comme une localité contestataire, ce qui a poussé plusieurs habitants à fuir leur ménages depuis l’attaque de mardi soir.
Les autorités locales, qui assurent que le calme est revenu, appellent la population qui a fui à revenir dans ses habitations. « Avec le traumatisme de la guerre, les gens fuient au moindre coup de feu. Mais nous faisons de notre mieux pour les rassurer afin qu’ils retournent chez eux », explique à Jeune Afrique Dieudonné Bizimana, conseiller provincial principal de Bujumbura rural.
http://www.jeuneafrique.com/263436/politique/burundi-position-militaire-attaquee-pres-de-bujumbura-larmee-refute-rebellion-naissante/
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| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Sam 3 Oct 2015 - 20:11 | |
| - Citation :
- Burundi: deux responsables désertent l’armée
Par RFI Publié le 03-10-2015 • Modifié le 03-10-2015 à 17:00
Le colonel Gaspard Baratuza, porte-parole de l'armée burundaise. Burunditransparence.org
Au Burundi, deux responsables de l'armée ont déserté, coup sur coup, ces derniers jours, suscitant beaucoup de questions et de rumeurs. Il s'agit du chef du bureau des transmissions à l'état-major et du commandant en second d'un camp militaire de Bujumbura, la capitale. Ces désertions interviennent sur fond de tension au sein de l'armée après la tentative d'assassinat contre le chef d'état-major et avec le déplacement, hors de la capitale, de deux camps militaires soupçonnés d'abriter des soldats impliqués dans la tentative de coup d'Etat du mois de mai 2015. Officiellement, les forces nationales de défense disent ne pas connaître les motivations des déserteurs et s'apprêtent à lancer des avis de recherche.
« Nous leur laissons huit jours – jusqu’à mardi prochain - pour se présenter, avant de lancer un avis de recherche », a expliqué le colonel Gaspard Baratuza, porte-parole de l'armée, ajoutant ne pas connaitre les motifs de ces désertions.
L'absence du major Ndayikeza, commandant en second du camp Muha, n'a été officialisée que lundi, même si c'est au cours du week-end précédent qu'il a disparu.
« C'était un ex-FAB [ex-Forces armées burundaises dominées par la minorité tutsi contre lesquelles se battaient les rébellions hutus et notamment le CNDD-FDD de Pierre Nkurunziza]. Il en avait marre de voir ses frères d'armes persécutés et accusés de tout », a expliqué un proche.
« Il y a eu des mois de vexations, de harcèlement, des fouilles, des arrestations. Et même les officiers qui sont restés loyaux en ont marre », a ajouté ce proche.
« Qui trahit véritablement la patrie ? »
Un autre officier, Edouard Nshimirimana, lieutenant colonel en charge du bureau des transmissions à l’Etat-major, s'est lui aussi évanoui dans la nature. Il est, quant à lui, issu de l'ex-rébellion.
« Un officier a été arrêté le vendredi 25 septembre pour avoir distribué des armes à un civil et on pense que les deux autres étaient de mèche avec lui et ont préféré fuir », a ainsi justifié une source sécuritaire, avant d’ajouter que certains militaires préféraient « se vendre à l'étranger » plutôt que de rester des patriotes.
« Ils répriment toute voix dissidente ; menacent la paix pour leurs seuls intérêts. Qui trahit véritablement la patrie ? », rétorque un jeune officier toujours en poste.
L'armée burundaise a entretemps démenti l'information selon laquelle le chef du bureau des transmissions à l'Etat-major serait parti avec du matériel. Des sources militaires, citées par Voice of America, ont affirmé qu'il a quitté son poste en emportant les équipements de décryptage des messages radio.
http://www.rfi.fr/afrique/20151003-burundi-demission-responsables-armee-camp-muha-chef-etat-major-ndayikeza-edouard-n-0 | |
| | | augusta General de Division
messages : 8293 Inscrit le : 18/08/2010 Localisation : canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Ven 11 Mar 2016 - 13:09 | |
| - Citation :
- New Deputy General Director of Burundi National Intelligence Service
March 11, 2016
The Senate of Burundi unanimously approved Tuesday [March 8], the new deputy general director of the National Intelligence Service (SNR) in the person of the Police Commissioner Joseph Ndimunkwege. He will be replacing the police commissioner Joseph Ndayizamba. Police Commissioner Ndimunkwege is a Tutsi originally from Kayokwe common in Mwaro province.
http://www.african-defense.com/defense-news/new-deputy-general-director-of-burundi-national-intelligence-service/
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| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mar 29 Mar 2016 - 18:34 | |
| - Citation :
- 29.03.2016
L'UE vise le portefeuille du régime burundais et taille dans son aide à l'Amisom
Selon Reuters, l'Union européenne envisage de réduire son financement du contingent burundais déployé au sein de la force de maintien de la paix en Somalie pour tenter de contraindre le président Pierre Nkurunziza à ouvrir des discussions avec ses opposants.
Le contingent burundais de l'Amisom, la force de maintien de la paix de l'Union africaine, rapporterait 13 millions de dollars (11,6 millions d'euros) par an à l'Etat et 52 millions aux quelque 5 400 soldats qui le composent.
Pour chaque soldat africain envoyé en Somalie, un Etat participant à l'Amisom reçoit 1 028 dollars par mois pour sa solde et les frais logistiques, une somme payée par un fonds alimenté par l'UE. Dans le cas du Burundi, l'Etat reverserait 828$ aux soldats du contingent de l'Amisom et en conserverait 200 dollars, toujours selon Reuters.
Les fonds versés par l'UE pourraient ne plus être transférés à l'Etat burundais qui perdrait ainsi les 20% qu'il conserve actuellement. Déjà, le 14 mars, arguant d'une situation "très préoccupante", l'UE avait suspendu les financements directs à l'Etat burundais.
La baisse du financement de l'Amisom par l'UE affecte aussi le Kenya, autre contributeur en soldats de la paix. Le 23 mars, la secrétaire d'Etat à la Défense du Kenya, Raychelle Omamo, avait dénoncé la baisse (à compter du 1er février) de 20% du budget européen destiné à la force de paix africaine en Somalie et elle avait appelé l'Onu à contribuer davantage à l'Amisom.
Depuis 2004, l'UE a donné près de 1,2 milliard d'euros aux 5 pays (Kenya, Ouganda, Burundi, Nigeria, Djibouti) qui contribuent à l'Amisom.
http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2016/03/29/burundi-15909.html | |
| | | augusta General de Division
messages : 8293 Inscrit le : 18/08/2010 Localisation : canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Lun 11 Avr 2016 - 11:07 | |
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| | | augusta General de Division
messages : 8293 Inscrit le : 18/08/2010 Localisation : canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Lun 25 Avr 2016 - 11:34 | |
| - Citation :
- AMISOM: African Union Mission to Somalia
April 22, 2016
“The African Union (AU) mission to Somalia is likely DOA ‘dead on arrival’ for reasons beyond the control of well-meaning African countries like Uganda and Burundi that have pledged troops to help stabilize the impoverished nation racked by 15 years of vicious factional warfare.”
I penned that brutal assessment in a newspaper article on February 20, 2007, in response to news that the United Nations Security Council had authorized an African peacekeeping mission to Somalia. The pessimistically scathing article, which appeared in the New Vision newspaper in Uganda, came two weeks before the first troops from Uganda set foot in Somalia on the morning of March 6, 2007. While I turned to other issues, the troops never forgot my dire prediction that they would perish on arrival in Mogadishu. Three and half years later, in August 2010, AMISOM commanders invited me to Mogadishu to remind me that not only did the mission survive that first day in Mogadishu, but made gains confronting the insurgency in Mogadishu.
So, with egg on my face, I began researching why my prediction fell flat. The result of that effort is contained in my new book, Black Hawks Rising (Helion & Company Publisher, UK, April 2016). In it, I follow the background politics that led to the formation of AMISOM, and how AMISOM transformed what I imagined would be a disaster into, arguably, the most successful African-led mission in the history of conflict interventions on continental Africa.
Understandably, hindsight negatively influenced my view on how AMISOM would fare in Somalia. One of the factors that caused the catastrophic failure of the US-led United Task Force (UNITAF), later replaced by United Nations Operation in Somalia (UNOSOM II) mission in 1993-1995 was the lack of clarity of the mission. Ostensibly a humanitarian mission to help clear the path for food aid to reach starving Somali people in the countryside, UNOSOM II soon morphed into a peacemaking agenda requiring international troops to disarm various Somali militias, the largest led by General Faraah Aidid. The inevitable clashes pitted international troops against Somalia militias. The Somali militias won.
For AMISOM to succeed where others failed, it was critical that from the outset the goal of the mission was crystal clear to everyone at the UN and AU, and from the top commanders to the lowest rank and file. What exactly was the mission supposed to accomplish? For its part, the United Nations Security Council Resolution 1744 of February 20, 2007, unanimously mandated AMISOM under Chapter 7 with the authority to “take all measures, as appropriate, to carry out support for dialogue and reconciliation by assisting with the free movement, safe passage and protection of all those involved in a national reconciliation congress involving all stakeholders, including political leaders, clan leaders, religious leaders and representatives of civil society.”
Yes, the mission could use force, but left unclear were the circumstances of when. As I wrote then, “What are the multinational [African] troops supposed to do once bullets start flying from all sides?” Already, even in those early days, Ethiopian National Defence Forces (ENDF) were taking a lot of fire from the insurgents that seemed to sprout overnight after the ENDF entered Mogadishu in December 2006.
Indeed, mortar shells fired by insurgents rudely interrupted the welcome ceremony for AMISOM troops at Aden Abdulle Airport on March 6. Under the prevailing conditions of extreme hostility, dialogue between the various Somali groups was not possible. From March 2007 to early 2009, even as it took almost daily fire from insurgents, AMISOM troops were mostly content with remaining bunkered in the immediate vicinity of Aden Abdulle Airport, Mogadishu Seaport, Kilometer 4 (KM-4) junction at the city center, and the presidential palace at Villa Somalia. AMISOM spokesman at the time, Major Barigye Ba-Hoku perfectly encapsulated the stay-out-of-trouble unwritten rule of engagement (ROE), explaining that “insurgents could have a party in front of our gate and we couldn’t do anything unless they attacked us first.”
With the appointment of General Nathan Mugisha as force commander in April 2009, however, AMISOM began to actively transform into a peacemaking mission. Mugisha, a veteran of Uganda’s bush war against the Lord’s Resistance Army (LRA), believed in creating “breathing space” for the mission to carry out its mandate and, accordingly, interpreted UNSC 1744 more generously in favor of taking pre-emptive military initiatives against the insurgents. The twin bombing of AMISOM’s base at Halaane on September 17, 2009, that killed 17 soldiers including Burundi’s Major General Juvenal Niyoyunguruza, was a key turning point for the mission.
From what was mostly seen as a classic peacekeeping mission, with troops rattling around in white vehicles, trying to secure agreements among the warring Somali parties without themselves getting drawn into the conflict, the AU troops confronted the insurgents, actively controlling the environment in Mogadishu. In August 2010 al-Shabaab launched the Ramadan offensive meant to push AMISOM out of the city altogether. Instead, the African troops took the fight to the insurgents, wresting away key areas of Mogadishu, forcing al-Shabaab to withdraw from Mogadishu in the early morning of August 6, 2011. Shortly after, the campaign was launched to expand the area of control to the rest of Somalia beginning September 2011 to September 2014.
There were other factors at play that gave AMISOM a fighting chance, setting it for success rather than utter failure. The responsive and flexible international support, notably from the US, European Union and the UN, was a huge boost. Unlike other African-led missions, AMISOM was not hobbled by lack of resources and equipment. On May 26, 2009, the Security Council took the boldest step by passing resolution 1872 which guaranteed a logistical support package of equipment and services for the mission, and encouraged members to contribute to the United Nations Trust Fund for AMISOM. The funds and corollary support were to be administered by the UN Support Office for AMISOM based, at first, in Nairobi and subsequently moved to Mogadishu. It was the boost AMISOM needed to transform into a robust force capable of taking on al-Shabaab.
The United States, a powerful member of the UN Security Council, meanwhile was an unrelenting cheerleader and lobbyist for AMISOM. Although no fan of big UN-style peacekeeping that tended to balloon in cost overruns, the US was decidedly in support of AMISOM from the beginning. Presumably, the administration of President George W. Bush felt partly responsible for the Somali debacle following the Ethiopian invasion, which it supported. Whatever the motivation, the US State Department guided many of the Security Council resolutions on AMISOM, steering debates in different fora including the International Contact Group to round up support and resources for the mission from reluctant or indifferent members. Where fierce US opposition doomed AMISOM’s predecessor, the Inter-Governmental Authority on Development Peace Support Mission to Somalia in 2005, now American support was the crucial ingredient for the success of AMISOM.
Furthermore, when it came to supporting AMISOM, the AU, too, showed signs of renewed energy. The Peace and Security Council, a little known AU department, was instrumental in developing AMISOM and, in turn, showcasing the capabilities to pull together the experiences, skills and expertise required to manage and support a peace mission of this magnitude. Under the leadership of Algerian diplomat Said Djinnit, the department oversaw the creation and deployment of AMISOM in 2007. On March 6, 2007, the first day AMISOM deployed to Somalia, Ambassador Djinnit brimmed with optimism as he welcomed into his office in Addis Ababa, Somalia representative to the AU, Abdikarin Farah, for the signing of the status of mission agreement. Djinnit expressed confidence that other AU members would step forward quickly to contribute troops to support the mission.
While that did not happen by the time Djinnit departed from the role a year later, it did not stop his successors from working to increase support for the mission. Djinnit’s successor Ambassador Ramtane Lamamra, also an Algerian oversaw AMISOM’s transformation from a benign peacekeeping mission to a robust and lethal peacemaking forces that took on Somali insurgents. Under Ambassador Lamamra’s five-year leadership, the AU Peace and Security Council grew into a finely tuned bureaucracy making quick decisions at short notice, pulling together various stakeholders and troops contributing countries under one roof in Addis Ababa, writing critical reports on AMISOM’s progress in the field, liaising with various AU members, and keeping connected with the all-important United Nations Security Council on whose directives AMISOM was being funded and provided the resources it needed to do its work.
On October 12, 2013 in Addis Ababa, following his appointment as the Foreign Minister of Algeria on 11 September 2013, Ambassador Lamamra was succeeded by, yet another Algerian, Ambassador Smail Chergui. At the helm Ambassador Chergui supported AMISOM’s coordination of and training of Somali troops and police.
Perhaps one of the least acknowledged factors that contributed to the success of the AMISOM mission was the quality of the leadership that Uganda People’s Defence Forces (UPDF) provided in laying the foundation for the later stages of the campaign to defeat the insurgents. Troops from Uganda were mostly experienced veterans of the war in northern Uganda and, in some cases, were fresh off combat with the LRA. Although, at first, handicapped by restrictive rules of engagement, Uganda troops were not afraid to engage the insurgents. Following the lead of Uganda troops, Burundi troops began to fashion their own unique way of countering the attacks.
More importantly, with its emphasis of reaching the mind and hearts of the Somali population, Ugandan troops set the doctrinal tone for troops from other nations. An anecdotal story that grew into a myth occurred on the fourth day after the UPDF landed in Mogadishu. Commanders of Ugandan troops were confronted with a dilemma—what to do with a civilian child stricken with cholera, and brought into the army base for treatment. The UN and AU rule forbade use of medicine meant for troops to treat civilians. In the end, the commanders fell back on their training that demanded that civilians get the same care as troops. The child was treated and, when his family returned home with the cured child, news spread and, the next morning, hordes of Mogadishu sick invaded AMISOM camp. Ugandan senior commanders decided to open an outpatient clinic for civilians that, in time, treated patients from all over Somalia.
Obviously, the humanitarian gestures shown by AMISOM bought huge goodwill from the population that began providing valuable human intelligence on the activities of the insurgents. AMISOM-run clinics became part of the military campaign to defeat the insurgents, treating new patients in every town that fell under the control of the continental force.
But there were many painful setbacks. Some of the high casualties that AMISOM absorbed in recent months, for example, were avoidable. The attacks on Burundi troops in Leego on June 26, 2015, on Uganda troops in Janaale on September 3, 2015 and on Kenyan troops based at El Adde on January 15, 2016 followed the same pattern—an early dawn suicide explosion at the gate to the AU detachment, followed by insurgent fighters swarming over the perimeter. In Leego, Burundi troops were performing early morning worship when the attack began, catching many without weapons.
Despite these setbacks, the many visits over the years to Somalia to research Black Hawks Rising, convinced me that with time, skills, experience, commitment and resources, AMISOM is mostly successful. As a template on which to model future continental, even global peacemaking missions, AMISOM offers enormous learning opportunity. Over time, supported by committed UN leadership, the firm support of international partners including the EU, AU and permanent members of UNSC like the US, and the strong leadership of the commanders and troops on the ground, the mission evolved, bringing clarity to what needed to be accomplished. Somalia is a much better place today than it was in March 2007.
Born and raised in Gulu in northern Uganda, Opiyo Oloya is an educator, researcher and published author. He completed his BA Hons and Bachelor of Education at Queen’s University, Kingston; M.ED at University of Ottawa and PhD at York University. His book, Child to Soldier, was the culmination of research conducted among Acholi children abducted by the LRA in northern Uganda.
http://www.african-defense.com/defense-news/amisom-african-union-mission-to-somalia/
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| | | augusta General de Division
messages : 8293 Inscrit le : 18/08/2010 Localisation : canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mar 26 Avr 2016 - 11:49 | |
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| | | augusta General de Division
messages : 8293 Inscrit le : 18/08/2010 Localisation : canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Sam 21 Mai 2016 - 10:33 | |
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| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Mar 5 Juil 2016 - 20:26 | |
| RIP - Citation :
- 5 juil 2016
Un hommage ému de la MINUSCA à deux de ses serviteurs de la paix
La MINUSCA a rendu un dernier hommage, ce mardi 5 juillet à son quartier général à Bangui, au Caporal-Chef Albin Ndayisenga du contingent burundais décédé le 28 juin 2016 des suites de maladie, et à Faustin Wabona, assistant administratif au bureau de l’adjoint au Commissaire de la Police de la MINUSCA, décédé le 30 juin 2016, également des suites d’une courte maladie.
Hommage ému de la grande famille de la MINUSCA venue nombreuse pour saluer une dernière fois ces deux serviteurs de la paix.
Le Chef du contingent burundais, saluant la mémoire de Albin Ndayisenga, a évoqué la disponibilité d’un homme qui « se donnait corps et âme à l’exécution des missions qui lui étaient confiées. »
Le Commissaire de Police de la MINUSCA, Luis Carrilho, a, quant à lui, salué en Faustin Wabona, un « homme respectueux, disponible et professionnel » dont la « gentillesse » manquera beaucoup à ses collègues, venus d’ailleurs nombreux lui faire leurs adieux.
Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies et Chef de la MINUSCA, Parfait Onanga-Anyanga, s’inclinant à son tour devant la dépouille de ces deux serviteurs de la Mission, a parlé de « personnes qui ont marqué leur vie par la qualité de leur travail et de leur engagement » avant de rappeler que ce sont là « les seuls moments où nous sommes rappelés à la réalité de notre vulnérabilité et de notre précarité… » Puis il dira à l’adresse des familles et des amis des défunts : « l’Organisation sera à jamais reconnaissante pour le service honorable rendu par ces collègues ».
Le Caporal-Chef, Albin Ndayensinga est né le 1er janvier 1971 ; il rejoint la MINUSCA le 18 juin 2015. Il laisse derrière lui une veuve et trois enfants.
Quant à Faustin Wabona, il est né le 20 janvier 1970 ; il entre dans la Mission le 1er juin 2015 et laisse derrière lui une compagne et trois enfants.
http://minusca.unmissions.org/un-hommage-%C3%A9mu-de-la-minusca-%C3%A0-deux-de-ses-serviteurs-de-la-paix | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi Sam 23 Juil 2016 - 21:59 | |
| - Citation :
- Deux bataillons burundais terminent avec succès une année de service en Somalie
Accueil › ACTUALITES › Deux bataillons burundais terminent avec succès une année de service en Somalie MOGADISCIO – Les troupes burundaises des 32ème et 33ème bataillons sont en train de rentrer après une année passée en Somalie, dans le cadre de la Mission de l’Union Africaine en Somalie (AMISOM).
Le premier lot des 1891 soldats a quitté la Somalie jeudi dernier tandis que d’autres vont quitter le pays au cours de cette semaine.
“Nos relations avec l’Armée Nationale Somalienne ont toujours été bonnes parce qu’on partageait des informations sur l’ennemi – Al-Shabaab. En outre, lors des patrouilles de reconnaissance, nous étions ensemble. Et c’est l’Armée Nationale Somalienne qui nous aidait pour surmonter la barrière linguistique. Ce sont eux qui nous ont dit les noms des localités, ils nous donnaient des informations et ils nous ont appris à communiquer avec les populations somaliennes”, a déclaré le commandant du 32ème Bataillon, le Major John Manirakiza.
Le Major Richard Nikoyagize, commandant du 33ème Bataillon, a attribué le succès des troupes burundaises à leur haut niveau de discipline et aux bonnes relations de travail avec l’Armée Nationale Somalienne.
Le Burundi est l’un des pays qui fournissent des contingents à l’AMISOM, chargés d’aider le Gouvernement Fédéral de la Somalie à vaincre le groupe militant Al-Shabaab. D’autres pays contributeurs de troupes sont Djibouti, l’Ethiopie, le Kenya et l’Ouganda.
Les Forces de Défense Nationale du Burundi sont chargées de maintenir la sécurité dans le Secteur 5, où se trouvent des endroits comme El Baraf, Mahaaday, Balcad, Helman, Walshiq et Quorolow. Les troupes burundaises sont également présentes dans le Secteur Kismayo, dans le cadre d’un déploiement militaire multinational.
Les troupes burundaises ont participé dans divers projets dans les zones libérées, y compris la fourniture de services médicaux et de l’eau potable aux communautés vulnérables.
http://amisom-au.org/fr/2016/07/burundian-battalions-conclude-successful-yearlong-tour-of-duty-in-somalia/ | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41823 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
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| Sujet: Re: Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi | |
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| | | | Forces armées du Burundi / National Defence Force of Burundi | |
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