Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

Fahed64 a écrit:

Voila le problème avec les maghrébins en générale, dès que l'on a de la tune il faut que la terre entière le sache

Citation :

Selon Threatpost, un site spécialisé en sécurité informatique, Hamza Bendelladj aurait réussi à détourner pas moins de 100 millions de dollars. Une rente qui a permis au jeune homme de mener un train de vie des plus luxueux, ne se privant pas de voyager en première classe, avait même indiqué un responsable de la police thaïlandaise lors de son arrestation.

la frime hbibi c'est normal

@ atlasonline ...pourquoi tu m'as entendu faire des you you ...ou tu vois ma fierté ...pour l'article c'est une info comme d'autre
et crois moi il ne risque rien...l'oncle sam va le récupérer et avec un gros salaire et nouvelle identité en plus
les us respectent l'intéligence même voleuse

Yakuza a écrit:

et dire qu´il y´a des moutons qui croient les discours de ces bras cassés  

c'est pour ça que j'ai ajouté le commentaire plein de bon sens d'un lecteur.
en effet le tight oil, n'est qu'une huile que l'on extrait a la facon du gaz de schiste :
http://www.legazdeschiste.fr/focus-technique/04102012,qu-est-ce-que-l-huile-de-schiste-,121.html

un peu comme les rallonges (élevée) budgétaires qui ne sont là que pour compenser l'érosion du dinar (et c'est le cas dans tout les pays qui importent tout). Beaucoup croient à l'explosion du budget de défense, alors que les rallonges ne servent en partie qu'à compenser la dévaluation du dinar (car tout se paye en U$D).

pour info : si le dinar a perdu 35% depuis début 2009, à dinar constant et sans faire evoluer les budgets, l'etat algerien doit allonger 35% de plus pour obtenir la même chose...tout ça a cause d'une inflation non maitrisée.
je lis trop d'article de gamin qui se gaussent d'une hausse du budget (défense), sans se rendre compte que ces hausses épongent à peine l'inflation et qu'in fine, c'est surtout le signe d'une perte nette de richesse pour le pays.

A lire : http://www.reflexiondz.net/Monsieur-le-gouverneur-de-la-banque-d-Algerie-Il-n-y-a-pas-de-difference-entre-glissement-et-devaluation-du-dinar-pour_a16457.html

Citation :

En résumé, la sécurité nationale est posée car tenant compte des extrapolations d’exportation et de la consommation intérieure (ménages et projets futurs) dans 16 ans, l’Algérie sera importatrice de pétrole et dans 25 ans, importatrice de gaz. Alors la population algérienne approchera les 45/50 millions d’habitants sans hydrocarbures

PGM

même au taux de change actuel le budget de la défense algérienne est 3 fois plus élevé que celui du Maroc
Alors que le budget général d'Alger est 1.3 fois plus élevé que celui du Maroc
ce qui prouvent que les priorités du Maroc sont ailleurs

un nouveau scandale de corruption se prépare  cette vidéo fait le tour de la blogosphère algérienne  


@PGM très bonne analyse  l'histoire de la dévaluation avec la hausse du budget de l'Etat  tu ajoute que dernièrement ils n’arrêtent pas de marteler " on serre la ceinture "

Encore une bizarrerie dont les algériens se passeraient bien :

http://www.algerie-focus.com/blog/2013/10/pourquoi-lalgerie-donne-plus-dargent-a-ses-moudjahidine-qua-sa-justice-et-son-agriculture/

Pgm

Citation :

quel avenir pour l’économie algérienne ?

L’Algérie jouit d’une aisance financière confortable dans ses relations avec le reste du monde, puisque son stock de réserves de devises déposées à l’étranger couvre 40 mois d’importations. Mais son économie demeure, plus que jamais, dépendante et volatile.

Dans ses échanges avec le reste du monde, l’Algérie s’appuie sur les exportations d’hydrocarbures à près de 100% pour financer sa balance des paiements, alors que la fiscalité pétrolière et les autres revenus tirés de ces mêmes exportations représentent près de 75% des recettes budgétaires totales. Ceci, face à une baisse tendancielle confirmée des réserves de pétrole et de gaz et de leur production, en même temps qu’une augmentation sensible de la consommation nationale d’énergie et une augmentation importante des importations de biens et services.

En plus de la dépendance des hydrocarbures, il y a la dépendance alimentaire, puisque 75% des calories consommées par les Algériens sont importées. C’est une économie volatile. L’évolution des paramètres d’exploitation des hydrocarbures est très inquiétante. Durant la décennie 2000-2010, les réserves de pétrole restantes ont baissé de -7,4%. Celles du gaz de -35,7%. La production est en baisse tendancielle depuis 2006. Alors que la consommation interne a augmenté sur la même décennie de 77% pour le pétrole et 36,5% pour le gaz.

Il faut noter le décalage important entre les déclarations officielles et les résultats enregistrés. En janvier 2006, le ministre de l’Energie annonçait la production de 100 millions de tonnes de pétrole et l’exportation de 85 milliards de mètres cubes de gaz en 2010. Les chiffres enregistrés sont de 65,3 millions de tonnes de pétrole produites et de 57,3 milliards de mètres cubes de gaz exportés.
Les importations de marchandises sont passées de 9,48 milliards de dollars en 2001 à 45,10 milliards de dollars en 2011, alors que celles des services (transports à l’étranger, assistance technique, grands travaux, salariés étrangers…) sont passées de 2,44 milliards de dollars en 2001 à 12,30 milliards de dollars en 2011, soit une augmentation de 500%. La volatilité est confirmée par l’entrée dans l’amenuisement de la rente.

La production totale d’hydrocarbures est tombée de 85,60 millions de tonnes en 2006 à 71,30 millions de tonnes en 2011, soit une baisse de -16,7%. Les exportations sont passées de 73,80 millions de tonnes à 57,90 millions de tonnes, soit une baisse de -25,6% sur la même période. Cette baisse de volume ne s’est pas répercutée sur la valeur des recettes d’exportations grâce à l’augmentation des prix qui a atteint 70%, passant de 65,85 dollars par baril en 2006 à 112 dollars en 2011. Mais si les prix ont augmenté de 70%, les valeurs d’exportation n’ont augmenté que de 33,7%, confirmant ainsi la baisse de la production et l’augmentation de la demande nationale d’énergie.

Qu’en sera-t-il en 2016 ? Si nous faisons l’hypothèse de la même tendance enregistrée durant les cinq années, de 2006 à 2011, le volume de production totale d’hydrocarbures se situerait, en 2016, à 59 millions de tonnes et celui des exportations à 43 millions de tonnes. C’est une hypothèse qui devrait être considérée comme optimiste puisqu’elle suppose qu’il n’y aura pas de dégradation dans la gestion des affaires publiques. Pour maintenir les équilibres budgétaires, il faudrait un prix de baril à 190 dollars en 2016 !

Doit-on continuer à hypothéquer l’avenir de la nation algérienne en pariant sur l’augmentation des prix à l’exportation ? Ceci dans un contexte caractérisé par des augmentations importantes des dépenses budgétaires. Le budget de fonctionnement était en augmentation de 50% en 2011 par rapport à celui de 2010. De même, la baisse sensible des exportations en volume des hydrocarbures. Tout ceci, dans le contexte d’une baisse des réserves d’hydrocarbures restantes.
Bien entendu, on peut avancer l’argument de l’exploitation de pétrole et de gaz non conventionnels, gaz de schiste, notamment. Qu’en est-il ?

Cette exploitation n’aura de sens que si elle s’inscrit dans une stratégie de transition énergétique bâtie sur un système équilibré et durable que procurent les sources d’énergie renouvelables : solaire, conversion d’hydrogène, etc. Il serait hasardeux pour l’avenir de la nation, de remplacer l’utilisation des ressources non renouvelables par d’autres ressources non renouvelables, sans l’inscrire dans une nouvelle stratégie globale de développement ! Le défi est énorme.

D’abord, trouver de nouvelles sources énergétiques pour satisfaire la demande nationale ainsi que de nouveaux moyens de financer les importations et le budget de l’Etat. Ensuite, réussir la transition énergétique par la décentralisation de l’énergie comme source de bien-être de proximité, créant ainsi une société stable, indépendante, équilibrée et une occupation optimale du territoire. Aussi, l’exploitation de ces nouvelles sources d’énergie comme moteur de développement technologique de pointe, maîtrisé par les compétences nationales.
Pour définir une politique d’exploitation d’hydrocarbures non conventionnels, il faudrait disposer d’informations fiables sur les ressources en place qui dépendent de la géologie ; sur les ressources techniquement recouvrables qui dépendent de la technologie ; sur les ressources économiquement recouvrables qui dépendent du calcul économique. Sans négliger les contraintes environnementales.

Si nous n’avons pas d’inquiétude sur les ressources en place, leur exploitation technique et économique est loin d’être rassurante. Il faut noter le déclin rapide de la production de ce type de forages en vertical et en horizontal. La production de la deuxième année d’exploitation ne représente plus que 30% de celle de la première année ; celle de la troisième année 20%. Autrement dit, à partir de la troisième année, ces forages ne produisent que moins du cinquième de la production de la première année. Le coût d’achat de ce type de forage est au moins cinq fois plus élevé que celui des forages verticaux actuels.

Reste la contrainte technologique la plus importante : la disponibilité à la vente de ce type de forages. Une fois leur utilisation généralisée à travers le monde, il faudra en produire une quantité importante. L’industrie ne pourra pas faire face, d’où le renchérissement prévisible des prix de vente et les longues listes d’attente sur la livraison.

Sur le plan économique, lorsque l’Algérie sera capable de dépasser la contrainte technologique, les hydrocarbures seront exploités dans une grande partie des pays à technologie plus avancée que nous, en Europe, en Amérique et en Asie. Les produits pétroliers seront disponibles partout dans le monde. Avec une offre importante, les prix de vente seront bas, alors que les coûts de production seront élevés. Nous sortirons alors de la situation de la rente pour entrer dans celle de l’autosuffisance dans le meilleur des cas. Où trouver les ressources pour financer les importations alimentaires et le budget de l’Etat, qui ne peuvent qu’aller en augmentation sans une refondation fondamentale de notre économie ? La rente ne sera plus là ! Nous sommes bien installés dans l’étape d’amenuisement de la rente ! C’est l’hypothèque sur l’avenir de la nation.

Ahmed Benbitour

El Watan

Citation :

Le britannique BP gèle ses projets d’expansion dans le gaz en Algérie

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2520-consequence-d-in-amenas-le-britannique-bp-gele-ses-projets-d-expansion-dans-le-gaz-en-algerie

Citation :

Chute du dinar : la Banque d’Algérie laisse entendre que la baisse n’est pas finie

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2516-chute-du-dinar-la-banque-d-algerie-laisse-entendre-que-la-baisse-n-est-pas-finie

PGM

PGM a écrit:

Encore une bizarrerie dont les algériens se passeraient bien :
http://www.algerie-focus.com/blog/2013/10/pourquoi-lalgerie-donne-plus-dargent-a-ses-moudjahidine-qua-sa-justice-et-son-agriculture/

parceque les "moujahidin" chez eux ne disparraissent pas comme le voudrait la nature ca se multiplie a minuit comme les gremlins   chaque année de nouvelles promotions

je crois qu il paie les enfants, petits enfants, arriere petit enfant  

Alloudi a écrit:

je crois qu il paie  les enfants, petits enfants, arriere petit enfant  

veuve et enfants de chouhadas.
Les moudjahidins ont droit à bcp d'avantage.
Mais le nombre est biensur gonflé par des sois disant moudjahid.

mirage a écrit:

même au taux de change actuel le budget de la défense algérienne est 3 fois plus élevé que celui du Maroc
Alors que le budget général d'Alger est 1.3 fois plus élevé que celui du Maroc
ce qui prouvent que les priorités du Maroc sont ailleurs

il y a d'autres éléments a prendre en compte. Un tel budget en algerie, n'est pas perenne. Et c'est tout simplement dû au fait qu'Alger paye cash. Ils ne lissent pas la dépense comme nous, sur 5/10 ans. Donc les années de grosses prises de livraisons, les décaissement sont élevés.
Et ce budget, comme pour toutes les passations de marché, doit inclure des commissions non négligeables.

PGM

PGM a écrit:

mirage a écrit:

même au taux de change actuel le budget de la défense algérienne est 3 fois plus élevé que celui du Maroc
Alors que le budget général d'Alger est 1.3 fois plus élevé que celui du Maroc
ce qui prouvent que les priorités du Maroc sont ailleurs

il y a d'autres éléments a prendre en compte. Un tel budget en algerie, n'est pas perenne. Et c'est tout simplement dû au fait qu'Alger paye cash. Ils ne lissent pas la dépense comme nous, sur 5/10 ans. Donc les années de grosses prises de livraisons, les décaissement sont élevés.
Et ce budget, comme pour toutes les passations de marché, doit inclure des commissions non négligeables.

PGM

Non PGM l'algérie ne paye pas cash ses grosses commandes ...le tout est étalé sur toute la période de livraison...(rappeles-toi de l'épisode des mig 29 smt quand l'algérie a bloqué le payement).

pour les SMT, ça procèdait d'une annulation de dette par la russie en échange d'un package :

Citation :

Le contrat pour la livraison de 28 chasseurs Mig-29SMT et 6 avions d’entraînement Mig-29UBT à l’Algérie pour plus de 1,27 Mds US$ avait été signé fin janvier 2006 et était entré en vigueur en mars 2006 lors de la visite du président Poutine. A cette époque, la Russie avait accepté d’annuler une dette algérienne de 4,7 Mds US$ en échange de l’achat d’armements pour une valeur équivalente. Le contrat pour les Mig-29 n’était qu’une partie d’un important package d’armements qui comprenait également 28 chasseurs multiroles Su-30MKI(A) pour 1,5 Mds US$, 16 avions d’entraînement Yak-130 pour 200 M US$ (l’Algérie en devenant le premier client export), environ 8 systèmes sol-air S-300PMU-2, 185 chars T-90S, un système sol-air Pantsyr-S1 ainsi que le maintenance et la modernisation de blindés et navires.

il me semble que depuis alger a remboursé par anticipation toutes ses dettes et n'en avait pas créer de nouvelles.

PGM

Citation :

Le groupement Petrofac-Bonatti réalisera une usine de gaz pour 668 millions de dollars en Algérie

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2524-le-groupement-petrofac-bonatti-realisera-une-usine-de-gaz-pour-668-millions-de-dollars-en-algerie

Citation :

Cevital acquiert une usine d’aluminium en Espagne

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2528-il-compte-y-investir-20-millions-d-euros-cevital-acquiert-une-usine-d-aluminium-en-espagne

Citation :

Présidentielles 2014 : un premier parti politique annonce son soutien à la candidature de Benflis

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2533-presidentielles-2014-un-premier-parti-politique-annonce-son-soutien-a-la-candidature-de-benflis

Citation :

Les députés français recommandent davantage d'étudiants et de visas pour les Algériens

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2535-ils-appellent-a-plus-d-echanges-avec-alger-les-deputes-francais-recommandent-davantage-d-etudiants-et-de-visas-pour-les-algeriens

Citation :

Sellal : « Le changement est nécessaire, mais pas de façon anarchique »

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2523-sellal-le-changement-est-necessaire-mais-pas-de-facon-anarchique

Citation :

Le rôle de l’Algérie dans la région a été "sous-évalué" (Parlement européen)

http://www.aps.dz/Le-role-de-l-Algerie-dans-la,128348.html

Citation :

Livraison de 680 bus de transport scolaire en mars prochain (ministre)

http://www.aps.dz/Livraison-de-680-bus-de-transport.html

PGM a écrit:

pour les SMT, ça procèdait d'une annulation de dette par la russie en échange d'un package :

Citation :

Le contrat pour la livraison de 28 chasseurs Mig-29SMT et 6 avions d’entraînement Mig-29UBT à l’Algérie pour plus de 1,27 Mds US$ avait été signé fin janvier 2006 et était entré en vigueur en mars 2006 lors de la visite du président Poutine. A cette époque, la Russie avait accepté d’annuler une dette algérienne de 4,7 Mds US$ en échange de l’achat d’armements pour une valeur équivalente. Le contrat pour les Mig-29 n’était qu’une partie d’un important package d’armements qui comprenait également 28 chasseurs multiroles Su-30MKI(A) pour 1,5 Mds US$, 16 avions d’entraînement Yak-130 pour 200 M US$ (l’Algérie en devenant le premier client export), environ 8 systèmes sol-air S-300PMU-2, 185 chars T-90S, un système sol-air Pantsyr-S1 ainsi que le maintenance et la modernisation de blindés et navires.

il me semble que depuis alger a remboursé par anticipation toutes ses dettes et n'en avait pas créer de nouvelles.

PGM

l'annulation de la dette n'est pas spécifique au contrat des smt mais décidée pour une commande générale qui avoisinait les 7 milliards $ ( ou 3 milliards si tu déduits la dette ).
mais pour revenir au cash non jamais .... ( la même chose a été appliquée avec les allemands et les italiens ) ...
d'ailleurs à la fin de toutes ces livraisons en 2017 ..le budget défense amorcera une baisse considérable ...ce qui explique que le payement de ces commandes faites à partir de 2009 était bel et bien étalé

Ok merci. On se rejoint sur le point que c'est bien les prises de livraison qui explique un tel budget ( 23% du budget de l'état tout de même) et qu'il ne peut être pérenne.

Pgm

Citation :

ELLE RÉCLAME À L'ALGÉRIE LE FICHIER ÉLECTORAL À LA VEILLE DE L'ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE
Le chantage de l'Union européenne
http://www.lexpressiondz.com/actualite/183638-le-chantage-de-l-union-europeenne.html

The economist.

Citation :

Algeria
Patience persists
The country sorely needs change, but its people are nervous of demanding it
Nov 2nd 2013 | ALGIERS |From the print edition

THE drive from Ghardaia, a gateway to the Sahara, to Oran, Algeria’s second city that lies 660 kilometres (410 miles) to the north-west on the Mediterranean coast, is resplendent. The sun beats down on a rolling, pristine landscape. No factories disturb the view. To the visitor it is a beautiful sight. But to many of Algeria’s 38m people it illustrates a woeful lack of development. By some counts the country has the world’s 13th-biggest foreign-currency reserves. It has vast natural resources, mainly of oil and gas. And it has a well-educated, youthful people. But the overwhelming mood is one of frustration.

The government is spending $286 billion over five years to build new schools, roads and hospitals in an attempt to create jobs by diversifying the economy away from oil and gas, which provide the bulk of state revenues. But the effort is stumbling. The unemployment rate may be as high as 40%. Many of Algeria’s 1.5m students will fail, when they graduate, to work in the field for which they have been trained. Algeria imports almost all its basic goods. “I want to leave” is the standard reply to questions about plans for the future, from modern-minded youngsters in the chic French patisseries of the capital, Algiers, to humbler types in their simple homes in Ghardaia.
In this section

Across the country, Algerians complain about corruption. A scandal involving bribes at Sonatrach, the dominant state-owned oil company is particularly aggravating. But many cases are not properly investigated since they involve families at the top, who are assumed to make huge profits out of infrastructure projects. It was recently reported that a new motorway overran its costs by billions of dollars. “Where did all the money go?” asks Rachid Tlemçani, a prominent analyst.

The views of ordinary Algerians on such matters make little difference. The country is ruled by Le Pouvoir (The Power), a cabal of decision-makers who fought for independence from France in 1962. They are not as harsh as some of their counterparts in the region. But they are no more willing to cede power.

While Algeria’s 76-year-old president, Abdelaziz Bouteflika, was in France from April until July, getting treatment after a stroke, a growing number of Algerians reckoned he was on the way out, at least from the political stage. But as soon he got back, he disabused them, promptly shuffling his government and transferring some powers from the sprawling security service to the army, whose chief of staff, General Ahmed Gaid Salah, was made a deputy minister for defence.

Though he has not been seen standing or carrying out any duties since his return in July, it seems that Mr Bouteflika may well run for another five-year term as president in April, adding to the 15 years he will have been at the helm. A vice-president acceptable to Le Pouvoir with wide-ranging authority may be appointed to take over if Mr Bouteflika is unable to serve his whole term—perhaps General Salah, or the prime minister, Abdelmalek Sellal.

So far only Ahmed Benbitour, a former prime minister who is deemed unlikely to prevail, has declared his candidacy. “Other parties are loth to put forward candidates, because they know that if President Bouteflika runs he will win,” says Amar Saadani, secretary-general of the ruling National Liberation Front, better known as the FLN. “We wait until the rulers have made their decisions behind closed doors and present them to us,” says Mr Tlemçani. “One thing is clear: there is no sign of political change.”

Not so fast

Despite the political awakening across the Arab world in the past three years, Algerians are wary of demanding change too noisily. The government, for its part, has sought to follow the Gulf monarchs’ example by concentrating more on increasing welfare payments and state salaries than on repressing dissidents. Salaries for the police and civil service have risen. The National Agency for Youth Employment Support, known by its French initials, ANSEJ, gives a cheap loan to anyone under 35 with a basic business proposal.

Conversations with young Algerians are peppered with references to “the black decade” of the 1990s, when the state fought a bloody war against extreme Islamists set off by the cancellation of the second round of elections in early 1992 after Islamists had won the first at the end of 1991. Algerians also cite the current civil war in Syria as another reason for not calling forcefully for change at home. Even in Algeria’s southern provinces, where young men have held protests against a lack of jobs, the aim is not to topple the government, says Hamdan Abdulsalam, who heads an association for the unemployed in Ghardaia.

Moreover, many—perhaps most—Algerians are grateful to Mr Bouteflika for restoring calm to Algeria after the black decade. Abuses such as torture by the security forces have apparently stopped. The media have become pretty free. The political space has slightly widened.

But the opposition is too weak to make much of a difference. The military and security men who have called the shots since the 1990s have made sure there are too many parties to present a coherent opposition front. The Islamists, who have done so well elsewhere in the region, are widely mistrusted. Foreign governments have little appetite for pressing Algeria to make reforms, preferring to co-operate with its rulers to tackle jihadists on the fringes of the Sahara who hail from such places as Libya, Mali, Niger and Tunisia. Algeria’s border with Morocco remains tightly shut.

For the time being most Algerians—at least those who cannot leave—seem prepared to wait patiently for the passing of the ageing generation that has run the country since independence. They presume that a new lot will eventually take over, loosen up politics and the economy, and bring in a more genuine multiparty system. A peaceful transition may depend on the price of oil staying high, so that people can continue to be bought off while politics and the economy stagnate. “Both the people and Le Pouvoir are putting off change because of the risks,” says Mr Benbitour. “They don’t realise that it will be harder later.”

   

http://www.economist.com/news/middle-east-and-africa/21588943-country-sorely-needs-change-its-people-are-nervous-demanding?zid=304&ah=e5690753dc78ce91909083042ad12e30

Citation :

L’Algérie aura encore des réserves importantes de pétrole pour les cinquante prochaines années (conseiller)

http://www.aps.dz/L-Algerie-aura-encore-des-reserves.html

Citation :

Habitat : M.Tebboune s’entretient avec l’ambassadeur de Turquie

http://www.aps.dz/Habitat-M-Tebboune-s-entretient.html

Citation :

Forte hausse des résultats financiers de Nedjma

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/2551-telephonie-mobile-forte-hausse-des-resultats-financiers-de-nedjma

Citation :

L’Algérie doit réduire sa production pétrolière pour préserver ses réserves (Experts)

http://www.aps.dz/L-Algerie-doit-reduire-sa.html

m. TEBBOUNE????

 

D'après African Intelligence Energy, chute importante de la production de gaz du gisement de Hassi R'Mel :

http://www.africaintelligence.fr/LAE/gaz/2013/10/29/hassi-r-mel-la-chute-d-un-geant,107992069-GRA

ils ont fini par annuler le plafonnement du carburant dans les wilaya ouest
http://www.elkhabar.com/ar/watan/364429.html

mourad prochaine fois poste les commentaire l'article n'est pas intéressant !!!  

mourad27 a écrit:

ils ont fini par annuler le plafonnement du carburant  dans les wilaya ouest  
http://www.elkhabar.com/ar/watan/364429.html

un des commentaires:

mohame
alger
2013-11-02م على 8:58
انا طالب من مغنية ادخل ابي السجن بتهمة التهريب لانه خالف تعليمت الوالي وملا الخزان ب 1000 دج من غير الولاية لان نوع سيارتي التي اخدت مني والتي كان يسوقها والدي ممنوعة من قبل المحطات بولاية تلمسان هي و 12 نوع اخر مع العلم تم القبض عليه في الطريق الرابط ما بين تلمسان ولحناية يعني بعيدا تماما عن الحدود وحكم عليه بالسجن لمدة 6 اشهر وغرامة مالية تقدر بثلاثماة مليون سنتيموهو لا علاقة له بالتهريب ولان والدي اشترالي هده السيرة اراد احد الدركيين زجي انا ايضا في السجن ودلك عندما دهبت لاستفسر امر اعتقال والدي في مدينة مغنية نعيش ضلم كبير من قبل السلطات ويتهمون الجميع بالتهريب الحدود اصبحت نقمة على اهل مغنية حسبنا الله ونعم الوكيل



Un etudiant algerien de Maghnia. son pere a été condamné pour 6 mois en prison + 300 millions de centimes algerien juste parce qu'il  a fait le plein pour son auto interdite aux stations d'essence.

et ils parlent de droit de l'homme.

hchoma

Citation :

Algeria turns off tap on Morocco's smuggled petrol trade
Decision to curtail petrol trafficking causes regional distress as Algiers tries to manage its oil resources more wisely
Donkeys are replacing pickups as they make less noise. Twice a day, at dawn and again at nightfall, the placid beasts laden with large blue cans set off along stony trails. When they reach the Algerian border they carry on alone, coming back, still unaccompanied, bearing their precious load. At Oujda, 16km inside Morocco, their return is eagerly awaited.

This summer the Algerian government moved to stop petrol trafficking, stepping up the tension on its border with Morocco's Oriental province. Only the donkeys are left to convey the vital fuel, and prices have soared. The smugglers claim that the Algerian forces even shoot at the animals, two of which were allegedly blown up recently. There is also talk of ditches being dug, "six to eight metres deep", on the other side of the border.........

http://www.theguardian.com/world/2013/oct/15/algeria-morocco-petrol-trafficking