ALGERIE -MAROC: ENTENTE DIFFICILE GUERRE IMPROBABLE

Rappel du premier message :

mirage a écrit:

on s'en fou de ce qui se passe fi L Cabina

tout à fait  

+1 mortada

tête à claques !

mox a écrit:

kabylius a écrit:

Tabrisius a écrit:

Continuez a croir a cette histoire de leaks

le Leaks est vrai justement on veut le decridibiliser pour vous faire croire que c'est pas vrai.
pour Snowden c'est different c'est un interne du systeme qui a pris la fuite avec des document, la c'est juste un pirate lambda qui a eu acces a des docu mon securisé

Oui comme l'Histoires des photos, hormis la presse poubelle DZ et les Blog Poubelle piloté par des frustrés d'Algériens personne n'en parle, même la fuite du Scénario de Jame Bond fait plus de bruit

Exactement!!!! je sais pas qui a élaboré la manoeuvre mais ils semble leur avoir promis beaucoup!!!! Je lis la presse DZ et ils sont vert et trop dégouté parce qu'aucun journaliste ou media mainstream ne reprend loeur soit disant infos detonnantes!!!

C'est une invention du makhzen, ils mentent, c'est une mascarade, une attaque a la liberté du peuple, blablabla...

Comme j'ai dis, continuez a croir a cette histoire de leaks

moulay ismaiil a écrit:

sa nationalité ?

Comme tout ce qui est anti Sahara Marocain, un sous Algériens .

Le plan de développement du GNL au Maroc est un signe fort du non maghreb et surtout un message claire à l'Algérie: "Le Maroc se détourne de vous...."

Citation :

Le Maroc investit 3,7 mrds€ dans le gaz naturel pour assurer sa production électrique

Le ministre marocain de l’Énergie a dévoilé la feuille de route du plan national de développement du gaz naturel liquéfié dédié à la production d’électricité. La première phase de ce plan, qui tourne le dos au gaz algérien, prévoit un investissement de 3,7 mrds€.

MAROC. « Le deuxième élément de notre stratégie énergétique nationale, après l’introduction des énergies renouvelables, est la réorganisation de notre bouquet fossile avec le développement du gaz naturel liquéfié », a indiqué le ministre de l’Énergie, Abdelkader Amara, mardi 16 décembre 2014, lors de la présentation de la feuille de route pour le Plan national de développement du GNL au siège du ministère, à Rabat.

Le Maroc annonce qu’il va investir 3,7mrds€ d’ici à 2025 pour produire 2 700 MWh grâce au gaz naturel. Il entend réduire sa dépendance au charbon et au pétrole et répondre à une demande en énergie électrique qui devrait croître de 6,1% à 6,2% par an entre 2014 et 2025, selon les estimations du ministère.

Rabat prévoit de construire pour 479,7 M€ une jetée adaptée dans le port de Jorf Lasfar, véritable pôle maritime industriel du pays, ainsi qu’une usine de regazéification pour 639,6 M€ et une infrastructure de stockage pour 319,8 M€. Plusieurs centrales à cycle combiné au gaz seront également construites pour le convertir en électricité moyennant un investissement de 1,8 mrd€.

Selon les premiers éléments présentés par le ministre, quatre nouvelles centrales à cycle combiné au gaz devraient produire chacune 600 MWh. Deux seront installées à Jorf Lasfar et deux autres seront installées sur l’un des sites retenus : Dhar Eddoum, Oued El Makhazine ou El Wahda... Deux turbines à gaz, à Mohammedia et Kenitra, seront transformées et permettront de produire 150 MWh chacune.

Un gazoduc de 400 km reliera toutes ces centrales entre elles sur un axe nord-sud connecté au GME (Gazoduc Maghreb Europe) pour un investissement de 479,7 M€. Le Maroc prévoit donc de faire avec le gaz ce qu’il entreprend avec l’éolien et le solaire : développer toute une filière et en obtenir progressivement la maîtrise.

1 390 millions de m3 de gaz importés d’Algérie

A l’heure actuelle, seules deux centrales électriques emploient du gaz naturel au Maroc : l’une à cycle combiné produit 585 MWh à Tahaddart depuis 2005, l’autre thermo-solaire produit 385 MWh à Aïn Beni Mathar depuis 2010. « L’approvisionnement en gaz de ces deux centrales se fait sur les quantités perçues au titre des royalties du passage du gazoduc Algérie-Espagne par le territoire marocain de 750 millions de m3 par an depuis fin octobre 2011, et grâce à un contrat commercial de fourniture de gaz signé en 2011, pour dix ans, avec la Sonatrach de 640 millions de m3 supplémentaires », a indiqué Abdelkader Amara.

« Le Maroc considère visiblement qu’il a atteint, pour le moment, le niveau maximal de dépendance aux hydrocarbures algérien qu’il peut tolérer », analyse Francis Ghilès, chercheur au Barcelona center for international affairs (CIDOB), car, le plan présenté par le ministre se tourne entièrement vers le gaz naturel liquéfié, c’est-à-dire le gaz importé par bateau, par opposition au gaz algérien qui arrive au Maroc sous forme aérienne par gazoduc.

Le prix de la sécurité énergétique marocaine


« Le gaz acheté à d’autres pays que l’Algérie sera nécessairement beaucoup plus cher en raison du transport - sans compter les infrastructures portuaires et l’usine de regazéification qu’il faudra construire - mais c’est là le prix que donne aujourd’hui le Maroc à sa sécurité énergétique dans le climat de défiance profond qu’il entretient avec l’Algérie », explique Francis Ghilès.

Le risque que l’Algérie suspende ses livraisons de gaz vers le Maroc demeurent pourtant quasi-nuls. « Depuis les débuts, en 1964, l’Algérie n’a jamais interrompu un seul contrat. Alors le Maroc peut estimer que sa situation est particulière et présente plus de risque, mais il existe différentes façons de s’en prémunir efficacement. En impliquant une troisième institution ou pays, dans un contrat de livraison de gaz, le Maroc pouvait s’assurer que l’Algérie ne puisse pas suspendre ses livraisons sans causer de tort à ce troisième acteur », explique Francis Ghilès.

Dans le contexte du GME, l’Espagne, en bout de course, constitue déjà ce troisième acteur que l’Algérie n’envisagerait jamais d’agresser en coupant les livraisons de gaz. « Mais la sécurité est une question politique, sujette à la psychologie et à la perception des acteurs. Or, aujourd’hui, en l’état actuel des relations entre le Maroc et l’Algérie, le Maroc refuse de prendre ce risque », conclut le spécialiste du coût du non-Maghreb.

Le sacro-saint principe de diversification »


Interrogé sur l’utilisation des ressources de gaz offertes par le GME, le ministre marocain de l’Énergie a offert une réponse plus diplomatique : « Il existe un sacro-saint principe qui stipule qu’il faut diversifier ses sources d’approvisionnement. Aujourd’hui, tous les scénarios sont sur la table y compris la reconduction du contrat commercial avec la Sonatrach ou un swap avec l’Espagne, mais nous privilégions une approche structurante qui s’accompagnera également de retombées locales intéressantes, et nous permettra de développer un certain nombre de nouveaux métiers. »

Si le Maroc fait le choix aujourd’hui de se tourner vers des importations de gaz qui viendront sans doute d’Angola, du Qatar, du Nigéria ou de Trinidad, il se garde de se couper définitivement du gaz algérien. Le plan national marocain précise, en effet, que le gazoduc marocain dédié à fournir les différentes centrales électriques en gaz sera connecté au GME. « Il est possible qu’à plus long terme, le Maroc, une fois qu’il se sera doté de cette usine de regazéification, soit plus disposé à racheter du gaz algérien car il aura la possibilité de s’en détourner en cas de problème », envisage Francis Ghilès. Acheter du gaz à l’Algérie ne serait plus synonyme de dépendance.

http://www.econostrum.info/Le-Maroc-investit-37-mrds-dans-le-gaz-naturel-pour-assurer-sa-production-electrique_a19532.html

Bon débaras , décision tres intelligente du gouv que je qualifie de stratégique , on ne peux pas faire du businness dans un domaine aussi sensible que l'énérgie avec un pays qui a a sa tete des detraqués, d'autant plus que ces derniers n'ont justement aucun sens du business et leur économie est le meilleur exemple .

On n'est jamais mieux servi que par soi meme w bass

la diversification des sources et ressources c'est bien toutefois j'ai toujours été contre le fait de brûler des matières fossiles pour produire de l’énergie cet argent irait mieux dans une central nucléaire

il ne faut pas oublier que l’Algérie profite aussi de cette livraison via GME  surtout après la mise en service du MEDGAZ qui relie l’Algérie directement a l'Espagne sans passer par le Maroc  les livraison via GME ont baissé  et le pourcentage du Maroc en meme temps a baissé puisque les royalties marocaines sur les commandes espagnoles se portent a 12¨%
donc ce gazoduc qui chome un peu a été  amorti encore plus par le commande marocaine pour alimenter les deux stations de tahdart et ain beni mathar en 2011 pour 10 ans  donc en 2021 dans 6 ans c est pas loin  le Maroc par ce contrat a cherché  a renforcé les relations avec ce voisin sur un domaine stratégique que l’énergie mais visiblement leur politique agressive vis a vis de nous ne présage pas vraiment  confiance a long terme  sur un domaine pareil

sans oublier bien sur que les deux station  alimentent aussi l’Algérie en retour en cas de besoin avec l'interconnection electrique entre les deux pays surtout que le week end marocain samedi dimanche n est pas celui de l'algerie  qui était de jeudi et vendredi   ou en general la consommation d'electricité baisse  
l'algerie a changé son weekend pour vendredi samedi  et meme la  le Maroc peut se fournir moin cher en electricité si le cout est beaucoup moindre que de lancer l'appareil de production pendant notre weekend face a une demande basse
en fait c est une question de synergie entre les deux economie qu on arrive pas   a assurer pour le long terme surtout avec un voisin vicieux qui veut en faire un point de pression  pour des fins politique (comme pour la frontière pour influer sur le dossier du sahara) alors que le Maroc l'utilise pour se rapprocher de son voisin avec biensur un arriere gout politique légitime mais beauoup moins prononcé que chez le voisin  qui nage dans l'abondance  jusqu a y a peu de temps

l'avantage aussi de cet investissement ce sont de l'emploi mais a condition de produire tout chez nous a commencer et non pas donner nos devises au société etrangeres comme pour le pipline qui transporte le phosphate vert jorf lasfar dont le tuyau a été fabriqué en turquie puisque la societé en charge du projet etait turque il faut fabriquer au Maroc sinon c est pas la peine

On parle beaucoup de Jorf Lasfar, mais le futur Nador west port devait pas aussi avoir une compostante GNL aussi (destiné au transbordement vers le marché méditerranéen donc quelque part à concurrencer le gaz algerien) ?

RadOne a écrit:

On parle beaucoup de Jorf Lasfar, mais le futur Nador west port devait pas aussi avoir une compostante GNL aussi (destiné au transbordement vers le marché méditerranéen donc quelque part à concurrencer le gaz algerien) ?

c est pas la peine l'espagne se fourni en algérie l'italie aussi les autre de russie y a aussi l'egypte

ok mourad donc il n'y a pas de marché derriere cette idée.

enfin de compte, pour etre reellement indépendant, il faudrait qu'on découvre du gaz chez nous, et je croie qu'on vient d'annoncer une (petite) découverte

http://af.reuters.com/article/moroccoNews/idAFL6N0U33T320141219

voila pour avoir une idée

Le Qatar, devenu un géant du GNL, sera certainement notre fournisseur principal. Je pense même qu'ils peuvent intelligemment " investir" dans le projet. Depuis tanger med, à 3,7 mds€, ça reste l'un des plus gros investissements.

Jonas, pour le nuke civil, je pense qu'on n'ira pas. À titre d'exemple, un EPR nu (hors infra+RH) de 2000 MW revient à 6/8 mds....Et je pense aussi que notre sous-sol contient du gaz.

Fahed64 a écrit:

Le plan de développement du GNL au Maroc est un signe fort du non maghreb et surtout un message claire à l'Algérie: "Le Maroc se détourne de vous...."

Citation :

http://www.econostrum.info/Le-Maroc-investit-37-mrds-dans-le-gaz-naturel-pour-assurer-sa-production-electrique_a19532.html

l'algérie n'aura plus de gaz à exporter dès 2030

PGM a écrit:

Le Qatar, devenu un géant du GNL, sera certainement notre fournisseur principal. Je pense même qu'ils peuvent intelligemment " investir" dans le projet. Depuis tanger med, à 3,7 mds€, ça reste l'un des plus gros investissements.

Jonas, pour le nuke civil, je pense qu'on n'ira pas. À titre d'exemple, un EPR nu (hors infra+RH) de 2000 MW revient à 6/8 mds....Et je pense aussi que notre sous-sol contient du gaz.

on oublie le charbon qui assure 50% de notre électricité !

C'est difficile de faire ce genre de prévision ,leur territoire est vaste et il n'est pas exlus qu'il y ai d'autre gisement ,de toute façon en s'en fou ,il faut arréter de ce focaliser a quand leurs puits s'épuiseront ,nous ,en doit continuer a monté en régime pour briller un jour inchallah ,alors qu'eux l'avenir est sombre malgré les milliers de métres cubes de gaz et pétrole qu'ils eu a leurs dispositions .

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