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YAS Administrateur
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| Sujet: Actualités nationales Jeu 21 Déc 2006 - 23:32 | |
| Course à l’armement au Maghreb
En réaction au contrat d’armes entre l’Algérie et la Russie du Printemps 2006, le Maroc ambitionne d’acquérir 18 avions Rafale dernier cri auprès du constructeur français Dassault. Ce processus de modernisation de l’aviation militaire royale est rendu possible grâce à l’appui financier de l’Arabie Saoudite. Le renforcement du système algérien de défense aérien grâce à l’acquisition d’une soixantaine d’avions de combat russes modernes et puissants – 28 Sukkoi 30 et 37 chasseurs Mig 29- ne laisse pas indifférent son voisin de l’Ouest. Le Maroc voit d’un mauvais oeil ce partenariat stratégique, conclu en 2001, entre les présidents Vladimir Poutine et Abdelaziz Bouteflika. Le royaume chérifien perçoit clairement cet arsenal, qu’il soupçonne pouvoir être dirigé contre lui, comme une menace pour sa sécurité et entend bien combler ce déséquilibre militaire. Rabat serait sur le point d’acquérir 18 avions, de type Rafale, dernière génération. Avions polyvalents de pointe, les Rafale servent à la fois d’intercepteurs tactiques et d’avions d’attaque au sol ou en mer. Ils sont notamment appréciés pour leur grande autonomie en matière de kérosène, et se distinguent par leur discrétion. Difficilement repérables sur les radars, ils volent dans toutes les conditions climatiques et à toute altitude. En se dotant de ces avions Hi-Tech, le Maroc a fait le choix de miser sur un équipement militaire ultraperformant, privilégiant la qualité à la quantité.
Le Maroc sollicite la force de frappe financière saoudienne Ce contrat, assuré par la compagnie française Dassault Aviation, est évalué à 2,5 milliards d’euros - soit l’équivalent du contrat passé entre l’Algérie et la Russie - et sera financé en grande partie par l’Arabie Saoudite, a annoncé le quotidien français Le Figaro dont Dassault est le principal actionnaire. Faisant face à un déficit budgétaire sans précédent, suite à la flambée des cours des hydrocarbures, le Maroc se tourne vers le royaume wahhabite – son principal fournisseur de pétrole – qui prendra en charge le règlement de 12 des 18 avions. Les raisons de cet engagement ? Certainement la volonté de Riyad de se réconcilier avec Dassault, et plus largement avec la France vexée par l’infidélité saoudienne qui s’était approvisionnée chez son rival européen EADS en avions de type Eurofighter. Ce n’est pas la première fois que le Maroc sollicite ainsi l’Arabie Saoudite à l’appuyer financièrement. Déjà en 1975, le Maroc, alors en pleine guerre avec le Front Polisario au Sahara occidental, se tourne vers le royaume saoudien et les Emirats Arabes Unis pour acheter des avions français de type Mirage. Il mit alors à profit le soutien inconditionnel du président français Valery Giscard d’Estaing contre la rébellion indépendantiste sahraouie. La question du Sahara occidental envenime encore et toujours les relations entre Rabat et Alger. Dassault cumule les contrats Sur le continent, le Maroc et l’Algérie sont ceux qui consacrent la plus grande part de leurs budgets à l’armement, aux côtés de la Libye. L’Etat, dirigé par le colonel Mouammar Kadhafi depuis 1969, entend bien ne pas rester à la traîne dans cette course régionale à l’armement. Considérablement affaibli par l’embargo sur les armes – de 1986 à 2004, le « guide » de la jamahirya libyenne compte rétablir son arsenal militaire, en acquérant des avions Rafale et des hélicoptères Tigre. Cette commande a été avalisée par la ministre française de la défense Michèle Alliot-Marie. Le Maghreb s’accapare donc le podium militaire africain et Dassault récolte les contrats. Fleuron de la technologie militaire fort de soixante années d’expérience, le constructeur français est aujourd’hui le premier exportateur européen d’avions de combat et l’un des acteurs majeurs de l’industrie aéronautique mondiale. Toutefois, jusqu’à ce jour, Dassault n’avait décroché aucun contrat à l’étranger pour ce type d’avion. Si le Maroc et la Libye confirment leurs achats de Rafale, ils deviendraient ainsi les premiers clients du monde à les acquérir. Les VRP de l’armement français, appuyés par le quai d’Orsay, incitent – à coup de propositions alléchantes- les voisins maghrébins à rétablir l’équilibre militaire avec l’Algérie, client historique de la Russie. Ce processus de modernisation militaire constitue indéniablement une menace concrète pour la stabilité et l’harmonie géopolitique du Maghreb. Les puissances régionales se refont une santé militaire, aux dépens d’autres secteurs clés. Le Maroc, qui a de tout temps cherché à avoir une supériorité aérienne et militaire au Maghreb riposte au contrat algéro-russe par une commande de Rafale français. L’inextinguible rivalité militaire entre les deux voisins ne s’essouffle point. La course à l’armement se révèle être une course de fond. Joan Tilouine
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| | | YAS Administrateur
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| Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 21 Déc 2006 - 23:48 | |
| Poutine au Maroc : métaux, pétrole, électricité et nucléaire Même programme ou plutôt même enjeux économiques pour la visite du président russe au Maroc que durant sa visite en Afrique du sud : métallurgie, pétrole et nucléaire sont de nouveau au menu. Des investissements russes en matière de tourisme et d'énergie ont également été évoqués. Comme le souligne la presse russe, le Maroc se situe à un emplacement stratégique de tout premier plan. “Situé dans le nord-ouest de l'Afrique, à la charnière entre l'océan Atlantique et la mer Méditerranée, à proximité immédiate de l'Europe, le royaume est séparé de l'Espagne par le détroit de Gibraltar large de 14 kilomètres.” ... Tout est dit, sachant également que la Russie pourrait même investir dans le pétrole du Sahara Occidental, par ailleurs très convoité. [url=][/url] I – Relations politiques et économiques Le président russe et le roi du Maroc, Mohammed VI, se sont rencontrés à Casablanca. Les deux hommes se sont penchés sur des questions ayant trait aux relations politiques et économiques bilatérales ainsi que sur les grands dossiers internationaux. A l'issue des pourparlers les parties ont signé plusieurs accords intergouvernementaux, notamment sur la coopération dans les domaines de la pêche, du tourisme, de la culture, de la science, des communications de masse, du sport. Au cours de la visite du président russe, la coopération technico-militaire a pu être également abordée. La Russie a ainsi annoncé qu'elle était disposée à livrer au Maroc des lance-missiles portables Kornet et Toungouska. II – Aluminium et pétrole Parmi les hommes d'affaires qui accompagnaient Vladimir Poutine au Maroc, il est à noter la présence du président du directoire du Combinat métallurgique de Maghnitogorsk (MMK), Viktor Rachnikov, également coprésident du Conseil économique russo-marocain. Selon le porte-parole de MMK, en 2005 le combinat a livré au Maroc 90.000 tonnes de laminés et 140.000 déjà au cours des sept premiers mois de 2006. Le Maroc pourrait aussi proposer à Gazprom d'investir dans des champs d'hydrocarbures situés au Sahara occidental. Sujet on ne peut plus épineux, impliquant également Espagne et Algérie et bien sûr la RASD. Cependant, bien qu'évoquant cette éventualité, la presse russe note que ces investissements seraient très risqués, le statut de la région n'ayant pas encore été fixé, étant soumis bien au contraire à de nombreuses controverses. Lors de leurs entrevues, les dirigeants russe et marocain ont envisagé les perspectives de la reprise du processus politique en vue de parvenir à une “paix globale et juste” au Proche-orient conformément aux résolutions 242, 338 et 1515 du Conseil de sécurité de l'ONU. Les parties ont par ailleurs procédé à un échange de vues sur des questions d'actualité comme “la formation d'un monde juste”, fondé sur le respect des normes et des principes du droit international en maintenant le rôle central de l'ONU, le renforcement de la paix et de la sécurité en Méditerranée, le règlement du problème du Sahara occidental sous l'égide de l'ONU. Nous y voilà,.... pétrole quand tu nous tiens. III – Financements et investissements La délégation comprenait également le président du directoire du groupe financier Metropol, Alexandre Oudaltsov. Au début de l'année, Metropol avait annoncé son intention d'investir 150 millions d'euros dans la création du complexe touristique Marrakech-Tamsloht. Le tourisme est l'une des priorités du développement économique du Maroc. La suppression unilatérale des visas pour les Russes (pour un séjour de 90 jours à partir de la date d'entrée dans le pays) le 13 juin 2005 a contribué à des flux touristiques plus importants. Un projet d'accord intergouvernemental sur le tourisme est pratiquement achevé. La banque russe Vnesheconombank a annoncé mercredi avoir signé un mémorandum de compréhension avec la Banque marocaine du commerce extérieur, dans le cadre de la visite du président russe Vladimir Poutine au Maroc. Le mémorandum prévoit un partenariat stratégique et durable des deux banques en matière d'accompagnement financier des projets dans les différents secteurs de l'économie, y compris dans le financement pré-export des échanges bilatéraux. "La signature du mémorandum de compréhension avec la Banque marocaine du commerce extérieur ouvre de larges opportunités pour la croissance et la diversification des échanges commerciaux, mais renforce aussi la base financière de cette coopération", lit-on dans un communiqué de la Vnesheconombank. IV – la Russie pourrait construire une centrale nucléaire au Maroc Comme nous l'avions précédemment évoqué, la Russie serait intéressée par la construction d'une centrale nucléaire au Maroc. L'Agence atomique locale (ROSATOM), dans un communiqué, a manifesté son grand intérêt pour participer à l'appel d'offres international qui sera lancé à cet effet prochainement par les autorités marocaines. Selon les médias russes, une délégation marocaine, conduite par Younès Maamar, le directeur de l'Office national de l'électricité (ONE) a fait le déplacement, le 30 août dernier, à Moscou, en vue de rencontrer à la fois les responsables de l'Agence atomique russe (ROSATOM), du groupe TVEL et de la holding Rosenergoatom. Cette dernière compte à son actif la construction de cinq centrales nucléaires, notamment en Iran, en Chine et en Inde. Elle est connue pour son savoir-faire. Un avantage qui pourrait pencher en sa faveur au moment de la proclamation des résultats de l'appel d'offres. Selon certaines prévisions, la centrale nucléaire serait opérationnelle en l'an 2017. Le recours à l'énergie nucléaire semble être de plus en plus une nécessité pour le Maroc, le pays ne disposant que de très infimes ressources en hydrocarbures. La flambée du cours du pétrole a ainsi forcé le gouvernement marocain à opérer des hausses des prix des carburants.. V – Coopération dans l'énergie thermique et électrique La coopération économique et technique russo-marocaine enregistre des progrès des plus sensibles dans le domaine de l'énergie et l'industrie minière. La centrale hydroélectrique d'Al-Wahda, la plus importante dans le monde arabe et en Afrique (30% de l'électricité produite au Maroc), a été construite par le russe Technopromexport. La centrale thermique de Jerada de 165.000 kW, le complexe de Mansur Eddahbi avec une centrale hydroélectrique de 10.000 kW et une ligne à haute tension de 200 km, la centrale hydroélectrique de Mulaï Yousef de 24.000 kW, ainsi que deux réfrigérateurs industriels de 5.000 tonnes chacun ont été construits avec la participation de l'Union soviétique. Le groupement Technopromexport envisage de prendre part aux appels d'offres pour la construction de lignes HT et la modernisation de la centrale électrique de Talembot et de la centrale thermique de Jerada. La Russie semble avoir décidé par ailleurs d'allouer au Maroc un crédit de 35 millions d'euros en vue de financer une centrale électrique. VI – Le Maroc partenaire commercial de la Russie Depuis 2002, le Maroc est l'un des principaux partenaires de la Russie en Afrique et dans le monde arabe. En 2005 les échanges entre les deux pays avaient presque doublé pour approcher 1,5 milliard de dollars. Le Maroc occupe même la première position dans les échanges russo-africains. A la fin des années 1980, la Russie avait cependant arrêté les achats de produits chimiques et d'agrumes marocains à cause du manque de devises. En 1992, la Russie a suspendu ses livraisons de pétrole au Maroc (700.000 tonnes par an) qui constituaient plus de 60% des recettes des exportations russes vers ce pays. A partir de 1994 s'est esquissée une tendance à la normalisation des échanges économiques et commerciaux. Selon le bilan des paiements du Maroc pour 2005, rendu public en juin 2006, la Russie s'est classée quatrième pour les échanges commerciaux (sixième en 2004). Les échanges bilatéraux se sont chiffrés en 2005 à 539,6 millions de dollars. Selon les données officielles marocaines, cet indice s'est élevé à 1.346,6 millions de dollars. (Cette divergence des chiffres s'explique par le fait que plusieurs produits d'exportation russes sont livrés sur le marché marocain par des pays tiers et ils ne sont pas pris en compte par les statistiques russes). La Russie est le premier acheteur d'agrumes marocains (36,9% en volume en 2005, contre 32,5% en 2004). Ses importations au premier semestre 2006 ont augmenté de 9% par rapport à la même période de la saison 2004/2005 pour atteindre 534.000 tonnes. Le volume prévu des importations russes d'agrumes pour 2006 est de 300 millions d'euros. Des bateaux de pêche russes sont autorisés à travailler dans la zone économique exclusive du Maroc. Entre 1993 et 2005, les chalutiers russes ont pêché dans la zone maritime marocaine 658.500 tonnes de poisson. En 2005, douze bateaux russes ont pêché 115.500 tonnes de poisson, le quota russe étant de 120.000 tonnes. En décembre 2001, le satellite de télédétection Maroc-Tubsat a été mis en orbite par un lanceur russe.
Dernière édition par Administrateur le Ven 22 Déc 2006 - 0:04, édité 1 fois | |
| | | YAS Administrateur
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| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 22 Déc 2006 - 0:12 | |
| Maroc : enfin du pétrole ? Un 1er forage pourrait être entamé dès le 3ème trimestre 2006 par la société américaine Heyco sur les permis d'exploration de Moulay Bousselham et de Maamora, selon la compagnie canadienne Stratic Energy. Cette société qui détient une participation de 36% sur ce bloc de plus de 4.000 km2, vient d'approuver son budget d'investissement pour 2006, estimant le coût du forage à 1,3 million $. Le site fait l’objet d’un permis de recherche signé en 2004, entre le Maroc via l’ex ONAREP et les sociétés Heyco Maroc, Stratic Energy (Morocco) et Energycorp Maroc. Heyco International est présent en Algérie, en Egypte, en Côte d’Ivoire et au Gabon. Pour sa part, EnergyCorp compte plusieurs découvertes de gaz en mer profonde et la société Stratic Energy a à son actif plusieurs contrats de partage de production. La décision prise par ce conglomérat de passer à la phase forage est une nouvelle étape dans la recherche du pétrole. Sur le permis de reconnaissance de Guercif Beni Znassen (13.750 km2) opéré en partenariat avec Transatlantic Morocco, le retraitement des données sismiques est en cours. Le consortium envisage de convertir l'accord en permis d'exploration, ce qui lui permettrait alors de procéder à des forages sur des zones prometteuses identifiées grâce aux études sismiques.4 contrats de reconnaissances ont déjà été signés entre le Maroc et des entreprises de prospection. En plus de ces conventions, 15 accords pétroliers portant sur des zones offshore et onshore lient le Maroc à des conglomérats étrangers. [url=][/url] 1 – Implantation de Stratic Energy Basée à Calgary (Canada), Stratic conduit des travaux d'exploration au Maroc, en Syrie, en Turquie et dans le secteur britannique de la mer du Nord. Le Maroc a signé en février 2004 avec la société et deux indépendants texans, Heyco International et US Enercorp, deux permis en eaux peu profondes, Moulay Bousselham et Mamora, localisés sur la cote nord-ouest. La durée initiale du contrat est de 3 ans, avec options de prolongation. Stratic a acquis une participation de 36% pour ces deux grandes concessions. Le groupe projettait lors de la signature, des opérations de forage sur deux champs vers la fin de 2005 ou début 2006. Début juin 2005, Stratic a annoncé que lui avait été attribué un permis de reconnaissance dans la région de Guercif-Beni Znassen, aun nord-est du Maroc, en partenariat avec l'opérateur TransAtlantic Petroleum. Stratic aura un intérêt de 40% pour ce permis, la durée initiale du programme a été fixée à une année. 2 – Potentiel du permis de Moulay Bousselham et de Maamora Les opérations de forage sur la concession de Moulay Bousselham dans les années 20 a confirmé la présence du gisement de pétrole d'Ain Hamra en faibles profondeurs. Le champ a produit du pétrole léger sporadiquement jusqu'à ce qu'il ait été abandonné vers la fin des années 50, seule une exploration minimale ayant eu lieu depuis. Les infrastructures incluent une voie ferrée, des pipelines pour le gaz, et une raffinerie, toutes localisées sur place ou adjacentes aux blocs de la compagnie. Concernant le permis, les particpations sont les suivantes : Heyco Maroc (Operator) 39% Stratic Energy Morocco. 36%, Enercorp Maroc 25% 3 – Potentiel du permis de Guercif-Beni Znassen En juin 2005, Stratic, en partenariat avec TransAtlantic Petroleum Corp a reçu l'attribution, d'un permis de reconnaissance à Guecif-Beni Znassen, couvrant 13,750 km2 dans le nord-est Marocain. La région de Guercif-Beni Znassen présente l'opportunité de poursuivre la prolongation d'un site de production existant dans un complexe contenant un bassin sous-exploré. Le programme de travail annuel initial impliquera le retraitement de 4.300 kilomètres de données sismiques et un levé gravimétrique/magnétique par voie aérienne. Les travaux engagés sont estimés à $1 millions et devraient être achevés au premier trimestre 2006. Des améliorations dans le procédé sismique et des travaux sur le bassin devraient permettre à la compagnie d'optimiser les meilleurs zones pour d'avantage d'exploration. La licence exclusive est d'une durée d'un an. Les parties ont le droit de prolonger le permis de reconnaissance pendant une année supplémentaire ou de le convertir en accord pétrolier d'une durée de trois ans. Selon Stratic, il y a eu une production pétrolière au Maroc depuis les années 20, et de récents changements juridiques ont fait du Maroc un pays très attractif en vue d'opérations d'explorations de gaz et de pétrole.Les participations sont les suivantes sur ce champ : l'opérateur TransAtlantic Petroleum Corp. 60%, Stratic Energy (Morocco) 40%. | |
| | | YAS Administrateur
messages : 328 Inscrit le : 11/12/2006 Localisation : ici et labas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mar 30 Jan 2007 - 22:39 | |
| Maroc - Pétrole : Deux permis de recherche accordés à une société britannique
Le Maroc a accordé vendredi deux permis de prospection pétrolière dans la région d'Agadir à la compagnie britannique GB Petroleum, a-t-on appris de source officielle à Rabat.
Ces permis de recherche concernent les zones offshore d'Agadir 1 et d'Agadir 2 - océan atlantique - ainsi qu'une zone onshore dite "Ouest Souss onshore" sur une superficie totale d'environ 8.000 km2, a indiqué l'Office national marocain des hydrocarbures et des mines (ONHYM).
L'accord "Ouest Souss onshore" est un contrat de reconnaissance terrestre du sous-sol d'Agadir.
Les contrats couvrent une période de cinq ans et prévoient notamment la réalisation d'études géologiques et géophysiques pour l'évaluation du potentiel en hydrocarbures de la zone d'intérêt ainsi que le forage d'un puit d'exploration, a indiqué la même source.
Les accords ont été signés par Mme Amina Benkhadra, directrice générale de l'ONHYM et Bob Lombert directeur général de GP Pétroléum, une entreprise créée en 2005 et qui est spécialisée dans la prospection et l'extraction du pétrole en Europe et en Afrique du nord.
Les deux accords, a poursuivi l'ONHYM, portent à 19 le nombre de contrats pétroliers et à 7 le nombre de contrats de reconnaissance en vigueur dans les différentes régions de l'onshore et l'offshore du Royaume.
Le Maroc, démuni de ressources énergétiques, importe la quasi-totalité de ses besoins en pétrole.
Sa facture pétrolière s'est élevée en 2006 à plus de 24 milliards de dirhams (2,2 milliards d'euros), soit une hausse de 4% par rapport à la même période de 2005. | |
| | | YAS Administrateur
messages : 328 Inscrit le : 11/12/2006 Localisation : ici et labas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 31 Jan 2007 - 3:01 | |
| article édité par Hafsa Benmchich en 18 Janvier 2001
Un espoir, une découverte
Le premier puit marocain qui fut trouvé est celui de « Sidi Belkacem I » , creusé à Talsint par la société américaine Lone Star, le potentiel réservoir serait de 100 millions de barils. Cette région contiendrait des réserves allant de 1,5 à deux milliards de barils. Ces chiffres ont été donnés par le ministre de l'Energie et des Mines, lors de la conférence de presse qui a suivi la visite du roi Mohamed VI dans la région au mois d'août 2000. Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Youssef Tahiri a précisé que le seul puit de Talsint sur une surface de 6000 kilomètres carrés atteint les 3505 mètres de profondeur et que le premier forage d'exploration donne à conclure que seul le site de Talsint pourra représenter 25 à 30 ans de consommation d'hydrocarbure, en tenant compte des hausses de 7 à 9 % soit entre 1,5 et deux milliards de TEP (tonnes équivalent pétrole). Mais Talsint ne demeurera pas la seule découverte, puisque la société américaine détient un permis d'exploration pour quatre autres régions : dans le Loukkos ; la région d’El Brouj ; la région Safi Atlantique, et celle d'Essaouira Ounara ; se considérant comme des « avant-forages » leurs potentiels sont estimés à 12 milliards de barils. Selon les estimations des experts, l'exploitation du gisement pétrolier marocain ne serait opérationnel qu'à l'an 2003. L'importance de la découverte a bouleversé les Marocains, les médias s'acharnent à faire dire que la découverte du pétrole ne rendra pas le peuple riche ; les Marocains ne deviendront jamais « des saoudiens ». Mais certes, le pétrole est capable de transformer leur économie, administration, leurs entreprises, et balancer au plus bas leur taux de chômage. Cela, bien sûr, si les riches ne rammassent pas tout. Un choc pétrolier, oui, la découverte obligera les finances publiques a être plus généreuses, une loi de finances et maintient du projet s'impose, ainsi la nouvelle législation marocaine relative aux hydrocarbures devient une nécessité. Avec tous ces éléments, enfin, il y’a de quoi être bouleversé !
Il ne suffit pas d'avoir un trésor pour placer un peuple dans un état de développement, mais le complexe demeure une question d'éducation à long terme, d'une exploitation dirigée et équilibrée, d'une démocratie économique, et surtout d'une conscience collective, à savoir que, être à la cour des grands, ça ne se découvre pas, ça s'acquière. | |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mar 20 Mar 2007 - 18:44 | |
| Nucléaire: La Russie s’en mêle · Pourparlers avec des représentants d’Atomstroyexport
· Le réacteur pourrait être implanté dans la région de Safi
La Russie fait son entrée dans la course relative à la future centrale nucléaire civile au Maroc. Une délégation du consortium étatique russe Atomstroyexpor a fait le déplacement hier à Rabat où elle a rencontré des représentants des autorités marocaines. Les pourparlers porteraient sur le lancement d’une étude de faisabilité pour la réalisation d’un réacteur nucléaire Annoncée par le groupe russe, l’information a été confirmée côté ONE. Cette visite donne suite à celle effectuée en septembre dernier à Moscou par une délégation marocaine présidée par Younès Maâmar, directeur général de l’Office. Elle confirme les ambitions nucléaires à usage civil du pays, notamment dans la production de l’électricité et sa volonté politique de réduire sa dépendance énergétique. Ceci, à un moment où les besoins en sources d’énergie enregistrent des hausses moyennes de 8% annuellement et où la facture pétrolière ne cesse d’augmenter. La menace de crise annoncée en matière d’électricité, avec des premières coupures dès 2008, a été pour beaucoup dans l’accélération du processus d’acquisition par le Maroc de la technologie nucléaire civile. Si le discours politique est hésitant et l’appel d’offres relatif à la future centrale toujours au stade de projet, les propositions de pays comme la France et les Etats-Unis commencent à prendre forme. Côté russe, le réacteur proposé est de type VVER-1000, développé du temps de l’Union soviétique dans les années 1980. A son caractère opérationnel et ses garanties de sécurité s’ajoute son prix (1,5 milliard de dollars), largement plus abordable que ses «concurrents» européens et américains. Mais le prix n’est pas le seul argument. «Tout partenariat pour le nucléaire ne doit pas obéir aux seules considérations économiques, mais plutôt politico-industrielles. Acquérir une centrale nucléaire n’est pas comme acheter un train. Nous parlons d’une coopération à très long terme où les puissances avec lesquelles le Maroc est allié devraient avoir l’avantage. A commencer par la France », explique une source au Centre national de l’énergie, des sciences et des techniques nucléaires (Cnesten). Quel que soit son développeur, le premier réacteur nucléaire devra être lancé entre 2016 et 2017. Le choix du site est d’ores et déjà effectué. La nouvelle centrale sera édifiée à Sidi Boulbra, dans la zone côtière située entre Safi et Essaouira. La centrale scientifique dans la région de Kénitra servira de premier test quant à la capacité du pays à prendre en charge cette technologie. Le projet va bon train. Il subit actuellement des essais à froid et sera opérationnel dans les quelques semaines à venir, assure-t-on du côté du Cnesten. Il s’agit d’un réacteur de type Triga Mark II (deux mégawatts), dédié à la recherche et l’expérimentation.
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Carte de visite
Atomstroyexport est le premier opérateur nucléaire de Russie. Parmi ses principaux clients, des puissances comme l’Inde et la Chine, mais aussi des pays comme l’Iran. A eux seuls, les accords gouvernementaux signés avec ces trois pays portent sur des investissements de l’ordre de 4,5 milliards de dollars. Atomstroyexport est également présente dans l’Europe de l’Est avec, notamment, des projets en Pologne, en Hongrie et en République tchèque. Elle a implanté des centrales type VVER-1000 dans des pays comme la Finlande.
Tarik QATTAB |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 23 Mar 2007 - 16:03 | |
| y'a plein de ptit avion avion qui s'ecrase partout au maroc surtt au nord, des avions pr le transport de la drogue, ils entrent a basse altitude et penetrent dans notre espace aérien sans se faire detecter. alerte rouge les gars. c'est vraiment grave kan mm |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 23 Mar 2007 - 16:50 | |
| wé g lu dans les journaux !c alertant ! |
| | | The-Stud Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 23 Mar 2007 - 17:22 | |
| Si j'étais le chef de l'etat major, je planterais des ZPU et les Tunguska au nord, et ces zozos y refléchiraient a 2 fois avant de violer notre ciel ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 23 Mar 2007 - 18:46 | |
| - The-Student a écrit:
- Si j'étais le chef de l'etat major, je planterais des ZPU et les Tunguska au nord, et ces zozos y refléchiraient a 2 fois avant de violer notre ciel !
negatif, ça ne servira a rien, il faudrai plutot sortir les Ov-10 pr faire qlq patrouille au long des cotes et des zones des quelles viennent ces zincs |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 23 Mar 2007 - 23:10 | |
| la drogue ne vient pas du maroc ??? ou vous parler de drogues dures elles viennent de ou ? Espagne ???? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 23 Mar 2007 - 23:25 | |
| plusieurs type de drogue viennent de l'algerie |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 24 Mar 2007 - 3:15 | |
| - Sarab a écrit:
- plusieurs type de drogue viennent de l'algerie
je veux bien que tu me donne le type de drogue en provenance de l'algerie ? |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 24 Mar 2007 - 11:00 | |
| Tous sorte de psychotrope surtout les pillule d'estasie et autre drogue dure |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 24 Mar 2007 - 14:18 | |
| wé maverick plusieurs type de pillules passe par les frontiere alg-mar |
| | | YAS Administrateur
messages : 328 Inscrit le : 11/12/2006 Localisation : ici et labas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 24 Mar 2007 - 14:27 | |
| - maverick a écrit:
- Tous sorte de psychotrope surtout les pillule d'estasie et autre drogue dure
et wi ta raison moi j'habite à oujda et je vous confirme que ça vient en provenance d'algérie | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 26 Mar 2007 - 16:46 | |
| - sukhoi33 a écrit:
- la drogue ne vient pas du maroc ??? ou vous parler de drogues dures elles viennent de ou ? Espagne ????
le dernier zinc qui s'est ecrasé venait du portugal,et il transportait de la cok |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 26 Mar 2007 - 16:47 | |
| - Administrateur a écrit:
- maverick a écrit:
- Tous sorte de psychotrope surtout les pillule d'estasie et autre drogue dure
et wi ta raison moi j'habite à oujda et je vous confirme que ça vient en provenance d'algérie moi un jour j'ai vu labas une moiseneuse bateuse qui entrait au maroc,il fesait a peut pret 5 ou 4h du mat kan je l'ai vu. alors comment voulez vous k'on ne fasse pas passer de petites pillules d'extasi ?? |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mar 24 Avr 2007 - 18:04 | |
| Aérodrome Casa Anfa
Un «Central Park» et des villages autour
· Un plan directeur retenu pour la zone
· Le même urbaniste que pour la vallée du Bouregreg
· La répartition spatiale ne fait pas l’unanimité
Qu’adviendra-t-il de l’ancien site de l’aérodrome Casa Anfa? La conception de base est enfin dévoilée par l’AUDA (Agence d’aménagement et de l’urbanisation d’Anfa), agence spécialement créée pour prendre en charge le projet. Le plus grand projet jamais mis sur le marché au Maroc. Le concours d’urbanisme international lancé il y a quelques mois a donné comme gagnant le cabinet de Bernard Reichen. L’architecte urbaniste connaît bien le Maroc puisqu’il a conçu le plan directeur de la vallée du Bouregreg (voir encadré). Reichen a ainsi prévu une sorte de «Central Park» autour duquel gravitent des «villages» d’habitation, d’affaires, d’artisanat et de commerce, sans oublier les équipements de service, de culture et de loisir. Comme base de réflexion, les participants devaient respecter des «invariantes». Ce sont des principes qui doivent être introduits dans le projet. Il fallait ainsi mettre en place une «centralité» au sein du site. C’est-à-dire garantir l’accumulation des principaux équipements métropolitains: logement, pôle de travail et de service. «L’objectif est d’éviter la ville-dortoir ou l’autre extrême, à savoir la cité d’affaires qui devient une ville fantôme le soir», indique Khalid Amrani, directeur de l’AUDA. Une autre directive consiste en l’aménagement de larges espaces verts en plus d’un grand parc. Ce dernier n’a pas qu’une fonction écologique mais également culturelle. Les responsables veulent en faire un lieu de rencontres artistiques, d’expositions, de spectacles… Le concepteur du projet a aussi pour consigne de respecter la mémoire du site. Cela commence par l’intégration des bâtiments existants, l’architecture ou encore l’introduction d’une symbolique faisant référence à la cité de l’air qu’abritait la zone.
· Déplacer les militaires
Enfin le projet d’aménagement d’un centre multimodal est retenu comme l’étude de définition du projet l’avait préconisé. C’est un complexe qui doit accueillir gares routière et ferroviaire (métro et tramway éventuellement)… Un projet ambitieux qui aurait pour modèle la fameuse gare française Montparnasse. Cela fait maintenant une année que la zone a été ouverte à l’urbanisation sur ordre royal. L’objectif étant de reconquérir un précieux terrain qui, autrefois périphérique, se positionne aujourd’hui en plein milieu de la ville. Mais, pour cela, il faut d’abord finir d’assainir le foncier. L’opération qui se poursuit toujours ne présente pas de complication. Le retard accusé dans la libération du terrain est dû aux lourds équipements d’aviation civile et militaire qu’il faut déplacer vers le nouvel aérodrome de Benslimane. Les militaires ont jusqu’à la fin de l’année pour déplacer leurs installations. Les responsables ont fait moins de cas des sociétés d’aviation privées locataires: transport, pulvérisateurs agricoles, écoles de formation, ateliers de maintenance… qui ont vite été chassées de l’aéroport (cf. L’Economiste 2 et 26 juillet 2006).
· Propriété publique
La majorité du foncier de la zone est une propriété publique gérée par la ville, la direction des domaines ou les ALEM (Agence de logements et équipements militaires). C’est la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) qui s’occupe d’aménager les terrains. C’est une phase qui se poursuit actuellement en parallèle avec la finalisation du plan directeur et les études de faisabilité. «Le plan retenu n’est pas forcément contraignant, nous en retenons les principales orientations, mais il est susceptible de modification et de réaménagement», indique Lamrini. D’ailleurs, le plan attend toujours son intégration dans le schéma directeur d’aménagement urbain (SDAU). Le projet, vu son emplacement et sa taille, bénéficie d’un traitement spécial. Il ne devra pas se conformer au directive du plan de diagnostic élaboré par l’Agence urbaine de Casablanca (AUC) mais sera introduit comme entité globale. Peut-être même que ce sera à l’AUC de planifier autour. Une chance donc que l’élaboration d’un tel chantier coïncide avec la conception d’un nouveau SDAU pour la métropole.
· Attention à la spéculation!
«Le site de l’ancien aérodrome fait 3 fois la Défense à Paris», indique Hamid Ben Elfadil, directeur du Centre régional de l’investissement de Casablanca (CRI). La référence au grand quartier des affaires parisien n’est pas innocente. En effet, pour le CRI, l’ouverture à l’urbanisation de cette nouvelle zone est un espoir pour le dénouement de la crise de l’immobilier professionnel à Casablanca. Ben Elafdil exprime toutefois des inquiétudes par rapport au projet de plan directeur retenu dont, selon lui, «la répartition proposée ne donne pas assez de place aux activités économiques». Le directeur de l’AUDA ne commente pas ce constat puisque «la répartition spatiale n’est pas encore fixée et le plan n’est pas définitif». Encore faut-il pouvoir le modifier… En termes d’immobilier, de logement ou d’affaires, la question qui se pose reste la gestion postérieure du site. Une fois le projet achevé, et même avant, la spéculation immobilière ne va pas manquer de pointer le nez, ce qui peut fausser les ventes. Pour le moment aucun organe de gestion n’est défini. La CDG pourrait bien le devenir puisqu’elle intervient déjà sur le site en temps qu’aménageur. L’entreprise ou l’administration qui prendra ce volet en charge aura pour tâche de fixer les prix, d’organiser la vente ou la location des lots mais également de gérer la phase postacquisition. Question d’éviter encore une fois la spéculation et d’assurer la valorisation de l’immobilier ou du foncier cédés.
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Qui est Reichen?
Bernard Reichen a remporté un deuxième grand chantier du Maroc. L’aménagement de la vallée du Bouregreg d’abord et aujourd’hui le projet d’urbanisation de la zone Casa Anfa. L’architecte urbaniste est très actif en France et justifie également d’une grande expérience internationale. Reichen est grand prix de l’urbanisme 2005 en France pour son projet relatif au Schéma et cohérence territoriale (SCOT) de Montpellier. Il a développé le concept de «l’urbanisme territorial» qui est une vision plus globale de l’urbanisme.
Ichrak MOUBSIT |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mar 24 Avr 2007 - 18:20 | |
| · Conducteurs marocains pour TGV saoudienEn prévision d’un appel d’offres portant sur la construction et l’exploitation de la ligne de TGV entre Djeddah et La Mecque de 55 milliards de dirhams, la SNCF serait en contact avec l’ONCF pour le recrutement des conducteurs de train qui seront par la suite formés au pilotage des TGV. La SNCF veut ainsi compléter son offre «clés en mains», la Mecque étant interdite aux non musulmans. Or, les conducteurs du futur TGV saoudien devront entrer dans la ville sainte. Selon la presse économique parisienne, le groupe français explore également la piste malaisienne pour trouver des cheminots musulmans. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 25 Avr 2007 - 3:56 | |
| - Administrateur a écrit:
- article édité par Hafsa Benmchich en 18 Janvier 2001
Un espoir, une découverte
Le premier puit marocain qui fut trouvé est celui de « Sidi Belkacem I » , creusé à Talsint par la société américaine Lone Star, le potentiel réservoir serait de 100 millions de barils. Cette région contiendrait des réserves allant de 1,5 à deux milliards de barils. Ces chiffres ont été donnés par le ministre de l'Energie et des Mines, lors de la conférence de presse qui a suivi la visite du roi Mohamed VI dans la région au mois d'août 2000. Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Youssef Tahiri a précisé que le seul puit de Talsint sur une surface de 6000 kilomètres carrés atteint les 3505 mètres de profondeur et que le premier forage d'exploration donne à conclure que seul le site de Talsint pourra représenter 25 à 30 ans de consommation d'hydrocarbure, en tenant compte des hausses de 7 à 9 % soit entre 1,5 et deux milliards de TEP (tonnes équivalent pétrole). Mais Talsint ne demeurera pas la seule découverte, puisque la société américaine détient un permis d'exploration pour quatre autres régions : dans le Loukkos ; la région d’El Brouj ; la région Safi Atlantique, et celle d'Essaouira Ounara ; se considérant comme des « avant-forages » leurs potentiels sont estimés à 12 milliards de barils. Selon les estimations des experts, l'exploitation du gisement pétrolier marocain ne serait opérationnel qu'à l'an 2003. L'importance de la découverte a bouleversé les Marocains, les médias s'acharnent à faire dire que la découverte du pétrole ne rendra pas le peuple riche ; les Marocains ne deviendront jamais « des saoudiens ». Mais certes, le pétrole est capable de transformer leur économie, administration, leurs entreprises, et balancer au plus bas leur taux de chômage. Cela, bien sûr, si les riches ne rammassent pas tout. Un choc pétrolier, oui, la découverte obligera les finances publiques a être plus généreuses, une loi de finances et maintient du projet s'impose, ainsi la nouvelle législation marocaine relative aux hydrocarbures devient une nécessité. Avec tous ces éléments, enfin, il y’a de quoi être bouleversé !
Il ne suffit pas d'avoir un trésor pour placer un peuple dans un état de développement, mais le complexe demeure une question d'éducation à long terme, d'une exploitation dirigée et équilibrée, d'une démocratie économique, et surtout d'une conscience collective, à savoir que, être à la cour des grands, ça ne se découvre pas, ça s'acquière. Donc il y'a du pétrole au Maroc..? |
| | | omar Caporal
messages : 140 Inscrit le : 06/04/2007 Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 25 Avr 2007 - 13:31 | |
| pour l'instant il n' ya que des speculations plus encore , il y a quelqu' année le roi avait annoncé qu'on avait trouvé du petrole au maroc dés lors c'est l'effervessence tout le monde crois que le maroc detient dans ses caves du petrole de quoi chamboulé tout la region .mais la surpise vient 3 ans aprés en 2006 on a pprend qu'il n'ya eu aucune decouverte majeur en ce sens que rien n'a bougé et que mmem la credibilité du roi fut touché !!!
c'est pourquoi aujourdhui , les analystes en cgarge du dossier du petrole au maroc s'attele a verifier toute hypothese avant de la retranscrire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 25 Avr 2007 - 13:42 | |
| Il y a du petrole, mais en quantité pas tres importante (pour Talsint), ce qui fait que l'exploitation ne serait pas encore rentable |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 21 Mai 2007 - 9:56 | |
| Décès de Driss Benzekri: le Maroc perd un grand militant des Droits de l'Homme | 08h49 Driss Benzekri, décédé dimanche à l'âge de 57 ans, était l'un des plus célèbres défenseurs des Droits de l'Homme au Maroc: il fut un opposant au régime du roi Hassan II avant que le roi Mohammed VI l'invite à tenter de "tourner la page" des années de plomb (1960-1999). Peu prolixe, cet enseignant d'origine berbère était connu par sa "patience et son endurance", disent ses proches. Il aimait travailler dans le "calme, sans tapage".Arrêté en 1974, il a été condamné en 1977 à 30 ans ans de prison pour avoir milité dans une organisation marxiste marocaine.
Il quitte la prison centrale de Kénitra (30 km au nord de Rabat) en 1991. Il disait ne pas avoir gardé d'amertume.
A propos de sa longue détention, il a récemment déclaré à un journal français: "on sent que la blessure est toujours là, mais ce n'est pas quelque chose qui nous pourrit de l'intérieur. Je dis On et non pas Je, car ils étaient nombreux à avoir subi le même sort sous le règne du défunt roi Hassan II", a-t-il dit.
Dès sa libération, cet ancien opposant politique, défenseur de la culture amazighe (berbère), milite avec de plus en plus d'engagement pour la promotion des Droits de l'Homme au Maroc.
Il obtient un diplôme de droit international à l'université d'Essexen en Grande Bretagne et contribue à la création du Forum Vérité et Justice (FVJ), une association regroupant d'anciennes victimes de la répression politique et leurs familles.
Mais en 2003, le roi Mohammed VI l'appelle pour diriger un organisme public, l'Instance Equité et Réconciliation (IER) une commission de vérité qui devait se charger de régler les dossiers des Droits de l'Homme durant "les années de plomb".
Driss Benzekri accepte, quitte ses amis de l'association FVJ et se lance dans cette nouvelle expérience. De nombreux militants l'ont critiqué, certains l'accusant d'avoir été "récupéré par le pouvoir".
Pour Abraham Serfaty, un ancien opposant au régime du roi Hassan II, Driss Benzekri était "courageux et honnête, en aucun cas manipulable, et il avait raison d'accepter de présider l'IER".
A la tête de cette instance dont le mandat s'est achevé en novembre 2005, il a instruit 16.000 dossiers de victimes de l'ancien régime. Une partie ont été indemnisées, d'autres attendent leur tour.
L'IER, après avoir remis son rapport général au roi, a été dissoute. Le suivi des actions qu'elle a initiées a été confié au Conseil consultatif des Droits de l'Homme (CCDH), créé par le roi Hassan II en 1990. Le roi Mohammed VI, encore une fois, a fait appel à Driss Benzekri pour reprendre la direction de cet organisme.
Mais, le plus fort de son travail dans l'IER a été l'organisation, en décembre 2004, de séances publiques de témoignages d'anciennes victimes de la répression politique. Les premières séances avaient été retransmises en direct par la radio et la télévision nationales.
La presse avait souligné le "rôle libérateur" de ces témoignages et leur caractère "indédit" dans tout le monde arabo-musulman.
Driss Benzekri était un "travailleur infatigable", dit de lui un de ses amis, Salah El Ouadie, un ancien détenu politique membre de l'IER. "La justice transitionnelle au Maroc c'est lui", ajoute-t-il.
Dernier acte de Driss Benzekri: il a signé sur son lit d'hôpital, peu avant sa mort, un texte qui crée une couverture médicale en faveur des victimes des années de plomb. |
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