Armée Russe / Armed Forces of the Russian Federation

Rappel du premier message :

Le su-25 c'est equivalent du A-10 us?

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La Russie teste ses chars furtifs Armata


© Sputnik. Pavel Lissitsyne

Défense
15:33 28.02.2016(mis à jour 16:25 28.02.2016)


Les armuriers russes s'apprêtent en outre à installer le canon automoteur "tueur de chars" Koalitsia sur le même châssis chenillé.

La Russie teste vingt chars et blindés furtifs de la famille Armata, a annoncé samedi Viatcheslav Khalitov, directeur général adjoint du groupe d'armement russe Uralvagonzavod (UVZ) pour les véhicules spéciaux.

"Les chars T-14 et les véhicules blindés d'infanterie T-15 sont actuellement à l’essai", a indiqué M.Khalitov cité par les médias russes.

Selon lui, ces blindés seront livrés à l'armée russe en 2016 ou 2017. Le groupe UVZ envisage également d'installer le canon automoteur Koalitsia de 152 mm sur le châssis chenillé Armata. Ce canon répond déjà au doux nom de "tueur des chars".


Selon le responsable, les blindés Armata ont des caractéristiques uniques leur permettant notamment d'être invisibles pour l'ennemi.

"Nous utilisons (…) des couches de protection spéciales réfléchissant la lumière qui empêchent la détection du blindé sur le champ de bataille par les capteurs fonctionnant dans une bande optique, infrarouge ou radar ", a indiqué M.Khalitov.

Tous les véhicules de la famille Armata sont dotés d'un système de communication par infrarouge et n'ont pas besoin de communiquer par radio.


http://fr.sputniknews.com/defense/20160228/1022824306/armata-tueur-des-chars.html#ixzz41TiaZOtI

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Un avion espion russe utilise un code attribué à la compagnie aérienne Swiss


Posté dans Forces aériennes, Renseignement, Russie par Laurent Lagneau Le 02-03-2016



Quand on suit les mouvements aériens sur une plateforme comme Flight Radar, qui suit les avions partout dans le monde en se basant sur les informations fournies par leurs transpondeurs, un code IATA portant le préfixe LX désigne un vol assuré par la compagnie aérienne suisse Swiss.

Enfin, en théorie. Ainsi, la Radio Télévision Suisse Romande (RTS) a repéré, via Flight Radar, un vol bien étrange attribué à la compagnie Swiss. Et pour cause, ce dernier a été repéré en Syrie, le 29 février.

Sous le numéro de vol LX9203 se cachait en fait un Tupolev Tu-214R, un avion de renseignement électronique récemment arrivé dans la province de Lattaquié et portant l’immatriculation « RA-64514″. Il s’agit de l’un de deux appareils de ce type mis en oeuvre par les Forces aérospatiales russes pour le compte du GRU.

« Le numéro de vol en question n’a absolument aucun rapport avec notre compagnie », a confirmé Swiss à la RTS. L’on pouvait s’en douter.

http://www.opex360.com/2016/03/02/avion-espion-russe-utilise-code-attribue-la-compagnie-aerienne-swiss/

https://servimg.com/view/17398944/65]
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Le budget militaire russe devrait baisser de 5%


Posté dans Europe par Laurent Lagneau Le 07-03-2016  



Secteur bancaire en difficulté, taux de change du rouble qui fait le yo-yo, rente pétrolière affectée par la forte baisse du baril de brut… La situation économique de la Russie est délicate en ce moment. Et les sanctions occidentales prises en raison du rôle prêté à Moscou dans la crise ukrainienne n’arrangent rien.

Aussi, tous les ministères doivent consentir à faire des efforts budgétaires. Et celui de la Défense ne sera pas épargné, même si les économies qui lui seront demandées seront moindres par rapport aux autres.

Selon Tatiana Chevtsova, la vice-ministre russe de la Défense, citée par Sputnik News, les dépenses militaires russes devraient baisser de 5% cette année, alors qu’elles avaient été annoncées en hausse de 0,8% par rapport à 2015. Une diminution de 10% avait été un temps envisagée par le ministère des Finances.

Il est compliqué de donner un ordre de grandeur pour le budget militaire russe en raison des fluctuations monétaires. Cela étant, d’après les calcul de Sputniks News, au taux de change actuel, l’effort de défense consenti par Moscou devrait être de 3.140 milliards de roubles (43,6 milliards de dollars), ce qui représente 4% du PIB. La baisse decidée par le Kremlin équivaut à environ 160 milliards de roubles.

Toutefois, cette coupe dans les dépenses militaires russes devra épargner « l’armement d’État » et les programmes sociaux du ministère de la Défense. « Les obligations sociales envers les militaires seront exemptées des compressions budgétaires », a en effet assuré Tatiana Chevtsova.

Cette baisse de 5% des dépenses militaires russes est la plus importante depuis 2000. En 2012, lors de la campagne présidentielle, Vladimir Poutine avait annoncé un plan de modernisation des forces armées en investissant 23.000 milliards de roubles d’ici 2020.

Quoi qu’il en soit, les temps sont durs pour les militaires russes, comme l’a souligné le géographe Pascal Marchand, auteur d’une « Géopolitique de la Russie« , dans les colonnes du magazine Causeur. « Plusieurs bases aériennes et bases de missiles n’ont pas pu payer leurs factures d’électricité en fin d’année… Il y a un vrai problème budgétaire.  Un programme pluriannuel lancé en 2007-2008 prévoyait l’achat de 600 avions en dix ans. Le parc aéronautique est actuellement de 1300 avions qu’il faut renouveler. 600 avions ce n’est donc pas beaucoup mais même cet objectif-là est compromis par les contraintes budgétaires », a-t-il expliqué.

http://www.opex360.com/2016/03/07/le-budget-militaire-russe-devrait-baisser-de-5/

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Russian Carrier to Return to the Mediterranean Sea by Summer 2016
By Tamir Eshel - Mar 5, 2016


he Russian navy plans to deploy its single aircraft carrier, Admiral Kuznetsov, to head the Russian flotilla in the Mediterranean Sea. The Kuznetsov is expected to sail from its current home base in Murmansk, to the Mediterranean in the summer, the TASS news agency reported. The carrier is at berth in Murmansk, where she is refitted for the mission.
The Russian Navy’s permanent presence in the Mediterranean Sea began in 2013 and includes ten or more warships on average, deployed on a rotation basis from the Northern and Black Sea fleets.

According to TASS, the current group on station includes the missile cruiser Varyag, armed with the Fort-M air defense system and the large anti-submarine warfare (ASW) ship Vice-Admiral Kulakov.

Despite plans to modernize the ship, and replace its Su-33 based air wing with modern MiG-29Ks, Kuznetsov remains today as it was when it was commissioned in the early 1980s, 34 years ago. Last August Admiral Kuznetsov completed three months in dry dock at Roslyakovo in Kola Bay. This relatively short maintenance period involved cleaning and painting the vessel’s hull, repair of onboard electrical equipment, and a general service of the ship. Additional work was done when the ship was docked at Murmansk but did not include major refit as previously sought. Kuznetsov is a large ship – 305 meters in length, with maximum displacement of 58,000 tons, supporting an air wing of up to 40 fixed and rotary wing aircraft.

The Kuznetsov was due to enter the dry dock in Sevmash in 2012, for an upgrade that would take five years, in which its 3M45 P-700 Granit (SS-N-19 Shipwreck) anti-ship cruise-missile launchers would be removed, clearing more hangar space for fixed wing aircraft. However, delays in the delivery of the Vikramaditya to India prevented such extended work. The upgrade would include the replacement of electronic systems and air defenses on board, replacing the 3K95 Kinzhal (SA-N-9 Gauntlet) missiles with SA-22 Greyhound (Pantsir S1) missiles. None of these upgrades have materialized to date and, apparently, she will remain in its current form until her retirement.

This is an excerpt of a 880 word article covering future Russian carrier trends, available to our subscribers.

NATO also maintains a strong naval force in the Mediterranean, comprising naval elements of Italy, France and Spain, along with the US 6th Fleet. However, at present, only the French carrier R-91 Charles De Gaulle (CDG) is available to support the Mediterranean, (when sh is not deployed abroad). Since the U.S. decided to shift its focus on the Pacific Ocean there are no aircraft carriers permanently stationed in the Mediterranean Sea. Both French and US carriers are stationed in the Arabian and Indian Ocean, these include the CDG and CVN-75, USS Truman, currently positioned in the Arabian Gulf. Both are tasked with operation Inherent Resolve (the air war against Daesh in Iraq and Syria). At a length of 261 meters the CDG can is a medium size aircraft carrier with a displacement of 42,000 tons, designed to operate 24-40 aircraft. The Truman has a displacement of 100,000 tons; it is 330 m’ long and can operate an air wing comprising up to 90 fixed and rotary wing aircraft.

Two carriers are home based at the atlantic ocean seaport of Norfolk Virginia are the USS Eisenhower (CVN 69) and USS Washington (CVN 73). Two carriers are currently undergoing maintenance at Norfolk – USS Lincoln (CVN 72) and USS Bush (CVN 77). NATO’s availability of aircraft carrier forces is expected to improve with the introduction of two Royal Navy QEII class carriers, along with their air group of 24 F-35B joint strike fighters, which will also augment the Italian Air group on board the Italian Navy Carrier Cavour, currently undergoing modifications to support up to 16 F-35B on board.





http://defense-update.com/20160305_kuznetsov.html

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Russia touts second-to-none jamming equipment

By Sputnik -March 9, 2016







Russia’s most advanced electronic warfare systems, Borisoglebsk-2 and Rtut-BM, add significantly to the country’s defense capabilities, according to the Russian news network Zvezda. The modernization of the Russian Armed Forces has included the development of electronic warfare, the Russian news network Zvezda reported, referring to the state-of-the-art Borisoglebsk-2 and Rtut-BM systems.

The Borisoglebsk-2 is a multi-purpose electronic warfare system developed by Russia’s United Instrument Manufacturing Corporation for the Russian Armed Forces. Its development started in 2004 and its evaluation testing was completed successfully in December 2010. The system was initially introduced to the Russian army in 2014.

The Borisoglebsk-2 merges four types of jamming stations into a single system with a single control console which allows the operator to take decisions within seconds. The system is mounted on nine MT-LB armored vehicles and is designed to suppress mobile satellite communications and satellite-based navigation signals.

Compared to previous jamming units, the Borisoglebsk-2 has a wider range of radio surveillance and suppression, hi-speed frequency scanning, a longer operative range and more precise radio wave emission source spatial localization.

United Instrument Manufacturing Corporation spokesman Mikhail Artyomov touted the Borisoglebsk-2 as the best electronic warfare system in the world.

“The system’s combat characteristics are not just on a par with the best foreign analogues, they considerably surpass them in terms of a number of parameters. At present, our system is able to jam all modern radio communications,” he said.

The Rtut-BM is another advanced Russian electronic warfare system, which is designed to protect troops and military hardware from artillery rockets and shells equipped with proximity fuses which are programmed to cause them to detonate when they are 3-5 meters from the ground.

The Rtut-BM affects the proximity of radio-controlled explosive devices, prompting them to explode at higher altitudes in order to keep troops and equipment safe. Also, the system can neutralize radio frequencies employed by the enemy’s communications.

The Rtut-BM is deployed on an MT-LB armored vehicle fitted with a television antenna which provides coverage for an area of about 50 hectares (500,000 square meters) or a semi-sphere with a 400 meter radius. This system requires a crew of two men and it can be ready for jamming within 10 minutes.

Over the past three years, domestic manufacturers have supplied 22 such systems to the Russian Armed Forces, and 21 more are due to be delivered before the end of this year. As far as the Borisoglebsk-2 is concerned, more than ten such units were supplied to the Russian army between 2014 and 2015.



Read more: http://www.defencetalk.com/russia-touts-second-to-none-jamming-equipment-66999/#ixzz42QDjsfQm

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Russian Tu-22M3 supersonic long-rang bomber have arrived in Novosibirsk


Mar 10, 2016



Three Russian Tupolev Tu-22M3 supersonic long-range, strategic & maritime strike bomber have arrived in Novosibirsk Tolmachevo Airport, 16 km from the center of Novosibirsk, an industrial and scientific center in Siberia and Russia’s third largest city, reported “Already Happened “.

The Tu-22M3 is the last version of the Backfire that is still in service. The aircraft was sold to the Soviet leadership as a derivative of the older and much less sophisticated Tu-22 Blinder—but the Tu-22M is a completely new design that shares nothing with it predecessor except for its designation.

The Soviet military basically had to trick the Kremlin into funding the Backfire the same way the U.S. Navy convinced the U.S. Congress that the almost entirely new F/A-18E/F Super Hornet airframe was a derivative of the original F/A-18.




http://defence-blog.com/news/russian-tu-22m3-supersonic-long-rang-bomber-have-arrived-in-tolmachevo.html

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Russia fires successfully high-precision tactical missile
iskandar



News ID: 2928346 - Wed 30 September 2015 - 10:55
Politics
MOSCOW, Sep. 30 (MNA) – A high-precision Iskander-M tactical missile, capable of carrying nuclear warheads, destroyed a target located 300 kilometers away in southern Russia, confirmed today a source of the Ministry of Defense.

The spokesman of the Eastern Military District, Alexander Gordeyev, told reporters that a unit of that command test-fired the missile against a target that simulated an enemy command center, in the southern Astrakhan region.

Gordeyev noted that after the success in the trial, the mobilized Army unit returned with the missile system to its permanent base of deployment, in the republic of Buryatia, in Siberia.

The tactical ballistic systems of the Iskander type are capable of hitting targets both small and large targets, at a distance of up to 500 kilometers, destroy multiple-launch rocket systems, long-range artillery, airfields, command posts and communication centers, reports say.

These complexes include a transport-erector-launcher (TEL) vehicle, another of routine maintenance, a command vehicle, an intel post, and a vehicle for rearming and training.

The basic variant of this tactical-operational weapon is one of Russia's responses to the missile defense deployed by the US in Europe.

Russian specialized media report that test launches have been carried out with vectors of the R-500 type from Iskander platforms.

Equipped with cruise missiles and nuclear warheads, the system's reach can potentially exceed two thousand kilometers, and this would allow them to defeat targets virtually throughout Europe, added the sources.

Its possibilities could be multiplied, should they be emplaced in the enclave of Kaliningrad, the westernmost tip of the Russian Federation.

The president of the Russian Academy of Geopolitical Problems, Konstantin Sivkov, said recently that the Kremlin can respond to the US plan to deploy 20 new nuclear bombs in Germany with what he called 'an antiaircraft fence'.

The only way we can answer is by retrofitting the high-precision Iskander missiles with nuclear warheads, and produce large numbers of missiles for the long-range aviation, he said, when questioned by the news agency Novosti.

For his part, the German Ambassador to Russia, Rudiger von Fritasch, said on Monday at a press conference that it is not a deployment of new US missiles, but a replacement of outdated components.

He said that the main objective is to maintain the security of the weapons with the replacement of components, whose useful life has expired.

The German channel ZDF said last week that the United States is preparing to deploy 20 B61-12 bombs, recently modernized, to multiply the potential, in the Büchel Air Base, in Rhineland-Palatinate, Germany.

http://en.mehrnews.com

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La marine russe ne gardera finalement qu’un sous-marin nucléaire de la classe Typhoon


Posté dans Forces navales, Russie par Laurent Lagneau Le 16-03-2016



En 2011, l’état-major russe avait démenti une information selon laquelle deux des trois derniers sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de la classe Typhoon – en l’occurrence les TK-17 Arkhangelsk et TK-20 Severstal, allaient être démantelés. Selon les plans de la marine russe, il était même question de leur redonner du potentiel pour les maintenir en service jusqu’en 2019.

L’idée était alors de les transformer, comme l’a fait l’US Navy avec ses SNLE de la classe Ohio, en sous-marins lanceurs de missiles de croisière.

Mais c’était reculer pour mieux sauter… Et, et l’information donnée il y a 5 ans avait bel et bien un fond de vérité, d’autant plus que les deux Typhoon en question avaient été mis en réserve à partir de 2004. En clair, cela fait un bail qu’ils n’ont plus pris la mer.

Ainsi, selon l’agence TASS, le chantier naval Zvezdochka de Severodvinsk a confirmé le désarmement prochain de l’Arkhangelsk et du Severstal. Et cela afin de respecter l’accord de désarmement nucléaire nouveau START, signé avec les États-Unis. Il est prévu de sceller leurs silos qui, autrefois, emportaient les missiles R-39 (code Otan : SS-N-20 Sturgeon).

« Nous allons retirer les portes supérieurs des tubes lance-missiles et les sceller. Il sera donc impossible de lancer des missiles », a en effet expliqué le chantier Zvezdochka. A priori, il n’est pas encore question d’envoyer à la ferraille ces deux bâtiments étant donné que, pour le moment, aucun appel d’offres en ce sens n’a été lancé.

Sur les 6 sous-marins Typhoon mis en service du temps de l’Union soviétique, la marine russe n’en conservera qu’un seul, à savoir le TK-208 Dmitri Donskoï, qui a été transformé pour servir de plateforme d’essais au missile balistique Boulava.

Pour rappel, les Typhoons furent les SNLE les plus imposants jamais construits. D’une longueur de 173 mètres, mis en oeuvre par un équipages de 179 marins et propulsés par deux réacteurs nucléaires, ils affichaient 48.000 tonnes en plongée. En outre, ils pouvaient emporter 20 missiles mer-sol balistiques stratégiques R-39, 8 missiles surface-air SA-14 Gremlin ou SA-16 Gimlet, 22 missiles ASM porte-torpilles Vodopad et des torpilles de 533 mm. Sans oublier 40 mines marines.

http://www.opex360.com/2016/03/16/la-marine-russe-ne-gardera-finalement-quun-marin-nucleaire-de-la-classe-typhoon/

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Russie: le canon automoteur Koalitsia-SV entre déjà en service



© Sputnik. Photo-host-agency

Lu dans la presse
18:36 16.03.2016(mis à jour 18:50 16.03.2016)


Le nouveau canon automoteur russe Koalitsia-SV sera mis en service dans les unités du District militaire Ouest d'ici la fin de l'année, écrit mercredi le journal en ligne Politrussia.com.


Selon la Commission militaro-industrielle, les unités du district recevront 30 canons automoteurs Msta-SM. Après avoir été présenté au grand public en 2015, le canon Koalitsia-SV arrivera donc dans les forces armées dès 2016.

Le nouveau canon automoteur portant le nom de code 2S35 est destiné à remplir un large éventail de missions, de la destruction du matériel nucléaire tactique de l'ennemi aux attaques des postes de commandement des forces ennemies en passant par la destruction des batteries de mortiers, de chars et du matériel blindé ennemi. Sa portée prévisionnelle est de 50 km mais la chaîne Zvezda rapporte que les ingénieurs ont réussi à tirer avec le canon Koalitsia un obus expérimental à 70 km.

L'un des avantages du canon automoteur russe est sa cadence de tir. Bien que cette dernière soit confidentielle, selon les fuites dans la presse on peut dire que le 2S35 sera capable de tirer plus de 10 munitions à la minute, voire 15 à 16 selon certaines sources.


Cette information est confirmée par les militaires russes: comme l'a déclaré le général Mikhaïl Matveevski, chef des troupes de missiles et de l'artillerie de l'armée de terre russe après la fin de tous les travaux de conception en mai 2015, la cadence de tir du Koalitsia-SV est 1,5 fois plus élevée que celle des systèmes existants.

Cette vitesse de tir, combinée à la portée du 2S35, créeront un grand nombre de problèmes pour l'ennemi: plus de munitions seront tirés par le canon en une période de temps donnée, plus rapidement il pourra changer de position pour une lutte contre-batterie, et l'artillerie ennemie ripostera en tirant sur un lieu déjà quitté.

Aujourd'hui le canon du 2S35 est installé sur le châssis chenillé T-90 (la version présentée pendant le défilé militaire en mai 2015). Sachant que des travaux sont en cours pour créer un canon Koalitsia sur le châssis du camion KAMAZ — cette version a été baprisée Koalitsia-SV-KCh. A terme, il est également possible que ce module de combat soit installé sur le châssis Armata.

https://fr.sputniknews.com/presse/201603161023427470-russie-koalitsia-sv-automoteur/

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 Golfe de Gascogne : c’était un « ancien SNLE » russe
 

Le K 51 « Verkhoturye », l'un des six sous-marins nucléaires lanceur d'engins Delta IV de la marine russe. Les silos de lancement de
missiles forment une bosse caractéristique derrière le massif. (Photo : DR)


 
La cérémonie de remise à l'eau du BS 64 « Podmoskovye » en août 2015 au au chantier naval Zvezdochka de Severodvinsk.
(Photo : Zvezdochka)

Publié le 17/03/2016 17:08


Quel est le mystérieux sous-marin russe qu’aurait repéré la Marine nationale dans le golfe de Gascogne au mois de janvier ? Une source bien placée évoque un « ancien SNLE ». Fort probablement le BS 64 Podmoskovye, un sous-marin espion tout juste mis en service par la Russie.

L’alerte a été donnée par L’Obs du jeudi 10 mars. « Selon un haut responsable français, la marine française aurait, début janvier, repéré un sous-marin nucléaire russe dans le golfe de Gascogne, au large des côtes françaises »,indique alors son site internet. L’Obs précise aussi que « le navire, porteur de missiles dotés de têtes nucléaires, proviendrait de la base de SNLE (NDLR : sous-marins nucléaires lanceurs d’engins) de Mourmansk ».

L’information surprend de prime abord. On peut se demander ce qu’un tel bâtiment pouvait bien faire à 500 km des côtes françaises. Discrets par nature, les SNLE ont vocation à se « diluer » dans l’océan. Ils doivent tout faire pour éviter d’être détectés. En matière nucléaire, il ne s'agit pas d'un outil de gesticulation contrairement aux bombardiers stratégiques russes aperçus ces temps-ci dans le ciel européen.

Mini-sous-marins

La piste de « l’ancien SNLE », elle, mène tout droit au BS 64 Podmoskovye, ex-K 64. À l’issue d’une longue refonte, ce sous-marin nucléaire de la classe Delta IV a été remis à l’eau au mois d’août 2015 au chantier naval Zvezdochka de Severodvinsk. Tous les silos de lancement de missiles balistiques de la section centrale ont été remplacés par des installations permettant de mettre en œuvre des mini-sous-marins, habités ou non. Bref, le Podmoskovye est désormais un sous-marin espion.

Il aurait donc été surpris à fureter pas très loin de l’Île-Longue, la base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins français. Toutes les marines disposant de SNLE cherchent à savoir ce que font leurs homologues. Cela passe par la surveillance des mouvements aux abords des bases qui abritent ce type de bâtiment. Les Russes font ce que tout le monde fait. Mais là, ils auraient été pris la main dans le sac.

S’il s’agit du Podmoskovye, sa mission est clairement un échec, sa signature acoustique étant désormais connue. Les Français disposent d’une expertise reconnue dans le domaine de la lutte anti-sous-marine, élément clé pour la crédibilité de la force de dissuasion. Ils viennent sans doute de le prouver encore une fois.

Bateau-mère

Selon les informations disponibles, le Podmoskovye servirait de bateau-mère au petit sous-marin nucléaire Losharik. Long d’environ 70 mètres, celui-ci est conçu pour la recherche scientifique, le sauvetage et les opérations spéciales militaires. Le Podmoskovye pourrait aussi mettre en œuvre le Klavesin-1R, un véhicule sous-marin autonome servant à des missions de surveillance et d’études acoustiques.

Les sous-marins nucléaires russes de la classe Delta IV sont sensiblement plus gros que les SNLE français de la classe Le Triomphant. Ce sont des bâtiments de 166 mètres de long déplaçant 18 200 tonnes en plongée. Outre le BS 64 Podmoskovye, six sous-marins de ce type sont en service dans la marine russe. Ils appartiennent à la flotte du Nord. Ils ont été rénovés pour pouvoir embarquer le missile balistique Sineva d’une portée de plus de 8 000 kilomètres.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activites/defense/24782-golfe-de-gascogne-cetait-un-ancien-snle-russe  

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Russia deploying Ka-52 combat helicopter to airbase Hmeemeem in Syria


Mar 17, 2016


Russia deploying Ka-52 combat helicopter to airbase Hmeemeem in Syria.

Journalist Ilya Kramnik, laid out on his page on www.facebook.com made them a handwritten picture Russian combat helicopter Ka-52 (hull number “79 Red”), delivered in the last days in the Syrian airbase Hmeymim.

The Ka-52 Alligator is a next-generation reconnaissance and combat helicopter designed to destroy tanks, armoured and non-armoured ground targets, and enemy troops and helicopters both on the front line and in tactical reserves. The helicopter can operate around the clock and in all weathers. The Ka-52 can provide target acquisition and designation for helicopter teams and ground troop command and control centres. It can also provide fire support for troop landings, fly routine patrols and escort military convoys.

•Ka-52 Alligator is fitted with signature control devices as well as electronic and active counter-measures. It meets the latest Russian and international standards for technical operation of military helicopters.
•The helicopter has a two-seat cockpit and can be flown by either pilot. Its advanced flight capabilities – achieved in part thanks to its coaxial rotors – make the helicopter highly manoeuvrable in limited space and thus able to adopt an advantageous attack position.
•The Ka-52 Alligator’s two VK-2500 turboshaft engines allow the helicopter to operate at altitudes above 5,000m. It has a static ceiling of 4,000m, and is able to take off and land in hot climates and in high mountainous terrain. The Alligator can also operate in cold climates and icy conditions.
•The Ka-52 Alligator is equipped with the latest avionics suite and powerful offensive weapons that can be configured for a wide range of combat missions.
•The Ka-52 Alligator offers a high degree of protection to its crew, advanced automated systems for ease of piloting, and is easy to service and maintain on the ground.

http://defence-blog.com/news/russia-deploying-ka-52-combat-helicopter-to-airbase-hmeemeem-in-syria.html

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L’armée russe a reçu le premier "Terminator arctique"


© Sputnik. Host photo agency/Vladimir Astapkovich

Défense
17:01 19.03.2016


L’usine d'aviation d'Oulan-Oude a livré à l’armée russe le premier hélicoptère de transport militaire Mi-8AMTSh "VA", conçu pour des opérations dans l'Arctique.


Au total, la société a transmis au ministère russe de la Défense, 13 hélicoptères de transport militaire Mi-8AMTSh, dont un a été fait dans la version "Arctique", a rapporté Iouri Borisov, vice-ministre de la Défense.

Cet aéronef est construit sur la base d'un hélicoptère multirôle Mi-8AMTSh et dispose d'un arsenal d'armes impressionnant, c'est la raison pour laquelle il a été baptisé "Terminator". Plus précisément, sur ses supports, on peut trouver des missiles supersoniques antichars guidés, jusqu'à 4 paniers de 20 roquettes chacun, des canons, ainsi que deux mitrailleuses de 7,62 mm à la proue et à l'arrière de l'appareil.

En développant la version "arctique" de l'hélicoptère, les ingénieurs russes ont porté une attention toute particulière à trois composants principaux, indispensables pour les opérations dans les conditions du Grand Nord.

Tout d'abord, l'hélicoptère a été doté de moteurs à turbine à gaz plus puissants avec une transmission renforcée, aussi bien que d'une installation de propulsion auxiliaire à la puissance accrue. Cette dernière est nécessaire pour le fonctionnement autonome de l'appareil dans un aérodrome isolé, pour préparer le matériel pour le vol, pour réchauffer la cabine et les combinaisons de sauvetage en mer. L'autonomie de vol avec des réservoirs de carburant supplémentaires (deux externes et deux internes) s'élève à plus de 1.300 kilomètres.

Deuxièmement, pour que l'aéronef et l'équipage endurent les températures extrêmement basses, les ingénieurs ont pensé absolument tout contre le froid. Ils ont installé un dispositif de préchauffage pour la propulsion et la transmission. Les tuyaux des systèmes d'huile, d'alimentation et hydrauliques ont été renforcés et protégés. Bien sûr, la cabine et la soute ont reçu des dispositifs de chauffage additionnels. Pour protéger le Mi-8AMTSh contre le froid, les constructeurs ont employé des technologies utilisées dans les vaisseaux spatiaux.

Sans doute, le froid extrême pose des problèmes, mais ce qui est le plus dangereux c'est le terrain plat sans aucun repère, où il est facile de se perdre, par exemple les déserts neigeux de la toundra ou les champs de glace tous blancs de l'océan Arctique. C'est pourquoi à bord du "Terminator arctique" un pilote automatique numérique est installé qui améliore la précision du pilotage et de la navigation dans les conditions susmentionnées, aussi bien que pendant la nuit polaire arctique.


Les ingénieurs ont également installé sur cet hélicoptère un blindage amélioré en cermet léger et une nouvelle avionique, qui comprend notamment un radar météo, un système de navigation double (par satellite et inertiel), un équipement infrarouge, ainsi que des lunettes de vision nocturne pour les pilotes, aussi bien qu'un radiogoniomètre unique qui fonctionne sur toutes les fréquences d'urgence et dédié à la recherche des personnes en détresse.

D'ici à 2020, les forces armées russes doivent recevoir au moins encore quatre de ces appareils.

https://fr.sputniknews.com/defense/201603191023512614-armee-premier-terminator-arctique/

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Classe Akoula: les sous-marins nucléaires bientôt dotés de missiles de croisière Kalibr


© Photo. capture d'écran

Défense
12:30 20.03.2016(mis à jour 13:37 20.03.2016)


Les submersibles nucléaires d'attaque russes du projet 971 Chtchouka B (code Otan: Akoula) constituent la base des forces sous-marines polyvalentes du pays.


Les missiles de croisière russes Kalibr équiperont les sous-marins polyvalents modernisés du projet 971, a déclaré dimanche le chef de la direction Préparation au combat de l'état-major général de la Marine russe, le vice-amiral Viktor Kotchemazov.

"Pendant la période d'essai, il (le missile Kalibr, ndlr) a démontré des caractéristiques positives en tout point. Son tir de combat depuis le sous-marin Rostov-sur-le-Don montre que ce système a un avenir prometteur. Il équipera les sous-marins modernisés du projet 971", a-t-il expliqué sur les ondes d'une radio russe.

Quatre navires russes, dont trois du projet 21631, ont pour la première fois tiré 26 missiles de croisière 3M14 Kalibr-NK, dont la portée peut atteindre 2.000 kilomètres, depuis la mer Caspienne le 7 octobre 2015 pour détruire des sites du groupe terroriste Etat islamique (EI ou Daech) en Syrie. Tous les missiles ont atteint leurs cibles. Le 20 novembre 2015, des navires russes ont porté une nouvelle frappe contre les terroristes en Syrie, tirant 18 missiles de croisière Kalibr.

La famille des missiles Kalibr (code Otan: SS-N-27 Sizzler) comprend en outre une version pour sous-marins, les Kalibr-PL. Ces missiles équipent notamment le sous-marin nucléaire K-560 Severodvinsk (projet 885 Iassen) et les sous-marins à propulsion diesel-électrique Novorossiïsk et Rostov-sur-le-Don. En décembre 2015, le Rostov-sur-le-Don a également tiré des missiles Kalibr-PL contre les positions de Daech en Syrie depuis la mer Méditerranée.

https://fr.sputniknews.com/defense/201603201023521329-sousmarins-missiles-kalibr/

Citation :

Russia to upgrade its BTR-82A armoured personnel carrier to BTR-87


The manufacturer of armoured personnel carriers (APC) for Russian Armed Forces, Military-Industrial Company (Russian acronym: VPK, a subsidiary of the Basic Element Group) is developing new modification of the BTR-82A APC, according to 2015 presentation-statement of JSC "Hulls Plant" (a subsidiary of VPK).






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