messages : 1285 Inscrit le : 02/05/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Actualités Algeriennes Lun 25 Juil - 14:07
Rappel du premier message :
Pgm tu es trop gentleman est je te connais très bien pour ne pas jeter de fleurs c'est la pure réalité cependant lorsque tu essaies de discuter avec des personnes qui vivent dans le monde don quichote et qui combattent les moulins à vent tu ne fais leur donner la place qu'ils ne méritent pas laisses stp bouzebal aalik rah mama franca hia li tat3ref l had la population et je ne dis pas peuple car bezzaf aalihoum peuple mais bon une population sans histoire ni rien bref je jubile lorsqu'ils foncent droit dans le mur et qu'ils sont fier de ce suicide général je meurs de rire ils sont khaouar had nass ils n'ont même pas besoin d'un jim Jones pour un suicide massif hhhhhh
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iznassen Capitaine
messages : 935 Inscrit le : 22/06/2008 Localisation : belgique Nationalité : Médailles de mérite :
Le projet de la route qui relis tindouf et choum (1000 klm)est gelé par alger tou comme la transaharienne alger lagos.
Nouakchott a misé sur le conflit saharoui et ces relations tendues avec rabat pour demander financement complet d'alger au projet, après un ok rapide d'alger pour isoler le maroc..les algériens ont fait marche arrière et acceptent d'achever les travaux seulement de côté algérien de tindouf jusqu'a la frontière avant de geler complètement le projet...(les caisses sont vides mais le ministre algérien parle de coût tres élevé et la rentabilité car les échanges entre les deux pays sont très faible, il a déclaré que si les mauritaniens attendent qu'alger prend tou à sa charge , ils vont attendre beaucoup ) Dans un article publié par la presse Mauritanienne, le maroc à déjà refusé ce projet car la route traversera notre sahara.
http://anahar.info/node/2736
KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 03/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
Bssahatkom le drop du oil ojd ! J'espère que nos analystes (qui se prennent pour des golden boys au passage) puissent faire un bon hedging ...
Morgan pense que le pétrole verra 35$ à la fin de l'année. L'économie mondiale ralentir grandement. Il y a une crise profonde.
Selon moi, actuellement, une potentielle indication d'un false breakout se confirme et donc pas mal de chance de voir un drop next jours. Aller let's dive !
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
http://www.algerie-focus.com/2016/08/crise-banque-mondiale-prevoit-annee-2018-plus-austeres/ a écrit:
Economie algérienne/ La Banque Mondiale prévoit une année 2018 des plus difficiles
La Banque Mondiale prévoit une année 2018 des plus difficiles pour l’économie algérienne qui verra ses réserves de change chuter à un niveau critique.
L’analyse de la Banque Mondiale (BM) est basée sur l’impact de l’effondrement des prix du pétrole sur la réalité économique de l’Algérie. À partir des données actuelles et prenant en considération le projet de redressement économique du gouvernement, la BM a établi un schéma traduisant une difficulté accrue à surmonter la crise que traverse le pays.
La BM s’est particulièrement intéressée aux réserves de change de l’Algérie. Perçu comme étant le canot de sauvetage de l’économie algérienne, les réserves totales se sont amenuisées pour passer de «194 milliards de dollars en 2013 à 108 millions de dollars en 2016», et devraient, selon la BM, continuer à fondre pour atteindre les 60 milliards de dollars en 2018.
On remarquera que les chiffres fournis par la BM sont nettement plus pessimistes que ceux défendus par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Rappelons que ce dernier a assuré, le 13 juillet dernier, que les réserves se maintiendront à 111 milliards de dollars en 2019, tout en garantissant qu’elles ne glisseront pas sous le seuil des 100 milliards de dollars.
La BM a également abordé le sujet des mesures dites «correctives» adoptées par le gouvernement. Pour l’institution de Bretton Woods, les mesures adoptées par les pouvoirs publics depuis le 1er janvier 2016 «sont une première étape en direction d’une éventuelle réforme complète des subventions coûteuses et régressives de l’Algérie», notamment celles destinées au carburant et autres produits de première nécessité qui représentent «plus de 12 % du PIB».
Dans le même sillage, la BM met en avant le fait que «le budget permet aussi aux pouvoirs publics d’adopter d’autres mesures correctives si les prix du pétrole tombent au-dessous de 35 dollars le baril et d’emprunter sur les marchés extérieurs». Ces mesures concernent «les nouvelles licences d’importation, une augmentation des prix de l’électricité à un niveau plus proche de son coût et une nouvelle dépréciation de la monnaie».
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""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""
“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 9 Aoû - 13:35
Russia Today a écrit:
Algérie : en augmentation de 78%, la violence sociale explose
Confrontée à une hausse sans précédent de violences, la gendarmerie algérienne s'inquiète. Durant le deuxième trimestre de 2016, ont en effet été enregistrés cinq cas par jour de «troubles à l’ordre public», ainsi que 691 cas de conflits sociaux.
«L’analyse comparative par rapport à la même période de l’année précédente, fait ressortir une hausse de 78% pour les conflits sociaux et une baisse de 14% pour les attroupements», explique la gendarmerie nationale algérienne, commentant le bilan du deuxième trimestre 2016 de l’activité de sécurité publique générale et de la police judiciaire à Médéa, Alger, Boumerdès, Aïn Defla, Blida, Batna, Annaba, Guelma, Skikda et Mila.
La gendarmerie note également, sur la période, une augmentation de 15% des réquisitions rapporte le site d'information Tout sur l'Algérie. La cause ? Une situation sociale «préoccupante et marquée par la récurrence de contestations à caractère social», observe la gendarmerie dans son rapport.
Les conclusions du rapport n'épargnent pas les pouvoirs publics, que l'institution rend responsable de la vindicte populaire, mettant en lumière l'exaspération de la population face au manque d'infrastructures de base telles que le revêtement des routes, l’alimentation en eau potable, le raccordement au réseau du gaz et d’électricité ou encore la distribution des logements sociaux. #lien
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 9 Aoû - 13:55
http://www.tsa-algerie.com/20160809/echanges-commerciaux-lobbying-lalgerie-cherche-a-renforcer-relation-etats-unis/ a écrit:
ECHANGES COMMERCIAUX LOBBYING…
Comment l’Algérie cherche à renforcer sa relation avec les États-Unis
EN PLUS DE VOULOIR RENFORCER LES ÉCHANGES ÉCONOMIQUES ENTRE LES DEUX PAYS, L’ALGÉRIE CHERCHE ACTIVEMENT À RALLIER WASHINGTON À SES POSITIONS SUR DES QUESTIONS SENSIBLES DANS LA RÉGION.
La diplomatie algérienne est en mission en vue de renforcer la relation entre les États-Unis et l’Algérie. « Ce que nous demandons aux États-Unis est comment faire en sorte que les entreprises américaines aient leur part des opportunités offertes par l’Algérie », explique Madjid Bougherra, ambassadeur d’Algérie à Washington, dans une interview publiée, lundi 8 août, par Al-Monitor. « Les portes leur sont ouvertes dans de nombreux secteurs », a ajouté le diplomate.
Les échanges commerciaux entre les deux pays se sont effondrés ces dernières années, passant de 24 milliards de dollars en 2012 à 7 milliards l’année dernière. « Économiquement, nous avions des relations plus fortes quand les États-Unis importaient des hydrocarbures d’Algérie. Malheureusement, ce n’est plus le cas depuis l’année dernière », a déploré M. Bougherra.
En plus de vouloir renforcer les échanges économiques entre les deux pays, l’Algérie cherche activement à rallier Washington à ses positions sur des questions sensibles dans la région, principalement autour du Sahara occidental. Madjid Bougherra a notamment indiqué que « l’ONU doit reconstituer sa mission au Sahara occidental, expulsée par le Maroc en mars dernier, si l’on veut éviter un conflit armé ». « La crédibilité du Conseil de sécurité en dépend. Mais aussi le futur des opérations de maintien de la paix de l’ONU », a expliqué l’ambassadeur algérien. « Si le Maroc peut [expulser l’ONU] aujourd’hui, d’autres pays feront de même demain ».
Un cabinet de lobbying pour contrer le Maroc
Afin de faire avancer sa position sur le Sahara occidental à Washington, Al-Monitor indique que l’Algérie a fait principalement appel durant la dernière décennie aux services de la firme de lobbying Foley Hoag. Le lobbying effectué par deux lobbyistes a coûté 420 000 dollars en 2015 à l’Algérie. Un montant cependant dérisoire par rapport au lobby effectué par le Maroc, qui dépense une somme presque dix fois plus importante, souligne la même source.
Le lobbying marocain a notamment été responsable de l’inclusion d’une disposition dans le projet de budget américain de la Chambre des représentants faisant pression sur l’Algérie pour effectuer un recensement dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf. Une disposition qui a suscité la « profonde déception et inquiétude » de l’ambassadeur algérien.
Le lobbying algérien a de son côté surtout été fructueux au Sénat américain, où le projet de budget ne fait aucune mention d’un recensement et où il est au contraire accordé une aide d’1.4 million de dollars à l’Algérie pour la formation antiterroriste. Un montant de 100 000 dollars supérieur à la proposition du président américain Barack Obama, accordé par le Sénat en reconnaissance des « contributions de l’Algérie dans la lutte contre l’extrémisme dans la région ».
Liste noire
L’autre point majeur sur lequel la diplomatie algérienne souhaite influer les États-Unis est la présence de l’Algérie depuis 2011 sur la liste noire des pays concernant la traite d’êtres humains. L’Algérie est en effet classée dans la catégorie 3 du rapport annuel sur la traite d’êtres humains dans le monde établi par le Département d’État américain. Il s’agit de la pire catégorie des pays considérés comme ne respectant pas les normes internationales et ne faisant pas d’« efforts importants » en matière de lutte contre l’esclavage moderne. Une mauvaise image pour l’Algérie qui l’exclut également de facto de nombreuses formes d’aides internationales attribuées par les États-Unis.
Bien que Madjid Bougherra ait affirmé que l’Algérie ne cherche pas à bénéficier de l’aide américaine, qualifiant l’aide actuelle de « très symbolique », des documents publics montrent que la firme Foley Hoag a effectué un lobbying actif auprès du bureau des droits de l’Homme du Département d’État, chargé d’établir le classement, indique Al-Monitor. La même source rapporte également que la firme de lobbying a rencontré, en décembre dernier, Susan Coppedge, ambassadrice chargée de la surveillance et de la lutte contre la traite d’être humaines, moins de deux mois après sa nomination à ce poste.
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WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 9 Aoû - 15:08
http://lematin.ma/journal/2016/-l-algerie-est-reticente-a-reprendre-ses-nationaux-/252319.html a écrit:
Belgique
«L’Algérie est réticente à reprendre ses nationaux»
Les autorités algériennes «prétendent souvent» que leurs ressortissants en séjour illégal en Belgique sont marocains, c’est ce qu’a indiqué Theo Francken, secrétaire d’État belge à l’Asile et la Migration.
Le secrétaire d’État belge à l’Asile et la Migration, Theo Francken, a indiqué que les autorités algériennes «prétendent souvent» que leurs ressortissants qui font l’objet d’ordres de quitter le territoire belge pour séjour illégal ou actes criminels, sont marocains.
«L’Algérie est réticente à reprendre ses nationaux. Les autorités prétendent souvent que les personnes concernées sont marocaines. Et comme ces personnes n’ont pas de papier, ou prétendent ne pas en avoir, l’identification est très difficile», a déclaré Theo Francken dans des déclarations publiées, mardi, par les médias belges.
Le ministre belge répondait aux critiques dont il fait l’objet au lendemain de l’attaque à Charleroi de deux policières par Khaled Babbouri, un Algérien de 33 ans, qui avait fait l'objet de deux ordres de quitter le territoire, mais qui y séjournait toujours, faute d’accord avec Alger.
L'auteur de l'agression a été abattu par la police. Le secrétaire d’État belge a pointé du doigt la difficulté de renvoyer quelqu’un vers l’Algérie.
«L’auteur de l’attaque a fait l’objet de deux ordres de quitter le territoire, en 2012 et 2014, mais il se fait qu'il vient d’un pays avec lequel la collaboration est particulièrement difficile», a-t-il expliqué.
Deux policières avaient été abattues, samedi, près d'un commissariat de police à Charleroi par cet algérien connu des services de police pour délits de droit commun.
- See more at: http://lematin.ma/journal/2016/-l-algerie-est-reticente-a-reprendre-ses-nationaux-/252319.html#sthash.tgH5Umuq.dpuf
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mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2510 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 9 Aoû - 18:26
On dit que les peuples n'ont que les dirigeants qu'ils méritent, mais nos frères algériens ne méritent pas ça !
KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 03/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 10 Aoû - 18:42
T'es frères algériens méritent pire que cela ! Ça méritent aussi le drop du oil ! N'oublie pas que lorsque tes ffrères algériens sont "fort" financièrement et politiquement, ils nous font la misère à notre cause nationale !
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 10 Aoû - 19:04
KapMajid a écrit:
T'es frères algériens méritent pire que cela ! Ça méritent aussi le drop du oil ! N'oublie pas que lorsque tes ffrères algériens sont "fort" financièrement et politiquement, ils nous font la misère à notre cause nationale !
http://www.algeriepatriotique.com/fr/article/independent-alarmiste-%C2%ABlalg%C3%A9rie-risque-la-faillite-dans-moins-de-cinq-ans%C2%BB a écrit:
The Independent alarmiste : «L'Algérie risque la faillite dans moins de cinq ans»
Selon le journal britannique The Independent, l'Algérie fait partie des pays pétroliers qui risquent de déclarer faillite dans moins cinq ans. Se basant sur l'analyse des données économiques de ces pays, The Independent affirme que rien n'a été fait pour éviter la banqueroute et que les réserves dont disposent ces pays arabes ne vont pas tenir cinq ans.
Cette faillite «prévisible» va ainsi toucher l'Algérie, l'Arabie Saoudite, le Yémen, l'Iran, la Jordanie, l'Irak, le Bahreïn et la Libye. Trois pays pétroliers semblent être à l'abri d'un tel scénario. Il s'agit du Qatar, des Emirats arabes Unis et du Koweït qui «ont su diversifier leur économie et réduire considérablement leur dépendance des hydrocarbures», écrit le journal britannique.
Le journal, qui met en avant des arguments objectifs, relève l'aggravation des déficits dont souffrent ces pays. Au premier trimestre 2016, l'Algérie a déjà enregistré un déficit commercial de l'ordre de onze milliards de dollars. Un déficit qui se creuse de jour en jour poussant ainsi le gouvernement au gel puis à l'annulation pure et simple de tous les projets non lancés au 30 juin 2016. Même le louable projet de construction de cinq centres hospitalo-universitaires pour combler un déficit énorme en la matière a été renvoyé aux calendes grecques.
The Independent cite dans ce sillage les différents rapports de la Banque mondiale et du Fonds monétaire internationale (FMI) qui prévoient un choc financier dans les toutes prochaines années en Algérie. Le journal britannique classe l'Algérie avec d'autres pays arabes en guerre comme le Yémen, la Libye et l'Irak pour son «sombre avenir» économique. Les réformes annoncées ici et là par le gouvernement n'ont finalement fait que retarder cette faillite aux conséquences désastreuses à tout point de vue, relève le journal. Alarmisme excessif ou analyse scrupuleuse ? L’avenir nous le dira.
L'article de l'independent
http://www.independent.co.uk/news/business/news/one-chart-that-shows-which-middle-eastern-countries-could-run-out-of-money-in-less-than-five-years-a6709511.html a écrit:
One chart that shows which Middle Eastern countries could run out of money in less than five years
Iraq, Iran, Oman, Algeria, Saudi Arabia, Bahrain, Libya and Yemen could run out of cash in five years or less
raq, Saudi Arabia and Libya are among the Middle Eastern countries that could run out of money in less than five years because of the fall in the oil price, according to the International Monetary Fund.
The countries in the red bracket could run out of cash in five years or less; Iraq, Iran, Oman, Algeria, Saudi Arabia, Bahrain, Libya and Yemen are most at risk.
Some Middle Eastern countries, such as Kuwait, Qatar and the UAE, have shifted away from their reliance on oil, after prices fell by more than half in a year.
But large budget deficits in Iraq, Iran, Oman, Algeria, Saudi Arabia, Bahrain, Libya and Yemen means that if these countries do not seek to diversify their economies or borrow money, they will run out of cash in five years or less.
Of these Iran, which is less reliant on oil, is expected to fare better than countries that suffer from conflict, such as Libya and Yemen.
The IMF classifies Iraq, Libya and Yemen as fragile states because of regional conflict. This has led to sharp drops in GDP and higher inflation. The cost of conflicts in terms of people and infrastructure also makes it harder for these countries to recover.
“All oil exporters will need to adjust to the new low oil price,” the IMF warned. It said that even countries with higher buffers like Kuwait, Qatar and the UAE who can survive more than 20 years of low oil prices need to act now to adjust their reliance on oil, because prices are expected to remain low.
Saudi Arabia is the world’s largest oil producer but must sell oil at $106 a barrel to balance its books. It has started to look at other ways of raising cash, such as selling bonds. Earlier this year the country raised $4 billion by selling bonds.
Energy price reforms in countries such as Iran, Kuwait and the UAE reduced the gap between local prices and international benchmark prices however the IMF notes that savings being made as a result are still relatively modest.
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Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 10 Aoû - 19:35
L’Égypte est déjà en faillite et va se jeter aux bras du fmi, la Libye c'est mad max, la Tunisie trop instable politiquement et bientôt l’Algérie aux abois aussi. L'avenir du monde arabe ne s'arrange pas et celui de l’Afrique du nord encore moins. Quand on sait que le sahel et le sinai sont des no man's land de daech et tous le groupes terroristes, bientôt notre pays deviendra une île.
ralek1 Colonel-Major
messages : 2062 Inscrit le : 27/04/2016 Localisation : Lyon Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 11 Aoû - 11:04
Citation :
Etats-Unis : Alger déploie tous ses efforts contre le projet pour le recensement à Tindouf
Aux Etats-Unis, la diplomatie algérienne mène une course contre la montre pour convaincre les représentants américains de retirer leur demande de recensement de la population des camps de Tindouf. Dans des déclarations à la presse, l’ambassadeur algérien à Washington accuse le Maroc d’être à l’origine de l’initiative.
Il y a un mois, nous vous annoncions le recensement de la population des camps de Tindouf à la demande de plusieurs représentants américains. Depuis, la diplomatie algérienne tente de mobiliser tous ses relais à Washington. En plus de l’Algeria Caucus, le bureau de lobbying Foley Hoag a été appelé en renfort pour limiter la casse. Les interventions annuelles des deux lobbyistes en faveur des positions du voisin de l’Est et du Polisario ont coûté en 2015 420 000 dollars à l’Etat algérien. Le montant a été révélé par l’ambassadeur Madjid Bouguerra dans des déclarations au site d’information Al-Monitor, le média qui avait révélé le projet des représentants américains d’inclure dans le budget 2017 du département d’Etat une disposition réclamant l’enregistrement des habitants de Tindouf. A ce chiffre, il faut ajouter les centaines de milliers de dollars déboursés chaque année en faveur du Centre Robert Kennedy des droits de l’homme, présidé par Kerry Kennedy. Le lobbying marocain aux Etats-Unis dans le viseur de la diplomatie algérienne Pour l’instant, la bataille est loin d'être gagnée pour les Algériens. Malgré les différentes opérations de lobbying, les représentants américains n’ont pas encore révisé leur position initiale. Ils s’accrochent au recensement de la population des camps de Tindouf. En revanche, les sénateurs n’ont pas présenté la même requête, ce qui laisse croire à Alger que sa campagne de mobilisation a - en partie - porté ses fruits. Madjid Bouguerra a par ailleurs accusé le lobbying marocain à Washington d’être à l’origine de l’initiative des représentants américains. Ce dernier semble toutefois largement surestimer l’influence marocaine à la Chambre des représentants des Etats-Unis. Difficile en effet de croire que Rabat a les moyens de persuader 435 élus. En témoigne la lettre signée, en juin dernier, par seulement 16 membres du Congrès (républicains et démocrates) demandant au président Barack Obama de réviser sa politique vis-à-vis du Maroc. Le soutien au royaume avait montré ses limites et ce fut, sans aucun doute, un revers pour le Moroccan American Center for Policy, présidé par l’ancien ambassadeur américain au Maroc, Edouard Gabriel, auteur de l’initiative. La prochaine rentrée politique des Etats-Unis sera décisive pour les Algériens. L’inclusion dans le budget 2017 par les services de John Kerry d’une disposition réclamant le recensement des habitants de Tindouf serait un coup dur pour la diplomatie algérienne outre-Atlantique.
_________________ "C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard". William Shakespeare ; Hamlet (1603)
Socket-error General de Division
messages : 6763 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 11 Aoû - 15:06
Des nouvelles du chantier du siècle, l'autoroute EST-Ouest l'une des plus cher au Monde !!
Citation :
Autoroute est-ouest : les quatre erreurs du gouvernement
La situation d’abandon que connaît le tronçon de 84 km de l’autoroute Est-Ouest traversant le territoire de la wilaya d’El Tarf est le dernier épisode d’une série d’échecs et de scandales qui ont émaillé la réalisation de la première autoroute algérienne.
Théoriquement, le projet, lancé en septembre 2006, devait être entièrement achevé au plus tard en 2010. Mais près de dix ans après le lancement des travaux, l’autoroute Est-Ouest est toujours en chantier. Une partie des tronçons livrés est déjà en travaux. Ce qui devait être le projet du siècle s’est transformé dès 2010 en scandale du siècle. La cause ? Une succession d’erreurs politiques et techniques.
La première erreur : une étude bâclée. Sur certains tronçons, les entreprises de réalisation (Citic-Crcc et Cojaal) ont dû improviser à la demande du ministre Amar Ghoul pour pallier les carences de l’étude. C’est en partie ce qui explique les énormes surcoûts réclamés à l’Algérie par les deux entreprises. Autre anomalie : les stations-service et les aires de repos n’étaient pas prévues dans le projet initial. Leur réalisation a été lancée après la livraison du projet. Sur de nombreuses stations, les travaux sont toujours en cours.
La deuxième erreur est d’avoir opté exclusivement pour des entreprises étrangères dans la réalisation du projet. En excluant les entreprises locales, le gouvernement les a privées d’un accès à un savoir-faire nécessaire en matière de réalisation de projets similaires. Il s’est également privé d’un élément essentiel dans la conduite des grands projets : l’accès à l’information sur le déroulement du projet. Les entreprises algériennes engagées sur un projet peuvent être d’un apport considérable en tenant informé l’administration de l’avancée des projets, des problèmes rencontrés, etc.
La troisième erreur est le choix du mode de financement. Le gouvernement a opté pour un financement en fonds propres prélevés sur le budget de l’État alors que d’autres solutions techniques s’offraient à lui. D’abord, le système de concession qui a été proposé à l’époque par le groupement algéro-américain Bechtel et Cosider. Il consiste à réaliser une autoroute à péage financée par les deux entreprises qui vont ensuite l’exploiter et l’entretenir pendant une durée donnée.
Le gouvernement pouvait aussi solliciter des financements de la part des institutions financières internationales comme la Banque européenne d’investissement BEI ou la Banque Mondiale. L’avantage d’une telle formule est double : obtenir de l’argent et accéder à une expertise en matière de gestion de ce type de projet. Un co-financement avec une institution internationale reconnue aurait aussi permis un meilleur contrôle des intervenant et éviter les scandales de corruption.
Enfin, l’Algérie aurait pu opter carrément pour un crédit concessionnel de la part d’un État. C’est d’ailleurs la solution qui a été retenue pour la réalisation du grand port du centre.
Le gouvernement a donc opté pour les mauvaises solutions dès le départ. Trop confiant dans la capacité des groupes étrangers à réaliser les projets, le gouvernement s’est aperçu en retard que l’argent seul n’était pas suffisant pour réaliser de grands projets d’infrastructure.
La quatrième erreur du gouvernement sur ce dossier est d’avoir confié la gestion du projet à Amar Ghoul, à l’époque ministre des Travaux publics. Cadre du MSP avant de créer son propre parti, Ghoul a politisé le projet en plaçant ses hommes, souvent des militants du MSP, aux postes clés à l’Agence nationale des autoroutes, au détriment des compétences. Il a écarté les ingénieurs compétents pour placer des cadres dociles et fidèles.
Ses nombreuses visites politiques sur le chantier ont perturbé la conduite des travaux. Il avait empiété sur les prérogatives du bureau d’études chargé du suivi, de l’entreprise de réalisation, empêchant ainsi les différentes parties de mener à bien à leurs missions.
Le ministre s’est également trop immiscé dans les questions techniques, ordonnant par exemple la réalisation des glissières de sécurité en béton alors qu’une telle option n’était pas nécessaire sur tous les tronçons.
Amar Ghoul a voulu aller vite pour livrer le projet dans les délais, au détriment de la qualité des travaux. Résultat : des travaux de réparation de plusieurs tronçons ont été lancés juste après leur livraison. Par ailleurs, Amar Ghoul a ordonné la réalisation de travaux supplémentaires qui sont en partie à l’origine de surcoûts importants qui ont engendré des problèmes entre les entreprises de réalisation et l’ANA. Ces problèmes de paiement, inexplicables, ont ouvert une brèche où se sont engouffré les intermédiaires et les réseaux de corruption, ce qui a conduit à l’éclatement du scandale de corruption en 2010. http://www.tsa-algerie.com/20160811/autoroute-ouest-quatre-erreurs-gouvernement/
Citation :
Réalisation de l’autoroute Est-Ouest : un tronçon de 84 km laissé à l’abandon
Le projet de l’autoroute Est-Ouest n’en finit pas avec les scandales. Le tronçon de 84 km, entre Dréan à la sortie Est d’Annaba et la frontière tunisienne, est laissé à l’abandon.
À l’abandon depuis plusieurs années, ce tronçon où des terrassements et des ouvrages d’art ont été réalisés, se dégrade, selon nos sources. « Il n’y a aucune entreprise sur le chantier. Le projet est laissé à l’abandon. La partie de l’autoroute Est-Ouest qui traverse la wilaya d’El Tarf est longue de 87 km, il n’y a que 3 km qui ont été réalisés », déplore une source proche du dossier.
Cette situation risque de coûter cher à l’ANA et d’alourdir davantage la facture du projet. « Il faut reprendre rapidement les travaux pour stopper la dégradation des parties réalisées comme le corps de chaussée, les ouvrages d’art. Toutes les protections des talus et des ponts n’ont pas été réalisées, alors qu’elles sont indispensables pour éviter d’entamer des travaux de réparation qui vont avoir des coûts supplémentaires », explique une source proche du dossier.
Attribué en 2006 à Cojaal pour 5,2 milliards de dollars, le tronçon Est entre Bordj Bou-Arreridj et la frontière tunisienne sur 400 km, devait être achevé en 2010. Les problèmes de paiement des travaux supplémentaires qui ont surgi entre Cojaal et l’ANA ont retardé l’avancée des travaux. En octobre 2014, le gouvernement algérien avait même menacé de résilier le contrat avec le groupement japonais, avant de se rétracter. Depuis, le projet est l’arrêt.
Annoncées en juillet 2015 par l’ancien ministre des Travaux publics Abdelkader Ouali, les négociations entre le groupe japonais et l’Agence nationale des autoroutes (ANA) pour la relance du chantier, n’ont pas encore abouti. Les Japonais réclament.
Outre le tronçon d’El Tarf qui est laissé à l’abandon, d’importants travaux de réparation ont été lancés sur plusieurs parties de l’autoroute pour corriger les malfaçons dans la réalisation, transformant ce projet, qui a englouti plusieurs milliards de dollars, en chantier interminable. http://www.tsa-algerie.com/20160810/realisation-de-lautoroute-ouest-troncon-de-84-km-laisse-a-labandon/
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Barsdz Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 12/08/2014 Localisation : in the water Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 11 Aoû - 17:55
Citation :
Production d'hélicoptères à Sétif: Signature d'un protocole d'accord entre le MDN et l'italien Leonardo-Finmeccania
ALGER- Un protocole d'accord de partenariat industriel et commercial portant sur la production d'hélicoptères de marque AugustaWesland sur le site d'Ain Arnat (Sétif) a été signé jeudi à Alger par le ministère de la Défense nationale (MDN) et le groupe italien Leonardo-Finmeccanica (SPA-Italie), indique un communiqué du MDN.
Le proctole s'inscrit "dans le cadre de la concrétisation du programme de relance économique, initié par son excellence le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, visant à redynamiser l'industrie nationale et de l'intérêt que porte le Haut commandament de l'Armée nationale populaire au développement des fabrications militaires, pour contribuer au progrès national et renforcer ses potentiels", précise la même source.
Les parties à ce protocole "ont convenu dès cette année de créer une société commune algéro-italienne dédiée à la fabrication d'hélicoptères légers et moyens sur le site industriel d'Aïn Arnat".
"Il est fixé à cette société, dès les premières années et après construction des installations, l'objectif majeur de produire trois types d'hélicoptères légers et moyens pour divers usages, parmi lesquels le transport de personnels et de cargaisons, l'évacuation sanitaire, la surveillance et le contrôle", souligne le communiqué du MDN.
Cette société "bénéficiera dès son lancement d'un réseau de distribution local et à l'international, et d'un service après-vente incluant l'ensemble des échelons de réparation", note la même source.
Il convient de souligner, ajoute le MDN, que "cette société disposera en dernier lieu d'un appareil de formation et de qualification pour ses propres besoins et ceux des clients".
De surcroît, ce programme industriel "est à même de soutenir, au niveau national, le développement des activités de haute technologie dans les domaines de métériaux composites, de mécanique de précision, de l'électronique et de l'optoélectronique", conclut le communiqué du MDN. http://www.aps.dz/economie/45533-production-d-h%C3%A9licopt%C3%A8res-%C3%A0-s%C3%A9tif-signature-d-un-protocole-d-accord-entre-le-mdn-et-l-italien-leonardo-finmeccania
PGM Administrateur
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 11 Aoû - 18:32
Une idée du montant du projet et de la répartition de l'actionnariat ?
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WRANGEL General de Division
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 11 Aoû - 18:35
http://www.tsa-algerie.com/20160811/mauvaises-nouvelles-senchainent-lalgerie-de-sortie-de-crise-vue/ a écrit:
DÉCRYPTAGE
Les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour l’Algérie : pas de sortie de crise en vue
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a publié, ce jeudi 11 août, son rapport mensuel sur la situation du marché pétrolier et ses perspectives. Il en ressort une baisse de la demande prévue en 2017 à 1,2 million de barils par jour (bpj), contre 1,4 million de bpj en 2016, selon les dernières estimations de l’AIE. En juillet dernier, l’offre mondiale de brut a augmenté de 800 000 bpj, soutenue à la fois par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et par les pays producteurs non-Opep, indique la même source.
Dans le même temps, l’agence estime tout de même qu’il n’y aura « pas de surabondance de l’offre durant la deuxième moitié de l’année » en cours. La production mondiale devrait reculer de 1 million de bpj entre juillet et septembre, estime l’AIE. Cela dit, la même institution et des experts pétroliers ont rapidement tempéré leur optimisme, indiquant que les prix du baril resteront « sous pression » en 2017, à cause d’une hausse prévue de la production mondiale et d’une demande encore trop molle pour soutenir les cours.
Une situation qui n’arrange aucunement l’Algérie. Une mauvaise nouvelle qui vient s’ajouter à une série d’informations négatives. Le pays fait face à une crise multiforme. Que ce soit sur le plan social, politique ou économique, les mauvaises nouvelles s’enchaînent et reflètent une situation qui se détériore. Malheureusement, les perspectives de sortie de crise sont limitées. Au contraire, le pays va au-devant d’une situation particulièrement complexe à partir de 2017, notamment sur le plan budgétaire.
Les rapports alarmistes s’empilent
C’est un fait assez marquant pour être relevé : la Gendarmerie nationale s’inquiète, dans un rapport publié récemment, de la « situation sociale préoccupante ». À plusieurs reprises, ce corps des forces de sécurité rappelle les « foyers de tensions » et les « contestations à caractère social », citant « revêtement des routes », « l’alimentation en eau potable », le « raccordement au réseau du gaz et de l’électricité et la distribution des logements sociaux » comme causes principales.
Des éléments qui sont clairement du ressort des pouvoirs publics et de la politique socio-économique du gouvernement. Or, avec la crise, l’argent manque. Et l’État ne pourra pas dégager les sommes nécessaires pour répondre aux nombreuses attentes exprimées par les citoyens. Les revendications risquent d’augmenter dans les prochains mois.
Les institutions de Bretton Woods s’inquiètent « poliment »
De leur côté, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale (BM) évoquent les difficultés qui attendent l’Algérie dans les mois et années à venir. Le chef de mission du FMI en Algérie, Jean-François Dauphin, a mis avant cinq grandes recommandations à l’Algérie pour « doper les perspectives de croissance ».
Pour la énième fois, le FMI distille des conseils au gouvernement algérien. Des suggestions qui s’imposent comme des évidences depuis des années. Mais le fait que le FMI répète sans cesse les mêmes choses témoigne du fait que les réformes entreprises ces dernières années sont, au mieux, insuffisantes. En réalité, aucune réforme sérieuse n’a été engagée.
De plus, même admettant que des réformes sérieuses et profondes soient entreprises dès la prochaine Loi de finances (pour 2017), il faudra attendre plusieurs années pour récolter les fruits d’une nouvelle politique. Il y a pourtant urgence à réagir, tant que l’Algérie dispose d’un matelas financier relativement conséquent.
Les réserves de change fondent plus vite que prévu
Or, ce matelas rétréci à vue d’œil. De son côté, la Banque mondiale a récemment émis des projections quant à l’évolution des réserves de change du pays. De 194 milliards de dollars en 2013, elles devraient atteindre 108 milliards de dollars à la fin de l’année en cours, selon les estimations de la Banque mondiale.
Cela dit, les réserves de change devraient sérieusement plonger dans les prochains mois, à mesure que les termes de l’échange se dégrade pour l’Algérie : le pays ne disposerait plus que de 60 milliards de dollars à l’horizon 2018. Ceci révèle une accélération de la fonte et une sollicitation accrue de ces précieuses réserves.
Aucune dynamique sérieuse de réformes
Pour la première fois depuis plusieurs années, le gouvernement a pris des mesures intéressantes dans la Loi de finances 2016. C’est le cas de la hausse des prix de l’énergie (carburants, électricité, gaz). Cette décision a rapidement porté ses fruits avec une baisse de la consommation de carburants. La seconde réside dans la tentative de redynamiser les marchés de capitaux, à travers le lancement d’un emprunt obligataire, bien que cette dernière soit un échec en ce qui concerne l’objectif initial de récolter les fonds de l’économie informelle.
Cela dit, le gouvernement ne va pas assez loin, selon la majorité des experts. Sans doute tétanisé par la perspective de prendre des mesures impopulaires et potentiellement difficiles à faire passer d’un point de vue social, les dirigeants se contentent, pour l’instant d’apporter des modifications marginales à la politique économique (et sociale) du pays.
C’est notamment le cas du ministère de l’Industrie. La « nouvelle » loi sur l’investissement, dont les textes d’applications sont prévus pour la fin de l’année au plus tôt, se limite à des changements de forme, mais pas de fond. Des mesures cosmétiques consistant à déplacer une réglementation controversée d’un texte à un autre, sans y changer la moindre virgule.
Pour preuve, aucun journal spécialisé sérieux ne fait état de réformes ambitieuses ou de dynamique de changement dans le paysage économique algérien. Même l’ambassadeur d’Algérie aux États-Unis, Madjid Bougherra ne l’a pas évoqué dans son long entretien avec le média Al Monitor, consacré à la relance des relations économiques entre les deux pays. C’est dire le crédit porté à ce type de texte.
Le péril budgétaire
En fin de compte, le principal défi de l’Algérie consiste à rééquilibrer son budget et sa balance commerciale. Une tâche titanesque, tant les déficits sont colossaux : un trou de 30 milliards de dollars dans le budget de 2016 et une balance commerciale déficitaire de près de 26 milliards de dollars en 2015.
Pire, les rentrées fiscales sont amenées à s’amenuiser d’ici l’année prochaine. Comme une bombe à retardement, les impôts des sociétés notamment seront réduits avec l’impact de la crise sur leur activité. Etant donné que l’État perçoit les revenus fiscaux avec un décalage d’un an, les finances publiques n’ont pas encore ressenti le choc. Mais les impôts de 2016, perçus en 2017, reflèteront un sérieux ralentissement de l’activité.
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“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
Barsdz Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 12/08/2014 Localisation : in the water Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 11 Aoû - 18:36
Rien d'officiel pour se que je t'annonce mais je pense pour l'actionnariat ces la règle du 51/49
Barsdz Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 12/08/2014 Localisation : in the water Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 11 Aoû - 21:32
La prochaine réunion de L'OPEP et d'autres exportateurs sera cruciale à Alger au mois de Septembre:
Citation :
Des discussions entre pays de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et d’autres exportateurs majeurs (hors-Opep) auront lieu à Alger en septembre prochain, en marge du Forum mondial de l’Énergie (FME), affirme le ministre saoudien du Pétrole, Khalid Al Falih, selon des propos rapportés, ce jeudi 11 août, par l’agence Reuters.
« Nous aurons une rencontre ministérielle du FME en Algérie le mois prochain et c’est une opportunité pour les ministres de l’Opep et de pays exportateurs majeurs non-Opep de se rencontrer et de discuter de la situation du marché, y compris de toute action possible nécessaire pour stabiliser le marché », a affirmé le ministre saoudien, selon l’agence officielle d’Arabie saoudite SAP. En réaction à l’annonce, le prix du baril de Brent, coté à la bourse ICE de Londres, a immédiatement bondit de plus de 5%, dépassant la barre des 46 dollars à 17h. Cette sortie médiatique, inattendue au regard de l’intransigeance passée du principal producteur de l’Opep (et du monde) face à toute mesure consistant à réduire l’offre, fait donc du bien au cours du pétrole.
Ce rebond contraste avec la morosité du marché, en repli ces derniers jours, suite à la série de publications sur les stocks de brut américains – en hausse surprise – et sur les perspectives de la demande mondiale de pétrole pour 2016 et 2017. Reste à savoir si cette hausse va se poursuivre et résister à l’afflux de mauvaises nouvelles qui caractérisent le secteur depuis deux ans. http://www.tsa-algerie.com/20160811/petrole-declaration-ministre-saoudien-petrole-flamber-cours/
Adam Modérateur
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 14 Aoû - 0:37
Russia Today a écrit:
Algérie : la France n’a pas à craindre la concurrence américaine sur le plan économique
Il faut lire les propos de l’ambassadeur d’Algérie à Washington, incitant à approfondir les relations entre Alger et Washington, en lien avec les relations entre les Etats-Unis et le Maroc, estime la directrice du programme du Moyen Orient à l’IFRI.
RT France : L’ambassadeur d’Algérie aux Etats-Unis, Madjid Bouguerra, a déclaré dans une interview à Al-Monitor la volonté de l’Algérie de s’ouvrir davantage aux Etats-Unis afin de renforcer les liens économiques entre les deux pays. Comment interpréter cette déclaration ?
Il ne s’agit pas d’une ouverture, il s’agirait plutôt d’une volonté de renforcement et d’approfondissement des relations
Mansouria Mokhefi (M. M.) : L’Algérie est déjà ouverte sur tout ce monde-là depuis bien longtemps, depuis qu’elle a rompu avec son idéologie et sa gouvernance socialiste, elle s’est ouverte à l’économie de marché, au pluralisme etc. Par ailleurs, elle est aussi devenue un excellent allié, digne de confiance, justement avec les Etats-Unis, avec l’Europe et avec l’ensemble des pays occidentaux, que ce soit sur le plan économique ou sécuritaire. Mais les relations économiques ont toujours été forcément marquées par le secteur énergétique. Or, aujourd’hui, avec le changement de la donne énergétique sur le marché mondial, avec l’indépendance des Américains sur le plan du pétrole et du gaz, ces derniers sont des clients beaucoup moins importants qu’ils ne l’ont été jusqu’à présent. Aujourd’hui, l’Algérie s’en rend compte. Il ne s’agit pas d’une ouverture, l’ouverture est là depuis longtemps, il s’agirait plutôt d’une volonté de renforcement et d’approfondissement des relations.
L’Algérie ne produit pas grand-chose
RT France : Est-ce que ce renforcement de la coopération va profiter aux Etats-Unis, du fait qu’ils n’importent plus les hydrocarbures algériens dans les mêmes volumes qu’avant ?
M. M. : L’intérêt pour la région et pour ce pays est très clair. C’est d’abord et avant tout la coopération sur le plan de la lutte anti-terroriste, du renseignement et sur le plan militaire. Au plan économique, cette région n’est pas du tout fondamentale ni cruciale pour les Américains, d’autant plus que leur indépendance énergétique a considérablement amoindri les volumes d’échanges avec l’Algérie. Il faut savoir que l’Algérie ne produit pas grand-chose. Les Américains sont très attentifs au positionnement du pays sur le plan politique et militaire. Ils considèrent que c’est un allié incontournable pour la région et indispensable pour sa sécurisation et sa stabilisation. Ce n’est pas du tout un client ou un partenaire économique d’importance, bien moins que le Maroc. C’est peut-être dans le cadre des relations entre les Etats-Unis et le Maroc qu’il faut lire la déclaration de l’ambassadeur algérien.
La relation entre Rabat et Washington demeure beaucoup plus solide et importante que la relation avec l’Algérie
RT France : Est-ce que les Etats-Unis vont intervenir sur le plan politique, dans le domaine du différend entre le Maroc et l’Algérie sur le Sahara occidental ?
M. M. : Les Etats-Unis ont pris parti depuis très longtemps. Ils soutiennent la position marocaine comme de plus en plus de pays. La position marocaine s’appuie sur le soutien très important, constant depuis le début, des Etats-Unis et de certains pays de l’Europe, notamment de la France.Ce soutien est très solide et important, même si les Etats-Unis ont émis certaines critiques depuis deux ans en ce qui concerne à la fois la gestion de la question du Sahara occidental et la question des droits de l’homme au Maroc. Malgré cela – et en dépit du fait que les Marocains ont développé une diplomatie tous azimuts vers des pays avec lesquels ils n’ont jamais eu de partenariat important, comme par exemple la Russie, la Chine ou l’Inde –, la relation entre Rabat et Washington demeure très solide et très importante. Elle l’est beaucoup plus que la relation avec l’Algérie.
RT France : Une coopération économique accrue avec les Etats-Unis ne va-t-elle pas faire les Etats-Unis changer d’avis sur la question du Sahara occidental ?
M. M. : Effectivement, cela ne va pas changer leur opinion sur la question. De toutes façons, c’est un conflit qui dure depuis des décennies, mais qui n’occupe pas une place d’importance dans les dossiers américains. Cette question est laissée un peu au Maroc, elle n’est pas résolue malgré les différents médiateurs nommés par les Américains, par l’ONU, tout cela n’a rien donné. Aujourd’hui, il existe des considérations d’importance beaucoup plus vitales et existentielles, à la fois pour les Etats-Unis et pour les pays de la région : la Libye, l’insécurité, la Tunisie, le Mali, la montée du djihadisme au Maroc, l’instabilité chronique de l’Algérie et d’autres, mais pas le Sahara occidental.
Il ne faut pas voir cette déclaration comme une espèce de concurrence potentielle avec la France
RT France : La France a perdu son statut du premier investisseur en Algérie. Avec l’éventuelle arrivée des Etats-Unis, pensez-vous que la France et ses positions vont encore reculer ?
M. M. : Il n’y a rien sur le marché algérien à part les hydrocarbures et les Américains ne sont plus demandeurs. Que l’ambassadeur d’Algérie sollicite des entreprises américaines, c’est normal, ça fait partie de son boulot, mais cela ne peut pas faire venir les Américains sur le marché algérien.
Rien ne peut pour le moment remettre en cause la position de la France, elle est présente dans les domaines vitaux de l’Algérie, que ce soit l’eau, l’électricité, le secteur routier, les hôpitaux, la pharmaceutique, l’agriculture... C’est peut-être parce que cette relation est très lourde et importante que l’Algérie se tourne vers d’autres partenaires. Mais il faut avoir quelque chose à offrir. Les Américains l’ont toujours dit, ils sont conscients du potentiel de l’Algérie avec sa population, une jeunesse dynamique… Mais ils savent aussi, comme tous les investisseurs que le climat d’investissement et des affaires est très mauvais, qu’il est difficile, et personne ne se précipite véritablement. Il faut avoir quelque chose à offrir et pas simplement être potentiellement un marché très prometteur. La bureaucratie, le poids de la corruption, ce sont des facteurs qui pèsent sur ce climat, le rendent peu attractif et qui ont déjà découragé beaucoup de monde. Il ne faut donc pas du tout voir cette déclaration comme une espèce de concurrence potentielle avec la France, pas du tout.
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Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 14 Aoû - 15:22
MondAfrique a écrit:
Economie : Alger met le cap sur l’Asie
Les dirigeants algériens ne cachent plus leur préférence pour les partenariats économiques avec les pays asiatiques. Au détriment de l'Europe.
Pour contrer les préférences affichées des investisseurs occidentaux pour le Maroc ou d’autres pays d’Afrique subsaharienne, les dirigeants algériens disent désormais vouloir composer avec les puissances émergentes de l’Asie. Actuellement, tous les grands projets sont confiés aux entreprises de ces pays avec lesquels Alger espère bâtir un partenariat qui permettra au pays de sortir de la crise financière.
Au début du mois d’août, le ministre algérien de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, s’est rendu en Indonésie pour visiter les installations industrielles du pays. A son retour, Bouchouareb n’a pas caché son admiration face aux réalisations indonésiennes. Mieux, sur le site de l’usine d’Indorama, l’une des principales filiales de fabrication de polymères en Indonésie, Bouchouareb a clairement évoqué l’ambition algérienne de nouer des partenariats dans le domaine de la pétrochimie, notamment les résines plastiques et les polymères dérivés du gaz naturel.
Jakarta, exemple à suivre
“L’Algérie importe actuellement pour près de 6,5 milliards de dollars de produits plastiques. Ceci constitue une formidable opportunité de substitution par une production nationale et d’exportation vers les pays de l’Afrique subsaharienne et de toute la région méditerranéenne”, a expliqué Bouchouareb à ses homologues indonésiens. Par ailleurs, lorsque le ministre algérien a visité le centre Polytechnique de la firme Indorama, qui accueille 270 étudiants sur un campus de 2 hectares, il a demandé à ce qu’un volet formation continue et éducation de même niveau soit implanté en Algérie, notamment dans le cadre des partenariats récemment signés entre ce groupe et deux entreprises publiques nationales.
En tout, ce sont trois accords d’investissements d’un montant global de 4,5 milliards de dollars qui ont été conclus en juillet dernier à Alger entre Indorama et les groupes Asmidal et Manal. Ils prévoient la réalisation de trois projets mixtes algéro-indonésiens portant sur le développement et l’exploitation de la nouvelle mine de phosphate de Bled EL Hadba (Tebessa), la transformation des phosphates pour la production de l’acide phosphorique et de d’ammonium phosphate dans la wilaya de Souk Ahras et la transformation du gaz naturel pour la production d’ammoniac, de nitrate d’ammonium technique (TAN) et du calcium ammonium nitrate (CAN) dans la wilaya de Skikda.
La production issue de ces plates formes industrielles devra couvrir les besoins du secteur agricole en différents produits fertilisants et permettra l’exportation de l’excédent qui sera dégagé vers les marchés internationaux.
L’Asie, nouveau chouchou d’Alger
Avec ces partenariats précieux, l’Algérie s’émancipe de sa dépendance vis-à-vis de l’Europe. Après avoir passé des années à “draguer” des partenaires européens, Alger a décidé de miser définitivement sur Jakarta, allié nettement plus pragmatique. “Les asiatiques sont des travailleurs ambitieux, ils ne mêlent pas des affaires internes et ne donnent aucune leçon de démocratie. Ils sont plus généreux et acceptent de transférer leurs technologies. Ils n’ont rien à voir avec les occidentaux qui nous arnaquent toujours dans les projets communs”, confie un haut responsable algérien en poste au ministère des Affaires étrangères à Alger qui confirme ainsi la nouvelle orientation du régime algérien.
Et la réussite des partenariats conclus avec la Chine a démontré la justesse de cette théorie à laquelle adhèrent de plus en plus de décideurs algériens. La Chine a même ravi la place qui revenait naguère naturellement à la France en devenant le premier partenaire commercial de l’Algérie avec des échanges qui dépassent désormais les 8 milliards d’euros. Autoroute est-ouest, Grande Mosquée d’Alger, construction de plusieurs milliers de logements sociaux, les entreprises chinoises dominent outrageusement le marché du bâtiment algérien.
En 2015, ce sont les chinois qui ont décroché la construction du futur méga-port de Cherchell qui devra permettre à l’Algérie de rivaliser avec Tanger-Med du Maroc. Les chinois bâtiront et géreront ce grand port qui coûtera pas moins de 3 milliards de dollars. Des banques chinoises prêteront même une grosse partie de ce financement à l’Algérie pour réaliser ce projet. En échange, les entreprises chinoises auront l’exclusivité de faire transiter leurs marchandises à destination de toute l’Afrique sub-saharienne, un marché qu’ils lorgnent depuis des années.
A Alger, ce coup de poker réussi de la Chine fait grincer les dents du lobby français qui n’a pas du tout apprécié les avantages accordés par les autorités algériennes à la puissance chinoise. Depuis, les relations franco-algériennes ne cessent de se tendre. Les dirigeants algériens ne cachent pas leur désir de vengeance. “L’Europe nous a longtemps méprisés. Nous avons toujours été traités comme des moins que rien auxquels on donne uniquement des miettes. Il est temps pour nous de choisir les bons partenaires qui nous offrent de réelles perspectives de développement” explique, sous couvert d’anonymat, un autre haut responsable du ministère de l’Industrie algérien. Dorénavant, la priorité sera donnée aux pays asiatiques dans tous les futurs projets structurants.
L’Europe sur la touche
Autre signe important, l’Iran grigone petit à petit de nouvelles parts de marchés en Algérie. Une usine de montage de véhicules iraniens, Saipa, sera prochainement inaugurée à Tiaret à l’ouest du pays. De son côté, la Turquie fait le forcing et tente aussi de se replacer juste derrière la Chine. Plus de 200 grandes entreprises turques développent leurs activités en Algérie. Textile, sidérurgie et BTP, les turcs ravissent des marchés aux européens et imposent leur influence à travers leurs réseaux bien enracinés dans le pays.
Sur le plan politique, le président algérien Bouteflika affiche clairement son jeu : se rapprocher de ces pays asiatiques et se détacher progressivement de l’Europe. Les positions trop pro-marocaines de Bruxelles ont fini par dégoûter le palais d’El-Mouradia.
De plus, en Asie, l’Algérie trouve des soutiens réconfortants pour ses positions géopolitiques dans le dossier syrien ou libyen où l’Europe a refusé de l’écouter. Reste enfin à savoir si cette lune de miel avec les puissances asiatiques durera. Va-t-elle du moins tenir le temps nécessaire pour que l’Algérie amorce son indépendance économique ?
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WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Cette simple photo à posé probleme de l'autre coté. La réponse de taliani, il en remet pas une couche c'est carrément le mille-feuille
https://www.youtube.com/watch?v=-E0Fa2N8nHs
Sahibou el jalala el malik nassaro ALLAH, Sidna comme khaled l'autre jour, et chez nous chez ca arracherait la gueule à certains de le dire.
Quant à ce qu'à fait faudel je n'en parle meme pas.
http://arabic.cnn.com/entertainment/2016/08/12/cheb-faudel-algeria-morocco a écrit:
مشهد الشاب فضيل منحنيًا أمام صورة ملك المغرب يثير انتقادات جزائرية
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Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Mis en difficulté en Libye, les partisans de Daesh pourraient tenter de s'infiltrer en Algérie
Selon le centre de recherche stratégique américain Soufan Group, des membres de l'Etat islamique présents en Libye pourraient tenter de se réfugier dans les pays voisins, particulièrement l'Algérie.
Ces dernières semaines, l'Etat islamique multiplie les échecs en Libye. Retranchés autour de la ville de Syrte, ses combattants pourraient être tenté de se replier vers d'autres pays du Maghreb et l'Algérie pourrait être un refuge de choix. C'est en tout cas la sonnette d'alarme que tire le centre de recherche stratégique américain Soufan Group.
Le centre de recherche s'inspire notamment d'un rapport transmis le mois dernier par le secrétaire général de l’ONU, qui prévient que les 2 000 à 5 000 combattants de l'Etat islamique, acculés, seraient probablement tentés de changer de stratégie : abandonner le concept d'une «ligne de front» pour se disperser discrètement en Libye et dans les pays limitrophes afin d'y multiplier les attentats.
Les combattants, originaires du Soudan, d'Egypte, d'Algérie ou du Maroc, sont étroitement liés aux réseaux de contrebande qui traversent la région, ce qui pourrait leur permettre de traverser aisément les frontières.
L'Etat islamique ne cesse de reculer en Libye : le 9 août dernier, et après trois mois d'enlisement, les forces du gouvernement libyen d'union nationale (GNA) sont parvenues à reprendre aux combattants de Daesh un secteur de Syrte.
Cinq ans après l'intervention occidentale en Libye, le pays est aujourd'hui totalement fragmenté. Le GNA, mis en place en mars 2016, a été reconnu par la communauté internationale. Néanmoins, la région de Tripoli et la Cyrénaïque restent sous le contrôle des milices islamistes, tandis que les forces de Daesh disposent de divers bastions à travers le pays. #Lien
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Barsdz Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 12/08/2014 Localisation : in the water Nationalité :
Fidel Castro est réapparu publiquement ce samedi après plus de quatre mois d’absence à l’occasion de son 90e anniversaire. Grand féru de survêtements depuis qu’il a quitté ses fonctions de président cubain en 2006 et après avoir porté l’uniforme militaire pendant des décennies, Fidel Castro a, cependant, cette fois fait sensation en portant le survêtement de l’équipe nationale algérienne de football.
L’amitié historique entre l’Algérie et Cuba, cette amitié même qui a poussé Fidel Castro à rendre une nouvelle fois hommage à l’Algérie en portant le survêtement de l’équipe nationale pour célébrer son 90e anniversaire, trouve sa racine dans un événement historique majeur remontant à plus de cinquante ans.
http://fr.le360.ma/politique/rapport-us-lalgerie-parmi-les-16-pays-les-plus-mal-reputes-au-monde-83591 a écrit:
RAPPORT US: L’ALGÉRIE PARMI LES 16 PAYS LES PLUS MAL RÉPUTÉS AU MONDE
L’Institut privé américain de recherche «Reputation Institut» classe l’Algérie à la 7ème place sur seize Etats les plus mal réputés au monde. Le Maroc, lui, fait bonne figure.
En termes de réputation aux yeux du monde, l’Algérie a de quoi rougir! En tout cas, c’est ce que révèle l’Institut privé américain de recherche «Reputation Institut» qui classe le voisin de l’est à la 7ème place sur seize Etats les plus mal réputés au monde.
Située dans le bas de la liste, juste devant le Nigeria (5ème), l’Iran (2ème), ou encore l’Irak 1er), l’Algérie est pointée pour son «système politique dictatorial et un état de forte instabilité».
Dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA), c’est le Maroc qui se positionne le mieux. Le royaume se place en effet à la 39ème place mondiale et prend la tête, aux côtés des Emirats Arabes Unis (EAU), des pays arabes et africains figurant dans le panel des pays les mieux réputés de la région.
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Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sombres perspectives socio-économiques pour une Algérie victime d'immobilisme politique
L'économie algérienne ne semble pas prête de se reprendre, surtout si le pays n'engage pas les réformes nécessaires au redressement du pays. La Banque mondiale estime en effet que les finances publiques seraient sur le point de s'assécher.
Alors que la production de pétrole des pays de l'OPEP, ainsi que celles des autres pays qui n'en sont pas membres reste élevée, les perspectives de l'agence internationale de l'énergie tablent sur une baisse de la demande de brut pour 2017, ce qui devrait conforter la faiblesse des prix du pétrole. Or, la vente d'or noir constitue une part importante de l'économie algérienne, qui souffre déjà de l'effondrement des cours constatés depuis 2015.
Sur le plan social, la gendarmerie nationale tire la sonnette d’alarme. Elle estime en effet que l'état des infrastructures d'accès à l'eau potable, à l'électricité ou encore au gaz sont dans une «situation préoccupante». Il ne devrait pas être possible de remédier à ce délabrement, «foyer de tensions» au sein de la population, au vu des difficultés budgétaires auxquelles l'Etat algérien est confronté. Il est en effet dans l'incapacité de réaliser les investissements nécessaires pour satisfaire les revendications de la population, ou pour le moins apaiser son irritation.
Le Fonds monétaire international (FMI), ainsi que la Banque mondiale (BM) ont appelé le pays à «doper les perspectives de croissance» en engageant des réformes, notamment fiscales, pour relancer l'économie. Le temps presse pour le pays, dont les réserves de change fondent comme neige au soleil. S'élevant à 194 milliards de dollars en 2013, la Banque mondiale estime qu'elles n'atteindront plus que 108 milliards de dollars à la fin de l'année, avant de se replier à 60 milliards en 2018 dans le cas où des réformes efficaces ne seraient pas mises en œuvre.
L'augmentation des prix de l'énergie (carburants, gaz, électricité) et le lancement d'un emprunt obligataire découlant de la dernière loi de finance ne semblent pas suffire à enrayer l'assèchement des finances publiques, notamment victimes de l'économie informelle.
Certains experts reprochent au gouvernement son manque d’ambition politique. Ils estiment en effet qu’il redoute les conséquences sociales de la mise en place de mesures qui se révéleront impopulaires même si elles permettraient de redresser l’économie à moyen terme.
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