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 TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...

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basbousa
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MessageSujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeLun 9 Mar 2009 - 17:50

Rappel du premier message :

Les vents des déserts de Syrie, de Mésopotamie et d'Egypte on envahient la Turquie...il y a du sable partout...l'hélicoptère du premier ministre a eu du mal a se poser a Antioche....

Le vent de sables continue de s'infiltrer à l'intérieur de l'Anatolie (Turquie)...il a fait nuit a 12h00 (midi) en Turquie...

Arrow Aujourd'hui:

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Arrow Hier a Adana:

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Dernière édition par barbaros pacha le Lun 9 Mar 2009 - 19:38, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeJeu 18 Mar 2010 - 21:08

barbaros pacha a écrit:
juba2 a écrit:
Samyadams a écrit:
Bravo les Turcs, de vrais hommes TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_sal
Les 100.000 clandestins arméniens en Turquie, les USA et la Suède n'ont qu'à les accueillir Twisted Evil

desolais mon cher ami sammy,je ne suis pas d'accord avec toi cette fois si.Le gouvernement turc acte comme un bully,ils vivent dans le passe comme les arbes.le peuple armenien a le droit de savoir la vcerite sur ce qui a leur ete fait.pourquoi expulses les 100000 armeniens,pourquoi les faire payer a cause de la decision des autres pays,on revient a la caisse de depart.Un peu de logique. TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_study TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_study

Ils doivent être expulser, car ils n'ont pas droit d'être sur le territoire turc, ce sont des clandestins, ils vivent dans l'illégalité absolue...

Donc dans le cas de la France, les charters d'Eric Besson ne te choquent pas (c'est juste pour savoir)
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 19 Mar 2010 - 1:59

Comparons ce qui est comparable messieurs ....

l'arménie n'est pas en guerre à ma connaissance.

_________________
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 19 Mar 2010 - 15:47

Viper a écrit:
Comparons ce qui est comparable messieurs ....

l'arménie n'est pas en guerre à ma connaissance.

Ah non, elle est en guerre contre l'Azerbeyzan, ceux qui justifie le positionnement de la Turquie..
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 19 Mar 2010 - 15:50

Citation :
Du gaz algérien pour une Turquie en plein essor

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Algerie_turquie_336647716

L’Algérie veut poursuivre ses exportations de gaz vers la Turquie. Après l’amère expérience de l’accord d’association avec l’UE, elle souhaite renforcer les échanges commerciaux avec un pays frère, déjà au 7e rang de ses fournisseurs.


L’annonce faite en ouverture de la 9e session de la Commission algéro-turque de coopération donne le ton : « Nous exprimons notre volonté de poursuivre notre relation commerciale [avec la Turquie] en matière d’exportation de gaz, et ce au-delà de 2014, date d’expiration du contrat en cours entre [la société publique algérienne] Sonatrach et [la société turque] Botas » a déclaré le ministre algérien de l’Energie et des mines Chakib Khelil, cité par l’agence APS, devant le ministre d’État turc chargé de la Planification Cedvet Yilmaz. Il a également souhaité une augmentation de ces exportations pour contribuer à l’équilibre de la balance commerciale entre les deux pays.

Possédant une économie de rente, l’Algérie est largement tributaire des fluctuations du cours des hydrocarbures : la chute du prix du baril a ainsi réduit l’excédent de la balance commerciale à 4,6 milliards de dollars en 2009, soit plus de 8 fois moins que l’année précédente (40 milliards en 2008). Par ailleurs, la mise en œuvre d’un accord d’association avec l’UE — 1er fournisseur et 1er client — a entraîné « un creusement du déficit commercial hors-hydrocarbures » sans précédent, selon une étude réalisée en 2009 (pour 1 dollar exporté, 20 dollars d’importations).

Le partenariat turco-algérien : vers un accord de libre échange ?

Le contrat signé en 1995 avec la Turquie porte sur la livraison par l’Algérie de 4 milliards de mètres cubes de gaz naturel liquéfié (GNL) par an pendant 20 ans. La Turquie connaît un développement rapide : le gaz algérien qui représentait un quart de la consommation annuelle en 2004, n’en représentait plus qu’un sixième en 2008. Les responsables algériens peuvent à juste titre supposer que les besoins en gaz de la Turquie sont appelés à croître considérablement au cours des vingt prochaines années. 15e économie mondiale, la Turquie passerait au 9e rang en 2050, devenant la 2e économie européenne derrière le Royaume-Uni, selon une étude de Goldman Sachs de septembre 2009. Mais pour sécuriser ses approvisionnements, la Turquie veillera aussi à diversifier ses importations, cherchant des partenaires extérieurs à l’Algérie.

Après un accroissement de 246 % pour les dix premiers mois de 2008, le volume des échanges commerciaux entre l’Algérie et la Turquie a atteint en 2009 plus de 3,8 milliards de dollars. Au 6e rang des clients de l’Algérie (2 milliards de dollars), la Turquie est aussi au 7e rang de ses fournisseurs avec 1,7 milliards de dollars, selon les chiffres des Douanes algériennes. Selon la même source, les investissements turcs directs en Algérie sont de l’ordre de 300 millions de dollars environ (secteurs du BTP et de l’agroalimentaire notamment).

En clôture de cette 9e session, qualifiée de « très fructueuse », Cedvet Yilmaz a souligné que « le développement des relations économiques [allait] encore consolider les relations politiques ». L’Algérie verrait d’un bon œil la conclusion d’un accord de libre-échange.

http://fr.zaman.com.tr/fr/detaylar.do?load=detay&link=1623&bolum=228
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 19 Mar 2010 - 17:08

Il y a de bonnes affaires à faire en Algérie et des entreprises aussi compétitives que celles de Turquie y trouveraient de biens juteux marchés, mais gaffe à l'administration hyper-corrompue algérienne, elle a écoeuré bien des investisseurs étrangers Neutral
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 19 Mar 2010 - 17:57

Samyadams a écrit:
Il y a de bonnes affaires à faire en Algérie et des entreprises aussi compétitives que celles de Turquie y trouveraient de biens juteux marchés, mais gaffe à l'administration hyper-corrompue algérienne, elle a écoeuré bien des investisseurs étrangers Neutral

Les turcs font toujours fait de bonnes affaires en Algérie.
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 19 Mar 2010 - 19:02

Citation :
Istanbul veut devenir la capitale de la mode

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Avec la Semaine de la mode, qui s’est déroulée en Turquie le mois dernier, Istanbul affiche ses prétentions à détrôner bon nombre de ses rivales européennes dans le monde de la mode.


Istanbul tend depuis plusieurs années à s’imposer en tant que capitale de la mode. Symbole de cette tendance : l’Istanbul Fashion Week, la Semaine de la mode, qui s’est tenue du 3 au 6 février dernier en Turquie juste avant celles de New York, Londres, Milan et Paris. Symbole moins fort, mais symbole néanmoins : le lancement d’une édition turque du magazine Vogue.

Durant quatre jours, des collections signées de 24 jeunes créateurs ont été présentées à un public de connaisseurs. Elles révèlent une parfaite maîtrise des savoir-faire et une vision globale de la mode, assortie d'une parfaite compréhension du marketing. Elles pèchent néanmoins par une difficulté à s’affranchir des tendances de Paris et Milan. Signe qu’il est temps pour la mode turque de passer maître en la matière. Longtemps cantonnée dans le rôle de sous-traitant pour les grandes marques du luxe européennes, la Turquie prend une nouvelle orientation. A l’image de Desa, façonnier devenu une marque à part entière, c’est toute l’industrie du textile au sens large (habillement, linge de maison, tapis et maroquinerie) qui s’affranchit de la sous-traitance, pour aller à la conquête des marchés de la mode.

La filière textile : seconde industrie exportatrice

Loin d’être une simple vitrine, l'Istanbul Fashion Week est l’un des éléments d’une stratégie qui vise à faire d’Istanbul la capitale mondiale de la mode. Deuxième partenaire textile de l’Union européenne après la Chine, la Turquie peut devenir leader. Les autorités turques et l'Itkib, puissante organisation professionnelle rassemblant les exportateurs de la filière textile, totalement impliqués dans l’Istanbul Fashion Week, œuvrent en ce sens. Avec 20 milliards de dollars en 2009, c’est la seconde industrie exportatrice après l’industrie automobile. Pour 2023, les prévisions affleurent les 100 milliards de dollars.

Ces objectifs réalisables si l’on considère les atouts dont dispose la Turquie : une industrie textile puissante, véritable terreau sur lequel les jeunes créateurs peuvent s’épanouir. Cet outil industriel s’enracine lui-même dans une culture liée à l’artisanat du Moyen-Orient, et une position « géographique au carrefour des cultures et donc des influences ». Enfin, si la Chine a des coûts de fabrication plus bas, son industrie ne maitrise pas les savoir-faire liés à la confection de luxe, d’autant qu’elle se trouve, tant sur le plan géographique que culturel, éloignée des marchés du luxe que sont l’Europe et le Moyen-Orient.

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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeSam 20 Mar 2010 - 14:14

Expulsions: Erdogan fait machine arrière


Citation :
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré qu'il n'avait pas l'intention dans l'immédiat d'expulser les clandestins arméniens de Turquie, revenant sur une menace en ce sens proférée cette semaine. Il a demandé cependant aux pays occidentaux de cesser de condamner son pays pour "génocide" du peuple arménien, les accusant d'"ingérence" dans les relations turco-arméniennes.

M. Erdogan avait déclaré au service turc de la BBC qu'il envisagerait d'expulser les Arméniens illégaux si les Parlements de par le monde continuaient à voter des résolutions sur le "génocide" des Arméniens par les Turcs, pendant la Première guerre mondiale, comme cela a été le cas ces dernières semaines, aux Etats-Unis et en Suède. "Il y a 170.000 Arméniens dans mon pays. Parmi ceux-là, 70.000 sont des nationaux, mais nous tolérons les 100.000 autres (...) Si cela était nécessaire, je pourrais être dans l'obligation de leur dire de retourner dans leur pays", avait-il averti.

Le Premier ministre a expliqué, lors d'une rencontre avec des artistes turcs, que ses remarques visaient en fait à "attirer l'attention mondiale sur notre approche tolérante à l'égard de ces gens" (les clandestins arméniens), et ne signifiaient pas que "nous allons prendre immédiatement une décision" d'expulsion.

Les massacres et déportations d'Arméniens dans l'Empire ottoman ont fait entre 1915 et 1917 1,5 million de morts selon les Arméniens, et de 250.000 à 500.000 selon la Turquie, qui récuse la notion de "génocide" reconnue par Paris, Ottawa et le Parlement européen.

AFP
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeSam 20 Mar 2010 - 15:23

La réaction de la Turquie est ambigüe, elle est une "puissance régionale", allié de longue date des Américains mais n'arrive pas à bloquer un votre dans une commission, donc la diaspora arménienne a plus d'importance que la Turquie pour les Yankees TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_exclaim

Au lieu de menacer de manière débile d'expulser des clandestins, les autorités turcs n'ont qu'à convaincre le monde entier avec des arguments par le biais de conférences ou autres que les évènements de 1915 ne peuvent être qualifier de "génocide".

Les arméniens n'ont qu'à dire "vous voyez ils sont coupables, ils s'énervent et menacent les arméniens donc ils ont quelque chose à se reprocher".

"Vous savez quand on a un très bon dossier, on ne se sauve jamais d'une rencontre, d'un arbitre ou d'un arbitrage (Hassan 2 TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_wink)
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeLun 22 Mar 2010 - 12:06

Citation :
En Turquie, l’armée résiste à sa perte d’influence


TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Mar_20100322_09_04_41
Le vice-premier ministre, Bulent Arinç

Le palais de justice de Besiktas, à Istanbul, est, depuis lundi, en état de siège. Une cinquantaine d'officiers de l'armée turque, arrêtés par la police, y sont entendus par des procureurs civils et sont accusés d'avoir fomenté un complot pour renverser le gouvernement islamo-conservateur, au pouvoir depuis 2002.
Sur le même sujet

Deux amiraux en service actif, deux amiraux et un général à la retraite ainsi que deux ex-colonels ont ainsi été inculpés dans la nuit du mardi 23 au mercredi 24 février d'appartenance à une organisation clandestine. Une vingtaine d'autres suspects étaient toujours interrogés.
Les faits Sept officiers turcs écroués pour avoir participé à un complot contre l'Etat
Les faits 31 membres présumés d'Al-Qaida arrêtés en Turquie
Eclairage Le procès Ergenekon ébranle la Turquie
Edition abonnés Archive : Tensions entre l'armée et le gouvernement turc après la révélation d'un complot

Douze hauts gradés, dont deux amiraux en activité, ont été inculpés et écroués, mercredi 24 février. Jeudi, ce sont deux anciens chefs de corps, le général Ibrahim Firtina, et l'amiral Özden Örnek, ex-commandants de l'armée de l'air et de la marine, qui devaient être présentés au parquet. Ce vaste coup de filet vise les auteurs présumés d'un projet de coup d'Etat datant de 2003, baptisé "Balyoz" ("masse de forgeron"), révélé en janvier par le journal Taraf.

Selon les documents publiés, le plan "Balyoz" prévoyait de déstabiliser le gouvernement en lançant une série d'attaques spectaculaires, contre des chasseurs grecs au-dessus de la mer Egée et contre des mosquées à Istanbul. Des dizaines de milliers d'opposants et d'intellectuels, devaient être mis sous les verrous.

En arrêtant ces officiers, "la Turquie a fait son plus grand pas pour se débarrasser d'un régime semi-militaire sous lequel les coups d'Etat n'ont jamais été traités comme des crimes", écrit Yasmin Congar, rédactrice en chef adjointe de Taraf.

"MOMENT CRUCIAL DU PROCESSUS DE DÉMILITARISATION"

Le chef d'état-major, le général Ilker Basbug, a catégoriquement réfuté les accusations. Une pleine valise de documents compromettants est pourtant parvenue à la rédaction de Taraf, attestant de l'existence d'un tel complot. Mais pour l'armée il ne s'agissait que d'un scénario concocté pour un exercice.

Ces arrestations sans précédent constituent une nouvelle escalade dans la guerre pour le pouvoir que se livrent, depuis 2002, le Parti de la justice et du développement (AKP) issu de la mouvance islamiste, et l'omnipotente institution militaire, qui se considère comme la gardienne des institutions nées de la junte au début des années 1980. Avec l'élection du gouvernement de Recep Tayyip Erdogan, le pouvoir des militaires s'est érodé, sous l'effet des réformes engagées dans le cadre des négociations avec l'Union européenne.

"C'est aujourd'hui un moment crucial du processus de démilitarisation du régime et de la société turque, estime le politologue Ali Bayramoglu. Mais le système de tutelle militaire est très profond. C'est une histoire de cent cinquante ans. Cela demande un parcours long et conflictuel. Il y aura encore des résistances mais c'est irréversible."

Jeudi matin, le premier ministre, M.Erdogan, le président de la République, Abdullah Gül, et le général Basbug tenaient une réunion pour tenter de montrer un semblant d'unité face à cette nouvelle crise. La rumeur d'une démission de l'état-major s'est propagée, mercredi. Le chef des armées, dont le mandat se termine en août, est sous la pression des faucons qui le poussent à une réaction forte contre le pouvoir civil.

Quatre gouvernements ont déjà été renversés par la force depuis 1960. Mais, depuis 2002, l'intrusion des militaires dans le jeu politique a pris des formes moins directes. Les généraux ont d'abord boycotté les réceptions officielles, pour protester contre la présence des femmes des responsables de l'AKP, vêtues d'un foulard islamique.

Le lobby militaire a ensuite organisé de grandes manifestations "laïques" en 2007, contre la candidature d'Abdullah Gül à la présidence de la République… Sans succès. C'est enfin une action judiciaire menée par le procureur de la Cour de cassation qui, en 2008, a failli conduire à la dissolution du parti au pouvoir pour "activités antilaïques". Une procédure qui pourrait être de nouveau à l'ordre du jour, comme l'a laissé entendre le procureur de la Cour de cassation, Abdurrahman Yalçinkaya.

A un an des prochaines législatives, une telle manœuvre de la part des militaires et de leurs alliés, nombreux au sein de l'appareil judiciaire, risquerait de provoquer des élections anticipées et une nouvelle victoire écrasante de l'AKP, selon Ali Bayramoglu.

Ces menaces répétées contre les hommes d'Erdogan ont renforcé les antagonismes. Menacé, l'AKP s'est replié sur ces certitudes, sans pour autant entreprendre les réformes nécessaires à la démocratisation du pays, comme la refonte de la Constitution, attendue de longue date par l'Union européenne mais contestée par l'armée et par l'opposition.

Solidement installé au pouvoir, le parti islamo-conservateur est entré dans une phase de revanche politique. Avec le soutien tacite des Etats-Unis, selon l'éditorialiste et professeur d'économie, Mehmet Altan : "Ils ne pourraient pas agir sans un accord américain, l'armée turque est la deuxième de l'OTAN, rappelle-t-il. L'AKP cherche un compromis avec l'armée, son but n'est pas une révolution démocratique." Washington a souhaité, mercredi, que les arrestations de militaires turcs s'inscrivent dans un "processus transparent".

Guillaume Perrier

http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/02/25/en-turquie-tension-accrue-entre-militaires-et-gouvernement-islamo-conservateur_1311124_3224.html
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeLun 22 Mar 2010 - 12:15

inanc a écrit:
La réaction de la Turquie est ambigüe, elle est une "puissance régionale", allié de longue date des Américains mais n'arrive pas à bloquer un votre dans une commission, donc la diaspora arménienne a plus d'importance que la Turquie pour les Yankees TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_exclaim

Au lieu de menacer de manière débile d'expulser des clandestins, les autorités turcs n'ont qu'à convaincre le monde entier avec des arguments par le biais de conférences ou autres que les évènements de 1915 ne peuvent être qualifier de "génocide".

Les arméniens n'ont qu'à dire "vous voyez ils sont coupables, ils s'énervent et menacent les arméniens donc ils ont quelque chose à se reprocher".

"Vous savez quand on a un très bon dossier, on ne se sauve jamais d'une rencontre, d'un arbitre ou d'un arbitrage (Hassan 2 TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_wink)

La Turquie applique ce que les autres pays appliquent, c'est à dire, expulser, les gens qui n'ont pas droit d'être sur le territoire national..

On s'en fout des autres, c'est la souveraineté national qui en jeux.. L'empire ottoman avait expulser 80 000 italiens en 1912, pendant la guerre en Libye..
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeLun 22 Mar 2010 - 20:41

Mais kardes expulser les Arméniens prouve-t-il qu'il n' y a pas eu génocide ?

De plus, tu dis que la Turquie fait ce que les autres pays appliquent à savoir les expulsions,soit, mais j'ai déjà entendu de la bouche d'Erdogan dire il y a quelques mois qu'il y avait 100 000 arméniens en Turquie mais depuis je n'ai jamais entendu une nouvelle d'explusions TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_exclaim
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeMar 23 Mar 2010 - 14:12

Citation :
Insécurité en Méditerranée orientale
TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Arton1321-88f50

Les incursions d’Etats voyous menacent l’Europele 23 mars 2010
Le ministère grec de la Défense a accusé vendredi la chasse turque d’avoir tenté d’intercepter un hélicoptère de l’agence européenne de surveillance des frontières Frontex qui patrouillait dans le sud-est de la Mer Egée.
Selon le ministère, deux F-16 turcs ont encadré l’appareil vendredi matin alors qu’il refusait de quitter sa zone de vol, en dépit de onze appels en ce sens de radars turcs. Les chasseurs turcs ont fait demi-tour à l’arrivée de deux F-16 grecs.
L’incident s’est produit au-dessus de l’île grecque de Pharmakonissi, en Egée orientale, a ajouté le ministère. Des milliers de migrants irréguliers transitent par cette zone pour se rendre en Grèce.
Les autorités grecques font régulièrement état de harcèlements des appareils de Frontex surveillant la zone par les radars turcs, mais c’est la première fois qu’elles dénoncent l’intervention de chasseurs turcs.
L’afflux de migrants alimente une querelle entre la Grèce et la Turquie, la première accusant sa voisine de fermer les yeux sur ce trafic et de ne pas respecter un accord sur la réadmission des migrants signé il y a dix ans.
Athènes et Ankara ont normalisé leurs relations en 1999 mais continuent de s’opposer sur les questions de souveraineté en Egée.

Source : AFP

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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeMar 30 Mar 2010 - 15:28

Qu'est ce lui arrive à Merkel ces derniers jours à jouer les "gros bras" d'abord avec les Grecs, maintenant avec la Turquie...


Citation :


Berlin et Ankara s'opposent sur l'Iran


L'Iran est venu s'ajouter à la longue liste de sujets de désaccords entre la chancelière allemande Angela Merkel et son hôte turc, le premier ministreRecep Tayyip Erdogan, lundi 29 mars, à Ankara.

Au cours de sa visite en Turquie, Mme Merkel a renouvelé son opposition à l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, préférant l'option d'un partenariat privilégié.

Mais elle a également réaffirmé son souhait d'un durcissement des sanctions internationales contre l'Iran, accusé de développer des ambitions nucléaires. "Si Téhéran échoue à prendre une mesure claire, nous déciderons de sanctions. L'Allemagne serait très heureuse si la Turquie votait avec les Etats-Unis et l'Union européenne sur la question de l'Iran en avril", a-t-elle déclaré au cours de sa conférence de presse avec M. Erdogan.
La chancelière faisait allusion au sommet international sur la sécurité nucléaire, qui se tiendra le mois prochain dans la capitale américaine. Avancée par Washington et soutenue par Londres, Paris et Berlin, l'idée d'un renforcement des sanctions contre l'Iran n'est pas accueillie très favorablement par la Russie et la Chine. La Turquie, membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, se montre, elle aussi, réticente. Une proposition de nouvelle résolution a été déposée à l'ONU le 3 mars par les Etats-Unis.

"Un pays ami" pour Ankara
La position turque est "très différente, a répondu M. Erdogan. Imposer des sanctions n'est pas un moyen sain de trouver une issue. La meilleure solution est la diplomatie". La Turquie s'oppose à un isolement de l'Iran, son voisin oriental, avec lequel elle a rétabli d'importants liens stratégiques. Les deux pays ont développé ces derniers mois leur coopération économique et surtout énergétique. L'Iran est le deuxième partenaire énergétique de la Turquie, derrière la Russie, a précisé M. Erdogan.
Ankara étudie aussi la possibilité de conclure un investissement de 4 milliards d'euros dans l'exploitation du gaz naturel iranien. Et les échanges de politesse ont été nombreux entre les dirigeants des deux pays. Le chef du gouvernement turc a récemment qualifié l'Iran de "pays ami".
Selon Suat Kiniklioglu, député de l'AKP (Parti de la justice et du développement), les diplomates turcs s'agitent en coulisse pour tenter d'infléchir la position iranienne et de parvenir à un accord avec l'Agence internationale de l'énergie atomique.
M. Erdogan a voulu minimiser la portée de nouvelles sanctions contre le manque de transparence du programme nucléaire iranien, estimant qu'elles avaient été inefficaces jusqu'à aujourd'hui. "D'autres pays possèdent déjà l'arme nucléaire mais ne font pas l'objet de sanctions", a-t-il expliqué, faisant allusion à Israël.

lemonde.fr

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Dernière édition par Viper le Mar 30 Mar 2010 - 19:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeMar 30 Mar 2010 - 16:19

Merkel n´aime pas les "sudistes" viper,c´est un secret de polichinelle Wink
pour elle plutot l´Est et le Nord,une pure "cherqawia" comme on dit ici,elle meme est-allemande,en plus,elle doit casser du sucre sur le dos d´Ankara,sport preferé de son parti CDU,meme si le BDI,l´institut economque,pousse pour une voie plus pragmatique avec la Turquie,car ils voient le futur la bas..

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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 9 Avr 2010 - 14:39

Citation :
le premier ministre turc campe sur ses positions à propos de l'Iran et d'Israël
La Turquie a sa propre vision des questions de sécurité internationale. Sur l'Iran, le Moyen-Orient, la prolifération nucléaire, elle se fait le porte-voix d'une opinion musulmane qui voit en Israël le principal fauteur de troubles. Pays membre de l'OTAN et candidat à l'Union européenne, dirigé depuis 2002 par les "islamistes modérés" du Parti de la justice et du développement (AKP), la Turquie diversifie ses attaches diplomatiques et se glisse dans le camp des pays du "Sud". Celui des pays qui entendent faire front contre des Occidentaux en mai, lors de la conférence d'examen du traité de non-prolifération (TNP) de 1968, clef de voûte de l'ordre mondial en matière nucléaire.
Cet affichage d'émancipation de l'allié turc était bien manifeste lors de la visite à Paris, mercredi 7 avril, du premier ministre Recep Tayyip Erdogan, accompagné de son ministre des affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, l'idéologue d'une diplomatie de puissance régionale émergente et ambitieuse. Lors d'une rencontre avec la presse dans un hôtel parisien, quelques heures avant son déjeuner avec Nicolas Sarkozy à l'Elysée, le premier ministre turc a martelé son message. Qui différait de l'approche française sur plusieurs enjeux majeurs.
A propos d'Israël. "Israël est la principale menace aujourd'hui sur la paix régionale", déclare M. Erdogan, devenu coutumier de ce type de diatribe depuis la guerre de Gaza (décembre 2008-janvier 2009). Il dénonce la "politique de provocations permanentes" des constructions de colonies et interpelle : "Lisez le rapport Goldstone, c'est un juif et son rapport est clair !", en parlant de l'enquête commanditée par l'ONU sur l'offensive israélienne sur Gaza.
A propos de l'Iran. Ce pays, commente M. Erdogan dit "que son programme nucléaire est uniquement civil. L'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique, le bras de vérification de l'ONU) parle de probabilités. On ne peut pas mettre un pays en accusation sur la base de probabilités".
Et de déployer tout un argumentaire qui préfigure les débats de la conférence du TNP. "Israël possède l'arme nucléaire mais n'adhère pas au TNP", observe ainsi M. Erdogan. "Est-ce que cela veut dire que ceux qui n'ont pas signé le TNP sont dans une position privilégiée ?" interroge-t-il, à moitié ironique.
Un interlocuteur difficile pour Nicolas Sarkozy. Or la Turquie, membre du G20, compte. D'autant plus qu'elle siège actuellement au Conseil de sécurité de l'ONU, et que sa coopération est recherchée pour parvenir à une résolution de sanctions contre l'Iran, nouvelle étape des efforts diplomatiques menés par Barack Obama et les Européens pour tenter d'enrayer la course nucléaire de l'Iran et ses potentiels corollaires régionaux. C'est d'ailleurs un des grands non-dits de la visite à Paris de M. Erdogan : la Turquie, si d'aventure l'Iran se nucléarisait, pourrait-elle être tentée de suivre le même chemin comme le pensent certains experts ?
M. Erdogan faisait étape en France avant de se rendre à Washington au sommet sur la sécurité nucléaire organisé par M. Obama. Il a recueilli de Nicolas Sarkozy une réponse positive à l'invitation de se rendre en visite bilatérale en Turquie, une vieille proposition faite par Ankara aux chefs d'Etat français depuis l'époque du général De Gaulle, mais à laquelle aucun, pas même Jacques Chirac, n'avait donné satisfaction. Face à de grandes incertitudes stratégiques, une éclaircie est-elle possible avec Nicolas Sarkozy, qui, vu d'Ankara, réduit la Turquie à un thème-repoussoir auprès de l'électorat français ? Les deux dirigeants se sont abstenus de tenir une conférence de presse à l'issue de leur discussion.
lemonde

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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeJeu 15 Avr 2010 - 17:53

Citation :
Agriculture turque: Le seul pays méditerranéen à être autosuffisant

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 %C3%87ukobirlik%20ortaklar%C4%B1%20bu%20sezon%20da%20g%C3%B6n%C3%BCl%20rahatl%C4%B1%C4%9F%C4%B1%20ile%20soya%20ekebilecekler
Un champ de coton dans la vallée d'Adana


640.000 travailleurs délaissés par l’industrie ont pu en partie être employés dans l’agriculture. Base cruciale pour la croissance de toute l’économie, le développement de l’agriculture turque dans un contexte mondialisé génère à la fois autosuffisance et exode rural.

Selon les chiffres révélés le mois dernier par l’office turc des statistiques, si le taux de sans emploi était de 14 % fin 2009, il passe à 16,6 % quand on exclut le secteur agricole. Ce taux avait même atteint 19% au début de la même année. L’emploi agricole a permis ici d’amortir les effets du ralentissement de la croissance (- 5 % en 2009) et de la production industrielle consécutif à la crise de 2008. Ces chiffres révèlent paradoxalement les difficultés que connaît le secteur primaire en Turquie. Cette remontée sensible (+ 640.000 emplois en 2009) correspond au retour vers les villages d’une main d’œuvre peu qualifiée qui avait migré en masse vers les villes de l'Ouest et notamment vers Istanbul. L’exode rural est massif : 1,5 millions de personnes pour la seule année 2006.

En 1999, l’agriculture représentait 40 % de la population active ; cette part est tombée aujourd’hui à 26,1 %. La modernisation du secteur ne semble pas seule en cause, puisqu’elle reste largement à faire : plus de 65 % des 25 millions de terres arables correspondent en effet à de petites exploitations familiales de moins de 5 hectares. L’exode rural semble plutôt une des conséquences directes de la mondialisation : en 1980, pour acheter 5 kg d’engrais et 1 litre de mazout, un paysan devait vendre l’équivalent d’1 kg de blé ; il lui faut en vendre cinq auj ourd’hui.

L'impact de la faible productivité

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Akcakale-ve-harran-ciftcisi-yagmurlama-sistemine-yoneldi-sanliurfa-02
Un champ agricole dans la vallée d'Harran



Pour se conformer aux règles dictées par l’OMC, l’Etat a abandonné peu à peu son rôle traditionnel de régulateur et de protecteur. Depuis 2001 notamment, il ne soutient plus financièrement les coopératives agricoles. Les subventions versées aux agriculteurs (85 € / ha en 2007) sont totalement découplées de la production, chose à laquelle les USA et l’UE, qui poussent la Turquie vers plus de dérégulation, ne sont pas même parvenus. Si la part de l’agriculture dans le PIB est encore importante, 8,5% en 2008, sa part dans la croissance diminue à mesure que l’économie se développe.

Conscient du rôle crucial de l’agriculture dans le développement de l’économie, l’Etat lui accorde la plus grande attention, comme en témoignent les différents plans de développement quinquennaux qui se sont largement appuyés sur le développement agricole. De fait, la Turquie est aujourd’hui le seul pays méditerranéen à être autosuffisant et à dégager un surplus dans ses échanges agricoles. Pour autant, le secteur n’est pas exempt de faiblesses, et souffre notamment d’une faible productivité. Le morcellement des exploitations est en cause, en ce qu’il constitue un frein au développement du machinisme agricole, mais aussi le manque d’information et de formation des agriculteurs.

14.04.2010
Seyfeddine Ben Mansour Lille

http://fr.zaman.com.tr/fr/newsDetail_getNewsById.action;.node1?newsId=3935
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeLun 19 Avr 2010 - 12:22

Je pense qu'il a raison, les parlementaires se mange entre eux et ils sont prêts à ce tué comme faisaient les sénateurs romains avec des complots de tout genre..

Citation :
Erdogan propose une république présidentielle


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Le premier ministre turc Tayyip Erdogan a proposé de transformer la Turquie en république présidentielle, affirmant que ce régime est plus efficace que le système parlementaire, dans un entretien accordé lundi à la chaîne de télévision ATV.

"La question du passage au régime présidentiel, à l'instar du système en vigueur aux Etats-Unis, pourrait être soumis à référendum après les élections législatives de 2011", a expliqué le premier ministre.

"Mon attitude envers le régime présidentiel est positive. Sa particularité essentielle consiste dans le fait que celui-ci est plus efficace que le système parlementaire", a indiqué le premier ministre.

Le journal Milliyet écrit lundi que "si le peuple approuve l'initiative du premier ministre, Erdogan cherchera à devenir le premier dirigeant d'une Turquie présidentielle".

Le débat sur le régime de gouvernement en Turquie se poursuit depuis les années 1980, rappelle le quotidien.

"Les partisans de la république présidentielle déclarent que celle-ci apportera la stabilité, garantira une vraie séparation des pouvoirs et reflétera la volonté du peuple", poursuit le journal.

Les adversaires du projet insistent de leur côté sur le risque de "dictature personnelle" et de scission en Turquie.

Selon un autre quotidien, Hürriyet, si l'idée de passage à la république est approuvée lors d'un référendum populaire, les premières élections du chef de l'Etat turc dans le cadre du nouveau système constitutionnel se tiendront en 2012.

http://fr.rian.ru/world/20100419/186499069.html
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeJeu 22 Avr 2010 - 12:29

Citation :
La Turquie veut reprendre pied sur le continent africain

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 290273

Dans le cadre de sa nouvelle politique étrangère, la Turquie rêve de retrouver sa place sur le continent africain dans le but de s'ouvrir à de nouveaux marchés en confortant son statut de puissance régionale.


Un siècle après le départ du dernier soldat ottoman de Libye, la Turquie rêve de reprendre pied – pacifiquement - sur le continent africain. Objectif: conforter son statut de puissance régionale et s'ouvrir de nouveaux marchés. Ces dernières années, le gouvernement du Parti de la justice et du développement (AKP) n'a pas lésiné sur les moyens pour s'attirer les faveurs des décideurs africains. Les visites officielles - le président Abdullah Gül s'est rendu au Cameroun et en République démocratique du Congo en mars - succèdent aux ouvertures d'ambassades - passées de 12 à 17 en deux ans, avec 10 de plus en cours de création - et Istanbul a hébergé en 2008 un premier sommet turco-africain. "L'Afrique est une zone sur laquelle nous allons beaucoup insister au cours des années et des décennies à venir", confirme Ali Babacan, le ministre de l'Economie, interrogé par l'AFP. "Les hommes d'affaires turcs sont sincèrement intéressés par l'Afrique. (...) Ils se rendent là-bas et ne rencontrent pas de préjugés, ils reçoivent un accueil chaleureux" poursuit le ministre, soulignant que l'Union africaine a octroyé en 2008 à la Turquie le statut de partenaire stratégique. En dix ans, le volume des exportations turques vers l'Afrique a été multiplié par 7,5, passant de 1,4 à 10,2 milliards de dollars entre 2000 et 2009, pour atteindre environ 10% du total des exportations turques, selon les chiffres de l'Institut de la statistique turc. Les importations de produits africains ont doublé dans le même temps, passant de 2,7 à 5,7 milliards de dollars. Pour tailler des croupières aux investisseurs européens et chinois, la Turquie compte avant tout sur son secteur textile.



La différence avec les produits chinois, la qualité

En Afrique, "on commence à distinguer les produits turcs des produits chinois à cause de leur qualité. La Turquie, c'est la qualité européenne mais moins cher", estime Abdou Diallo, un négociant sénégalais basé à Istanbul. Certaines marques de produits alimentaires se sont aussi imposées sur le continent, comme les biscuits Ülker. C'est pourtant presque par hasard que la Turquie a "redécouvert" l'Afrique, où les possessions ottomanes se sont étendues de l'Algérie au Soudan avant d'être progressivement annexées par les puissances coloniales européennes, jusqu'à la prise de la Libye par les Italiens en 1912. "La Turquie a découvert l'Afrique quand elle a mené sa campagne de candidature pour un siège de membre non-permanent du Conseil de sécurité de l'Onu", relate un diplomate, parlant sous le couvert de l'anonymat. Désireuse de peser d'un poids plus grand sur la scène internationale, la Turquie avait besoin de ce siège et les voix des Etats africains ont joué un rôle déterminant pour l'obtenir, en octobre 2008. "Lors de l'élection, sur 53 pays africains, 51 ont voté pour la Turquie", assure M. Babacan.

Les responsables turcs ont depuis réalisé qu'un rapprochement avec l'Afrique s'inscrivait aussi dans leur politique de rééquilibrage d'une diplomatie exclusivement orientée, depuis les années 1950, vers l'Occident. La Turquie est membre de l'Otan et veut intégrer l'Union européenne. "C'est l'intention ferme du gouvernement actuel d'être partout et de faire de la Turquie une puissance moyenne avec laquelle on compte", commente Cengiz Aktar, spécialiste des relations internationales à l'université stambouliote de Bahçesehir. L'universitaire reste cependant réservé sur le rôle que la Turquie est appelée à jouer en Afrique. "De là à parler de politique africaine de la Turquie, il y a un pas (...) car cette politique manque de relais institutionnels et académiques: les Turcs connaissent très mal l'Afrique", estime-t-il.

http://fr.zaman.com.tr/fr/newsDetail_getNewsById.action;.node1?newsId=3954
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeJeu 29 Avr 2010 - 14:10

Citation :
Irak à reconstruire : la Turquie principal partenaire

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 200910215756_turkbayrak-kopyala


L’Irak constitue aujourd’hui un marché à fort potentiel. Les entreprises turques y sont solidement implantées. Dans un pays à reconstruire, le BTP turc représente déjà 90 % des parts de marché.


Après Bassora et Mossoul, c’était au tour d’Erbil, capitale de la région kurde du nord de l’Irak, d’accueillir au début du mois d’avril un nouveau consulat général de Turquie. "Le volume des échanges commerciaux entre l'Irak et la Turquie a atteint, en 2009, 9 milliards de dollars et les sociétés turques ont signé la même année des projets d'investissement se montant à 8 milliards de dollars ", a déclaré à la presse le nouveau consul général de Turquie à Erbil, Aydin Selcen. Les échanges commerciaux avaient déjà presque doublé en 2008, passant de 3,4 à 6 milliards de dollars. Selon les estimations du Conseil turc des relations économiques extérieures (DEIK), le chiffre de 20 milliards devrait être atteint à l’horizon 2013.

D’ores et déjà, la Turquie est devenue le principal partenaire économique de l'Irak hors pétrole. La politique volontariste de l’AKP explique en partie ce succès. Mais surtout, à qualité égale, les entreprises turques proposent des produits et des services en moyenne 20 % moins chers que ceux de leurs concurrents américains, européens ou asiatiques. Leur atout : la proximité. Proximité physique qui permet de réduire les coûts et les temps de transport, mais aussi proximité religieuse et culturelle qui facilite la signature des contrats. De fait, 90 % de ce chantier gigantesque qu’est devenu l’Irak est aujourd’hui aux mains des entreprises de BTP turques.

L’immobilier de luxe en projet



Fait notable, les marchés ne correspondent pas uniquement à des besoins immédiats, comme les routes et les ponts, mais procèdent aussi d’un pari sur l’avenir : un hôtel de la chaîne Divan à proximité de l’aéroport d’Erbil, ainsi que des complexes immobiliers de luxe, English Village et Naz city, sont au programme. Outre les services, les biens de consommations turcs sont aussi nombreux. La production irakienne est presque nulle et une grande partie des importations proviennent de Turquie. Les grandes marques turques se sont en effet solidement implantées, qu’il s’agisse de l’alimentation (le géant Ülker), de l’électroménager (Vestel, Arçelik), ou même du prêt-à-porter branché (Collezione, Mavi) ou de luxe (Vakko). Energie enfin, pétrole et gaz irakiens transitent par le territoire turc. L’Irak pourrait devenir un des fournisseurs du futur gazoduc Nabucco. Le volume de pétrole irakien transitant par le terminal de Ceyhan au sud de la Turquie pourrait alors doubler.

http://fr.zaman.com.tr/fr/newsDetail_getNewsById.action;.node1?newsId=3989
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeJeu 29 Avr 2010 - 19:42

Citation :
La Turquie confrontée à une crise de la viande


Un représentant de la Fédération des bouchers turcs (photo DR). TURQUIE. La hausse brutale des prix de la viande rouge provoque une crise en Turquie. L’augmentation a atteint 25% à 30% sur un an : le prix de la viande de bœuf approche les 20€/ kg et celui de la tête de mouton a doublé. Des tarifs trop élevés pour de nombreux foyers. La consommation de viande rouge a baissé de près de 50% selon la Fédération des bouchers turcs.
Le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan s’est emparé de la question et a créé une cellule de crise au sein du ministère de l’Agriculture. Pour faire baisser les prix, l’importation de viande a été provisoirement autorisée. Cinq pays, dont la Bulgarie et la Roumanie, ont commencé cette semaine à fournir de la viande à la Turquie. Mais les tarifs pour les consommateurs tardent à baisser. Le prix des produits alimentaires a augmenté en moyenne de 16% depuis septembre.

econostrum

Edit : maintenant c'est lisible.
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 0:40

Il y a une très grande demande en viande en Turquie, c'est la base même de notre alimentation la viande.. Cool
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 12:29

Citation :
La Turquie va accélérer la coopération dans l'environnement et la météorologie avec ses voisins

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 400px-View_from_Mardin_to_the_Mesopotamian_plains
Mardin, à cheval entre la Turquie l'Irak et la Syrie, sur la plaine mésopotamienne

La Turquie renforcera sa coopération avec ses voisins iranien, irakien et syrien pour la protection de l'environnement et l'amélioration des réponses aux changements climatiques et météorologiques, ont annoncé des hauts responsables des quatre pays jeudi à Ankara.

Le ministre turc de l'Environnement et des Forêts Veysel Eroglu a convenu avec ses homologues iranien, irakien et syrien de mettre sur pied une commission spéciale mixte pour la préparation d'un plan d'action sur deux ans destiné à réduire la pollution environnementale, à lutter contre l'empoussièrement et à empêcher l'érosion du sol et du vent, pouvait-on lire sur une déclaration publiée par les officiels à l'issue de la rencontre à Ankara, la capitale turque. 

Les quatre pays procèderont aussi à une échange d'expérience et de connaissance sur des domaines comme: la qualité de l'eau et de l'air, les prévisions météorologiques ainsi que la supervision de la sécheresse, selon la déclaration.

Eroglu a confié, au cours du point de presse, que les quatre pays feraient particulièrement des efforts pour contenir l'empoussièrement et le transport de la poussière devenus un problème majeur dans la région.

Il a indiqué que la coopération serait aussi élargie à d'autres pays de la région, y compris les Emirats arabes unis, la Jordanie, l'Arabie Saoudite et même les pays d'Afrique du Nord.

http://french.cri.cn/781/2010/04/30/302s217831.htm
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 18:25

http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/04/24/pour-la-premiere-fois-des-turcs-commemorent-le-massacre-des-armeniens_1342324_3214.html#xtor=AL-32280184

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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 18 Icon_minitimeMar 11 Mai 2010 - 12:58

Turquie: attentats du PKK déjoués


Citation :
La police turque a arrêté une femme soupçonnée d'appartenir au groupe rebelle kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et de préparer des attentats à la bombe contre des bâtiments de la police à Istanbul, a rapporté aujourd'hui l'agence de presse Anatolie.

La suspecte a été interpellée la semaine dernière alors qu'elle effectuait des repérages devant le quartier général de la police d'Istanbul, affirme Anatolie, qui ajoute que, selon la police, elle préparait des attaques contre deux objectifs.

Le PKK, qui lutte pour l'autonomie des régions kurdes du sud-est de la Turquie, est considéré comme une organisation terroriste par de nombreux pays. Le conflit a fait au moins 45.000 morts, depuis 1984.

Le printemps marque chaque année la reprise des affrontements entre le PKK et les forces de sécurité, puisqu'il permet aux rebelles, avec la fonte des neiges, de quitter leurs bases des montagnes turques et du nord de l'Irak.
Le PKK a dans le passé commis des attentats à la bombe dans des zones urbaines de l'ouest du pays.

AFP
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