Actualités nationales

Rappel du premier message :

c'est qui ce prince hicham?

http://youm7.com/News.asp?NewsID=369029&SecID=88

lida a écrit:

rafi a écrit:

Tout le monde discute, proteste, revendique, propose, aspire à un avenir meilleur, partage des idées avec son voisin, continuons à nous bouger dans le bon sens au profit de la communauté.

helas rafi, ici au Maroc 90% croient qu a rassi a rassi.

Je ne suis pas du même avis! Nous avons assisté à une spectaculaire révolution, et c'est celle des mentalités. Une révolution des mentalités d'un jour à l'autre, tout le monde s'est rendu compte de son erreur, et que bouder une quelconque politique ne pouvait que lui nuire à lui, et à sa patrie. Tout le monde s'est intéressé à la politique et a eu en lieu l'intime conviction qu'il avait bien des responsabilité et qu'une changement devait avoir lieu! Le plus tôt possible!
Inchaalah un record de participation aux élections de 2012 et ça ne sera que le début

Qu'est ce que j'aimerais te croire mon ami...les mentalités, c'est ce qu'il y a de plus difficile a faire évoluer hélas. Quand la citoyenneté frappera au beztame (portefeuille) on en reparlera.
En France, on eu 1998, black blanc beur, puis 2002 avec le pen et le plus jamais ça, 6 mois plus tard, tout le monde était passé a autre chose. Faut se méfier des frénésies.
Ca va être un long apprentissage.

Pgm

PGM a écrit:

Qu'est ce que j'aimerais te croire mon ami...les mentalités, c'est ce qu'il y a de plus difficile a faire évoluer hélas. Quand la citoyenneté frappera au beztame (portefeuille) on en reparlera.
En France, on eu 1998, black blanc beur, puis 2002 avec le pen et le plus jamais ça, 6 mois plus tard, tout le monde était passé a autre chose. Faut se méfier des frénésies.
Ca va être un long apprentissage.

Pgm

Exact, ça pourrait être qu'ephemere, un élan de patriotisme... mais, on ne pourrait nier que c'est un enorme bond en avant... le début d'un long chemin où chaque citoyen saura refaire confiance en la politique de sa patrie, et ou encore il saura que pauvre ou riche, sa voix a de la crédibilité

Renard-du-desert a écrit:

Je ne suis pas du même avis! Nous avons assisté à une spectaculaire révolution, et c'est celle des mentalités. Une révolution des mentalités d'un jour à l'autre, tout le monde s'est rendu compte de son erreur, et que bouder une quelconque politique ne pouvait que lui nuire à lui, et à sa patrie. Tout le monde s'est intéressé à la politique et a eu en lieu l'intime conviction qu'il avait bien des responsabilité et qu'une changement devait avoir lieu! Le plus tôt possible!
Inchaalah un record de participation aux élections de 2012 et ça ne sera que le début

C'est aller un peu trop vite en besogne, RdD. Jusqu'à présent, l’intérêt des Marocains pour la politique demeure superficiel. Regarder les chaînes télé d'infos en continue ne procure pas pour autant une culture politique, encore moins chatter sur une page facebook. A ma connaissance, les marocains n'ont pas été pris, depuis le 20 février, par une frénésie de la lecture et cherchent à combler leurs lacunes en s'instruisant. Ils sont tout contents de s'imaginer que scander "démocratie" et "liberté" au cours d'une manif est suffisant pour prétendre s’intéresser à la politique. Je respecte bien plus ceux qui sortent manifester pour exprimer des revendications sectorielles précises, car ceux là au moins savent exactement de quoi ils parlent et ce qu'ils veulent.
Gare à la déception, c'est encore pire qu'une société toujours plongée dans l'attentisme. Quand les gens se rendront compte que la réforme de la constitution ne signifie ni création d'emploi, ni amélioration du niveau de vie, que la problématique des élections au Maroc n'est plus une question d'intervention du Maghzen mais d'achat des voix, phénomène qui n'est pas prêt de disparaître tant que le lumpen-prolétariat demeure quantitativement important, et qu'enfin de compte, c'est toujours la même élite qui s'accapare la réalité du pouvoir, grande sera la déception. Et les voix des courants politiques populistes et radicaux se feront entendre à nouveau...

tres bonnes remarques samy, j aime bien ton analyse

je pense que beaucoups s'imagninent que la "démocratie" sera immédiate , malheureusementla démocratie prend du temps à se construire,même de ce coté de la méditérannée la democratie n'est pas encore instalée definitivement
il ne faut pas réver, tout ne peu pas changer en quelques mois, sa majesté le roi, que dieu le bénisse lutte depuis son accession au trône et son travail et sa lutte n'est pas encore et de loin finie, c'est a vous les jeunes et les moins jeunes de ce forum à travailler avec le roi pour faire évoluer les choses consolider et protéger le travail accomplis et a accomplir

Samyadams a écrit:

Renard-du-desert a écrit:

Je ne suis pas du même avis! Nous avons assisté à une spectaculaire révolution, et c'est celle des mentalités. Une révolution des mentalités d'un jour à l'autre, tout le monde s'est rendu compte de son erreur, et que bouder une quelconque politique ne pouvait que lui nuire à lui, et à sa patrie. Tout le monde s'est intéressé à la politique et a eu en lieu l'intime conviction qu'il avait bien des responsabilité et qu'une changement devait avoir lieu! Le plus tôt possible!
Inchaalah un record de participation aux élections de 2012 et ça ne sera que le début

C'est aller un peu trop vite en besogne, RdD. Jusqu'à présent, l’intérêt des Marocains pour la politique demeure superficiel. Regarder les chaînes télé d'infos en continue ne procure pas pour autant une culture politique, encore moins chatter sur une page facebook. A ma connaissance, les marocains n'ont pas été pris, depuis le 20 février, par une frénésie de la lecture et cherchent à combler leurs lacunes en s'instruisant. Ils sont tout contents de s'imaginer que scander "démocratie" et "liberté" au cours d'une manif est suffisant pour prétendre s’intéresser à la politique. Je respecte bien plus ceux qui sortent manifester pour exprimer des revendications sectorielles précises, car ceux là au moins savent exactement de quoi ils parlent et ce qu'ils veulent.
Gare à la déception, c'est encore pire qu'une société toujours plongée dans l'attentisme. Quand les gens se rendront compte que la réforme de la constitution ne signifie ni création d'emploi, ni amélioration du niveau de vie, que la problématique des élections au Maroc n'est plus une question d'intervention du Maghzen mais d'achat des voix, phénomène qui n'est pas prêt de disparaître tant que le lumpen-prolétariat demeure quantitativement important, et qu'enfin de compte, c'est toujours la même élite qui s'accapare la réalité du pouvoir, grande sera la déception. Et les voix des courants politiques populistes et radicaux se feront entendre à nouveau...

je suis tout a fait d'accord le makhzan , est fort c'est vrai mais sa fait des années que il est en retrait , que le grand problème c'est la corruption , le manque de d’éducation chez le citoyen , qui quand tu lui dit va jeté ce papier dans cette boite et je te donne 200 dh et l'autre viens lui dire va jeté ce papier et je fais une route , lui ils s'enfou de la route il prend les 200 dh qui sont plus sur a sont avis ...

thierrytigerfan a écrit:

je pense que beaucoups s'imagninent que la "démocratie" sera immédiate , malheureusementla démocratie prend du temps à se construire,même de ce coté de la méditérannée la democratie n'est pas encore instalée definitivement
il ne faut pas réver, tout ne peu pas changer en quelques mois, sa majesté le roi, que dieu le bénisse lutte depuis son accession au trône et son travail et sa lutte n'est pas encore et de loin finie, c'est a vous les jeunes et les moins jeunes de ce forum à travailler avec le roi pour faire évoluer les choses consolider et protéger le travail accomplis et a accomplir

tout a fait la balle est dans le camp des forces politiques et sociales,
le message est simple, vous voulez la democration oeuvrer pour la construire et l avoir
malheuresement ces jeunes veulent le pouvoir, drole de situation

est ce que quelqu'un compte participer a la marche du 10 avril a casablanca?

vympel27 a écrit:

est ce que quelqu'un compte participer a la marche du 10 avril a casablanca?

oui avec mon coeur

un chiffre à rappeler très souvent : le Maroc a besoin de 300.000 emplois par an

sur ce sujet, aucune personne ne manifeste ou n'a des propositions concrétes ..RIEN ...le VIDE SIDERAL ....

c'est tellement difficile qu'on préfere plutôt parler de "pouvoir" et de "constitution", par contre "creations d'usines" ; çà c'est trop difficile ou plutôt trop fort !!

moi si je manifestes dans un pays du tiers monde comme le Maroc, çà sera uniquement pour çà !!!

marques a écrit:

un chiffre à rappeler très souvent : le Maroc a besoin de 300.000 emplois par an

sur ce sujet, aucune personne ne manifeste ou n'a des propositions concrétes ..RIEN ...le VIDE SIDERAL ....

c'est tellement difficile qu'on préfere plutôt parler de "pouvoir" et de "constitution", par contre "creations d'usines" ; çà c'est trop difficile ou plutôt trop fort !!

moi si je manifestes dans un pays du tiers monde comme le Maroc, çà sera uniquement pour çà !!!

Tu ne seras pas seul, Marques Ramènes une banderole, j'essaye de nous trouver un mégaphone
Traiter de création d'emploi et de la bonne politique économique à appliquer pour ce faire, ça exige un minimum de connaissances en économie et le courage politique de dénoncer la prédation et de désigner ses auteurs Là, on se rend compte que ce n'est pas seulement au gouvernement qu'il faut s'en prendre, mais à toute une élite socio-économique fortement liée à des intérêts étrangers. L'équilibre des forces paraît alors loin de pencher en faveur des protestants. Pour rétablir cet équilibre, il faudrait toute une structure politique qui puisse allier les classes moyennes et défavorisées en un seul camp. C'est à dire des années de travail de sensibilisation, d'encadrement et de mobilisation des masses, une tâche titanesque qui exige des militants prêts à sacrifier toute leur existence ou presque. Mais il faut être certain que ceux là, pas une chaîne de télé ne va leur accorder ne serait-ce qu'une minute d'antenne.

Samyadams a écrit:

marques a écrit:

un chiffre à rappeler très souvent : le Maroc a besoin de 300.000 emplois par an

sur ce sujet, aucune personne ne manifeste ou n'a des propositions concrétes ..RIEN ...le VIDE SIDERAL ....

c'est tellement difficile qu'on préfere plutôt parler de "pouvoir" et de "constitution", par contre "creations d'usines" ; çà c'est trop difficile ou plutôt trop fort !!

moi si je manifestes dans un pays du tiers monde comme le Maroc, çà sera uniquement pour çà !!!

Tu ne seras pas seul, Marques Ramènes une banderole, j'essaye de nous trouver un mégaphone
Traiter de création d'emploi et de la bonne politique économique à appliquer pour ce faire, ça exige un minimum de connaissances en économie et le courage politique de dénoncer la prédation et de désigner ses auteurs Là, on se rend compte que ce n'est pas seulement au gouvernement qu'il faut s'en prendre, mais à toute une élite socio-économique fortement liée à des intérêts étrangers. L'équilibre des forces paraît alors loin de pencher en faveur des protestants. Pour rétablir cet équilibre, il faudrait toute une structure politique qui puisse allier les classes moyennes et défavorisées en un seul camp. C'est à dire des années de travail de sensibilisation, d'encadrement et de mobilisation des masses, une tâche titanesque qui exige des militants prêts à sacrifier toute leur existence ou presque. Mais il faut être certain que ceux là, pas une chaîne de télé ne va leur accorder ne serait-ce qu'une minute d'antenne.

C'est justement cela qui me fait peur ... Avec SM au commande, nous etions dans une bonne dynamique question repositionnement stratégique et question concrétisation de grand projets. Quand sera t'il demain ... ? Ne risque t'on pas de se retrouver avec des ministres qui ne comprenne rien à l'éxéption de la science de la magouille ?

Aujourd'hui dans notre gouvernement des nom : Ghallab, Belkhyat, Chami, Znagui akhnouch qui sont tout de même d'exelent élément et qui ont une véritable volonté de réforme et de progrès, et ils y arrivent ! Où seront t'il demain ?

Citation :

Révoltes dans le monde arabe : "L'exception marocaine qui fait débat", selon un journal gabonais

Libreville - Les observateurs s'interrogent sur ce qui semble constituer "l'exception marocaine" dans le monde arabo-islamique face au vent de révoltes qui souffle sur plusieurs pays de la région, note le quotidien gabonais "L'Union".

Il est vrai que le Maroc a enregistré, le 20 février, des premières manifestations populaires visant à interpeller les autorités sur la nécessité d'engager des réformes politiques dans le pays, mais cette démarche est "à tout le moins légitime" pour revendiquer des droits ainsi que l'amélioration des conditions de vie, indique le journal.

Toutefois, comparé à certains pays voisins, où les populations commencent tout juste à dire tout haut ce qu'ils pensaient des décennies durant tout bas, le Maroc "n'a pas trop à rougir" en termes de liberté d'expression et d'avancées démocratiques, relève la même source, précisant que les Marocains ne contestent nullement la légitimité historique de la monarchie et SM le Roi Mohammed VI, dont le style et la grande proximité avec son peuple ont donné au Maroc une autre approche de la fonction royale, "s'est toujours montré à l'écoute de ses concitoyens et a su placer l'homme au centre du développement".

"L'Union" ajoute que cette attitude a été bénéfique pour la stabilité sociale et le développement économique du Maroc dont les effets sont aujourd'hui ressentis sur l'ensemble des régions du pays, y compris celle du Nord "qui était jusque-là négligée" et qui concentre actuellement de grands projets structurants générateurs d'emplois.

Cette grande capacité d'écoute et surtout cette volonté de prendre en compte les aspirations de ses compatriotes, souligne le quotidien gabonais, se sont d'ailleurs à nouveau manifestées le 9 mars dernier lorsque le Souverain a annoncé une profonde révision constitutionnelle devant être soumise à référendum.

Le journal gouvernemental gabonais met l'accent sur les réactions positives suscitées par ce discours à l'étranger et dans les grandes capitales mondiales, à l'image de Paris qui l'a qualifié de "visionnaire".

http://www.map.ma/fr/sections/politique/revoltes_dans_le_mon/view

il vend bien le produit "maroc démocratique" j’espère que sa sera pas juste une autre action déstiné plus a extérieure que réellement a l’intérieure. ou comme dit le proverbe marocain mandba kbira et lmayat far .

Citation :

Réunion d'experts à Rabat sur la portabilité des droits sociaux des migrants

Rabat, 30/03/11- Une réunion d'experts sur "la portabilité des droits sociaux des migrants" se tiendra à Rabat, du 31 mars au 1er avril, dans le cadre des préparatifs de la 3ème conférence euro-africaine sur la migration et le développement, prévue à Dakar fin 2011.

Organisée sous les auspices des gouvernements du Maroc et de l'Espagne et financée par l'Union européenne, cette conférence se tiendra avec la participation des experts d'une soixantaine de pays dont 26 africains et des représentants d'organisations internationales spécialisées dans les questions migratoires et qui s'intéressent aux problèmes de la protection et de la sécurité sociale des travailleurs migrants.

Les débats porteront sur la portabilité des droits sociaux des travailleurs migrants, dans un cadre transnational et dans la perspective d'une meilleure mobilité, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la coopération.

Cette réunion permettra également de présenter les cadres réglementaires en vigueur dans les pays participants et d'échanger les bonnes pratiques en la matière, souligne le communiqué.

La première Conférence euro-africaine sur la migration et le développement, tenue à Rabat en juillet 2006, avait mis l'accent sur la nécessité d'établir une coopération interétatique renforcée entre les pays d'origine, de transit et de destination.

http://www.map.ma/fr/sections/social/reunion_d_experts_a/view

Citation :

Arrestation à Bab Sebta d'un Espagnol en possession de 10 kilos de chira

Tétouan, 30/03/11- Les éléments de la brigade conjointe de la police et de la douane à Bab Sebta ont arrêté, mardi en fin d'après-midi, un ressortissant espagnol en possession de 10 kg de résine de cannabis (Chira), a-t-on appris, mercredi, de source douanière.

La drogue était dissimulée dans les deux longerons du véhicule conduit par cet espagnol, et immatriculé en Espagne.

L'individu, âgé de 28 ans, a été mis à la disposition de la police judiciaire pour complément d'enquête, et son véhicule saisi.

Dimanche dernier, un ressortissant français a été arrêté en possession de 20 kg de chira, sous forme de tablettes dissimulées également dans les deux longerons de son véhicule immatriculé en France.

Le trafiquant présumé, un retraité âgé de 59 ans, a lui aussi été remis à la police judiciaire pour complément d'enquête, et son véhicule saisi.

http://www.map.ma/fr/sections/general/arrestation_a_bab_se/view

marques a écrit:

un chiffre à rappeler très souvent : le Maroc a besoin de 300.000 emplois par an

sur ce sujet, aucune personne ne manifeste ou n'a des propositions concrétes ..RIEN ...le VIDE SIDERAL ....

c'est tellement difficile qu'on préfere plutôt parler de "pouvoir" et de "constitution", par contre "creations d'usines" ; çà c'est trop difficile ou plutôt trop fort !!

moi si je manifestes dans un pays du tiers monde comme le Maroc, çà sera uniquement pour çà !!!

je ne suis pas expert du Maroc et de sa politique mais 300000 emplois à créer par an c'est énorme
ni le secteur privé ni le secteur public ne peuvent réaliser ce genre d'objectif c'est trop énorme comme chiffre
de plus si j'ai bien suivis vos débats notament sur la formation professionelle c'est encore plus difficile
c'est un eceuil formidable a contourner

Ce ne sont pas 300 000 emplois a creer par ans sinon on serait dans un sacre petrin...

300 000 c'est une generaton marocaine, or lorsqu'une generation entre, en principe, une autre sort...

H3llF!R3 a écrit:

Ce ne sont pas 300 000 emplois a creer par ans sinon on serait dans un sacre petrin...

300 000 c'est une generaton marocaine, or lorsqu'une generation entre, en principe, une autre sort...

ce que tu dis arrivera d ici 5 ans et même plus d ici 10 ans,

leadlord a écrit:

il vend bien le produit "maroc démocratique" j’espère que sa sera pas juste une autre action déstiné plus a extérieure que réellement a l’intérieure. ou comme dit le proverbe marocain mandba kbira et lmayat far .

Pas assez convainquant à mon gout ... on à un peu l'impression du texte apris par coeur (si cher à noter éducation nationnale soit dit en passant ...) .
J'aimerais bien voir à sa place une sorte de tenor du barreau qui ai l'art de la parole un peu comme l'été feu SM Hassan II et qui se parvenait à se mettre dans une position de force dans le débat avec une aisance comme je ne l'ai jamais retrouvé chez personne.

Le recrutement est ouvert ... a qui pensez-vous ?

thierrytigerfan a écrit:

marques a écrit:

un chiffre à rappeler très souvent : le Maroc a besoin de 300.000 emplois par an

sur ce sujet, aucune personne ne manifeste ou n'a des propositions concrétes ..RIEN ...le VIDE SIDERAL ....

c'est tellement difficile qu'on préfere plutôt parler de "pouvoir" et de "constitution", par contre "creations d'usines" ; çà c'est trop difficile ou plutôt trop fort !!

moi si je manifestes dans un pays du tiers monde comme le Maroc, çà sera uniquement pour çà !!!

je ne suis pas expert du Maroc et de sa politique mais 300000 emplois à créer par an c'est énorme
ni le secteur privé ni le secteur public ne peuvent réaliser ce genre d'objectif c'est trop énorme comme chiffre
de plus si j'ai bien suivis vos débats notament sur la formation professionelle c'est encore plus difficile
c'est un eceuil formidable a contourner

Thierry, les 300.000 emplois (de toutes sortes , c'est à dire de l'ingénieur à l'ouvrier agricole) est un chiffre à mettre en relation avec la croissance démographique et l'arrivée de plus en plus importante de gros bataillons de jeunes sur le marché de l'emploi ...qu'ils soient diplomés ou non !!!

par aillurs il s'agit d'un solde positif , et la vérité est que les pures creations d'emplois nouveaux sont plus proche des 450.000 emplois....

à l'heure actuelle, c'est les "petits boulots" de type gardiens de voitures, vendeurs ambulants etc...et l'émigration qui sauvent la mise , ainsi que les bonnes années de pluie qui occupent beaucoup de monde dans le monde rural (45% de la population marocaine)

tout çà parait énorme mais c'est la realité et c'est vrai que c'est plus facile de parler de la "reforme de la constitution" , "fassis = voleurs" , "amazigh : langue nationale" ; "à bas le makhzen" etc ...etc ...que d'imaginer des solutions ..

et pendant ce temps, en Chine, des centaines de millions d'ouvriers bossent 12 heures par jour et pour 50€ par mois ..

et c'est on prenait la chose a l'envers, non combien la popolation marocaine a besoin de postes d'emplois annuelement ! mais combien l'economie marocaine cree de postes d'emplois nouveaux en un an ? c'est ca la question, quel secteur en cree bcp et il faut le consolider et le quel cree moins et il faut dans se cas l'encourager..voila.

a mon avis, pour creer de l'emplois il nous faut une vision previsionaire en matiere d'investssement , faut faire des recherches en marqueting et taper la ou le reste du monde ne tape pas bcp pour le moment, et a profiter de certains de nos prifilege geo, pour le monemt je ne vois que 2 :

1- le secteur de la peche, ou notre foltte reste modeste ( cotè renovations ) et l'industrie qui va avec, faut voir audela des boites de conservers et le brut, amelioer la qualitè qui fait defaut dans bcp de produit , moi meme j'hesite a en prendre quant je vois la qualitè de nos produits ( pas tous ) dans les etageres des supermarchès ici.

2-secteur des energies renouvalbles surtout le solaire, ceraints oublie que la majeur partie du petrole exportè on l'emploie pour produire de l'electricitè alors que nous avons un pays sous soleil 24/24, je pensais surout a ces zones rurales du ( maroc inutile ) dans le quel est difficle l'aprovisoner en energie electrique voie resau alors que nous pouvons l'aprovisoner en paneaux a l'image de bcp d'iles geques et canariennes, alors que les paneaux encore aujourd'huit au maroc coute la colere de dieu, ce secteur doit absolument decoler et etre a portè de tous, se on maitrise rien que que ca on serait leader dans le secteur et en exportation ( aujourd'huit c'est la chine qui tient ce poste ).

marques a écrit:

thierrytigerfan a écrit:

marques a écrit:

un chiffre à rappeler très souvent : le Maroc a besoin de 300.000 emplois par an

sur ce sujet, aucune personne ne manifeste ou n'a des propositions concrétes ..RIEN ...le VIDE SIDERAL ....

c'est tellement difficile qu'on préfere plutôt parler de "pouvoir" et de "constitution", par contre "creations d'usines" ; çà c'est trop difficile ou plutôt trop fort !!

moi si je manifestes dans un pays du tiers monde comme le Maroc, çà sera uniquement pour çà !!!

je ne suis pas expert du Maroc et de sa politique mais 300000 emplois à créer par an c'est énorme
ni le secteur privé ni le secteur public ne peuvent réaliser ce genre d'objectif c'est trop énorme comme chiffre
de plus si j'ai bien suivis vos débats notament sur la formation professionelle c'est encore plus difficile
c'est un eceuil formidable a contourner

Thierry, les 300.000 emplois (de toutes sortes , c'est à dire de l'ingénieur à l'ouvrier agricole) est un chiffre à mettre en relation avec la croissance démographique et l'arrivée de plus en plus importante de gros bataillons de jeunes sur le marché de l'emploi ...qu'ils soient diplomés ou non !!!

par aillurs il s'agit d'un solde positif , et la vérité est que les pures creations d'emplois nouveaux sont plus proche des 450.000 emplois....

à l'heure actuelle, c'est les "petits boulots" de type gardiens de voitures, vendeurs ambulants etc...et l'émigration qui sauvent la mise , ainsi que les bonnes années de pluie qui occupent beaucoup de monde dans le monde rural (45% de la population marocaine)

tout çà parait énorme mais c'est la realité et c'est vrai que c'est plus facile de parler de la "reforme de la constitution" , "fassis = voleurs" , "amazigh : langue nationale" ; "à bas le makhzen" etc ...etc ...que d'imaginer des solutions ..

et pendant ce temps, en Chine, des centaines de millions d'ouvriers bossent 12 heures par jour et pour 50€ par mois ..

ok vu comme ça mais il n'en reste pas moins qu'a ce rhytme là vous risquez bien de tombez dans un scénario catastrophe
il faudrait peut être penser à ralentir la démographie galopante pour ne pas arriver à des situations extremes due à la surpopulation si on regarde l'inde ou les pays d'asie en general à la démographie galopante, les problemes se suivent
que ce soit au niveau de l'alimentation,l'eau,l'habitat,la nature, il faudra a un moment donné faire face à tout celà
vous allez aussi connaitre si vous ne le connaissez pas déja une migration de la population des campagnes vers les villes
la diminution des agriculteurs sera une perte grave dans la chaine de l'alimentationet de l'autosuffsiance alimentaire
une politique agricole, une amélioration des conditions de vies, l'electricité,l'eau dans les douars seraient une bonne chose
cependant il ne faut pas tomber dans le travers de l'europe ou tous les metiers de la ferme sont en faillite du fait de la politique des consortium alimentaire qui ne paye pas au juste prix le travail de tous ces fermiers,on le voi bien ici le liberalisme a outrance montre sa face cachée et le spectre d'une crise dans ce secteur vital est à craindre avec touts ces effets négatifs, la pêche idem, la politique de peche a outrance montre ses effets pervers, disparition des poissons, faillite generale de l'industrie de la pêche et là le maroc doit bien reflechir aux conséquences des accords de pêche qu'il passe avec les europeens
le secteur de l'energie renouvelable passe par des dévelloppements et de l'action du pouvoir politique, les panneaux solaire
sont cheres parce que pas ou peu produits au maroc, les éoliennes, chaque habitation pourrait en profiter et produire sa propre electricité y compris dans les douars les plus reculés mais là aussi vous allez vous retrouvez face aux producteurs d'electricité qui ne se laisseront pas enlevé le pain de la bouche, là encore il y a d'autres sources à explorez et à utiliser comme par exemple l'utilisation des dechets menager (touts ce qui est alimentaire) avec des usines de productions de gaz
fournie par la decomposition de ces dechets et qui fournis de la chaleur de l'electricité et puis il y a ce grand défi de l'eau
ce bien essentiel à la vie et dont de plus en plus de requins de a finance s'approprient au depens des populations
bref un develloppement durable ,et intelligent grâce à l'assimilation des erreurs des autres et aux experiences surtout des autres

thierrytigerfan a écrit:

ok vu comme ça mais il n'en reste pas moins qu'a ce rhytme là vous risquez bien de tombez dans un scénario catastrophe
il faudrait peut être penser à ralentir la démographie galopante pour ne pas arriver à des situations extremes due à la surpopulation...

Citation :

L'enquête démontre que le Maroc, qui connaît une forte baisse de la fécondité (2,19 naissances vivantes en 2010), est désormais dans le peloton de tête des pays arabes (Tunisie : 2,05, Liban : 1,69) pour la transition de sa fécondité.
Par rapport à l'Europe, il n'est plus qu'à quelques décimales de la France (2,02), a indiqué M. Lahlimi, attribuant cette baisse à une multitude de facteurs socio-économiques, culturels, religieux, outre la forte diminution de la mortalité.

http://www.evem.ma/index.php?option=com_events&task=view_detail&agid=862&year=2011&month=3&day=14&Itemid=104

Le monde a interviewé TFF et oui tout peu arrivé. TFF est pertinent dans ces propos bien plus que sur France 24

Citation :

Au Maroc, le "printemps arabe" n'est pas nouveau




Que dire et penser des événements qui secouent plusieurs pays arabes ? Quelles premières conclusions tirer, globalement, des différentes évolutions enregistrées ?

Prenons d'abord bonne note de quelques évidences.

Il n'existe pas, et il faut s'en réjouir, d'exception arabe aux aspirations universelles des peuples à la liberté et à la démocratie. Il ne saurait y avoir de développement économique et social sans évolution politique et démocratique parallèle. Toute société qui aspire au progrès doit marcher sur ses deux jambes. Dans le monde arabe, aussi, n'en déplaise à ceux qui, au nord comme au sud de la Méditerranée, ont voulu sacrifier l'exigence démocratique sur l'autel de la sécurité et de la stabilité. La croissance économique doit aller de pair avec le développement humain, ainsi qu'avec une juste répartition sociale et territoriale des richesses. Le progrès économique et social ne vaut que s'il est équitablement partagé.

Ensuite, évitons les amalgames.

Il faut encore conforter les transitions en cours et gérer les risques. Dans ces pays, les révolutions sont nées à la faveur d'une alliance singulière et hétéroclite entre la gauche radicale, de jeunes internautes et les mouvements islamistes. Au sein de cette coalition inédite, les islamistes ont délibérément opté pour la discrétion, de peur de braquer la population nationale, mais aussi et surtout d'effrayer l'opinion publique internationale. Le retrait tactique des formations islamistes a, également, pour objectif de leur laisser le temps de sortir du format de nébuleuse tolérée mais informelle auquel elles étaient jusque-là cantonnées, pour se structurer en organisations politiques et partisanes.

Rien ne garantit qu'au "printemps arabe" en cours dans ces pays succède un "été arabe". L'hypothèse d'un passage abrupt à un "hiver sombre", autocratique, dictatorial, plus répressif encore, n'est malheureusement pas encore totalement écartée. L'expérience iranienne de 1979 reste encore vivace dans les esprits. Enfin, il est à craindre qu'Al-Qaida, après avoir été apparemment prise au dépourvu par ces événements, ne tente de s'y greffer. Le pire n'a donc pas encore été définitivement évité, et tout doit être entrepris pour annihiler l'ensemble de ces risques potentiels et accompagner ces transitions vertueuses et prometteuses, de manière pacifique et non chaotique. A cette fin, un nouveau et immédiat "pacte euroméditerranéen pour la démocratie et le codéveloppement" s'impose. Il prendrait le relais, de manière solidaire et audacieuse, de l'actuelle politique de voisinage de l'Union européenne.

Toute assimilation ou comparaison entre le "printemps arabe" et les révolutions qui ont renversé, au début des années 1990, les régimes de l'Europe de l'Est, serait trompeuse et abusive. Dans le cas de ces pays, il s'agissait de systèmes strictement identiques, placés sous la tutelle ferme et directe de l'URSS. La chute de l'Union soviétique a, naturellement, entraîné l'effondrement de ses "satellites-clones". A l'inverse, le monde arabe n'est pas un bloc monolithique. Aucun des régimes politiques en présence ne ressemble à un autre. Les monarchies y côtoient les républiques, les pouvoirs militaires les régimes civils, le système de parti unique le multipartisme. Plus encore, le degré de légitimité du leadership en place diffère considérablement selon les pays. Enfin, certains Etats se distinguent, également, par de fortes réalités tribales ou de nets clivages ethniques et religieux.

Ensuite, les anciens pays du bloc de l'Est ont bénéficié de la prise en charge concertée et volontaire d'institutions structurées. Ils ont reçu les fonds, l'expertise, l'assistance et le soutien de l'Union européenne, mais aussi de l'OTAN, du Conseil de l'Europe, ou encore de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Les Etats arabes, quant à eux, ne bénéficient pas d'une prise en charge similaire à la formidable puissance intégratrice de l'Union européenne. L'organisation régionale, la Ligue arabe, n'a jamais réussi à inventer et à développer de modèle d'intégration véritable, que ce soit au niveau politique, économique, ou en termes de régulation et de gestion des crises.

Cependant, s'il est vrai que les Etats arabes détiennent, chacun, leurs particularités, il n'en demeure pas moins que ces pays sont traversés par des aspirations comparables et confrontés à des défis similaires. Ces pays sont, tous, caractérisés par une population extrêmement jeune, dont la moitié a moins de 25 ans, un taux de chômage élevé, y compris parmi les jeunes diplômés, de fortes disparités sociales, un sentiment prégnant d'injustice et d'exclusion et, enfin, des problèmes de gouvernance, de transparence et de corruption.

Pour autant, les changements souhaités ne seront pas opérés de manière identique. Ils interviendront de façon différenciée d'un pays à l'autre. Il n'y aura pas d'effet domino des expériences tunisienne et égyptienne, où des régimes à bout de souffle et sclérosés n'ont jamais esquissé ou préparé une réelle alternance, en-dehors de leur clan ou de leur système.

Dans ce contexte, le Maroc a des spécificités avérées et significatives.
Le Maroc indépendant a rejeté, de manière catégorique, le système de parti unique. A l'heure où d'autres courants traversaient, majoritairement, le monde en développement, l'acquis précieux de la pluralité politique et de la diversité d'opinion a pu être réalisé, au bénéfice de l'ensemble du pays. Non sans difficultés au demeurant.

Au Maroc, la monarchie millénaire, ciment de l'unité de la nation et garant d'une forte identité aux sources plurielles, se distingue par son dynamisme réformateur, sa légitimité profonde, sa capacité d'écoute permanente, et sa faculté à identifier, pour mieux les combattre, les maux et les dysfonctionnements de la société.

Au Maroc, il existe un jeu politique, certes perfectible, mais réel, où les clivages s'expriment et où la liberté d'expression et de manifestation est assumée et assurée. Les instruments d'intermédiation, les courroies de transmission et les instances de régulation y sont bel et bien présents, bien qu'ils connaissent, parfois, des difficultés, qu'il leur arrive de grincer, de s'emballer ou, à l'opposé, de s'arrêter.

Le Maroc ne craint pas le changement. Bien au contraire, il a connu, en 1998, une alternance gouvernementale pacifique et paisible, dans le cadre de ses institutions et de ses traditions politiques. De plus, il s'est engagé, depuis plus d'une décennie, dans un vaste chantier de transformations majeures, d'ouverture politique considérable, de développement économique soutenu et de progrès social significatif. Les mérites et les résultats de ces réformes sont reconnus par les marocains et salués par la Communauté internationale. C'est précisément le souci permanent de concilier réformes économiques et sociales d'une part, et avancées politiques et démocratiques d'autre part, qui a valu au Maroc l'octroi, par l'Union européenne, du statut avancé, réelle reconnaissance des progrès accomplis par le passé et véritable pari sur leur approfondissement à venir.

Ces réalisations méritent, bien entendu, d'être poursuivies, confortées et approfondies. Pour que la portée des réformes soit optimale et leur accessibilité effective, elles doivent être menées avec une rigueur accrue, des mécanismes de gouvernance rénovés et une transparence renforcée. Car si le chemin parcouru, ces dernières années, est significatif, des défis importants doivent encore être relevés, notamment dans domaine de l'éducation, de la justice, de la santé ou de la lutte contre la corruption.

Le Maroc ne craint pas, non plus, la réforme. Même la Constitution, libérale dès 1962, a été amendée à quatre reprises depuis lors. Ainsi, Mohammed VI a annoncé, le 9 mars, le lancement d'une réforme constitutionnelle large, audacieuse et avant-gardiste. Cette dernière ne sera pas uniquement limitée au processus de régionalisation avancée engagé par le souverain dès novembre 2009, et qui comporte pourtant, à lui seul, des avancées majeures en termes de démocratie et de gouvernance locales.

Ainsi, le roi a exprimé la volonté que la réforme aille bien au delà, dans le cadre d'une réforme constitutionnelle globale et profonde, qui doit assurer la consécration constitutionnelle de l'amazighité (l'identité en berbère), la consolidation de l'Etat de droit, la garantie de l'indépendance de la justice, la consolidation du principe de séparation et d'équilibre des pouvoirs (avec la consécration du principe de la nomination du premier ministre au sein du parti politique arrivé en tête des élections), le renforcement des organes et outils d'encadrement des citoyens, la consolidation des mécanismes de moralisation de la vie publique et la constitutionnalisation des instances en charge de la bonne gouvernance, des droits de l'homme et de la protection des libertés. Ce processus sera mené en consultation et en concertation étroites avec les forces vives de la nation, et notamment les partis politiques, les syndicats et les organisations de la société civile, y compris celles représentant la jeunesse.

Il s'agit là d'une étape historique pour la nation marocaine dans son ensemble. C'est un nouveau pacte entre le trône et le peuple qui se contracte. C'est une dynamique sans précédent vers la consolidation de la démocratie, de l'Etat de droit et des libertés individuelles qui a été enclenchée, selon une démarche rigoureuse et participative. Vaste et exhaltant projet. A nous, Marocains, de nous l'approprier. Dans sa plénitude.

Ainsi, malgré l'ensemble des difficultés rencontrées, des hésitations marquées et des tâtonnements observés, le Maroc avance. Il a emprunté un escalier qui le mène, progressivement, vers la consolidation de la démocratie et de l'Etat de droit. Il lui arrive de s'attarder sur une même marche. Mais il lui arrive, aussi, de grimper des marches trois par trois. L'essentiel est qu'il s'élève toujours vers le haut, vers le meilleur, dans la sérénité, la continuité et l'engagement.

Le modèle marocain, au même titre que les expériences turque et indonésienne, confirme que l'islam est parfaitement compatible avec la démocratie, les droits de l'homme et les libertés. Il est la preuve concrète et tangible que l'évolution est possible sans effusion de sang, sans rupture, sans chaos, dans un cadre structuré et pacifique, qui prend régulièrement en compte les attentes, les aspirations et les préoccupations de tous les citoyens, sans exception.

Taïb Fassi Fihri, ministre des affaires étrangères et de la coopération du royaume du Maroc

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