La politique américaine comme si vous y étiez...

Rappel du premier message :

Citation :

Ce militant démocrate qui défie Barack Obama

Candidat à la présidence, Darcy Richardson exprime la frustration d’une partie des progressistes états-uniens face au bilan du président sortant. Il participe aux primaires démocrates afin de «r amener,dit-il, Obama à gauche ».

Il n’a eu droit qu’à quelques entrefilets 
dans deux, trois journaux mais le New York Times ne l’a pas cité une seule fois dans 
l’un de ses articles. Il ne collecte que quelques milliers de dollars de-ci, de-là. Il ne bénéficie donc ni de la puissance financière ni de la couverture médiatique, éléments indispensables à toute campagne électorale 
aux États-Unis. Pourtant Darcy Richardson 
est bel et bien candidat à la présidence des 
États-Unis (www.darcy2012.com). Mieux 
même, il est le seul à défier Barack Obama 
dans plusieurs États. Même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, 
il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation 
de son candidat.

« Je suis le premier à admettre que je n’ai aucune chance de battre, voire d’inquiéter le président sortant », répète Darcy Richardson en 
préambule des rares interviews que des chaînes locales lui accordent. Même si Eugene 
McCarthy constitue sa référence politique 
(les deux hommes ont notamment milité ensemble au début des années quatre-vingt-dix dans l’aile gauche du Parti démocrate), ce féru d’histoire sait que 2012 n’est pas 1968. Cette année-là, le sénateur progressiste du Minnesota, Eugene McCarthy, avait défié, au nom 
du mouvement antiguerre, Lyndon Johnson, président depuis 1963, embourbé dans 
son escalade militaire au Vietnam. Après 
des premières primaires très serrées, 
Johnson renonça finalement à se représenter.

Pourquoi dès lors se lancer dans une telle 
bataille à cinquante-six ans ? Parce qu’Obama 
doit répondre de son bilan, rétorque en substance cet ancien assureur devenu auteur et bloggeur (www.battleground.com). « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. » L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous 
George Bush. « Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que 
le premier mandat d’Obama est en fait un 
troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush. »

Darcy Richardson a reçu le soutien 
de la Nouvelle Alliance progressiste (www.newprogs.org), organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte 
de la Maison-Blanche et qui avait appelé 
à une candidature unifiée pour défier 
Obama. Aucune des personnalités évoquées 
depuis plusieurs mois (Jeffrey Sacks, Robert Reich, Bernie Sanders, Dennis Kucinich…) 
n’a relevé le gant. Darcy Richardson, si. 
Son slogan de campagne : « Un démocrate progressiste pour président. » Et son espoir : « Ramener Obama à gauche. »

http://www.humanite.fr/monde/ce-militant-democrate-qui-defie-barack-obama-491746

Citation :

Aux États-Unis, il n’y a pas que Lyndon LaRouche pour accuser Obama d’avoir trahi ses promesses. Bien que boudé par la grande presse, le démocrate progressiste Darcy Richardson défie le président Barack Obama dans plusieurs États dans la course à la présidentielle. Car, même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.

Pour Darcy Richardson, qui mène lui aussi campagne pour rétablir la séparation des banques d’affaires des banques de dépôt (retour au Glass-Steagall Act), le bilan du mandat d’Obama est plus que calamiteux : «  Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat.  »

Et comme le précise un article paru dans l’Humanité du 8 mars : « L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite  : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. "Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush." »

La référence politique de Darcy Richardson reste Eugene McCarthy (rien à voir avec l’anti-communiste Joseph McCarthy). Ce sénateur progressiste du Minnesota avait défié en 1968, au nom du mouvement contre la guerre du Vietnam, Lyndon Johnson, président depuis 1963. Eugene McCarthy était aussi en très bonnes termes avec Lyndon LaRouche et s’était fait remarquer en 1988 en faisant campagne en faveur de l’Initiative de défense stratégique (IDS), initiative anti-guerre initié par LaRouche et caricaturé par la presse comme « la guerre des étoiles ». Il avait également signé l’appel pour un Nouveau Bretton Woods de LaRouche.

Aujourd’hui, Darcy Richardson dispose du soutien de la Nouvelle Alliance progressiste, organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Le slogan de campagne de Richardson  : «  Un démocrate progressiste pour président.  » Son espoir  : «  Ramener Obama à gauche.  »

http://www.solidariteetprogres.org/Le-candidat-democrate-progressiste-Darcy-Richardson-Obama-c-est-Bush-III_08678

https://twitter.com/lauhaim/status/1340283961004748800 a écrit:

Michael Flynn ''suggère'' de mettre en place la loi martiale afin de recompter les voix dans les états contestés

https://ledesk.ma/encontinu/biden-reconstruire-la-politique-etrangere-us-un-des-defis-de-la-prochaine-administration/ a écrit:

Biden s'est exprimé aujourd'hui..

L'unique valeur sure aux USA est Israël... voici pourquoi nous les utilisons comme '3douls'

International Policy Digest a écrit:

Can Anyone Trust the United States?

Can the United States really be trusted by any other country? The answer was a definitive no during the turbulent years of Donald Trump’s presidency. Yet, presidents deviating from the foreign policy norms of their predecessor is far from unprecedented, as historically, the U.S. has left a trail of broken contracts and empty promises with each new administration. Even though Biden won the election, and hopes to undo the wreckage left by Trump, our allies see no cause for celebration yet. Deep ideological shifts with each new president consistently and drastically alter U.S. foreign policy, making it increasingly difficult for any country, from allies to enemies, to trust the robustness of a U.S. commitment to agreements signed when there’s the potential of radical change coming four to eight years down the road.

Right now, the world is focused on the change a Biden presidency will bring, wondering if he will be able to mend deep bonds broken by Trump and his administration. This speculation is well deserved, as Trump set records for pulling out of numerous international deals, including the INF Nuclear Treaty, the Paris Agreement, the TPP trade deal, the UN Human Rights Council, and the Iran Nuclear Deal.

Further reversing U.S. foreign policy norms set by Barack Obama, Trump continued to engage in “very friendly” relations with other strongmen, such as Xi Jinping, Rodrigo Duterte, Vladimir Putin, and Kim Jong-Un, showcased by Trump meeting with and signing an agreement with the North Korean leader. Trump also attempted to renegotiate the terms of the G7 to include Russia, a move rejected by other members, angering him into postponing the meeting indefinitely. While Trump’s foreign policy agenda massively damaged America’s global standing, a new president switching foreign policy initiatives is anything but extraordinary.

Administration after administration demonstrates how unreliable agreements are once the sitting president’s term ends, and this reneging has only increased in the modern era. While Bill Clinton sought to engage NATO, George W. Bush ignored it and even went against the majority of the world’s wishes when going to war with Iraq, straining European-American relations.

Libyan leader Muammar Qaddafi was convinced to dispose of his weapons of mass destruction when Bush promised the U.S. would not overthrow him in return. However, Obama’s first term saw him completely ignore Bush’s pledge as he collaborated in Qaddafi’s overthrow. Obama clearly demonstrated his intent to switch away from Bush’s foreign policy stance when beginning his presidency with what many refer to as an “apology tour.” By traveling to various countries with speeches expressing a desire to start anew, Obama assured countries of his plans to undo the previous administration’s foreign policy norms. While meant to improve relations that suffered during Bush’s era, it exposed the ubiquity of change in foreign policy each new president brings, making the U.S. a very difficult power to trust long-term.

As the U.S. changes foreign policy decisions with each election, America’s promises are exposed again and again as only pertaining to the president that spoke them, not to the country as a whole. It is no wonder that leaders such as German Chancellor Angela Merkel and French President Emmanuel Macron are urging Europe to stop placing full faith in the U.S. Macron, in a later interview deplored, “look at what is happening…things that were unthinkable five years ago…an American ally turning its back on us so quickly on strategic issues – nobody would have believed this possible.” Five years ago this was impossible with a president committed to fostering strong international relations. Nonetheless, each new president brings new foreign policy realities.

The rest of the world cannot continue to count on the U.S. unless drastic change is made. The country must get over partisan divides and come together to decide America’s foreign policy values so the U.S. can stand for something again. This way presidents can be held accountable for staying consistent to and upholding these values, instead of exorbitantly changing course based on personal biases and opinions. If the U.S. continues down this path of fluctuating foreign policy norms, other countries will continue to grow increasingly wary of trusting the U.S. until we are left out of agreements entirely.

As we enter the Biden era, it is imperative that the bitter divide between political parties is overcome so the United States can work towards a common goal. This will foster a sense of trust in other countries, thus allowing the U.S. to benefit from the additional resources, security, and economic growth that stem from healthy allyships. Furthermore, it ensures future deals will be stronger and longer-lasting. Unfortunately, how U.S. foreign policy moves after the 2024 election will be the true evidence of the United States’ capacity to maintain a consistent international agenda. In the meantime, all we can do is hope that Biden is the president capable of uniting Americans once again.

https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1346488314157797389 a écrit:

Je sais pas à quoi joue Trump (je suis le premier à vouloir qu'il reste daba ) ,surtout que la loi est très claire si Pence s'oppose au vote il risque d'être arrêté par les Marshall de la cour suprême et être condamné à mort

demain sera chaud au Congrès , la réunion des deux chambres au Congress pour la certification du collège électoral risque d’être perturber par quelques sénateurs

.

c'est Mike Pence , le VP et donc Président du Sénat en titre, qui doit faire le show demain ...surtout après les sombres magouilles électorales vues hier en Georgie

J'espère que Trump reste au pouvoir, je suis pour sa politique.

Les democrates sont en passe de prendre controle du Senat (elections en Georgie). Celà signifie que les democrates controleront la presidence, la chambre des représentants ET le Senat.... c’est assez rare aux USA et ça veur dire qu’ils pourront passer toutes les lois qu’ils veulent....

Djaaf a écrit:

Les democrates sont en passe de prendre controle du Senat  (elections en Georgie). Celà signifie que les democrates controleront la presidence, la chambre des représentants ET le Senat.... c’est assez rare aux USA et ça veur dire qu’ils pourront passer toutes les lois qu’ils veulent....

Il n'est pas rare, pour ne pas dire habituel que des franges de partis s'opposent lors des votes...ce n'est donc pas une science exacte. il y a même des lobbys des uns chez les autres. l'intérêt suprême c'est AMERICA.
Nombre de démocrates sont passé dans l'autre camps...

Bref, il faut faire avec comme on l'a toujours fait.

Le GOP paie les guerres intestine et je pense que Trump était pas très chaud et était découragé pour ces élections

https://twitter.com/FranceNews24/status/1346900455813754880 a écrit:

Ca semble dégénérer à Washington

Djaaf a écrit:

Les democrates sont en passe de prendre controle du Senat  (elections en Georgie). Celà signifie que les democrates controleront la presidence, la chambre des représentants ET le Senat.... c’est assez rare aux USA et ça veur dire qu’ils pourront passer toutes les lois qu’ils veulent....

Non s'ils gagnent les deux places à Géorgie ils vont juste empêcher les républicains d'avoir une majorité absolue
ça sera 50 sénateurs républicains 48 sénateurs démocrates (51 pour une majorité absolue)

Ce qu'il se passe est l'histoire avec un grand H .... Les USA se transforment en une démocratie bananière.

un mec blesser par balle a l'intérieur du Capitol

Le premier défit de chaque nouveau président aux USA est de rassembler les américains. Cette fois-ci la tâche sera difficile. Les américains sont plus que jamais divisés. Biden aura besoin des mois et des mois pour recoller les morceaux cassés et faire face à une Amérique scindée en deux pays..

mission impossible

faut déjà que Trump reconnait ça défaite et félicite Biden , ce qui ne risque pas de se réaliser

.

Quand tu vois la gueule des mec..... Ce pays est une compilation de cliché

Pays des cow-boys, se foutent de l'ONU et leur ONG a 2 sense..Moi (nous) je vois que mes intérêts..

God Bless America

Le problème est plus profond que cela aujourd'hui 40% des américains pensent que les élection sont truquées ..
En tout cas quoi qu'il arrive les mouvements des 3 dernières années (gilets jaunes, crise de la catalogne et aujourd'hui les USA) ont montrés que ceux qui pronent les valeurs démocratiques sont les 1er à les violer
Pour moins que sa dans d'autres pays c'est amnesty et HRW qui te cassent les pieds dans le meilleur des cas , dans le pire on a vu ce qui s'est passé au moyen-orient

Finalement le film Idiocratie se réalise...
Vivement que cette "election" se termine...

le Hirak Américain ?

Le Congrès officialise la victoire de Jo Biden tôt ce matin... 306 contre 232 ...

Mike Pence a validé le vote ...

Nos diplomates et nos lobbyistes doivent se mettre en position de combat ...