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Sujet: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 11 Mar 2012 - 21:39
Rappel du premier message :
Citation :
Ce militant démocrate qui défie Barack Obama
Candidat à la présidence, Darcy Richardson exprime la frustration d’une partie des progressistes états-uniens face au bilan du président sortant. Il participe aux primaires démocrates afin de «r amener,dit-il, Obama à gauche ».
Il n’a eu droit qu’à quelques entrefilets dans deux, trois journaux mais le New York Times ne l’a pas cité une seule fois dans l’un de ses articles. Il ne collecte que quelques milliers de dollars de-ci, de-là. Il ne bénéficie donc ni de la puissance financière ni de la couverture médiatique, éléments indispensables à toute campagne électorale aux États-Unis. Pourtant Darcy Richardson est bel et bien candidat à la présidence des États-Unis (www.darcy2012.com). Mieux même, il est le seul à défier Barack Obama dans plusieurs États. Même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.
« Je suis le premier à admettre que je n’ai aucune chance de battre, voire d’inquiéter le président sortant », répète Darcy Richardson en préambule des rares interviews que des chaînes locales lui accordent. Même si Eugene McCarthy constitue sa référence politique (les deux hommes ont notamment milité ensemble au début des années quatre-vingt-dix dans l’aile gauche du Parti démocrate), ce féru d’histoire sait que 2012 n’est pas 1968. Cette année-là, le sénateur progressiste du Minnesota, Eugene McCarthy, avait défié, au nom du mouvement antiguerre, Lyndon Johnson, président depuis 1963, embourbé dans son escalade militaire au Vietnam. Après des premières primaires très serrées, Johnson renonça finalement à se représenter.
Pourquoi dès lors se lancer dans une telle bataille à cinquante-six ans ? Parce qu’Obama doit répondre de son bilan, rétorque en substance cet ancien assureur devenu auteur et bloggeur (www.battleground.com). « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. » L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. « Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush. »
Darcy Richardson a reçu le soutien de la Nouvelle Alliance progressiste (www.newprogs.org), organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Aucune des personnalités évoquées depuis plusieurs mois (Jeffrey Sacks, Robert Reich, Bernie Sanders, Dennis Kucinich…) n’a relevé le gant. Darcy Richardson, si. Son slogan de campagne : « Un démocrate progressiste pour président. » Et son espoir : « Ramener Obama à gauche. »
Aux États-Unis, il n’y a pas que Lyndon LaRouche pour accuser Obama d’avoir trahi ses promesses. Bien que boudé par la grande presse, le démocrate progressiste Darcy Richardson défie le président Barack Obama dans plusieurs États dans la course à la présidentielle. Car, même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.
Pour Darcy Richardson, qui mène lui aussi campagne pour rétablir la séparation des banques d’affaires des banques de dépôt (retour au Glass-Steagall Act), le bilan du mandat d’Obama est plus que calamiteux : « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. »
Et comme le précise un article paru dans l’Humanité du 8 mars : « L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. "Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush." »
La référence politique de Darcy Richardson reste Eugene McCarthy (rien à voir avec l’anti-communiste Joseph McCarthy). Ce sénateur progressiste du Minnesota avait défié en 1968, au nom du mouvement contre la guerre du Vietnam, Lyndon Johnson, président depuis 1963. Eugene McCarthy était aussi en très bonnes termes avec Lyndon LaRouche et s’était fait remarquer en 1988 en faisant campagne en faveur de l’Initiative de défense stratégique (IDS), initiative anti-guerre initié par LaRouche et caricaturé par la presse comme « la guerre des étoiles ». Il avait également signé l’appel pour un Nouveau Bretton Woods de LaRouche.
Aujourd’hui, Darcy Richardson dispose du soutien de la Nouvelle Alliance progressiste, organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Le slogan de campagne de Richardson : « Un démocrate progressiste pour président. » Son espoir : « Ramener Obama à gauche. »
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 5 Mai 2021 - 17:47
Bruce Wayne a écrit:
Donald Trump a sorti sa nouvelle plateforme d'expression..
Le nombre d'abonnés après ses premiers tweets va exploser Et les premiers abonnés seront ses pires ennemies Ils le détestent, mais ils veulent savoir ce qu'il dit. Ils vont tous activer les "notifications"
Bonne nouvelle pour la question du sahara marocain!
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 5 Mai 2021 - 17:55
Il est entrain d'attaquer les rhinos du GOP qui l'avaient lâchés (surtout en Georgie pour les sénatoriales) ... Moi aussi Ssi Ralek j'ai hâte de voir quand il va parler de sa politique étrangère il va surement aborder le cas de notre Sahara..
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 12 Mai 2021 - 12:48
https://www.politico.com/news/2021/05/11/retired-brass-biden-election-487374 a écrit:
Après la France, des généraux et des amiraux à la retraite ont écrit une lettre ouverte à Biden,où ils le mettent en garde contre une potentielle guerre civile, une signature du deal iranien ,la menace chinoise mais aussi...la santé du commandant en chef des armées... Les généraux et amiraux signataires de cette lettre sont plus d'une centaine
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Anzarane Lt-colonel
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 12 Mai 2021 - 12:54
Qui ce qui se passe la........la france et maintenant les US. L’armée veut retourner aux affaires...
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 12 Mai 2021 - 13:01
C'est le problème Ssi Anzarane quand des incompétents gèrent un pays, ce qui est intéressant c'est que les militaires sous-entendent que l'élection a été volée... Je serais curieux de voir comment les médias US vont se dépatouiller, pendant les 4 ans de Trump ils ont pas cessé de dire que les hauts-gradés de l'armée ne l'appréciaient pas...
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Adam Modérateur
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 30 Mai 2021 - 22:01
Jack Detsch - Foreign Policy a écrit:
Biden Looks to the Future in First Defense Budget
But Biden’s planned cuts to current generation U.S. jets and ships and his makeover of the nuclear arsenal are likely to meet criticism in Congress.
For the Biden administration, the U.S. Defense Department needs to start shifting away from outdated weapons systems and vulnerable platforms to keep up with the Chinese military’s leap forward in military technology.
That’s according to the Pentagon’s $715 billion budget request released on Friday, which calls for paring back the Army’s budget and purchases of existing fighter jets, tanks, and ships while developing unmanned ships and sweeping modernization of the U.S. nuclear arsenal.
“You’ll see a significant investment in our naval forces, long-range fires, and probably the largest ever request for RDT&E for development of technologies,” U.S. Defense Secretary Lloyd Austin told lawmakers on Thursday, using an acronym to describe the Pentagon’s research and development efforts.
By slightly favoring the future over the present, as Chairman of the Joint Chiefs of Staff Gen. Mark Milley put it to Congress in the same budget preview hearing yesterday, U.S. President Joe Biden’s first budget is also a notable departure from former U.S. President Donald Trump’s policies, which called for a 355-ship U.S. Navy and projected a long-term decrease for researching and developing future platforms.
But prioritizing the future over the present isn’t likely to be popular, even among some Democrats on Capitol Hill, who are hoping to bring Pentagon dollars back to bases, dry docks, shipyards, and manufacturing plants in their districts. The budget makes no mention of the much-ballyhooed Trump ship goal: Biden is only asking for $21 billion to build new vessels this year, a substantial decrease from Trump’s plans to ask for $27 billion to build 82 new ships by 2026. House Armed Services Seapower Subcommittee chairperson Joe Courtney already called Biden’s request for eight new ships “pathetic,” and it will likely set up a fight to add money in Congress.
There are other small but significant changes likely to prompt fights on Capitol Hill. The Pentagon wants to cut the number of F-35 fighter jets it’s buying to 85—part of a nearly 10 percent haircut for Pentagon purchases of current generation Air Force platforms—to keep the number of Army troops basically flat and to get rid of four littoral combat ships and Coast Guard cutters. Some high-profile members, such as House Armed Services Committee Vice Chair Elaine Luria, a Virginia Democrat and former Navy surface warfare officer, have pushed back on decommissioning littoral combat ship platforms, arguing the Pentagon shouldn’t abandon ships still in service for future technologies that might not pan out.
The budget isn’t likely to win quick support from the other side of the aisle either. Republican leaders in Congress, such as Sen. Jim Inhofe, the top Republican on the Senate Armed Services Committee, has expressed frustration that the $715 billion top-line figure for defense will not increase spending above inflation, which he said would leave the United States less ready to take on China.
“It definitely doesn’t provide the 3 to 5 percent real growth we really need to take on the threats posed by our adversaries like China,” Inhofe said in a floor speech in April. Recently retired Indo-Pacific Command chief Adm. Phil Davidson warned Congress in March that China could move to invade Taiwan within the next six years.
But lawmakers who have been pushing since the Trump administration to shift resources toward the Indo-Pacific, such as Inhofe, will find things to like in Biden’s wish list.
The Pentagon is asking for nearly $5.1 billion for the Pacific Deterrence Initiative, a fund created by Congress during the last budget cycle to backstop the long-stalled U.S. pivot to Asia with more defense spending. That’s $400 million more than Davidson originally asked for and includes spending nearly $120 million to assess new missile defenses and begin buying radar and other materials for an Aegis Ashore missile defense battery. This will provide cover for U.S. troops stationed in Guam and help investments in missiles that bust through Intermediate-Range Nuclear Forces Treaty limits, a pact with Russia that the United States left in 2019.
But the administration, which is not submitting a future year projection of the defense budget that typically accompanies the request, is not providing answers on the nearly $23 billion Indo-Pacific Command wants over the next six years to deal with the China threat. Congress is still hoping for answers on what the administration’s China and global force posture reviews will mean for the movement of U.S. troops around the world, and the Pentagon has yet to crack the seal on either document.
And despite the recent flare up in the Middle East and the Pentagon’s dispatch of the U.S.S. Ronald Reagan carrier strike group from Japan to the Persian Gulf to cover departing U.S. troops, Biden is hoping to thin out U.S. military investment in the region and siphon off the war funding that has backed it up. Biden is hoping to do away with the so-called Overseas Contingency Operations account that has paid for U.S. wars in Iraq and Afghanistan—long derided as a slush fund by progressives—slashing the fund by 40 percent with cuts to U.S. training for Iraqi and Syrian counter-Islamic State forces. Another $800 million was also cut from funding to counter Russia in Europe.
Yet even though the budget includes $500 million to fight COVID-19 and $617 million to make U.S. bases and weapons systems more energy efficient, progressives are still balking at the eye-popping price tag for the Pentagon’s operations, which some hope to see shifted back to domestic priorities. In particular, the proposed $2.6 billion to revamp U.S. intercontinental ballistic missiles, nearly double last year’s spending, is likely to raise eyebrows among skeptics and arms control advocates in the Democratic caucus.
“At over $750 billion, the Biden administration’s proposal for spending on the Pentagon and related work on nuclear weapons at the Department of Energy is both excessive and misguided,” said William Hartung, director of the arms and security initiative at the Center for International Policy, a doveish think tank.
“At a time when the greatest challenges to human lives and livelihoods stem from threats like pandemics and climate change, sustaining Pentagon spending at over three quarters of a trillion dollars a year is both bad budgeting and bad security policy,” Hartung said.
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 4 Juin 2021 - 23:19
https://freebeacon.com/biden-administration/state-department-shuns-term-abraham-accords/ a écrit:
L'administration Biden souhaite appeler les accords d'abraham par les accords de normalisation... Au fond c'est plutôt bien ils sont entrain de s'approprier la chose (comme ils l'ont fait pour la vaccination qui est l'oeuvre de l'administration Trump vu que ça rentre dans l'opération Warp Speed, ou encore les chaque pour aider les familles...)
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 6 Juin 2021 - 0:20
https://twitter.com/bennyjohnson/status/1401296468737208325 a écrit:
Trump déclare lors d'une collecte de fond pour le NRSC qu'ils reprendront le sénat et la whitehouse bientôt ...Est-ce qu'il pense encore qu'il prendra le pouvoir avant 2024 ou est-il en campagne pour 2024 (j'espère que c'est sa sinon c'est dommage qu'il se ridiculise comme sa..)
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 6 Juin 2021 - 0:36
Bruce Wayne a écrit:
Trump déclare lors d'une collecte de fond pour le NRSC qu'ils reprendront le sénat et la whitehouse bientôt ...Est-ce qu'il pense encore qu'il prendra le pouvoir avant 2024 ou est-il en campagne pour 2024 (j'espère que c'est sa sinon c'est dommage qu'il se ridiculise comme sa..)
Il a sous entendu qu'il allait se représenter en 2024 en commentant la suspension de son compte Facebook pour 2 ans il y'a quelques jour de ça.
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 27 Juin 2021 - 13:12
J'ai toujours apprécié Trump depuis 2016 (bien que je sois apolitique je suis un souverainiste convaincu et l'idéologie Jacksonienne offre ceci), ceci étant je suis persuadé que c'est une très très mauvaise idée qu'il se présente en 2024 il va justement phagocyté puis tuer l'idéologie Jacksonienne dans le GOP qui est largement présente aujourd'hui.... Pour moi il est politiquement fini (sa transition, ses procès bien qu'injuste et le 6 Janvier restent présents dans l'esprit de pas mal d'américains) à titre perso DeSantis est la meilleure alternative et il a des de très très grandes chances d'être élus en 2024 (sans compter que c'est très très positif pour nous si DeSantis est président)...
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Adam Modérateur
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 30 Juin 2021 - 21:49
Celui qui avait signé le contrat de nos F-16 ... l'ancien secrétaire US à la défense, Donald Rumsfeld n'est plus ..
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 30 Juin 2021 - 21:52
Honnêtement pour ce qu'il a fait avec l'Irak c'est pas une perte, il est devant le créateur
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Adam Modérateur
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 3 Juil 2021 - 20:18
Le Maroc doit réagir ... y compris par la voie juridique ... on ne peut pas tolérer que notre drapeau national soit ainsi utilisé par un groupe armé ....
Boston Globe a écrit:
Group called ‘Rise of the Moors’ broadcasted live from standoff
A group that calls itself the “Rise of the Moors” broadcasted live Saturday on social media channels during a standoff with police on Interstate 95 in Wakefield.
The confrontation ended peacefully before noon Saturday with the arrest of 11 men, State Police Colonel Christopher Mason said during a news conference.
In videos posted to Instagram, men dressed in military gear displayed firearms and stood in the highway. State Police Colonel Christopher Mason said long guns and handguns were visible.
Two men displayed a red flag with a green star in the middle. The men told authorities they are residents of Rhode Island, said Middlesex District Attorney Marian Ryan at the news conference. She said authorities are looking into the accuracy of that claim.
The group’s website describes its organization as a collective of “Moorish Americans,” and its members believe they are the “original sovereigns of this land — America.”
Mason declined to identify the group during the news conference, but noted the organization had shared information with the public on social media.
In the Instagram videos, a man who appeared to be a leader of the group spoke on his cellphone to an unidentified law enforcement officer, using the speaker phone. The member of the group described himself as a US Marine Corps veteran who served for four years and said the “Rise of the Moors” are not anti-government.
“We’re not going to threaten you guys, we’re not going to coerce you guys we’re not going to make you guys feel threatened in any type of way,” the apparent leader said.
During his phone conversation, the apparent leader said his men grabbed weapons Saturday morning on I-95 when they were approached by law enforcement because they felt threatened. The apparent leader asked to be served a summons, saying law enforcement officials could deliver the summons to a table that he offered to set up in the middle of the highway.
He expressed concern about being arrested and fingerprinted, which he described as a form of self-incrimination. He said he and his men wanted to go home.
“I want my men to be safe, alive, keep and bear their arms,” he said.
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Fox-One General de Division
messages : 7911 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 3 Juil 2021 - 21:06
Si ils se déclarent marocains, alors ont leur envoi les FA et l'affaire est réglée
Stinger Lt-colonel
messages : 1387 Inscrit le : 18/06/2020 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 4 Juil 2021 - 0:28
Adam a écrit:
Le Maroc doit réagir ... y compris par la voie juridique ... on ne peut pas tolérer que notre drapeau national soit ainsi utilisé par un groupe armé ....
Boston Globe a écrit:
Group called ‘Rise of the Moors’ broadcasted live from standoff
A group that calls itself the “Rise of the Moors” broadcasted live Saturday on social media channels during a standoff with police on Interstate 95 in Wakefield.
The confrontation ended peacefully before noon Saturday with the arrest of 11 men, State Police Colonel Christopher Mason said during a news conference.
In videos posted to Instagram, men dressed in military gear displayed firearms and stood in the highway. State Police Colonel Christopher Mason said long guns and handguns were visible.
Two men displayed a red flag with a green star in the middle. The men told authorities they are residents of Rhode Island, said Middlesex District Attorney Marian Ryan at the news conference. She said authorities are looking into the accuracy of that claim.
The group’s website describes its organization as a collective of “Moorish Americans,” and its members believe they are the “original sovereigns of this land — America.”
Mason declined to identify the group during the news conference, but noted the organization had shared information with the public on social media.
In the Instagram videos, a man who appeared to be a leader of the group spoke on his cellphone to an unidentified law enforcement officer, using the speaker phone. The member of the group described himself as a US Marine Corps veteran who served for four years and said the “Rise of the Moors” are not anti-government.
“We’re not going to threaten you guys, we’re not going to coerce you guys we’re not going to make you guys feel threatened in any type of way,” the apparent leader said.
During his phone conversation, the apparent leader said his men grabbed weapons Saturday morning on I-95 when they were approached by law enforcement because they felt threatened. The apparent leader asked to be served a summons, saying law enforcement officials could deliver the summons to a table that he offered to set up in the middle of the highway.
He expressed concern about being arrested and fingerprinted, which he described as a form of self-incrimination. He said he and his men wanted to go home.
“I want my men to be safe, alive, keep and bear their arms,” he said.
Pourquoi ? Ils savent qu'on a rien a voir
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...
Dim 11 Mar 2012 - 21:39
Et les premiers abonnés seront ses pires ennemies 
Ils le détestent, mais ils veulent savoir ce qu'il dit. Ils vont tous activer les "notifications" 
