Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

ils veulent acheter la tunisie avec un pret de 100 millions $ et quelques roquette pour combattre daech

Qu'ils se mangent cru entre eux. Un pays régit par des clans n'a pas d'avenir.

Bien dit

PGM a écrit:

Dans ce type de système (le don Corleanisme), on se doit de maintenir les grands équilibres (régionaux, ethniques ou autres) sur lesquels repose l'entente,  sous peine d'une déstabilisation de l'ensemble.
Là, clairement, ça procède du coup de force d'une partie sur l'autre. Le climat va être propice à d'autres règlements internes. D'un autre côté, maintenant qu'ils ont traient la vache jusqu'à épuisement, la ventilation interne de la rente n'est plus là pour "équilibrer" les rapports de forces.
Mais personnes n'a intérêt à déstabiliser le pillier "sécuritaire" du pays. Ni dedans ni dehors.

Du momdnt que le polizbel souffre. On a tous interet a destabiliser le pays voisin

Non personne n'a intérêt à ça.

Fox-One a écrit:

PGM a écrit:

Dans ce type de système (le don Corleanisme), on se doit de maintenir les grands équilibres (régionaux, ethniques ou autres) sur lesquels repose l'entente,  sous peine d'une déstabilisation de l'ensemble.
Là, clairement, ça procède du coup de force d'une partie sur l'autre. Le climat va être propice à d'autres règlements internes. D'un autre côté, maintenant qu'ils ont traient la vache jusqu'à épuisement, la ventilation interne de la rente n'est plus là pour "équilibrer" les rapports de forces.
Mais personnes n'a intérêt à déstabiliser le pillier "sécuritaire" du pays. Ni dedans ni dehors.

Du momdnt que le polizbel souffre. On a tous interet a destabiliser le pays voisin

le polizbel souffre depuis des mois , avec ou sans toutou.

Sinon c'est une coïncidence ou pas , la visite d'un haut responsable de la CIA à algers il ya quelque jours ? Connaissant que toutou était un bon allié au US, est ce que ces derniers avait donner leur acceptation de liquidation de leur allié au club des pins ?

En tout les cas le plus grand gagnant dans tout ca c'est bien El Said Bouteflika

PGM a écrit:

Dans ce type de système (le don Corleanisme), on se doit de maintenir les grands équilibres (régionaux, ethniques ou autres) sur lesquels repose l'entente,  sous peine d'une déstabilisation de l'ensemble.
Là, clairement, ça procède du coup de force d'une partie sur l'autre. Le climat va être propice à d'autres règlements internes. D'un autre côté, maintenant qu'ils ont traient la vache jusqu'à épuisement, la ventilation interne de la rente n'est plus là pour "équilibrer" les rapports de forces.
Mais personnes n'a intérêt à déstabiliser le pillier "sécuritaire" du pays. Ni dedans ni dehors.

En fait tous les scénarios reste plausible ! y compris les pires ! les événement international (Libye) aurons leurs influence tôt ou tard sur le pays ,
Ils n'est pas exclut que ces caporaux une fois mais définitivement hors jeu ,la fassent a la Saleh vue leurs rôles et antécédents pendant la décennie noir des années '90 ......A SUIVRE ....

@FOX

Tu oublies qu'ils ont une longue frontière avec un pays qui s’appelle Maroc !

jeu complexe et opaque du serail ! A mon avis said bouteflika fait le ménage devant lui avant de prendre la place de son frère

juste un clin d'oeil ! pardon pour le HS

EN relation avec le sujet

Algérie : La DGED et la DGSE préoccupées par la guerre entre le clan Bouteflika et le chef de la DRS

...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/38686/algerie-dged-dgse-preoccupees-guerre.html

Soyons smart il faut se battre contre la destabilisation de l'algerie nous n'avons pas besoin d'une syrie a nos porte eaxample regarde ce qui se passe en turquie.

On a bel et bien interet a ce qu'un pays qui tente par tout les moyens de nous la mettre se casse la geule tout seul d'ailleurs si on surveille pas bien la frontiere on sera appé dedans

juba2 a écrit:

Soyons smart il faut se battre contre la destabilisation de l'algerie nous n'avons pas besoin d'une syrie a nos porte eaxample regarde ce qui se passe en turquie.

on verouille bien et c'est parfait pour nous qu'il se battent ou pas la mauritanie la c'est problematique si il se passe quelque chose la bas on interviendrai tres probablement car c'est notre seul porte vers l'afrique

juba2 a écrit:

Soyons smart il faut se battre contre la destabilisation de l'algerie nous n'avons pas besoin d'une syrie a nos porte eaxample regarde ce qui se passe en turquie.

Non l'algérie ne pourra en aucun cas étre une syrie bis, la syrie un cas à part , une minorité alaouite qui gouverne et humilie une majorité sunnite pendant des décénies. Chose inéxistente en algérie qui est un pays 99% sunnite.

Revendication politique ? le peuple algérien a été réprimé violemment quand il a choisit librement qui va le gouverné, je ne pense pas qu'il essayera encore une fois de revendiquer quoi que ce soit , surtout que la vrai opposition (FIS) a été dissous et chassé et découper, aujourdhui aucune vrai opposition n'existe sur le terrain , toute les partis politique sont pro boukaroussa, à limage de Louisa Hanoune qui fait son congré national avec le portrait de boukaroussa dérrière.

Faut avouer que boukaroussa a pu éliminer ses ennemis intérieur pacifiquement.

Il n'y pas besoin de partie politique pour que sa parte en sucette .

Pas de scénario a la Syrienne, des que la junte au pouvoir ne pourra plus nourrir le peuple, on s'approchera plus a un printemps Arabe a la Tunisienne.
Seule hic le pouvoir en place a acheté pour des Milliard en armement pour mater cette population qui osera se soulever. 
Pendant ce temps la on assiste a des batalgia qui pullulent sur le net et qui jubilent a chaque contrat d'armement que l'Algérie signe.
L'Algérie s'arme contre sont peuple et non contre sont voisin de l'Ouest affaire a suivre

moulay ismaiil a écrit:

Il n'y pas besoin de partie politique pour que sa parte en sucette .

on les as eu pendant 10 ans presque 200 000 mort et on a tres bien tenue

Citation :

Négociations avec Peugeot : L’exportation du tiers de la production exigée



Les négociations avec le groupe PSA Peugeot-Citroën, en vue de l’implantation en Algérie d’une usine de fabrication de véhicules, semblent avancer à grands pas.

Quote:
Une réunion à huis clos se tiendra aujourd’hui à Alger entre le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, et le représentant spécial pour les relations franco-algériennes, Jean-Louis Bianco. Si la réunion a pour objectif de préparer, principalement, la tenue des travaux du Comité mixte économique franco-algérien (Comefa) prévus le mois prochain, il s’agit surtout de faire le point sur la future usine algérienne de Peugeot, croit-on savoir de source proche du dossier.


Le ministre en charge du secteur avait annoncé, dès le début des négociations, «suivies de près par le Premier ministre», que le gouvernement veut lancer ce projet sur le principe de le faire intégrer dans le pôle automobile en construction à Oran, où Renault bouclera, dans quelques semaines, une année d’activité.



Il n’en demeure pas moins qu’il compte, cette fois-ci, aller vers un «vrai projet industriel» et éviter les erreurs commises dans les négociations avec la marque au losange. Il s’agira ainsi d’exiger de Peugeot de porter sa capacité de production annuelle de 75 000 véhicules, comme proposé, à 90 000, voire 100 000 véhicules/an, avec comme objectif à moyen terme d’atteindre une capacité de 200 000 véhicules/an.


Plus exigeant encore, le gouvernement compte rejeter la clause imposant l’écoulement du produit exclusivement sur le marché local et devrait demander au constructeur français de consacrer le tiers de la production à l’export. Afin de renforcer l’activité du tissu de PME sous-traitantes déjà implantées dans la région et encourager d’autres opérateurs nationaux et étrangers à s’y installer, le taux d’intégration exigé ne devrait pas se situer en dessous de 40%.


Les négociations, qui portent aussi sur la fabrication de trois modèles du groupe PSA Peugeot Citroën, à savoir «la Citroën C-Elysée, la Peugeot 301 et la Peugeot 208 devraient également concerner un quatrième modèle, en l’occurrence la Peugeot 308», nous dit-on encore. En juin dernier, la marque au lion avait annoncé le lancement d’un projet de construction d’une usine au Maroc (Kenitra), sur la côte ouest du pays. Cette dernière entrera en production en 2019, avec une capacité de production initiale de 90 000 moteurs et véhicules par an. A terme, la production devrait atteindre 200 000 unités par an.


L’Algérie voudrait en faire autant avec son partenaire français et entend, pour cela, comme dans toute négociation, placer la barre plus haut.
El Watan

Citation :

Une réunion à huis clos se tiendra aujourd’hui à Alger entre le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, et le représentant spécial pour les relations franco-algériennes, Jean-Louis Bianco.

Dans un pays de non droit des que tu lis ou il y a le mot huis clos en economi et le business c'est du rififi.

Citation :

Algérie: le limogeage de Toufik annonce un "chamboulement au sein du système"

         
Alger - Le limogeage du puissant chef des renseignements militaires algériens, le général Mohamed Mediene, dit Toufik, annonce un "chamboulement au sein du système" politique en Algérie, estime lundi la presse locale.

Algérie: le limogeage de Toufik annonce un "chamboulement au sein du système"
"Le mythe s'écroule, sans grand bruit ni fracas, à première vue", relève +Liberté+, notant que le général "est parti, après avoir assisté impuissant ou consentant, au démembrement du corps de sécurité qu'il créa, il y a 25 ans et qu'il géra sans discontinuer et avec poigne depuis".

Pour l'éditorialiste du journal, "ce départ, s'il traduit l'ouverture d'une nouvelle page, ne signifie pas que l'Algérie inaugure une nouvelle ère politique pour asseoir la démocratie et la transparence, mais il est annonciateur de chamboulement au sein du système".

''El Watan'', qui titre "La fin d'une époque", revient longuement sur le départ de celui qui a régné sur le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) durant 25 ans.

"Dans un pays gagné par la déstructuration économique et menacé par le spectre du désastre financier, comme l'ont affirmé de hauts dirigeants, l'inflation des limogeages et des nouvelles nominations dans les institutions sensibles ne fera qu'alourdir le climat général dominé par la sinistrose", écrit le journal qui se montre sceptique sur la promesse d'un "Etat civil".

"Ces convulsions du système, sous le regard désabusé des citoyens, ne correspondent pas à la revendication de la fin de la police politique", considère l'éditorialiste du journal, affirmant que "le projet de libérer la vie publique et politique des archaïsmes policiers reste toujours en attente d'être réalisé".

Si ''L'Expression'' qualifie de "naturels" les changements opérés au sein des différents services de sécurité, dans le cadre du nouveau contexte régional et international, son confrère +Le Soir d'Algérie+ s'interroge si le service de renseignement sera-t-il, dans le futur, rattaché à la présidence.

Rappelant le changement opéré il y a deux jours à la tête de la gendarmerie algérienne, +Le Quotidien d'Oran+ estime "tortueux" les chemins qu'emprunte "le système pour évincer de ses centres de décision les dignitaires qu'il veut ainsi neutraliser".

Aux yeux d'un chroniqueur du journal, "celui par lequel s'est réalisée l'éviction du tout-puissant patron du DRS nous a donné à voir qu'en matière de ruse et de coups fourrés ceux qui voulaient sa tête l'ont magistralement surclassé".

"C'est la fin d'une époque et l'avènement d'une nouvelle ère pour les services de sécurité algériens", se limite à souligner +La Tribune+.

Le quotidien arabophone +Echourouk+ estime que l'éviction du puissant général "pourrait déboucher sur un changement radical dans le pays", relevant l'existence "de plusieurs zones d'ombre" entourant la mise à la retraite de "l'homme fantôme".

"On ne peut parler de nouvelle époque qu'avec l'éviction du reste des +dinosaures+ qui se sont éternisés à la tête des institutions", fait observer la directrice du journal +Al-Fadjr+ qui cite nommément "l'Etat major de l'armée et la présidence de la République".

http://www.lemag.ma/Algerie-le-limogeage-de-Toufik-annonce-un-chamboulement-au-sein-du-systeme_a91308.html

Citation :

Algérie : Le limogeage du général Toufik, le début d’une époque
Par Naïm Kamal //sept, 14 à 14:35

Les relations avec les services marocains et la question saharouie seront au centre des préoccupations du nouveau patron du DRS. « C’est un dossier que le général-major Tartag, écrit le site Maghreb emergent.com, affectionne et maîtrise puisqu’il a commencé sa carrière dans le renseignement à Tindouf, au sud-ouest du pays, à la frontière marocaine. Il connaît donc les jeux de pouvoir et les duels avec les services marocains.
Le limogeage du général Mohamed Mediene dit Toufik est un évènement majeur dans la vie politique de l’Algérie. Le processus a commencé bien avant le quatrième mandat du président Bouteflika. Un long processus d’effeuillage du puissant Département de la sécurité et du renseignement (DRS) qui contrôlait pratiquement tous les services de sécurité qu’ils soient intérieurs ou extérieurs. Il est l’un des principaux acteurs du coup d’Etat contre Chadli Benjedid en 1992 et de l’annulation avant le deuxième tour des législatives 91-92 qui allaient donner la majorité absolue aux islamistes du FIS. Il est aussi la cheville ouvrière de la chape de plomb qui s’est abattu sur l’Algérie pendant la décennie de la guerre civile qui a fait entre cent mille et deux cent mille morts. Sans son concours, Abdelaziz Bouteflika n’aurait jamais pu écarter le puissant général Laamari qui a présidé aux destinées de l’armée algérienne tout au long de cette dramatique période. Homme très secret dont une seule photo flou circulait, il passait pour l’homme fort de l’Algérie.

Depuis l’échange, à la mi-juillet, de coups de feu entre des agents de sécurité à l’intérieur de la résidence d’été du président situé à Zeralda dans la banlieue d’Alger, son sort semblait scellé. Mais la cabale contre Toufik a commencé publiquement bien avant, notamment lorsque le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, proche de la présidence, avait fait une sortie publique remarquée accusant le désormais ex-patron du DRS mis à la retraite de tous les maux de l’Algérie. Récemment des rumeurs qui annonçait le départ du général Toufik laissait entendre que celui-ci allait se faire dans le cadre d’un deal : la sortie de Toufik serait suivie par la nomination, qui interviendrait juste après, de vice présidents qui géreraient la phase transitoire après la démission programmée du président malade Abdelaziz Bouteflika.

L’homme qui remplace le général Médiene à la tête d’un DRS affaibli, puisqu’il s’est vu amputé de plusieurs de ses services majeurs au profit de l’armée et de la présidence, le général Athmane Tartag, qui revient au DRS par la grande porte après avoir été évacué du service et récupéré par la présidence, est pour ainsi dire né dans les rouages du département. Pour le site Maghreb emergent.com « Le successeur au général Toufik n’incarne, […] aucun renouveau ; [il] est même la continuation personnifiée des pires années du DRS, celles où, débordé par l’insurrection islamiste du début des années 1990, il a du recourir à des méthodes de répression extra-judicaires de manière massive pour tenter d’endiguer la montée du terrorisme. » Pour Algérie-Focus.com qui détaille ses missions, les relations avec les services marocains et la question saharouie seront au centre de ses préoccupations. « C’est un dossier que le général-major Tartag, écrit-il, affectionne et maîtrise puisqu’il a commencé sa carrière dans le renseignement à Tindouf, au sud-ouest du pays, à la frontière marocaine. Il connaît donc les jeux de pouvoir et les duels avec les services marocains. Mais, cette fois-ci, il semble qu’une coopération utile et stratégique serait la bienvenue, car la radicalisation du Sahel et la percée djihaidste menace l’Algérie comme le Maroc. Sur la question sahraouie, le général-major Tartag devrait fournir à la Présidence de la République toutes les informations stratégiques pour qu’Alger adopte la position la plus intelligente possible dans ce dossier. »

Le limogeage de Toufik est de nature à marquer réellement la fin d’une ère et le début d’une autre. Mais il peut ne représenter aussi qu’un épisode qui devrait être suivi par d’autres, dont notamment la démission de Bouteflika, avant que le pouvoir algérien retrouve ses équilibres

http://www.quid.ma/politique/algerie-le-limogeage-du-general-toufik-le-debut-dune-epoque/

Une bonne nouvelle quand même surtout qu'il y a des investisseurs privées sa changera de l'état:

Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb a annoncé, ce mardi 15 septembre, en conférence de presse conjointe avec son homologue italienne, Federica Guidi, l’installation de deux nouveaux constructeurs automobiles en Algérie. Il s’agit des deux marques italiennes Iveco (véhicules industriels, camions) et Fiat.
Le ministre de l’Industrie affirme que des partenariats sont sur le point d’être signés. Bouchouareb n’a fourni aucun détail sur le montant de l’investissement, la capacité de production, l’identité du partenaire algérien ou sur le lieu de l’implantation des usines de montage.
Iveco est représentée en Algérie par le groupe Ival, dirigé par un des vice-présidents du FCE, Mohamed Bairi, tandis que Fiat fait partie de la branche automobile du groupe Cevital, dirigée par Omar Rebrab.

http://www.tsa-algerie.com/20150915/iveco-et-fiat-vont-installer-des-usines-de-montage-en-algerie/

Barsdz a écrit:

Une bonne nouvelle quand même surtout qu'il y a des investisseurs privées sa changera de l'état:

Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb a annoncé, ce mardi 15 septembre, en conférence de presse conjointe avec son homologue italienne, Federica Guidi, l’installation de deux nouveaux constructeurs automobiles en Algérie. Il s’agit des deux marques italiennes Iveco (véhicules industriels, camions) et Fiat.
Le ministre de l’Industrie affirme que des partenariats sont sur le point d’être signés. Bouchouareb n’a fourni aucun détail sur le montant de l’investissement, la capacité de production, l’identité du partenaire algérien ou sur le lieu de l’implantation des usines de montage.
Iveco est représentée en Algérie par le groupe Ival, dirigé par un des vice-présidents du FCE, Mohamed Bairi, tandis que Fiat fait partie de la branche automobile du groupe Cevital, dirigée par Omar Rebrab.

http://www.tsa-algerie.com/20150915/iveco-et-fiat-vont-installer-des-usines-de-montage-en-algerie/

Bonne nouvelle Iveco et Fiat de tre bonne mark elles font beaucoup de competition ici aux USA,j'espere que cela marchera.

Barsdz a écrit:

Une bonne nouvelle quand même surtout qu'il y a des investisseurs privées sa changera de l'état:

Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb a annoncé, ce mardi 15 septembre, en conférence de presse conjointe avec son homologue italienne, Federica Guidi, l’installation de deux nouveaux constructeurs automobiles en Algérie. Il s’agit des deux marques italiennes Iveco (véhicules industriels, camions) et Fiat.
Le ministre de l’Industrie affirme que des partenariats sont sur le point d’être signés. Bouchouareb n’a fourni aucun détail sur le montant de l’investissement, la capacité de production, l’identité du partenaire algérien ou sur le lieu de l’implantation des usines de montage.
Iveco est représentée en Algérie par le groupe Ival, dirigé par un des vice-présidents du FCE, Mohamed Bairi, tandis que Fiat fait partie de la branche automobile du groupe Cevital, dirigée par Omar Rebrab.

http://www.tsa-algerie.com/20150915/iveco-et-fiat-vont-installer-des-usines-de-montage-en-algerie/

Deux bonnes marques, Mabrouk.