Diplomatie marocaine - Relations internationales

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LES 13 FAMILLES SYRIENNES BLOQUÉES PAR ALGER ACCUEILLIES À FIGUIG

http://fr.le360.ma/politique/les-13-familles-syriennes-bloquees-par-alger-accueillies-a-figuig-124327

iznassen a écrit:

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CDM 2026: l’Arabie Saoudite «retournée» par les Américains?


Kiosque360. Le ministre saoudien des Sports a déclaré ne pas être sûr de donner sa voix au Maroc, pays candidat à l’organisation du Mondial 2026. En réaction, le royaume a menacé de boycotter le Championnat arabe des clubs. Les détails.


A en croire Al Massae du 16 mars, le Maroc pourrait boycotter le Championnat arabe des clubs, prévu en août prochain au royaume, en raison des déclarations de Turki bin Abdul Mohsen Al-Sheikh, ministre des Sports en Arabie Saoudite, qui n’a pas écarté la possibilité de donner la voix de son pays au trio USA-Mexique-Canada. Des propos qui ont mis le feu aux poudres, alors que le Raja et le Wydad devaient participer à ce tournoi dont la finale était programmée au grand stade de Marrakech.

Pour contenir cette crise, le président l’Union des associations de football arabe (UAFA), Talal Hassan Omer Al Sheïkh, s’apprête à faire le déplacement au Maroc pour rencontrer le président de la FRMF, Fouzi Lekjaa.

Le ministre saoudien a créé la polémique suite à une interview accordée au Magazine local «Arriyadia», où il a déclaré que son pays n’a pas encore tranché pour quel candidat à l’organisation du Mondial 2026 il va donner sa voix.

Il a rajouté également que l’Arabie Saoudite ne prendra plus en considération les «liens d’amitié avec les pays frères», parce que souvent ces derniers l’avaient trahie. Une déclaration qui n’a pas été appréciée au Maroc en pleine campagne de promotion de son dossier de candidature pour le Mondial 2026.

Cette position de l’Arabie Saoudite est la preuve que les Américains mènent une campagne agressive pour «retourner» des pays arabes et africains, dont les voix étaient considérées comme acquises par le Maroc. Pour ne pas mettre ces pays dans une situation délicate, le trio composé des USA-Mexique-Canada manœuvre pour que le vote soit secret.

360.ma

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نفى تركي آل الشيخ رئيس الهيئة العامة للرياضة السعودية، رئيس الاتحاد العربي لكرة القدم، تلقيه أي طلب لدعم ملفات الترشح لاستضافة نهائيات كأس العالم 2026.

وقد تردد مؤخرا أن السعودية أيدت ملف المغرب لاستضافة المونديال، لينهي تركي آل الشيخ الجدل المثار في هذا الشأن.

وكتب تركي آل الشيخ في تغريده نشرها عبر حسابه الرسمي على موقع التواصل الاجتماعي على الانترنت (تويتر): "لم يطلب أحد أن ندعمه في ملف 2026، وفي حال طُلب منا سنبحث عن مصلحة السعودية أولا، اللون الرمادي لم يعد مقبولا لدينا".

يذكر أن المغرب ينافس ملف مشترك بين 3 دول هي الولايات المتحدة والمكسيك وكندا لتنظيم كأس العالم 2026، وسيتم الإعلان الرسمي عن الملف الفائز بحق استضافة المونديال في 13 يونيو المقبل في روسيا.

Citation :

Le roi Mohammed VI a condamné les tirs de missiles contre le royaume d'Arabie saoudite frère à partir du territoire yéménite, exprimant au serviteur des deux Lieux Saints, le roi Salman Ibn Abdelaziz Al Saoud, sa solidarité absolue avec le peuple saoudien frère.
.....

Fahed64 a écrit:

Ce silence en dit long sur l'état de no relation ! C'est notre manière de montrer notre mécontentement !
Cette guerre au Yémen devient une blague et le retour escompté n'est pas à la hauteur de notre engagement !

Ecofin a écrit:

Un collectif de 40 ONG se liguent contre le projet de gazoduc qui reliera le Nigéria au Maroc

Le 23 mars dernier, un collectif composé de 40 ONG a signé une déclaration commune dénommée « Gazoduc Nigéria-Maroc : aucun intérêt pour nous », pour s’opposer au projet de construction d’un gazoduc de 5 000 km entre le Nigéria et le Maroc, annoncé en 2016.

Parmi les membres de ce collectif, on peut citer le Youth Climate Coalition, Friends of the earth, Oil watch, Food & Water Europe, ainsi que des ONG du Nigéria et du Maroc.

Ces organisations disent être préoccupées par l’opportunité du projet et affirment notamment que le gazoduc dont le coût prévu qui est de 20 milliards $, devrait coûter plus cher, compte tenu des réalités actuelles du marché, de la taille du conduit et des impacts qu’elle est censée avoir.

« Ce projet sera un gouffre financier (…) Il est probable que le coût prévu de 20 milliards de dollars sera probablement doublé et conduira à une augmentation exponentielle du fardeau de la dette de nos pays.», rapporte la déclaration.

Ensuite, elles estiment que le projet ne tient pas compte des besoins des populations et de l'environnement. Elles déplorent aussi le fait que les populations n’aient pas été consultées dans le processus alors qu’elles sont supposées en être les principales bénéficiaires.

Par ailleurs, elles déclarent que le gazoduc aura des effets perturbateurs sur la faune marine à cause des risques de fuite et de corrosion. Par conséquent, cela détruira les moyens de subsistance de millions de personnes en fonction de la pêche dans les eaux régionales.

Pour rappel, lors d’une visite officielle en fédération du Nigeria, du 1er au 3 décembre 2016, le roi du Maroc, Sa Majesté Mohammed VI et le président du Nigéria, Muhammadu Buhari ont signé un mémorandum d’entente qui devrait aboutir à la réalisation du projet. Celui-ci devrait être un prolongement du gazoduc ouest-africain de 678 km et devrait passer par 12 pays avec quelque 300 millions de consommateurs potentiels. Il est aussi envisagé une extension possible du réseau vers l’Europe.

En août 2017, la presse nigériane a annoncé que les fonds pour exécuter l’étude de faisabilité du projet, ont été débloqués et plusieurs experts des deux pays ont été associés pour cette phase. Cependant, la date de lancement des travaux n’a cependant pas été précisée.

Toutefois, outre ces 40 ONG, le projet est de plus en plus décrié. On estime que les probabilités qu’il se réalise sont faibles car la majorité des projets de ce genre dans lesquels est impliqué le Maroc, ne se sont jamais réalisés.

C’est le cas d’un projet de la compagnie d'électricité marocaine ONEE, cité par Natural Gas World, qui consiste à construire une installation de GNL et des centrales à gaz, qui aurait dû être finalisé fin 2016, mais depuis, aucune mise à jour n’a été faite.

Adam a écrit:

Des saupoudreries de la poubelle de l'Est???

Ecofin a écrit:

Un collectif de 40 ONG se liguent contre le projet de gazoduc qui reliera le Nigéria au Maroc

Le 23 mars dernier, un collectif composé de 40 ONG a signé une déclaration commune dénommée « Gazoduc Nigéria-Maroc : aucun intérêt pour nous », pour s’opposer au projet de construction d’un gazoduc de 5 000 km entre le Nigéria et le Maroc, annoncé en 2016.

Parmi les membres de ce collectif, on peut citer le Youth Climate Coalition,  Friends of the earth, Oil watch, Food & Water Europe, ainsi que des ONG du Nigéria et du Maroc.

Ces organisations disent être préoccupées par l’opportunité du projet et affirment notamment que le gazoduc dont le coût prévu qui est de 20 milliards $, devrait coûter plus cher, compte tenu des réalités actuelles du marché, de la taille du conduit et des impacts qu’elle est censée avoir.

« Ce projet sera un gouffre financier (…) Il est probable que le coût prévu de 20 milliards de dollars sera probablement doublé et conduira à une augmentation exponentielle du fardeau de la dette de nos pays.», rapporte la déclaration.

Ensuite, elles estiment que le projet ne tient pas compte des besoins des populations et de l'environnement. Elles déplorent aussi le fait que les populations n’aient pas été consultées dans le processus alors qu’elles sont supposées en être les principales bénéficiaires.

Par ailleurs, elles déclarent que le gazoduc aura des effets perturbateurs sur la faune marine à cause des risques de fuite et de corrosion. Par conséquent, cela détruira les moyens de subsistance de millions de personnes en fonction de la pêche dans les eaux régionales.

Pour rappel, lors d’une visite officielle en fédération du Nigeria, du 1er au 3 décembre 2016, le roi du Maroc, Sa Majesté Mohammed VI et le président du Nigéria, Muhammadu Buhari ont signé un mémorandum d’entente qui devrait aboutir à la réalisation du projet. Celui-ci devrait être un prolongement du gazoduc ouest-africain de 678 km et devrait passer par 12 pays avec quelque 300 millions de consommateurs potentiels. Il est aussi envisagé une extension possible du réseau vers l’Europe.

En août 2017, la presse nigériane a annoncé que les fonds pour exécuter l’étude de faisabilité du projet, ont été débloqués et plusieurs experts des deux pays ont été associés pour cette phase. Cependant, la date de lancement des travaux n’a cependant pas été précisée.

Toutefois, outre ces 40 ONG, le projet est de plus en plus décrié. On estime que les probabilités qu’il se réalise sont faibles car la majorité des projets de ce genre dans lesquels est impliqué le Maroc, ne se sont jamais réalisés.

C’est le cas d’un projet de la compagnie d'électricité marocaine ONEE, cité par Natural Gas World, qui consiste à construire une installation de GNL et des centrales à gaz, qui aurait dû être finalisé fin 2016, mais depuis, aucune mise à jour n’a été faite.

Citation :

On estime que les probabilités qu’il se réalise sont faibles [/color]car [u]la majorité des projets de ce genre dans lesquels est impliqué le Maroc, ne se sont jamais réalisés

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Maroc : le chef de la diplomatie de Mohamed VI défend l'identité arabe et musulmane de Jérusalem

En plein raidissement sur le statut de Jérusalem, le Maroc a apporté son soutien à l’Autorité Palestinienne de Mahmoud Abbas. En visite dans les territoires palestiniens, le chef de la diplomatie du roi Mohamed VI, qui est aussi président du comité Al-Qods, est allé prier sur l’esplanade des mosquées et a réaffirmé l’identité arabe et musulmane de la ville sainte.

Purement symbolique ou soutien appuyé au président de l’Autorité Palestinienne (AP) dans le conflit qui l’oppose à Tel Aviv et Washington sur le transfert de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem ? Le ministre marocain des Affaires étrangères a effectué une visite exceptionnelle dans la ville trois fois sainte.

Le chef de la diplomatie marocaine se rend sur l'esplanade des mosquées
Nasser Bourita est entré en territoire palestinien, le 27 mars 2018, par le point de passage al-Karama avec la Jordanie, selon une précision fournie par le site de la diplomatie marocaine.

Il s’est aussitôt rendu sur l’esplanade des mosquées, dans la partie est de la ville en compagnie du directeur du Wakf (biens) islamique, Azzam al-Khatib, du directeur de la mosquée Al-Aqsa, Omar al-Kiswani et du gouverneur de l’AP, Adnan al Hussein.

Sur place, le ministre marocain s’est recueilli à la mosquée d’Al-Aqsa et a effectué la prière de midi à celle du Dôme du rocher. «La prière à la mosquée Al-Aqsa est un message fort de soutien à la cause palestinienne», a-t-il déclaré aux journalistes à sa sortie. «La difficulté de la situation actuelle ne signifie pas le renoncement», a-t-il ajouté.

Nasser Bourita a également insisté sur l’identité d’Al-Qods (Jérusalem en arabe) qui «constitue une partie intégrante de notre identité en tant qu’Arabes et musulmans».

Un rappel au nom du roi Mohamed VI, qui a hérité de son père, en même temps que le trône, de la présidence du comité Al-Qods. Une structure créée en 1975 à l’initiative de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) avec pour but de «préserver le caractère arabo-islamique» de la ville sainte.

Deuxième ministre arabe à se rendre à Jérusalem depuis la décision de Trump
Au cours de son déplacement à Jérusalem, le deuxième d’un ministre arabe, après celui de son homologue omanais, Youssef Ben Alaoui, le 15 février 2018, depuis la décision controversée de Donald Trump d’y transférer l’ambassade des Etats-Unis, Nasser Bourita s’est également rendu au siège de la présidence palestinienne à Ramallah.

Selon le compte officiel tweeter du ministère marocain des affaires étrangères, Nasser Bourita est «porteur d’un message de solidarité et de soutien total du roi Mohamed VI à son frère Mahmoud Abbas».

Après la décision de Donald Trump du 5 décembre 2017, le souverain marocain avait appelé Mahmoud Abbas au téléphone pour lui exprimer «sa réprobation vigoureuse de toute action de nature à compromettre le caractère multiconfessionnel de la ville sainte, ou altérer son statut juridique et politique».

Il avait également écrit une lettre au président américain, au nom des 57 Etats de l’OCI, pour la plupart africains et asiatiques et «représentant plus d’un milliards de citoyens», pour lui faire part de «sa profonde préoccupation personnelle ainsi que la grande inquiétude ressentie par les Etats et les peuples arabes et musulmans».

«Vous n’êtes pas sans savoir, Excellence, l’extrême importance que revêt la ville d’Al-Qods non seulement pour les parties au conflit, mais également pour les fidèles des trois religions célestes», avait-il précisé courtoisement.

«Un Etat palestinien libre avec Al-Qods pour capitale»
Selon le site marocain 360, cette visite, «établie en concertation exclusive avec l’autorité palestinienne, s’inscrit dans le cadre des efforts que mène le Maroc en vue d’une solution juste à la cause palestinienne, à savoir la création d’un Etat palestinien libre, souverain et prospère, avec Al-Qods pour capitale».

Elle fait partie des multiples démarches, menées sur instruction et sous supervision du roi, visant à sauvegarder et pérenniser le patrimoine historique et cultuelle du berceau des trois monothéismes, explique encore le site.

Nasser Bourita n'a d'ailleurs pas manqué de le souligner. «J'ai pu constater lors de ma visite l’action concrète du Souverain et de Bayt Mal (la caisse) Al Qods. L’agence a construit 2 écoles et en a rénové 15. Elle a réaménagé des hôpitaux et construit 1 université et des terrains de proximité», a-t-il indiqué sur le site officiel de son ministère.

Un message reçu cinq sur cinq par les Palestiniens. Dans une déclaration au Jerusalem Post israélien, le directeur des biens islamiques de la ville s’est réjoui de la visite du ministre marocain à Al-Aqsa qui reflète, selon lui, «le soutien fort du Maroc à Jérusalem et ses sites sacrés».

http://geopolis.francetvinfo.fr/maroc-le-chef-de-la-diplomatie-de-mohamed-vi-defend-l-identite-de-jerusalem-184333

Riccardo Fabiani - Eurasia Group a écrit:

Morocco’s Difficult Path to ECOWAS Membership

March 28, 2018

Although Morocco is aiming to diversify its trade relations into West Africa, political and social opposition within ECOWAS raises questions about its real intentions.

Over the past few years, Morocco’s economic integration with Sub-Saharan Africa has accelerated. Between 2008 and 2016, Moroccan exports to the rest of the continent grew an average of 9 percent every year, while foreign direct investment (FDI) rose by 4.4 percent. In particular, Senegal, Mauritania, Côte d’Ivoire, and Nigeria have emerged as the biggest African buyers of Moroccan products, which ranged from foodstuffs to machinery and chemical goods. Unsurprisingly, in this time the trade balance between Rabat and West Africa recorded a net surplus for Morocco. This was partly compensated by a strong influx of Moroccan FDI into the region, mainly concentrated in banking, insurance, manufacturing, and telecommunications.

This reorientation toward Africa is the outcome of a long process in which Morocco has reassessed the benefits and losses of its previous priority on pursuing trade and investment ties with the European Union and United States. Initially this approach helped Morocco build a domestic manufacturing base. its long-term impact was mixed. First, the integration of former Soviet bloc states in the European Union meant that many companies outsourced or delocalized their production to these new members, instead of Morocco. Second, the end of the Multi-Fiber Agreement in 2004 exposed the Moroccan textile industry to competition from low-cost producers in Southeast Asia. As a result, Rabat’s vertical trade and investment integration with its much bigger economic partners ended up highlighting the country’s weaknesses and led to what some economists identified as a process of premature deindustrialization. With its relatively higher labor costs, lower human capital levels, poorer infrastructure quality, and lower state capacity, Morocco struggled to compete with Asian and Eastern European economies. Morocco’s trade, tourism, remittances and FDI further suffered after the beginning of the Eurozone crisis in 2007 because of the country’s dependence on Southern Europe’s struggling economies.

In response, Morocco has started to look at other markets and partners for growth. Moroccan authorities want to reduce their dependence on Europe and diversify into emerging markets where their firms can benefit from being relatively competitive. While Moroccan firms cannot compete with European and U.S. firms, they are on a much stronger footing when faced with many Sub-Saharan companies, for example. In addition, the difficult international access to Sub-Saharan markets gives Moroccan firms greater opportunities to pursue economies of scale. Most importantly, Morocco’s long-term goal is to become a trade and production hub that can interface between European, American, and Sub-Saharan African trading blocs.

It is therefore unsurprising that, for example, in November 2017 Morocco began negotiations with the South American trading bloc Mercosur to establish a free trade area between them, hoping to become a corridor for Europe and the United States to export goods and services. Thanks to its Tangiers cargo port facilities and its geographical position, the authorities believe that international firms will find it increasingly convenient to locate at least part of their operations in the country. Becoming a logistics hub would help Morocco build up its service industry for transportation, shipping, and banking. Moreover, Morocco hopes international firms will see it as a cheap manufacturing hub from where they can export goods everywhere in the world with few or no tariffs. For instance, a U.S. firm exporting to Senegal faces a set of protectionist tariffs, but if it moves at least part of its production to Morocco these tariffs would all but disappear.

Yet although Sub-Saharan Africa is a natural target for economic expansion—due to its geographical proximity, its vast economic potential, and its growing demand for goods and investment—Morocco has faced some difficulty establishing trade relations there. Morocco formally applied to join the Economic Community of West African States (ECOWAS) on February 24, 2017. At the time, Rabat thought that this application was going to be a relatively smooth process, thanks to Morocco’s excellent diplomatic relations with all ECOWAS members and their preexisting trade and investment ties. The membership request also came on the heels of Morocco’s successful return to the African Union on January 30, 2017, which Rabat saw as a great diplomatic victory.

Yet Morocco’s bid has faced strong objections from West African civil society organizations and economic interest groups. In Nigeria, for example, a large coalition of trade unions, industrialists and NGOs lobbied the government against opening its borders to Moroccan goods, which they saw as a potentially lethal threat to domestic production. And in Senegal, the private sector has expressed its reservations about Morocco, whose higher productivity could undermine the country’s manufacturing base.

This mobilization has so far managed to stall Morocco’s application despite Morocco’s relentless lobbying efforts. For example, the General Confederation of Moroccan Enterprises (CGEM) announced in early March that it planned to meet with its counterparts in the biggest ECOWAS economies. In December 2017, ECOWAS indefinitely postponed a final decision on this matter after publishing an impact report that analyzed the political, security, and economic effects of Morocco joining the group. Under pressure from their domestic constituencies and from Morocco’s relentless lobbying efforts, the Nigerian and Senegalese governments seem unable to solve this apparently impossible equation.

Regardless of whether Morocco’s bid to join ECOWAS will be approved, Rabat’s application indicates it has purposefully avoided addressing the full implications of joining. ECOWAS imposes a common external tariff on its members of between 5 and 35 percent, which is supposed to protect the West African economies from international competition and to promote regional trade. However, Morocco has had an Association Agreement establishing a free trade area between Morocco and the EU since 2000, as well as a Free Trade Agreement with the United States since 2004. Not only will Morocco will be unable, by definition, to comply with both the ECOWAS tariff and the free trade agreement, agreeing to the tariff would also run counter to Morocco’s goal of becoming a global hub for production, logistics, and trade.

Further questions surround Morocco’s willingness to join ECOWAS’ proposed common currency. Eight of the fifteen ECOWAS members already share a currency, the West African CFA Franc, and ECOWAS plans to introduce a currency called the Eco for the remaining members by 2020 and eventually merge the two. In January, the Moroccan government widened the trading band for the Moroccan dirham, part of a series of reforms recommended by the International Monetary Fund (IMF) to introduce more exchange rate flexibility. As this policy aims to reassure investors and to make its economy more resilient to external shocks, this indicates that the authorities are not interested in adopting a common currency or even merely pegging the exchange rate to the CFA Franc. Morocco, which likely wants to join the bloc but opt out of the currency, has purposefully avoided addressing this issue, knowing that stating its position would only reinforce opposition to its application.

As for West African citizens, there has been so far no debate in Morocco about the desirability of potentially opening the borders to new Sub-Saharan migrants or whether this could be a potential “price” to pay for accessing the ECOWAS market. Indeed, as ECOWAS citizens can move freely within this area, this could potentially have an impact on Morocco’s ability to absorb economic migrants attracted to the country’s relatively higher salaries—and likely influence Moroccans’ perceptions regarding these migrants’ impact on the high unemployment rate.

The impression is therefore that Morocco is purposefully avoiding giving any firm answer to these questions so it can expand its room to maneuver and obtain an ad hoc ECOWAS membership at the expense of the other states.

Kursad2 a écrit:

Le Maroc vient de se retirer la coalition arabe au Yémen?

bradli23 a écrit:

j'ai entendu parler sur le site d'alquds, qui l'a rapporté sur 24h infos, mais étrangement il n'y a pas d'article sur 24h infos dans ce sens. donc ca doit être juste des rumeurs que peut être nos responsables essayent de fuiter pour montrer leur mécontentment des saoudis sur notre candidature pour le 2026.  
mais je ne pense pas qu'on va aller jusqu’à se retirer surtout à ce moment la ou les lancement des missiles s'intensifient contre le KSA (le timing sera mal choisi). autre chose si quelqu'un pourrait me corriger nos f-16 sont  mises à disposition de l'UAE , donc tout retrait pourra irriter les émiratis qui n'ont pas montré d'hostilité contre nous.

MAP a écrit:

Le Maroc siègera à partir du 1er avril au CPS de l’UA pour un mandat de deux ans (MAECI)

samedi, 31 mars, 2018 à 17:19

Rabat – Le Maroc siègera, à partir du 1er avril 2018, au Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union Africaine (UA) pour un mandat de deux ans que le Maroc entend inscrire dans le cadre de la consolidation des efforts et actions visant à contribuer, de manière constructive et positive, à la paix et à la sécurité en Afrique, indique, samedi, le ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale (MAECI).

L’élection du Maroc au CPS, lors du dernier sommet de l’UA tenu en janvier 2018 à Adis-Abeba, est un gage de confiance, de crédibilité et d’estime à sa stratégie africaine, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’Assiste, souligne le ministère dans un communiqué, ajoutant qu’elle est aussi une reconnaissance du rôle agissant du Royaume ainsi que de ses actions et initiatives crédibles et solidaires, depuis les années soixante du siècle dernier, en faveur de la stabilité de l’Afrique et de l’épanouissement du citoyen africain.

Epris des valeurs de paix, de dialogue, de promotion de la coopération et des relations amicales, le Maroc inscrit son mandat au sein du CPS dans le cadre de la consolidation des efforts et actions visant à contribuer, de manière constructive et positive, à la paix et à la sécurité en Afrique, relève la même source qui fait observer que l’Afrique est confrontée à de multiples défis sécuritaires complexes qui requièrent une action commune et concertée et un engagement indéfectible de la part des Etats africains et de l’ensemble des parties prenantes, en faveur du maintien et de la consolidation de la paix et de la sécurité durables.

Notant que cet objectif ne se réalisera qu’à travers la stabilité politique, le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des Etats, ainsi que la consolidation de l’Etat de droit en Afrique, le ministère souligne que l’agenda africain commun doit se focaliser sur les situations de conflit et de crise pressantes et prioritaires, qui constituent une menace réelle à la paix et à la sécurité en Afrique, tout en favorisant une démarche globale et inclusive, notamment à travers la diplomatie préventive, la médiation et les bons offices.

Dans un contexte africain marqué par l’interdépendance des menaces sécuritaires à la paix et à la sécurité, le Maroc accordera, au cours de son mandat au CPS, une place prioritaire aux questions de la prévention et de la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent, ainsi que la reconstruction post-conflit, en vue de fédérer les efforts collectifs des Etats membres du Conseil et trouver des réponses concrètes immédiates à ces problématiques, poursuit-il.

L’action et la démarche du Royaume privilégiera également le développement socio-économique et la coopération sud-sud, qui constituent un axe majeur et une condition sine qua non de la paix, de la stabilité et de la prospérité en Afrique.

Le Maroc accordera aussi, au une attention particulière à d’autres thématiques émergentes, à l’instar de la sécurité humaine, la sécurité alimentaire et la sécurité environnementale. De même, le Royaume envisage de contribuer, de manière constructive et responsable, aux efforts consentis pour la réforme du CPS, à l’amélioration de ses méthodes de travail, en vue de consacrer l’appropriation de cet organe par les Etats membres, et consolider son rôle et sa mission dans la prévention et la résolution des conflits en Afrique, assure le ministère.

Fort de son expérience et de son savoir-faire, et conscient de l’ampleur des enjeux sécuritaires en Afrique, le Maroc ne ménagera aucun effort, de concert avec l’ensemble des Etats membres du CPS, pour contribuer à jeter des bases nouvelles, solides et pérennes, en faveur d’une Afrique stable, prospère et solidaire.

Citation :

Лента новостей

Le représentant du Maroc a transmis au Ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie le message du Roi Mohammed VI au Président Poutine

Politique 2 avril, 20h07 UTC + 3
Plus tôt dans le ministère russe des Affaires étrangères, la réunion du représentant spécial du président russe pour le Moyen-Orient Mikhaïl Bogdanov avec le ministre-délégué sous la direction du gouvernement du Royaume du Maroc, Abdelatif Ludy
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MOSCOU, 2 avril. / TASS /. Le ministre-délégué à la tête du gouvernement marocain sur les questions de défense nationale, Abdellatif Ludi, a transmis le message du roi Mohammed VI au président russe Vladimir Poutine lors d'une visite au ministère russe des Affaires étrangères. Cela a été rapporté lundi dans la mission diplomatique russe.

« Le 2 Avril, un message écrit du ministère russe des Affaires étrangères a organisé une réunion d'un envoyé présidentiel spécial pour le Moyen-Orient et les pays africains, le ministre adjoint des Affaires étrangères de la Russie Mikhail Bogdanov avec le ministre délégué à la tête du gouvernement, responsable de l'administration de la Défense nationale du Royaume du Maroc Abdellatif Ludi, qui a remis le roi du Maroc Muhammad VI au président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine ", a déclaré le ministère.

« Au cours de la conversation, dans laquelle a également participé l'ambassadeur du Maroc à Moscou Abdelkader Lesheheb, nous avons discuté d'un certain nombre de questions d'actualité de développement des traditionnellement amicales relations russo-marocaine, y compris l'approfondissement de la confiance du dialogue politique sur la situation actuelle en Afrique du Nord et du Sahara et du Sahel », - a ajouté dans le département diplomatique.



Подробнее на ТАСС:
http://tass.ru/politika/5088787

لا تعليق pic.twitter.com/KbXMcJlw8K

— Saad Hariri (@saadhariri) April 9, 2018

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Entretien à l'Elysée du roi Mohammed VI avec le président Emmanuel Macron

Le roi Mohammed VI doit rencontrer le président français Emmanuel Macron ce mardi après-midi à l'Elysée, a-t-on appris de sources françaises.

Durant cette rencontre au sommet mais privée, le souverain et le président français doivent s'entretenir en tête-à-tête, nous-t-on précisé de mêmes sources.

Hier, le roi Mohammed VI, le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed Ben Salmane et le Premier ministre libanais, Saad Hariri ont dîne ensemble dans un célèbre restaurant de Paris.

https://www.atlasinfo.fr/Entretien-a-l-Elysee-du-roi-Mohammed-VI-avec-le-president-Emmanuel-Macron_a90888.html