Actualités Algeriennes

Invité

Rappel du premier message :

Barsdz a écrit:

Kursad2 a écrit:

Adam a écrit:: Erdogan a dû dire un ''non'' au régime de la poubelle, sur l'affaire du Sahara

Pourtant il l'a toujours dit depuis le début comme ces prédécesseurs. La Turquie est même contre l'autonomie du Sahara Occidental.

L'Algérie et la Turquie ne sont pas des pays amis et je dirais même ennemis idéologiquement, la Turquie voit l'Algérie comme un pays communiste socialisant. La Turquie soutien le Maroc pour le Sahara Occidental.F]] La guerre en Syrie que l'Algérie s'oppose. L'Algérie préférant soutenir Bachar Al-Assad et la Turquie soutenant les rebelles.[/u] L'Algérie voit d'un mauvais oeil la montée en puissance de la Turquie dans la région du MENA et de son armée. Rien ne pourra réconcilier les deux pays dans un avenir proche. Je pense qu'une coopération de la Turquie avec la Tunisie et le Maroc serait plus utilise qu'une coopération avec l'Algérie sans l'état actuel des choses. La Turquie ayant supprimer les visas pour les citoyens marocains et tunisiens pour le Maghreb. Sans oublier l'offensive économique et politique de la Turquie dans les pays africains limitrophes à l'Algérie, la Turquie y gagne de l'influence et un part de marché grandissant.

Je dirais une entente cordiale hypocrite entre les deux pays et cela dure depuis l'indépendance de l'Algérie, la Turquie ayant traîner des pieds pour reconnaître l'indépendance de l'Algérie à cause de ses propres intérêts. La seule chose qui marche entre l'Algérie et la Turquie est le tourisme et le commerce, la Turquie ayant un temps mettre un visa pour les citoyens Algériens mais l'afflux de tourisme est dynamique et l'idée fut écartée. L'Algérie voit Erdogan comme un potentiel ennemi idéologique. Le gouvernement Algérie à peur qu'Erdogan joue avec la carte des FM en Algérie en soutenant des parties opposées au FLN comme il a put faire en Syrie et en Libye, d'ailleurs en Libye les deux pays s'opposent aussi, ils s'opposent dans presque tous les dossiers.

En1:l'Algérie n'a jamais soutenu une guerre,c'est logique qu'elle reste opposer à l'intervention Turque en Syrie ou n'importe quel pays qui intervient.
En 2: Rien ne pourra réconcilier Shocked

je sais pas si c'est en ton nom ou tu la lu quelque part et si c'est le cas je serais curieux merci
En 3: Je suis d'accord mais je pense que les deux nations ont dépasser ce cap d'ailleurs le Bussiness entre les deux état le prouve
Et à titre personnel je suis pour la suppression de visa entre tout Etat Musulman mais malheuresement tu dois savoir que l'Algérie n'est pas prête au retour et au transit au cas ou de milliers de terroriste donc je comprend cette position,d'ailleurs les turcs qui vienne en Algérie n'ont aucune difficulté pour le Visa ça va tràs tràs vite merci

Malgré les visites entre les deux pays, les relations sont froides même si elle reste courtoise. Il y a un problème de confiance à cause de l'idéologie propre à ces deux pays. Ta dernière phrase résume le malaise de la Turquie, prendre ce pays comme un point d'entrée du terrorisme.

c'est une très bonne chose que Tebboune sera le président de l’Algérie dans les prochaines années, et je me sens heureux quand je vois jour après jour le nombre de manifestations se réduit ..
Saraha j'avais peur après l'élimination de Boutefliqa de voir des élections libres en Algérie pour une simple raison c'est que la personne qui serait le président quand la république algérienne déclare la faillite sera responsable de toute crise, au moins dans les yeux de 90% de populations algérienne, nous les arabes on a pas des connaissances politiques et économiques, seulement une chose que la parti ou la personne qui dirige durant la crise sont les responsables de cette crise (dans l'éfypte Mohammed Morssi allah yrehmou à été victime par cette ignorance du peuple) alors que la vérité c'est un cumul de corruption de dizaines d'années, Résultat en 2020: Morssi terroriste, responsable de tou les crise même après ça mort (Barrage d'éthiopie, terrorisme, baisse tourisme, problèmes des énergies...) et SISI le héro qui a sauvé l'égypte et il faut des années et des années pour régler ce qui a fait Morssi le méchant et il faut le soutenir...
L'algérie est dans un état critique, d'ici 2 ans l'algérie sera à 0$, et j'ai bien imaginé le même scénario de l'égypte mais alhamdolilah Teboune est là ^^

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Actualités Algeriennes - Page 40 1431723753-sans-titre-1

Le chef de la diplomatie saoudienne à Alger demain, le Mae a rencontre Haftar aujourd'hui et invitation de Poutine à Moscou au "" " président" "" autoproclamé

Petite constation:
L'Inde achéte du GNL au Qatar pour 8 - 8,5$ le million de Btu, (avant ça c'était à 11$). Sauf que l'Inde demande une renégociation du prix et ne plus l'attacher au Brent, elle vise un prix de 5$. Le Qatar dit non.
D'ailleurs, la Turquie a baissé aussi ses importations qatariennes.

l'Algérie qui n'arrive pas à sécuriser de grand contrat et pour une longue durée (donc capacité de négociation faible), vend de plus en plus sur le marché du spot, qui selon les analystes est à moitié prix.
Si l'Algérie vend de plus en plus à la Turquie, c'est qu'il est en train de casser les prix et s'aligne +/- sur les prix du spot.

Avec plus de recherches data, y'a moyen de déterminer le prix de vente algérien.

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Actualités Algeriennes - Page 40 Gamins13

ⵜⴰⵢⵔⵉ ⵏ'ⵜⵎⴰⵣⵉⵔⵜ

bon deja teboune dkhal skhoune pendant la campagne présidentielle et meme une fois président son discours est dure vis a vis du Maroc il commence par demander des excuse
et puis il dit plutard qu il n a pas de probleme avec le peuple marocain mais avec le monarque

de l'autre coté son ministre de l'energie sous bouteflika a profité en marge d'un evenement sur le gaz ou l'energie a marrakech pour rencontrer rabbah suite aux rumeurs de la non reconduction de l'approvisionnement marocain en gaz algerien en 2021 dans un an
les deux parties ont convenue d'engager des pourparler dans ce sens

la du coup l'attitude inamicale de tebboune vis a vis du royaume ne pousse pas dans le bon sens je crois sauf surprise que le Maroc ne reprendra pas de gaz algerien surtout avec l'arrivée sur le marché du gaz marocain , senegalais et mauritanien
de l'autre coté il est content de filer du gaz gratos a la tunisie ou du moins lui accorder un moratoire des facilités de paiement avec en prime un depot de 150 millions € dans la banque centrale tunsienne
l'espagne et le portugal lui ont serré la visse : ils souhaitent réduire la dependance au gaz algerien
il ny a plus que le marché spot d'un coté et puiser dans les RFR qui sera a 52B$ fin 2020 selon la banque d'algerie

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Actualités Algeriennes - Page 40 477237Sanstitre

Citation :: "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996

Citation :: Algérie : le programme du nouveau Premier ministre entravé par la baisse des recettes pétrolières et gazières

L’Algérie enregistre cette année encore un fort déficit de sa balance des paiements et se dirige à grands pas vers l’épuisement de ses réserves de change.

Le nouveau Premier ministre algérien Abdelaziz Djerad a soumis le 13 février 2020 à l'Assemblée populaire nationale (APN) son "plan d'action", axé "sur la sécurité alimentaire, la transition énergétique et l'économie numérique". Mais ce plan d’action esquissé à grands traits est, selon le Premier ministre, d'ores et déjà limité par la chute des recettes d’hydrocarbures, principale ressource du pays. Selon M. Djerad, la baisse des exportations et des prix du pétrole a "aggravé" le déficit du budget alors que la balance commerciale accusait fin 2019, un déficit de 10 milliards de dollars.

Le pays produit actuellement environ un million de barils de pétrole par jour contre plus de 1,4 million en 2005, selon les chiffres officiels. Avec la chute des cours, cela correspond à une baisse de 50% des recettes pétrolière entre 2012 et 2019, alors que les hydrocarbures représentent 92% des exportations de l'Algérie.

Baisse des réserves de change

Tout aussi préoccupant, la dette publique intérieure est passée de 26% du PIB en 2017 à 45% du PIB en 2019, a précisé, devant l’hémicycle, le Premier ministre, nommé le 28 décembre dernier par le président Abdelmadjid Tebboune.

La Banque centrale a annoncé début février que les réserves de change du pays avaient chuté à 62 milliards de dollars fin 2019 contre 79,88 milliards fin 2018 et 97,22 milliards fin 2017. Ces réserves devraient continuer à fondre pour atteindre 51,6 milliards de dollars à la fin 2020, selon les prévisions de la dernière loi de finances, et pourraient à ce rythme, finir par s'épuiser d'ici 2024.

Le nouveau Premier ministre a promis d'assainir "l'héritage catastrophique" et de mettre un terme aux "dérives qui ont caractérisé la gestion des affaires de l'Etat" durant les vingt années au pouvoir du président déchu Abdelaziz Bouteflika. Des décennies caractérisées par la captation et le détournement de la rente pétrolière.

Djerad a promis de rompre avec "toutes les pratiques révolues dans la gouvernance politique et socio-économique", ayant mené, selon lui, à une "destruction méthodique des entreprises économiques et à la marginalisation de compétences".

Impasse économique et budgétaire

En attendant d'éventuelles "réformes structurelles", qui mettront du temps à produire leurs effets, le projet du budget 2020 prévoit encore un fort déficit. Les recettes fiscales ordinaires prévues, soit 3 000 milliards de dinars (23 milliards d'euros), couvriront à peine la masse salariale de la Fonction publique qui avoisine les 2 900 milliards de dinars chaque année.

Sans parler d'autres déficits accumulés, comme celui de la Caisse nationale des retraites (CNR) qui s’élèverait à 700 milliards de dinars (5,3 milliards d'euros). Une véritable impasse économique et budgétaire qui risque de mener l'Algérie vers des ajustements douloureux, sous les fourches caudines du FMI.

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/algerie/algerie-le-programme-du-nouveau-premier-ministre-entrave-par-la-baisse-des-recettes-petrolieres-et-gazieres_3823081.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]

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"C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard".
William Shakespeare ; Hamlet (1603)

ralek1 a écrit:

Citation :: Algérie : le programme du nouveau Premier ministre entravé par la baisse des recettes pétrolières et gazières

L’Algérie enregistre cette année encore un fort déficit de sa balance des paiements et se dirige à grands pas vers l’épuisement de ses réserves de change.

Le nouveau Premier ministre algérien Abdelaziz Djerad a soumis le 13 février 2020 à l'Assemblée populaire nationale (APN) son "plan d'action", axé "sur la sécurité alimentaire, la transition énergétique et l'économie numérique". Mais ce plan d’action esquissé à grands traits est, selon le Premier ministre, d'ores et déjà limité par la chute des recettes d’hydrocarbures, principale ressource du pays. Selon M. Djerad, la baisse des exportations et des prix du pétrole a "aggravé" le déficit du budget alors que la balance commerciale accusait fin 2019, un déficit de 10 milliards de dollars.

Le pays produit actuellement environ un million de barils de pétrole par jour contre plus de 1,4 million en 2005, selon les chiffres officiels. Avec la chute des cours, cela correspond à une baisse de 50% des recettes pétrolière entre 2012 et 2019, alors que les hydrocarbures représentent 92% des exportations de l'Algérie.

Baisse des réserves de change

Tout aussi préoccupant, la dette publique intérieure est passée de 26% du PIB en 2017 à 45% du PIB en 2019, a précisé, devant l’hémicycle, le Premier ministre, nommé le 28 décembre dernier par le président Abdelmadjid Tebboune.

La Banque centrale a annoncé début février que les réserves de change du pays avaient chuté à 62 milliards de dollars fin 2019 contre 79,88 milliards fin 2018 et 97,22 milliards fin 2017. Ces réserves devraient continuer à fondre pour atteindre 51,6 milliards de dollars à la fin 2020, selon les prévisions de la dernière loi de finances, et pourraient à ce rythme, finir par s'épuiser d'ici 2024.

Le nouveau Premier ministre a promis d'assainir "l'héritage catastrophique" et de mettre un terme aux "dérives qui ont caractérisé la gestion des affaires de l'Etat" durant les vingt années au pouvoir du président déchu Abdelaziz Bouteflika. Des décennies caractérisées par la captation et le détournement de la rente pétrolière.

Djerad a promis de rompre avec "toutes les pratiques révolues dans la gouvernance politique et socio-économique", ayant mené, selon lui, à une "destruction méthodique des entreprises économiques et à la marginalisation de compétences".

Impasse économique et budgétaire

En attendant d'éventuelles "réformes structurelles", qui mettront du temps à produire leurs effets, le projet du budget 2020 prévoit encore un fort déficit. Les recettes fiscales ordinaires prévues, soit 3 000 milliards de dinars (23 milliards d'euros), couvriront à peine la masse salariale de la Fonction publique qui avoisine les 2 900 milliards de dinars chaque année.

Sans parler d'autres déficits accumulés, comme celui de la Caisse nationale des retraites (CNR) qui s’élèverait à 700 milliards de dinars (5,3 milliards d'euros). Une véritable impasse économique et budgétaire qui risque de mener l'Algérie vers des ajustements douloureux, sous les fourches caudines du FMI.

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/algerie/algerie-le-programme-du-nouveau-premier-ministre-entrave-par-la-baisse-des-recettes-petrolieres-et-gazieres_3823081.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]

son plan axé pour prioriser la sécurité alimentaire, gaire la transition énergétique et s'attaquer à l'économie numérique n'est probablement pas ce qui va sauver les meubles.

Alors que l'on scandait que l'Algérie était autosuffisante alimentairement parlant (le surplus devait être exporter vers le marché muritanien), aujourd'hui il y a prise de conscience qie les algériens n'ont pas grand chose dans l'assiette et que le peu qu'il y a se paie le prix cher.
Mais il est vague en parlant de sécurité alimentaire...y'a t'il danger? est-ce l'investissement dans un plan de production industriel? un plan agricole? halieutique?
Malgré de bonnes ambitions? comme Bouteflika, il va se heurter à la mafia de l'impor, y goûter (ci ce n'est pas déjà le cas) et l'Algérie continuer à sombrer.

_________________
L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.

feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ

BOUBOU a écrit:

ralek1 a écrit:

Citation :: Algérie : le programme du nouveau Premier ministre entravé par la baisse des recettes pétrolières et gazières

L’Algérie enregistre cette année encore un fort déficit de sa balance des paiements et se dirige à grands pas vers l’épuisement de ses réserves de change.

Le nouveau Premier ministre algérien Abdelaziz Djerad a soumis le 13 février 2020 à l'Assemblée populaire nationale (APN) son "plan d'action", axé "sur la sécurité alimentaire, la transition énergétique et l'économie numérique". Mais ce plan d’action esquissé à grands traits est, selon le Premier ministre, d'ores et déjà limité par la chute des recettes d’hydrocarbures, principale ressource du pays. Selon M. Djerad, la baisse des exportations et des prix du pétrole a "aggravé" le déficit du budget alors que la balance commerciale accusait fin 2019, un déficit de 10 milliards de dollars.

Le pays produit actuellement environ un million de barils de pétrole par jour contre plus de 1,4 million en 2005, selon les chiffres officiels. Avec la chute des cours, cela correspond à une baisse de 50% des recettes pétrolière entre 2012 et 2019, alors que les hydrocarbures représentent 92% des exportations de l'Algérie.

Baisse des réserves de change

Tout aussi préoccupant, la dette publique intérieure est passée de 26% du PIB en 2017 à 45% du PIB en 2019, a précisé, devant l’hémicycle, le Premier ministre, nommé le 28 décembre dernier par le président Abdelmadjid Tebboune.

La Banque centrale a annoncé début février que les réserves de change du pays avaient chuté à 62 milliards de dollars fin 2019 contre 79,88 milliards fin 2018 et 97,22 milliards fin 2017. Ces réserves devraient continuer à fondre pour atteindre 51,6 milliards de dollars à la fin 2020, selon les prévisions de la dernière loi de finances, et pourraient à ce rythme, finir par s'épuiser d'ici 2024.

Le nouveau Premier ministre a promis d'assainir "l'héritage catastrophique" et de mettre un terme aux "dérives qui ont caractérisé la gestion des affaires de l'Etat" durant les vingt années au pouvoir du président déchu Abdelaziz Bouteflika. Des décennies caractérisées par la captation et le détournement de la rente pétrolière.

Djerad a promis de rompre avec "toutes les pratiques révolues dans la gouvernance politique et socio-économique", ayant mené, selon lui, à une "destruction méthodique des entreprises économiques et à la marginalisation de compétences".

Impasse économique et budgétaire

En attendant d'éventuelles "réformes structurelles", qui mettront du temps à produire leurs effets, le projet du budget 2020 prévoit encore un fort déficit. Les recettes fiscales ordinaires prévues, soit 3 000 milliards de dinars (23 milliards d'euros), couvriront à peine la masse salariale de la Fonction publique qui avoisine les 2 900 milliards de dinars chaque année.

Sans parler d'autres déficits accumulés, comme celui de la Caisse nationale des retraites (CNR) qui s’élèverait à 700 milliards de dinars (5,3 milliards d'euros). Une véritable impasse économique et budgétaire qui risque de mener l'Algérie vers des ajustements douloureux, sous les fourches caudines du FMI.

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/algerie/algerie-le-programme-du-nouveau-premier-ministre-entrave-par-la-baisse-des-recettes-petrolieres-et-gazieres_3823081.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]

son plan axé pour prioriser la sécurité alimentaire, gaire la transition énergétique et s'attaquer à l'économie numérique n'est probablement pas ce qui va sauver les meubles.

Alors que l'on scandait que l'Algérie était autosuffisante alimentairement parlant (le surplus devait être exporter vers le marché muritanien), aujourd'hui il y a prise de conscience qie les algériens n'ont pas grand chose dans l'assiette et que le peu qu'il y a se paie le prix cher.
Mais il est vague en parlant de sécurité alimentaire...y'a t'il danger? est-ce l'investissement dans un plan de production industriel? un plan agricole? halieutique?
Malgré de bonnes ambitions? comme Bouteflika, il va se heurter à la mafia de l'impor, y goûter (ci ce n'est pas déjà le cas) et l'Algérie continuer à sombrer.

La situation est compliqué pour cette gerontocratie mais le taux d'endettement de l'Algérie est de 0% du PIB quand il est de 90% pour nos pays voisins. Il va falloir à un moment si cette crise qui touche toute la planète perdure à devoir passer à l'endettement... À savoir que même nos pays voisins traversent aussi une crise économique importante. L'avantage est que nos entreprises publiques Télécom Eaux énergie transport sont totalement propriété de l'état contrairement à nos pays voisins qui ont du vendre des parts pour du cash ce qui permet d'avoir malgré tout une marge de manœuvre mais au détriment de la souveraineté de l'état. A voir si nous allons pas devoir contracter des prêts auprès de la Chine banque africaine ou arabe pour justement la gardée.

Vos entreprises ne sont pas propriété de l'Etat, mais d'un groupe de mafieux.
La souverenneté de l'Etat, c"est ce que sortent vos mafoeux pour faire passer la pilule. Car gorce est de constater que votre "souverainneté" sur ces entreprises ne vous suffisent pas.

Ce que vertains algérien ne comprennent pas, c'est que le monde à changé, la mondialisation, la globalisation, est le système qui régie les économies.

Sans vouloir être vulguère, vous êtes comme les français, même les pieds dans la m*rde ils font cocorico!

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feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ

0 dettes tu disait

ralek1 a écrit:

Citation :: Algérie : le programme du nouveau Premier ministre entravé par la baisse des recettes pétrolières et gazières

L’Algérie enregistre cette année encore un fort déficit de sa balance des paiements et se dirige à grands pas vers l’épuisement de ses réserves de change.

Tout aussi préoccupant, la dette publique intérieure est passée de 26% du PIB en 2017 à 45% du PIB en 2019, a précisé, devant l’hémicycle, le Premier ministre, nommé le 28 décembre dernier par le président Abdelmadjid Tebboune.

La Banque centrale a annoncé début février que les réserves de change du pays avaient chuté à 62 milliards de dollars fin 2019 contre 79,88 milliards fin 2018 et 97,22 milliards fin 2017. Ces réserves devraient continuer à fondre pour atteindre 51,6 milliards de dollars à la fin 2020, selon les prévisions de la dernière loi de finances, et pourraient à ce rythme, finir par s'épuiser d'ici 2024.

Le nouveau Premier ministre a promis d'assainir "l'héritage catastrophique" et de mettre un terme aux "dérives qui ont caractérisé la gestion des affaires de l'Etat" durant les vingt années au pouvoir du président déchu Abdelaziz Bouteflika. Des décennies caractérisées par la captation et le détournement de la rente pétrolière.

Djerad a promis de rompre avec "toutes les pratiques révolues dans la gouvernance politique et socio-économique", ayant mené, selon lui, à une "destruction méthodique des entreprises économiques et à la marginalisation de compétences".

Impasse économique et budgétaire

En attendant d'éventuelles "réformes structurelles", qui mettront du temps à produire leurs effets, le projet du budget 2020 prévoit encore un fort déficit. Les recettes fiscales ordinaires prévues, soit 3 000 milliards de dinars (23 milliards d'euros), couvriront à peine la masse salariale de la Fonction publique qui avoisine les 2 900 milliards de dinars chaque année.

Sans parler d'autres déficits accumulés, comme celui de la Caisse nationale des retraites (CNR) qui s’élèverait à 700 milliards de dinars (5,3 milliards d'euros). Une véritable impasse économique et budgétaire qui risque de mener l'Algérie vers des ajustements douloureux, sous les fourches caudines du FMI.

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/algerie/algerie-le-programme-du-nouveau-premier-ministre-entrave-par-la-baisse-des-recettes-petrolieres-et-gazieres_3823081.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]

si on considére que le pib l algerie en 2019 est d environs 184 milliards de dollars donc la dette public intérieur de 45% du pib est de 82,9 milliards de dollars cyclops

Comme dirait Anne Roumanoff: On ne nous dit pas touuuuut...

Le jour ou le FMI la Banque mondiale ou la BAD mettrons le nez sur les comptes du pays, il y aura surprise!

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eiffel65 a écrit:

BOUBOU a écrit:

ralek1 a écrit:: https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/algerie/algerie-le-programme-du-nouveau-premier-ministre-entrave-par-la-baisse-des-recettes-petrolieres-et-gazieres_3823081.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]

son plan axé pour prioriser la sécurité alimentaire, gaire la transition énergétique et s'attaquer à l'économie numérique n'est probablement pas ce qui va sauver les meubles.

Alors que l'on scandait que l'Algérie était autosuffisante alimentairement parlant (le surplus devait être exporter vers le marché muritanien), aujourd'hui il y a prise de conscience qie les algériens n'ont pas grand chose dans l'assiette et que le peu qu'il y a se paie le prix cher.
Mais il est vague en parlant de sécurité alimentaire...y'a t'il danger? est-ce l'investissement dans un plan de production industriel? un plan agricole? halieutique?
Malgré de bonnes ambitions? comme Bouteflika, il va se heurter à la mafia de l'impor, y goûter (ci ce n'est pas déjà le cas) et l'Algérie continuer à sombrer.

La situation est compliqué pour cette gerontocratie mais le taux d'endettement de l'Algérie est de 0% du PIB quand il est de 90% pour nos pays voisins. Il va falloir à un moment si cette crise qui touche toute la planète perdure à devoir passer à l'endettement... À savoir que même nos pays voisins traversent aussi une crise économique importante. L'avantage est que nos entreprises publiques Télécom Eaux énergie transport sont totalement propriété de l'état contrairement à nos pays voisins qui ont du vendre des parts pour du cash ce qui permet d'avoir malgré tout une marge de manœuvre mais au détriment de la souveraineté de l'état. A voir si nous allons pas devoir contracter des prêts auprès de la Chine banque africaine ou arabe pour justement la gardée.

Vous algériens vous vivez vraiment dans un monde, dans une bulle vous avez une vision des choses vraiment anormale
votre façons d être reflète parfaitement l’état déployable de votre pays...

_________________
ALLAH

AL WATAN AL MALIK

On en parlai plus haut:

https://www.observalgerie.com/algerie-tebboune-declare-la-guerre-au-fleau-de-la-surfacturation/2020/

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feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ

Actualités Algeriennes - Page 40 Captur10

Episode qui date du mois de juillet 2019 Shocked

Entretien du Président Tebboune avec Le Figaro

Actualités Algeriennes - Page 40 10934710

Actualités Algeriennes - Page 40 B9594910

Actualités Algeriennes - Page 40 8235f710

Entretien surrealiste du President mal elu...

- le Hirak a eu ce qu'il voulait..ce qu'il voulais c'est changer de systeme or Tebboune a été choisie par ce meme systeme.
- lol l'Armée qui a un role constitutionnel...alors pourquoi Gaid Salah lors du premier conseil des ministre, du president qui n'est redevable que devant son peuple (qui l'as boycotter), distribuer la parole et presider dans les fait la seance ? De meme, des piliers de l'industrie algerienne comme la SNVI ou le complexe siderurgique qui passe sous la coupe de l'Armée ? De meme, que faisait le Chef d'Etat major de l'ANP lors de la reunion entre sa marionet...euh je veus dire le President et les Wali ?
- Discours economique qui n'as pas changer depuis des decennie mais rien ni fait au dela du blabla il faut des projets et des plans sectorielles qui n'existe pas.
- Toujour le meme cirque sur la colonisation, 60 ans apres la progagande se retrouve concentré sur cette evenement, faut dire qu'as par cela, l'histoire de l'Algerie n'as été qu'une suite de debacle...
- Que serait une interview d'un President algerien sans une attaque contre le Maroc fallait bien le sortir cet ennemie jalous de la Puissance intercontinental algerienne et qui ne cherche qu'a lui nuire via des lobbyes obscure, sioniste, malvaillant implantée a Paris...
- Mdr l'Accord d'Alger aurait donc pu a lui tout seul empecher les Jihadiste de s'emparer de Bamako ? l'Accord d'Alger aurait pu a lui tout seul empecher la creation d'un Etat type Daesh au Mali ? Franchement...C'est la force Serval qui l'as fait...et ce monsieur ferai bien de dire merci...car le France a aussi sauvé les fesses de l'Algerie (sinon il y aurai eu des In Anemas toute les semaines...). Idem il ne dit pas que pendant les années 2000, le DRS a exporter la Sale Guerre dans le Nord Mali en manipulant les groupes armée pour gagner du terrain face a Kaddafou qui lui manipuler les Touareg...a la fin une gros bordel...dont l'Algerie est co-responsable...
- Enfin, c'est l'hopital qui se fou de la charité. Il ne faut pas faire de guerre via proxy, ne pas faire appel a des mercenaires, pas fournir d'armes...et l'Algérie elle fait quoi avec le PoliZéro ? De meme, depuis les années 80, ou l'Algérie par l'argent, les pressions, les lobbye, a mis tout les moyens a sa dispositions pour faire reconnaitre sa RASD a l'OUA, mais surtout elle a perdu son ame ou tout le monde a vu qu'il s'agissait d'une solidarité conditionner a ses interets nationaux...c'etait fini donc "La Mecque des Revolutionnaires"

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https://far-maroc.forumpro.fr/viewtopic.php?t=4662

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Actualités Algeriennes - Page 40 Marche12

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Algérie : le programme du nouveau Premier ministre entravé par la baisse des recettes pétrolières et gazières

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