Dossier Coupe du monde 2030 Maroc/Espagne/Portugal

Rappel du premier message :

https://twitter.com/MAP_Information/status/1709581703398727905?t=5J_HvlQxYiZTfY5Hvgu10Q&s=19

J’espère qu’ils mettront à contribution les artisans marocains dans tous nos différents domaines zéolithe plâtre bois sculptés et peints ….etc
Cela montrera au monde entier notre culture si riche et si variée et également témoignera de notre civilisation millennaire

Le Maroc est connu par ses palais et ses riads, pas ces tentes qui sont une toute parenthèse de notre culture.

Aussi j'aimerais bien un stade avec une pelouse amovible, comme ça il pourra acceuillir n'importe quel évènement sportif ou extra-sportif par la suite.

https://www.youtube.com/watch?v=xZZs6BxLYHM&ab_channel=RealMadrid

C'est une bonne idée, nous n'avons pas besoin d'une solution high-tech comme le stade Bernabeu, qui présente des problématiques de superficie et d'emplacement en centre ville.

Nous pouvons prendre exemple sur le stade US Farm Stadium de Glendale ou russe de Saint Petersbourg, qui disposent d'une pelouse rétractable. Surtout, que la superficie de ce futur stade sera de +100 hectares :

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لك الله ياوطني

on va ramener tous les modèles des stades du monde chez nous .... Very Happy

Infrastructures routières, infrastructures sportives, transport, espaces verts, tourisme… Ce sont là autant de secteurs qui connaîtront d’importants travaux en prévision d’abord de la CAN 2025, puis de la Coupe du monde 2030. "La ville de Casablanca bouge, d’importants projets structurants visant à la faire changer sont en cours", nous explique un membre du conseil communal de la métropole, joint par nos soins. "Cette dynamique est fortement appuyée par le nouveau wali, qui a accéléré tous les projets de la ville et a débloqué ceux à l’arrêt ou dans l’attente d’être lancés". Lancement des nouvelles lignes de tramway et réhabilitation des pénétrantes de la ville La mobilité et l’infrastructure routière sont les premiers sujets abordés par notre interlocuteur. Après le lancement du bus à haut niveau de service, "les nouvelles lignes T3 et T4, qui concernent le transport urbain, devraient être lancées dans les jours à venir", nous apprend-il. Avec les deux lignes T1 et T2, ainsi que celles du bus et du BHNS, ces nouvelles lignes couvriront une large partie de la ville, facilitant ainsi le déplacement des Casablancais et des touristes lors de la CAN 2025 et de la Coupe du monde 2030. Outre le transport urbain, "la ville prévoit de réhabiliter les sept pénétrantes de la ville. Les travaux ont déjà concerné trois pénétrantes, qui ont été refaites, notamment celle de la route d’El Jadida en arrivant de Marrakech", nous confie notre source. "Lorsqu’on entre à Casablanca à partir de ces pénétrantes, on a l’impression d’entrer dans un village. Elles étaient toutes dans un état lamentable. Nous ambitionnons donc de toutes les refaire, excepté l’ancienne pénétrante en arrivant de Rabat". 2 MMDH pour la route Casablanca-Nouaceur "L’autre projet phare, en cours de réalisation, est celui du développement des infrastructures routières entre Casablanca et Nouaceur, au sud de la ville, pour lequel une enveloppe budgétaire de 2 milliards de DH sera allouée", ajoute le responsable communal. Cette route va vers Dar Bouazza et au-delà. L’objectif de ce projet est l’élargissement de la RR320 à 3*2 voies, la mise en place de 5 trémies, le dédoublement de la route nationale 1 qui se trouve entre la route principale 3003 et 3001, ainsi que le dédoublement de la route provinciale 3001. Les travaux de ce projet ont été entamés au mois de février, après l’achèvement des études nécessaires à sa réalisation, "et doivent durer environ 10 mois" pour la première phase. Notre source a également évoqué "le projet de route côtière pour les poids lourds, qui sera mise en service vers le début du mois d’avril". Après un blocage qui a duré plusieurs mois, cette route sera enfin ouverte, permettant ainsi d’atténuer la pression sur l’intérieur de la ville. "Il y avait encore des travaux à réaliser sur le tronçon au niveau de Ain Sebaâ, qui sont en train d’être finalisés." Cette route régionale (322) se trouve entre la place Mimosa et le PK 10. Sa réalisation fait partie du projet d’aménagement du tronçon de la desserte nord de la ville, reliant la RR322 à la zone logistique de Zenata. Ce projet consiste à réaliser un couloir dédié aux camions en provenance et en partance du port de Casablanca, ainsi que deux voies de part et d’autre de ce couloir. Augmentation des places de parking et récupération du domaine public En prévision de ces deux événements mondiaux, la ville de Casablanca prévoit aussi d’augmenter ses places de parking. Au total, cinq parkings seront construits, notamment "celui au niveau du triangle des hôtels, dont les travaux ont déjà démarré, et un autre au niveau du Maârif, en face d’Oliveri. L’espace où sera construit ce deuxième parking, qui était depuis toujours entouré de palissades, a été récupéré". Un autre parking sera réalisé au niveau de la Ligue arabe, dont les travaux seront bientôt lancés. Selon nos informations, la ville prévoit d’augmenter sa capacité de parking de 2.000 places supplémentaires. Pour la réalisation des nombreux projets prévus dans la ville, "nous continuons par ailleurs de récupérer le domaine public". En effet, depuis l’arrivée du nouveau wali, les opérations de libération de l’espace public et de récupération du domaine public se poursuivent. La dernière en date, selon notre source, est celle de "récupération de l'espace public derrière l’hôtel Hyatt Regency [en face de Bab Marrakech, ndlr]. De nombreux habitats menaçant ruine ont été détruits pour être remplacés par des espaces verts". Ouverture de nouveaux hôtels et lancement d’un bus touristique Dans le secteur touristique, la métropole s’apprête, selon notre interlocuteur, "à accueillir plusieurs grands hôtels et à rouvrir le célèbre palace Royal Mansour Casablanca, qui représente l’histoire de la ville blanche". "Il s’agit d’un hôtel mythique, qui a été entièrement refait. Les travaux sont achevés et il doit ouvrir ses portes prochainement". En effet, l’hôtel situé sur l’avenue des FAR est fermé depuis le mois de juin 2015 pour rénovation, en vue d’obtenir un résultat similaire à celui du Royal Mansour de Marrakech. Les travaux devaient se poursuivre durant deux ans mais, depuis, il est toujours fermé. Sa réouverture imminente confèrera une attractivité nouvelle à la ville, notamment en marge des deux événements qu'elle se prépare à accueillir. En parallèle, une vingtaine d’autres hôtels d’une capacité de 50 à 150 chambres sont également en construction dans la métropole. Ils devraient sortir de terre en 2024, ce qui ne manquera pas de redynamiser les investissements touristiques dans la ville. Un autre projet a trait à "la mise en place d’un bus touristique, qui organisera des tournées des monuments historiques de la métropole. C’est ce qui se fait dans les grandes villes touristiques, l’objectif étant de faire connaître davantage Casablanca aux touristes et aux Marocains qui habitent ailleurs". Deux grands musées ouvriront bientôt leurs portes Par ailleurs, deux nouveaux musées viendront renforcer l'offre culturelle de la ville. Il s’agit notamment "d’un musée de la mémoire de Casablanca, qui sera ouvert au niveau du jardin Garfield, une bâtisse très ancienne que peu de Casablancais connaissent". "Un autre musée impressionnant ouvrira ses portes à l’intérieur de l’ancienne médina, où seront regroupées des anciennes photos de la ville. Il a été réalisé par un grand architecte japonais", souligne le responsable communal. Ce projet fait partie de celui visant la revalorisation de l’ancienne médina, qui est l’une des priorités du nouveau wali ; l’objectif principal étant de trouver une solution radicale aux habitations menaçant ruine. Extension de l’esplanade de la mosquée et finalisation de la corniche de Aïn Sebaâ "Nous prévoyons également de poursuivre le projet de l’esplanade de la mosquée Hassan II", note notre source. "Il y a un grand espace qui donne sur la mer, et qui n’est toujours pas récupéré ni exploité. Il se trouve devant le restaurant Le Petit Rocher, en allant vers le Cabestan et la station de Lydec". La première phase de ce projet a déjà été réalisée. Elle s’étend sur environ 1,5 km et 13 hectares. Notre source prévoit également "l’achèvement du projet de la corniche de Aïn Sebaâ en juin prochain". Les travaux dans le cadre de ce projet consistent en l’aménagement de la corniche sur un linéaire de 3,4 km, allant de la place Mimosa jusqu’à la limite avec Aïn Harrouda, avec l’ouverture de l’accès à la plage et l’aménagement de cinq esplanades entre autres. Espaces verts et infrastructures sportives La ville met également le cap sur les espaces verts, "avec un minimum de 7.000 m2 par arrondissement jusqu’à un hectare", selon notre interlocuteur. "Ce volet est très important pour nous puisqu’il fait partie de nos promesses dans le cadre du Plan d’action communal (PAC) de notre mandat". Enfin, le dernier secteur qui connaîtra des investissements massifs, et où les travaux sont déjà en cours, est celui du sport. Les projets de la ville consistent, en premier lieu, en la réhabilitation du Complexe sportif de Casablanca. Les travaux, déjà en cours, devront être achevés en mars prochain. Huit autres terrains seront également réhabilités. Ils ont fait l'objet, en février dernier, d'une convention entre la commune, la Fédération royale marocaine de football (FRMF), l'Agence nationale des équipements publics (ANEP), le Conseil régional de Casablanca-Settat et le ministère de l'Education nationale. Il s'agit des stades Larbi Zaouli, Moulay Rachid, Larbi Benbarek, Tessama, Roches-Noires, El Oulfa, en plus des deux terrains d'entraînement des clubs casablancais Raja et Wydad. "Ces terrains serviront à l'entraînement des différentes équipes qui participeront à ces deux événements, mais aussi à accueillir les manifestations qui seront organisées en parallèle de la CAN 2025 et de la Coupe du monde 2030", conclut notre source. a écrit:

https://medias24.com/2024/03/25/comment-la-ville-de-casablanca-se-prepare-a-la-can-2025-et-au-mondial-2030/

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

La ville de Fés lui faut un Wali de cette envergure par ce qu'elle n'est du tout prête pour acceuillir la CAN. Elle a besoin d'un méga projet structurant.

san pedro a bien accueilli la can pourquoi pas Fès

t'inquiète mon frère plusieurs bonnes annonces à venir surtout pour la coupe du monde

Anzarane a écrit:: La ville de Fés lui faut un Wali de cette envergure par ce qu'elle n'est du tout prête pour acceuillir la CAN. Elle a besoin d'un méga projet structurant.

Fes Meknes doivent bénéficier de la mise a niveau comme celle qu'a connu Agadir

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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Si les choses restent telles qu'elles sont le stade M5 sera totalement détruit et reconstruit (afin de répondre aux nouvelles normes), il devrait aussi subir une augmentation de sa capacité d'accueil..Ceci étant pas de CAN 2025 à Donor il est impossible qu'il soit prêt ..SAUF si celle -ci est repoussée en Janvier (il y'a des pressions de la fifa dans ce sens)...J'aurais aussi une bonne nouvelle très bientôt inchallah

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

J'espère qu'ils vont le refaire totalement sincèrement mettre des dizaines de millions dans une telle structure très ancienne et très fragile c'est de la lapidation de l'argent public un vrai crime

https://twitter.com/fifamedia/status/1778480791682462131?t=U9zyZO1d0GRl1T81VIIX1A&s=19

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Suivez-moi dans le côté obscur

Comme révélé par Le Desk en février, le projet du métro à Casablanca est non seulement ressuscité mais est aujourd’hui dans ses premières phases de réalisation, avec une étude de faisabilité qui doit être lancée. Voici où elle en est Un ancien projet aujourd'hui ressuscité, comme nous le révélions en février dernier. Le Desk dévoilait que nouvelles instructions ont été données visant à réactiver les plans de réalisation d'un métro à Casablanca. L’idée de doter la capitale économique d’une ligne métro a longtemps titillé les élus, celle-ci ayant figuré sur l’agenda de la région dès le début des années 2000 et puis réintroduit dans le programme de la commune en 2013. Le futur métro a aussi attisé l’intérêt des Casablancais, pour qui le besoin d’un tel moyen de transport est ressenti au quotidien. Cette fois-ci, la volonté de relancer le projet du métro n’émane pas du conseil de la commune ni d’ailleurs de celui de la région, tous deux, comme nous l’expliquions aussi auparavant, laissés à l’écart de cette décision et n’ayant même pas été tenus au courant, bien que la mobilité constitue un axe fondamental tant du Plan d’action communal (PAC) que du Plan de développement régional (PDR). Le chantier est piloté directement par la Société de développement local (SDL) Casa Transports, dont le conseil d’administration n’est dirigé par nul autre que le nouveau wali de Casablanca, Mohamed Mhidia, qui depuis sa nomination en octobre dernier, s'est montré à plusieurs occasions convaincu de sa pertinence. Sollicitée par nos soins, une source autorisée au sein de Casa Transports nous livre les détails de ce projet, dont la concrétisation est, selon elle, perçue comme un besoin pour développer la mobilité dans la métropole. L'AO en cours de préparation, lancement imminent de l’étude de faisabilité Actuellement, l’appel d’offres (AO) est en cours de préparation, fait savoir cette source. La SDL, détaille-t-elle, est en train de finaliser les documents pour mettre « imminemment » le marché en jeu, assure-t-elle, promettant que le lancement de ce dernier « ne devrait pas tarder davantage par rapport au délai programmé », prévu courant le premier trimestre de 2024, comme précédemment indiqué. « Le cahier des prescriptions spéciales est en train d'être rédigé », nous fait-on savoir. Cette étude, ajoute notre source, devrait principalement « déterminer si le couloir recommandé par le plan de déplacement urbain peut abriter le métro, surtout voir si le tube pourra y être inséré, et si oui, comment on pourra l’insérer sur cet axe ». A cette étape, il s’agit, étaye-t-elle, d’étudier tous les volets d’insertion du métro, dont notamment « la configuration des voies, la largeur du tube adapté à l’axe recommandé, par où exactement passera le métro et surtout comment sa mise en place impactera la circulation et la vie de quartier dans cette zone ». Bien que notre source exprime toutefois, « par précaution », une réserve quant à la certitude de l’accomplissement du projet, « l’étude de faisabilité devant à un certain niveau confirmer si on peut insérer un métro dans le couloir recommandé », elle ne cache pas la détermination de la SDL, et derrière celle-ci du wali, pour aller jusqu’au bout dans la concrétisation du projet. « Le projet de réaliser un métro est pour nous une étape naturelle dans le processus de développement de la mobilité à Casablanca, maintenant que les six lignes du tramway et que tous les autres chantiers programmés dans la convention sont finalisés », affirme-t-elle. Tester la validité des plans initiaux Les maîtres d’ouvrage de ce projet sont donc déterminés à le concrétiser. À ce point, il s’agit d’évaluer la validité des plans du futur métro, dont les contours ont initialement été tracés dans le Plan de déplacement urbain (PDU) du Grand Casablanca de 2004 et repris en 2013 lors de la tentative de réalisation de ce chantier par l’ex-président du conseil de la métropole, Mohamed Sajid. Les PDU ayant suivi depuis 2017 ne faisant pas mention d’un métro, l’étude de faisabilité envisagée « émane du premier plan de déplacement urbain ». Ce document, consulté par Le Desk, évoque ainsi une « ligne de métro en tunnel desservant les extensions sud jusqu’au centre ». Le futur métro parcourra quelques 15 kilomètres de longueur et reliera le quartier Bourgogne à Hay Moulay Rachid, en passant par les boulevards Zerktouni, la Résistance, Mohammed VI et Idriss Harti. Le choix de ce tracé correspond en fait, souligne notre interlocutrice, au « corridor le plus dense en termes de déplacements », vu que le PDU fixe le seuil à 14 000 voyageurs/sens/heure. La fréquence de passage recommandée par ce plan étant de 3,5 minutes, il est estimé qu’il transportera jusqu’à 30 000 passagers par heure. Cette capacité pourrait toutefois être revue en fonction des résultats de l’étude que mènera bientôt Casa Transports. La conception du nouveau métro pourrait également être influencée par deux autres études lancées en parallèle, note notre interlocutrice. La première, qui concerne le plan de la nouvelle mobilité à Casablanca, est actuellement en cours, après l’attribution du marché y afférent. Elle vise à « proposer des solutions pour rendre plus performante la mobilité autour des lignes de transport commun à site propre », explique notre source. La deuxième étude, portant sur l’aménagement des pôles d’échange, ne devrait pas tarder à démarrer, l’appel d’offres relatif étant en cours. « Cette étude nous permettra d’identifier les moyen à même de rendre les points où les personnes font leurs correspondances des endroits de vie dynamiques », ajoute-t-elle. Le développement de la mobilité et l’optimisation des modes de déplacement au niveau de la métropole étant actuellement un enjeu de premier ordre, le métro se présente comme solution pour porter le transport dans la métropole au prochain stade. Et bien que la question demeure si Casa Transports et les autres partenaires qui seront inclus dans le processus de sa réalisation pourront relever le défi de l’aboutir dans le délai de 2030, fixé il y a presque dix ans et aujourd’hui imposé par la co-organisation par le Maroc de la Coupe du monde. a écrit:

https://ledesk.ma/2024/04/16/metro-de-casablanca-le-cahier-de-prescriptions-speciales-en-cours-de-redaction/

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https://twitter.com/jeune_afrique/status/1781251790530400522?t=T-4qbQCGPTJ9NVPFl4pLOw&s=19

de

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Suivez-moi dans le côté obscur

https://mobile.ledesk.ma/encontinu/mondial-2030-les-entreprises-portugaises-veulent-une-part-du-gateau-marocain/
Ledesk fr strikes again
Regardez comment ils parlent des portugais "ils veulent leur part du gâteau"
Imaginez si ça concernait la France, ils allaient faire une publicité pour faire l'éloge des entreprises française

Devant être livrée en 2029 et estimée à 6 milliards de dirhams, l'autoroute continentale entre Casablanca et Rabat pourra renforcer le dossier marocain pour la co-organisation du mondial 2030, en assurant les liaisons entre le Grand stade de Casablanca et les différents lieux d'hébergement requis par la FIFA. Détails exclusifs Un projet qui devrait changer la donne en matière de mobilité entre Casablanca et Rabat : une autoroute continentale, dont les études de réalisation vont bon train, comme nous le rapportons régulièrement. Cette deuxième autoroute, parallèle à l'actuelle (A1), verra son étude d'impact sur l'environnement réalisée par le bureau d'études publics Conseil Ingénierie et Développement (CID). Par ailleurs, Novec et LPEE, avec toujours CID, s'étaient partagés les études d'exécution. Le Canadien Fireseeds North avait aussi été recruté pour fournir une étude sur la sécurité routière au niveau de cette nouvelle autoroute. Selon des informations obtenues par Le Desk, cette autoroute aura une longueur de 58,4 kilomètres. Celle projetée précédemment était de 60 kilomètres. Les études ont permis également de définir un tracé définitif, différent de celui indiqué dans un premier temps. Ainsi, comme l’indique la carte que nous reprenons, l’autoroute commencera au niveau de la commune d’ Ech-Challalate, passant le grand stade de Casablanca (situé à Benslimane), pour déboucher sur Ain Attig. Il a été décidé aussi que l’autoroute prendra la forme d’une 2x3 voies, avec, en projet, en matière de viaducs, huit ouvrages de franchissement. Toujours au niveau de l’autoroute, on retrouvera deux bifurcations et un noeud, cinq échangeurs en projet, avec pour objectif de réaménager un échangeur déjà existant. Pour les usagers de cette autoroute, on a également pensé à une aire de service, et deux aires de repos. S’agissant de l’estimation du projet, ne prenant pas en compte le foncier, une enveloppe budgétaire a été fixée : elle est de l’ordre de six milliards de dirhams. Selon les premières estimations, il est prévu que pas moins de 27 000 véhicules par jour puissent circuler au niveau de cette autoroute, comprenant un taux de 30 % pour les poids lourds. Une autoroute qui tombe à point Selon des sources concordantes, le projet devrait permettre au Maroc de répondre à plusieurs critères pour la co-organisation de la compétition de la coupe du monde de football en 2030. Parmi les conditions imposées par la FIFA, on retrouve celle en lien avec l’hébergement : à moins de 20 minutes des stades, il est obligatoire de disposer de deux hôtels 5* et deux hôtels 4*, ces derniers appelés couramment des hôtels de transfert. Ces établissements hôteliers doivent par ailleurs également disposer de terrains d’entraînement, nous fait savoir une source du milieu touristique. Il s’agira également de disposer d’une capacité minimale de 80 chambres et d’une superficie minimale des chambres de 25 m2. Dans ce contexte, près du Grand stade de Casablanca, cinq établissements sont aujourd’hui envisagés, dont deux sont en ballotage, en attendant la construction de l’autoroute continentale. Les trois premiers sont : l'Avanti Beach Hôtel Mohammedia (4*), le Novotel Mohammedia (4*) et l’Amphitrite Palace à Skhirat (5*). Les deux autres hôtels qui pourront être accessibles, à moins de 20 minutes, une fois l’autoroute continentale réalisée sont : Vichy Célestins Spa Hôtel à Bouznika (5*) et Conrad Rabat Arzana près de Harhoura (5*). Toujours pour répondre à ce besoin en hébergement, une idée serait par ailleurs sur la table : elle a été soumise par le gouverneur de Benslimane, nous indique une source proche. La proposition consiste en la création d'un pôle urbain tout autour du Grand stade de Casablanca avec au moins deux grands palaces. Une idée qui cependant n'a pas été accueillie favorablement par d'autres parties prenantes, en raison du coût de la chambre, évalué à plus d'un million de dirhams... Autre raison qui pourrait être invoquée pour révoquer l'idée du gouverneur : éviter, après 2030, de disposer d'hôtels dans des endroits peu connus pour leur attractivité touristique, au risque d'avoir des palaces fantômes n'ayant au final servi que le temps d'une compétition... a écrit:

https://ledesk.ma/enclair/casa-rabat-comment-lautoroute-continentale-jouera-sa-partition-lors-du-mondial-2030/

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