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franchement bravo

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Festival Mawazine : remise d'un don royal en guise d'encouragement à des jeunes musiciens marocains

Rabat, 25/05/08 - La 7-ème édition du festival Mawazine-Rythmes du monde, organisée du 16 au 24 mai à Rabat, sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, a été couronnée par la remise d'un don royal à des jeunes créateurs marocains dans le domaine de la musique et de la chanson.


"SM le Roi Mohammed VI, qui entoure de Sa haute sollicitude les artistes et le monde de l'art, a bien voulu ordonner l'octroi d'un don en guise d'encouragement aux jeunes groupes prometteurs ayant hissé leurs productions au rang de la créativité", a annoncé le directeur artistique du festival, M. Aziz Daki, dans une allocution lors de la cérémonie de clôture de cette manifestation, tenue samedi soir au quartier Annahda à Rabat.

Ce don illustre l'intérêt que porte le Souverain à la promotion de l'art et des artistes, a souligné M. Daki, affirmant que conformément aux Hautes orientations Royales, l'Association "Maroc Cultures" a accordé une attention toute particulière aux groupes de jeunes lors de cette 7ème édition du festival et veillé à leur assurer une présence remarquable aux plans aussi bien de la qualité que du niveau de participation.

Il a expliqué que le don Royal bénéficie à trois catégories de troupes, à savoir les jeunes artistes qui comptent à leur actif un important parcours au service de l'art, ceux en début de carrière ainsi que les lauréats du concours Génération Mawazine.

Cette généreuse initiative Royale sera un stimulant pour les jeunes à davantage de créativité en matière de musique et de chanson, avec l'ambition de permettre à l'art marocain d'atteindre le stade du professionnalisme et de s'illustrer sur la scène internationale.

Ont profité de ce don les troupes H-Kayne, Darga, Hoba Hoba Spirit, Mazagan et l'artiste Joudia, en plus des lauréats du concours Génération Mawazine 2007, en l'occurrence May Ara-Fusion, Hakmin et The Stunt Boys.

Pour sa part, le président directeur général de la société nationale de Radiodiffusion et de Télévision (SNRT), a indiqué que sur ordre de SM le Roi Mohammed VI, la société procédera à la production d'albums ou de clips vidéo pour les artistes ayant bénéficié du don Royal.

A cette occasion, les jeunes artistes bénéficiaires du don Royal ont exprimé leurs remerciements et leur gratitude au Souverain pour cette Haute initiative en faveur des jeunes talents.

Quand une idole mediatique est delesse' et abandonne' de cette maniere, qu'elles seront les souffrances de la majofite' des marocains. C'est une honte pour tous les dirigents du Maroc. Ils ne pensent qu'a remplir leurs poches et s'enfout de leurs compatriotes. Shame on them. Ce sont ces cas qui fait que le Maroc ne soit pas credible quand il dit deffendre le sort de ces citoyens a l'etranger.

Citation :

Adieu l'artiste, on t'aimait bien
La comédienne Aïcha Manaf s'est éteinte le 30 août à l'âge de 32 ans des suites d'une longue maladie.

La fausse nouvelle de son décès se répandit comme une trainée de poudre accentuant la douleur et le chagrin de la malade. Alors qu'elle s'attendait au soutien de ses proches et de ses fans, ces derniers ont décidé de l'achever avant le terme.

Le 30 août, la nouvelle tomba comme un couperet sur la tête de tous les fans de l'actrice. Aïcha Manaf n'est plus, mais cette fois-ci, c'est pour de bon. La même chaîne qui avait annoncé sa maladie, annonça sa mort.

Et la compassion qui a animé les cœurs des Marocains lors de sa maladie a cédé la place à un profond chagrin. Celui de constater de quelle manière notre pays traite ses artistes et omet de prendre soin d'eux au moment où ils ont le plus besoin de son attention. Celle que le public marocain a suivi, aimé et apprécié dans la série qui l'a rendue célèbre, «Hdiddane», méritait beaucoup mieux que ce qu'elle a eu.
Celle qui a donné sans relâche à son art n'a rien reçu en retour. Du haut de ses 32 ans, la comédienne a combattu seule, pendant plus d'une année, la maladie.

Mais plus que la souffrance physique et l'insuffisance, sinon l'absence de moyens, l'ingratitude et l'abandon l'ont accablée et achevé de l'affliger. N'ayant même pas de quoi assurer les premiers soins de sa maladie, elle s'est retrouvée face à une affliction lourde en charges pour affronter un sort qu'ont connu bien d'artistes avant elle. Toutefois, cette épreuve, aussi dure soit-elle, n'a pas réussi à entamer la foi et encore moins le courage de la dame. Solide comme un roc, elle n'a jamais rien perdu de sa joie de vivre et de son amour pour la vie même dans les moments les plus difficiles. Du témoignage de ses amis et proches, Aïcha n'a jamais courbé l'échine ni renoncé à son beau sourire. Celui-là même qui a rayonné son visage jusqu'à son dernier souffle.

Aujourd'hui, si la jeune actrice n'est plus parmi nous, son souvenir sera toujours aussi vif dans nos mémoires. A chaque fois qu'on aura l'occasion de la voir dans l'une des séries télévisées auxquelles elle a participé, on dira « Aïcha était une bonne comédienne, une amie affable, un être avec de grandes qualités humaines ». Que Dieu ait son âme en paix.

Le métier de tous les dangers
L'art au Maroc est, parait-il, un métier à haut risque. Sans rentrée d'argent régulière et permanente, l'artiste est en butte à une précarité qui lui colle à la peau. Sans couverture sociale, qui reste l'apanage de certains privilégiés, nos comédiens se retrouvent face aux pires épreuves quand la santé leur fait défaut. L'exemple de la regrettée Aïcha Manaf qui vient de nous quitter des suites d'une lourde maladie (cancer) n'est pas isolé et ne constitue pas une exception. Il est, par contre, une occasion pour que l'on se pose, de nouveau, des questions sur la situation des artistes au Maroc. Que font les responsables et le ministère de tutelle pour les protéger ?
Quel rôle jouent réellement les syndicats des artistes ? L'artiste est-il condamné à vivre dans la tourmente en l'absence d'une couverture sociale décente ?

http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=115&id=138420

Allah yra7ma....

C'est effectivement honteux de laisser quelqu'un se battre seul contre la maladie

Leo Africanus a écrit:

Quand une idole mediatique est delesse' et abandonne' de cette maniere, qu'elles seront les souffrances de la majofite' des marocains. C'est une honte pour tous les dirigents du Maroc. Ils ne pensent qu'a remplir leurs poches et s'enfout de leurs compatriotes. Shame on them. Ce sont ces cas qui fait que le Maroc ne soit pas credible quand il dit deffendre le sort de ces citoyens a l'etranger.

Salut Leo Africanus au Maroc les artistes n'ont le droit a aucun traitement de faveur ce qui est normale.

mais on compte sur nos notre très compétente ministre de la santé yasmina badou pour évoluer la situation regarde cette video ( je sais que tu ne parle pas arabe je te résume) ca se passe au parlement, un parlementaire relève un problème d'une région où les habitants ont été piqué par des insectes inconnu pour lui, la ministre lui répond avec grande classe : elle rigole à chaque fois qu'elle prononce le mot insecte, rat ou mouche . sans commentaire hé bhein dis donc c'est sale un rat beurk . comme l'a dis Samy il faut arrêter de nous imposé des cons qui sont complétement détaché de la réalité marocaine !

Toujours badou show



je ne suis pas pro pjd mais ca fait plaisir de les voir gueulé au parlement

regardez à partir de la 4 ème min

Citation :

Un nouveau centre culturel privé à Casablanca

· Une école et un théâtre de 600 places réunis en un même lieu

· Restaurant, boutique, galerie d’art et studio d’enregistrement

· Montant de l’investissement: 55 millions de DH



Piano, violon, guitare, basse, batterie, danse classique, percussions, chorale, théâtre, dessin, peinture, photo, fitness, yoga… Le public casablancais n’aura que l’embarras du choix…Plus d’une trentaine d’activités artistiques et sportives seront enseignées dès octobre au tout nouveau «studio des Arts vivants», dont les travaux de construction viennent de s’achever sur la route d’Azemmour, à Aïn Diab, à Casablanca. Etalé sur une superficie de 3.000 m2, le studio des Arts vivants abritera une école, mais aussi un théâtre de 600 places, une galerie d’art, un restaurant, ainsi qu’une boutique et un studio d’enregistrement. Une grande salle sera consacrée au «wellness», avec des séances de fitness, yoga, body combat… Les amateurs de danse auront à leur disposition deux grands studios. Neuf salles seront dédiées au chant, à la musique et l’art dramatique. Les artistes auront aussi des coulisses et des loges pour se changer.
L’initiateur du projet est Fihr Kettani, un passionné de musique et de chant, issu d’une famille qui opère dans l’industrie depuis des décennies. Après plusieurs années passées aux Etats-Unis et en France, l’idée lui vient de fonder sa propre école des arts de la scène. Il lui faudra plusieurs années de réflexion pour faire aboutir son rêve.
Aujourd’hui, sa fierté est d’avoir réussi à réunir école et théâtre en un même lieu. «Le théâtre sera la scène de toutes les expérimentations artistiques. Les élèves, quel que soit leur âge et leur niveau, pourront s’exprimer sur scène, se produire, réaliser des performances individuelles ou collectives, devant leurs parents et amis, dans un objectif d’épanouissement personnel», assure-t-il.
Les 24, 25 et 26 septembre, des journées portes ouvertes sont prévues, en présence de tous les acteurs du projet. Ce sera l’occasion de découvrir l’endroit et d’assister aux différentes démonstrations et performances qui seront présentées par les professeurs.
Au théâtre, promet Kettani, une programmation diversifiée sera proposée, grâce à la collaboration avec Geneviève Dichamp, qui est directrice artistique du théâtre de St-Germain et organisatrice des Molières à Paris. Ainsi, de grands succès de la scène parisienne apporteront un souffle nouveau à la scène casablancaise. Sketches humoristiques, comédies et spectacles pour enfants… Il y en aura pour tous les goûts.
Pour les 3 à 6 ans, l’école comportera un «Petit Studio» d’éveil artistique et sensoriel, incluant chant, musique, danse, contes, arts plastiques, théâtre et gym. Cet éveil permettra d’initier et d’orienter ensuite les enfants vers leurs disciplines préférées.
Les professeurs et artistes viendront pour la plupart d’Europe. Citons entre autres le chanteur Nollane, qui sera directeur artistique et pédagogique du centre. L’acteur et scénariste David Barrouk sera pour sa part responsable de l’atelier théâtre. Le musicologue Vincent Gestermann a été nommé responsable des ateliers piano et violon. Le coach et préparateur sportif Brian Pasquenet prendra la charge du volet wellness. Les ateliers batterie, percussions, guitare et basse ont été confiés aux musiciens Joël Pellegrini et Jean-Marc de Giovanni. L’atelier danse sera encadré par Liviu Apetroaie, un danseur classique étoile.
Yasmina Bennani, passionnée de petite enfance et fondatrice de la crèche «Le Petit Train» à Casablanca, veillera à la bonne marche du Petit Studio. Enfin, Corinne Troisi, comédienne, réalisatrice, décoratrice de théâtre et artiste plasticienne, supervisera l’atelier arts plastiques.
Ils apporteront des méthodes pédagogiques modernes. Comme par exemple celles de l’Actor’s Studio et de Stanislavski pour le théâtre, celle de Richard Cross pour le chant, la méthode Pierrot pour la batterie, la méthode Les Mills…
Ce nouveau centre culturel privé ouvrira ses portes en plusieurs étapes, d’octobre à décembre. C’est l’école qui ouvrira ses portes en premier car les cours démarreront dès la première semaine d’octobre. Le théâtre, la galerie d’art et le restaurant seront opérationnels les semaines qui suivent.
Le montant de l’investissement est de 55 millions de DH, foncier compris. Un endettement de 20 millions a été nécessaire, le reste a été apporté en fonds propres.
Pour ce qui est des tarifs des cours, la fourchette est large, tout dépend de la discipline enseignée. Pour les activités les moins chères, le tarif est de 950 DH par trimestre. Pour les plus chères, comme les cours de théâtre par exemple, il faudra compter environ 3.500 DH le trimestre.

Nadia BELKHAYAT
L'économiste

bien donné a leur gueule de bedouins

Hassan el fed décortique notre culture et notre identité marocaine

La journée nationale du Maroc célébrée hier à Shangai
Visite 3D du pavillon marocain à l'exposition internationale de Shanghai qui se poursuit http://pavilion.expo.cn/c6116/ssize/en/index.html

franchement je trouve que c´est trop pour un theatre

Citation :

Plans for US$ 160 million Rabat Grand Theatre unveiled
Written by Helen Wright - 23 Nov 2010

The Bouregreg Valley Development Agency (BVDA) has unveiled plans to build a 27000 m2 theatre in Morocco's capital costing Moroccan Dirham (MAD) 1.35 billion, (US$ 160 million).
...

http://www.khl.com/magazines/international-construction/detail/item60014/Plans-for-US$-160-million-Rabat-Grand-Theatre-unveiled/

Yakuza a écrit:

franchement je trouve que c´est trop pour un theatre

Citation :

Plans for US$ 160 million Rabat Grand Theatre unveiled
Written by Helen Wright - 23 Nov 2010

The Bouregreg Valley Development Agency (BVDA) has unveiled plans to build a 27000 m2 theatre in Morocco's capital costing Moroccan Dirham (MAD) 1.35 billion, (US$ 160 million).
...

http://www.khl.com/magazines/international-construction/detail/item60014/Plans-for-US$-160-million-Rabat-Grand-Theatre-unveiled/

ce théâtre pour rabat c'est comme l'histoire du nouveau terrain de foot ball pour casa aucune utilité surtout qu'on en a un déjà et très réputer et deux trop d'argent dans ce projet on commence a jeter de l'argent par la fenêtre

sans aucune utitité ?! ... ==>

Moi ce qui me gêne le plus dans ce sympathique projet c'est la durée des travaux.... ( roulement de tambours ) 5 ANS les copains !! ... C'est honteux ! Quand on voit de quoi sont capable les chinois en 6 jours ( immeuble de 15 étages ).... La forme du théâtre est d'ailleurs à l'image de ses promoteurs... Des escargot géants

le design est inspiré je pense du nouveau Opéra de Dubai

Le vieux problème de nos élites dirigeantes, la forme compte plus que le fond
Encourager le théâtre au Maroc ? Oui, bien sûr. Construire des dizaines de petites salles, sans insister sur le luxe de l'apparence, et les mettre à la disposition des groupes de théâtre, associations culturelles et clubs de jeunes, pour qu'ils puissent y répéter et y faire de petites représentations, pour rapprocher la culture des citoyens, ou qu'ils soient, et leur redonner le goût d'aller assister à des représentations théâtrales, avec des billets bons marché. Car peu de frais d'amortissement et d'entretien des dizaines de petites salles édifiées par l'Etat.
Molière a commencé par faire des petites représentations dans les campagnes les plus reculées du Royaume de France, et de s'y faire un nom avec sa troupe, avant de monter sur Paris et d'y faire des représentations devant le Roy.
On ne met pas la charrue avant les boeufs
Mais nos décideurs savent pertinemment que personne ne viendra un jour leur demander ce qu'a rapporté, en terme d'impact, l’investissement dans la construction de tel ou tel édifice sur le domaine concerné. Car je peux vous assurer que jamais ce nouveau théâtre n'aura le moindre impact sur la diffusion de la culture du théâtre au Maroc. Trop grand, trop luxueux, pour un pays dont la tradition théâtrale est loin d'être bien assise. Normalement, un tel édifice doit venir couronner une tradition et une culture du théâtre dont la société est déjà bien imprégnée.

+ 1000 tu as tout dis samy

Les édifices de ce genre peuvent en fait développer un autre types de tourisme au Maroc, que je peux appeller le Tourisme culturelle ... Moi je ne trouve pas de problémes d'insister à l'apprence, une aussi riche culturellement comme Rabat doit avoir un théatre de luxe de ce genre ... théatre Med V c'est dépassé à mon avis !
Casablanca aura un théatre comme celui là ... et là je suis d'accord sur le principe, mais pas sur l'emplacement, faire un grand théatre dans l'un des plus beau espace de Casa
mais il est vrai que le developpement des établissements culturellent de proximité est réellement nécéssaire ... les salles des "Dar Shabab" n'arrivent pas à répondre à tous les besoins, surtout que les nouvelles générations s'intérésse beaucoup aux arts .. j'ai visité plusieurs emplacement au Maroc, et j'ai pu constater qu'il y a un grand nombre des groupes de théatre, de danse de musique etc, et qui n'ont pas les moyens pour travailler, pour faire des répititions ... donc les espaces publics comme les jardins ... restent leur direction favoris !
le plus intéréssant aussi, c'est que dans leur travaux, ils essayent de toujours de mettre des signes et des traces de la culture de leurs régions ... et donc mettre à jour la culture de la région ... ce qui fait que lors des festivales comme celui de Meknès, on peut facilement savoir d'ou vient ce groupe ou l'autre, en regardant juste les piéces qu'ils présentent !
Ces jeunes aussi, crée actuellement une révolution dans l'art théatrale marocain, qui a toujours était liée à la notion du comique ... et je crois que d'année aprés autre, il y a beaucoup de gens qui s'intéréssent à ceci !
Mais toujours il faut les encourager et les aider en fait ... et quand même on voit des jeunes qui travaillent durement même en absence des moyens ... comme des jeunes qui je l'ai vu à Nador qui font le théatre avec le language rifain, et ils ont même participé à des compétition nationals ....

d'un autre coté il y a le secteur cinéma, qui a connu une véritable avancé ces 10 derniéres années passant de 1.5/2 longue métrage en début des années 2000, à plus de 12 aujourd'hui, et des dizaines de court métrage ! en paralléle à ce changement, on a remarqué aussi qu'il y a de plus en plus de public qui va aux salles des cinéma, alors que pendant des dizaines d'années, il y avait une répture totale entre le public marocain et les salles, ce qui a causé la fermeture de nombreux salles partout dans le Maroc ( à Safi par exemple, on a plus de salles de cinéma !! ) ... On peut peut étre les reprocher les thémes traités, oui, mais l'essentiel c'est qu'il y a du changement vers le mieux !

Avec tous ceci, on remarque que même la culture artistique du Marocain, s'est beaucoup développé, au moins dans les grandes villes comme Casa et Rabat ... et donc avec ce changement, fallait préparer les infrastructure nécéssaire pour l'avenir qui promet des bons choses pour l'art et la culture marocain ! Mais Il faut aussi que le gouvernement accorde un budget plus important pour ce secteur, je crois que jusqu'à maintenant, le secteur culturelle et la recherche scientifique ont les plus bas des budgets ...!

Citation :

Snaât Bladi-Al Jil al Jadid : Le nouveau programme de 2M


La deuxième chaîne nationale 2M se veut fidèle à son engagement pour une télévision de proximité. Ainsi, après « Studio 2M », « Challengers » et « Grand prix 2M pour la création littéraire », la chaîne entame sa rentrée par Snaât Bladi-Al Jil al Jadid, un nouveau programme qui part à la découverte des jeunes talents dans l'artisanat marocain et les met au-devant de la scène.
Réalisée par 2M en partenariat avec le Secrétariat d'Etat auprès du ministère du Tourisme et de l'Artisanat, chargé de l'artisanat, le nouveau programme a pour objectif de promouvoir l'artisanat marocain et la créativité dans ce secteur, renforcer les compétences des artisans et d'encourager le transfert du savoir-faire des artisans marocains aux générations montantes.
Parmi les métiers représentés dans cette compétition figurent la menuiserie, la tapisserie, la ferronnerie d'art, la vannerie et la tannerie.
Ainsi, pendant sept semaines, 28 candidats sélectionnés (4 par catégories : bois, cuir, dinanderie, tapis, terre, vannerie et innovation) vont concourir en travaillant sur une œuvre artisanale, sous la direction de coachs (maâllams et designers). Chaque quinzaine, un candidat est éliminé pour qu’à l'issue des six premières semaines, il reste sept candidats qui seront invités à participer à la grande soirée de finale qui primera le lauréat.
Au cours de ces sept semaines, les téléspectateurs de 2M auront l'occasion de suivre l'évolution de technicité de ces futurs artisans, leurs travaux, les étapes de conception, mais également leurs personnalités, leurs forces ou faiblesses et leurs motivations.
Rappelons qu’une caravane composée de six maâllems et d’un designer a déjà sillonné neuf villes connues par leur production artisanale et la formation aux métiers de l'artisanat, à savoir Laâyoune, Agadir, Marrakech, Casablanca, Rabat, Meknès, Fès et Oujda où elle a sélectionné des candidats, âgés de 18 à 30 ans, qui participeront aux compétitions finales qui se dérouleront à «Dar Nejjarine» à Fès.

Samedi 18 Septembre 2010
Hicham Amer


Source :
http://www.libe.ma

interessant le concept

ravissante Susan en caftan

Citation :

Susan Sarandon stepped out to the 10th Marrakech Film Festival on Wednesday where she glammed it up in an embellished turquoise gown

http://www.huffingtonpost.com/2010/12/09/susan-sarandon-glams-it-u_n_794318.html

En caftan, Susan Sarandon pourrait passer pour une fassie ou une tangéroise

Citation :

قرر تأسيس مركز لأدب الرحلات في الدوحة
المؤتمر الدولي عن الرحالة العرب يكرم مترجمي رحلة "ابن بطوطة"
الجمعة 04 محرم 1432هـ - 10 ديسمبر 2010م



الدوحة- رويترز

كرم المؤتمر الدولي عن الرحالة العرب والمسلمين الذي استضافته الدوحة في ختام جلساته مساء الخميس 9-12-2010 مترجمي رحلة الرحالة العربي الأشهر شمس الدين محمد بن عبد الله الطنجي الشهير بابن بطوطة.

وترجمت رحلة ابن بطوطة "تحفة الأنظار في غرائب الأمصار وعجائب الأسفار" إلى حوالي 50 لغة آخرها الصينية وقام بها لي قوانجبين رئيس مركز ابن بطوطة لخدمة الترجمة والبحوث وعضو مجمع اللغة العربية بالقاهرة الذي كرمه المؤتمر مع المترجمين الإيراني محمد علي موحد والتركي عبد السعيد ايقوت.

كما كرم المؤتمر كلا من الكاتب السوداني صديق المجتبى ومن المغرب وزير الثقافة الأسبق محمد الأشعري وعبد الهادي التازي (89 عاماً) المؤرخ البارز المتخصص في علم ابن بطوطة إضافة إلى الرحالة والمخرج البريطاني تيم ماكنتوشسميث المقيم في اليمن منذ 20 عاماً والذي شارك في المؤتمر بفيلم تسجيلي يتقصى فيه رحلة ابن بطوطة من المغرب إلى الهند.

وقدم الدكتور حمد بن عبد العزيز الكواري وزير الثقافة والفنون والتراث في قطر للمكرمين تمثالا من البروز لابن بطوطة صممه النحات السوري المقيم في غرناطة عاصم

والمؤتمر الذي حمل عنوان "العرب بين البحر والصحراء" استمر أربعة أيام بمشاركة نحو 85 باحثاً من العرب والأجانب المهتمين بأدب الرحلة العربية في ألف عام.

وعقد المؤتمر بالتعاون بين "الحي الثقافي" في الدوحة و"المركز العربي للأدب الجغرافي ..ارتياد الآفاق" الذي يديره الشاعر السوري نوري الجراح.

وقرأ الجراح توصيات المؤتمر وتضمنت تأسيس مركز لأدب الرحلة في "الحي الثقافي" بالدوحة بالتنسيق مع "المركز العربي للأدب الجغرافي" يحمل اسم "ابن ماجد"، البحار والجغرافي المنتمي الى الجزيرة العربية وإقامة متحف لتراث رحلات العرب في البحر والصحراء وادراج أدب الرحلة ضمن تخصصات جامعة قطر وغيرها من الجامعات العربية، والاهتمام بالدراسات عن الملاحة العربية والإسلامية عبر العصور في عالم المحيطات والبحار.

http://www.alarabiya.net/articles/2010/12/10/129064.html

Citation :

Les écrivains Mohamed Achaari et Abdelhadi Tazi honorés à la Conférence sur la littérature arabe du voyage à Doha
Doha, 10/12/10- M. Mohamed Achaari, poète et ancien ministre de la Culture, et M Abdalhadi Tazi, écrivain-chercheur et membre de l'Académie du Royaume du Maroc, ont été honorés lors de la cérémonie de clôture, jeudi soir à Doha, de la septième conférence sur la littérature arabe et musulmane du voyage.

Les deux intellectuels marocains ont reçu chacun des mains du ministre qatari de la Culture, Hamad Al-Kowari, un buste en bronze d'Ibn Battouta en hommage à leur contribution respective à la promotion de la littérature arabe et musulmane du voyage.

Les organisateurs ont souligné le rôle qu'a joué l'écrivain et poète M. Achaari, lorsqu'il était ministre, pour l'organisation de l'une de leurs conférences au Maroc ainsi que sa contribution à cette septième édition à Doha.

Pour sa part, le professeur Abdelhadi Tazi, qui a été la véritable vedette de la conférence à travers ses interventions sur Ibn Battouta, a été récompensé pour son inestimable contribution le long des dernières décennies à l'enrichissement des connaissances sur le grand et célèbre voyageur marocain.

Plusieurs autres personnalités scientifiques et littéraires ont été honorés, dont l'ancien ambassadeur chinois Li Guanbin, auteur d'une illustre traduction d'Ibn Battouta, l'écrivain et journaliste britannique Tim McIntosh Smith, auteur d'ouvrages et de films sur Ibn Battouta, ou encore le chercheur iranien Mohamed Ahmed Mowahidi.

Par ailleurs, 13 Prix Ibn Battouta ont été décernés à des chercheurs pour leur travaux dans les domaines de la littérature du voyage, dont trois marocains.

La Conférence a émis des recommandations appelant notamment à la création d'un Centre de Littérature du voyage au Village culturel "Katara" de Doha, qui a accueilli la rencontre, la promotion d'études sur les voyageurs orientaux vers l'Occident islamique et l'élargissement de la commission de sélection des travaux de recherche.

Tenue pendant quatre jours avec la participation d'une centaine de scientifiques et de chercheurs venus d'Afrique du Nord, du Moyen Orient, de Turquie, d'Iran et de Chine, la rencontre a été organisée par l'espace culturel "Katara" et le Centre arabe de Littérature de voyage basé à Abou Dhabi et à Londres.

A cette occasion, ce centre a exposé une vingtaine de nouveaux ouvrages et distribué des dizaines d'exemplaires de quelque 200 autres traitant tous de la littérature arabe et musulmane du voyage
Dernière modification 10/12/2010 09:38.
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Yakuza a écrit:

ravissante Susan en caftan

Citation :

Susan Sarandon stepped out to the 10th Marrakech Film Festival on Wednesday where she glammed it up in an embellished turquoise gown

http://www.huffingtonpost.com/2010/12/09/susan-sarandon-glams-it-u_n_794318.html

Quelle ****** ! Cette atrice inconnue, doit pour moi etre interdite d'entrée au Maroc.

Citation :

Susan Sarandon interdite aux Marocains


Lors de la dixième édition du Festival International du Film de Marrakech, les journalistes marocains auraient été interdits d’approcher l’actrice américaine Susan Sarandon.


La star hollywoodienne, qui a assisté aux derniers jours du festival n’a pas non plus souhaité donner de conférence de presse.

Les organisateurs se seraient donc contentés de programmer quelques rencontres entre Susan Surandon et des journalistes étrangers, pour la plupart français, dans l’hôtel où elle résidait

Je crois rien. Ce n'est que de l'intox... et si vous me permettez, emanant d'une mentalite' complexe' et tiersmondiste.

j'avais lu quelque part qu'elle avait été l'invitée d'une emission de radio, je vais essayer de retrouver la source. Sarondon est une grande actrice, plutot connue pour être aimable, je pense pas que le refus de recevoir les journalistes soient du fait qu'ils soient marocains!

on en a deja parlé 1000 fois Younes,depuis quand bladi.net est une source
c´est des amateurs qui n´ont rien a faire avec le journalisme