Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| notre Culture. | |
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Auteur | Message |
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Yakouza Invité
| Sujet: notre Culture. Dim 25 Mai 2008 - 13:45 | |
| Rappel du premier message :franchement bravo - Citation :
Festival Mawazine : remise d'un don royal en guise d'encouragement à des jeunes musiciens marocains
Rabat, 25/05/08 - La 7-ème édition du festival Mawazine-Rythmes du monde, organisée du 16 au 24 mai à Rabat, sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, a été couronnée par la remise d'un don royal à des jeunes créateurs marocains dans le domaine de la musique et de la chanson.
"SM le Roi Mohammed VI, qui entoure de Sa haute sollicitude les artistes et le monde de l'art, a bien voulu ordonner l'octroi d'un don en guise d'encouragement aux jeunes groupes prometteurs ayant hissé leurs productions au rang de la créativité", a annoncé le directeur artistique du festival, M. Aziz Daki, dans une allocution lors de la cérémonie de clôture de cette manifestation, tenue samedi soir au quartier Annahda à Rabat.
Ce don illustre l'intérêt que porte le Souverain à la promotion de l'art et des artistes, a souligné M. Daki, affirmant que conformément aux Hautes orientations Royales, l'Association "Maroc Cultures" a accordé une attention toute particulière aux groupes de jeunes lors de cette 7ème édition du festival et veillé à leur assurer une présence remarquable aux plans aussi bien de la qualité que du niveau de participation.
Il a expliqué que le don Royal bénéficie à trois catégories de troupes, à savoir les jeunes artistes qui comptent à leur actif un important parcours au service de l'art, ceux en début de carrière ainsi que les lauréats du concours Génération Mawazine.
Cette généreuse initiative Royale sera un stimulant pour les jeunes à davantage de créativité en matière de musique et de chanson, avec l'ambition de permettre à l'art marocain d'atteindre le stade du professionnalisme et de s'illustrer sur la scène internationale.
Ont profité de ce don les troupes H-Kayne, Darga, Hoba Hoba Spirit, Mazagan et l'artiste Joudia, en plus des lauréats du concours Génération Mawazine 2007, en l'occurrence May Ara-Fusion, Hakmin et The Stunt Boys.
Pour sa part, le président directeur général de la société nationale de Radiodiffusion et de Télévision (SNRT), a indiqué que sur ordre de SM le Roi Mohammed VI, la société procédera à la production d'albums ou de clips vidéo pour les artistes ayant bénéficié du don Royal.
A cette occasion, les jeunes artistes bénéficiaires du don Royal ont exprimé leurs remerciements et leur gratitude au Souverain pour cette Haute initiative en faveur des jeunes talents. |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Mer 27 Aoû 2008 - 23:35 | |
| - CIVIL a écrit:
- moro a écrit:
- Sans vouloir polémiquer et réouvrir ici une discussion qui a déja eu lieu, faut juste faire la part des choses et ne pas être trop proarabisation ou trop contre... Faut pas oublier que la langue arabe est la langue de l'islam et est indispensable pour la pratique, donc en privé une population musulmane c'est tout simplement impossible. ce qui fait que chakel wa li3rab wala bouda menhoum.
après je suis d'accord qu'il faut privilégié un peu plus notre langue darija dans les autres domaines (ciné, télé, radio,etc...) pour que ce soit plus représentatif et que ça parle mieux à la population car le "3tini mafatihe sayara" ne rime à rien dans un film marocain. prenons le cas du senegal qui a une multitide de dialectes et ou la langue oficielle est le francais enseignée a l'ecole,n'empeche que les senegalais sont tous musulmans sunnites malekites comme nous,ils pratiquent la religion et sont meme Tijanis ou alors Mourides... tu as raison civile dire que la langue arabe est la langue de l'islam alors il faut la parle ça n'a rien de vrai prenons le cas de la turkie ou de l'iran ou de la malaisie ........ la turkie et l'iran aussi parlaient l'arabe mais apres les revolutions ils ont choisie de pratiquer leurs langues maternelle et je trouve que c'est tres efficace |
| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: notre Culture. Mer 27 Aoû 2008 - 23:46 | |
| Ils apprennent bien l'arabe pour pouvoir réciter le coran ces gens la, les turcs les perses et les autres pays asiatiques et européens, oui la liste est longue des pays musulmans non arabes... et pourtant ils apprennent bien à lire l'arabe pour pouvoir lire le coran, des fois aussi c'est fait phonétiquement... Mais tous ces gens disent "bismillah irahmane irahime" avant le début de chaque sourate et non son équivalent en wolof. Encore une fois, faut trouver le juste milieu, l'enseignement: - de l'arabe classique est indispensable pour la religion, (Je dis ça mais perso je suis pour la laïcité mais bon c'est un autre sujet) - et la "langue marocaine" dans toutes ses composantes pour la culture. Et je suis d'accord pour sortir de cette emprise de la télé "ya 3ini ya lili" à l'égyptienne et moyenne orientale chez nous | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Jeu 28 Aoû 2008 - 0:12 | |
| - CIVIL a écrit:
- c'est pour ca que je suis un partisant de la darija comme langue officielle et de la langue francaise la seule a devoir etre enseignée a l'ecole,l'arabe litteraire on nous l'a inculquée a grands coups de poings dans le crane,nous etions obligés de recopier a 6 ans des tableaux entiers,se tapper les assalibs,acchakl etc pour des eleves parlant soit la darija chez eux soit le berbere,les emissions qui marchent le mieux sont hiwar,oussar wa houloul,moubacharatan ma3akoum comme par hasard en darija,les autres emissions en fosseha on baille ou on zappe,les radios privées regionales en amazighs et darija ont la cote,depuis leur avenement,rares sont ceux qui se branchent sur les stations "classiques"les gens veulent du national,retrouver leur langues et ne pas se sentir etrangers chez eux avec l'arabe classique.
pour le cinema marocain,on ne sait absolument pas faire rire ni raconter une histoire,les films sont sinistres sauf bandia et encore,on se lasse vite et jure ne plus regarder un film marocain,heureusement que des actrices comme fatima khir ou samia akario sont belles et tiennent en haleine leurs admirateurs. et pourquoi le rap fait des ravages au maroc |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Jeu 28 Aoû 2008 - 0:30 | |
| les marocains ont en marre de l´arabe dans les medias,ils preferent les Pub en darija,les pieces en darija,les films dariji sont malheureusement rares...moi a force des deceptions je ne vois plus de films,car ca me parrait etrange pour moi des marocains qui parlent arabe classique(anta li qtalti da7ia,a3tini mafatih siyara... ) on en a marre merde |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Jeu 28 Aoû 2008 - 1:03 | |
| je ne sais pas ce que vous avez presque tous contre L'ARABE c la langue du coran a 3ibad allah. Et puis notre darija c quoi c de l'arabe modifier. Les français parlent-ils le français de moliére et ben non et les américain ne parlent pas l'anglais non plus et aucun pays du moyen orient ne parle l'arabe littéral mais ils ont tous leus darija a eux.
tous les pays ont leurs langue dialéctale mais le noyeau reste tjr le meme. comme chez nous c l'arabe. La langue arabe n'annhile en aucun cas notre culture amazigh alors arrété de vous en prendre a elle. Et en ce qui concerne laflam lmessriya et ben désolé pour vous les gars mais la grande majorité mes marocains aiment ce cinéma et leurs omni-présence sur nos téle et les autres télé du moyen orient c la puissance de leurs industrie cinématographique au contraire de la notre. |
| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: notre Culture. Jeu 28 Aoû 2008 - 1:10 | |
| - Citation :
- Et en ce qui concerne laflam lmessriya et ben désolé pour vous les gars mais la grande majorité mes marocains aiment ce cinéma et leurs omni-présence sur nos téle et les autres télé du moyen orient c la puissance de leurs industrie cinématographique au contraire de la notre
Ils aiment ce cinéma parce qu'il n'y a pas d'alternative, le jour ou toutes les séries marocaines et que tous les téléfilms (car dans les films on commence a voir du progrès) reflèteront vraiment la société marocaine de façon à ce que ce soit représentatif à ce moment là on sortira de cette suprématie égyptienne. - Citation :
- les marocains ont en marre de l´arabe dans les medias,ils preferent les Pub en darija,les pieces en darija,les films dariji sont malheureusement rares...moi a force des deceptions je ne vois plus de films,car ca me parrait etrange pour moi des marocains qui parlent arabe classique(anta li qtalti da7ia,a3tini mafatih siyara... confused )
on en a marre merde La dessus on est tous d'accord mais au delà à demander la suppression de l'enseignement de la langue... quand même pas. - Citation :
- et pourquoi le rap fait des ravages au maroc
Tout simplement parceque ça reflète notre langage de tous les jours. Dans une interview de Bigg on lui a demandé: "pourquoi vous déployez un langage khasser dans vos chansons" il a répondu " je parle le langage du marocain qui parle hors caméra, ni plus ni moins" Hada houa lblane. Aller big up | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Jeu 28 Aoû 2008 - 12:38 | |
| - Citation :
- La negafa une spécialité venue du Maroc
La negafa ou l’habilleuse de la mariée est une spécialité venue du Maroc et commence à prendre racine en Algérie. jeudi 28 août 2008.
Une nouvelle pratique est apparue en Algérie lors des fêtes de mariage depuis 3 ans : la "Negafa", ou l’habilleuse de la mariée avec son décor traditionnel, ses tenues et ses bijoux. Elle propose, selon les bourses des familles, ses robes et tenues traditionnelles à la mariée, au marié, au circoncis et même aux invités. Selon la direction d’une salle de fêtes sise à Bir El-Djir (Oran) de plus en plus de femmes proposent leurs services de neggafate en Algérie à l’instar de ce qui se fait au Maroc et en Tunisie. « Ces femmes travaillent avec des jeunes qui dansent vêtues d’habits traditionnels en soulevant la mariée et en faisant des tours dans la salle. Elles proposent des tenues traditionnelles marocaines », explique-t-elle. « Nous proposons, outre la salle principale, une autre grande salle pour les hommes, des cuisiniers, un jardin pour le dîner du couple. Mais ce sont les familles qui ramènent leurs neggafate. Même certains clients nous demandent de plus en plus cette nouvelle tendance marocaine », ajoute-t-elle.
Il faut dire que les neggafate (pluriel de Negafa), une spécialité venue du Maroc, deviennent un véritable phénomène en Algérie et en France. Elles proposent leurs services par des annonces sur Internet avec un large choix. Vous avez la negafa algérienne, tunisienne ou marocaine. L’affaire est rentable puisque le coût d’une neggafa est à pas moins de 20 000 DA selon les tenues, la durée et les tours de danses. A signaler aussi que nos mariées ont souvent recours à la neggafa marocaine. « J’ai assisté à Bou Ismaïl à ce type de tradition qui est très beau à voir et nouveau chez nous. On les appelle les refadate », témoigne Selma qui se marie avant la fin de l’année mais qui affirme qu’elle ne sollicitera pas cette tradition. « Je n’en ai pas les moyens. Je vais louer mes robes le jour de la cérémonie de mariage », assure-t-elle.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après Info Soir |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Jeu 30 Oct 2008 - 22:34 | |
| - Citation :
- Les juifs marocains : citoyens à part entière
La présence juive au Maroc remonte aux temps les plus anciens. Arrivés avec les Carthaginois et les Phéniciens en Afrique du Nord dès le IVe siècle avant J.C, plusieurs familles juives s’installèrent au Maroc et s’adonnèrent à des activités commerciales. S’intégrant facilement aux populations locales, les juifs devenaient les meilleurs intermédiaires et interprètes entre les indigènes et les Etrangers qui se sont succédé dans la région et notamment avec les Romains implantés à Tinjis(Tanger), Volubilis (environ de Meknès), Chellah (Salé). Des inscriptions funéraires en hébreu remontant au IIe siècle avant J.C, ont été découvertes à Volubilis et à Tinjis. Après la destruction du Temple de Jérusalem en 571 avant J.C, d’autres juifs ont fui le proche Orient et sont venus s’établir en Afrique du Nord et notamment au sud du Maroc et au Moyen Atlas où ils pratiquaient le commerce de l’or et du sel. Bien sûr, la vie de cette population juive qui n’a pas toujours été sans problèmes, a connu une alternance de périodes de prospérité, comme avec les Romains et les Vandales, et des années d’infortune avec les Byzantins qui les auraient persécutés et dépossédés de leurs biens. LA SITUATION DES JUIFS AU MAROC
Après l’arrivée des Arabes Les premières expéditions arabes, conduites par Oqba ben Nafii, arrivèrent au Maroc en 682. Au début des années 700(705 selon certains historiens) la conquête du Maghreb el Aksa (le Maroc actuel) allait se faire avec Moussa ibn Noussaïr et Tarik ibn Zaydan et ce, après des batailles plus ou moins âpres, avec les berbères autochtones. Avec la conquête commença l’islamisation des habitants, ce qui fut fait, semble-t-il, sans grande difficulté, les indigènes ayant adhéré en masse à la nouvelle religion. Pour d’autres auteurs, les berbères ont embrassé l’islam pour éviter d’être réduits à l’esclavage. Qu’en est-il maintenant des juifs et des chrétiens fixés depuis déjà très longtemps dans la région ? Le cas des autres religions du Livre s’était posé bien avant dans les pays du Proche et du Moyen Orient. Les nouveaux gouvernants arabes leur avaient laissé le choix d’adhérer à l’Islam ou de garder leur religion, en étant soumis au kharaj, un impôt auquel étaient astreints les non musulmans, redevance supprimée d’ailleurs depuis longtemps. La juifs installés au Maroc l’étaient et le sont de père en fils, depuis maintenant presque 2000 ans. Complètement intégrés aux populations et aux tribus berbères, ils en avaient adopté la langue, les habitudes et les modes de vie, bien entendu tout en gardant jalousement leurs propres coutumes ancestrales et leurs pratiques religieuses. Comme tous les autres habitants, ils s’adonnaient à diverses activités économiques : agriculture, élevage, commerce, petits métiers. Mais avec le temps et la succession de plusieurs dynasties, aux hautes instances de l’Etat, avec les heurts que cela entraînait entre gouvernants et gouvernés, les juifs ont commencé à se regrouper dans les centres urbains et à vivre en communauté, pour mieux être à l’abri. Au IXe siècle, le roi Idriss II rassembla les juifs dans un quartier, appelé Mellah, entouré de hauts murs pour les protéger d’éventuelles violences des arabes. Depuis, d’autres Mellahs ont été édifiés dans les principales villes marocaines. A noter cependant que seuls les juifs de modeste condition résidaient en ces lieux. LES JUIFS COMME LES MUSULMANS
Citoyens égaux
La communauté juive du Maroc qui comptait environ 300.000 âmes dans la première moitié du siècle précédent, a de tout temps, bénéficié de la plus grande bienveillance des souverains chérifiens qui considéraient les juifs comme des citoyens marocains, au même titre que tous les autres habitants du Royaume. Cette sollicitude à l’égard des juifs a atteint son sommet avec le roi Mohammed V qui, durant la deuxième guerre mondiale et bien que se trouvant à la tête d’un royaume placé sous protectorat français, a pesé de tout son poids pour protéger ses sujets juifs des persécutions des Allemands nazis. En effet, Philippe NOGUES, alors résident général de la France au Maroc, s’étant allié au Régime de Vichy, a signé l’armistice avec l’Allemagne hitlérienne et épousé ses thèses raciales, acceptant ainsi la déportation des juifs marocains dans des camps de concentration, décision que le Roi Mohammed V a repoussé et déployé toute sa perspicacité pour expliquer que ses sujets ne devaient pas être distingués par leurs race ou religion mais par leur seule qualité de Marocains, et, en tant que tels, aucun de ses sujets ne devait être inquiété. Robert Satloff, auteur d’un livre sur les persécutions juives pendant la deuxième guerre mondiale, écrit dans un article, paru dans le Washington Post qu’il « milite pour la reconnaissance officielle de ces héros arabes de l’holocauste qui, anonymes ou connus comme MOHAMMED V, méritent d’être inscrits parmi les justes des nations pour avoir ouvert le cœur aux juifs durant les persécutions nazies ». Apres l’indépendance du Maroc, le premier gouvernement du pays comportait parmi ses membres, un ministre de confession juive, en la personne de Léon Benzaquen, nommé au département des PTT. En plus de Serge Berdugo nommé ministre du Tourisme sous le règne d’Hassan II, un grand nombre de juifs occupent encore aujourd’hui de hautes fonctions dans l’administration marocaine, sans parler d’André Azoulay, conseiller auprès, successivement des Rois Hassan II et son fils Mohammed VI. Après la naissance de l’Etat hébreu en 1948 et les conflits armés entre Israël et ses voisins arabes, un grand nombre de juifs, ayant pris peur ou victimes de propagandes, ont quitté le Maroc pour se rendre au nouvel Etat ou pour s’installer en Europe, aux USA et au Canada. Cet exode se fit en plusieurs étapes et notamment entre les années 1950 et 1960. PARTIS, MAIS RESTES FIDELES A LEUR MAROCANITE
Qu’ils soient aujourd’hui en Amérique, en Europe ou en Israël, les juifs marocains n’ont pas cessé, pour la plupart, de vivre comme à Casablanca et à Fès : cuisine marocaine, musique marocaine, dialecte marocain. Un grand nombre parmi eux continuent de venir ou d’envoyer leurs enfants au Royaume, une sorte de pèlerinage à des lieux qu’ils ont tellement aimés et auxquels ils sont restés fidèlement attachés. La colonie marocaine des juifs d’Israël compte parmi les plus importantes de l’Etat hébreux. Ils ont emporté avec eux leurs habitudes et leur folklore. A l’occasion d’une fête familiale, tout le monde a l’impression de se trouver encore au Maroc. Cette nostalgie de leur pays natal s’explique aussi par les liens étroits qui ont toujours existé entre juifs et marocains qui ont longtemps vécu dans une totale symbiose, souvent associés dans un commerce ou voisins de palier. Des femmes musulmanes et juives, voisines ou habitant la même maison, donnaient leurs seins aux bébés, l’une de l’autre, chaque fois que l’une d’elles s’absentait. Que d’enfants juifs et musulmans sont aujourd’hui frères et sœurs de lait sans le savoir. Cela n’existe dans aucun autre pays au monde. Disons enfin que beaucoup de marocains qui se sont rendus au Canada ou aux Etats-Unis ont été surpris et émus par l’accueil chaleureux et fraternel des Israelites d’origine marocaine, résidant dans ces pays, auprès desquels ils disent avoir senti une sincère et profonde affection à leur égard.
http://www.medium4you.be/Les-juifs-marocains-citoyens-a.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Jeu 30 Oct 2008 - 22:41 | |
| - Citation :
- e-militantisme pour l'architecture
Militer en faveur de l’architecture contemporaine marocaine est le souci majeur des architectes qui alimentent le site aMush.org. Lequel est, selon ses initiateurs, «un portail pour débattre de l'architecture, du design, de l'urbanisme». «Pour prétendre à la maturité, l'architecture d'aujourd'hui au Maroc se doit désormais de passer par un renouveau qui se démarque du néo-traditionalisme mais aussi de la parodie d'un langage occidentalisant sans aucune relation avec la culture locale», estime l’architecte Younes Diouri.
«aMush» aspire à rassembler architectes, urbanistes, designers, artistes ou tout simplement des personnes intéressées par le sujet pour échanger des idées nouvelles, débattre sur l'avenir, partager travaux, concepts, transmettre des expériences qui puissent participer à l'élaboration d'une vision contemporaine de l'architecture marocaine. http://www.lereporter.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=768:e-militantisme-pour-larchitecture&catid=87:multimedia&Itemid=271 pour les interesses http://www.amush.org/
Dernière édition par tomcat le Ven 31 Oct 2008 - 1:41, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Ven 31 Oct 2008 - 0:48 | |
| ça fait plaisir de voir que d'autres ont ressenti la même chose que nous face à certains projets... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Ven 31 Oct 2008 - 12:02 | |
| Erf c'est aljairiens, il faut qu'ils nous volent tout, les caftans, les habits tradionnels, les salons Marocains faut dire qu'ils ont rien... mais c'est pas une raison ! pareil pour les tunisiens, qui font Zarma eux aussi ils ont le tajine... le tajine c'est et ça restera Marocain, on est une grande nation avec une grande histoire on fait des envieux |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Ven 31 Oct 2008 - 22:05 | |
| - Elyaslawi a écrit:
- Erf c'est aljairiens, il faut qu'ils nous volent tout, les caftans, les habits tradionnels, les salons Marocains faut dire qu'ils ont rien... mais c'est pas une raison !
pareil pour les tunisiens, qui font Zarma eux aussi ils ont le tajine... le tajine c'est et ça restera Marocain, on est une grande nation avec une grande histoire on fait des envieux C'est une blague? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Dim 2 Nov 2008 - 17:34 | |
| - Romeoh a écrit:
- Elyaslawi a écrit:
- Erf c'est aljairiens, il faut qu'ils nous volent tout, les caftans, les habits tradionnels, les salons Marocains faut dire qu'ils ont rien... mais c'est pas une raison !
pareil pour les tunisiens, qui font Zarma eux aussi ils ont le tajine... le tajine c'est et ça restera Marocain, on est une grande nation avec une grande histoire on fait des envieux C'est une blague? J'aimerais bien, mais non c'est la réalité... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Dim 2 Nov 2008 - 17:40 | |
| Il ne faut pas exagérer, c'est pas parce que notre culture existe que les autres n'en ont pas, il faut réfléchir un peu quand même, surtout qu'on partage de nombreux aspects de notre culture avec les algeriens et les tunisiens. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Mar 27 Jan 2009 - 17:11 | |
| on veut ce film les gars,qui peut nous le poster? - Citation :
- "Casanegra", film-vérité sur Casablanca, dévoile la face sombre du Maroc
LE MONDE | 27.01.09 | 14h48
Violence, langage cru, sexe... Jamais un film marocain n'aura été si loin. Casanegra, le second long métrage du réalisateur Noureddine Lakhmari, 44 ans, est en passe de devenir un phénomène de société au Maroc. Dans les quatre villes - Casablanca, Rabat, Tanger et Marrakech - où le film est projeté depuis le 24 décembre 2008, les salles affichent souvent complet. Jeunes, vieux, riches, pauvres, femmes voilées ou en jean, affluent en masse.
L'histoire met en scène deux jeunes chômeurs, des paumés d'une vingtaine d'années, qui vivent de petites combines et rêvent d'Europe, d'argent et de sexe. Mais le personnage principal du film, c'est Casablanca et son centre-ville de style art déco, vestige de l'époque coloniale.
Casanegra se joue de Casa la Blanche et en dévoile les bas-fonds, la nuit surtout. L'envers du décor, c'est une ville poisseuse, sale, dure, qui porte l'énergie bouillonnante du désespoir. Ce sont les exclus du boom économique vanté par les élites. C'est la colère, la violence physique et verbale de ceux qui défendent leurs territoires. Le langage utilisé est la darija, l'arabe dialectal marocain, mais dans sa version la plus populaire.
Reflet des amours déçus et des rêves brisés, Casanegra n'est pas tendre pour ses enfants. Avec ce film hyperréaliste, interdit aux moins de 12 ans, Noureddine Lakhmari fait exploser de nombreux tabous : alcool, drogue, homosexualité, prostitution, femmes battues, enfants des rues, masturbation... "Je n'ai rien inventé. Mon film est un miroir de la société marocaine. Je montre le Maroc tel qu'il est, non tel qu'on veut nous faire croire qu'il est, explique Noureddine Lakhmari. La violence et l'injustice sociale sont universelles. Cessons d'être hypocrites et admettons qu'on les trouve aussi chez nous."
"UNE THÉRAPIE DE CHOC"
Réalisé avec l'aide de l'Etat, via le Centre cinématographique marocain, Casanegra n'a pas, jusqu'à présent, déclenché de vive polémique, même si les conservateurs et les religieux ont déploré "sa violence et sa grossièreté". Abdelillah Benkirane, secrétaire général du parti islamiste Justice et développement, l'a critiqué, tout en reconnaissant ne pas l'avoir vu. "(Ce film) s'inscrit dans une série qui encourage la débauche et le sionisme", a-t-il déclaré à la télévision.
L'hebdomadaire francophone marocain Tel Quel, lui, a salué Casanegra et lui a même consacré sa couverture, son éditorial et pas moins de sept pages.
"Le modèle que propose ce film n'est pas celui d'une société amorale mais d'une société qui admet sa part d'amoralité. Donc qui n'a plus peur d'elle-même", estime Ahmed Benchmesi, le jeune directeur de Tel Quel. Pour lui, Casanegra fait office de "thérapie de choc" pour "ouvrir les yeux des Marocains et secouer les certitudes ouatées dans lesquelles la propagande officielle tente de les enfermer depuis un demi-siècle".
Pour la jeunesse, Casanegra est en effet un bol d'oxygène, en partie issu du mouvement culturel Nayda ("ça bouge"). Ce mouvement alternatif, né en 2003, explose littéralement depuis deux ans. Un documentaire, Casanayda, réalisé par Dominique Caubet, une professeure d'arabe maghrébin aux Langues orientales à Paris, vient d'ailleurs de lui être consacré.
Florence Beaugé |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Mar 27 Jan 2009 - 18:10 | |
| - yakousa a écrit:
- on veut ce film les gars,qui peut nous le poster?
- Citation :
- "Casanegra", film-vérité sur Casablanca, dévoile la face sombre du Maroc
LE MONDE | 27.01.09 | 14h48
Violence, langage cru, sexe... Jamais un film marocain n'aura été si loin. Casanegra, le second long métrage du réalisateur Noureddine Lakhmari, 44 ans, est en passe de devenir un phénomène de société au Maroc. Dans les quatre villes - Casablanca, Rabat, Tanger et Marrakech - où le film est projeté depuis le 24 décembre 2008, les salles affichent souvent complet. Jeunes, vieux, riches, pauvres, femmes voilées ou en jean, affluent en masse.
L'histoire met en scène deux jeunes chômeurs, des paumés d'une vingtaine d'années, qui vivent de petites combines et rêvent d'Europe, d'argent et de sexe. Mais le personnage principal du film, c'est Casablanca et son centre-ville de style art déco, vestige de l'époque coloniale.
Casanegra se joue de Casa la Blanche et en dévoile les bas-fonds, la nuit surtout. L'envers du décor, c'est une ville poisseuse, sale, dure, qui porte l'énergie bouillonnante du désespoir. Ce sont les exclus du boom économique vanté par les élites. C'est la colère, la violence physique et verbale de ceux qui défendent leurs territoires. Le langage utilisé est la darija, l'arabe dialectal marocain, mais dans sa version la plus populaire.
Reflet des amours déçus et des rêves brisés, Casanegra n'est pas tendre pour ses enfants. Avec ce film hyperréaliste, interdit aux moins de 12 ans, Noureddine Lakhmari fait exploser de nombreux tabous : alcool, drogue, homosexualité, prostitution, femmes battues, enfants des rues, masturbation... "Je n'ai rien inventé. Mon film est un miroir de la société marocaine. Je montre le Maroc tel qu'il est, non tel qu'on veut nous faire croire qu'il est, explique Noureddine Lakhmari. La violence et l'injustice sociale sont universelles. Cessons d'être hypocrites et admettons qu'on les trouve aussi chez nous."
"UNE THÉRAPIE DE CHOC"
Réalisé avec l'aide de l'Etat, via le Centre cinématographique marocain, Casanegra n'a pas, jusqu'à présent, déclenché de vive polémique, même si les conservateurs et les religieux ont déploré "sa violence et sa grossièreté". Abdelillah Benkirane, secrétaire général du parti islamiste Justice et développement, l'a critiqué, tout en reconnaissant ne pas l'avoir vu. "(Ce film) s'inscrit dans une série qui encourage la débauche et le sionisme", a-t-il déclaré à la télévision.
L'hebdomadaire francophone marocain Tel Quel, lui, a salué Casanegra et lui a même consacré sa couverture, son éditorial et pas moins de sept pages.
"Le modèle que propose ce film n'est pas celui d'une société amorale mais d'une société qui admet sa part d'amoralité. Donc qui n'a plus peur d'elle-même", estime Ahmed Benchmesi, le jeune directeur de Tel Quel. Pour lui, Casanegra fait office de "thérapie de choc" pour "ouvrir les yeux des Marocains et secouer les certitudes ouatées dans lesquelles la propagande officielle tente de les enfermer depuis un demi-siècle".
Pour la jeunesse, Casanegra est en effet un bol d'oxygène, en partie issu du mouvement culturel Nayda ("ça bouge"). Ce mouvement alternatif, né en 2003, explose littéralement depuis deux ans. Un documentaire, Casanayda, réalisé par Dominique Caubet, une professeure d'arabe maghrébin aux Langues orientales à Paris, vient d'ailleurs de lui être consacré.
Florence Beaugé ça fait une semaine que je le cherche rien sur le net j'espere que d'autres seront plus chanceux il a l'air d'un bon film la bande annonce https://www.youtube.com/watch?v=Ym6ojpPrwRM |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: notre Culture. Lun 16 Fév 2009 - 23:22 | |
| bonsoir j'ai une question
quelqu'un peut-il me dire de quel ethnie sont les habitants de Kasbat Tadla au Centre du Maroc | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Lun 16 Fév 2009 - 23:44 | |
| des berberes et des sahraouis |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: notre Culture. Lun 16 Fév 2009 - 23:54 | |
| - tomcat a écrit:
- yakousa a écrit:
- on veut ce film les gars,qui peut nous le poster?
- Citation :
- "Casanegra", film-vérité sur Casablanca, dévoile la face sombre du Maroc
LE MONDE | 27.01.09 | 14h48
Violence, langage cru, sexe... Jamais un film marocain n'aura été si loin. Casanegra, le second long métrage du réalisateur Noureddine Lakhmari, 44 ans, est en passe de devenir un phénomène de société au Maroc. Dans les quatre villes - Casablanca, Rabat, Tanger et Marrakech - où le film est projeté depuis le 24 décembre 2008, les salles affichent souvent complet. Jeunes, vieux, riches, pauvres, femmes voilées ou en jean, affluent en masse.
L'histoire met en scène deux jeunes chômeurs, des paumés d'une vingtaine d'années, qui vivent de petites combines et rêvent d'Europe, d'argent et de sexe. Mais le personnage principal du film, c'est Casablanca et son centre-ville de style art déco, vestige de l'époque coloniale.
Casanegra se joue de Casa la Blanche et en dévoile les bas-fonds, la nuit surtout. L'envers du décor, c'est une ville poisseuse, sale, dure, qui porte l'énergie bouillonnante du désespoir. Ce sont les exclus du boom économique vanté par les élites. C'est la colère, la violence physique et verbale de ceux qui défendent leurs territoires. Le langage utilisé est la darija, l'arabe dialectal marocain, mais dans sa version la plus populaire.
Reflet des amours déçus et des rêves brisés, Casanegra n'est pas tendre pour ses enfants. Avec ce film hyperréaliste, interdit aux moins de 12 ans, Noureddine Lakhmari fait exploser de nombreux tabous : alcool, drogue, homosexualité, prostitution, femmes battues, enfants des rues, masturbation... "Je n'ai rien inventé. Mon film est un miroir de la société marocaine. Je montre le Maroc tel qu'il est, non tel qu'on veut nous faire croire qu'il est, explique Noureddine Lakhmari. La violence et l'injustice sociale sont universelles. Cessons d'être hypocrites et admettons qu'on les trouve aussi chez nous."
"UNE THÉRAPIE DE CHOC"
Réalisé avec l'aide de l'Etat, via le Centre cinématographique marocain, Casanegra n'a pas, jusqu'à présent, déclenché de vive polémique, même si les conservateurs et les religieux ont déploré "sa violence et sa grossièreté". Abdelillah Benkirane, secrétaire général du parti islamiste Justice et développement, l'a critiqué, tout en reconnaissant ne pas l'avoir vu. "(Ce film) s'inscrit dans une série qui encourage la débauche et le sionisme", a-t-il déclaré à la télévision.
L'hebdomadaire francophone marocain Tel Quel, lui, a salué Casanegra et lui a même consacré sa couverture, son éditorial et pas moins de sept pages.
"Le modèle que propose ce film n'est pas celui d'une société amorale mais d'une société qui admet sa part d'amoralité. Donc qui n'a plus peur d'elle-même", estime Ahmed Benchmesi, le jeune directeur de Tel Quel. Pour lui, Casanegra fait office de "thérapie de choc" pour "ouvrir les yeux des Marocains et secouer les certitudes ouatées dans lesquelles la propagande officielle tente de les enfermer depuis un demi-siècle".
Pour la jeunesse, Casanegra est en effet un bol d'oxygène, en partie issu du mouvement culturel Nayda ("ça bouge"). Ce mouvement alternatif, né en 2003, explose littéralement depuis deux ans. Un documentaire, Casanayda, réalisé par Dominique Caubet, une professeure d'arabe maghrébin aux Langues orientales à Paris, vient d'ailleurs de lui être consacré.
Florence Beaugé ça fait une semaine que je le cherche rien sur le net j'espere que d'autres seront plus chanceux il a l'air d'un bon film la bande annonce https://www.youtube.com/watch?v=Ym6ojpPrwRM Je viens d'en entendre parler, mais je me rappelle bien l'avoir vu en vente en DVD, sans y avoir accordé attention. Nourredine Lokhmari a fait ses classes de cinema en Norvege, un gars tres serieux qui ne cherche à plaire ni aux Occidentaux ni à l'élite marocaine. Je crois que ce film est en réponse au film "Marrock" de Leïla Marrakchi, qui montrait un Maroc de débauche de la classe aisée. Ce film, qui avait fait scandale, avait été fortement critiqué par Nourredine Lokhmari, dénonçant une image de richesse tres éloignée de la réalité marocaine. Je crois qu'il a essayé de donner une autre image de la débauche au Maroc, celle des pauvres | |
| | | marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: notre Culture. Mar 17 Fév 2009 - 0:01 | |
| le DVD en circulation à casa est une escroquerie, il ne s'agit que de certains shots d'avant le montage ..et qui ont été volés par une personne qui était proche de la production...
sinon ce film n'est une réponse à personne et ne cherche à se donner aucun label politique ou ne transporte aucun message siassi...
ce n'est qu'un très bon film et c'est déjà bien pour le public (trés varié) qui est allé et va encore le voir ... | |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: notre Culture. Mar 17 Fév 2009 - 0:35 | |
| - marques a écrit:
- sinon ce film n'est une réponse à personne et ne cherche à se donner aucun label politique ou ne transporte aucun message siassi.....
Toute production culturelle est un acte éminement politique, qu'on le veuille ou pas, surtout un film qui porte un regard sur la société. C'est pourquoi d'ailleurs le Dr Gobbels, ministe de la propagande nazie, disait : "Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver" Peu lui importait si l'intellectuel ou l'artiste donnait ou non un message politique à se créations, lui leur en trouvait toutes. Si la culture n'avait aucune connotation politique, il n'y aurait pas de ministére de la culture dans presque tous les gouvernements du monde. Pour encourager la culture, qu'ils disent | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Mar 17 Fév 2009 - 14:41 | |
| pour le film marock ,il est gentils,l'histoire se deroule en 1997 racontée par leila marakchi,elle n'y a pas inclu les nouveaux parametres actuels de ce debut de siecle comme:
11 septembre
nouvelle moudawana
attentats du 16 mai
manif des islamistes a casa contre la moudawana en 2001 100 fois plus que les femministes a rabat au meme moment
explosion du nombre de mouhtajibates
generalisation des nouvelles technologies (portable,internet)
marrakech la jet seteuse ou tout flambe
retour d'une bonne partie de la societée aux valeurs ancestrales (charia,chaines tv islamistes,preference arabe)
amazighitée avec l'ircam et les medias en cette langue,revendications de plus en plus nombreuses. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: notre Culture. Mar 17 Fév 2009 - 19:05 | |
| je n'ai pas trouve un meilleur endroit pour la poster (avant apres) |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: notre Culture. Mar 17 Fév 2009 - 20:55 | |
| Tres belles photos, Tomcat, tres parlantes. On y voit comment en 30 ans, la mauvaise gestion de l'espace publique urbain a enlevé une place publique, chargée de sens historique et civilisationnel, à la population pour la livrer aux voitures. Pour encourager le commerce des voitures, il faut crée des parkings dans les villes. Bien entendu, il n'est pas question d'encourager un transport publique urbain de qualité , ni d'exiger des promoteurs immobiliers de doter ces villes d'immeubles parkings. C'est toucher aux interês privés et c'est pas bien . Par contre, l'espace publique n'a personne pour le défendre. Le concept de citoyenneté et d'appropriation de l'espace publique reléve encore du virtuel, de l'utopique. Il faudrait peut être songer un jour à faire de Bab Mansour un restaurant pour touristes | |
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