Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
|
| TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... | |
|
+26ScorpionDuDesert jonas docleo PGM Fox-One MAATAWI Nano Cherokee Inanç Extreme28 FAMAS reese Harm Yakuza Proton Leo Africanus Northrop Fremo Mr.Jad juba2 TooNs rafi BOUBOU Fahed64 Samyadams Viper 30 participants | |
Auteur | Message |
---|
basbousa Invité
| Sujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 9 Mar 2009 - 17:50 | |
|
Dernière édition par barbaros pacha le Lun 9 Mar 2009 - 19:38, édité 2 fois |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 9 Mar 2009 - 17:52 | |
| Impressionnant ! le climat part vraiment en vrille ces derniers temps.... _________________
Dernière édition par interceptor le Lun 9 Mar 2009 - 18:16, édité 1 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 9 Mar 2009 - 18:09 | |
| c'est a midi!!!! "rir lah ister o safi" |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 9 Mar 2009 - 20:11 | |
| J'espère que tout se termine bien pour nos frères de cette catastrophe naturelle que Dieu nous protège tous |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mar 10 Mar 2009 - 18:18 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mar 10 Mar 2009 - 22:40 | |
| - Citation :
Hillary Clinton en Turquie sous le signe d'un partenariat renouvelé
ANKARA (AFP) — La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a entamé samedi ses entretiens à Ankara visant à améliorer les relations stratégiques des Etats-Unis avec son allié turc, mises à mal par la question irakienne sous l'administration Bush.
"C'est un honneur de visiter de nouveau" la Turquie, cette fois "pour mettre l'accent sur les efforts que doivent faire les Etats-Unis et la Turquie" en matière de "paix" et de "prospérité", a-t-elle déclaré à la presse après avoir visité le mausolée d'Atatürk, fondateur de la Turquie moderne (1881-1938).
Mme Clinton était déjà venue en Turquie en 1999 pour y accompagner son époux Bill, alors président des Etats-Unis. Dans la matinée, elle s'est entretenue avec le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan en présence de son homologue turc, Ali Babacan. Selon un communiqué du service de presse de M. Erdogan, les relations bilatérales, la situation au Proche-Orient, l'Irak, l'Afghanistan et la lutte contre le terrorisme ont été évoquées "en détail" lors de cet entretien avec la secrétaire d'Etat d'un pays "ami et allié".
Les discussions de Mme Clinton à Ankara, dernière étape d'une tournée de huit jours au Proche-Orient et en Europe, devaient porter sur le retrait programmé des forces américaines d'Irak, sur une possible nouvelle contribution de la Turquie à la force internationale de sécurité en Afghanistan (Isaf) et sur la médiation d'Ankara dans le conflit au Proche-Orient.
Les relations entre Washington et Ankara se sont réchauffées après une période de tension provoquée par le refus des Turcs en 2003 d'autoriser les forces américaines à utiliser le sol turc pour leur invasion de l'Irak. Ankara avait ensuite reproché au président George W. Bush de laisser les rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) lancer des attaques contre la Turquie à partir du nord de l'Irak.
Mais aujourd'hui, la Turquie se dit prête à ouvrir ses bases et ports aux troupes américaines quittant l'Irak. Mme Clinton devait s'adresser à la presse au terme de son entretien avec M. Babacan au ministère des Affaires étrangères, avant de quitter la capitale turque pour Washington dans la soirée.
Copyright 2009 AFP. Tous droits réservés. - Citation :
Barack Obama se rendra en visite en Turquie en avril
ANKARA - La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé samedi que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier. (Reuters/Umit Bektas)
Clinton a effectué samedi à Ankara une courte visite, en provenance de Genève où elle s'était entretenue la veille avec son homologue russe Sergueï Lavrov.
Le choix de la Turquie - pays à population musulmane et dont l'Etat est laïque, qui appartient à l'Otan et aspire à rejoindre l'Union européenne - reflète l'importance accordée par Washington à ses relations avec Ankara, au moment où les Américains s'emploient à améliorer leurs rapports avec le monde musulman. "La démocratie, la modernité et l'islam peuvent coexister, tous", a estimé Clinton à Ankara, où elle a pris part à un talk show de la télévision turque.
"Je considère réellement que le rôle de la Turquie en tant que puissance internationale est très important", a-t-elle dit.
La rumeur veut qu'Obama, au cours de son voyage en Turquie, prononce un important discours sur les relations entre les Etats-Unis et le monde musulman.
"Il se rendra en visite en Turquie au cours du mois à venir. La date exacte sera annoncée sous peu. Nous nous coordonnons avec le gouvernement turc pour trouver une date viable", a dit Clinton au cours d'une conférence de presse avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ali Babacan.
Clinton, qui a été reçue par le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, et par le président, Abdullah Gül, a indiqué que sa visite était centrée sur le rôle d'Ankara dans le processus de paix proche-oriental, notamment sa médiation entre Israël et la Syrie.
Selon Clinton, rien n'est plus important, dans ce domaine, que les pourparlers indirects qui ont eu lieu entre Damas et Israël. "La Turquie a joué un rôle très important", a-t-elle fait remarquer.
Babacan a déclaré qu'Ankara était prêt à reprendre sa médiation et à accueillir ces pourparlers indirects, si les deux parties en faisaient la demande. Ils ont été interrompus à la demande la Syrie, après le déclenchement de l'offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza fin décembre.
Dans un entretien accordé à CNN Turk, la chef de la diplomatie américaine a expliqué qu'Obama souhaite obtenir l'aide d'Ankara pour soutenir ses efforts de reprise du dialogue avec l'Iran.
"Nous allons vous demander de nous aider avec l'Iran, en particulier pour contribuer à un changement dans la position de l'Iran", a dit Clinton.
Les Etats-Unis s'opposent aux Iraniens sur un certain nombre de sujets, dont le programme nucléaire mené par Téhéran que Washington soupçonne être destiné à la confection d'armes atomiques. L'Iran a toujours démenti chercher à se doter de telles armes.
Bureau d'Ankara, version française Eric Faye
http://www.lexpress.fr/actualites/2/barack-obama-se-rendra-en-visite-en-turquie-en-avril_745289.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mar 10 Mar 2009 - 22:43 | |
| loupé pour nous |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mar 10 Mar 2009 - 23:03 | |
| Les Etats-unis ont besoin de nous ces jours-ci plus que jamais...
- Le retrait d'Irak (dont on peut prévoir par la Turquie) - L'Afghanistan (Demande Américaine) - Négociation de paix entre Israel et la Syrie - Le rôle de la Turquie au moyen-orient - L'affaire Georgienne - L'Iran - etc.... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 27 Mar 2009 - 22:52 | |
| - Citation :
La Turquie n’a pas de problème à payer ses dettes
La Turquie n’a pas de problème à payer ses dettes, a déclaré le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.
M. Erdogan a précisé que le montant total des dettes de la Turquie était aux environs de 142 milliards de dollars et et non 500 milliards comme le prétendent les partis de l’opposition, a précisé M. Erdogan, en répondant mercredi soir aux questions des journalistes de la chaine privée turque TGRT.
"Quand nous sommes arrivés au pouvoir, la dette de la Turquie au Fonds Monétaire International (FMI) s’élevait à 23.5 milliards de dollars. Nous avons réduit ce chiffre à 7.8 milliards de dollars", a-t-il indiqué.
"Par ailleurs, nous avons réussi à augmenter les réserves de la Banque centrale de Turquie en devises étrangères de 26.5 milliards de dollars à 67 milliards de dollars", a-t-il ajouté.
>>> http://www.armenews.com/article.php3?id_article=50207 - Citation :
Signature d’un protocole d’accord entre la Tunisie et la Turquie
M. Foued Mebazaa, président de la chambre des Députés et M. Koksal Toptan, président de la grande assemblée nationale de Turquie ont signé, jeudi 26 mars à Tunis, un protocole d’accord entre les parlements des deux pays, portant sur l’intensification des échanges entre les délégations parlementaires et au niveau des groupes d’amitié. Le protocole d’accord porte aussi
sur les échanges d’expériences et d’expertises entre les administrations parlementaires des deux pays et sur le renforcement de la coordination et de la concertation entre les deux parties au sein des institutions parlementaires régionales et internationales au sujet des questions d’intérêt commun.
L’hôte turc a souligné, dans une déclaration avant son départ de Tunis, la solidité et le caractère séculaire des relations entre la Turquie et la Tunisie, précisant que sa visite a été, pour lui, l’occasion d’examiner avec les hauts responsables tunisiens les différents aspects de la coopération dans tous les domaines et en particulier dans le domaine parlementaire.
Il a ajouté que sa visite lui a aussi permis de prendre connaissance des multiples réalisations et acquis accomplis par la Tunisie, sous la conduite judicieuse du président Zine El Abidine Ben Ali ajoutant: « en tant qu’ami de la Tunisie, je félicite le peuple tunisien pour toutes ces réalisations ».
Il a mis l’accent sur les perspectives prometteuses qui s’offrent devant la coopération entre les deux pays compte tenu des ressources humaines et des expertises dont ils disposent et de leur capacité à réaliser leurs objectifs précisant que le protocole d’accord signé à Tunis ne manquera pas d’impulser la coopération parlementaire bilatérale. De son côté, M. Foued Mebazaa a exprimé sa satisfaction de la signature de ce protocole d’accord, mettant l’accent sur la solidarité et la coopération qui distinguent les relations entre les parlementaires des deux pays, leur coordination permanente, aux plan régional et international, leurs dénominateurs communs et l’importance du rôle des parlementaires dans l’impulsion de l’oeuvre de développement dans les deux pays.
>>> http://www.investir-en-tunisie.net/index.php?option=com_content&view=article&id=439:signature-dun-protocole-daccord-entre-la-tunisie-et-la-turquie&catid=37:partenariat&Itemid=34 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 27 Mar 2009 - 23:12 | |
| merci de nous garder tjs informés sur ton pays Pascha |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 29 Mar 2009 - 23:43 | |
| une bonne nouvelle pour les turques - Citation :
- Vers une nette victoire de l'AKP dans les scrutins locaux turcs
il y a 1 heure 57 min Reuters Selcuk Gokoluk et Ibon Villelabeitia
* Imprimer
Le Parti pour la justice et le développement (AKP, islamo-conservateur) du Premier ministre Tayyip Erdogan s'achemine vers une nette victoire aux élections locales de dimanche en Turquie, annoncent des chaînes de télévision privées après dépouillement de près d'un quart des bureaux de vote. Lire la suite l'article Photos/Vidéos liées L'AKP SE DIRIGE VERS UNE LARGE VICTOIRE EN TURQUIE Agrandir la photo
Plus de photos Turquie Articles liés
* Municipales en Turquie: le parti d'Erdogan domine mais reçoit un avertissement * Municipales en Turquie: le parti au pouvoir domine largement * L'AKP en tête des municipales turques, selon des résultats préliminaires * Plus d'articles sur : Turquie
Discussion: Turquie
Selon CNN Türk et NTV, l'AKP a obtenu 40,6% des voix aux élections provinciales, un résultat qui, s'il était confirmé, équivaudrait à un nouveau mandat au Premier ministre pour la poursuite de ses réformes politiques et économiques.
Aux législatives de 2007, le parti issu de la mouvance islamiste avait été crédité de 47% des suffrages, un score que le chef du gouvernement espérait réaliser ce dimanche.
Le scrutin, qui vise à renouveler les conseils municipaux et régionaux, était considéré comme un test de popularité pour l'AKP, au pouvoir depuis 2002.
La consultation de dimanche a été émaillée par des violences qui ont fait cinq morts et près d'une centaine de blessés, principalement dans le Sud-Est à dominante kurde.
La plupart des sondages donnaient l'AKP en tête, avec de 40% à 50% des suffrages, en dépit d'un chômage record et d'une économie frappée par la crise mondiale.
Dans un entretien publié vendredi, le Premier ministre, ancien maire d'Istanbul, a jugé que son parti essuierait un échec s'il obtenait dans les assemblées provinciales moins de 47% des voix.
"La décision de notre peuple sera connue aujourd'hui et tous les partis politiques devront la respecter", a déclaré Erdogan en déposant son bulletin dans l'urne.
Enraciné dans l'islam politique mais imprégné aussi de nationalisme et de centrisme, l'AKP a failli être interdit par la Cour constitutionnelle en 2008 pour menées religieuses dans un Etat qui s'enorgueillit depuis près d'un siècle de son caractère laïque hérité d'Atatürk, "père" de la Turquie moderne.
Dans le Sud-Est, le parti au pouvoir à bon espoir de l'emporter face aux formations pro-kurdes, ce qui pourrait faciliter un règlement pacifique du conflit séparatiste qui pèse lourdement sur les finances du pays.
Les détracteurs d'Erdogan l'accusent d'avoir perdu son esprit réformiste depuis que la Turquie a engagé des négociations d'accession à l'Union européenne, en 2005, et dénoncent ses tendances autocratiques.
Version française Marc Delteil et Jean-Loup Fiévet http://fr.news.yahoo.com/4/20090329/twl-turquie-elections-tv-bd5ae06.html |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 30 Mar 2009 - 0:07 | |
| Un parti islamiste banalisé dans le paysage politique de la Turquie laÏque, c'est le comble de l'ironie du sort. Si seulement nos islamistes pouvaient devenir aussi pragmatiques que leurs "freres" de l'AKP. Ce que les électeurs attendent des islamistes, c'est de l'intégrité, pas de la religion. Les islamistes turcs l'ont tres bien compris. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 30 Mar 2009 - 10:59 | |
| oui il est honnete il reconnais lui meme que ce n est pas une belle victoire, ca c est digne!! - Citation :
- Recep Tayyip Erdogan n’a pas eu la victoire éclatante qu’il espérait. Les élections locales de dimanche passaient pour un test de popularité pour l’AKP, le parti issu de la mouvance islamiste du Premier ministre.
Il est arrivé premier, avec 39% des voix, selon des résultats partiels. Mais pour la première fois depuis son arrivée au pouvoir en 2002, l’AKP recule. Erdogan s’est dit insatisfait de ces résultats. “Nous avons gagné les élections mais nous devons évaluer les résultats avec du recul. Mon parti et le gouvernement tireront des conséquences de ces résultats”, a déclaré Erdogan. Il pourrait remanier son gouvernement, pour s’attaquer à la crise économique et à un chômage record. L’AKP a été critiqué pour avoir été trop lent à réagir à la crise. Le Premier ministre doit en outre accélérer les réformes nécessaires pour l’adhésion du pays à l’Union européenne.
Ce scrutin a été marqué par des affrontements extrêmement violents, dans le sud-est à dominante kurde, il y a eu au moins 5 morts et une centaine de blessés. http://fr.euronews.net/2009/03/30/elections-en-turquie-erdogan-insatisfait-malgre-la-victoire-de-l-akp/ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 5 Avr 2009 - 11:16 | |
| - Citation :
Gaz russe: la Turquie table sur des volumes supplémentaires (Gazprom)
MOSCOU, 3 avril - RIA Novosti. La Turquie souhaite après 2015 recevoir des volumes supplémentaires de gaz russe, y compris par le gazoduc Blue Stream-2, a déclaré vendredi le PDG de Gazprom Alexeï Miller.
"La Turquie après 2015 souhaiterais recevoir des volumes supplémentaires de gaz russe, y compris via Blue Stream-2", a fait savoir le chef du holding gazier russe à l'issue de la rencontre avec Vladimir Poutine.
La réalisation du projet avait été discutée au cours des négociations fin mars à Ankara entre le ministre turc de l'Energie Hilmi Güler et Alexeï Miller.
La Turquie a demandé en outre de prévoir des volumes supplémentaires de transit par le pipeline non seulement pour Israël, mais également pour le marché intérieur turc.
Le projet Blue Stream-2 prévoit la pose d'un deuxième tuyau parallèle au pipeline Blue Stream passant par le fond de la mer Noire, la création d'une infrastructure gazière en Turquie et d'un gazoduc maritime reliant la Turquie à Israël.
http://fr.rian.ru/business/20090403/120903335.html - Citation :
Istanbul: manifestation contre Obama
Plus d'un millier de personnes réunies à l'appel d'organisations de gauche ont manifesté aujourd'hui à Istanbul contre la prochaine visite du président américain Barack Obama en Turquie. "Obama, ne viens pas en Turquie", "Obama, fiche le camp d'Afghanistan", ont scandé les manifestants, rassemblés dans le quartier de Kadiköy, sur la rive asiatique de la métropole turque. De nombreux protestataires portaient des pancartes affirmant "Non à l'Otan" et "Obama, rentre chez toi". Des drapeaux de l'Organisation atlantique et des Etats-Unis ont été brûlés au cours de la manifestation, qui se déroulait sans heurts.
A Saraçhane, un quartier populaire sur la rive européenne d'Istanbul, une soixantaine de militants islamistes ont également manifesté contre la venue de M. Obama, prévue lundi et mardi prochains, scandant "l'Afghanistan sera le Vietnam d'Obama", selon un autre photographe de l'AFP.
Allié stratégique des Etats-Unis, la Turquie est le seul pays musulman de l'Otan et la deuxième puissance de l'organisation atlantique en terme du nombre de soldats (environ 520.000), après les Etats-Unis. Quelque 1.150 militaires turcs sont actuellement déployés en Afghanistan, où la force internationale dirigée par l'Otan (Isaf), qui a été par deux fois sous commandement turc, compte près de 62.000 soldats originaires de 42 pays.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/04/04/01011-20090404FILWWW00550-istanbul-manifestation-contre-obama.php - Citation :
Obama multipliera les visites de lieux symboliques en TurquieDu mausolée d'Atatürk à la Mosquée Bleue en passant par la basilique-musée de Sainte-Sophie, le président américain Barack Obama multipliera, au cours de sa visite en Turquie lundi et mardi, les déplacements dans des lieux symboliques de l'histoire turque.
Après une arrivée dimanche soir à Ankara, le président doit entamer son programme officiel lundi matin par une visite au mausolée du fondateur de la Turquie moderne, Mustafa Kemal Atatürk, selon le programme de diffusion de la chaîne de télévision publique turque TRT.
Une gerbe de fleurs sera déposée à cette occasion sur le tombeau du "Père des Turcs", qui a engagé le pays sur la voie de l'occidentalisation et inscrit la laïcité parmi ses principes fondateurs.
La Maison Blanche a insisté depuis l'accession au pouvoir de M. Obama sur le caractère occidental de la Turquie, refusant de mettre l'accent sur son caractère musulman -plus de 99% des Turcs sont de culture musulmane.
M. Obama sera ensuite reçu au palais présidentiel de Cankaya par le président Abdullah Gül avant de se rendre au Parlement, où il rencontrera le président de l'Assemblée ainsi que les dirigeants des principaux partis d'opposition, et prononcera un discours devant les députés.
Après un entretien avec le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, issu de la mouvance islamiste, il quittera la capitale pour gagner Istanbul, coeur économique du pays, métropole de 14 millions d'habitants et ancienne capitale de trois empires -Empire romain d'Orient, Empire byzantin et Empire ottoman.
C'est d'ailleurs dans un ancien palais des sultans ottomans, Dolmabahçe, au bord du Bosphore, qu'il devrait rejoindre M. Gül pour un dîner donné en l'honneur des participants au deuxième sommet de l'Alliance des civilisations. L'Alliance des civilisations, idée lancée par l'Espagne avec le soutien de la Turquie en septembre 2004 puis reprise par l'ONU, est une initiative visant à renforcer le dialogue interculturel et à dépasser les incompréhensions mutuelles, particulièrement entre le monde occidental et le monde musulman.
Symbole de la coexistence des cultures, la basilique-mosquée-musée de Sainte-Sophie sera la prochaine étape, le mardi matin, du périple de M. Obama.
Construite au VIe siècle, la basilique dédiée à la "Sainte Sagesse" a été convertie en mosquée en 1453, lors de la conquête de Constantinople, renommée Istanbul par les Ottomans, mais ses icônes ont été conservées sur ordre du Sultan, cachées au regard des fidèles musulmans sous une couche d'enduit.
Après la chute de l'empire ottoman et la proclamation d'une république turque laïque, la mosquée a été transformée en musée en 1935. Mais l'édifice reste cher, tant au coeur des chrétiens que des musulmans.
M. Obama se rendra ensuite à la Mosquée Bleue, sur la même esplanade que Sainte-Sophie. Construite au XVIIe siècle par le sultan Ahmet Ier pour rivaliser avec la magnificence de Sainte-Sophie, la mosquée est l'une des plus grande d'Istanbul et l'une des rares du monde musulman à disposer de six minarets.
Le président américain doit conclure sa visite par une discussion avec des étudiants, dans un Musée des arts islamiques.
(Belga) |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 5 Avr 2009 - 19:20 | |
| - Citation :
- Barack Obama se prononce pour l'entrée de la Turquie dans l'UE
PRAGUE - Le président américain Barack Obama s'est prononcé dimanche pour l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne qui contribuerait, selon lui, à améliorer les relations entre les Occidentaux et le monde musulman
Le président français Nicolas Sarkozy a immédiatement réitéré son opposition sur ce sujet, un point de discorde entre les 27 membres de l'Union européenne. Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso s'est en revanche félicité de la prise de position d'Obama. "Les Etats-Unis et l'Europe doivent considérer les musulmans comme des amis, des voisins et des partenaires pour combattre l'injustice, l'intolérance et la violence, et forger une relation fondée sur le respect mutuel et des intérêts communs", a dit Barack Obama dans une déclaration introductive au sommet Europe-Etats-Unis, à Prague. "Aller vers une entrée de la Turquie dans l'Union européenne constituerait un signe important de votre engagement dans cette direction et assurerait que nous continuons à ancrer la Turquie fermement en Europe", a ajouté le président américain. Lors d'une intervention télévisée à Prague, Nicolas Sarkozy a rejeté assez sèchement cette déclaration. "S'agissant de l'Union européenne, c'est aux pays membres de l'Union européenne de décider", a-t-il dit. "Je suis opposé à cette entrée et je le reste, et je crois pouvoir dire qu'une grande majorité des Etats membres est sur la position de la France", a-t-il ajouté.
"PARTENAIRE PRIVILÉGIÉ"
Le président français a ajouté que "la Turquie est un très grand pays, allié de l'Europe et des Etats-Unis, elle doit rester un partenaire privilégié, ma position n'a pas changé et ne changera pas". La chancelière allemande Angela Merkel a souligné que de bonnes relations entre l'UE et le monde musulman servaient l'intérêt de tous mais a reconnu des divergences entre les Vingt-Sept sur une adhésion de la Turquie. "Il est clair qu'il y a des opinions différentes", a-t-elle dit. Elle a ajouté que la forme des futurs rapports entre l'UE et la Turquie n'était pas encore claire, allusion à l'idée de "partenariat privilégié" au lieu d'une adhésion pure et simple, une formule qui recueille les suffrages des conservateurs français et allemands. Ce sujet est très sensible dans l'Union. Les soutiens de l'adhésion de la Turquie soulignent les liens économiques du pays avec l'Union et de nombreux autres points de convergence, à commencer par Istanbul, l'ancienne Constantinople, qui fut pendant des siècles la capitale de l'Empire romain d'Orient. Les partisans d'une Turquie dans l'UE font aussi valoir sa constitution laïque, son économie tournée vers l'Union et son appartenance à l'Otan, les millions d'immigrés déjà installés sur le continent européen, voire la participation des clubs de football turcs et de son équipe nationale aux compétitions européennes. Nicolas Sarkozy, qui avait déclaré durant sa campagne qu'il ferait obstacle à l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, a cependant consenti en 2007 à l'ouverture de certains nouveaux chapitres de négociation avec ce pays, ce qui fait que le dossier d'une éventuelle entrée dans l'UE n'est pas refermé. La réforme constitutionnelle de l'été 2008 en France a permis aussi de laisser une porte ouverte à la ratification d'une éventuelle adhésion de la Turquie, puisqu'elle prévoit désormais non plus un référendum obligatoire mais un choix possible entre la voie référendaire et la ratification par voie parlementaire. La déclaration du président Obama intervient aussi après un bras de fer entre la Turquie et les autres membres de l'Otan, qui ont finalement obtenu samedi la désignation du Premier ministre danois Anders Fogh Rasmussen au poste de secrétaire général de l'Alliance atlantique. Les Turcs lui reprochent la manière dont il a géré l'affaire des caricatures de Mahomet, publiées initialement dans un journal danois en 2006. Ils lui tiennent aussi rigueur de n'avoir pas pu fermer une télévision kurde, proche de la guérilla du PKK, qui émet du territoire danois.
Par Reuters, publié le 05/04/2009 à 15:11 _________________ | |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 5 Avr 2009 - 21:12 | |
| Obama ou pas, la Turquie n'est pas prête de devenir membre de l'UE | |
| | | Invité Invité
| | | | Fahed64 Administrateur
messages : 25569 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 5 Avr 2009 - 22:28 | |
| De toute façon avec un PIB de 1000 miliard USD en 2010 inchallah, vous n'aurez plus besoin d'y rentrée. Votre developpement économique et réelle sans l'aide de l'UE.... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 5 Avr 2009 - 23:25 | |
| - Citation :
Obama entame une visite en Turquie, allié "déterminant" des Etats-Unis
ANKARA (AFP) — Le président américain Barack Obama est arrivé dimanche à Ankara pour une visite de deux jours en Turquie, "allié déterminant" des Etats-Unis et plus grand pays musulman de l'Otan, dont il a appuyé la candidature à l'Union européenne.
M. Obama, qui effectue en Turquie la dernière étape d'une tournée en Europe, est arrivé à 21H10 (18H10 GMT) à l'aéroport Esenboga. Il a été accueilli par le ministre de l'Economie Mehmet Simsek, et son épouse américaine. Après des entretiens lundi à Ankara avec les dirigeants turcs et un discours au parlement, M. Obama est attendu à Istanbul, où il rencontrera mardi les autorités religieuses, puis un groupe d'étudiants, et visitera deux mosquées.
"Le président va réaffirmer son sentiment que la Turquie est un allié déterminant, et constitue une partie importante de l'Europe. Il a voulu se rendre en Turquie parce qu'il pense qu'il faut relancer les relations entre les deux pays, distendues ces dernières années", a déclaré à la presse un responsable américain qui fait partie de la délégation. Les relations entre les deux pays s'étaient tendues en 2003, après l'intervention militaire américaine en Irak. "Le président s'entretiendra du progrès des réformes démocratiques en Turquie, et réaffirmera le soutien américain à la demande de la Turquie d'entrer dans l'Union européenne", a ajouté le responsable avant l'arrivée de M. Obama, qui effectue sa première visite dans un pays musulman.
A Prague dimanche, M. Obama a clairement soutenu l'entrée de la Turquie dans l'UE, qui enverrait selon lui "un signal important". Plusieurs pays européens sont opposés à cette adhésion, dont le président français Nicolas Sarkozy, qui l'a immédiatement rappelé haut et fort.
Selon le même responsable, M. Obama souhaite discuter des défis régionaux communs tels que "la menace terroriste, la guerre en Afghanistan, les relations avec l'Iran, et l'objectif partagé d'une paix durable entre Israël et ses voisins."
La Turquie occupe une position stratégique entre Europe, Proche-Orient et Caucase. Alliée d'Israël, elle joue les intermédiaires dans des négociations entre l'Etat hébreu et la Syrie, et partage des frontières avec l'Irak et l'Iran. Lors de sa tournée, M. Obama a réclamé de ses alliés l'envoi de troupes supplémentaires en Afghanistan, où la Turquie a 900 hommes. Ankara ne souhaite pas pour l'instant aller au delà.
La lutte contre les insurgés kurdes de Turquie, qui ont des bases de repli en Irak, ainsi que la question arménienne, pourraient être évoquées lors de cette visite.
Ankara souhaite aussi que M. Obama renonce à qualifier de génocide les massacres d'Arméniens sous l'empire ottoman (1915-1917), comme il l'a fait pendant sa campagne électorale.
Autre dossier: l'Otan. Samedi, lors du sommet de l'alliance, M. Obama est intervenu pour dénouer une crise à propos de la nomination, finalement annoncée, du Premier ministre danois Anders Fogh Rasmussen comme nouveau secrétaire général de l'Otan.
M. Rasmussen est mal vu de son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan --dont le parti est issu de la mouvance islamiste-- pour son soutien au journal danois qui avait publié en 2005 des caricatures controversées de Mahomet. M. Erdogan lui reproche aussi le refus de Copenhague d'interdire une chaîne kurde émettant du Danemark et accusée d'être le porte-voix d'un groupe rebelle kurde.
Selon la presse turque, Ankara a monnayé son feu vert à la nomination de M. Rasmussen contre de fortes exigences, dont la nomination de personnalités turques à des postes clés de l'Otan.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iWKWYcU0VSYEApVuXFMlRXZ5Z9pQ |
| | | BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 6 Avr 2009 - 9:07 | |
| je pense que l'entrée de la Turquie dans l'Europe sera plus politique qu'économique, ca lui permettra d'avoir le parpluie Européen sur la tête (avectout ce que a comporte, protection militaire a 100%, potection politque, économique...), de plus, la Turquie e fera porte-parole de sa région, et aura une plus grande influene dans celle-ci. La Turquie a reçu beaucoup d'aides financiére de la part de l'Europe, elle lui doit beaucoup... Mais il faut savoir que ladhésion de la Turquie va au-dela même de tout ca, en effet, pour nous, les Musulmans qi vivont enEurope, de voir la Turquie entrée dans l'UE serait la concrétiation partiel de notre intégration dans le continent... Nous comptons beaucoup sur cette adhéson... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 6 Avr 2009 - 11:40 | |
| - BOUBOU a écrit:
- je pense que l'entrée de la Turquie dans l'Europe sera plus politique qu'économique, ca lui permettra d'avoir le parpluie Européen sur la tête (avectout ce que a comporte, protection militaire a 100%, potection politque, économique...), de plus, la Turquie e fera porte-parole de sa région, et aura une plus grande influene dans celle-ci.
La Turquie a reçu beaucoup d'aides financiére de la part de l'Europe, elle lui doit beaucoup... Mais il faut savoir que ladhésion de la Turquie va au-dela même de tout ca, en effet, pour nous, les Musulmans qi vivont enEurope, de voir la Turquie entrée dans l'UE serait la concrétiation partiel de notre intégration dans le continent... Nous comptons beaucoup sur cette adhéson... Le problème, c'est que les turcs se sentent pas Européens, ils se sentent orientaux et asiatiques... Pareil que nos frères Saoudiens, Syriens, Irakiens, Yéménites, Iraniens, Afghans, Pakistanais, etc... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 6 Avr 2009 - 11:47 | |
| alors les gouvernements ne doivent pas etre tres democratique si je te "croit" pasha(pause pub: c´est curieux tous les turcs ici disent la meme chose,mais quand ils ont problemes de papiers ou sorte,ils aimeraient etre europeens ala fois) si les gouvernements depuis +60 ans font des mains et des pieds pour forcer l´entrée en europe,et les turcs lambda disent(par fierté biensure,mecanisme contre le refus europeen et cacher la deception devant les autres) qu´ils ne veulent pas,alors les gouvernements ne doivent pas respecter l´avis du turc non le jour ou ils laisseront la Turquie In tu sera le premier a feter la fete enfin bref.. |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 6 Avr 2009 - 11:55 | |
| - barbaros pacha a écrit:
Je suis contre l'adhésion de la Turquie...notre avenir est l'orient...une coopération régionale...
Je suis d'accord avec toi Barbaros, la Turquie a démontré jusqu'à aujourd'hui qu'elle n'avait pas besoin de l'europe pour son développement et je pense aussi qu'elle a beaucoup à gagner avec un partenariat avec l'orient ( des marché économique moyen mûre que celui de l'europe ) Mais Quand je vois comment ils ont intégré des pays comme la roumanie ou la Bulgarie à vitesse grand "V" et comment il traite la Turquie ( il y a toujours quelque chose qui bloque droits de l'homme, génocide arméniens, problème kude ou encore la tension avec la grèce sur chypre....) "Un poid 2 mesures".. Bref les européens s'arrangent toujours pour bloquer les négociations avec la Turquie, ils savent qu'ils peuvent pas se permettre de lui tourner les dos mais refuse une véritable adhésion.... _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 6 Avr 2009 - 11:56 | |
| - Yakuza a écrit:
- alors les gouvernements ne doivent pas etre tres democratique si je te "croit" pasha(pause pub:c´est curieux tous les turcs ici disent la meme chose,mais quand ils ont problemes de papiers ou sorte,ils aimeraient etre europeens ala fois) si les gouvernements depuis +60 ans font des mains et des pieds pour forcer l´entrée en europe,et les turcs lambda disent(par fierté biensure,mecanisme contre le refus europeen et cacher la deception devant les autres) qu´ils ne veulent pas,alors les gouvernements ne doivent pas respecter l´avis du turc non
le jour ou ils laisseront la Turquie In tu sera le premier a feter la fete enfin bref.. Le turc qui veut rentrer en Europe, n'a rien a foutre des valeurs de l'Europe, il veut l'Europe pour l'argent dont ce dernier lui procure... Le gouvernement islamiste, n'a plus trop envie de rentrer (puisque les réformes sont arrêter..etc...) Le président et le premier ministre ont étaient très claire sur ce dossier, l'Europe n'est pas une condition sine qua non pour le développement de la Turquie... Le turc lambda en a marre des demandes des Européens... Il y a 10 ans, on dépendait de l'Europe, pour le commerce, etc...mais plus aujourd'hui, notre premier partenaire économique est la Russie, on a diversifier notre commerce avec d'autres pays (surtout d'Afrique et d'Asie et d'Amérique du sud)... Nos exportations atteignent les 110 milliards $... |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... | |
| |
| | | | TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... | |
|
Sujets similaires | |
|
Sujets similaires | |
| » TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... » TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... » TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... » TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... » TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|