Armée Colombienne / Military Forces of Colombia / Fuerzas Militares de Colombia

Rappel du premier message :

Crash d'un KFIR

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Colombian Marines to create new international combat training centre


Erwan de Cherisey, Paris - IHS Jane's Defence Weekly

18 November 2016


The Colombian Marines Corps, one of the world's most experienced riverine forces, is integrating its riverine warfare training capabilities
into the syllabus of a new international advanced training centre. Source: Erwan de Cherisey


The Colombian Marines Corps is establishing a new 200-hectares international advanced training centre in Turbo, Antioquia. The project totals USD32 million and is being implemented as part of the Colombian Navy's 2020-30 development plan.

Major Carlos Andrés Castellanos, commander of the existing Riverine Combat School (ESCOFLU) told IHS Jane's the new centre is to concentrate a number of training capabilities in one specific place, instead of having these spread throughout Colombia. "We want this to be a place where our personnel can learn and strengthen specific capabilities as well as allowing us to offer such capabilities to partner countries," he said.

The plan is to have the centre begin operating in 2017, when the first of the new facilities are finalised. It will initially offer training capabilities in riverine operations, jungle, and coastal combat training for riverine assault groups, as well as water survival training. The new centre will integrate the ESCOFLU and its current training syllabus. Several facilities are being constructed, including a number of combat boats simulators and virtual and live firing training polygons.

Maj Castellanos said it is hoped that the tactical diving school will be integrated into the centre in 2018, although construction of additional infrastructure will be required, most notably to house a hyperbaric chamber.

Longer-term plans include adding air assault and amphibious operations training capabilities around 2020, for which further facilities would need to be built.

The exact number of trainees the new centre will be able to receive yearly has yet to be defined but will be at least 600 personnel, which is the number projected for the 2016 intake at the ESCOFLU, Maj Castellanos said.

The international advanced training centre is to be under the authority of the Marine Training Base (BEIM), in Coveñas, Sucre, and will complement the International Amphibious Training Centre (CIEAN) that is in charge of all basic training for the Colombian Marines and also receives trainees from several partner countries.
 

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Accord défense franco-colombien

Actualités Christina Mackenzie 23 janvier, 2017


La France et la Colombie vont signer un accord technique de coopération militaire qui permettra, entre autres, aux forces colombiennes de bénéficier de la “participation [des forces armées françaises] aux missions internationales et opérations de maintien de la paix”, a annoncé le gouvernement colombien la semaine dernière. Mais la signature aura lieu lors de la visite du ministre de la défense colombienne, Luis Carlos Villegas, en France durant le premier trimestre de cette année plutôt que lors de celle que le President François Hollande entreprend actuellement en Colombie.


Aníbal Fernández de Soto, vice ministre colombien de la défense pour les affaires internationales et le général Jean-Marie Clament, directeur
des relations internationales et de la stratégie du ministère français de la défense (crédit photo: MinDef colombien)

“Cet accord couvrira les domaines liés aux sciences et technologie, le déminage, les désastres naturels et de l’environment, et aura comme proposition fondamentale le rapprochement des forces militaires et de la police nationale avec les autorités et leurs homologues français”, a indiqué le ministère de la défense colombienne.

“La France a toujours était une alliée de la Colombie. En matière de défense il y a eu beaucoup d’événements où la France a énormément appuyée nos forces armées”, a déclaré Aníbal Fernández de Soto, vice ministre de la défense pour les affaires internationales.

Le président colombien,Fernández de Soto, a rencontré le 17 janvier le général Jean-Marie Clament, directeur des relations internationales et de la stratégie du ministère français de la défense, afin d’affiner les détails de cet accord.

« Nous avons parlé de la coopération franco-colombienne, qui ne date pas d’hier, c’est une affaire qui dure depuis de nombreuses années, particulièrement avec les forces armées que nous avons dans les Caraïbes, mais aussi avec une parties de nos forces en France”, déclara Clament dans un espagnol parfait, en ajoutant que les deux pays luttent “ensemble” contre les narco-trafficants et “autres menaces trans-nationales”.

http://forcesoperations.com/accord-defense-franco-colombien/

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Gripen : insistances suédoises en Colombie


30 mars 2017/ Actualité Industrie et matériels

Les tentatives suédoises de vendre des avions Gripen à la Colombie font l’objet de critiques dans le royaume. Après la signature d’un accord de coopération bilatérale dans le domaine de la défense, le 14 mars à Bogota, le gouvernement suédois est accusé de vouloir «exploiter» le processus de paix dans le pays sud-américain pour y vendre l’avion fabriqué par Saab.

Depuis l’an dernier, ce groupe privé suédois cherche par divers moyens à convaincre Bogota d’acquérir son chasseur. «Nous menons un dialogue dans ce sens», a confirmé le chef du programme Gripen, Richard Smith, à l’agence de presse TT. L’accord de coopération incriminé a été signé, côté suédois, par le ministre de l’Economie, Mikael Damberg, ce qui traduit une volonté suédoise d’offrir à la Colombie des retombées économiques importantes en cas d’achat du Gripen, sur le mode du contrat gagné au Brésil en 2015 (36 unités).

«La Défense colombienne est une des composantes du processus de paix et sa responsabilité est grande dans son application. Mais elle se prépare aussi à de grands investissements», a expliqué Mikael Damberg à la radio suédoise SR, en référence à la volonté de Bogota de renouveler sa flotte.

Depuis, des militants des droits de l’Homme, en Colombie comme en Suède, dénoncent les intentions de Stockholm, en raison de violations dans ce domaine. «Promouvoir le Gripen va à l’encontre de l’instauration d’une paix durable dans un pays encore très instable», a par ailleurs estimé une organisation pacifiste, Svenska Freds.

Le ministère suédois de la Défense a répondu qu’une éventuelle décision d’exporter des avions à la Colombie reviendrait à une administration autonome, l’ISP.

http://www.ttu.fr/gripen-insistances-suedoises-colombie/

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24/07/2017

La Colombie commande 36 Gripen E !



Bogota, le ministre de la Défense de la Colombie, Carlos Villegas, a annoncé cet après-midi en conférence de presse que le pays avait choisi son nouvel avion de combat. Il s’agit du Saab JAS-39 MS21 Gripen E. Le pays prévoit d’acquérir 36 appareils pour un montant estimé à 4,5 milliards de dollars.

« En Colombie, nous sommes en effet un pays pacifique, mais nous serons sans défense si nous ne renouvelons pas notre défense arienne. D'où l'importance de ce processus de d’achat. Nous devons être prêts à faire face à toute menace, défendre notre patrimoine », a déclaré le ministre Villegas après l'annonce.

Une belle victoire pour les suédois :

Ce contrat porte désormais à deux le nombre de clients à l’exportation pour la nouvelle version de la famille « Gripen ». Un succès qui tombe après celui du Brésil. A noter, que l’avionneur suédois avait fait le pari de pouvoir trouver d’autres clients sur le continent américain grâce à son importante collaboration avec les entreprises brésiliennes Embraer et Akaer qui travaillent en collaboration avec Saab.

Cette victoire est d’autant plus importante que le Gripen E a réussi à se placer face à une concurrence acharnée avec l’Airbus DS Eurofighter T3 et le Lockheed-Martin F-16 « Viper ». Le consortium européen n’était plus véritablement en course depuis le début de l’année, les coûts à l’achat et à l’heure de vol étant jugé prohibitifs. L’avionneur américain a de son côté été très agressif en proposant le F-16 « Viper » Block70/75 avec notamment une offre de complément à l’avenir avec le F-35.



Le choix suédois :

Selon le ministre de la Défense de la Colombie, le choix du Gripen E a été pris sur plusieurs points : le Gripen E offre le meilleur rapport coût/efficacité et une maintenance réduite. L’avion est compatible avec l’avion ravitailleur KC-390. Les nouvelles technologies, dont le radar AESA, la fusion des données et la large panoplie d’équipement (nacelles, armement, viseurs de casque) ont joués en faveur de l’avion suédois.

Par ailleurs, l’offre de Saab en matière de compensations industrielles semble avoir également porter ses fruits. La Société aérospatiale Industria Colombiana (CIAC), pourra participer à la fabrication de plusieurs pièces et aura accès à un transfert de technologie. Pour la Colombie, ce futur transfert est essentiel au développement de l'industrie nationale.

Le ministre a insisté dès le départ que sur les conditions est le transfert de technologie, et que le pays peut recevoir le logiciel « ouvert » pour gérer de façon autonome l'incorporation de nouvelles armes et des améliorations au logiciel.

Clients du Gripen E :

Suèdes : 60, Brésil : 36, Colombie : 36.



Photos : 1 Gripen E de présérie 2 Cocpkit 3 Gripen NG de développement @ Saab

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2017/07/24/la-colombie-commande-36-gripen-e-864025.html

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09/04/2018

La Colombie va recevoir ses S-70i« Black-Hawk » !



L'armée de l'air colombienne va recevoir prochainement des hélicoptères Sikorsky S-70i « Black Hawk ». Sikorsky prévoit de livrer un premier lot de trois Black Hawks S-70i commandés par l'armée de l'air colombienne en août, suivi d'une deuxième série de livraisons en octobre.

Grand utilisateur du « Black-Hawk » :

La Colombie est le second opérateur, par le nombre d’appareils en service, de l’hélicoptère Sikorsky UH-60 « Black-Hawk » après l’US Army. L’ armée de terre dispose de 55 UH-60, l’armée de l’air de 32 appareils et la police 7.

Avec l’arrivée prochaine de la nouvelle version S-70i, la Colombie va renforcer un peu plus sa capacité de transport tactique et d’appuis.

Le Sikorsky S-70i :

Le Sikorsky S-70i est un dérivé des versions MH-60 destiné à l’exportation. La nécessité d'une plate-forme d'un tout nouveau Black-Hawk. Le Hawk «M» a émergé durant les années 1990 avec l'obligation de mettre à jour l’avionique analogique des UH-60A et UH-60L avec un cockpit numérique intégré, des commandes de vol numériques doublées et des moteurs plus puissants et des améliorations structurelles. Conçu par Sikorsky est doté d’une interface de Lockheed Martin, le S-70i (MH-60) représente l’évolution des versions précédentes, grâce aux leçons apprises durant les différents déploiements et durant les nombreuses opérations de ces dernières années. Cette nouvelle version permet un engagement multi-missions en utilisant un équipage de trois personnes. Outre, l’attaque de navires et de sous-marins, l’hélicoptère est susceptible de remplir l’ensemble des missions secondaires telles que : la recherche et le sauvetage (SAR), le ravitaillement vertical, le soutien aux incendies de surface, l’évacuation médicale (MEDEVAC) ainsi que le relais des communications.

Photo : S-70i @ Sikorsky/PZL

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2018/04/09/la-colombie-va-recevoir-ses-s-70i-black-hawk-865469.html

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La Colombie va officiellement devenir un « partenaire mondial » de l’Otan

Posté dans Amériques, Otan par Laurent Lagneau Le 26-05-2018



Comment le Venezuela va-t-il prendre la chose? Réélu dans des conditions contestées après avoir mis au pas l’opposition de centre-droit sortie majoritaire des élections de décembre 2015, le président Nicolas Maduro, héritier du colonel Hugo Chavez, le chantre de la « révolution bolivarienne », ne manque pas une occasion d’accuser les États-Unis et, dans une moindre mesure, la Colombie, d’être les responsables de la situation (et le marasme économique) dans laquelle est plongé son pays.

En février dernier, et alors que Bogota venait d’envoyer 50 tonnes de « pernil de cerdo » [du jambon, ndlr] à Caracas pour les fêtes pour éviter une pénurie, M. Maduro avait accusé l’armée colombienne de former et d’entraîner des ressortissants vénézuéliens pour commettre « une attaque quelconque […] qui sera ensuite comme excuse par le gouvernement colombien pour déclarer un conflit armé contre notre patrie pacifique. »

Or, justement, la Colombie deviendra officiellement, d’ici quelques jours, un « partenaire mondial » de l’Otan. Une première pour un pays d’Amérique latine.

« Nous allons officialiser à Bruxelles la semaine prochaine – et c’est très important – l’entrée de la Colombie dans l’Otan dans la catégorie de partenaire mondial. Nous serons le seul pays d’Amérique latine à bénéficier de ce privilège », en effet annoncé Juan Manuel Santos, le président colombien, qui a par ailleurs été lauréat du prix Nobel de la paix pour ses efforts visant à mettre fin au conflit avec les guérilleros marxistes des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie).

Pour M. Santos, cette adhésion va « améliorer l’image de la Colombie » et lui « permettra de jouer un rôle beaucoup plus important sur la scène internationale. »

En réalité, cette annonce n’est pas une surprise puisque l’Otan et la Colombie avaient déjà approuvé, en mai 2017, un accord de partenariat « dans le but de renforcer le dialogue et la coopération pour répondre aux défis de sécurité communs. »

« Les objectifs du partenariat portent sur l’élaboration d’approches communes face aux défis de sécurité mondiaux tels que la cybersécurité, la sûreté maritime ou le terrorisme et ses liens avec la criminalité organisée. Ils visent en outre à soutenir les initiatives en faveur de la paix et de la sécurité, notamment la sécurité des personnes, avec une attention particulière pour la protection des civils et des enfants et pour la promotion du rôle des femmes dans la paix et la sécurité, et à renforcer les capacités et les moyens des forces armées colombiennes », avait expliqué l’Otan, à l’époque.

La Colombie va donc officiellement devenir le 9e partenaire mondial de l’Otan et rejoindre ainsi l’Australie, le Japon, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud, la Mongolie, l’Irak, l’Afghanistan et le Pakistan. « La plupart des partenaires mondiaux contribuent activement aux opérations et aux missions dirigées par l’Otan », souligne l’Alliance.

La Colombie cherche à se rapprocher des pays de la zone euro-atlantique depuis plusieurs années. C’est ainsi que, en 2015, elle avait déployé le patrouilleur – l’ARC 7 de Agosto – au large de la corne de l’Afrique, dans le cadre de l’opération anti-piraterie EUNAVFOR Atalanta.

Outre ce rapprochement l’Otan, le président Santos devrait également officialiser, le 30 mai, l’entrée de son pays au sein l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). La Colombie deviendra ainsi le 37e membre de cette organisation, après un processus d’adhésion commencé en 2011.

http://www.opex360.com/2018/05/26/colombie-va-officiellement-devenir-partenaire-mondial-de-lotan/

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Colombia orders two Dauphin helos for naval use

Santiago Rivas, Buenos Aires - IHS Jane's Defence Weekly

02 October 2018


Colombia has acquired two Airbus AS365N3 Dauphin helicopters to be used by the country's navy.

The second-hand aircraft, which were built in 2004, will be delivered in December for use aboard the Colombian Navy's 20 de Julio-class offshore patrol vessels.

Plans for the aircraft to be operated from the Almirante Padilla-class frigates have also had to be temporarily shelved after it was found that the ships' hangars are too small. A study to modify the hangars is under way.

ARC Indomable (S22) .. un U206A


ARC Pijao (SO28) .. un U209/1200

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  24/07/2019

La Colombie relance l’achat d’un nouvel avion de combat !  



La Colombie cherche à remplacer ses 20 avions de combat israéliens en IAI kfir C2, achetés il y a 30 ans. Le
budget  d’acquisition devrait dépasser le milliard de dollars selon un porte-parole de la Force aérienne. L’ancien
gouvernement avait à l’époque signifié sa préférence pour le Gripen E suédois, mais par manque de liquidité, le
projet d’acquisition avait fait long feu.

Pour en savoir : http://psk.blog.24heures.ch/archive/2019/07/24/la-colombie-relance-l-achat-d-un-nouvel-avion-de-combat-867737.html

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Le Rafale, candidat possible pour la modernisation de l’aviation de combat colombienne?

par Laurent Lagneau · 19 novembre 2019



Étant donné les tensions récurrentes avec le Venezuela, dont l’aviation de combat est dotée de chasseurs Su-30 « Flanker-C » fournis par la Russie, la Force aérienne colombienne [Fuerza Aérea Colombiana – FAC] doit impérativement remplacer la vingtaine d’avions KFIR qu’elle met encore en oeuvre actuellement.

Commandés dans les années 1980 auprès d’Israël, ces appareils ont été conçu à partir des Mirage IIIS destinés à la Suisse. Dotés d’un réacteur General Electric J79 et d’une avionique de facture israélienne, ils ont récemment été portés au standard Block 60, afin de pouvoir les maintenir en service jusqu’en 2025.

Cette modernisation a consisté notamment à leur intégrer un radar Elta EL/M-2025, un système de brouillage Elbit/Elisra SPS-45V6 et un détecteur d’alerte radar. En outre, les KFIR colombiens sont désormais en mesure d’emporter de nouvelles munitions guidées, comme la GBU-49 Paveway II, l’IAI-MTB Griffin et la Rafael Spice 1000.

En dotation au sein de l’Ala de Combate de l’Escuadrón 111, ces KFIR font bien leur âge… Au point qu’ils font l’objet de restrictions de vol et que leurs pilotes ont fait une grève du casque après la perte de deux appareils en 2014.

Quoi qu’il en soit, en juillet dernier, le ministère colombien de la Défense a annoncé qu’une enveloppe d’un milliards de dollars allait être disponible pour acquérir de nouveaux avions de combat. Et d’ajouter que « différents pays, comme l’Espagne, la Suède et les États-Unis » avaient « officiellement » fait des propositions en ce sens et que le « Saab Gripen, l’Eurofighter et le F-16 » étaient « en cours d’évaluation. » Les versions des appareils cités n’ont pas été précisée.

Mais d’après le site Infodefensa, la France aurait proposé la candidature du Rafale, à l’occasion d’un déplacement à Bogota d’une délégation emmenée par un ancien chef d’état-major de l’armée de l’Air [dont l’identité n’a pas été précisée]. A priori, l’offre française reposerait sur la livraison de 12 Rafale C F3 dans le cadre d’un Contrat de partenariat gouvernemental [CPG], avec des facilités financières. Aucun détail sur le montant d’une éventuelle commande n’a été précisé.

Reste à voir si une telle candidature à une chance d’aboutir. La coopération entre Saab et l’industrie brésilienne dans le cadre du contrat FX-2 pourrait être un frein pour le Gripen E/F, dans la mesure où il y aurait un risque géopolitique à voir le Brésil se rapprocher du Venezuela [ou à adopter la même ligne] en cas d’alternance politique.

Cela étant, en raison de la proximité affichée de Bogota avec Washington, le F-16 de Lockheed-Martin fait figure de favori. Seulement, on ignore si Washington propose la version block 70/72 « Viper » ou des modèles de seconde main. Au vu du budget prévu pour cette acquisition, les marges de manoeuvres de la Fuerza Aérea Colombiana sont très étroites. Et entretenir une micro-flotte d’avions de combat n’est pas non plus une solution.

À Lire : Le numéro 464 d’Air Fan [octobre/novembre 2019] contient un dossier intitulé « IAI KFIR, lionceaux en Colombie »

Photo : Un KFIR de l’Ala de Combate de l’Escuadrón 111

http://www.opex360.com/2019/11/19/le-rafale-candidat-possible-pour-la-modernisation-de-laviation-de-combat-colombienne/

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TOLEMAIDA MILITARY FORT, COLOMBIA
09.15.2018

U.S. Army paratroopers assigned to 1st Battalion, 325th Parachute Infantry Regiment, 2nd Brigade Combat Team, 82nd Airborne Division, and the National Army of Colombia conduct a ground tactical exercise designed to simulate the securing of an airfield at Tolemaida Air Base, Nilo, Colombia on January 25, 2020. This exercise demonstrates operational readiness and enhanced interoperability with the Airborne Operations. (U.S. Army video by Spc. Edward Randolph)

Dynamic Force 2020

Citation :

Is the first time that the 82 Airborne Division participated in a Military Airborne Drop in South America, This time was the Military Fort of Tolemaide of the Colombian National Army in the middle of Colombia.

Approximately 75 paratroopers of the 82nd Airborne Division of the United States Army stationed in Fort Bragg, a North Carolina military fort, and 40 members of the SOCSOUTH, arrived in Colombia on January 23 to participate in a joint air assault exercise that will take place until next Wednesday, January 29. During the exercise in the air, US and Colombian paratroopers will perform an airborne training insert from the Lockheed Martin C-130 'Hercules' aircraft of the United States Air Force and the Colombian Air Force, followed by designed tactical exercises to simulate the capture and control of an airfield. The expert staff of the United States and Colombia will practice working together and in coordination with the main objective of building interoperability and sharing strategic and tactical experiences. "We are honored to train with Colombia, a close friend of the United States and a global partner of NATO," said the Admiral of the United States Navy. Craig Faller, Commander of the Southern Command of the United States. "This airborne exercise demonstrates the interoperability, lethality and professionalism of our armies," added the senior officer. The Southern Command of the United States Army routinely conducts multinational exercises with strategic partners and allies throughout Latin America and the Caribbean to strengthen partnerships, develop preparedness and increase interoperability. This airborne exercise illustrates the lasting commitment of the North American country in the Western Hemisphere.

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