Armée Estonienne/Estonian Army

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19.02.2023

L'Estonie veut faire passer ses forces terrestres de 9 500 à 20 000 hommes

L'Estonie est résolument sur le pied de guerre. Ces derniers jours, le gouvernement a annoncé que l'armée nationale allait être équipée en munitions rôdeuses. Puis il a été décidé d'augmenter les effectifs des forces terrestres qui passeront en cours d'année 2023 de 9 500 à 20 000 hommes et femmes (photo ci-dessous Reuters, le président Alar Karis et des soldats estoniens en manoeuvres).

Cette volonté de doper les moyens remonte au printemps 2022; il avait alors été décidé de renforcer la Ligue de la Défense (15 000 soldats en 2021) et 30 millions d'euros supplémentaires lui avaient été affectés.  Cet effort budgétaire s'était concrétisé avec une hausse du budget total de la Ligue, passant de 38,6 millions € e, 2021 à 48,5 en 2022 et dépassant 50 millions pour 2023.

Les nouvelles recrues des forces terrestres devront être équipées et entraînées. C'est pourquoi des achats d'une valeur de 132 millions d'euros vont être effectués au cours des quatre prochaines années. Ces achats de matériels porteront sur des équipements individuels, des optiques, des équipements de vision nocturne etc.). Les appels d'offres ont déjà été lancés et les premières livraisons sont attendues dès le premier semestre de cette année.

Pour en savoir plus sur les forces estoniennes, le budget de la Défense, les effectifs etc, un site spécifique a été ouvert. 


L'Estonie veut faire passer ses forces terrestres de 9 500 à 20 000 hommes : Lignes de défense (ouest-france.fr)

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APR 26

Estonian Defence Forces to acquire TRG M10 8.6mm sniper rifles from Finnish company Sako

The Estonian Centre for Defence Investments (ECDI) has entered into a contract with Sako Ltd. for the acquisition of new 8.6mm sniper rifles for the Estonian Defence Forces and Defence League. The upgraded rifles offer enhanced accuracy and stability compared to their predecessors. The framework agreement spans seven years and is valued at €40 million. 

Sako TRG M10 8.6 sniper rifle. (Picture source Sako) Estonian Defence Forces to acquire TRG M10 8.6mm sniper rifles from Finnish company Sako | World Defence News

[ ESTONIE | LETTONIE ]

L'Estonie et la Lettonie ont conclu un accord conjoint d'environ un milliard d'euros avec le fabricant allemand Diehl pour l'achat du système de défense aérienne Iris-T SLM. pic.twitter.com/4c5eMr3Y8L

— (Little) Think Tank (@L_ThinkTank) September 12, 2023

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  05.10.2023

Volvo Defense va livrer 3 000 camions à l'Estonie et à la Lituanie




Les armées de Lituanie et d'Estonie poursuivent leur modernisation et leurs achats mutualisés d’armements. En mai, par exemple, l’Estonie et la Lettonie ont annoncé des négociations avec le groupe allemand Diehl Defense afin d’acquérir le système de défense sol-air IRIS-T SLM. Cette année aussi, Lituanie, l’Estonie et la Lettonie ont acheté en commun, des munitions, pour un montant 50 millions d’euros, destinées au canon sans recul de type Carl Gustaf, via l’Agence européenne de défense.

Lituanie et  Estonie ont annoncé, mardi, avoir conjointement commandé 3 000 camions militaires à la firme Volvo Defense. Ces camions seront livrés sur 7 ans à partir de 2024. La valeur de ce marché est de 440 millions d'euros.

Les deux armées vont percevoir des camions FMX en 5 configurations (4x4, 6x6 ou 8x8) qui seront assemblées à Gothenburg.




https://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2023/10/04/volvo-defense-va-livrer-3%C2%A0000-camions-a-l-estonie-et-a-la-lituanie.html

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OCT 19

Estonia invests €200 Mn in Nurol Makina NMS 4x4 and Otokar Arma 6x6 armored vehicles


According to the Estonian MoD on October 18, 2023, Estonia has finalized contracts valued at around €200 million for the acquisition of
approximately 230 wheeled armored vehicles from Turkish defense companies, Nurol Makina and Otokar. The procurement includes NMS
4x4 armored vehicles, supplied by Nurol Makina, and Arma 6x6 armored personnel carriers (APCs), provided by Otokar.


Estonia selected the Otokar Arma 6x6 APCs and Nurol Makina NMS 4x4 armored vehicles after a competition between nine companies across
six countries (Picture source: Estonian MoD)


http://worlddefencenews.blogspot.com/2023/10/estonia-invests-200-mn-in-nurol-makina.html  

L'Estonie mobilise son armée pour ériger des barrières aux passages frontaliers avec la Russie, dans le but de freiner l'entrée illégale de migrants.
La Russie utilise la migration comme arme de guerre hybride contre la Pologne, la Lituanie, la Lettonie, l'Estonie, la Finlande. https://t.co/YE1hzWpANL

— Christophe Tymowski (@Christophe_Tymo) November 25, 2023

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JAN 8

Estonia acquires Polish Piorun air defense systems


Estonia has acquired Polish PPZR Piorun anti-aircraft systems, enhancing its short-range air defense capabilities. The Estonian Defense Investments
Center (RKIK) has officially transferred these systems to the Estonian Defense Forces (EDF). Valued at 103 million euros, this contract marks an
improvement in Estonia's military defense.



The PPZR Piorun is a man-portable air defense system originating from Poland (Picture source: RKIK)


https://worlddefencenews.blogspot.com/2024/01/estonia-acquires-polish-piorun-air.html  

In 2024, Estonia's defence spending surpasses �% of GDP for the first time, with over half allocated to capabilities. This boost takes defence readiness to the next level, ensuring the protection of Estonia alongside our NATO Allies. pic.twitter.com/Lxvf6p8xyJ

— MoD Estonia (@MoD_Estonia) January 9, 2024

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L’Estonie investira 200 M€ dans sa capacité de défense sol-air MISTRAL

Nathan Gain 11 mars, 2024

Après la France, l’Estonie renforcera à son tour son stock de missiles sol-air MISTRAL en 2024, un projet majeur parmi d’autres susceptibles de mobiliser l’industrie de défense française.

Quelque 200 M€ seront investis cette année par la Défense estonienne dans des systèmes MISTRAL, avec pour principal enjeu de « renouveler l’accord-cadre pour garantir la durabilité du cycle de de vie de la capacité ». Entre modernisation des systèmes en service et commande de munitions supplémentaires, l’achat projeté n’est pas davantage détaillé.

L’investissement s’avère majeur pour un pays dont les dépenses de défense ont dépassé le milliard d’euros pour la première fois en 2023. Son budget annuel a triplé depuis 2020 pour atteindre près de 1,4 Md€ cette année, un palier correspondant à plus de 3% du PIB et dont le niveau restera stable jusqu’en 2027.

Dans le « club MISTRAL » depuis plus de 15 ans, l’Estonie déploie cette capacité au sein de bataillons opérant en appui des deux brigades des forces terrestres. Elle est aussi l’un des cinq pays signataires d’une lettre d’intention ouvrant la voie à l’acquisition conjointe de plus de mille missiles. Un dispositif synonymes d’économies d’échelle et au travers duquel la France a commandé 329 MISTRAL 3 en décembre dernier.

L’Estonie investira 3,5 Md€ dans ses systèmes d’armes et munitions au cours des cinq prochaines années, un effort pour lequel la filière française aura des solutions à proposer. Exemple parmi d’autres, « la capacité de feu indirect gagnera encore en puissance dans le future : cette année, nous entamerons l’acquisition d’obusiers automoteurs à roues et de munitions rôdeuses », annonce Ramil Lipp, responsable des armements au sein du Centre estonien pour les investissements de défense (ECDI).

Une enveloppe de 250 M€ est ainsi prévue sur 2024-2025 pour se doter de nouvelles pièces de 155 mm complémentaires des K9 déjà en service. L’occasion pour Nexter (KNDS France) de placer son CAESAR et pour l’Estonie de renforcer l’interopérabilité non seulement avec le partenaire français, présent dans le nord du pays avec un sous-groupement tactique interarmes dans le cadre de la mission Lynx, mais aussi avec la Lituanie, dont l’armée bénéficiera du CAESAR Mk 2 à compter de 2027.

https://www.forcesoperations.com/lestonie-investira-200-me-dans-sa-capacite-de-defense-sol-air-mistral/  

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L’Estonie envisage « sérieusement » d’envoyer des troupes dans l’ouest de l’Ukraine

PAR LAURENT LAGNEAU · 14 MAI 2024



En février, l’hypothèse d’un envoi de troupes occidentales – en l’occurrence françaises – en Ukraine évoquée par le président Macron donna lieu à bien des commentaires et des polémiques… d’autant plus que, à l’époque, le gouvernement ukrainien peinait à faire adopter une loi sur la mobilisation militaire.

« Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre », avait-il en effet déclaré.

Peu après, le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, expliqua le propos du locataire de l’Élysée. « Nous devons envisager de nouvelles actions de soutien à l’Ukraine. Celles-ci doivent répondre à des besoins très précis, je pense notamment au déminage, au cyber, à la production d’armes sur place, sur le territoire ukrainien », avait-il dit à l’Assemblée. Et d’ajouter : « Certaines de ces actions pourraient nécessiter une présence sur le territoire ukrainien, sans franchir le seuil de belligérance. Rien ne doit être exclu. C’était et c’est toujours la position aujourd’hui du président de la République ».

Plusieurs membres de l’Otan, et non des moindres, comme les États-Unis et l’Allemagne, ont catégoriquement rejeté l’idée d’envoyer leurs troupes en Ukraine. D’autres ont adopté une position plus nuancée, à l’image des Pays-Bas, de l’Estonie et de la République tchèque.

Toujours est-il que, les semaines suivants, M. Macron a régulièrement évoqué un possible déploiement de troupes au sol en Ukraine, ce que la Russie n’a d’ailleurs pas manqué d’exploiter sur le terrain de la guerre informationnelle, en diffusant une fausse information sur la présence de légionnaires du 3e Régiment Étranger d’Infanterie [REI] auprès des forces ukrainiennes.

« Cette fausse information est relayée par des acteurs qui ont pourtant bénéficié jusqu’à présent d’une forme de crédibilité. Je la démens », a récemment réagi le général Pierre Schill, le chef d’état-major des l’armée de Terre [CEMAT], via LinkedIn. « Une telle affirmation, qui s’ajoute à d’autres du même type, est une réaction aux propos du président de la République qui a mentionné ces dernières semaines l’hypothèse d’un envoi de troupes au sol en Ukraine, parce que ‘rien ne doit être exclu' », a-t-il ajouté, avant d’estimer que la réaction russe montre que « le message » a été « bien reçu, ce qui est une forme de mesure d’efficacité ».

Quoi qu’il en soit, dans un entretien accordé à l’influent hebdomadaire britannique The Economist, début mai, M. Macron avait donné le sentiment d’avoir levé l’ambiguïté sur les conditions d’un envoi de troupes en Ukraine. « Si les Russes devaient aller percer les lignes de front, s’il y avait une demande ukrainienne – ce qui n’est pas le cas aujourd’hui – on devrait légitimement se poser la question », a-t-il dit.

Puis, une semaine plus tard, le chef de l’État a remis une pièce dans la machine lors d’un dialogue sur l’Union européenne avec des usagers des réseaux sociaux. À la question « allons-nous partir en guerre ? » posée par l’un d’entre eux, il a répondu : « L’Ukraine a été attaquée par la Russie, et à un moment donné, il faut qu’on arrive à dissuader la Russie de continuer à avancer. En Ukraine se jouent la souveraineté et l’intégrité du territoire de ce pays. Mais se joue aussi l’état de droit, nos règles communes. Et si on laisse faire en Ukraine c’est la loi du plus fort. Et on ne peut pas être en sécurité, ça se passe à 1500 kilomètres de chez nous ».

« Nous-mêmes, on perdrait toute crédibilité et sécurité ce faisant. Donc, on joue beaucoup de notre avenir et de notre sécurité en Ukraine. […] Il faut donc livrer plus de matériel aux Ukrainiens, mais on doit dire aussi à un moment donné si les Russes vont trop loin, nous tous Européens. On doit être prêts à agir pour les en dissuader », a poursuivi M. Macron. « Donc non, j’espère de toutes mes forces qu’on n’aura pas à partir en guerre. Non, la France n’est pas une puissance de guerre, mais une puissance de paix », a-t-il conclu.

En attendant, alors que les forces russes semblent progresser dans le secteur de Kharkiv tout en accentuant leur pression dans le Donbass, l’idée de déployer des troupes en Ukraine fait son chemin en Estonie. Mais il n’est pas question de prendre part aux combats, la mission des soldats estoniens devant se limiter essentiellement aux tâches logistiques et éventuellement à la formation.

En effet, Madis Roll, le conseiller à la sécurité nationale du président Alar Karis, a confié à Breaking Defense que le gouvernement estonien discutait « sérieusement » de la possibilité de déployer des troupes dans l’ouest de l’Ukraine, afin de « soulager » les forces ukrainiennes en effectuant à leur place certaines missions liées au soutien.

« Nous devrions examiner toutes les possibilités. Nous ne devrions pas avoir l’esprit limité quant à ce que nous pouvons faire », a fait valoir M. Roll. Cependant, a-t-il ajouté, Tallinn préférerait qu’une telle mission soit menée dans le cadre d’une collaboration avec l’Otan, afin de « montrer une force et une détermination combinées plus larges ». En outre, il a estimé que des alliés jusqu’ici opposés à l’envoi de troupes en Ukraine pourraient changer d’avis.


https://www.opex360.com/2024/05/14/lestonie-envisage-serieusement-denvoyer-des-troupes-dans-louest-de-lukraine/  

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 19.06.2024

L'Estonie confirme l'achat de 12 canons Caesar


Le ministère de la Défense estonien a annoncé l'achat de 12 canons Caesar pour équiper un bataillon d'artillerie.

Dans un communiqué, Hanno Pevkur, le ministre de la Défense, a précisé que "le développement d'un bataillon d'artillerie équipés de canons automoteurs à roues est l'une des priorités de l'actuel plan de développement de la défense nationale estonienne. Nous sommes heureux que l'industrie française soit en mesure de fournir dès cette année six obusiers, ainsi que l'ensemble de la formation et des pièces de rechange nécessaires dans des délais adaptés aux délais urgents de développement des capacités de l'Estonie".


https://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2024/06/19/l-estonie-confirme-l-achat-de-12-canons-caesar-24708.html  

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 Estonian military to receive Turkish-made armored vehicles


NEWSARMY By Dylan Malyasov Jun 30, 2024


Photo by Ömer Taha Çetin/AA


Estonian President Alar Karis recently visited Nurol Makina, a leading manufacturer in the Turkish defense industry.

During his visit, Karis was accompanied by a delegation that included Estonian Ambassador to Ankara Väino Reinart and Turkish Ambassador to Tallinn Başak Türkoğlu. They were received by Vice President of Defense Industry Mustafa Murat Şeker, Deputy Chairman of Nurol Holding Oğuz Çarmıklı, Board Member of Nurol Holding Gürol Çarmıklı, and Nurol Makina CEO Engin Aykol.

Karis toured the facilities and inspected various military vehicles, with particular focus on the YÖRÜK 4X4 (known internationally as the NMS 4X4), which has been produced for Estonia. Highlighting the importance of quick delivery times, Karis remarked on the increasing geopolitical and security tensions in their region.

In his speech, Karis said, “We chose Nurol Makina to meet our defense forces’ needs due to its high-quality products, durability, and swift delivery schedules.” He emphasized the significance of rapid delivery times, stating, “The geopolitical situation and security environment in our region have become more tense than they have been for decades.”


Referring to future security challenges, Karis stated, “Your products have been tested in combat. Turkey has extensive experience in modern warfare, and this is directly reflected in the development of your armored vehicles and military equipment. The war in Ukraine has shown the need to increase allied defense industry capacity, and Turkey is certainly a pioneer and role model with its innovative and capable defense industry. Additionally, we value the production of the Turkish defense industry because Turkey is an important NATO ally. Both Estonia and Turkey are at the forefront of NATO, and we understand what it means to face the alliance’s main threats directly. Therefore, I am confident that your vehicles will serve our defense forces well in protecting both our country and the alliance as a whole.”

Engin Aykol expressed pride in the visit, stating that Nurol Makina is one of the world’s leading manufacturers of 4X4 armored vehicles. He emphasized that the company focuses all its efforts on perfecting these vehicles, which are designed to meet the needs of different regions, particularly NATO countries.

Aykol noted that Nurol Makina serves more than 20 countries with over 1,700 vehicles that offer high mobility and protection, delivering superior performance and cost-effectiveness.


https://defence-blog.com/estonian-military-to-receive-turkish-made-armored-vehicles/

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 Un contrat de 100 M€ pour le soutien des CAESAR estoniens


Nathan Gain 16 août, 2024

Quelques mois séparent l’armée estonienne de la réception de ses premiers canons CAESAR, des pièces dont KNDS France assurera le soutien via un accord-cadre officialisé aujourd’hui.

Pas d’équipements neufs sans le soutien associé. L’Estonie l’a bien compris en signant le 19 juin dernier un contrat pour l’acquisition de 12 CAESAR 6×6 Mk I, une tranche ferme à laquelle s’ajoute une option pour six pièces supplémentaires. Derrière ces pièces livrées à compter de dès cette année, KNDS France se voyait notifié d’un autre contrat majeur.

Conclu pour une durée de 20 ans et attribué sans mise en concurrence, cet accord-cadre verra l’industriel français assurer la « customisation » et le maintien en condition opérationnelle durant tout le cycle de vie du parc. Montant estimé de l’investissement ? Jusqu’à 100 M€, indique une annonce publiée ce matin sur la plateforme d’achats publics estonienne.

Ces 12 CAESAR permettront à l’armée estonienne de former un troisième bataillon d’appui-feu indirect en parallèle aux deux dotés à terme de 36 systèmes chenillés coréens K9 Kõu. Une capacité complémentaire placée sous le commandement direct de la division et pour laquelle Tallinn a prévu d’investir 250 M€ sur 2024-2025.


https://www.forcesoperations.com/un-contrat-de-100-me-pour-le-soutien-des-caesar-estoniens/