Relations séculaires Maroc-USA

Sujet: Relations séculaires Maroc-USA Mar 13 Oct 2009 - 10:23

Rappel du premier message :

Tout ce qui concerne cette relation(histoire/politique/coopération tout genre..)

Citation :: L'histoire peu connue de Mostapha Zemmouri au 16è siècle, l'autre illustration des relations séculaires Maroc-USA

Washington - Né à Azemmour aux environs de 1503, au moment où cette partie du Maroc était encore sous occupation portugaise, Mostapha Zemmouri, décédé au Texas en 1539, représente l'autre illustration des relations séculaires maroco-américaines, une histoire peu relatée par les manuels d'histoire.
Par Fouad ARIF

Mostpaha Zemmouri, plus connu sous le nom d'Estebanico, a été vendu à un noble espagnol avec lequel il prit part à une expédition maritime visant à conquérir la Floride, une entreprise qui échoua, obligeant ce jeune marocain à passer le restant de sa vie au Texas.

Cet exemple a été évoqué lors d'un débat ayant eu lieu, à Washington, dans le cadre de la quatrième Convention annuelle de la Coalition maroco-américaine (10-11 octobre), pour souligner que l'histoire du Maroc et celle de l'Amérique sont liées depuis plusieurs siècles.

Les panélistes ont ainsi "logiquement" mis en doute le fait que l'histoire de Mostapha Zemmouri ait pu être unique à cette période de l'histoire, où une partie non négligeable des populations ibériques était d'origine marocaine, en dépit de la chute de Grenade.

Partant de ce constat, l'assistance à été invitée à considérer s'il est concevable qu'une partie de cette population, dont certains membres étaient dépositaires d'une longue tradition maritime, n'ait pas pu trouver son chemin vers le nouveau monde, à plus forte raison au moment où Christophe Colomb était à la recherche de compétences avérées pour l'aider à aller au-delà de ce qu'offraient les cartes du monde les plus actualisées de cette époque.

Les Maures, comme l'attestent les manuels de l'histoire, maniaient à merveille l'astrolabe, la lecture des cartes et les méthodes de navigation en haute mer en recourant aux étoiles, entre autres outils de navigation maritime révolutionnaires pour cette époque.

Est-il concevable partant de là que ces populations n'aient pas pu faire partie des premières vagues d'immigration vers le nouveau monde? se sont-ils encore interrogés, en appelant les historiens à jeter la lumière sur cette partie de l'histoire maroco-américaine pour la rendre plus connue du grand public.

Une telle entreprise se doit de mettre à contribution les différentes catégories d'âge de l'immigration marocaine aux Etats-Unis, à la faveur d'un engagement dans les différents domaines de la vie américaine, ont-ils dit, en attirant l'attention sur la réussite de plusieurs Marocains qui sont aujourd'hui des chercheurs à la NASA, au laboratoire national de Los Alamo ainsi qu'à Wall Street ou encore au sein de plusieurs entreprises US de renommée internationale.

Investir ces domaines de recherche de l'histoire, ont-ils affirmé, aiderait les 150.000 Marocains établis aux Etats-Unis à connaître cette partie de l'histoire pour mieux se projeter dans l'avenir et s'approprier le rêve américain tout en restant fidèles à leur héritage et patrimoine marocains.

Fort de la richesse et la diversité de la culture marocaine, plusieurs ont soutenu que "le génie marocain est tout à fait à même d'investir le +main stream+ américain et la culture populaire de ce pays", en plaçant notamment sur le marché des produits marocains, qui pourraient grâce à leur originalité creuser leur sillon dans l'American Way of Life, aux côtés des symboles que sont McDonald's et les produits dérivés d'Hollywood.

Le génie marocain, ont-ils fait observer, peut laisser sa marque sur le marché et la culture américaines, fort de l'attrait dont fait l'objet le Maroc dans la conscience commune US, de la reconnaissance de la jeune République des Etats-Unis, en passant par la place qu'occupe dans l'imaginaire des américains des villes comme Casablanca, rendue célèbre grâce au film éponyme, avec la prestation magistrale de Humphrey Bogart, Tanger qui abrite en la légation américaine, l'unique patrimoine US dans le monde hors territoire des Etats-Unis, ou encore Essaouira, immortalisé par Orsen Welles avec son adaptation culte d'Othello.

Les discussions des différents panels tout au long de deux jours ont été unanimes à résumer que "la culture marocaine est naturellement pourvue pour faire sa place au sein du main stream américain grâce à la vitalité et à la diversité de la communauté marocaine vivant aux Etats Unis".

MAP

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http://www.medias24.com/MAROC/Les-plus-de-Medias-24/163990-Droits-de-l-Homme-Reponse-diplomatique-de-l-ambassade-des-USA-a-Hassad.html

Citation :: Droits de l'Homme: Réponse diplomatique de l'ambassade des USA à Hassad

Dans un communiqué, l'ambassade américaine à Rabat livre une réponse diplomatique et mesurée aux propos pourtant cinglants du ministre de l'Intérieur Mohamed Hassad, concernant le dernier rapport du département d'Etat Américain sur les droits de l'Homme.

Voici le texte intégral du communiqué, traduit de l'anglais:

"L’ambassade des Etats-Unis a pris connaissance de la récente déclaration du ministre de l’Intérieur concernant le rapport annuel du département d’Etat américain sur les droits de l’Homme.

"Nous accordons une grande valeur à l’excellente coopération en matière de sécurité et juridique entre le ministère et les organismes américains respectifs, qui représente un aspect crucial de notre partenariat stratégique avec le Maroc. C’est grâce à ce partenariat que nous pouvons avoir les discussions franches que nous avons eues avec le ministère ces dernières semaines.

"Nous accordons de la valeur à ces discussions et nous espérons qu’elles continueront à travers l’année afin de mieux renseigner les rapports annuels de droits de l’Homme sur le Maroc. En outre, nous espérons poursuivre une coopération proche et continue avec le ministère de l’Intérieur sur nos intérêts partagés de sécurité et de droits de l’Homme».

http://www.medias24.com/MAROC/NATION/163991-L-ambassadeur-americain-a-Rabat-convoque-aux-AE-en-presence-de-Yassine-Mansouri.html

Citation :: L'ambassadeur américain à Rabat convoqué aux AE en présence de Yassine Mansouri

Le Maroc tient à aller jusqu’au bout. Après le communiqué du ministère de l’Intérieur, publié mardi17 mai, le dossier est passé au Ministère des Affaires étrangères.

Le Maroc a apporté des "preuves" de manipulations et erreurs qui entachent le rapport du Département d'Etat. Il met en doute "la sincérité du Département d'Etat" américain. C'est désormais crise ouverte entre le Maroc et le département de John Kerry.

L’ambassadeur américain à Rabat a été convoqué ce mercredi 18 mai par le ministre délégué aux Affaires étrangères en présence de Yassine Mansouri, directeur général de la DGED (Direction d’études et de documentation, a déclaré un porte parole du ministère marocain des Affaires étrangères, cité par la MAP.

Lors de cet entretien, il a été exposé à l’ambassadeur américain trois cas confirmant la manipulation avérée et les erreurs factuelles flagrantes qui entachent le rapport du département d’Etat, selon la même source.

“Le gouvernement marocain pense et espère que ces cas concrets ne pourraient être niés par le département d’Etat. Le Maroc, sûr de ses affirmations, détient d’autres preuves sur d’autres cas et dont il est prêt à démontrer le caractère fallacieux“.

“Des allégations graves, comme celles contenues dans le rapport du Département d’Etat, donnent l’impression que les institutions nationales ne remplissent pas leurs taches. Elles constituent même une insulte à leur engagement actif et au dévouement de leurs membres“, ajoute le porte-parole.

“La réaction du porte-parole us confirme le doute du Maroc quant à la sincérité du Département d’Etat et sa disposition à collaborer avec le gouvernement marocain afin que la vérité que nous demandons avec insistance soit restaurée, et que les manipulations et le mensonge soient dénoncés“.

je pense que nous cherchons à provoquer une crise, cela n'a rien avoir avec le rapport , on cherche juste créer un conflit , après pour résoudre le conflit il faudra des négociations , on veut tiré autre chose

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Pro rege, saepe, pro patria semper

اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة

Plus de détails sur les manipulations du US depatment of state :
http://www.mapexpress.ma/actualite/droits-de-lhomme/rapport-du-departement-detat-sur-les-droits-de-lhomme-lambassadeur-us-a-rabat-convoque-par-le-ministre-delegue-aux-ae-en-presence-du-directeur-general-de-la-dged/

Citation :: Rapport du Département d'Etat sur les Droits de l’Homme : L’ambassadeur US à Rabat convoqué par le ministre délégué aux AE en présence du Directeur Général de la DGED | MAP Express

Mercredi, 18 mai, 2016 à 19:10

Rabat – A la suite de la réaction du porte-parole du Département d’Etat rejetant en bloc les affirmations du gouvernement marocain au sujet du contenu mensonger du rapport sur les droits de l’Homme, l’ambassadeur des Etats-Unis à Rabat, M. Dwight Bush, a été convoqué, mercredi, par le ministre délégué aux Affaires Etrangères, M. Nasser Bourita, en présence de M. Mohamed Yassine Mansouri, Directeur Général des Etudes et de la Documentation.

Lors de cet entretien, il a été exposé à l’ambassadeur américain trois cas confirmant ‘’la manipulation avérée et les erreurs factuelles flagrantes qui entachent le rapport du Département d’Etat’’, indique une Déclaration du porte-parole du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération (MAEC).

Le premier cas concerne ‘’Ouafae Charaf’’. En effet, explique le porte-parole, le rapport du Département d’Etat prétend que Mme Ouafae Charaf a été condamnée à deux ans de prison pour avoir fait de « fausses allégations de torture » et « signalé des crimes dont elle connaissait l’inexistence ».

‘’Or, l’enquête judiciaire diligentée et les écoutes légales conduites par le parquet dans ce cadre, ont permis de confirmer, de manière catégorique, que l’intéressée a sciemment inventé le scénario de son présumé enlèvement, et incité les membres de sa propre famille à faire des déclarations mensongères pour corroborer sa thèse’’, ajoute la même source, expliquant que ‘’c’est le motif pour lequel elle a été condamnée, selon les dispositions de la loi marocaine en vigueur, pour “dénonciation calomnieuse”, “présentation de fausses preuves concernant un crime imaginaire” et «outrage à la police judiciaire et un fonctionnaire lors de l’exercice de ses fonctions”’’.

Le deuxième cas est celui de « Oussama Housn ». ‘’Le rapport du Département d’Etat prétend que M. Oussama Housn a été condamné à une peine de 3 ans d’emprisonnement pour avoir fait de « fausses allégations de torture » et « signalé des crimes dont il connaissait l’inexistence »’’.

Or, tient à préciser la déclaration, ‘’l’enquête judiciaire a établi, de manière catégorique, le caractère affabulateur et mensonger des allégations de l’intéressé, puisque son amie a démenti ses affirmations et déclaré qu’il était en sa compagnie au moment même où il prétend avoir fait l’objet d’enlèvement. Des enregistrements vidéo disponibles confirment ces faits’’.

Le troisième cas concerne ‘’Hamid Mahdaoui’’. ‘’Selon le rapport du Département d’Etat américain, « le 29 juin, un tribunal de Casablanca a condamné Hamid Mahdaoui, rédacteur en chef du site web d’informations BADIL, à une peine de quatre mois de prison avec sursis, pour diffamation du chef de la Direction générale de la sûreté nationale, Abdellatif Hammouchi »’’, indique la même source.

Or, poursuit le porte-parole, ‘’les faits rapportés par le rapport n’ont fait l’objet d’aucune vérification, démontrant ainsi la négligence, voire la mauvaise foi des rédacteurs. Car, M. Hammouchi n’était pas encore en charge de la DGSN au moment des faits allégués contre lui. En fait, la DGSN, dont le Directeur Général de l’époque était M. Bouchaib Rmil, avait déposé, le 5 juin 2014, une plainte à l’encontre de M. Mahdaoui, pour “outrage à travers la déclaration d’un crime dont il connait l’inexistence”, “outrage à corps organisé” et “dénonciation calomnieuse”’’.

‘’Le gouvernement marocain pense et espère que ces cas concrets ne pourraient être niés par le Département d’Etat. Le Maroc, sûr de ses affirmations, détient d’autres preuves sur d’autres cas et dont il est prêt à démontrer le caractère fallacieux’’, souligne la déclaration du porte-parole du MAEC.

‘’Le Maroc est un Etat d’institutions. Il dispose de structures nationales dont la crédibilité et le sérieux sont largement reconnus. Il s’agit d’institutions de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNDH, DIDH, le Médiateur…), de régulation et de gouvernance (HACA, Conseil de la Concurrence, Instance Nationale de probité et de lutte contre la corruption, IRCAM…), ajoute le porte-parole, soulignant que ces institutions, jalouses de leurs attributions, sont les premières concernées par l’évolution de la situation des droits de l’Homme dans le Royaume’’.

‘’Des allégations graves, comme celles contenues dans le rapport du Département d’Etat, donnent l’impression que ces institutions ne remplissent pas leurs tâches. Elles constituent même une insulte à leur engagement actif et au dévouement de leurs membres’’, déplore le porte-parole.

‘’La réaction du porte- parole américain confirme le doute du Maroc quant à la sincérité du Département d’Etat et sa disposition à collaborer « avec le gouvernement marocain afin que la vérité que nous demandons avec insistance soit restaurée, et que les manipulations et le mensonge soient dénoncés », comme demandé par le communiqué du Ministère de l’Intérieur publié hier’’ mardi, indique la même source. ‘’De même, ajoute-t-on, l’acharnement des rédacteurs du rapport, quitte à dénaturer les faits, pousse le gouvernement du Royaume du Maroc à s’interroger sur les véritables visées et motivations de cet exercice’’.

‘’Confiant en lui-même, le Maroc affirme et confirme le caractère décalé de ce rapport avec la réalité. Le Maroc est prêt à aller jusqu’au bout pour confronter, y compris devant les instances américaines appropriées, les données et pour passer en revue chaque cas évoqué dans le rapport’’, conclut le porte-parole.

leadlord a écrit:: je pense que nous cherchons à provoquer une crise, cela n'a rien avoir avec le rapport , on cherche juste créer un conflit , après pour résoudre le conflit il faudra des négociations , on veut tiré autre chose

Moi je pense que le Maroc veut décrédibiliser le US state depatment de Kerry , en montrant leur mauvaise fois dans les traitements de la relation avec le Maroc qui est un allié de longue date .Essayer aussi de neutraliser leur pouvoir de nuisance sur les intérêts du Maroc durant le temps qu'il leur restes .

Nouer des relations stratégiques avec la Russie et la chine requiert sans doute une certaine liberté de ton, surtout vis à vis de celui qui fait office de "patron".

Je partage l'avis de Leadlord. On charge la barque à dessein. Pour équilibrer la somme des débits, il faudra que le crédit soit élevé. ...

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l'ambassadeur est mal a l'aise

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Citation :: "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996

les russes apportent leur grain de sel :

Citation :: Rapport du département d'Etat: Russia Today prend le parti du Maroc, une prise de position en off' de la Russie?

MÉDIAS - Complicité de circonstance pour accabler les Etats-Unis (dont on sait la qualité des relations avec la Russie) ou manifestation d'une solidarité appelée à durer? Ce mercredi 18 mai, Russia Today, chaîne de télévision d'information en continu financée par l'Etat russe, a publié un article relayant les protestations du Maroc contre le rapport du département d'Etat américain sur la situation des droits de l'Homme.

Tout en rappelant qu'en avril,"la Russie a également critiqué les rapports des Etats Unis sur les droits de l'Homme", l'article reprend les déclarations du délégué du Ministère russe des Affaires étrangères aux droits de l'homme Konstantin Dolgov, qui a déclaré, en 2015, que le rapport du département d'Etat Américain est fondé sur "des clichés idéologiques et les évaluations biaisées" et est présenté "d'une manière didactique inacceptable."

Souvent considérée comme étant un instrument de propagande pour le gouvernement russe et sa politique étrangère, Russia Today est suivie par quelques 70 millions de personnes hebdomadairement, selon les chiffres de la chaîne. 11 millions d'entre eux sont issus d'Afrique et du Moyen orient. L'article sur la partie consacrée au Maroc dans le rapport du département d'Etat a été largement commenté.

http://www.huffpostmaghreb.com/2016/05/18/russie-maroc-rapport-_n_10019114.html?ir=Maroc

mourad27 a écrit:: l'ambassadeur est mal a l'aise

normal c'est la première fois que le MAE filme un ambassadeur convoqué pour protestation

c'est un gars sincère il a été derrière beaucoup d'initiative au profit des jeunes Marocains pour la consolidation des relation entre les deux pays. Mais la politique est cruelle

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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de ce coté je suis d'accord DB est tres actif a la base il est plus business que politique

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Citation :: "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996

venir du festival gnaoua d'essaouira où il avait tombé la veste et fait la fête au siège du MAE pour se faire remonter les bretelles ça doit lui faire quelque chose !

Bien dit shogun,il faut laisser le gouvernement executer leur strategie, c'est tres bien Jouer .kerry est meme entrain de faire timber hillary pour Bernie. Dans cette strategie. C'est le Maroc qui gagnera, car c'est la sécurité qui l'emporte et la le Pentagon et leur generaux sont a100% avec nous,je suis cool,il y a une grande batailles interne chez les democrates.

Citation :: CRG: Le Maroc serait le 1e choix du Pentagone pour l’implantation du nouveau siège d’AFRICOM

Montréal : L'Amérique cherche à déménager le siège du commandement de ses forces militaires pour l’Afrique, l’US AFRICOM, de l’Allemagne vers un pays africain.

En effet, le centre canadien, ‘The Centre for Research on Globalization (CRG)’, basé à Montréal, crée et présidé par l’économiste russo-canadien, d’origine juive, Michel Chossudovsky, a indiqué que le Maroc serait le premier choix du Pentagone pour implanter le nouveau siège du commandement de l’US AFRICOM, actuellement installé à Stuttgart en Allemagne.

Selon le CRG, qui a publié sur son portail web, une note d’analyse consacrée à une nouvelle stratégie militaire américaine en Afrique, Washington serait en train de préparer une vague d'interventions militaires dans toute l'Afrique subsaharienne, et que pour cela, le Pentagone a besoin que le siège du commandement US AFRICOM soit dans un pays africain, qui soit sûr et au bon positionnement stratégique comme le Maroc.

Le CRG a ajouté, qu’actuellement, les USA déploient plus de 6.000 soldats d'opérations spéciales dans au moins 26 endroits différents à travers le continent africain. Et ce nombre sera augmenté dans les années à venir, car Washington entend intensifier ses opérations militaires contre les groupes terroristes sévissant en Afrique.

A ce propos, cité par le CRG, le général US, Darryl Williams a déclaré, lundi:
‘‘AFRICOM prévoit de déployer des troupes US contre daech dans le nord africain, contre Al Shabab à l'est du continent et contre Boko Haram et AQMI en Afrique de l'ouest’’.

A rappeler que nous avons rapporté sur Lemag.ma, le 28 avril dernier, les propos de James S. Robbins, un ancien haut cadre au cabinet du ministre américain de la défense et actuel haut chercheur au Think Tank, ‘The American Foreign Policy Council’, dans lesquels, il proposait la conclusion d’une transaction d’un genre particulier, entre Rabat et Washington.

James S. Robbins a, en effet, indiqué que l’Amérique devrait troquer son soutien au Maroc sur l’affaire du Sahara, contre une acceptation par celui-ci, d’accueillir le siège d’AFRICOM et ses 2000 fonctionnaires militaires et civils.

Il avait écrit :
‘’Le Royaume du Maroc est un choix évident en tant que destination. Une oasis de stabilité dans une région chaotique. C’est un partenaire de longue date des USA et son allié majeur non-OTAN, avec une histoire de coopération en matière de sécurité et de transferts d'armes.’’

Il a ajouté

‘‘Washington pourrait suggérer d’installer AFRICOM à Laayoune, dans la zone contestée, ce qui signifierait un soutien tacite, sinon une reconnaissance explicite de la revendication du Maroc.’’

http://www.lemag.ma/CRG-Le-Maroc-serait-le-1e-choix-du-Pentagone-pour-l-implantation-du-nouveau-siege-d-AFRICOM_a100264.html

Forbes a écrit:: Morocco Steps Up Diplomatic Pressure On US And Europe Over Western Sahara Occupation

On May 18, the Moroccan government summoned the US ambassador in Rabat, Dwight Bush, for a dressing-down over the State Department’s most recent human rights report on the country, as it wages diplomatic battles on several fronts over its occupation of Western Sahara.

A day earlier, the Moroccan Interior Ministry had described the report, published in April, as “outrageous” and “sloppy, biased and quirky”. Bush was summoned to meet Minister Delegate for Foreign Affairs Nasser Bourita and head of the DGED intelligence agency Mohamed Yassine Mansouri, who proceeded to try and pick holes in a number of human rights abuses cited in the report.

However, journalist Brian Whitaker suggests the real reason for the outrage is because of the issue of Western Sahara, which Morocco invaded in 1975 and has since claimed as an integral part of its territory. Morocco’s position is not widely-shared. The US does not recognise the claim and there are numerous critical references to Western Sahara in the latest State Department report. There have also been more than 100 UN resolutions calling for self-determination for the territory, according to Western Sahara Resource Watch, a lobby group.

Morocco has had to deal with a number of recent incidents which further undermine its claim to the territory. In March, UN Secretary General Ban Ki-moon described the situation in Western Sahara as an “occupation”, and in December 2015 a European court threw out a trade deal with Morocco because it also covered Western Sahara. Morocco is now doing its best to fight back.

Europe’s position on the issue is, if anything, more important to Rabat than the view of the US, given the value of trade between Morocco and the European Union (EU). Bilateral trade is worth €37bn a year and 63 per cent of Moroccan exports go to the EU. In addition, the EU is providing aid worth €728m-890m ($800m-980m) a year over the period 2014 to 2017. Morocco also sells fishing rights in its Atlantic waters to EU boats.

In December the EU’s Court of Justice ruled that a four-year-old agriculture deal between the EU and Morocco should be scrapped because it included products from Western Sahara (Morocco already has a free trade deal with the US, which excludes Western Sahara). The case was brought by the Polisario Front, the liberation movement for Western Sahara.

That led Morocco to break off all contact with the EU, its largest trading partner, which it only resumed on 17 March after the EU’s high representative for foreign affairs, Federica Mogherini, visited Rabat on 4 March.

While some major international firms are active in Western Sahara, including French oil company Total which is working in the offshore Anzarane bloc, others have chosen to pull out. Some large investors such as the Norwegian government’s pension fund also exclude deals which involve Western Sahara. And the EFTA free trade association, a group of non-EU countries including Norway, Switzerland, Iceland and Liechtenstein, excludes Western Sahara goods from its free trade deal with Morocco.

However, Morocco does have some friends in Europe. The European Commission is appealing the court’s verdict and the French, German, Belgian and Spanish governments have all criticised the court’s ruling. Morocco’s Minister of Foreign Affairs and Cooperation, Salaheddine Mezouar, was in Paris on May 18 for talks with his French counterpart, Jean-Marc Ayrault. The discussions included Western Sahara and Mezouar thanked France for its “coherent” position on “Moroccan Sahara”, as Rabat prefers to call the territory.

The EU court’s appeal process is likely to take until the end of this year or early next year to complete. At the same time, Morocco and the EU are meant to be negotiating a deep and comprehensive free trade agreement. If the issue of Western Sahara cannot be resolved then that deal seems unlikely to happen. Whether Morocco’s diplomatic efforts will help or not remains to be seen.
##Lien

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Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.

Citation :: Forbes Magazine dénonce “une négligence déconcertante” du Département d’Etat à l’égard du Maroc, “un modèle” régional en matière des droits de l’Homme et de réformes

Washington - Le dernier rapport du Département d’Etat sur la situation des droits de l’Homme au Maroc se démarque par sa “négligence déconcertante” à l’égard du Royaume, “une monarchie constitutionnelle et un modèle régional en matière de réformes, chose rare dans cette partie du monde en proie à l’instabilité et aux doutes”, écrit jeudi Forbes Magazine, dans une analyse, qui pointe du doigt une politique étrangère US marquée par “l’ignorance et l’arrogance”.

“Le Maroc est une monarchie constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale qui se distingue à juste titre comme étant un modèle régional en matière de réformes et d’élections transparentes, chose rare dans un contexte régional marqué par l’instabilité et les doutes”, souligne l’analyse de cette influente publication américaine, qui s’interroge sur les véritables motivations derrière le contenu du dernier rapport de la diplomatie US sur la situation des droits de l’Homme au Maroc, “si ce n’est qu'éloigner les Etats-Unis de leurs amis traditionnels dans le monde en réduisant l’Amérique en un géant isolé dans un monde de plus en plus dangereux”.

Le rapport est d’autant plus inique, biaisé et mal-informé que son contenu s’attaque à un pays “où les droits des minorités religieuses, notamment les marocains de confession juive, sont sauvegardés tout autant d’ailleurs que les droits des femmes par la force de la loi Fondamentale de la nation”, souligne le magazine US, rappelant à ce propos que les institutions gouvernementales, et tout particulièrement le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), s’acquittent avec les honneurs de la mission qui leur est confiée pour la préservation et la consolidation des principes fondamentaux des droits de l’Homme et de l’Etat de droit.

“Le Royaume du Maroc, souligne Forbes Magazine, est l’un des pays les plus libres du continent africain, avec une presse dynamique et des plus inquisitives”.

L’analyse revient, dans ce contexte, sur la convocation mercredi, de l’ambassadeur des Etats-Unis à Rabat, Dwight L. Bush, par le ministre délégué aux Affaires étrangères, M. Nasser Borita, en présence de M. Mohamed Yassine Mansouri, Directeur Général des Etudes et de la Documentation, en faisant observer qu’un tel acte constitue dans la tradition diplomatique “une mesure sévère”.

Les autorités marocaines ont, preuves à l’appui, démontré que les dérapages du rapport du Département d’Etat passent de l’approximation de l’information à son invention pure et simple et de l’appréciation erronée au mensonge, constate l’analyse.

Le magazine revient sur plusieurs cas fallacieux et sans fondements cités dans le document de la diplomatie US, notamment celui de Hamid Mahdaoui qui, selon le rapport du Département d’État, “avait été condamné le 29 juin par un tribunal de Casablanca pour diffamation du Chef de la Direction Générale de la Sûreté Nationale, Abdellatif Hammouchi”. “Seul problème, ironise Forbes magazine, M. Hammouchi n’était pas encore en charge de la DGSN !”.

Et de s’interroger sur les motivations derrière “ces accusations, qui révèlent une négligence caractérisée et une approximation du rapport du Département d’Etat à couper le souffle”.

“Le rapport du Département d’Etat a fait état d'un certain nombre de cas de violations des droits de l’Homme au Maroc sans prendre la peine de vérifier les sources et la véracité de ces allégations mensongères”, dénonce Forbes Magazine qui pointe du doigt les concepteurs actuels de la politique étrangère US qui ont réussi la prouesse d’éloigner l’Amérique de ses alliés traditionnels qui “sont confus et offensés” par cette posture teintée d'“ignorance et d’arrogance”.

http://www.lemag.ma/Forbes-Magazine-denonce-une-negligence-deconcertante-du-Departement-d-Etat-a-l-egard-du-Maroc-un-modele-regional-en_a100325.html

http://www.medias24.com/MAROC/NATION/164021-Pourquoi-Yassine-Mansouri-etait-present-a-la-convocation-de-l-ambassadeur-US-aux-AE.html

Citation :: Pourquoi Yassine Mansouri était présent à la convocation de l’ambassadeur US aux AE

La présence du patron de la DGED lors de la convocation de l’ambassadeur Dwight Bush au ministère des Affaires étrangères a été très remarquée. Que faisait-il dans cette réunion censée sermonner diplomatiquement la première puissance mondiale.

L’ambassadeur américain a été reçu mercredi 18 mai par Nasser Bourita, ministre délégué aux Affaires étrangères, accompagné du directeur de la Direction générale des études et de la documentation Yassine Mansouri après la dénonciation marocaine du contenu du rapport du Département d’Etat.

Survenue au lendemain de la publication d’un communiqué du ministère de l’Intérieur qualifiant le rapport de "mensonger et de scandaleux", cette convocation a été perçue comme la poursuite de l’escalade diplomatique ayant démarré avec la trahison américaine à l’ONU sur le dossier du Sahara.

Selon un haut responsable sécuritaire marocain, joint par Médias 24, l’initiative de le convoquer n’a pas pu être prise au niveau du ministère des Affaires étrangères et de la coopération. "Ni Bourita ni Mezouar ne sont habilités à convoquer le représentant de la première puissance mondiale pour le sermonner. L’injustice faite au Maroc a nécessité une réaction en haut lieu pour remettre les pendules à l’heure avec un département d’Etat qui n’a jamais porté le Royaume dans son cœur."

Notre interlocuteur qui connaît bien le département de John Kerry affirme que la présence du chef du contre-espionnage lors de la convocation de l’ambassadeur américain au MAEC s’explique par sa capacité professionnelle et humaine à réfuter objectivement les critiques américaines infondées.

"Yassine Mansouri est mieux placé que quiconque pour démonter les allégations d’atteintes aux droits de l’Homme contenues dans le rapport. C’est certainement sa connaissance des dossiers et son éloquence qui sont à l’origine de son casting pour recevoir Dwight Bush."

La décision de le choisir à la place de Abdellatif Hammouchi, chef de la DGST, s’expliquerait surtout par sa proximité et les liens qu’il a su tisser avec la CIA depuis sa prise de fonctions à la DGED en 2005.

Contrairement à ce que certains pensent, sa présence n’est pas liée à une tentative d’intimidation car même si le Maroc est un allié stratégique, la 1ère puissance mondiale n’a que des intérêts et pas d’amis qui peuvent la faire plier ou l’impressionner.

Les raisons de sa participation au tête-à-tête entre le ministre délégué et l’ambassadeur américain sont donc d’ordre pratique pour lui permettre de produire des preuves démentant le rapport US.

Au-delà des considérations formelles, l’engagement en pleine lumière de cet homme de l’ombre procèderait d’une volonté de transmettre un message subliminal aux équipes du State Department (SD).

"Par sa présence, il a laissé entendre que le SD devait tenir compte du fait que le Maroc avait d’excellentes relations avec les trois autres centres de décision (Maison Blanche, Pentagone, CIA) que comptent les Etats-Unis. Un avertissement pour que ce département cesse de l’accabler injustement et sacrifie la défense de la sécurité mutuelle", précise notre expert.

Notre source soutient que les turbulences actuelles entre le Maroc et les Etats-Unis proviennent uniquement des équipes démocrates du Département d’Etat qui ont toujours été antimonarchistes.

D’après lui, s’il est peu probable que le prochain rapport américain tienne compte de la mise au point marocaine, cela n’empêchera plus le Maroc de faire entendre ses protestations comme n’a pas hésité à le faire le Roi lors de son discours critique à Ryad.

Même si défier les USA peut paraître risqué pour un petit pays, les autorités jouent la carte de la fin du mandat des équipes d'Obama et misent à la fois sur sa coopération unique avec les services américains et sur l’éventuelle victoire de Hillary Clinton réputée proche du Royaume.

Malgré le fait que John Kirby, porte-parole du SD, ait affirmé, mardi 17 mai, qu’il maintenait les allégations de son rapport, l’ambassadeur à Rabat a préféré juste avant sa réunion avec Bourita et Mansouri mettre en exergue la coopération sécuritaire exemplaire existant entre le Maroc et les USA.

Notre homme de l’ombre conclut que le SD ne publiera sans doute pas de communiqué après la convocation de son ambassadeur pour ne pas alimenter la polémique qui s’éternise depuis la découverte par les Marocains de son soutien déguisé aux positions anti-marocaines de Ban Ki-moon.

""On voit la paille dans l'oeil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien.""

On rentre dans le lard de l'onu, de l'UE de la France des uSa...
J'attends les remarques de ceux qui ne voyaient en nous qu'un soit-disant protectorat.

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""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste.
Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""

Relations séculaires Maroc-USA - Page 11 VUO9YX1

“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”

On reste cool......laisser le gouvernement faire ce qu'il est entrain de faire. Sils veulent l'africom ils doivent tous reconnaitre sans exception que le sahara est Marocain cela est le message,Pentagone agreed mais les politicians ne veulent pas ils veulent l'africom sans la reconnaissance tozz wait and see.

WRANGEL a écrit:: ""On voit la paille dans l'oeil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien.""

On rentre dans le lard de l'onu, de l'UE de la France des uSa...
J'attends les remarques de ceux qui ne voyaient en nous qu'un soit-disant protectorat.

silence radio

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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WRANGEL a écrit:: ""On voit la paille dans l'oeil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien.""

On rentre dans le lard de l'onu, de l'UE de la France des uSa...
J'attends les remarques de ceux qui ne voyaient en nous qu'un soit-disant protectorat.

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http://www.forbes.com/sites/richardminiter/2016/05/19/are-ben-rhodes-and-obama-making-america-a-friendless-giant/#2ccf6ff65526

Citation :: Are Ben Rhodes And Obama Making America A Friendless Giant?
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Richard Miniter

As usual, you learn more from misplaced praise of the Obama Administration’s foreign policy than from direct criticism.

David Samuels meant to lionize Obama’s foreign-policy speechwriter Ben Rhodes, in his recent 9,000-word epic New York Times magazine profile, by showcasing Rhodes’ “insights.” Instead, he documented his arrogance and ignorance. The young advisor bragged about skipping high school classes to smoke pot in Central Park and was breezily dismissive of Washington D.C.’s foreign policy Establishment. “Morons,” he called them.

While far from faultless or blameless, the Establishment—a gaggle of diplomats, spies, professors and military officers—have generally learned languages, spent years in the region of their specialty, read its history and literature and met its peoples. This deserves a measure of respect, even when one disagrees. Most presidential advisors have given them a hearing. Not Rhodes. The former creative-writing student knows better.

Rhodes made it clear that he considers himself superior to them. His ideals and his “mindmeld” with President Obama give him more insight than any one with knowledge of the facts on the ground.

Why do the views of one thirty-something presidential advisor matter? Simple. Rhodes really does have a “mindmeld,” as many Obama advisors call it, with the president. He says what the president thinks and helps shape what the president thinks. Rhodes is a porthole into Obama’s mind.

When judging Obama’s “leading from behind” foreign policy, consider its fruits. Nearly 450,000 Syrians have died since 2011 in a civil war that the president did little to slow or stop. Iran is set to receive billions of dollars in frozen assets while making superficial changes to its nuclear program. ISIS is defiant and triumphant, while its militants bomb European capitals, behead journalists and sell women as slaves.

Outside of the Middle East, Russia is supporting militias on NATO’s doorstep and menacing the Baltic nations, while provocatively skimming its fighter jets off the decks of U.S. warships. China is militarizing disputed Pacific islands, building military bases in Asia and Africa, and developing aircraft-carrier-killer missiles designed to defeat America’s naval dominance.

Even America’s longtime friends and allies are confused, fearful, and, even, offended.

Consider a recent tell-tale example that has gotten little attention in Washington, D.C.: the recent summoning of the U.S. Ambassador to Morocco to that kingdom’s foreign ministry. In diplomatic circles, this is a severe measure.
The State department report claimed that a number of human-rights abuses in that desert kingdom, but didn’t bother to check its sources. (A habit learned from Rhodes’ dismissive attitude toward inconvenient facts?)

U.S. Ambassador Dwight Bush listened politely as Minister Delegate for Foreign Affairs Nasser Bourita and intelligence chief Mohamed Yassine Mansouri presented technical evidence which, the Moroccan government believes, proves the existence of “blatant factual errors that taint the State Department’s report” according to an official Moroccan foreign ministry statement.

Their evidence is pretty compelling. The report cites a woman named Ouafae Charaf as a human-rights victim who was sentenced to two years in prison for “making false allegations of torture” and “reporting crimes that she was aware of their nonexistence.”

A judge-ordered phone tap “confirmed, categorically, that this women invented the script of her alleged abduction, and encouraged members of her own family to make false statements to corroborate her thesis,” according to accounts in the Moroccan press. This is why she was sentenced for making false allegations under Moroccan law.

Another case concerned Osama Housn, who claimed that he was kidnapped by the authorities. Adding insult to injury, the State department reports says that Housn was sentenced to three years in prison for making false allegations.
The cause? The State department published a human rights report on May 13 that stunned one of America’s oldest allies. (Morocco was the first nation to recognize U.S. independence from the British Empire.)
At the time of Housn’s alleged kidnapping, video evidence shows him relaxing with his girlfriend, who later testified against him.

Yet another case concerns Hamid Mahdaoui, who allegedly received a four-month suspended sentence for defaming the head of National Police, Abdellatif Hammouchi. The problem? Hammouchi wasn’t even head of the National Police at the time—a fact easily checked.

All of this could look like a tempest in a teapot. Except that it comes in a context that showcases the shortcomings of Obama’s casual foreign policy.

Hurting allies is never wise. Hurting allies that you need to fight the war on terror is reckless, especially as both ISIS and Al Qaeda in the Islamic Magreb grow in strength in neighboring North African nations.

More importantly, Morocco has been a model of reform. The monarchy has been transformed into a parliamentary democracy, with the king’s powers limited to security and foreign policy. Morocco has been holding local and national elections since 2002—a rarity in the region. Legal protections for Jews and other religious minorities and provisions safeguarding the rights of women have been added to the national constitution. Government institutions, especially its human rights agencies, have led investigations into police and other official abuses and the malefactors have been jailed. Finally, the kingdom enjoys one of the freest and most adversarial presses on the African continent.

So what’s with the drive-by accusations? It bespeaks a sloppiness and carelessness at the State department that is breathtaking to behold.

Rhodes, and his mindmeld partner, the president of the United States, promised to fundamentally transform America’s foreign policy. Did they mean that they would drive away all of America’s friends, leaving her a friendless giant in an increasingly dangerous world?

Some days, it certainly seems so.

Soyez patient mes collegues little by little. study

une strategie ne se fait pas a la hate.

On a commence a eplucher l'oignon ici aux USA Obama et le clan karrin n'ont jamais aime hillary
voila au sujet ben rhodes

Citation :: Here is a quick pop quiz. What happens if we lie to the government? What happens if the government lies to us? Does it matter who does the lying?

Last year, the Obama administration negotiated an agreement with the government of Iran permitting Iran to obtain certain materials for the construction of nuclear facilities. It also permitted the release of tens of billions of dollars in Iranian assets that had been held in U.S. banks and that the courts had frozen, and it lifted trade sanctions. In exchange, certain inspections of Iranian nuclear facilities can occur under certain circumstances.

During the course of the negotiations, many critics made many allegations about whether the Obama administration was telling the truth to Congress and to the American people.

Was there a secret side deal? The administration said no. Were we really negotiating with moderates in the Iranian government, as opposed to the hard-liners depicted in the American media? The administration said yes. Can U.N. or U.S. inspectors examine Iranian nuclear facilities without notice and at any time? The administration said yes.

It appears that this deal is an executive agreement between President Obama and whatever faction he believes is running the government of Iran. That means that it will expire if not renewed at noon on Jan. 20, 2017, when the president’s term ends.

It is not a treaty, because it was not ratified by a two-thirds vote of the Senate, which the Constitution requires for treaties. Yet the Obama administration cut a deal with the Republican congressional leadership, unknown to the Constitution and unheard of in the modern era. That deal provided that the agreement would be valid unless two-thirds of those voting in both houses of Congress objected. They didn’t.

Then last week, the president's deputy national security adviser for strategic communications, Ben Rhodes, who managed the negotiations with Iran, told The New York Times that he lied when he spoke to Congress and the press about the very issues critics were complaining about. He defended his lies as necessary to dull irrational congressional fears of the Iranian government.

I am not addressing the merits of the deal, though I think that the more Iran is reaccepted into the culture of civilized nations the more economic freedom will come about for Iranians. And where there is economic freedom, personal liberties cannot be far behind.

I am addressing the issue of lying. Rhodes’ interview set off a firestorm of criticism and “I told you so” critiques in Capitol Hill, and the House Oversight and Government Reform Committee summoned him to explain his behavior. It wanted to know whether he told the truth to Congress and the public during the negotiations or he told the truth to The New York Times last week.

He apparently dreads answering that question, so he refused to appear and testify. One wonders how serious this congressional committee is, because it merely requested Rhodes’ appearance; it did not subpoena him. A congressional subpoena has the force of law and requires either compliance or interference by a federal court. Rhodes’ stated reason for not testifying is a claim of privilege.

What is a privilege? It is the ability under the law to hide the truth in order to preserve open communications. It is a judgment by lawmakers and judges that in certain narrowly defined circumstances, freedom of communication is a greater good than exposing the truth.

Hence the attorney/client and priest/penitent and physician/patient privileges have been written into the law so that people can freely tell their lawyers, priests and doctors what they need to tell them without fear that they will repeat what they have heard.

Executive privilege is the ability of the president and his aides to withhold from anyone testimony and documents that reflect military, diplomatic or sensitive national security secrets. This is the privilege that Rhodes has claimed.

Yet the defect in Rhodes’ claim of privilege here is that he has waived it by speaking about the Iranian negotiations to The New York Times. Waiver -- the knowing and intentional giving up of a privilege or a right -- defeats the claim of privilege.

Thus, by speaking to the Times, Rhodes has admitted that the subject of his conversation -- the Iranian negotiations -- is not privileged. One cannot selectively assert executive privilege. Items are either privileged or not, and a privilege, once voluntarily lifted, cannot thereafter successfully be asserted.

The House Oversight and Government Reform Committee should subpoena Rhodes, as well as the Times reporter to whom he spoke, to determine where the truth lies.

It is a crime to lie to the government when communicating to it in an official manner. Just ask Martha Stewart. One cannot lawfully lie under oath or when signing a document one is sending to the government or when answering questions from government agents. Just ask Roger Clemens. Stated differently, if Rhodes told the FBI either what he told Congress or what he told The New York Times -- whichever version was untrue -- he would be exposed to indictment.

Ben Rhodes is one of the president’s closest advisers. They often work together on a several-times-a-day basis. Could he have lied about this Iranian deal without the president's knowing it?

Does anyone care any longer that the government lies to the American people with impunity and prosecutes people when it thinks they have lied to it? Does the government work for us, or do we work for the government?

Andrew P. Napolitano, a former judge of the Superior Court of New Jersey, is the senior judicial analyst at Fox News Channel.

http://www.foxnews.com/opinion/2016/05/19/napolitano-ben-rhodes-obama-white-house-and-issue-lying.html

Etats-Unis : les proches des victimes des attentats du 11 septembre habilités à poursuivre l’Arabie Saoudite

Citation :: Un projet de loi permettant aux familles des victimes du 11 septembre 2011 à poursuivre l’Etat saoudien pour son rôle présumé dans les attentats a été adopté, mardi dernier, par le Sénat américain. Le Sénat a approuvé à l’unanimité cette proposition de loi. A présent, le texte doit être examiné par la Chambre des représentants. Toutefois, le président de cette instance, Paul Ryan, a d’ores et déjà émis des réserves à propos de ce projet de loi qui pourrait avoir de l’impact sur les rapports entre les USA et l’Arabie Saoudite. A noter que les deux chambres du Congrès américain sont actuellement dominées par les Républicains. De son côté, le président américain, Barack Obama, a prévenu qu’il utiliserait son droit de veto à l’égard de ce projet de loi. « Cette loi changerait le droit international traditionnel à l’égard de l’immunité des Etats. Le président des Etats-Unis continue de craindre que cette loi ne rende les Etats-Unis vulnérables dans d’autres systèmes judiciaires partout dans le monde », a expliqué le porte-parole de la présidence américaine, Josh Earnest. En toile de fond, c’est la remise en question du principe de l’immunité qui préoccupe l’administration américaine, mais également et surtout les relations diplomatiques avec Ryad. Tags: 11 septembre, Arabie saoudite, Barack Obama, Congrès américain, Etats-Unis, Josh Earnest, Paul Ryan, Sénat

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Invité

preuve de plus que pour alliance avec usa faut etre hypocrite

J'attends le jour où l'Irak fera la même chose envers les états unis. Idem du Vietnam, Chili etc bref tout les pays où les USA ont mis leur sales pattes !

Allah yn3al li may7cham

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

Relations séculaires Maroc-USA - Page 11 Signat10

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Relations séculaires Maroc-USA

Droits de l'Homme: Réponse diplomatique de l'ambassade des USA à Hassad

L'ambassadeur américain à Rabat convoqué aux AE en présence de Yassine Mansouri

Rapport du Département d'Etat sur les Droits de l’Homme : L’ambassadeur US à Rabat convoqué par le ministre délégué aux AE en présence du Directeur Général de la DGED | MAP Express

Pourquoi Yassine Mansouri était présent à la convocation de l’ambassadeur US aux AE

""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""

“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”

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