Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

si il y a des exceptions Fahd ... et personnellment je crois que le Liban faisaient parti de ces exceptions ... et ca toujours dans le cadre des régimes républicaine

l'expulsion a été bénéfique pour certains marocains beaucoup on recommencer leur vie en europe

iznassen a écrit:

Missoum a écrit:

Je fais partie d'une famille qui avait beaucoup de terres du côté de Saidia (Merzakane, Bouchaqour, 3Ajroud) pour ceux qui connaissent,

Il n'y pas eu comme en Algérie d'expulsions violentes, cela il faut le reconnaitre, mais très tôt dés l'indépendance les vexations ont commencé, certains pour garder leurs terres et leurs biens ont étés obligées de demander la nationalité marocaine, un algérien ne pouvait plus ni vendre ni acheter de terres (même s'il n'y avait pas de lois dans ce sens, en pratique cela était quasiment impossible à moins de trouver un prête-nom),

on nous a depossédés progressivement de plus de 18 ha de terres agricoles fertiles,(certaines desormais font parties du projet Fadesa) mais personne n'en tient rigueur aux Marocains dans ma famille, mon grand père (Allah Yera7mou) disait que si le Maroc a besoin de ces terres pour faire vivre ses enfants qu'il les prenne, on est rentré en 76 à Oran sans un sou en poche, il faut tourner la page,

au final on est arrivé au même résultat avec du coté algérien je dois le reconnaitre une brutalité qu'on aurait pû éviter, ces histoires d'indemnisation sont stupides, ferme là et Khdam bladak (pour les 2 côtés)

salam alikom,
saha ftourak , je connais tou ces coins , c'est ma région natale , l'algerie a ouvert un dossier tres compliqué ..
mais pour mieu comprendre , il faut retourner en arriere ,ta famille et les algeriens du maroc sont pour le protectorat français des français avec beaucoup plus d'avantage qu'un marocain ,d'apres ce qu'on me raconte mon pere et mes ancetres , khla dar bouh celui qui a un conflit avec un algerien
(deuxieme fransis ).

exactement pendant le protectorat français , la lois au maroc ne permet pas un français nasrani de posseder des terres , donc , les français ont trouver des trous dans cet lois , pour se faire , un marocain ven ces terres a un algerien (le passeur )qui lui vendra ces terres a un français ..avec l'arrivée des français , il ya des familles algeriennes qui sont venu avec rien , et qui sont devenu des bourgeois de la région , une certaine famille belhadj pas exemple (un politicien marocain actuellement ) et beaucoup d'autres.
ces algeriens ont eu cet richesse grace a la france et pas grace a leur travail et crois moi , Mohamed 5 et hassan 2 apres lui ils n'ont fait qu'a remettre les terres a ses vrais proprietaires .
je te demande de poser la question autrement , pas pourquoi le maroc a obligé ces algeriens de quitter ces terres , mais comment ces algeriens (qui sont venu avec la france ) ont arrivé a devenir propritaires des centaines d'hectars de terres agricoles fertiles??

Je peux t'assurer que mon arriere grand père n'a beneficié d'aucun coup de main français, on habitait à Msirda Fouaga, il s'est disputé avec un colon, lui et son cousin l'ont egorgé et se sont sauvés au Maroc abandonnant des terres etc ... Ils se sont fait oublier au Maroc Espagnol, aujourd'hui encore j'ai de la famille eloignée à Nador, apres mon arriere grand pere est revenu faire sa vie en changeant de nom à Saidia, au dela des expulsions il reste beaucoup d'Algériens au Maroc et beaucoup de Marocains en Algérie, il reste enormement de Marocains à Oran par exemple, je crois que ces derniers et leurs descendants sont plus que les 300 000 officiellement recensés et c'est tant mieux,

je crois que l'indemnisation est compliquée, ma famille devra t-elle demandé le prix du M2 de 76 ou celui de 2010 ??? Si c'est celui de 2010 je suis d'accord j'arrête de travailler, 18 ha à Saidia et dans les environs ça doit valoir son pesant d'€UROS, non c'est pas raisonnable, le seul chose que je demande aux autorités marocaines de respecter le cimetiere de Sidi Merzoug à Saidia ou sont enterres 3 de mes freres morts en bas âge, il parait que la nouvelle autoroute passe par là

c'est les notres qui ont beaucoup souffert dans cette histoire jeter un coup d'oeil sur ces videos .








https://www.dailymotion.com/video/x6fsqp_marocains-expulses-d-algerie-1-5_news

les marocains respectent les cimetieres ( muslim, juif ou chretien ).

ils avait même pas conscience du mal qu'il fesait a leur freres ennocent. ( allahoma hada monkar )

re missoum ,
j'accuse pas ta famille , mais je sais que l'etat français a tou fait pour soutenir les algeriens a avoir des terres dans la région orientale .

j'ai des membres de ma famille enterrer à sidi marzoug et l'etat connait tres bien la mentalité des marocains de l'oriental.. elle ne fera jamais cette connerie .

ma tante et sa petite famille ont ete expulser de belabbas par boumadien , ils ont laisser une grande maison avec jardin, traité comme des criminels , et ce n'est pas le cas pour les algeriens du maroc , qui vivent depuis tjrs entre nous , ils ont jamais vu ce que les marocains de l'algerie ont vécu .

je suis d'accord avec les amis , l'algerie a fait beaucoup de mal et si les dossiers seront ouverts un jour , je crois , qu'elle payera plus , beaucoup plus que le maroc.

Missoum a écrit:

Je fais partie d'une famille qui avait beaucoup de terres du côté de Saidia (Merzakane, Bouchaqour, 3Ajroud) pour ceux qui connaissent,

Il n'y pas eu comme en Algérie d'expulsions violentes, cela il faut le reconnaitre, mais très tôt dés l'indépendance les vexations ont commencé, certains pour garder leurs terres et leurs biens ont étés obligées de demander la nationalité marocaine, un algérien ne pouvait plus ni vendre ni acheter de terres (même s'il n'y avait pas de lois dans ce sens, en pratique cela était quasiment impossible à moins de trouver un prête-nom),

on nous a depossédés progressivement de plus de 18 ha de terres agricoles fertiles,(certaines desormais font parties du projet Fadesa) mais personne n'en tient rigueur aux Marocains dans ma famille, mon grand père (Allah Yera7mou) disait que si le Maroc a besoin de ces terres pour faire vivre ses enfants qu'il les prenne, on est rentré en 76 à Oran sans un sou en poche, il faut tourner la page,

au final on est arrivé au même résultat avec du coté algérien je dois le reconnaitre une brutalité qu'on aurait pû éviter, ces histoires d'indemnisation sont stupides, ferme là et Khdam bladak (pour les 2 côtés)

Missoum mon frere yatik assaha.
T’à raison sur toute la ligne, je suis heureux de te lire.
Combien nous faut' il d'hommes sages comme toi de part et d'autre pour comprendre que fouiner dans le passé ne ramène rien de bon que c'est stérile et illusoire.
Moi aussi mes ancêtres on vécu dans une bande frontalière du sud ouest qui comprenez le majestueux Djebel BNI SMIR et Djebel AMOUR jusqu'a BOU ARFA, FIGUIG, ICH.
Pour les connaisseur les Djebel BNI SMIR et Djebel AMOUR on était le théâtre de glorieuses bataille entre l'armée française et les moudjahidine de l'ALN.
Aujourd’hui des endroits parelle devrais être des musés a ciel ouvert témoignant la fraternité algero-marocaine. Au lieu de cela Djebel BNI SMIR est occupé par les militaires des deux pays qui se regarde en chiens de fiance nous empêchant de nous recueillir sur la terre de nos ancêtres

Dieu m'est témoin que j'ai toujours pensé (comme beaucoup d'Algériens d'ailleurs) que l'expulsion des Marocains en 76 était un acte ignoble,

après le contentieux entre nos 2 pays ne date pas de 76, les Marocains non plus ne sont pas tout blancs, il faut le reconnaitre, en Algérie on considère que le Maroc a agressé l'Algérie en 63, et en 94 vous n'avez pas pris de gants avec les Algériens présents au Maroc près les attentats de Marrakech, Li Fat Mat,

personnellement je considere que de l'Atlantique aux Aures il n' y a pas 2 peuples frères mais un seul, je
connais beaucoup de Chaouis (d'Algérie pas ceux du Maroc ) qui ont plus d'affinités avec les Marocains qu'avec les Tunisiens, pourtant ils sont frontaliers avec les Tunisiens et le Maroc est à 1000 kms !

Je crois que c'était Bechir Ben A7med de Jeune Afrique qui disait un truc comme de l'Atlantique aux Aures el Mouss Ya8dar après jusqu'au Proche Orient c'était la balance du marchand, bon c'est caricatural mais ça montre l'absurdité de la situation, Rabi Ya8di El Djami3

Je crois que le ministre algérien ne faisait que diversion. Et qu'il se fout royalement du fond du dossier, ce qui fait qu'il n'a pas besoin d'en savoir long sur le sujet (en réponse à la remarque de Boubou et Lida).
Sincèrement, croyez vous vraiment que ce ministre se soucie autant des biens des Algériens au Maroc ? Et c'est la même chose du côté marocain. Des deux côtés, ces questions sont bassement instrumentalisées dans la guerre froide que se livrent Maroc et Algérie.
Il faut une très grande maturité d'esprit et un niveau élevé de conscience politique, dans le sens noble du terme, au niveau des deux gouvernements pour qu'ils puissent poser ce dossier sur une table de négociation. Il faut que les deux parties raisonnent en terme de justice envers les victimes et de règlement des contentieux qui peuvent encore assombrir les relations entre les deux pays et les deux peuples pour avoir le courage politique d'entamer une telle démarche. Aucune des deux parties ne doit raisonner en terme de solde des gains et des pertes à l'issue d'un tel règlement. C'est le sens de la justice et de la qualité des relations historiques entre les eux pays qui doit prévaloir. Voyez vous nos deux gouvernements raisonner ainsi ?
Nous en sommes encore à nous mettre mutuellement des bâtons dans les roues, à nous insulter les uns les autres, alors régler un problème aussi épineux
Je ne prétendrais pas à une totale objectivité, puisque je suis marocain, mais je ne manque jamais l'occasion de demander à un algérien s'il est conscient jusqu'à quel point le problème crée par l'Algérie au Maroc, au niveau de son intégrité territoriale, nous a enquiquiner l'existence ? Sur un certain forum algérien, j'ai lu une fois un membre écrire à ce sujet que c'était une bonne chose que le Maroc soit autant empêtrés dans ce problème, car de la sorte, il allait 'oublier' la question des territoires frontaliers anciennement marocains et actuellement algériens.
Ça prouve que les Algériens n'ont jamais compris la mentalité de feu Hassan II. Ce très bon connaisseur de l'histoire maghrébine savait aussi bien que certains territoires algériens étaient véritablement marocains à une époque, mais que le Maroc n'était pas prêt de les récupérer. Ce concept de "Maroc historique" qui semble tant susciter la colère des responsables politiques algériens, Hassan II le voyait d'une manière très particulière, en intellectuel connaissant parfaitement ce que voulait dire 'bouleversements historiques'. Il est évident que le Maroc ne va pas s'étendre un jour à l'ensemble de l'espace territoriale qu'il a occupé du temps des Almohades, ni même celui des Alaouites avant l'occupation française. Hassan II voyait la reconstitution de ce Maroc historique dans la limite de ce qu'il pouvait obtenir des anciens colonisateurs. Les territoires restés sous autorités françaises jusqu'à l'indépendance de l'Algérie, ce ne sont certainement pas les jeunes dirigeants révolutionnaires gauchisants algériens qui allait se mettre à consulter les vielles cartes et les documents historiques des dîtes régions pour en mettre en cause la souveraineté. "On y est, on y reste", c'était aussi simple dans leur esprit, surtout face à un monarque, alors qu'ils étaient tous anti-monarchistes.
La Mauritanie et ses mines de fer de Zouérat, les Français ne nous l'aurait pas lâchée, même s'ils devaient nous faire la guerre à ce sujet, ce qui est d'ailleurs arrivé en 1958, lors de l'assaut donné par l'ALN sud, dirigée par Hassan II en personne, alors prince héritier. Il nous restait le Sahara et à ce sujet, Hassan II n'a pas lâché prise.
Avec un tant soi peu de vision à long terme, les dirigeants algériens auraient pu trouver un terrain d'entente avec Hassan II, qui avait d'ailleurs renoncé à toute revendication sur Tindouf, par exemple. Après le Sahara, Hassan II se serait consacré à Sebta et Mellilia, pas aux anciens territoires marocains maintenant algériens. Il n'avait que faire d'une confrontation avec l'Algérie. Il avait des projets bien plus ambitieux, auxquels Boumédienne avait accordé à un moment beaucoup d'intérêt. C'était le fameux projet de la "Ruhr du Maghreb", Tindouf, au lieu d'être un sujet de confrontation, allait devenir le noyau de la future puissance industrielle maghrébine. Mais il a fallu que les dirigeants algériens, sûrs de leur puissance, tentent de s'imposer comme les leaders de la région, en sabotant la récupération par le Maroc de ses provinces du sud. Ils n'ont pas réussi, mais le Maghreb aussi a échoué

QUAND LES ALGERIENS DECOUVRENT LA PUBLICITE.

Citation :

QUAND RENAULT SE MOQUE DES ALGÉRIENS
L’arnaque de la voiture à 40 millions
22 Août 2010 -

Que feriez-vous avec des économies de 400.000 dinars? En tout cas, vous ne pourrez pas acheter une Renault Symbol.

Certains constructeurs automobiles font de la publicité sans se soucier de la clarté du message. C’est le cas du français Renault. Depuis le début du Ramadhan, il y a 12 jours, personne, ou presque, ne peut échapper à ses spots. Ils sont diffusés à la radio et dans les journaux. Que disent-ils? Qu’avec 400.000 dinars (40 millions de centimes), vous pouvez vous payer une Renault Symbol. Le texte complet est le suivant: durant le Ramadhan, tout est possible! Même une Renault Symbol*! Que fait l’astérisque précédant le point d’exclamation? Pour le savoir, il faut lire le texte en bas de la photo du véhicule et en petits caractères. Qu’y lit-on?
Ceci: offre valable pour les clients ayant acheté une Renault Symbol pendant le mois de Ramadhan. Si seulement il suffisait d’acheter un véhicule à son cours habituel pour gagner. Mais ce n’est pas le cas.
Les gagnants seront tirés au sort chaque semaine. Si toutes ces explications données sur le journal ne sont pas satisfaisantes, la réclame vous invite à vous rapprocher de votre agent le plus proche. Et effectivement, il y a eu des clients qui se sont rendus chez les agents. Pas pour avoir des informations complémentaires. Mais pour acheter une Renault à 40 millions. D’où des citoyens floués. Encore que vous pourriez toujours rétorquer que les lecteurs n’ont qu’à lire même les explications données en petits caractères. Mais à la radio? Ce n’est même pas dit à petite voix. Une Renault c’est possible et c’est tout. A ce stade, on se rend compte qu’il n’y a pas que Danone qui pousse le pot trop loin puisque même d’autres Français ont toujours quelque chose à vendre même avec des moyens peu orthodoxes. Sans qu’aucune autorité ne le leur reproche. Il n’y pas de loi, ni de décret sur la publicité. Sauf à interdire la publicité sur l’alcool, ce qui émane du texte de loi sur la santé, tous les autres messages sont diffusables. Pour l’instant, les publicitaires n’ont pas touché aux tabous: le sexe, Dieu et la politique. D’autres gros annonceurs comme les opérateurs de téléphonie mobile sont aussi contrôlés par l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications. Hormis ces exceptions, toutes les organisations, toutes les sociétés, toutes les personnes privées peuvent diffuser les messages qu’elles fabriquent. Pour les entreprises étrangères, le marché de la publicité est presque entièrement entre les mains d’autres sociétés étrangères. D’où une faible valeur ajoutée pour le marché algérien. Il arrive même que des spots télévisés soient tournés à l’étranger. Au début de l’aventure de la publicité à l’écran, les téléspectateurs ont eu droit à des message en coréen. Pour revenir aux caractères, une publicité d’une banque anglaise a été retirée des médias en France et la société contrainte d’expliciter les conditions restrictives d’accès à ses offres. Pourquoi n’y a-t-il rien de semblable en Algérie? C’est pourtant une régulation qui aurait pu avoir la vertu de protéger le consommateur contre des annonceurs qui ont recours à des messages trompeurs dans l’espoir d’attirer un maximum de clients. Encore que le concessionnaire en question occupe déjà une position confortable, la première, sur le marché national.
Qu’est-ce qui justifie alors une méthode de vente si agressive si ce n’est l’appât du gain? Lequel gain prend ensuite la route vers l’autre rive de la Méditerranée. De tels comportements peu respectueux du pays d’accueil ne sont pas uniques.
Quel a été le concessionnaire qui s’est abstenu de se solidariser avec les supporters de l’EN pour se déplacer sur les terrains de bataille des hommes de Saâdane? qui a préféré d’autres cieux que ceux de l’Algérie pour implanter une usine de fabrication automobile?
Parler lors du Ramadhan de promotions en tous genres relève plus du commerce que de toute autre action de charité.
Encore que les conditions de cette offre sont nettement moins avantageuses que celles des autres concessionnaires. En termes de clarté aussi.

Nabil BELBEY

personellement cet article m'a bien fait rire.

allahoma ina hada mounkar !

Citation :

L’association de la Mosquée d’Aghrib à Tizi-ouzou accuse le RCD d’extrémisme


Dans une lettre adressé au président Abdelaziz Bouteflika, l’association religieuse de la mosquée du village d’Aghrib, d’Daïra d’Azzeffoune wilaya de Tizi-Ouzou, a appelé le président de la République à intervenir pour mettre un terme à ce qu’elle a qualifié de « drame de la mosquée d’Aghrib qui vient d’être profanée par les extrémistes et criminels sans foi ni loi ».
La lettre en question est la deuxième du genre que l’association adresse au président de la République et dans laquelle elle l’a appelé à intervenir pour protéger la maison de Dieu de des agressions de extrémistes. « Le rassemblement pour la culture et la démocratie a la main mise sur la wilaya de Tizi-Ouzou et s’oppose à la construction des mosquées »a-t-elle indiqué.
Elle a notamment ajouté : « …toutefois, vous avez abandonné la ville musulmane d’Aghrib et vous avez laissé les ennemis de la religion et de l’Etat nuire à l’Islam …». L’association en question se demande à quoi servirait il de détruire la mosquée d’Aghrib et rappelle que l’Algérie est un pays musulman et qu’à n’importe quelle moment de son histoire aucune l’église par contre n’a pas été détruite. Elle s’est demandé, dans ce sillage, comment ose-t-on porter préjudice aux symboles de l’Islam.
L’association de la mosquée d’Aghrib accuse des élus et parlementaires du rassemblement pour la culture et la démocratie RCD d’être impliqués dans cet acte odieux.
Contacté par El Khabar, le parti de Said Saadi a refusé de commenter les accusations de l’association de la Mosquée d’Aghrib. Le député Mohammed Khandek, membre du bureau national chargé de l’Information a déclaré : « nous répondrons au contenu de cette lettre une fois publiée et son contenu divulgué ».


http://elkhabar.com/quotidienFrEn/lire.php?ida=219832&idc=103

Un membre algérien pourrait-il nous expliquer ce qui sa passe exactement dans ce village d’Aghrib ? Il n'est quand même pas possible de démolir des mosquées en terre d'Islam sans raisons

Samyadams a écrit:

Un membre algérien pourrait-il nous expliquer ce qui sa passe exactement dans ce village d’Aghrib ? Il n'est quand même pas possible de démolir des mosquées en terre d'Islam sans raisons

vivant a Montpellier j'ai constater un certain athéisme chez la population kabyle meme une tendance au christianisme
je pense que le mouvement kabyles dans ces revendications d'autonomie rejète de plus en plus l'islam qui est religion d'état et qui leur a été imposer par la force a ce qu'ils disent
d'où ces événement qui ne m'étonnent finalement pas !!

je serait l'algerie je chasserais tout kabyle non muslman du pays je les combaterais tous. ils ont pas leurs place en algerie s'il ne s'appliquer confremement a la religion islamique.

S'ils en sont arrivés à de tels extrémités, je dirais que la question est devenue très grave. J'ai connu en Europe et même au Maroc des kabyles qui rejetaient l'Islam, mais à titre individuel, mais c'est vrai qu'il y a de cela fort longtemps déjà. Les choses semblent avoir vraiment empirée depuis Maintenant, c'est donc de toute la Kabylie qu'ils cherchent à déraciner l'Islam. Ça va tourner à la guerre civile si ça continue comme ça
J'ai comme l'impression que le DRS algérien, à force de jouer aux apprentis sorciers avec le GSPC, qui est très actif en Kabylie, a fini par révolter les kabyles contre l'Islam, dans lequel ils ont symbolisé toute leur rancœur envers les dirigeants politiques, alors qu'ils étaient déjà frustrés par la politique d'arabisation du pays et le mépris dans lequel les tiens le pouvoir central.
Maintenant, ce problème est entrain de se transformer en une bombe dont l'explosion risque de toucher le Maroc également
@ Aghliass

aghliass a écrit:

je serait l'algerie je chasserais tout kabyle non muslman du pays je les combaterais tous. ils ont pas leurs place en algerie s'il ne s'appliquer confremement a la religion islamique.

Nous ne sommes pas suffisamment informés sur la situation pour émettre un jugement aussi radical. Si c'est le pouvoir centrale qui est responsable de cette situation, ce serait alors les dirigeants actuels qu'il faudrait combattre et chasser

A Aghrib la population locale a reconstruit leur mosquee a fin d'accuillir tous les fideles du village, cette mosquee represente l'Islam traditionel algerien, mais il y a qui a voulu construire une nouvelle mosquee plus en sintonie avec une inspiration plus oriental de l'Islam. Cette zone a ete fortement frape' par le terrorisme, alors pendant une assamble' du village, les reunis deciderent de freiner les traveaux de construction et detruire ce qui etait deja fait, cimentation, il y avait pas encore mosqee construite. Alors aux amis algeriens de me corriger si inexactitude il y a.

Leo Africanus a écrit:

A Aghrib la population locale a reconstruit leur mosquee a fin d'accuillir tous les fideles du village, cette mosquee epresnte l'Islam traditionel algerien, mais il y a qui a voulu construire une nouvelle mosquee plus en sintonie avec une inspiration plus oriental de l'Islam. Cette zone a ete fortement frape' par le terrorisme, alors pendant une assamble' du village, les reunis deciderent de stoppr les traveaux de construction et detruire ce qui etait deja fait, cimentation, il y avait pas encore mosqee construite. Alors aux amis algeriens de me corriger si inexactitude il y a.

Merci Léo pour cette éclairage J'aimerai tant avoir l'avis des membres algériens
Si ce sont les élus même des habitants du village qui refusent la construction de cette nouvelle mosquée, ils sont les mieux placés pour en décider. Nous savons que derrière la construction de certaines mosquées dans nos pays, se cachent souvent des personnes bien mal intentionnées. Il ne faut pas être naïf, au risque de faciliter l'endoctrinement et le recrutement des jeunes par les réseaux terroristes, perpétuant ainsi le cycle infernal de la violence.

Samyadams a écrit:

Un membre algérien pourrait-il nous expliquer ce qui sa passe exactement dans ce village d’Aghrib ? Il n'est quand même pas possible de démolir des mosquées en terre d'Islam sans raisons

en gros c est une petite cellule sectaire salafiste qui veut construire illégalement sa mosquée , malgré l opposition du comité du village qui vient juste de rénover celle du village . Dans cette region quand des salafistes s implantent c est généralement pour pouvoir faire du prosélytisme ( et oui il n y a pas que des evangelistes sur le marché ) et recruter pour les maquis environnant d ou l inquiétude légitime des villageois . A noter aussi qu Aghribs est le village d ou est originaire le Docteur Said Sadi

Citation :

Reportage à Aghribs : «Les salafistes ne feront pas leur loi ici...» DOCUMENT: La déclaration du comité de village d'Aghrib


Les membres du comité de village acquiescent. « Mardi soir, nous avons organisé une assemblée générale du village devant la mosquée Sidi Djaffar qu’on a inaugurée récemment dans la convivialité et la solidarité. Il y avait plus d’un millier de personnes. Parallèlement à l’AG, les salafistes de l’association religieuse étaient sur leur chantier érigé à une cinquantaine de mètres de l’ancienne mosquée. Aussitôt la réunion consacrée au bilan du comité terminée, nos jeunes sont allés résonner le groupuscule qui ne voulait pas entendre raison», déclare le jeune homme. Les pourparlers n’ont pas abouti. Aucun moyen d’instaurer un dialogue apaisé entre les deux parties. Très vite, la colère est montée d’un cran. Les «barbus» commencent à jeter en direction de la foule compacte devant le chantier des barres de fer aiguisées, ce qui a amené les villageois à riposter avec des pierres. C’est l’escalade. Les affrontements ont duré plus de deux heures, selon les témoignages recueillis sur place. On a dénombré plus d’une dizaine de blessés de part et d’autre. La violence gagne en intensité. Des jeunes en colère sont partis ramener un engin des travaux publics de la mairie stationné non loin du village. A l’aide de cet engin, des piliers sont abattus. Le chantier est à présent sens dessus dessous.

«Ils sont dans une logique de provocation et de défi. Mais rien ne se fera sans l’aval du village...»

Achour, un retraité d'une entreprise publique, s’invite dans la discussion. «Ils sont dans une logique de provocation et de défi. Mais rien ne se fera sans l’aval du village. C’est une tradition bien ancrée dans notre village», affirme-t-il. Et de renchérir: «le fait qu’ils ne participent pas à l’assemblée du village et en préférant entreprendre parallèlement des travaux dans ce chantier de la discorde est pour nous une insulte. C’est pour cela qu’ils se dressent toute honte bue contre l’ensemble du village.» Le débat est à présent animé, des voix s’élèvent devant la mosquée ancestrale de Sidi Djaffar. Les esprits s’échauffent. L’arrivée de l’imam pour la prière de l'après-midi écourte le débat. Pour leur part, des membres de l’association religieuse estiment qu’ils sont dans leur plein droit d’ériger cette nouvelle mosquée, dès lors qu’ils ont eu gain de cause au niveau de la justice.

« Il faut préciser que le maire a annulé le permis de construire qu’il leur a délivré une première fois, croyant bien faire»

Un élu à la mairie d’Aghribs nuance en revanche l’euphorie des salafistes. « Il faut préciser que le maire a annulé le permis de construire qu’il leur a délivré une première fois, croyant bien faire», note l’élu. Ce dernier exhibe des documents officiels portant le sceau de la République mettant en demeure les membres de l’association religieuse d’arrêter les travaux du chantier. «Il m’a été donné de constater, encore une fois, que des membres de votre association et des personnes étrangères à la région ont repris les travaux de construction de la mosquée malgré les précédentes mises en demeure et les mises en garde des villageois. De plus, l’affaire étant en justice, toute reprise de travail est considérée comme une infraction grave. Aussi, vous êtes sommés d’arrêter, immédiatement, les travaux, faute de quoi, vous en assumeriez toutes les conséquence», écrit l’édile municipal à l’endroit de l’association religieuse. Le même élu a saisi le wali de Tizi Ouzou sur le même sujet. Même le comité de village a saisi le premier magistrat de la wilaya, mais l’administration se montre à chaque fois ambivalente. Une pétition contre le projet de l’association, signée par l’ensemble des villageois, est déposée auprès des autorités concernées, mais rien n’a été fait, regrette un autre membre du comité de village d’Aghribs.

« Nous allons récupérer le terrain pour en faire une place publique»

C’est depuis son agrément en décembre 2009 que le nouveau comité a essayé de rattraper le temps perdu. Le village a traversé en effet une période de flottement, période mise à profit par les partisans du projet de la nouvelle mosquée pour prendre de court les villageois. Après la création de l’association en mars 2009, des démarches ont été entreprises pour lancer le projet de la nouvelle mosquée. Un terrain est attribué par l’administration à l’association. C’est ce terrain qui est litigieux. Pour le comité, il s’agit d’un bien du village. « Nous allons récupérer le terrain pour en faire une place publique», proclame Dda Salem, un vieux du village. C’est pour la troisième fois que les salafistes ont été empêchés par les citoyens du village Aghribs de continuer les travaux du chantier. C’est pour contrer les visées de l’association religieuse que les villageois se sont mobilisés. Ils ne veulent pas d’une autre mosquée, à plus forte raison si elle est gérée par les salafistes. Le comité s’apprête à rendre publique un communiqué sur cette affaire qui a défrayé la chronique locale. «Nous avons inaugurée la mosquée Sidi Djaffar restaurée à neuf, alors pourquoi une autre mosquée? », s’interroge Arezki qui se dit attaché à l’Islam des ancêtres, tel que pratiqué par Sidi Djaffar.

http://www.dna-algerie.com/politique/42-interieure/337-reportage-a-aghrib-lles-salafistes-ne-feront-pas-leur-loi-icir.html

Samyadams a écrit:

S'ils en sont arrivés à de tels extrémités, je dirais que la question est devenue très grave. J'ai connu en Europe et même au Maroc des kabyles qui rejetaient l'Islam, mais à titre individuel, mais c'est vrai qu'il y a de cela fort longtemps déjà. Les choses semblent avoir vraiment empirée depuis Maintenant, c'est donc de toute la Kabylie qu'ils cherchent à déraciner l'Islam. Ça va tourner à la guerre civile si ça continue comme ça
J'ai comme l'impression que le DRS algérien, à force de jouer aux apprentis sorciers avec le GSPC, qui est très actif en Kabylie, a fini par révolter les kabyles contre l'Islam, dans lequel ils ont symbolisé toute leur rancœur envers les dirigeants politiques, alors qu'ils étaient déjà frustrés par la politique d'arabisation du pays et le mépris dans lequel les tiens le pouvoir central.
Maintenant, ce problème est entrain de se transformer en une bombe dont l'explosion risque de toucher le Maroc également
@ Aghliass

aghliass a écrit:

je serait l'algerie je chasserais tout kabyle non muslman du pays je les combaterais tous. ils ont pas leurs place en algerie s'il ne s'appliquer confremement a la religion islamique.

Nous ne sommes pas suffisamment informés sur la situation pour émettre un jugement aussi radical. Si c'est le pouvoir centrale qui est responsable de cette situation, ce serait alors les dirigeants actuels qu'il faudrait combattre et chasser

quoi qu'il on soit si c'est les autorités locale qui ont commis cette acte surment pour une raison valable. dans cette histoire soit les teroristes tourne dedans soit les extrimistes anti-islam des chritiens kabyle ou des hatté qui ne veulent même pas enttendre le mot de l'islam dans leurs region qui ont commis cet acte. en tout cas pour le moment on ne peut dire que ( allaho a3lam) et attendre les resultas de l'enquête.

Citation :

Grande Distribution : l'Algérie à la traine par rapport au Maroc et à la Tunisie

L’Algérie demeure encore à la traine dans le domaine de la grande distribution par rapport aux autres pays maghrébins. C’est ce que vient de noter le prestigieux cabinet américain AT Kearney.


Dans son palmarès 2010 des pays à fort potentiel pour le commerce de détail, le cabinet américain AT Kearney a fait savoir que l’Algérie a dégringolé de dix places dans son classement. Notre pays est désormais classé au 21ème rang sur un ensemble de trente pays émergents qui ont fait l’objet d’une enquête minutieuse de la part des experts chevronnés de ce cabinet américain.

Ces derniers n’ont pas manqué de souligner que le durcissement des lois sur les investissements étrangers et sur les importations n’encouragent guère le développement de la grande distribution en Algérie.

Mis à part le groupe suisse Valartis, qui a ouvert le 5 août un centre commercial à Alger, et compte en ouvrir d’autres dans le pays, ainsi que les hypermarchés Uno exploité par Numidis, filiale du groupe Cevital, le cabinet AT Kearney fait remarquer que l’Algérie accuse un grande retard par rapport à ces pays voisins. En effet, au Maroc comme en Tunisie, les experts d'AT Kearney constatent une montée en puissance de la grande distribution.

Pour preuve, en Tunisie, le leader Mabrouk (hypermarchés Géant, chaîne Monoprix) comptera en 2011 un nouveau concurrent avec l’ouverture à Sousse, à 150 km au sud de la capitale, d’un Hyper U exploité par le groupe Mhiri. Au sud, à Sfax, les groupes Poulina et Bayahi, actionnaires de la chaîne Magasin Général, annoncent l’implantation d’un hypermarché pour 2012. Quant au Maroc, il en comptera plus d’une quinzaine cette année, qu’il s’agisse des enseignes Marjane, Acima ou Label’Vie.

Malheureusement, ce dynamisme poussé par l'évolution du pouvoir d'achat des classes moyennes dans ces deux pays, n'est nullement perceptible en Algérie. Décidément, dans notre pays, les dellalate ne risquent pas de disparaitre du paysage de sitôt.

http://www.elwatan.com/une/grande-distribution-l-algerie-a-la-traine-par-rapport-au-maroc-et-a-la-tunisie-23-08-2010-87267_108.php

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EDUCATION
L’Algérie compte six millions d’analphabètes

Boubakeur Benbouzid, ministre de l’éducation nationale, a révélé lundi 23 août à Alger que le taux d’analphabétisme en Algérie est estimé à 21 % de la population, soit six millions de personnes. « Le nombre d'analphabètes qui vont rejoindre les bancs de l'école cette année est de un million et demi sur les six millions existants, sachant que le taux actuel d'analphabétisme en Algérie est de 21 % », a affirmé M.Benbouzid lors d’une réunion avec les directeurs de l’éducation des wilayas de l’ouest.

Boubakeur Benbouzid, qui prépare la rentrée scolaire, a également évoqué les mesures prises notamment en direction des nécessiteux. Ainsi près de 3,9 millions d’élèves bénéficieront de livres gratuits. Concernant la prime de scolarité, fixée à 3000 Dinars et qui devrait être distribuée dans la semaine qui suit la rentrée scolaire, elle touchera quelques trois millions d’élèves.

Sur le port du tablier, un sujet qui avait fait couler beaucoup d’encre l’année dernière, le Ministre de l’éducation a indiqué que la mesure est maintenue pour cette année scolaire, avec cependant le choix laissé aux parents d’élèves d’opter pour les couleurs qu’ils souhaitent (rose ou bleu). Dans ce cadre, il a instruit les responsables de l’éducation à ne pas renvoyer un élève ne portant pas de tablier.

Par ailleurs, le ministre a promis que les indemnités des six premiers mois de 2009 seront versées aux enseignants avant l'Aïd el Fitr. Enfin, il a mis en garde contre l’absentéisme des enseignants et des élèves. Des sanctions sont prévues dans ce cadre. Tout comme pour les élèves qui utiliseraient le téléphone portable en classe.

source:TSA

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Bordj Bou Arreridj

Alerte à la viande d’âne !

La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans la paisible ville de Bordj Bou Arreridj. Des carcasses décharnées de deux têtes d’ânes ont été découvertes durant la matinée d’hier par des passants dans une ruelle coincée entre les quartiers populeux de Lagraph et d’El Koucha, non loin du marché de Bordj Bou Arreridj. Les deux crânes découverts sont reconnaissables et il n’y a aucun doute quant à leur appartenance à des équidés.

24 Août 2010, Le Quotidien d'Oran
Des centaines de citoyens ont afflué vers les lieux de cette découverte déplaisante qui laisse planer le doute sur une éventuelle commercialisation de viandes de baudets par des commerçants véreux dans les marchés de cette ville. Les éléments de la sûreté de wilaya de Bordj Bou Arreridj, alertés, sont intervenus sur les lieux de la découverte pour disperser les citoyens qui commençaient à s’agglutiner dans cette ruelle.

L’association locale de défense des consommateurs a lancé hier un appel à la vigilance. Son président, Abdelhamid Zaïdi, a déclaré à l’APS que l’association «déposera plainte» et continuera de travailler avec les services concernés pour intensifier les contrôles de la qualité auprès des bouchers.

Il a aussi «conseillé vivement » aux consommateurs «d’acheter leur viande auprès de leurs bouchers habituels, d’éviter la consommation de merguez et d’exiger que leur viande soit hachée devant leurs yeux». Le directeur du commerce de la wilaya de Bordj Bou Arreridj, Seboui Djilani, a affirmé, de son côté, à l’APS que les services de contrôle relevant de sa direction doivent «acheminer rapidement les deux crânes vers un laboratoire pour analyse».

Il a annoncé l’ouverture d’une enquête dans toutes les boucheries de la ville pour contrôler la qualité de la viande mise en vente. Des brigades volantes sillonnent les boucheries pour relever la moindre infraction aux normes d’hygiène et de sécurité alimentaire. Cette opération de contrôle sera élargie aujourd’hui, par précaution, à d’autres agglomérations de la wilaya. La découverte de ces carcasses décharnées de deux têtes d’ânes à Bordj Bou Arreridj n’est pas un précédent en Algérie.

Dans les années 90, un important réseau de commercialisation de la viande d’âne a été démantelé à Oran suite à la découverte par des citoyens de plusieurs carcasses de baudets abandonnées dans la Sebkha. Les investigations des services de sécurité ont permis de neutraliser ce réseau qui avait des ramifications dans toute la ville.

La viande du baudet était hachée pour dissimuler sa couleur noirâtre avant d’être écoulée dans les boucheries de M’dina J’dida. Quelques années plus tard, en novembre 2003, un autre réseau d’abattage et de distribution de viande d’âne exerçant cette fois-ci dans la capitale avait été démantelé par les services de gendarmerie à El Harrach. Le réseau a réussi à écouler quelque 55 tonnes de viandes d’âne dans les marchés de la capitale.

Le réseau de trafiquants était composé d’une dizaine de personnes, qui bénéficiaient de plusieurs complicités au niveau d’un abattoir où furent abattues les bêtes, notamment des vétérinaires, ainsi que des boucheries, qui réceptionnaient la viande de baudet. L’essentiel de la viande était écoulé dans les quartiers importants de la capitale que sont El Harrach, Bab El Oued, Sidi M’hamed et Réghaïa.

Pas moins de 1.514 bêtes, ramenées de l’ouest du pays (Mostaganem et Sidi Bel- Abbès), avaient été abattues à El Harrach. Le produit était écoulé sous forme de viande hachée, au même prix que celui de la viande ovine. La brigade de la gendarmerie a saisi 1.867 kg de viande de baudet, lors de la perquisition effectuée sur les lieux. Une dizaine de personnes ont été arrêtées pour escroquerie et trafic de viande d’âne.

Sofiane M.

source:presse.dz.com

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Alstom va produire des wagons et du matériel ferroviaire en Algérie : le contrat signé mardi



Attendu de longue date, le contrat de partenariat entre l’entreprise publique Ferrovial et le groupe français Alstom devrait être signé, mardi 24 août, a appris TSA de source proche du ministère des Transports. Ce contrat va formaliser la création d’une société mixte algéro-française pour l'entretien et la maintenance des tramways et de production de wagons et de matériels ferroviaires. La future société sera basée à Annaba.

Le ministre des Transports, Amar Tou, est attendu mardi à Annaba pour une visite de travail. Il devrait assister à la signature de ce contrat historique. Selon nos informations, la répartition du capital de la future entité se fera conformément aux dispositions de la loi algérienne : 49% à Alstom, 51% iront à Ferrovial et à l’Entreprise du métro d’Alger(EMA). Le montant de l’investissement n’a pas été dévoilé par notre source.


Grâce à ce contrat, Alstom devrait bénéficier d’une part importante des 20 milliards de dollars engagés par l’Etat algérien pour le secteur des transports dans le cadre du programme quinquennal 2010/2014, selon nos sources. Celui-ci concerne notamment le développement du secteur ferroviaire national avec la réalisation de 10.400 kilomètres de rail, la réhabilitation de 3500 autres de voies ferrées et l’électrification graduelle de l’ensemble du réseau ferroviaire algérien. Alstom sera également sollicité pour la réalisation de tramways dans dix régions du pays.

TSA

PGM

c'est nous qui commandant un TGV et des ligne de tram a rabat et casa et bientôt tanger et fés et c'est eux qui prennent une usines d'alstom ils me font gerber des fois nos responsables !!
mebrouke pour l'Algérie !!!

pourquoi faire?
je veux bien 2 mag de maintenances qu´une "usine" de trams,est ce profitable a ton avis apres quelques trams montés?
a qui vendre apres au Mali?