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| | Guerre civile en Somalie | |
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Invité Invité
 | Sujet: Guerre civile en Somalie Mar 27 Avr 2010 - 12:23 | |
| Rappel du premier message :Tous les informations sur la guerre en Somalie.. - Citation :
Un groupe lié à Al-Qaeda repousse les pirates somaliens Des combattants d’un groupe lié à Al-Qaeda se déplacent vers le nord de la Somalie, là où sont basés les pirates, ont indiqué des résidents de la région. Les pirates se seraient enfuis et ce groupe islamiste pourrait tenter de mettre fin à la piraterie.
Selon son supposé chef, le groupe de pirates qui retient en otage des plaisanciers britanniques, a fui vers une forêt qui pour échapper aux militants islamistes.
Lundi matin, les pirates ont quitté Haradhere devant l’avancée des militants.
Si les militants du groupe Al-Shabab prennent le contrôle des places fortes de pirates, les plus de 300 otages étrangers retenus par les pirates pourraient être en danger.
Un témoin a indiqué qu’un élément avancé de militants d’Al-Shabab était entré dans Haradhere dimanche soir vers minuit. Ils se sont ensuite retirés.
Un autre résident a indiqué que les pirates avaient commencé à quitter Haradhere en direction de Hobyo, une autre place forte des pirates.
Au cours des dernières années, avec les rançons payées pour libérer les otages, la ville a été envahie par la drogue, l’alcool et la prostitution, ce à quoi la milice ultra-conservatrice Al-Shabab s’est toujours opposée.
Lorsqu’en 2006, l’Union des Tribunaux Islamiques a pris le contrôle de la majeure partie du sud et du centre de la Somalie, elle a réussi à mettre en grande partie fin à la piraterie. Les pirates s’étaient alors retirés vers le nord. Référence :
Arab News (Arabie Saoudite) |
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jf16 General de Division


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 | Sujet: Re: Guerre civile en Somalie Mer 8 Avr 2020 - 22:55 | |
| - Citation :
- Un chef jihadiste somalien de premier plan a été éliminé par une frappe américaine
par Laurent Lagneau · 8 avril 2020

Depuis janvier, les forces américaines multiplient les raids aériens contre les jihadistes somaliens appartenant aux milices shebab, liées à al-Qaïda. En 2019, 51 frappes avaient été effectuées, contre déjà plus d’une trentaine cette année. Et, depuis le début du mois, il ne se passe pratiquement pas un jour sans qu’une nouvelle soit effectuée.
Cette tendance s’est accentuée depuis l’attaque abritant des éléments de l’US Air Force et des prestataires militaires privés à Lamu [Baie de Manda, au sud-est du Kenya], le 5 janvier. D’ailleurs, Bashir Mohamed Mahamoud [alias Bashir Qorgab], l’un des commanditaires de cet assaut, qui fit trois tués [1 militaire et deux sous-traitants américains], a été visé par l’un de ces raids, effectué le 22 février.
Selon l’US Africom, le commandement militaire américain pour l’Afrique, Qorgab était « un dirigeant opérationnel de premier ordre » ainsi qu’un « membre important des shebab pendant plus d’une décennie. »
Cependant, la plupart de ces frappes ne visent pas seulement des chefs de premier plan, l’US Africom ayant fait état, dans ses communiqués, d’un ou deux jihadistes tués. Or, les effectifs des shebab étant évalués à au moins 5.000 combattants, ces raids ne sont pas de nature à réduire significativement la menace qu’ils représentent…
« C’est ce qu’on appelle ‘tondre la pelouse' », a récemment expliqué Mark Esper, le chef du Pentagone, au sujet de la fréquence de ces frappes aériennes. « Et ça veut dire que, de temps en temps, il faut faire ce genre de choses pour garder un certain contrôle et éviter que ça ne ressurgisse », a-t-il précisé.
Commandant des forces terrestres de l’US Africom, le général Roger Cloutier a souligné que les « shebab représentent l’une des menaces les plus sérieuses » en Afrique. Et, qu’en conséquence, ils devaient être « pris très au sérieux ». Aussi, a-t-il dit, « c’est pourquoi nous nous focalisons sur eux. »
Quoi qu’il en soit, le 2 avril, une nouvelle frappe américaine aura été fatale à un certain Yusuf Jiis, présenté par l’US Africom comme ayant été un « dirigeant fondateur » des shebab, qui a « conduit attaques meurtrières contre le gouvernement somalien et des cibles civiles pendant des années ».
Le chef de l’US Africom, le général Stephen Townsend, a même estimé que Yusuf Jiis était un « leader clé » des shebab. « Il était violent, impitoyable et responsable de la perte de nombreuses vies innocentes », a-t-il dit. Ce qu’a confirmé le ministère somalien de l’Information, pour qui son élimination est une « défaite majeure » pour les shebabs.
- Citation :
-
“07 April 2020, The FGS is announcing an update to the airstrike that took place on 02 April. The airstrike, which was conducted in coordination with United States Africa Command (@USAfricaCommand), one of the three terrorists killed was the senior al-Shabaab member Yusuf Jiis. pic.twitter.com/Y7wC6vd7iZ
— Ministry of Information (@MOISOMALIA) April 7, 2020
La frappe contre ce cadre jihadiste a été effectuée à Bush Madina, à 217 km à l’ouest de Mogadiscio, « en coordination avec le gouvernement somalien ». Les moyens utilisés pour la mener n’ont pas été précisés. Mais, généralement, des drones MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance] sont sollicités pour ce type d’opération.
Cela étant, depuis que les forces américaines visent la tête des milices shebab, ces dernières sont encore loin de s’avouer vaincues. En février, un rapport de l’Inspection générale du Pentagone avait rappelé que l’objectif était de dégrader les capacités de l’organisation jihadiste afin de la mettre à la portée des forces somaliennes. Or, a-t-il fait valoir, « malgré des frappes américaines continues et l’assistance américaine aux forces africaines partenaires, les shebab apparaissent comme une menace croissante qui aspire à frapper le sol américain. »
http://www.opex360.com/2020/04/08/un-chef-jihadiste-somalien-de-premier-plan-a-ete-elimine-par-une-frappe-americaine/ | |
|  | | jf16 General de Division


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 | Sujet: Re: Guerre civile en Somalie Dim 16 Aoû 2020 - 23:00 | |
| - Citation :
- Somalie: les shebabs revendiquent l'attaque de l'hôtel Elite à Mogadiscio
Publié le : 16/08/2020 - 20:41
 Une ambulance sur le lieu de l'attaque de l'Elite Hotel, sur la plage du Lido, à Mogadiscio, le 16 août 2020. REUTERS/Feisal Omar
Les jihadistes somaliens shebab ont lancé dimanche une attaque d'envergure sur un hôtel réputé de Mogadiscio, tuant au moins cinq personnes, dont un responsable gouvernemental.
L'attaque a débuté par l'explosion d'une voiture piégée près de l'hôtel Elite sur la plage du Lido, fréquenté par les dirigeants somaliens, puis des hommes armés ont investi l'établissement où des coups de feu ont été entendus. « Il y a eu l'explosion d'une voiture piégée ciblant l'hôtel Elite sur la plage du Lido" et "il y a des coups de feu importants à l'intérieur de l'hôtel », a déclaré à l'AFP Adan Ibrahim, officier de police dans la zone.
Des témoins ont confirmé que l'attaque de l'hôtel Elite, situé sur la plage Lido, dans la capitale Mogadiscio, avait débuté par une forte explosion et qu'ensuite des gens fuyaient en courant le secteur de l'établissement où des coups de feu étaient entendus.
« L'explosion a été très forte et j'ai vu de la fumée dans la zone, c'est le chaos et les gens fuient les bâtiments alentour », selon l'un de ces témoins cité par l'AFP.
Dimanche soir, les forces de sécurité tentaient de reprendre le contrôle de l'hôtel.
« Il y a encore des tirs sporadiques dans l'hôtel, et selon les premières informations reçues, il y a 5 morts et plus de 10 blessés », selon un responsable sécuritaire du gouvernement à l'AFP. Le bilan des morts peut encore augmenter car l'explosion de la voiture piégée qui a précédé l'attaque de l'établissement par des hommes armés « a été massive » et il y a « des otages dans l'hôtel », a indiqué cette même source. Une compagnie privée, Aamin Ambulance, a chiffré le nombre de blessés à au moins 28.
Les shebabs ont revendiqué l'attaque dans un communiqué à SITE, groupe de surveillance des sites islamistes, affirmant que leurs « martyrs » avaient « pris le contrôle de l'hôtel » et qu'ils avaient infligé « de lourdes pertes » aux personnes qui y étaient présentes.
Parmi les morts, figure au moins un haut fonctionnaire du ministère de l'information, Abdirasak Abdi, selon l'un de ses collègues, Hussein Ali.
Chassés de la capitale somalienne en 2011, les shebabs ont ensuite perdu l'essentiel de leurs bastions. Mais ils contrôlent toujours de vastes zones rurales d'où ils mènent des opérations de guérilla et des attentats-suicides y compris dans la capitale, contre des objectifs gouvernementaux, sécuritaires ou civils.
Lundi 10 août, au moins quatre personnes ont été tuées dans des échanges de coups de feu à l'intérieur de la prison centrale de Mogadiscio après que des prisonniers ont réussi à s'emparer d'armes détenues par leurs gardiens. Tous les prisonniers impliqués dans l'incident étaient des islamistes radicaux shebabs, dont certains purgeaient une peine de prison à perpétuité, a affirmé un responsable de la police ayant requis l'anonymat.
Les hôtels ont longtemps été la cible des shebabs
En février 2019, une attaque de près de 24h avait fait au moins 20 morts à Mogadiscio. Un mois plus tôt, l'attaque d'un hôtel de luxe de Nairobi faisait 21 morts et démontrait la capacité des shebabs à agir en dehors des frontières somaliennes. Leur dernière action massive à Mogadiscio remonte à décembre 2019, quand l'explosion d'un véhicule piégé a tué 81 personnes, essentiellement des civils.
Dans leur revendication de l'attaque de dimanche, les shebabs soulignent que l'hôtel Elite « est habité par un grand nombre de responsables gouvernementaux ».
Affiliés à Al-Qaïda, les shebabs ont juré la perte du gouvernement somalien, soutenu par la communauté internationale et par les 20 000 hommes de la force de l'Union africaine en Somalie (Amisom).
https://www.rfi.fr/fr/afrique/20200816-somalie-les-shebabs-revendiquent-l-attaque-l-hôtel-elite-à-mogadiscio | |
|  | | jf16 General de Division


messages : 32093 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité :  Médailles de mérite :
 
 
 
 | Sujet: Re: Guerre civile en Somalie Dim 27 Sep 2020 - 20:25 | |
| - Citation :
- Nouveau regain de tension entre le Kenya et la Somalie
Publié le : 27/09/2020 - 13:51
 Des militaires kenyans à la frontière avec la Somalie. (Image d'archive). AFP
Texte par : RFI Suivre
Une fusillade a éclaté entre des soldats kenyans et somaliens samedi 26 septembre le long de leur frontière commune. Une manifestation était en cours pour dénoncer les violences des forces kenyanes à l’égard des Somaliens. Les soldats kenyans ont alors ouvert le feu pour disperser les manifestants.
Avec notre correspondante à Nairobi, Charlotte Simonart
Des échanges de tirs soutenus ont duré plusieurs minutes entre les forces armées des deux pays voisins, racontent des témoins. Cela se passe dans la ville de Bulo Hawo dans l’ouest de la Somalie, située juste à la frontière kenyane. Ce samedi, des habitants de cette localité manifestent contre les forces armées kenyanes accusées de procéder à des exécutions extrajudiciaires. La veille, la police antiterroriste kenyane aurait exécuté trois civils, membres présumés du groupe terroriste les shebabs.
La manifestation dégénère lorsque des habitants s’approchent des positions de l’armée kenyane qui ouvre alors le feu, entrainant la riposte des soldats somaliens. Pour l’heure, aucune victime n’est à déplorer.
L’incident ravive en tout cas les tensions entre le Kenya et la Somalie. Ces derniers mois, Mogadiscio ne cesse d’accuser Nairobi d’ingérence dans ses affaires politiques intérieures, notamment en soutenant le président du Jubaland, Ahmed Madobe, fervent opposant au président somalien Farmajo.
Mais le conflit entre les deux voisins ne date pas d’hier. Principal point d’achoppement : un territoire maritime riche en hydrocarbures que se disputent le Kenya et la Somalie depuis plusieurs années.
https://www.rfi.fr/fr/afrique/20200927-nouveau-regain-tension-entre-le-kenya-et-la-somalie | |
|  | | Adam Modérateur


messages : 4076 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume de tous les Marocains Nationalité :  Médailles de mérite :  

 | Sujet: Re: Guerre civile en Somalie Mer 9 Déc 2020 - 11:08 | |
| - VOX a écrit:
-
Trump’s withdrawal of US troops from Somalia, briefly explained
Trump is pulling troops out of the country, but many are staying in the region. The Trump administration will pull virtually all of the US’s roughly 700 troops in Somalia out of the country just five days before President-elect Joe Biden takes office.
The withdrawal, announced Friday by the Pentagon, ostensibly marks the latest attempt by President Donald Trump to scale back US presence overseas in what he’s described as costly and ineffective military operations across regions like the Middle East.
Acting defense secretary Christopher Miller announced in November that the US plans to reduce US troops from 4,500 to 2,500 in Afghanistan and from 3,000 to 2,500 in Iraq. But the strategy shift in Somalia appears to be something different.
Rather than a case of troops being brought home, many of the forces will be repositioned to neighboring Kenya, according to a Defense Department official, although it’s unclear so far what percentage of the Somali-based troops will be restationed there.
“As a result of this decision, some forces may be reassigned outside of East Africa,” the Pentagon said in a statement on Friday. “However, the remaining forces will be repositioned from Somalia into neighboring countries in order to allow cross-border operations by both US and partner forces.” What the US was doing in Somalia
The US forces stationed in Somalia were largely tasked with counterterrorism missions, with a particular focus on fighting the presence of al-Shabaab, an al-Qaeda-linked Islamist militant group. And US troops have also worked on training Somali forces to conduct raids and capture al-Shabaab leaders.
According to the Pentagon, the mission against al-Shabaab won’t end — instead, the troops once stationed in the country will “maintain pressure against violent extremist organizations operating in Somalia” from bases in Kenya and elsewhere.
The Pentagon also said the military will “retain the capability to conduct targeted counterterrorism operations in Somalia, and collect early warnings and indicators regarding threats to the homeland.”
How successful the US has been in Somalia at this mission isn’t exactly clear. And the US’s methods for accomplishing its work against al-Shabaab have been met with sharp criticism from watchdogs, who argue counterterrorism operations in East Africa have been conducted without a proper level of accountability.
One of the US’s primary tools against al-Shabaab has been drone strikes, which it has been conducting in Somalia since 2007. The frequency of those strikes have increased significantly during the Trump administration, with 47 strikes carried out in 2018 and 63 in 2019, according to the New York Times. All told, the Trump administration has carried out at least 192 drone strikes in Somalia, an analysis by New America found.
Under Trump’s tenure, the oversight guidelines for strikes in Somalia, some of which are meant to minimize civilian casualties, have also been loosened.
In the first seven months of the Trump administration, Trump oversaw more drone strikes than took place under George W. Bush and Barack Obama combined, and human rights groups have accused US officials of acknowledging a fraction of the known civilian casualties from those strikes. Amnesty International has accused the administration of passing off civilian killings as successful al-Shabaab raids, and of refusing to offer compensation when innocent people are accidentally killed.
Al-Shabaab appears to be resilient in the face of US intervention. A Defense Department inspector general report this year found that Somalia’s security forces appear to still be overwhelmed by the militant group.
“Despite many years of sustained Somali, U.S., and international counterterrorism pressure, the terrorist threat in East Africa is not degraded: al-Shabaab retains freedom of movement in many parts of southern Somalia and has demonstrated an ability and intent to attack outside of the country, including targeting U.S. interests,” the report states.
And that ability has been on display of late. Recently, a CIA contractor was killed in action in Somalia, and al-Shabaab staged a January attack on a US facility in Kenya that resulted in the death of a US solider, two contractors, and the destruction of expensive military equipment — including a US surveillance craft.
Particularly in light of the January attack, US military officials in East Africa reportedly began to push for greater flexibility to launch airstrikes from Kenya, and Kenya’s President Uhuru Kenyatta also reportedly asked Trump for greater aid with countering al-Shabaab earlier this year. The troop redeployment would appear to accomplish both these aims.
And indeed, while US training of Somali security forces is expected to end, airstrikes against militants in Somalia will be continuing, since the air bases housing the US drones that carry out strikes in Somalia are currently based outside the country. _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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