Actualités internationales

Rappel du premier message :

Selon le Financial Times, et ce n'est pas un poisson de novembre

Citation :

Paranormal expert set to become Tory MEP
Britain is set to be represented in the European parliament by an expert on the paranormal, who ran a course at an unaccredited West Virginia university about ghosts, apparitions, poltergeists, UFOs, aliens, sasquatches and the Loch Ness monster

Wa labaaaaassssss

l'UE est sauvee. La chouaffa au cockpit

2 légionnaires du 2éme Régiment Etranger du Génie, de St Christophe ont été tués ce matin, 29/12, en Afghanistan.
1 soldat de l'ANA a déliberement ouvert le feu sur les Français. Il a été abattu.
Les talibans ont revendiqué l'attentat.
Ce sont les 77éme & 78éme Français morts en Afghanistan. RIP

RIP

RIP

PGM

RIP :balkom:

RIP :balkom:

Citation :

Nigéria: explosion près d'une mosquée


Une explosion a été entendue près d'une mosquée à Maiduguri, dans le nord-est du Nigeria, ont rapporté vendredi des habitants, quelques jours après une vague d'attentats attribués à une secte islamiste particulièrement active dans cette région.

"Il y a eu une forte déflagration près de la mosquée juste après la prière du vendredi, quand les gens sortaient de la mosquée", a déclaré à l'AFP un habitant. Il n'était pas clair dans l'immédiat s'il y avait des victimes.

lefigaro

RIP aux soldats :balkom:

Je pense que l'ANA est infestée de Talibans

inanc a écrit:

RIP aux soldats :balkom:

Je pense que l'ANA est infestée de Talibans

Ça, c'est sur & certain, l'ANA est infiltrée depuis le début.
Mais l'EM du 2éme REG a expliqué que, en fait, c'est 1 kamikaze taliban qui a réussi à pénetrer le camp déguisé en soldat de l'ANA & qu'il a ouvert le feu sur les 1ers soldats etrangers qu'il a vu.
Les Légionnaires ont immédiatement répliqué & l'ont abattu. Mais 2 sont morts & 1 autre est dans 1 état grave. Il est arrivé à Paris ce matin.

Citation :

Alors que les va-t-en-guerre de tous bords continuent de pousser le monde vers la guerre, l’opposition aux frappes contre l’Iran se fait encore plus forte. Après la campagne médiatique lancée soudainement fin octobre par d’anciens responsables des forces de sécurité israéliennes (avec à leur tête l’ancien chef du Mossad Meir Dagan), qui avait permis d’enrayer une attaque alors imminente, c’est le successeur de Dagan, Tamir Pardo, qui vient de calmer les ardeurs.

Selon le quotidien de la gauche israélienne Haaretz, Pardo a déclaré en début de semaine devant une assemblée de 100 ambassadeurs israéliens que l’Iran ne constituait pas une menace pour la survie d’Israël. Bien que menant activement la lutte pour empêcher la république perse de poursuivre son programme nucléaire, Pardo s’en est pris à la propagande récurrente qualifiant un Iran nucléaire de « menace existentielle » pour l’Etat hébreux.

Que veut dire exactement le terme de menace existentielle ? L’Iran pose-t-elle une menace à Israël ? Absolument. Mais si l’on dit qu’une bombe nucléaire entre des mains iraniennes est une menace existentielle, cela voudrait dire qu’il nous faudrait plier bagage et rentrer chez nous. Mais ce n’est pas le cas. Le terme de menace existentielle est utilisé trop librement.

Les ambassadeurs qui ont rapporté ces propos à Haaretz ont expliqué que Pardo n’avait pas commenté la possibilité d’attaque israélienne sur l’Iran, « mais il était très clair dans ses remarques qu’il ne pense pas que l’Iran soit une menace existentielle », a déclaré l’un d’entre eux.

Si de nombreux responsables israéliens ont bien compris qu’attaquer l’Iran mettrait en péril leur pays, le problème est que la Maison Blanche n’a pas tenté de dissuader les principaux partisans de l’affrontement que sont le Premier ministre Netanyahou et son ministre de la Défense Ehoud Barak.

http://www.solidariteetprogres.org/Pour-le-chef-du-Mossad-l-Iran-ne-pose-pas-de-menace-existentielle_08452

Citation :

Mossad chief: Nuclear Iran not necessarily existential threat to Israel.

Tamir Pardo says Israel using various means to foil Iran's nuclear program, but if Iran actually obtained nuclear weapons, it would not mean destruction of Israel. A nuclear-armed Iran wouldn't necessarily constitute a threat to Israel's continued existence, Mossad chief Tamir Pardo reportedly hinted earlier this week.

On Tuesday evening, Pardo addressed an audience of about 100 Israeli ambassadors. According to three ambassadors present at the briefing, the intelligence chief said that Israel was using various means to foil Iran's nuclear program and would continue to do so, but if Iran actually obtained nuclear weapons, it would not mean the destruction of the State of Israel.

"What is the significance of the term existential threat?" the ambassadors quoted Pardo as asking. "Does Iran pose a threat to Israel? Absolutely. But if one said a nuclear bomb in Iranian hands was an existential threat, that would mean that we would have to close up shop and go home. That's not the situation. The term existential threat is used too freely."

The ambassadors said Pardo did not comment on the possibility of an Israeli military assault on Iran.

"But what was clearly implied by his remarks is that he doesn't think a nuclear Iran is an existential threat to Israel," one of the envoys said.

Pardo's remarks follow lively a public debate in recent months over a possible Israeli attack on Iran's nuclear facilities. One of the figures at the center of this public debate has been Pardo's predecessor as Mossad chief, Meir Dagan. Dagan has argued that Israel should only resort to military force "when the knife is at its throat and begins to cut into the flesh." He has also criticized Prime Minister Benjamin Netanyahu and Defense Minister Ehud Barak, accusing them of pushing for an Israeli attack on Iran, and warned that such an assault would have disastrous consequences.

For the past several years, Netanyahu has characterized a nuclear Iran as an existential threat to Israel. The prime minister has even compared Iranian President Mahmoud Ahmadinejad to Adolf Hitler and argued that Iran should be treated as Nazi Germany should have been dealt with in 1938, just before World War II. In contrast, Barak said in April 2010 that Iran "was not an existential threat at the moment," but warned that it could become one in the future.

In the cabinet, Netanyahu and Barak have been the leading proponents of a preemptive strike on Iran's nuclear facilities. So far, however, they have not managed to convince a majority of either the "octet" forum of eight senior ministers or the diplomatic-security cabinet to support their position.

In related news, The Daily Beast website reported yesterday about one aspect of the disagreement between Israel and the United States on the Iranian nuclear issue. It said that Washington and Jerusalem are discussing "red lines" for Iran's nuclear project that, if crossed, would justify a preemptive strike on the nuclear facilities.

The website's defense reporter, Eli Lake, wrote that Israel's ambassador to Washington, Michael Oren, lodged an official protest with the American administration following a speech a few weeks ago by U.S. Defense Secretary Leon Panetta at the Saban Forum, in which the American defense chief warned of the consequences of an attack on Iran. The Daily Beast reported that Panetta's remarks infuriated the Israel government and that Oren was directed to lodge the protest.

A short time later, the White House conveyed a message of reassurance to Israel that the Obama administration has its own red lines for attacking Iran, so there is no need for Israel to act unilaterally. The Israeli protest was also followed by a shift in Panetta's rhetoric: In an interview with the American television network CBS, Panetta said the United States would not take any option off the table with regard to preventing Iran from obtaining nuclear weapons.

The crux of the disagreement between the two countries revolves around the question of to what extent Iran has managed to develop clandestine sites for uranium enrichment. As a result, Israel and the United States are having a hard time settling on common "red lines."

Patrick Clawson of the Washington Institute for Near East Policy told The Daily Beast that "if Iran were found to be sneaking out or breaking out [toward obtaining nuclear weapons], then the president's advisers are firmly persuaded he would authorize the use of military force to stop it." However, he added, "when the occasion comes, we just don't know how the president will react."

http://www.haaretz.com/print-edition/news/mossad-chief-nuclear-iran-not-necessarily-existential-threat-to-israel-1.404227

Citation :

Al-Qaida a envoyé en Libye des militants chevronnés pour tenter d'y recruter des hommes après la chute du régime de Mouammar Kadhafi, rapporte la chaîne CNN. Parmi ces recruteurs, figure un militant expérimenté détenu un temps en Grande-Bretagne et envoyé en Libye par le chef d'al-Qaida Ayman Al Zawahiri, selon CNN, qui cite une source libyenne elle-même informée par des responsables occidentaux. Arrivé en Libye en mai, il aurait depuis cette date recruté quelque 200 hommes dans l'Est du pays, ajoute CNN, qui précise que les agences de renseignement occidentales surveillent son activité.

Lefigaro

On dirait qu'al Qaida tisse sa toile en Afrique

inanc a écrit:

Citation :

Al-Qaida a envoyé en Libye des militants chevronnés pour tenter d'y recruter des hommes après la chute du régime de Mouammar Kadhafi, rapporte la chaîne CNN. Parmi ces recruteurs, figure un militant expérimenté détenu un temps en Grande-Bretagne et envoyé en Libye par le chef d'al-Qaida Ayman Al Zawahiri, selon CNN, qui cite une source libyenne elle-même informée par des responsables occidentaux. Arrivé en Libye en mai, il aurait depuis cette date recruté quelque 200 hommes dans l'Est du pays, ajoute CNN, qui précise que les agences de renseignement occidentales surveillent son activité.

Lefigaro

On dirait qu'al Qaida tisse sa toile en Afrique

Ils sont déjà bien implanté en Afrique (Somalie, Nigéria, Sahel, Algérie, etc..)

Les terroristes islamistes ont participé activement aux combats pour la "libération" de la Libye, et ce, comme dans le bon vieux temps en Afghanistan, avec l'accord des occidentaux. Quoi de plus logique dès lors que de les retrouver à recruter des combattants là où on les a laissé se répandre? Nous avons toutes les pièces en mains: d'une part les dictateurs installés, ou assistés, par les occidentaux qui réprimaient si facilement les courants islamistes au bénéfice de Londres, Paris et Washington, sont remplacés par des régimes qui revendiquent le retour aux valeurs de l'islam, et d'autre part nous avons des populations occidentales pour qui les mots islam et musulman sont devenus synonymes de danger. Danger, au travers d'une presse qui semble dire: "nous leur donnons la démocratie et la seule chose qu'ils en font, c'est de se tourner vers les extrémistes". Avec ce qui se passe en Egypte, en Iran, en Turquie, en Belgique et ailleurs, avec le "ras de marée" pour les parties qui revendiquent avec modération ou non le retour à la Charia dans tout le Maghreb, Charia diabolisée par ces mêmes médias, je crois que tout est dit quant aux intentions des uns et des autres. En même temps l'occident se fait des alliés de circonstance des terroristes islamistes, mais de surcroit elle pourra s'en débarrasser tout en effrayant ses populations afin de diaboliser l'islam et les musulmans, le temps venu. Compte tenu que la crise mondiale laisse bien peu de chance aux gouvernements modérés et élus démocratiquement de s'en sortir. Sa s'appelle préparer le terrain...

rafi a écrit:

Les terroristes islamistes ont participé activement aux combats pour la "libération" de la Libye, et ce, comme dans le bon vieux temps en Afghanistan, avec l'accord des occidentaux. Quoi de plus logique dès lors que de les retrouver à recruter des combattants là où on les a laissé se répandre? Nous avons toutes les pièces en mains: d'une part les dictateurs installés, ou assistés, par les occidentaux qui réprimaient si facilement les courants islamistes au bénéfice de Londres, Paris et Washington, sont remplacés par des régimes qui revendiquent le retour aux valeurs de l'islam, et d'autre part nous avons des populations occidentales pour qui les mots islam et musulman sont devenus synonymes de danger. Danger, au travers d'une presse qui semble dire: "nous leur donnons la démocratie et la seule chose qu'ils en font, c'est de se tourner vers les extrémistes". Avec ce qui se passe en Egypte, en Iran, en Turquie, en Belgique et ailleurs, avec le "ras de marée" pour les parties qui revendiquent avec modération ou non le retour à la Charia dans tout le Maghreb, Charia diabolisée par ces mêmes médias, je crois que tout est dit quant aux intentions des uns et des autres. En même temps l'occident se fait des alliés de circonstance des terroristes islamistes, mais de surcroit elle pourra s'en débarrasser tout en effrayant ses populations afin de diaboliser l'islam et les musulmans, le temps venu. Compte tenu que la crise mondiale laisse bien peu de chance aux gouvernements modérés et élus démocratiquement de s'en sortir. Sa s'appelle préparer le terrain...

Ou comment mettre en oeuvre le "choc des civilizations" qui ne veut pas se realiser tout seul comme une "prophetie". Alors autant de coup de pouces...

Mais dans tout cela, ce que je constate et regrette est que les "concernes" sont toujours aussi passifs, entrain de prendre la voie tracee, previsible.

Rafi, brillante analyse

Citation :

Des affrontements au Bahreïn


Des affrontements ont opposé des manifestants chiites aux forces anti-émeutes à Bahreïn hier soir, lors des funérailles d'un adolescent tué, faisant au moins un blessé grave, selon l'opposition. Les policiers ont dispersé à coups de grenades lacrymogènes et de barres de fer des jeunes qui manifestaient à Sitra et d'autres localités chiites des environs de Manama après les funérailles de Sayyed Hachem Saïd, 15 ans, tué samedi d'une bombe lacrymogène qui l'a atteint à la tête.

Un jeune homme, Hani al-Qanich, a été grièvement blessé par une grenade lacrymogène qui l'a également atteint à la tête, a indiqué lundi à l'AFP un ancien élu de l'opposition chiite, Matar Matar. "Des dizaines de personnes ont été incommodées par les gaz lacrymogènes ou blessées, mais ont été traitées dans les maisons par des médecins volontaires, de peur d'être arrêtées à l'hôpital", a pour sa part déclaré à l'AFP Nabil Rajab, président du Centre de Bahreïn pour les droits de l'Homme (opposition).
L'agence officielle Bna a indiqué qu'après les funérailles, "un groupe de saboteurs a mené une marche illégale, bloqué les rues et lancé des pierres, des barres de fer et des cocktails Molotov en direction de la police".

Le gouvernement avait fait état d'une embuscade vendredi par des manifestants à une patrouille de police, pendant laquelle des cocktails Molotov ont été utilisés et les autorités ont annoncé dimanche l'arrestation de 11 "saboteurs" liés à cet incident.

Les chiites de Bahreïn, majoritaires parmi la population autochtone, tentent de relancer la contestation contre la dynastie sunnite commencée au printemps dernier, qui a été durement réprimée, en estimant qu'elle n'a pas accédé à leur demande d'une véritable monarchie constitutionnelle.

lefigaro

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Obama surpasse Hitler avec son décret-loi sur la NDAA

Le samedi 31 décembre 2011, Barack Obama a promulgué la tristement célèbre National Defense Authorization Act (NDAA) conférant au Président des Etats-Unis des prérogatives anticonstitutionnelles similaires aux pleins pouvoirs donnés à Hitler en 1933. La NDAA contient des articles permettant la détention militaire sans limite et sans procédure judiciaire de toute personne, y compris de citoyens américains, suspectée d’être en relation de près ou de loin avec des groupes terroristes ou toute organisation leur étant liée. Dénoncée par de nombreux hauts gradés de l’armée américaine et par l’Union américaine pour les libertés civiques, cette loi va encore plus loin que les lois Patriot de l’ère Cheney-Bush et confère de véritables pouvoirs dictatoriaux à un Président qui avait promis d’effacer les abus de ses prédécesseurs.

En même temps qu’il a promulgué cette loi, Obama l’a accompagné d’une déclaration présidentielle (« signing statement ») émettant de « sérieuses réserves sur certaines provisions réglementant la détention, l’interrogation et le jugement de terroristes présumés ». Se référant à la section 1021 de la NDAA, Obama affirme que « cette loi ne doit pas être interprétée comme affectant les lois ou les autorités existantes sur la détention de citoyens des Etats-Unis, de résidents étrangers légaux ou de toute personne arrêtée aux Etats-Unis ». Non seulement c’est ce qu’autorise expressément la NDAA, mais c’est l’administration Obama qui est intervenue pour s’assurer que ce soit bien le cas, alors qu’un groupe de législateurs mené par le sénateur démocrate Carl Levin, président de la Commission des services armés, avait fait supprimer ces passages.

Le texte de la NDAA a désormais force de loi et la déclaration présidentielle n’y change rien, à moins de vouloir croire à cette promesse de ne pas y recourir. Mais alors pourquoi l’avoir fait adopter puis promulguer ? Souvenons-nous que quand Adolf Hitler avait promulgué sa propre Loi de protection du peuple et du Reich le 24 mars 1933, il avait promis au Zentrum, le parti catholique allemand dissout en juillet, de ne pas s’en servir contre ses opposants.

De surcroît, Obama écrit dans sa déclaration que « certains au Congrès continuent d’insister sur la restriction des options disponibles pour nos spécialistes de l’antiterrorisme et de vouloir interférer avec les opérations mêmes qui ont assuré notre sureté ». Donc, au nom de « la sécurité et de la liberté du peuple américain », le Président décrète, dans la plus pure tradition de Carl Schmitt et de la doctrine d’exécutif unitaire, que son gouvernement ignorera certaines dispositions de la loi, celles qui justement doivent assurer un minimum de sauvegardes.

En voici quelques exemples :

La section 1024 a été insérée par le Congrès pour spécifier que le secrétaire à la Défense, dans les 90 jours de l’entrée en vigueur de la NDAA, soumettra un rapport établissant les procédures « déterminant le statut des personnes détenues en application de la Authorization for Use of Military Force » en vigueur (la loi de 2001 promulguée par Bush). Lors du débat au Sénat, le sénateur républicain Lindsey Graham avait déclaré : « Je veux pouvoir dire à tous ceux qui sont concernés, qu’aucune personne détenue dans une prison américaine, qu’elle soit civile ou militaire, comme membre présumé d’Al Qaida, ne le sera sans examen judiciaire. Nous ne permettons pas à la branche exécutive de prendre cette décision sans contrôle. » Dans sa déclaration qui a force de décret-loi, Obama dit « accorder au secrétaire à la Défense toute discrétion pour déterminer quelles décisions de statut des prisonniers d’Afghanistan sont sujettes aux conditions de cette section de la loi » ; l’exécutif crée ainsi une exception affaiblissant le contre-pouvoir.
La section 1028 de la NDAA limite la capacité à « transférer des détenus vers un pays étranger », une pratique mise en place par l’administration Cheney-Bush afin de délocaliser la torture vers des prisons secrètes en Egypte, en Libye, en Syrie et en Pologne. Pour Obama, cette limitation « entrave la capacité de l’exécutif à mener ses activités militaires, de sécurité nationale et de relations étrangères », ainsi que sa « capacité à agir promptement dans la conduite des négociations avec des pays étrangers ». Obama déclare donc que son gouvernement ne sera pas tenu de respecter la section 1028.
La section 1029 de la NDAA requiert que « le Procureur des Etats-Unis consulte le directeur du renseignement national et le secrétaire à la Défense avant de déposer des charges criminelles ou de mettre en accusation certains individus ». Dans son décret-loi, Obama écrit que cela diminuerait « l’intégrité et l’indépendance du ministère de la Justice » et qu’en conséquence, son gouvernement ne s’y soumettra pas.

Il est on ne peut plus clair, pour ceux qui n’ont pas voulu voir la réalité en face jusqu’ici, que le syndrome narcissique aigu de Barack Obama en fait un dictateur en puissance. Alors qu’il avait attaqué tous les errements légaux de l’administration Bush-Cheney et qu’il s’était engagé lors de sa campagne électorale à les réparer, il est désormais plus fasciste que les fascistes, déterminé à utiliser le pouvoir de la Maison Blanche et de l’armée des Etats-Unis pour assouvir ses illusions de puissance et compenser ses frustrations intérieures par des conflits militaires à l’extérieur. Tel est le rôle qu’il joue pour le compte de l’empire financier de la City et Wall Street, pour qui la guerre est désormais le seul moyen d’éviter la faillite.

http://www.solidariteetprogres.org/Obama-surpasse-Hitler-avec-son-decret-loi-sur-le-NDAA_08453

Citation :

L'Argentine revendique les Malouines


L'Argentine a réaffirmé ses revendications sur les Malouines et a appelé le Royaume Uni à engager des négociations, à l'occasion du 179ème anniversaire de la présence de troupes britanniques dans cet archipel situé à 500 km des côtes argentines. Dans un communiqué du ministère argentin des Affaires étrangères, Buenos Aires "réaffirme une fois encore les droits imprescriptibles de l'Argentine sur les Iles Malouines, de Géorgie du Sud et de Sandwich du Sud ainsi que sur les espaces maritimes qui les environnent, qui font partie intégrante du territoire national" argentin.

Buenos Aires a pour coutume de renouveler ses revendications sur la souveraineté des Malouines chaque année pour le 3 janvier, date anniversaire du débarquement de troupes britanniques sur l'archipel en 1833. Le Royaume-Uni ne négociera jamais la souveraineté des Malouines, revendiquées par l'Argentine, sauf si leurs habitants le souhaitent, a assuré le premier ministre britannique David Cameron. "Quelles que soient les difficultés auxquelles le Royaume-Uni se heurte, la volonté du gouvernement de garantir la sécurité et la prospérité des territoires d'outre-mer, dont les Malouines, reste entière", a déclaré M. Cameron dans son message de Noël aux habitants de ces îles, contrôlées depuis 1833 par le Royaume-Uni.

M. Cameron a dénoncé les tentatives "injustifiées et contre-productives" de Buenos Aires pour entraver le transport maritime dans cette zone. Mardi, les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Paraguay) ont décidé d'interdire aux navires battant pavillon des Malouines de mouiller dans leurs ports, par solidarité avec l'Argentine. Les Malouines ont été l'enjeu d'une guerre de 74 jours entre Londres et Buenos Aires en 1982. Malgré sa défaite, l'Argentine continue de revendiquer ces îles situées à 500 km de ses côtes.

lefigaro

Citation :

Pékin est "opposé à des sanctions unilatérales" adoptées par les Etats-Unis à l'encontre des institutions financières en coopération avec la Banque centrale de l'Iran, a déclaré mercredi aux journalistes le porte-parole de la diplomatie chinoise, Hong Lei. "La Chine s'oppose à ce qu'une loi nationale prévale sur les règlements internationaux et impose des sanctions unilatérales à d'autres pays", a indiqué le diplomate. Les nouvelles mesures adoptées samedi par le Congrès américain prévoient d'autoriser le président américain à geler les avoirs de toute institution financière étrangère qui commercerait avec la Banque centrale iranienne dans le secteur du pétrole.

http://fr.rian.ru/world/20120104/192947508.html

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8 Geopolitically Endangered Species
Meet the weaker countries that will suffer from American decline.

BY ZBIGNIEW BRZEZINSKI | JAN/FEB 2012

With the decline of America's global preeminence, weaker countries will be more susceptible to the assertive influence of major regional powers. India and China are rising, Russia is increasingly imperially minded, and the Middle East is growing ever more unstable. The potential for regional conflict in the absence of an internationally active America is real. Get ready for a global reality characterized by the survival of the strongest.

1. GEORGIA

American decline would leave this tiny Caucasian state vulnerable to Russian political intimidation and military aggression. The United States has provided Georgia with $3 billion in aid since 1991 -- $1 billion of that since its 2008 war with Russia. America's decline would put new limitations on U.S. capabilities, and could by itself stir Russian desires to reclaim its old sphere of influence. What's more, once-and-future Russian President Vladimir Putin harbors an intense personal hatred toward Georgian President Mikheil Saakashvili.

2. TAIWAN

Since 1972, the United States has formally accepted the mainland's "one China" formula while maintaining that neither side shall alter the status quo by force. Beijing, however, reserves the right to use force, which allows Washington to justify its continued arms sales to Taiwan. In recent years, Taiwan and China have been improving their relationship. America's decline, however, would increase Taiwan's vulnerability, leaving decision-makers in Taipei more susceptible to direct Chinese pressure and the sheer attraction of an economically successful China. That, at the least, could speed up the timetable for cross-strait reunification, but on unequal terms favoring the mainland.

3. SOUTH KOREA

The United States has been the guarantor of South Korea's security since it was attacked in 1950 by North Korea, with Soviet and Chinese collusion. Seoul's remarkable economic takeoff and democratic political system testify to the success of U.S. engagement. Over the years, however, North Korea has staged a number of provocations against South Korea, ranging from assassinations of its cabinet members to the 2010 sinking of the South Korean warship Cheonan. So America's decline would confront South Korea with painful choices: either accept Chinese regional dominance and further reliance on China to rein in the nuclear-armed North, or seek a much stronger, though historically unpopular, relationship with Japan out of shared democratic values and fear of aggression from Pyongyang and Beijing.


4. BELARUS

Twenty years after the fall of the Soviet Union, Europe's last dictatorship remains politically and economically dependent on Russia. One-third of its exports go to Russia, on which it is almost entirely reliant for its energy needs. At the same time, President Aleksandr Lukashenko's 17-year dictatorship has stood in the way of any meaningful relations with the West. Consequently, a marked American decline would give Russia a virtually risk-free opportunity to reabsorb Belarus.

5. UKRAINE

Kiev's relationship with Moscow has been as prone to tension as its relationship with the West has been prone to indecision. In 2005, 2007, and 2009, Russia either threatened to or did stop oil and natural gas from flowing to Ukraine. More recently, President Viktor Yanukovych was pressured to extend Russia's lease of a naval base at the Ukrainian Black Sea port of Sevastopol for another 25 years in exchange for preferential pricing of Russian energy deliveries to Ukraine. The Kremlin continues to press Ukraine to join a "common economic space" with Russia, while gradually stripping Ukraine of direct control over its major industrial assets through mergers and takeovers by Russian firms. With America in decline, Europe would be less willing and able to reach out and incorporate Ukraine into an expanding Western community, leaving Ukraine more vulnerable to Russian designs.

6. AFGHANISTAN

Devastated by nine years of brutal warfare waged by the Soviet Union, ignored by the West for a decade after the Soviet withdrawal, mismanaged by the medieval Taliban, and let down by 10 years of halfhearted U.S. military operations and sporadic economic assistance, Afghanistan is in shambles. With 40 percent unemployment and ranking 215th globally in per capita GDP, it has little economic output beyond its illegal narcotics trade. A rapid U.S. troop disengagement brought on by war fatigue or the early effects of American decline would most likely result in internal disintegration and an external power play among nearby states for influence in Afghanistan. In the absence of an effective, stable government in Kabul, the country would be dominated by rival warlords. Pakistan and India would more assertively compete for influence in Afghanistan -- with Iran also probably involved.

7. PAKISTAN

Although Islamabad is armed with 21st-century nuclear weapons and held together by a professional late 20th-century army, the majority of Pakistan is still pre-modern, rural, and largely defined by regional and tribal identities. Conflict with India defines Pakistan's sense of national identity, while the forcible division of Kashmir sustains a shared and profound antipathy. Pakistan's political instability is its greatest vulnerability, and a decline in U.S. power would reduce America's ability to aid Pakistan's consolidation and development. Pakistan could then transform into a state run by the military, a radical Islamic state, a state that combined both military and Islamic rule, or a "state" with no centralized government at all.

8. ISRAEL and the GREATER MIDDLE EAST

America's decline would set in motion tectonic shifts undermining the political stability of the entire Middle East. All states in the region remain vulnerable to varying degrees of internal populist pressures, social unrest, and religious fundamentalism, as seen by the events of early 2011. If America's decline were to occur with the Israeli-Palestinian conflict still unresolved, the failure to implement a mutually acceptable two-state solution would further inflame the region's political atmosphere. Regional hostility to Israel would then intensify. Perceived American weakness would at some point tempt the more powerful states in the region, notably Iran or Israel, to preempt anticipated dangers. And jockeying for tactical advantage could precipitate eruptions by Hamas or Hezbollah, which could then escalate into wider and bloodier military encounters. Weak entities such as Lebanon and Palestine would pay an especially high price in civilian deaths. Even worse, such conflicts could rise to truly horrific levels through strikes and counterstrikes between Iran and Israel.

foreign policy

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The top risks of 2012

1. The End of the 9/11 Era -- It was a truism of globalization: economics drives markets, and national security drives geopolitics. No longer. Following the 2008 financial crisis, the killing of Osama bin Laden, the withdrawal of U.S. troops from Iraq, and an end date for the war in Afghanistan, politics and economics will overlap almost entirely in 2012. Political officials around the world will worry mainly over economic risks -- the eurozone crisis, the strength of U.S. recovery, and China's evolving role in the global economy in 2012. Market players, in turn, are anxious mainly about political decisions, especially those that will be made in Europe, America, and China this year, as shortsighted leadership from virtually all the major geopolitical players generates policy stalemate and uncertainty.

2. G-Zero and the Middle East -- The inability/unwillingness of major powers to bolster the region's balance of force will generate greater turbulence across North Africa and the Middle East as unresolved religious, sectarian, and ethnic tensions threaten more unrest. The lack of a viable regional security framework, continuing protests, autocracies at risk, and enormous challenges facing newly democratic regimes will add to the potential turmoil. As this dynamic plays out in Syria, Egypt, Iraq, Libya, Yemen and Bahrain, regional heavyweights -- Saudi Arabia, Iran, and Turkey -- will generate friction as they vie for proxy influence.

3. Eurozone: the rollercoaster ride rolls on -- In Europe, it's not the breakup of the Eurozone we need to fear in 2012 but the "reactive incrementalism" that could spin beyond the control of political officials. The uncertainty and volatility we saw in 2011 has only just begun.

4. United States: right after elections -- Once the votes are counted in November, lawmakers will take up the $5 trillion worth of tax and savings decisions that must be taken in the final nine weeks of the year. Investors face uncertainty about their taxes and government contracts as well as about the broader impact of lawmakers' choices on economic growth.

5. North Korea: implosion or explosion -- The world's most opaque nuclear-armed state enters a year of uncertainty as the battle for power and influence within the regime gathers force.

6 - Pakistan: turmoil, spillover -- The end of the 9/11 era threatens neglect of other hotspots, and none is more combustible than Pakistan, a terrorism-plagued, nuclear-armed power burdened with an unpopular civilian government, a meddlesome military, politically motivated judges and an increasingly dangerous security environment. The expected withdrawal of thousands of U.S. troops from Afghanistan this year will fuel regional competition for new influence.

7. China: trouble in the neighborhood -- The Obama administration's recent emphasis on Asia will embolden China's neighbors to take more assertive positions with Beijing. Rising nationalism in China, its ongoing political transition, and the leadership's unwillingness -- perhaps inability -- to resolve internal debates about the country's role in the world suggest Beijing is especially likely to meet provocation with provocation in months to come with both naval and economic muscle.

8. Egypt: a transition in trouble -- Egypt faces the risk of political disintegration this year as anger builds between military and civilian political forces, both Islamist and secular. Egypt's base-line stability, its economic recovery, and its broader regional influence will suffer.

9. South Africa: populism ascendant -- The struggle for leadership of the ruling African National Congress will slow the pace of both policy and economic growth at a time when the eurozone crisis already weighs heavily on South Africa's trade and currency.

10. Venezuela: a no-win election -- The country's big political story this year is October's presidential election, which incumbent Hugo Chavez, if healthy enough for a vigorous campaign, is likely to narrowly win. But the outlook for economic and political stability is bad no matter the election result. Should Chavez die or abandon the race, the deep fissures between the Chavista movement and the opposition could stoke violence.

In addition, Eurasia Group identifies four red herrings, the big stories we don't believe will happen in 2012.

Fallout from the 2012 political transitions -- In 2012, we'll see political transitions in the U.S., China, Russia, and France, countries that together represent nearly half of global GDP and four-fifths of the UN Security Council. But there's surprisingly little at stake in the outcomes for geopolitics and the global economy.

Eurozone breakup -- This is probably the single most overrated risk of 2012. The political will to maintain the eurozone remains strong among all the major political parties in the core Eurozone states, almost across the board in the European periphery and, just as importantly, among eurocrats in the ever-growing European bureaucracy. And there's no effective political mechanism for a Eurozone breakup.

China's hard landing -- There are signs of overheated growth in China, but the state has the tools and resources to manage short-term trouble, and it will pull out every stop to prevent a serious slowdown, especially during a major political transition.

Mayan apocalypse -- Just isn't happening. And if it does, well, sorry.

http://eurasia.foreignpolicy.com/posts/2012/01/03/the_top_risks_of_2012

Citation :

Le président américain Barack Obama s'est engagé jeudi à renforcer la présence des États-Unis dans la région Asie-Pacifique malgré les contraintes budgétaires.

Le président a tenu ces propos en dévoilant une stratégie révisée de défense nationale conçue en tenant compte du nouveau contexte d'austérité économique.

"Nous renforcerons notre présence en Asie-Pacifique, et les réductions budgétaires ne se feront pas au détriment de cette région essentielle", a-t-il dit lors d'une présentation au Pentagone avec le secrétaire de la Défense Leon Panetta et le président de l'état-major interarmées Martin Dempsey.

La Révision de défense stratégique adoptée sur instruction du président, déterminera l'affectation des crédits et les coupes de plus de 450 milliards de dollars prévues sur la prochaine décennie dans le budget de la défense.

Le budget de la défense continuera d'augmenter, mais à un rythme plus lent, a fait valoir le président.

"Au cours des dix années écoulées depuis le 11 septembre (2001), notre budget de la défense a augmenté à une vitesse extraordinaire ", a-t-il dit. "Au cours des dix prochaines années, la progression du budget de la défense ralentira, mais le fait essentiel est que la progression continuera".

http://french.news.cn/monde/2012-01/06/c_131345202.htm

Celui dont la maison est de verre doit se garder de jeter des pierres aux autres.

Citation :

Nigeria: 21 personnes tuées dans de nouvelles violences
Mis à jour le 07.01.12 à 13h18

Vingt-et-une personnes ont été tuées dans des attaques visant des chrétiens jeudi et vendredi dans la ville de Mubi, dans l'est du Nigeria, rapporte ce samedi la Croix-Rouge, alors que de nouvelles attaques se sont produites dans le nord-est du pays.

Des hommes armés ont ouvert le feu vendredi à Mubi sur un rassemblement de chrétiens qui s'étaient réunis pour pleurer la mort de leurs proches, tués la veille.

"Des hommes armés non indentifiés ont attaqué et tué trois personnes à Mubi jeudi soir et il semble que le même groupe soit revenu vendredi pour tuer 18 personnes, soit 21 personnes au total", a déclaré un responsable de la Croix-Rouge à Reuters.

L'Etat d'Adamawa, où est située la ville de Mubi, se trouve au sud de l'Etat de Borno, bastion de la secte islamiste Boko Haram dont les membres ont lancé une série d'attaques meurtrières contre la communauté chrétienne ces derniers mois.

La secte, qui prône l'introduction de la charia, a revendiqué la responsabilité d'une série d'attaques à la bombe dans le pays le jour de Noël dont une contre une église près de la capitale Abuja qui avait fait au moins 37 morts et 57 blessés.

A Yola, la capitale de l'Etat d'Adamawa, des hommes armés ont ouvert le feu vendredi sur des chrétiens à la sortie de l'église, faisant plusieurs morts, indiquent des habitants. La police n'était pas joignable pour confirmer cette information.

Un couple de chrétiens a par ailleurs été tué par balle vendredi à Maiduguri, la capitale de l'Etat de Borno.

"Un chrétien et sa femme ont été tués dans la nuit (vendredi) à Maiduguri", a indiqué le colonel Victor Ebhemele, responsable des opérations dans la force conjointe dans l'Etat de Borno.

Boko Haram, dont le nom signifie en langue haoussa que l'éducation occidentale est impure, a publié mardi dans la presse locale une mise en garde affirmant que les chrétiens avaient trois jours pour quitter la région à majorité musulmane ou ils risquaient d'être tués.

20minutes

Citation :

Les chrétiens du Nigeria dénoncent un "nettoyage ethnique et religieux"

LEMONDE.FR avec AFP | 07.01.12 | 16h20 • Mis à jour le 07.01.12 | 19h39

Après une nouvelle série d'attaques anti-chrétiennes revendiquées par des islamistes, les représentants chrétiens du Nigeria ont dénoncé samedi 7 janvier un "nettoyage ethnique et religieux systématique" contre leur communauté.

Une réunion d'urgence de responsables d'Eglises a conclu que "le schéma de ces tueries nous fait effectivement penser à un nettoyage ethnique et religieux systématique", a dit Ayi Oritsejafor, chef de l'Association chrétienne du Nigeria, principale organisation chrétienne du nord qui regroupe protestants et catholiques. Ces leaders chrétiens "ont décidé de définir les moyens nécessaires pour se défendre face à ces tueries insensées", a-t-il ajouté sans donner d'autres détails.

COUVRE-FEU

Plus tôt dans la journée, Kobis Ari, le secrétaire du gouvernement local de l'Etat d'Adamawa, au nord-est du Nigeria, a annoncé l'imposition d'un couvre-feu dans cette région pour empêcher de nouvelles violences. Une trentaine de chrétiens y ont été tués depuis la nuit de jeudi à vendredi au cours de trois attaques en partie revendiquées par le groupe islamiste Boko Haram.

Suite à une série d'attentats anti-chrétiens à la fin de l'année dernière, le président Goodluck Jonathan avait décrété le 31 décembre l'état d'urgence dans des Etats du centre et du nord-est concernées par ces violences de Boko Haram. Les attaques se sont poursuivies depuis lors et même multipliées après l'expiration mercredi soir d'un ultimatum de Boko Haram ordonnant aux chrétiens vivant dans le nord du Nigeria de quitter cette partie du pays majoritairement musulman.

VAGUE D'ATTENTATS MEURTRIERS

L'Etat d'Adamawa, où le couvre-feu a été imposé samedi, ne fait pas partie des Etats concernés par l'état d'urgence. Dix-sept personnes y ont été tués vendredi à Mubi, quand des hommes armés ont ouvert le feu sur un rassemblement de chrétiens en deuil, selon des témoins. Selon la police, le bilan s'établit à 12 morts. Les victimes étaient venues rendre visite à des proches de deux à cinq personnes assassinées la veille par des inconnus.

Toujours dans le nord-est du pays, une autre attaque a visé jeudi soir des fidèles réunis en prière dans une église de la ville de Gombe. Les assaillants ont ouvert le feu sur les fidèles, tuant six personnes, selon des témoins. Une autre attaque a été perpétrée vendredi soir par des hommes armés dans une église à Yola, la capitale du même Etat, faisant au moins dix morts parmi les fidèles, selon un responsable chrétien.

Cette escalade meurtrière fait craindre la généralisation de violences interconfessionnelles dans ce pays de 160 millions d'habitants, le plus peuplé d'Afrique, également répartis entre les deux religions. Le sud est à dominante chrétienne et le nord essentiellement musulman.

Monde

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A peine élue, la première ministre de Jamaïque Portia Simpson-Miller a annoncé dans son discours d'investiture que le pays pourrait se retirer du Commonwealth pour devenir une république, rapporte samedi la BBC. "J'aime la reine (Elizabeth II) qui est une femme excellente (…), une femme sage et remarquable (…) Mais il est temps d'achever le processus d'accession à l'indépendance", a déclaré Mme Simpson-Miller, dont le Parti national populaire a remporté haut la main les législatives du 29 décembre, en promettant de redresser l'économie jamaïcaine. Sur le plan constitutionnel, la nouvelle première ministre et son parti se sont engagés à faire de la Jamaïque une république et de couper ainsi les ponts avec le Royaume-Uni, ancienne puissance coloniale. Cette émancipation pourrait se réaliser à l'occasion du 50e anniversaire de l'indépendance de l'île, en août prochain. Membre du Commonwealth, la Jamaïque est à ce jour une monarchie constitutionnelle qui reconnaît la reine d'Angleterre Elisabeth II comme son chef d'Etat.

http://fr.rian.ru/world/20120107/192970561.html

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Membre du Commonwealth, la Jamaïque est à ce jour une monarchie constitutionnelle qui reconnaît la reine d'Angleterre Elisabeth II comme son chef d'Etat.

ce qu´on apprend pas tout les jours

Yakuza a écrit:

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Membre du Commonwealth, la Jamaïque est à ce jour une monarchie constitutionnelle qui reconnaît la reine d'Angleterre Elisabeth II comme son chef d'Etat.

ce qu´on apprend pas tout les jours

Comme l'Australie, le Canada et l'Inde (Statut spécial pour la Reine). Presque comme tous les pays du Commonwealth.

mais ils sont tout de meme pas contés comme monarchies constit non?

Si, pour l'inde je ne sais pas, mais pour le Canada et l'Australie se sont des monarchies consitutionnelles ... bien que ce n'est pas écrit directement, mais il est écrit que le pouvoir exécutif rvient à la Reine.