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| Actualités internationales | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités internationales Ven 28 Oct 2011 - 23:05 | |
| Rappel du premier message :Selon le Financial Times, et ce n'est pas un poisson de novembre - Citation :
- Paranormal expert set to become Tory MEP
Britain is set to be represented in the European parliament by an expert on the paranormal, who ran a course at an unaccredited West Virginia university about ghosts, apparitions, poltergeists, UFOs, aliens, sasquatches and the Loch Ness monster Wa labaaaaassssss l'UE est sauvee. La chouaffa au cockpit |
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Auteur | Message |
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Ven 13 Avr 2012 - 10:47 | |
| Flute...!!! Moi qui voulait voir de l'Action ! Aprés il se pourait que cet échec soit prémédité, les Nord Coréen voulait pas baisser leur pantalon, en annulant le tir, mais ne s'attender pas a la réaction violente du Japon, ils ont donc du faire décoler la fusée pour dire on en a, mais l'ont fait exploser ou laisser exploser d'une part: - ne pas subir l'humiliation de voir sa fusée détruite par le Japon - et devoir gérer une crise majeur avec le Japon suite a la destruction de la Fusée Dans le cas la, la Corée du Nord n'as pas perdu la face, mais a éviter une grave crise alors que le jeune président vient que d'arriver _________________ | |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Ven 13 Avr 2012 - 11:30 | |
| je ne pense pas que ce soit ça. Sinon ils auraient mis leur fusée sur un banc d'éssai et ça aurait suffis. Mais ils ont fait un trop gros tapage médiatique, le but était clair, mettre sur orbite un satellite, et ça a échoué. Il ne faut pas oublier, le Japon et la CDS auraient intercepté la fusée que si elle menaçait leur territoire! (donc ça aurait dépend de la trajectoire). Les prochains jours seront plus difficile à vivre pour le Japon et la CDS, car ils ne savent pas comment va se traduire la "colère" des Nord Coréens. Mais j'avoue être étonné que la CDN n'ait pas accusé le Nippons ou les Sud Coréens d'voir détruit leur fusée... _________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
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| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Ven 13 Avr 2012 - 16:49 | |
| - Citation :
- « La véritable fin de la Guerre froide, la pierre tombale sur le conflit entre les deux blocs, la chute du mur économique et idéologique qui divise encore le monde globalisé, est un tunnel sous la mer de 150 km de longueur. Le grand rêve nourri par le scientifique russe Mendeleïev [auteur du célèbre tableau périodique des éléments], suggéré par le seizième président des Etats-Unis, Abraham Lincoln, et repris au bout du compte par l’économiste américain Lyndon LaRouche en 1987, va devenir réalité. »
Ceci est l’introduction en première page d’un article de fond publié le 11 avril dans la section Histoire du quotidien italien La Repubblica sous le titre « Le tunnel USA-Russie mettra fin à la Guerre froide ».
Son auteur Daniele Mastrogiacomo se réfère à la conférence de presse du président des chemins de fer russes Vladimir Iakounine du 7 avril dernier :
« Un fonctionnaire laconique, élevé dans le système rigide des écoles soviétiques, le président de la société russe des chemins de fer Vladimir Iakounine a annoncé que le projet d’ingénierie le plus extraordinaire de tous les temps commencera d’ici deux ans. Nous devrons ensuite attendre jusqu’en 2030, mais ceux qui ont de la chance, de l’argent et du temps auront la possibilité de profiter du privilège de traverser à sec les frontières entre deux continents qui ont été jusqu’à maintenant des adversaires hostiles séparés par 3,9 km [sic 85 km] d’eau arctique glaciale.
« Le projet est baptisé ’Wordlink’ : un réseau de lignes ferroviaires en partance d’Istanbul, se réunissant à Varsovie et puis, le long de la ligne transsibérienne, atteignant l’extrémité de la Sibérie. Dans le petit village de Uelen, la ligne plonge ensuite 50 mètres sous terre pour traverser le détroit de Béring, et émerge de l’autre côté à Cape Prince of Wales en Alaska.
« La Fédération de Russie et les Etats-Unis d’Amérique seront unis physiquement par une tunnel sous-marin deux fois plus long que le tunnel sous la Manche reliant l’Angleterre à la France. A l’intérieur du tunnel, d’un diamètre de 100 mètres, il y aura une ligne ferroviaire à grande vitesse, une route à deux voix pour les voitures et les camions, des câbles pour le transport d’électricité, des câbles en fibre optique pour les communications. Et surtout, un pipeline pour transporte le pétrole sibérien et un gazoduc capable de fournir 48 états américains.
« C’est toutefois par le commerce que le mega-consortium de sociétés impliquées dans le projet prévoit engranger le plus de revenus. Des techniciens sont déjà au travail et ont compilés certaines estimations. Le volume de fret par route et par rail devrait être de 100 millions de tonnes par an. Plus de bateaux ou d’avions. Plus de dépendance vis-à-vis des conditions climatiques. Quelque 4000 des 6000 km prévus devraient être construits en territoire russe, 2000 en Alaska, en territoire américain. Le coût est stratosphérique : $65 milliards. [1]
« Mais ce projet réellement futuriste, déjà sur les cartes géographiques du ministère de l’Infrastructure à Moscou, a provoqué l’enthousiasme dans 34 pays, en premier lieu la Chine. De manière symbolique, la Fédération de Russie sera jointe à cette pièce de terre glacée quel Tsar Alexandre II avait vendu aux Etats-Unis pour $7,2 milliards : $5 le km carré.
« La bande d’asphalte et d’acier s’étendra à travers les deux continents, la plus longue du monde. Pour les promoteurs de cette œuvre titanesque, il s’agit de la Nouvelle route de la soie, une ligne de commerce, de voyage et de connections contournant les régions turbulentes d’Asie centrale et surmontant, par la route arctique, les obstacles placés par la nature. Quinze mille kilomètres pour couvrir de manière presque ininterrompue, libre de frontières, au moins de barrières tarifaires, capables de développer des régions isolées et assiégées par le froid et la misère, situées si loin des centres de pulsion d’activité économique et de développement.
« La projet a été étudié depuis plus de 150 ans, marqués par des impulsions soudaines et des interruptions forcées. La crise financière globale, le besoin de raviver le commerce pour relancer l’économie mondiale, le besoin désespéré de matières premières ont toutefois percé une brèche dans les anciennes rivalités. Vladimir Iakounine, le président de la société des chemins de fer russes, l’a souvent répété lors de la conférence de presse annonçant les débuts du projet. Se tournant vers les journalistes et ennuyé par leurs questions remplies de scepticisme : ’Je n’ai pas l’habitude de parler sans réfléchir’, a-t-il répliqué. ’Nous avons obtenu le feu vert.’ Oui, cela prendra du temps. Les plus optimistes parlent de 15 ans. Mais l’attente sera récompensée – à défaut de nouvelles guerres froides et de nouveaux murs. »
[1] Ce qui n’est rien comparé aux sommes englouties pour renflouer l’activité spéculatives des banques, ndt. http://www.solidariteetprogres.org/La-Republicca-Le-tunnel-sous-le-detroit-de-Bering-un-reve-de-Mendeleyev_08756 L'article en italien... http://www.movisol.org/media/120411_La_Repubblica__Bering_LaRouche.jpg | |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Sam 14 Avr 2012 - 0:04 | |
| - Citation :
- L'armée soudanaise a annoncé qu'elle menait une contre-attaque vers Heglig afin de reprendre cette zone pétrolière contestée aux troupes sud-soudanaises qui l'occupent depuis hier."En ce moment, nous avançons en direction de la ville de Heglig", à la frontière, et nous sommes "tout près", a annoncé le porte-parole de l'armée, Sawarmi Khaled Saad, dans un communiqué."La situation à Heglig sera terminée dans les prochaines heures", a assuré M. Saad à des journalistes à Khartoum.
Redoutant une nouvelle guerre, après le conflit dévastateur (1983-2005, 2 millions de morts) qui a abouti à la partition du Soudan en juillet 2011, les membres du G8 -Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Italie, Japon, Russie- ont appelé les deux pays à faire preuve de "retenue maximale" et à la "fin immédiate des bombardements des zones civiles".
Les deux Soudans ont en effet connu cette semaine leurs affrontements les plus violents depuis la partition, accompagnés d'une surenchère verbale, les deux présidents s'accusant mutuellement de chercher la guerre. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/13/97001-20120413FILWWW00633-soudan-contre-attaque-visant-heglig.php | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Sam 14 Avr 2012 - 8:32 | |
| - Citation :
- Crimes de l'armée néerlandaise prescrits
Aucune action en justice n'est possible concernant des crimes commis en Indonésie par l'armée néerlandaise en 1946 et 1947, les faits étant prescrits, ont annoncé les services du procureur général des Pays-Bas. Ces services avaient été saisis en janvier par une organisation représentant des victimes indonésiennes. "Les services du procureur général ont conclu que les droits de poursuivre dans ces affaires sont tombés, en raison de la prescription", selon un communiqué mis en ligne par ces services.
Même pour les crimes les plus graves qui auraient été commis à l'époque, les faits ont été prescrits au bout de 24 ans, soit en 1971, ont-ils souligné. Le 20 décembre 2011, l'avocate Liesbeth Zegveld avait annoncé que des veuves d'Indonésiens tués par l'armée néerlandaise en 1946 et 1947 sur l'île de Sulawesi souhaitaient obtenir de la justice néerlandaise que les Pays-Bas soient jugés responsables de la mort de leurs époux. "Il ne s'agit pas d'argent, il s'agit surtout d'obtenir que le mal qui leur a été fait soit reconnu", avait déclaré l'avocate à l'AFP à La Haye. "Pour le moment, nous sommes en train d'explorer les possibilités d'une action en justice", avait-elle dit. "Jusqu'à présent, nous avons parlé avec une dizaine de veuves qui pourraient saisir la justice néerlandaise".
Les habitants de l'île de Sulawesi assurent, selon Me Zegveld, qu'entre décembre 1946 et février 1947, quelque 40.000 Indonésiens ont été tués dans le sud de l'île par l'armée néerlandaise à la recherche d'opposants dans cette ancienne colonie des Pays-Bas. Selon des enquêtes citées par les médias néerlandais, entre 3.000 et 5.000 personnes ont été tuées. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/13/97001-20120413FILWWW00627-crimes-de-l-armee-neerlandaise-prescrits.php | |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Sam 14 Avr 2012 - 10:13 | |
| Entre le Mali et la Guinée-Bissau, la CEDEAO a du boulot - Citation :
- Les putschistes en Guinée-Bissau ont proposé la mise en place d'un gouvernement d'"union nationale" dans lequel ils occuperaient d'office les ministères de la Défense et de l'Intérieur, ont indiqué à l'AFP des responsables de partis politiques.
Lors d'une réunion avec les chefs de l'armée au lendemain du putsch, "les militaires nous ont dit (...) de réfléchir à un gouvernement d'union nationale et à sa composition", a indiqué un responsable. Ces projets ont été confirmés par un autre chef de parti. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/13/97001-20120413FILWWW00674-bissau-les-putschistes-pour-l-union.php | |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Lun 16 Avr 2012 - 17:24 | |
| - Citation :
- Le Parlement soudanais déclare le gouvernement sud-soudanais ennemi
KHARTOUM - Le Parlement soudanais a adopté lundi à l'unanimité une résolution déclarant le gouvernement du Soudan du Sud un ennemi, après la prise de contrôle par les troupes sud-soudanaises de la zone frontalière de Heglig, principal champ pétrolier du Soudan.
Le gouvernement du Soudan du Sud est un ennemi et tous les organismes d'Etat doivent le traiter selon ce principe, a déclaré le Parlement dans cette résolution.
Après le vote, le président du Parlement, Ahmed Ibrahim El-Tahir, a appelé l'assemblée à renverser le Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM), les ex-rebelles sudistes désormais au pouvoir au Soudan du Sud, indépendant depuis juillet 2011 à la suite d'une guerre civile dévastatrice (1983-2005).
Nous annonçons que nous combattrons le SPLM jusqu'à ce que nous mettions fin à son gouvernement au Soudan du Sud. Nous rassemblons toutes nos ressources pour atteindre ce but, a-t-il ajouté.
Les relations entre Khartoum et Juba sont tendues depuis la partition, les deux pays ne parvenant pas à régler par la diplomatie les questions restées en suspens: tracé de la frontière, partage des revenus pétroliers, statut de la province frontalière d'Abyei.
Après s'être mutuellement accusées de soutenir des rebelles sur le territoire de l'autre, les deux armées se sont directement affrontées pour la première fois fin mars lors d'une première incursions sud-soudanaise dans la zone de Heglig, qui renferme la moitié des réserves pétrolières du Soudan.
La situation s'est encore envenimée la semaine dernière, quand l'armée sud-soudanaise a pris le contrôle le 10 avril de Heglig.
Malgré les appels de la communauté internationale et une contre-offensive soudanaise annoncée vendredi, Juba a affirmé que ses forces ne se retireraient de Heglig qu'à condition que celles de Khartoum cessent leurs bombardements aériens en territoire sud-soudanais et quittent la province voisine d'Abyei.
Jeudi, les deux présidents se sont mutuellement accusés de chercher la guerre.
Dimanche, l'aviation de Khartoum a bombardé un camp de Casques bleus près de la frontière en territoire sud-soudanais, sans faire de victime, selon l'ONU. Les bombes ont cependant fait 7 morts et 14 blessés parmi les civils aux alentours du camp, selon un responsable sud-soudanais. http://www.romandie.com/news/n/_Le_Parlement_soudanais_declare_le_gouvernement_sud_soudanais_ennemi62160420121456.asp | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Lun 16 Avr 2012 - 17:35 | |
| Article très intéressant sur comment le Soudan est entrain de perdre la guerre dans le Sud - Citation :
- Le Soudan du Sud tente de faire plier Khartoum en multipliant les fronts
Les frères ennemis soudanais, le Nord et le Sud, ont un art. Celui de faire semblant de ne pas guerroyer tout en poussant leurs pions dans une gigantesque partie de mah jong meurtrier à l'échelle d'une région grande comme cinq fois la France.
Depuis que le Sud a fait sécession, en juillet 2011, Khartoum et Juba, les deux capitales des deux Soudans, connaissent des montées de violence dans leurs zones frontalières, entrecoupées de négociations sous pression internationale. La guerre, franche et brutale, n'a pas éclaté. Mais à ce jeu, les deux voisins sont en train d'épuiser toute chance de trouver la paix.
Mardi 10 avril, les forces armées du Sud (Armée de libération des peuples du Soudan, SPLA), après avoir affronté les troupes régulières du Nord (Forces armées du Soudan, SAF), ont pris le contrôle de la zone de Higlig, cœur des installations pétrolières resté sous le contrôle de Khartoum depuis la sécession. Elles ont ensuite stoppé la production que Khartoum contrôlait encore. Higlig fournit 90 % du brut du Nord.
"INQUIÉTUDE GRANDISSANTE"
Surtout, les deux armées régulières se sont affrontées directement, ce qui devrait conduire à d'autres accrochages. Jeudi, le Conseil de sécurité des Nations unies a "exigé" que les deux pays "cessent les combats immédiatement et sans conditions". Susan Rice, ambassadrice des Etats-Unis qui préside actuellement le Conseil de sécurité, a lu une déclaration des 15 membres exprimant leur "inquiétude grandissante devant l'escalade" entre les deux pays qui "menace de les faire replonger dans une véritable guerre".
Le Conseil a demandé aux forces sudistes de se retirer de Higlig, et à celles du Nord de cesser les bombardements aériens sur des cibles au Sud, comme la ville de Bentiu, l'un des centres pétroliers sudistes.
Dans l'intervalle, les deux pays ont lancé des appels à la mobilisation générale. Jeudi, le président du Soudan du Sud, Salva Kiir, a aussi annoncé être prêt à des négociations, mais le mal est fait. Compte tenu de la qualité particulière du brut local, qui se fige très vite dans les canalisations qui le transportent, il faudra des semaines, peut-être des mois, de travaux d'entretien sur les oléoducs pour relancer la production. Avant d'y parvenir, Khartoum pourrait être en proie à une crise économique susceptible de déclencher un phénomène classique au Soudan : des manifestations de masse contre un pouvoir affaibli. C'est sur cette éventualité que le pouvoir du Sud, selon des sources concordantes, base sa stratégie depuis que Juba est devenue la capitale d'un nouvel Etat indépendant, en juillet 2011.
GUERRE LARVÉE
La prise d'Higlig marque donc une nouvelle étape dans la guerre larvée en cours. La région d'Higlig se situe au sud de l'Etat du Sud-Kordofan, dans une zone déjà en proie à une guerre de basse intensité, conduite par les forces du Mouvement de libération du peuple du Soudan (SPLM-Nord), une rébellion opérant au Nord, mais affiliée à Juba. Ils y combattent les SAF, les forces régulières qui comptent, pour maîtriser le terrain, sur l'appui des milices, les Forces défense populaires (PDF).
Au cours des derniers mois, le SPLM-Nord a réussi à faire entrer dans le jeu ses propres alliés, les groupes rebelles intégrés dans le Front révolutionnaire du Soudan (SRF), une alliance anti-Khartoum. Parmi ces groupes rebelles se trouvent notamment les hommes du Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM), qui étirent la ligne des affrontements jusqu'au Darfour.
Ce n'est pas un hasard. Si la tactique de la coalition qui lutte contre le pouvoir de Khartoum est d'épuiser le régime que domine un groupe au pouvoir depuis le coup d'Etat de 1989, l'étirement des fronts a du sens.
La situation est mauvaise pour Khartoum. D'abord, "les SAF sont en train de perdre la guerre au Sud-Kordofan", note une source bien renseignée. Les gains en territoire du SPLM-Nord s'étendent de manière menaçante vers le Nord. Sur le second front, dans l'Etat du Nil bleu (également au Nord), les rebelles pro Sud ont perdu des villes, mais maintiennent des opérations de guérilla, harcelant les convois et les bases de l'armée nordiste.
BOMBES ARTISANALES
Dans aucune des deux zones, les SAF ne parviennent à faire la différence. Qui a encore envie de mourir pour un pouvoir qui a multiplié, depuis le coup d'Etat de 1989, les avantages pour ses proches et les inconvénients pour le reste du pays ? Alors que l'armée lâche du terrain, Khartoum réplique avec des bombardements aériens : des bombes artisanales larguées avec imprécision par des Antonov pilotés par des équipages étrangers. Ce n'est pas ce qui changera le cours des événements car l'affrontement au Soudan ne se joue pas dans les airs, mais au sol, où la tactique d'étouffement du pouvoir nordiste par le Sud est en train de porter ses fruits. "Ils veulent les mettre à genoux", précise une source impliquée dans la médiation entre le Nord et le Sud.
C'est à ce stade que la Chine, qui a des intérêts au Nord comme au Sud, pourrait jouer un rôle pacificateur plus important. A moins de considérer que le blocage entre Khartoum et Juba est total et ne sera levé que lorsque l'un des deux acteurs aura été mis à terre. Ni les forces gouvernementales, ni la rébellion, n'étaient parvenues à l'emporter pendant la guerre civile (1983-2005), qui a fait plus de deux millions de victimes.
Jean-Philippe Rémy
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/04/13/le-soudan-du-sud-tente-de-faire-plier-khartoum-en-multipliant-les-fronts_1685131_3212.html Ça ne vous rappelle rien comme technique? C'est exactement ce que le zbal d'à côté a essayé de faire au Maroc avec leur stratégie de Rupture début 80.... _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Mar 17 Avr 2012 - 19:39 | |
| - rafi a écrit:
- La naïveté on la cultive lorsque l'on veut bien, ici nous sommes tout sauf naïfs. L'Argentine a déjà envoyé paître le FMI, la banque mondiale, et consorts, je suis bien d'accord avec toi qu'il y a un risque d’éventuelles rétorsions, nous verrons bien quelle forme cela prendra.
je pense que l'argentine à une chance c'est que les dossiers prioritaires ne manquent pas et donc cette affaire passera au second plan. _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités internationales Mar 17 Avr 2012 - 20:01 | |
| Reuters http://www.reuters.com/article/2012/04/17/us-spain-argentina-ypf-eu-idUSBRE83G0QU20120417 - Citation :
- [...]
YPF has been under pressure from Fernandez's centre-left government to boost oil production, and its share price has plunged in recent months on speculation about a state takeover.
Spanish investment in Argentina may now be at risk after the move on YPF. In the "reconquista" or reconquest, of the 1990s, newly privatized Spanish businesses bought Latin American banks, telephone companies and utilities, much as their armor-clad ancestors had conquered the region 500 years earlier.
Through its latest nationalization move, Argentina runs the risk of frightening off foreign investors, key to contributing money to help develop one of the world's largest reserves of shale oil and gas recently discovered in the Vaca Muerta area.
ACE UP ITS SLEEVE?
This led some analysts to question whether Argentina might have an ace up its sleeve in the form of a new partner such as China Petrochemical Corp (Sinopec Group).
Repsol has, however, identified Vaca Muerta as "the cause of the pillage", or the reason Argentina went after its YPF share.
A Chinese website said Sinopec was in talks with Repsol to buy YPF for more than $15 billion, although other sources said the nationalization move would probably get in the way of such a deal. Sinopec dismissed the report as a rumor.
[...]
Bien joue l'Argentine et bonne chance. Le cas d'amerique latine qui a connu une ingerence policiere et militaire pour casser son systeme politique (social-democratie) a le droit moral de reprendre par la force ce qui a ete pris par la ruse... Maintenant si ca cache un "cadeau" au nouvel empire d'Orient en vue de l'amener plus en amrique latine pour contrarier le bloc occidental sur les iles falklands... - Citation :
- The President reportedly directed her wrath at Repsol-YPF earlier this year when it suddenly became evident that Argentina pays about 10 billion dollars a year in fuel imports to meet demand in times of economic growth. Repsol-YPF, according to Argentine government officials, is not investing enough to meet the growing local thirst for fuel.
[...]
The point at which Malvinas and YPF touch is nationalism. Nationalism is on the rise in times when global capitalism is going through an identity crisis. Polls show there is support both for Argentina’s sovereignty claims over Malvinas and for nationalizing YPF. BuenosAiresHerald Comme anecdote 2 commentaires sur la Nacion (argentin) - Citation :
- Perdón, pero ni Rajoy ni España son los dueños de Repsol. Repsol es una empresa privada con capitales multinacionales. No son España ni Rajoy los dueños. Por otro lado, aunque Repsol controlara YPF, la empresa fue, es y será argentina. Lo que no teníamos era el control que pasaremos a tener si el Congreso aprueba la ley.
Un commentaire qui rappelle l'argument cle et vrai (et ecarte comme prevu par les instances "internationales") avance par l'Iran de Mossadegh contre l'anglo-iranian oil durant sa nationalisation: c'est une histoire entre un gouvernement souverain et un compagnie privee. L'implication d'un gouvernement etranger ne peut qu'etre que la preuve que ces "multinationales" ne le sont que par le nom et servent d'avant garde de contole economique... - Citation :
- VERSION ESPAÑOLA: "Rajoy dijo que la expropiación de YPF es injustificable"VERSION DE AMERICA LATINA: "El cacique azteca dice que la expropiación del oro y la plata es injustificable".
google transalte it |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités internationales Ven 20 Avr 2012 - 21:02 | |
| Le Point / AFP Le Soudan du Sud fait marche arrièreLe Point.fr - Publié le 20/04/2012 à 13:32 - Modifié le 20/04/2012 à 19:04 - Citation :
Le Soudan a repris, vendredi, le contrôle de la zone frontalière contestée de Heglig à la suite de violents combats, le Soudan du Sud évoquant pour sa part un repli volontaire sous pression internationale. "Nos troupes ont pu libérer la ville de Heglig par la force, et l'ont reprise à 14 h 20 aujourd'hui", a annoncé à Khartoum le ministre soudanais de la Défense, Abdelrahim Mohammed Hussein. Deux heures auparavant, le président sud-soudanais Salva Kiir avait annoncé qu'il avait ordonné à son armée de se retirer immédiatement de cette région qu'elle avait conquise le 10 avril dernier, mettant depuis les deux pays au bord d'une guerre ouverte.
Salva Kiir a cependant affirmé, dans un communiqué lu par un porte-parole à Juba, qu'il n'avait fait que céder aux pressions répétées de la communauté internationale. Le chef du jeune État sud-soudanais a passé sous silence les offensives de l'armée soudanaise que, selon le porte-parole de l'armée sud-soudanais Philip Aguer, les troupes de Juba essuyaient depuis jeudi. Des témoignages recueillis à Bentiu, en territoire sud-soudanais, faisaient état de combats se poursuivant vendredi matin à Heglig, distant d'une soixantaine de kilomètres, et de nombreux soldats sud-soudanais revenant blessés du front.
Prise "illégale" de Heglig par Juba
"La République du Soudan du Sud annonce que les troupes de la SPLA (armée sud-soudanaise) ont reçu l'ordre de se retirer" de Heglig, a déclaré, vendredi, le porte-parole du gouvernement sud-soudanais, Barnaba Marial Benjamin, lisant un communiqué présidentiel devant la presse. "Un retrait ordonné va commencer immédiatement et devra être terminé dans les trois jours."
Salva Kiir a souligné qu'il considérait toujours Heglig comme une partie intégrante du territoire sud-soudanais. Le président soudanais, Omar el-Béchir, qui ne décolérait pas de la prise de Heglig par les troupes de Juba, avait de son côté promis jeudi de "donner une leçon par la force" au Soudan du Sud. La zone de Heglig, frontalière et revendiquée par les deux parties, est ultra-stratégique : elle assurait jusqu'aux récents affrontements au moins la moitié de la production de pétrole du Nord. États-Unis, Union africaine, Nations unies..., la communauté internationale multipliait ces derniers jours les appels à son évacuation par les soldats sud-soudanais et ne cessait d'inviter les deux parties à la retenue afin d'éviter une nouvelle guerre ouverte.
Jeudi, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, avait jugé "illégale" la prise de Heglig par Juba. Le responsable onusien avait dans le même temps pressé le Soudan de "cesser immédiatement de bombarder" le Soudan du Sud et de se retirer d'autres territoires à la souveraineté contestée, comme la région d'Abyei. Avant les accords de paix de 2005, qui ont mené à la partition du Soudan en juillet dernier, le Nord et le Sud se sont livré des décennies de guerre civile. La dernière vague du conflit, de 1983 à 2005, a fait au moins 2 millions de morts. Plusieurs différends entretiennent, depuis l'accès à l'indépendance du Soudan du Sud, les tensions entre Juba et Khartoum.
Recrudescence des combats
Ils portent notamment sur le tracé frontalier, contesté par les deux parties en de nombreux points, le partage des ressources pétrolières du Soudan d'avant la partition - Juba a hérité des trois quarts des réserves, mais est entièrement tributaire des infrastructures du Nord pour exporter. Les deux capitales s'accusent aussi d'alimenter chacune une rébellion sur le sol de l'autre. Depuis quelques jours, les affrontements entre les armées des deux Soudans ont eu tendance à s'étendre le long de la frontière commune.
Et si la communauté internationale craint une nouvelle guerre ouverte entre les deux voisins, la mission de la paix Union africaine-Nations unies (Minuad) au Darfour a aussi dit craindre, au Darfour, une exploitation des affrontements Nord-Sud par des rebelles. Dans un autre État soudanais en proie depuis des mois à la rébellion, le Nil bleu, frontalier du Soudan du Sud, les rebelles de la branche Nord du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM-N) ont aussi fait état d'une recrudescence des combats depuis la prise de Heglig. Vendredi, ils ont affirmé avoir eux-mêmes tué 79 soldats et miliciens à quelque 35 kilomètres d'Ed Damazin, chef-lieu de l'État.
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| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Ven 20 Avr 2012 - 22:51 | |
| RIP - Citation :
- Un avion de ligne d'une compagnie privée pakistanaise transportant 127 personnes s'est écrasé vendredi en début de soirée près de la capitale Islamabad après avoir été pris dans un violent orage. Les autorités jugent peu probable qu'il y ait des survivants.
L'appareil transportait 127 personnes -121 passagers, dont onze enfants, et six membres d'équipage- selon une liste de vol fournie par la compagnie. "Il n'y a aucune chance d'y avoir des survivants, sauf miracle. L'avion est totalement détruit", a déclaré un responsable de la police locale, Fazl Akbar, sur les lieux de l'accident.
"Le temps était très mauvais, il y avait de la grêle et des éclairs. Le pilote a perdu le contrôle de l'avion qui a percuté le sol. L'appareil a explosé sous le choc et s'est transformé en une boule de feu", a raconté un responsable de l'armée pakistanaise, le capitaine Arshad Mahmood.
Météo exécrable Sur place, des restes humains, des taches de sang et divers objets appartenant aux passagers étaient éparpillés dans un rayon d'environ deux kilomètres, selon le chef des opérations de recherche et de collecte des débris.
L'ambiance était à la panique et à l'effroi dans l'enceinte de l'aéroport international. Un homme qui attendait l'avion hurlait en pleurant: "Mes deux filles sont mortes".
Le Boeing 737 de la compagnie Bhoja effectuait la liaison entre Karachi et Islamabad. Il s'est écrasé à l'atterrissage par mauvais temps à Rawalpindi, près d'Islamabad, où se trouve le principal aéroport de la ville. Les conditions météorologiques sont particulièrement mauvaises dans la région.
Précédents accidents En juillet 2010, un Airbus A321 de la compagnie privée locale Airblue s'était écrasé sur les collines de Margalla, à proximité d'Islamabad, causant la mort des 152 personnes à bord.
L'accident d'avion de ligne le plus meurtrier de l'histoire de l'aviation pakistanaise remonte à 1992, lorsqu'un Airbus A300 de la compagnie publique Pakistan International Airlines (PIA) s'était écrasé dans des collines à l'approche de Katmandou, la capitale népalaise, faisant 167 morts. http://www.romandie.com/news/n/Crash_aerien_au_Pakistan_pres_de_130_morts_sauf_miracle21200420122204.asp | |
| | | jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Jeu 26 Avr 2012 - 14:58 | |
| - Citation :
La Norvège va augmenter ses dépenses militaires
En 2008, l’exploitation du pétrole et du gaz représentait un tiers des recettes de l’Etat norvégien. C’est grâce en partie à cette rente, par ailleurs bien gérée, que la Norvège a pu tirer son épingle du jeu alors que d’autres pays européens étaient en proie aux difficultés d’une succession de crises (financière, économique et de la dette).
Pays membre du Conseil Arctique, la Norvège suit avec intérêt les évolutions de cette partie du monde, qui est importante d’un point de vue stratégique dans la mesure où son sous-sol recèlerait de giganstesques réserves de pétrole et de gaz. D’où les débats entre les pays qui sont concernés au sujet de la délimitation des frontières maritimes.
En attendant, le gouvernement norvégien a récemment annoncé d’ouvrir 86 blocs offshore à l’exploration pétrolière dans l’Arctique, suite à la découverte dans le Grand Nord par le groupe norvégien Statoil de deux gisements pouvant contenir jusqu’à 600 millions de barols équivalent-pétrole (mbep).
Aussi, et comme on peut le comprendre, il est important pour Oslo de protéger ces ressources. D’où la décision du gouvernement norvégien d’augmenter significativement son effort de défense au cours des quatre prochaines années, ce qui va à contre-courant de ce qui est observé dans le reste de l’Europe, où l’heure est aux économies, quand il n’est pas question d’austérité.
Le Livre blanc norvégien sur la défense, publié le 23 mars dernier, prévoit en effet d’augmenter, lors de la période 2013-2016, ses dépenses militaires de 7% par an afin de renforcer les effectifs et de moderniser les capacités aériennes, navales et terrestres des forces armées norvégiennes en réaffectant des ressources libérées par le retrait du contingent mis à la dispostion de l’Otan en Afghanistan par Oslo.
Cela étant, une partie de ces crédits devraient être consommés par l’acquisition de 52 avions de combat F-35 du constructeur américain Lockheed-Martin. Le ministère norvégien de la Défense compte également se procurer des missiles Naval Strike, développés par Kongsberg Defence & Aerospace (KDA) ainsi que des hélicoptères NH-90 dans leur version navale.
« Le plan antérieur nous a donné une base solide sur laquelle on a bâti une force qui est finalement en équilibre. Nous pouvons maintenant apporter des changements à notre structure parce que c’est la chose intelligente à faire, et non pas parce que nous sommes obligés de le faire » a expliqué le ministre norvégien de la Défense, Espen Barth Eide.
Par ailleurs, la Norvège prévoit également prévu de moderniser sa flotte de 100 véhicules blindés de combat d’infanterie de type CV-90 (Hägglunds/Bofors/BAE Systems) afin d’augmenter leur protection et les porter au standard C4ISR (Computerized Command, Control, Communications, Intelligence, Surveillance, Reconnaissance) et d’en acquérir 46 exemplaires supplémentaires.
Ce projet, d’un coût évalué à 1,74 milliards de dollars et qui comprend une commande drones, doit commencer en 2014 et se terminer quatre ans plus tard. « Cet investissement permettra de fournir à nos unités blindées des fonctionnalités supplémentaires (…) et constitue une amélioration importante de l’équipement à la disposition de l’armée » a fait valoir le ministre norvégien de la Défense.
En outre, la Norvège va mettre sur pied une Brigade arctique de réaction rapide à partir du 2nd Bataillon de Skjold, lequel a envoyé une part importante des effectifs en Afghanistan.
Cette décision est similaire à celle prise par la Russie, en mars 2011, laquelle a consiste à déployer, d’ici 2015 et à quelques kilomètres de la frontière norvégienne, une brigade arctique constituée par les éléments de la 200e brigade d’infanterie motorisée et dotée de blindés polyvalents à chenilles.
Cela étant, la Norvège, membre de l’Otan, et la Russie entretiennent de bonnes relations. Sur le plan diplomatique, les deux pays ont signé un traité frontalier concernant l’Arctique. Mais comme l’histoire a montré que ce genre d’accord pouvait ne pas être respecté, Oslo et Moscou collaborent également dans les domaines économiques et énergétiques, via Statoil et Gazprom, notamment sur le projet russe « Shtokman » d’extration de gaz naturel en mer de Barents.
Enfin, l’entente est aussi de mise au niveau militaire. Ainsi, des manoeuvres navales russo-norvégiennes, appelées Pomor 2012, auront lieu en mai prochain dans la région Arctique
opex360
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités internationales Dim 29 Avr 2012 - 20:15 | |
| Petrole petrole dans la Mer de Chine / pres des Philippines... GMS News (Philippines): What you need to know about the UNCLOS, the ITLOS, and the EEZ - Citation :
After two weeks, there is still no end in sight to the standoff between Philippine and Chinese vessels at the Panatag (Scarborough) Shoal. Located west of Masinloc in Zambales province, the resource-rich cluster of reefs and islets is within the territorial limits of the Philippines, but China has also laid historical claim to the area. GMA News Online has prepared the primer below, which explains some of the most frequently used terms by officials, to help readers navigate the jargon-laden statements from both sides of the continuing conflict in the west Philippine Sea. What is the UNCLOS? The United Nations Convention on the Law of the Sea (UNCLOS), also known as the Law of the Sea Treaty, is the international agreement that defined the limits of the territorial seas of nations and the areas in which they could exploit marine resources. It also established the rules for the use of the high seas for international navigation, and outlined the rights and responsibilities of nations in the protection of the marine environment. What was the rationale for UNCLOS? In the past, the three-mile rule was traditionally used by coastal states to determine the limits of their territorial waters. After World War II, however, states began extending their control beyond previous limits. In 1945, due to domestic oil demands, the United States claimed the right to harvest the natural resources in its continental shelf. Chile, Peru, and Ecuador asserted sovereign rights over a 200-mile zone, hoping to limit the access of foreign fishing fleets and prevent the depletion of fish stocks in their adjacent seas. Egypt, Ethiopia, Saudi Arabia, Libya, Venezuela, and some Eastern European countries claimed 12 miles as part of their territorial seas. Meanwhile, archipelagic nations such as Indonesia and the Philippines asserted the right to dominion over the waters that separated their islands. Because of this multitude of claims and counterclaims, the UNCLOS became necessary to resolve conflicts among countries over the seas adjacent to their coasts. When did the agreement come into force? After eight years of negotiations, the convention concluded in 1982 and came into force as a binding treaty in 1994. Who are the members of UNCLOS? As of June 2011, the Convention had 162 signatories. The Philippines signed it on May 8, 1984, while China signed it on June 7, 1996.
What are the main provisions of the treaty? The UNCLOS provides for the following: Baseline – Determined by connecting points on the coastline from a large map, this is the starting point for measuring the maritime territory of a coastal state. Territorial sea – This is the belt of sea 12 nautical miles from the baseline. In this area, the coastal state exercises sovereign rights and may arrest foreign ships. Contiguous Zone – This is the maritime area not exceeding 24 nautical miles from the baselines. The coastal state exercises authority over this area to the extent necessary to prevent infringement of its customs, fiscal, immigration, or sanitation authority over its territorial waters. This is a response to the practice of foreign ships lingering beyond a state’s territorial sea, and thus beyond its criminal jurisdiction, where they commit acts inimical to the coastal state. Exclusive Economic Zone or EEZ – This is the maritime area within 200 nautical miles from a country’s baseline. Within the EEZ, the coastal state has rights over the economic resources of the sea, seabed, and subsoil to the exclusion of other states. However, other nations have the right of navigation and overflight over this area, subject to the regulation of the coastal state. Continental Shelf – This is the seabed and subsoil of the submarine areas adjacent to the coastal state but outside the territorial sea. The continental shelf extends 200 nautical miles, and in some cases may extend up to 350 miles, following the natural prolongation of the soil. The coastal state has the right to explore and exploit the natural resources in this area, but this right does not extend to other materials such as shipwrecks. What are the penalties for failure to comply with the provisions of UNCLOS? In case of disputes, states are mandated to settle their dispute by peaceful means. This may be done through an arbitration procedure of their choice. If no settlement is reached through an arbiter, they can bring the case to the ITLOS, the International Court of Justice (the tribunal of the United Nations), or a special tribunal. These tribunals mete out the penalties, which may be in the form of payment of reparations. What is the ITLOS? The International Tribunal on the Law of the Sea is the court created under UNCLOS to settle disputes between states. These include matters regarding the interpretation or application of the Convention, and other issues that may be submitted to it for adjudication by the parties. It also has the power to issue advisory opinions. The Tribunal has 21 judges from various states and is based in Hamburg, Germany. Has the ITLOS resolved any case so far? To date, 19 cases have been submitted to the Tribunal. Two cases are pending before the Tribunal. One of the cases handled by the ITLOS was the complaint from New Zealand and Australia regarding Japan’s experimental fishing program, which they said resulted in the overfishing of Bluefin Tuna. ITLOS provisionally ordered the parties to keep catches to the level they had agreed on, and to refrain from conducting fishing programs.
- YA/GMA News
- Citation :
- Philippines denounces China for 'bullying' tactics near Panatag Shoal
The Philippines accused Beijing of employing "bullying" tactics Saturday after a speeding Chinese ship allegedly veered dangerously close to two Philippine vessels in the disputed South China Sea. No one was hurt but "these maneuvers by the Chinese vessel posed a danger to the Philippine vessels", foreign affairs department spokesman Raul Hernandez said in a statement. "Our ships did not react to the bullying," he added. The incident took place near the disputed Scarborough Shoal in the South China Sea where Chinese fisheries vessels have been facing off against Philippine ships for weeks over which country claims the area. In Saturday's incident, the Chinese vessel sped past two Philippine coast guard ships at more than 20 knots (37 kilometers per hour), creating a high wave that buffeted the vessels. This is the most serious event since the standoff began on April 8 when the Philippines attempted to arrest Chinese fishermen in the shoal for poaching, only to be blocked by Chinese ships. China has warned the Philippines against internationalizing the dispute over the shoal, about 230 kilometres (140 miles) from the Philippines' main island of Luzon. In a separate development, energy undersecretary Jose Layug said the Philippines was planning more oil and gas exploration in the disputed region despite China's growing aggressiveness. "The Chinese are claiming (these areas) but we have said repeatedly that (they are) well within the territorial jurisdiction of the Philippines," he said in a televised interview. Experts say the overlapping claims are a potential flashpoint that could destabilize regional security. — Agence France Presse - Citation :
- China is likely focus at US-PHL security talks in Washington
China is likely to be high on the agenda at top level U.S.-Philippine security talks on Monday as Washington refocuses its foreign policy on Asia and Manila realises its limits in trying to solve territorial disputes with Beijing alone. China has maritime spats with several countries in the South China Sea, believed to be rich in oil and gas and crossed by important shipping lanes, and its neighbors fear its growing naval reach in staking claims. Those disputes are pushing the Philippines to seek closer cooperation with the United States, which in turn has prompted China to warn Washington against getting involved, denouncing last week's U.S.-Philippine military drills as bringing the risk of armed conflict closer. "I'm sure we need to be diplomatic, but I don't think we should tip-toe around the Chinese on this," said Walter Lohman, director of the Asian Studies Center with the conservative Washington-based Heritage Foundation think tank. "...There is nothing new about the U.S. exercising with the Philippines. We shouldn't refrain because the Chinese don't like it. In fact, I expect the (Washington meeting) will come up with some agreement on increasing the frequency and variety of exercises, ship visits. Also expect agreement on hardware, joint use of Philippines' training facilities and bases." The talks also coincide with a potential new source of tension between Washington and Bejing after blind activist Chen Guangcheng was reported late last week to have sought U.S. protection in the Chinese capital after an audacious escape from 19 months under house arrest. On Sunday, China said it had made "stern representations" to the Philippines about its proposal for international arbitration over Scarborough Shoal, site of the most recent stand-off between the two sides. "China urges the Philippines to earnestly respect China's sovereignty and do nothing to expand or complicate matters," the ministry cited Deng Zhonghua, head of its department of boundary and ocean affairs, as saying. Manila's moves to strengthen security ties with its former colonial master coincide with the U.S. foreign policy "pivot" towards Asia to concentrate on, among other things, North Korea's nuclear ambitions and China's military buildup. Twenty years after the Philippines voted to remove American bases, it now wants to give U.S. troops more access to its ports and airfields. "We enjoy a really close military-to-military relationship with the Philippines and I think certainly coming out of this two plus two, we'll be looking for ways to improve and enhance that relationship," said Pentagon spokesman Navy Captain John Kirby, referring to talks between the defense and foreign secretaries, the highest-level security talks yet between the two sides. "But it is safe to say that ... our relationship with the Philippines is part and parcel of the larger shift to focus on the Asia-Pacific." A Philippine general familiar with the discussions to be held in Washington said the United States had a list of airfields in the Philippines that it could use for routine deployment of tankers, fighters and transport planes. "These are not new bases for the Americans, these are still our facilities," said the general who declined to be identified. "They are only asking us if we can share some of our idle space with them." Kirby said the United States wanted to continue "a rotational and training" relationship. "We're certainly not looking ... for permanent basing there." This is nevertheless a sensitive area for Philippine President Benigno Aquino, some of whose political advisers are uncomfortable with an expanding U.S. role. The U.S. plan to use Philippine airports is not new. At the height of U.S. operations in Iraq and Afghanistan in the mid-2000s, Manila allowed U.S. military planes to refuel at an airport in northernmost Batanes province, close to Taiwan. "We don't want them back, they create noise when most of us are already asleep," Budget Secretary Florencio "Butch" Abad said of U.S. transport planes landing at night in Basco airport. Abad is one of Aquino's closest political advisers. Another political adviser told Reuters Aquino would not allow a de facto basing arrangement. "That's a violation of our constitution," he said. Philippine foreign and defense officials, however, will use the Washington talks to try to get U.S. backing on its position in the South China Sea, invoking freedom of navigation. "I think we would want all nations, including the U.S., to make a judgment as to what is happening there (in the South China Sea) and what the implications are to their own security," Foreign Affairs Secretary Albert del Rosario has said. A retired Philippine flag officer said Washington, which is shuffling and redeploying its forces around Asia, including in Japan and Australia, wanted to rebuild the "air bridge" between Northeast and Southeast Asia. "They are trying to plug these holes when they left Clark in 1992," he said, referring to a former U.S. air base in the northern Philippines. "They need airfields more than ports because most of their tactical aircraft are based too far from potential hotspots in Southeast Asia." Richard Jacobson, of Pacific Strategies and Assessments, cautioned both sides against playing the China card, saying he did not see naval standoffs in the South China Sea as dramatic enough to improve U.S.-Philippines relations. "It appears more likely that any new strategic partnership will evolve gradually over time," Jacobson told Reuters. (Additional Reporting By Paul Eckert and David Alexander in WASHINGTON, and Ben Blanchard in BEIJING) — Reuters |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités internationales Dim 29 Avr 2012 - 22:50 | |
| enfin! On parle de libre echage de marche de competition mais le plus souvent c'est une concentration nationale d'une industrie ou un oligopole qui domine... - Citation :
- La première agence de notation européenne bientôt sur les rails
AFP
La première agence de notation européenne est sur les rails, selon le groupe de conseil allemand Roland Berger qui a indiqué avoir trouvé assez d'investisseurs pour sa fondation, selon un communiqué posté vendredi sur son site internet. "Après d'intenses négociations avec des compagnies financières européennes, un engagement suffisant a été reçu pour établir une nouvelle agence de notation", écrit le cabinet de conseil.
"Markus Krall, actuellement partenaire senior du cabinet de conseil Roland Berger, sera le patron fondateur de cette nouvelle agence de notation", ajoute-t-il. Cette agence européenne est destinée à concurrencer les trois grandes agences américaines Standard & Poor's, Moody's et Fitch. Il n'est pas précisé dans le communiqué si le cabinet a réussi d'ores et déjà à réunir le tour de table des 300 millions d'euros qu'il juge nécessaire au lancement du projet.
Une porte-parole de Roland Berger n'était pas immédiatement joignable pour donner plus de précision. Jeudi, elle avait indiqué à l'agence allemande dpa qu'avaient été réunis d'ores et déjà environ 130 millions d'euros. Le 17 avril, la presse allemande avait rapporté que Roland Berger était sur le point de renoncer à son projet de création d'une nouvelle agence de notation européenne, n'ayant pas réussi à réunir le capital nécessaire. Le porte-parole de la chancelière Angela Merkel, Steffen Seibert, avait alors jugé qu'il serait "regrettable" que le projet de Roland Berger n'aboutisse pas, et souhaitable "plus de concurrence" sur le marché des agences de notation. Mais "cette concurrence doit venir du secteur privé", avait-il ajouté, "une implication de l'État ne conduirait pas à aucune forme de légitimité". |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
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| Sujet: Re: Actualités internationales Jeu 3 Mai 2012 - 19:46 | |
| Avec vidéo à l'appui : http://www.bbc.co.uk/news/uk-17943864 - Citation :
- A large-scale security exercise is under way to enable the military to prepare for the key role it will play during the London 2012 Olympic Games.
One option being considered is the deployment of surface-to-air missiles at key sites, a plan that has drawn criticism from some residents.
Col Jon Campbell, Commander, Joint Ground Based Air Defence, spoke to the BBC to explain how the Rapier missile system might be used to counter an aerial security threat. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités internationales Sam 5 Mai 2012 - 1:46 | |
| Japan switches off last nuclear power plant; will it cope?Reuters - Citation :
(Reuters) - Japan shuts down its last working nuclear power reactor this weekend just over a year after a tsunami scarred the nation and if it survives the summer without major electricity shortages, producers fear the plants will stay offline for good.
The shutdown leaves Japan without nuclear power for the first time since 1970 and has put electricity producers on the defensive. Public opposition to nuclear power could become more deeply entrenched if non-nuclear generation proves enough to meet Japan's needs in the peak-demand summer months.
"Can it be the end of nuclear power? It could be," said Andrew DeWit, a professor at Rikkyo University in Tokyo who studies energy policy. "That's one reason why people are fighting it to the death."
Japan managed to get through the summer last year without any blackouts by imposing curbs on use in the immediate aftermath of the earthquake and tsunami. Factories operated at night and during weekends to avoid putting too much stress on the country's power grids. A similar success this year would weaken the argument of proponents of nuclear power.
"They don't have the polls on their side," said DeWit. "Once they go through the summer without reactors, how will they fire them up? They know that, so they will try their darndest but I don't see how."
Japan has 54 nuclear power reactors, including the four at Tokyo Electric's Daiichi plant in Fukushima that were damaged in the earthquake and tsunami, culminating in three meltdowns and radiation leaks for the worst civilian nuclear disaster since Chernobyl in 1986.
One by one the country's nuclear plants have been shut for scheduled maintenance and prevented from restarting because of public concern about their safety.
The last one running, the No3 Tomari reactor of Hokkaido Electric Power Co in northern Japan, is scheduled to shut down early on Sunday. Anti-nuclear activists will celebrate with demonstrations over the weekend.
COSTLY OPTION
The last time Japan went without nuclear power was in May 1970, when the country's only two reactors operating at that time were shut for maintenance, the Federation of Electric Power Companies of Japan says.
Nuclear power provided almost 30 percent of the electricity to keep the $5 trillion economy going before the March 11, 2011 disaster that killed almost 16,000 people and left more than 3,000 missing.
A year on, the level of public concern about the safety of the industry is such that the government is still struggling to come up with a long-term energy policy, a delay having a profound impact on the economy and underlining just how costly it will be to contemplate a nuclear-power-free future.
Having boomed in recent decades on the exports prowess of big brands like Sony, Toyota and Canon, the economy suffered its first trade deficit in more than three decades in 2011 as power producers spent billions of dollars on oil-and-gas imports to fuel extra generation capacity.
At the time of the Fukushima crisis, then Prime Minister Naoto Kan called on Japan to wean itself off of nuclear power. Up to that point, Japan had been planning to lift the share of nuclear generation to over 50 percent by 2030 from about 30 percent.
The government of current Prime Minister Yoshihiko Noda has softened Kan's call. Noda says Japan cannot afford to be nuclear free, although he still holds that as an ideal.
But the government has no clear timetable for getting nuclear power back up and running as it tries to navigate the public opposition -- rare in Japan -- and the demands of business that wants a stable supply of power.
Cabinet ministers last month rushed to try to win over the public to allow the restart of two nuclear power reactors at Kansai Electric Power Co's Ohi plant in western Japan, in what experts said was a recognition of the implications of a nuclear-free summer.
The public remained unconvinced. A poll by Kyodo news agency last weekend showed about 60 percent of the public opposed to restarting the two reactors.
Most mayors and governors whose communities host nuclear plants want safety assurances beyond government-imposed stress tests before agreeing to restarts, a Reuters poll showed in March.
To overcome the opposition, some politicians have been more forceful. Yoshito Sengoku, the acting president of the ruling Democratic Party of Japan, on April 16 called an abandonment of nuclear energy the equivalent of "mass suicide," Kyodo news reported. His comment was criticized by Chief Cabinet Secretary Osamu Fujimura, indicating internal divisions over how to handle the issue.
Trade Minister Yukio Edano - the government's point man for energy policy - walks a fine line, saying both that safety must come first while trying to win the support of local communities for restarts.
Kansai Electric Power Co, the utility most reliant on nuclear power, and some other electricity producers have warned of power shortages this summer but have largely avoided lobbying publicly for restarts for fear of a backlash.
GLOBAL SHIFT
Ultimately, some argue Japan's economy, already weakened by years of deflation, would suffer if reactors are not restarted.
"It's not an option Japan should take. There will be less employment and the economy will be on a shrinking trend," said Takeo Kikkawa, a professor at Hitotsubashi University.
Japan's liquefied natural gas imports climbed 18 percent in volume and 52 percent in value to 5.4 trillion yen ($67 billion) in the year through March.
Renewable energy, although given emphasis in energy policies being formulated, is not expected to be much of an immediate salve. Energy from renewable sources account for about 10 percent of Japan's power generation, most of that from hydroelectric dams. Wind and solar together contribute about 1 percent.
Worldwide, there has been a shift with Germany, Italy and Switzerland moving away from atomic energy, prompting the International Atomic Energy Agency to revise down its forecast for growth in the industry.
The United States, China and India are still planning to increase the number of reactors.
In Japan, a delay in setting up a new, more independent Nuclear Regulatory Agency due to deadlock in a divided parliament is further clouding the outlook.
Some analysts say the government is not going to turn public opinion unless it admits that nuclear power is never going to be absolutely safe.
"The debate needs to be recast," said Bob Geller, a professor of geophysics at Tokyo University. "They have to come clean, and say, in effect - look we know they're not perfectly safe but we've made a careful evaluation of the risks, which we'll make public." ($1=80.165 yen)
(Additional reporting by Yoko Kubota, Linda Sieg, Osamu Tsukimori and Risa Maeda in Tokyo: Editing by Edwina Gibbs and Neil Fullick)
- Citation :
- Employees of SMBC Nikko Securities Inc. work using only LED desk lights, during daytime at the company office in Tokyo in this June 30, 2011 file photo, a day before a target to cut electricity use by 15 percent in regions affected by Japan's March 11 earthquake and tsunami takes effect.
REUTERS/Toru Hanai/Files |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Sam 5 Mai 2012 - 10:33 | |
| - Citation :
- Lors d’une conférence de deux jours sur les systèmes de défense antimissile balistique, qui a commencé hier à Moscou réunit plus de 200 experts de 50 pays, incluant 28 pays-membres de l’Otan, le chef d’Etat major des forces armées russes, le général Nikolai Makarov a prévenu que la Russie s’apprêtait à développer une capacité d’action préventive contre le bouclier de défense de l’OTAN, si cette dernière persistait à ignorer les préoccupations russes.
« Le positionnement de nouvelles armes dans le sud et le nord-ouest de la Russie contre le bouclier de l’OTAN, incluant le déploiement de systèmes de missiles Iskander dans la région de Kaliningrad, est l’une des possibilités qui permettra de neutraliser l’infrastructure de défense antimissile européenne », a expliqué Makarov. Il précisé que la « décision d’une utilisation préventive des armes disponibles serait prise si la situation devait s’aggraver ».
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolai Patroushev a justifié la possibilité d’une action préventive en expliquant que le système de l’OTAN serait capable, d’ici 2020, d’intercepter une partie des missiles intercontinentaux (ICBM) russes : « Le positionnement géographique et les caractéristiques techniques de ces systèmes de défense créent les conditions de dangers supplémentaires, surtout si l’on prend en compte le niveaux actuel et futur de haute précision des armes américaines. Il n’y a tout simplement pas de cibles autres que la Russie pour ce bouclier de défense antimissile. »
Renouvelant l’offre faite par Vladimir Poutine au Président George W. Bush lors du sommet de Kennebunkport il y a cinq ans, Patroushev a réaffirmé que la meilleure solution serait le déploiement conjoint d’un système défense antimissile européen renforçant la sécurité pour tous les pays du continent sans exception, et sans perturber la stabilité stratégique actuelle.
Patroushev avait annoncé la semaine dernière que les questions reliées à la défense de la Terre contre des menaces extérieures comme des astéroïdes sera l’une des principales questions discutées au forum sur la sécurité globale qui doit avoir lieu le mois prochain à Saint-Pétersbourg. Ce forum est organisé par le Conseil de sécurité russe.
Le ministre russe de la Défense Anatoly Serdyoukov a pour sa part indiqué que les pourparlers avec les Etats-Unis étaient dans l’impasse. « Pour l’instant, nous n’avons pas trouvé de solution mutuellement acceptable à la question de la défense antimissile et la situation est bloquée », a-t-il dit aux participants.
Soulignons que l’OTAN a l’intention de déclarer de façon unilatérale le début de la phase opérationnelle du système européen lors du sommet de Chicago du 20 mai prochain, indiquant sa volonté de passer outre les objections de la Russie et de la Chine.
Serdyoukov a toutefois réaffirmé qu’un accord pouvait en principe être atteint d’ici là, mais que dans le cas d’un échec la Russie « se verrait obligée de prendre les mesures militaires nécessaires ».
Soulignons que le prochain président français, qui assistera au sommet de Chicago, devra y jouer un rôle important pour désamorcer ce qui risque de conduire le monde à l’abîme.
L’idée selon laquelle l’Iran serait une menace pour l’Europe a également été durement contestée par les analystes russes, soutenus sur ce point par Michel Miraillet, directeur chargé des affaires stratégiques au ministère français de la défense : « Premièrement, le programme de missiles balistiques iranien ne menace ni l’Europe ni les Etats-Unis. Deuxièmement, le programme nucléaire iranien est développé à des fins civiles seulement. Par conséquent, la Russie considère que l’Iran est un risque, et non pas une menace pour l’Europe. » http://www.solidariteetprogres.org/La-Russie-se-reserve-l-option-d-une-frappe-preventive-contre-le-bouclier_08782 - Citation :
- La Russie ne permettrait jamais à la création d'un système de défense antimissile qui détruit l'équilibre stratégique, a déclaré vendredi le vice-Premier ministre Dmitri Rogozine.
"En fait, la défense antimissile est une illusion, quelle que soit le somme d'argent investi en elle, juste parce que nous n' allons jamais les laisser construire un tel système et détruire l'équilibre stratégique", a déclaré Rogozine lors d'une visite à la société militaro-industrielle "Mashinostroyeniya NPO".
M. Rogozine a également déclaré qu'aucun pays ne serait en mesure de construire un bouclier antimissile pour recevoir un "sentiment d'impunité" unilatéral.
La Russie et l'OTAN n'ont pas parvenu à un consensus sur la question anti-missile, car ils ont convenu de coopérer sur un système de bouclier antimissile européen en novembre 2010.
Moscou s'oppose depuis longtemps à la mise en place des installations de défense antimissile de l'OTAN sous commandement américain à proximité de ses frontières et veut des garanties juridiquement contraignantes que le système de défense antimissile des États-Unis et l'OTAN ne vise pas la Russie. http://french.news.cn/monde/2012-05/05/c_131569401.htm | |
| | | Anassfra93 Aspirant
messages : 554 Inscrit le : 20/07/2010 Localisation : CVN Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Dim 6 Mai 2012 - 15:10 | |
| JO : des avions de chasse à Londres - Citation :
- Quatre avions de chasse sont arrivés mercredi sur une base aérienne de l'ouest londonien, une première depuis la Deuxième guerre mondiale, pour participer à huit jours d'exercices pour tester la sécurité au moment des Jeux olympiques, cet été, à Londres. "Il est probable que les gens percevront une activité aérienne accrue", a expliqué le ministère de la Défense. L'exercice vise notamment à tester la réponse de l'aviation à une intrusion dans l'espace aérien, soumis à des restrictions pendant la période des Jeux (27 juillet-12 août).
Londres : des Jeux Olympiques sous haute surveillance [quote]Des Jeux sous haute surveillance. Londres, qui accueille les Jeux Olympiques du 27 juillet au 12 août, va déployer un arsenal sécuritaire jamais vu depuis l'après-guerre au Royaume-Uni avec plus de 40.000 militaires, policiers, agents de sécurité privés et bénévoles mobilisés pour protéger la capitale, et l'appui d'un vaste réseau du renseignement. Vendredi 4 mai, le plus grand navire de guerre britannique, le HMS Ocean, a remonté la Tamise et est entré dans Londres où il participe à un exercice militaire d'entraînement de neuf jours destiné à tester le dispositif de sécurité. - Citation :
Des hélicoptères, des avions de chasse, des radars...
Huit hélicoptères peuvent entrer en action à partir de ce navire qui a participé l'an dernier à l'intervention de l'Otan en Libye, selon le ministère de la Défense. Le HMS Ocean, qui peut transporter plus de 1.100 personnes, complète le dispositif militaire de l'exercice qui a débuté mercredi et doit durer jusqu'au 10 mai à Londres et dans le secteur de Weymouth, dans le sud-ouest de l'Angleterre. Des avions de chasse, des radars et de faux missiles ont aussi été mobilisés pour cette opération.[quote] _________________ | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Mar 8 Mai 2012 - 11:48 | |
| - Citation :
- Le professeur Cass Sunstein et se femme Samantha Power font partie des conseillers du président américain Barack Obama et ses plus proches confidents.
Après avoir été congédiée de sa campagne en 2008 pour avoir qualifié Hillary Clinton de « monstre », Samantha Power a été introduite dans la Maison Blanche pour devenir l’une des premières responsables de la guerre en Libye et l’assassinat de Mouammar Kadhafi l’année dernière.
Ayant ainsi démontré ses capacités en matière d’atrocités, elle a été mise en charge le 23 avril du nouveau Conseil pour la prévention des atrocités d’Obama, afin de justifier le déclenchement de nouvelles guerres selon les caprices présidentiels.
Quant à son mari, Cass Sunstein, il a été mentor d’Obama en tant que professeur de droit à Harvard et à Chicago. Un article publié en 2008, intitulé « Théories de la conspiration » confirme que Sunstein joue un rôle central dans les efforts de l’administration Obama pour réduire au silence la critique.
Derrière la prétention de redonner au gouvernement américain sa crédibilité virginale, sans pour autant le ramener à sa mission d’origine qui est la défense des intérêts de la population, Sunstein propose de cibler ceux qui prônent les « théories de la conspiration », définies comme « toute tentative d’expliquer un événement où une pratique en se référant aux machinations de personnes puissantes, qui ont également réussi à dissimuler leur rôle ».
Glenn Greenwald, l’un des principaux journalistes indépendants et défenseurs des droits civiques et constitutionnels aux Etats-Unis, a résumé le long article de Sunstein en 2010 en dénonçant « la proposition pernicieuse d’employer des équipes d’agents secrets et d’activistes pseudo-indépendants pour ’infiltrer de manière cognitive’ des sites internet et des groupes d’activistes prônant ce que Sunstein estime être ’de fausses théories de la conspiration’ concernant le gouvernement. Ceci viserait à accroître la confiance des citoyens dans les responsables de leur gouvernement et miner la crédibilité des conspirationnistes. »
Pris d’un mélange d’horreur et d’amusement Greenwald cite alors un paragraphe haut en couleur, montrant jusqu’où la Maison-Blanche est prête à aller pour reconquérir le cœurs de américains :
« Que peut faire le gouvernement à propos des théories de la conspiration ? Parmi les choses qu’il peut faire, qu’est-ce qu’il devrait faire ? Nous pouvons dès à présent imaginer une série de réponses possibles. (1) Le gouvernement peut bannir le complotisme [sic ! conspiracy theorizing en anglais, ndt]. (2) Le gouvernement peut imposer un genre de taxe, financière ou autre, à ceux qui cherchent à disséminer de telles théories. (3) Le gouvernement peut s’engager lui-même dans un discours contradictoire, rassemblant les arguments pour discréditer les théories de la conspiration. (4) Le gouvernement peut engager officiellement des groupes privés pour s’engager dans un discours contradictoire. (5) Le gouvernement peut s’engager dans une communication informelle avec de tels groupes, pour les encourager à l’aider. Chaque instrument a un ensemble distinct d’effets potentiels, ou de coûts et de bénéfices, et chacun aura son utilité dans des conditions imaginables. Cependant, notre principale idée est que le gouvernement devrait s’engager à l’infiltration cognitive des groupes produisant des théories de la conspiration, ce qui implique un mixe des points (3), (4) et (5). »
Greenwald souligne que « Sunstein n’appelle pas pour l’instant au recours aux points (1) et (2) – faire en sorte que le gouvernement bannisse le complotisme ou impose une taxe à ceux qui le font – mais dit que chaque point aura son utilité dans des conditions imaginables ».
Même s’il admet qu’il aimerait volontiers connaître quelles sont les conditions sous lesquelles le gouvernement pourrait passer à l’action sur les deux premiers points, Greenwald rappelle qu’il serait nécessaire dans ce cas d’abroger le Premier amendement de la Constitution américaine, qui est, entre autre, le droit de s’assembler pacifiquement et de s’exprimer en toute liberté.
Bienvenue donc chez Big Brother ! http://www.solidariteetprogres.org/Un-conseiller-d-Obama-estime-qu-il-faut-reduire-au-silence-les-theoriciens_08787 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités internationales Mar 8 Mai 2012 - 16:25 | |
| - rafi a écrit:
-
- Citation :
- ...
« Que peut faire le gouvernement à propos des théories de la conspiration ? Parmi les choses qu’il peut faire, qu’est-ce qu’il devrait faire ? Nous pouvons dès à présent imaginer une série de réponses possibles. (1) Le gouvernement peut bannir le complotisme [sic ! conspiracy theorizing en anglais, ndt]. (2) Le gouvernement peut imposer un genre de taxe, financière ou autre, à ceux qui cherchent à disséminer de telles théories. (3) Le gouvernement peut s’engager lui-même dans un discours contradictoire, rassemblant les arguments pour discréditer les théories de la conspiration. (4) Le gouvernement peut engager officiellement des groupes privés pour s’engager dans un discours contradictoire. (5) Le gouvernement peut s’engager dans une communication informelle avec de tels groupes, pour les encourager à l’aider. Chaque instrument a un ensemble distinct d’effets potentiels, ou de coûts et de bénéfices, et chacun aura son utilité dans des conditions imaginables. Cependant, notre principale idée est que le gouvernement devrait s’engager à l’infiltration cognitive des groupes produisant des théories de la conspiration, ce qui implique un mixe des points (3), (4) et (5). » ...
Bienvenue donc chez Big Brother ! http://www.solidariteetprogres.org/Un-conseiller-d-Obama-estime-qu-il-faut-reduire-au-silence-les-theoriciens_08787 Tous les points sus-cites sont un classique du cote comme de l'autre. traditionellement les centrsites US de tous bord sont contre le 1er amendement: la liberte d'expression, CAD absolue , est la loi la plus genante et choiante dans la legislation internationale. aucun autre pays au monde n'a cette loi qui donne des resultats extremes mais reste la seule loi sensee dans toutes les legislation "democracies liberales etc...". Ca sens la Campagne Ron Paul et les 7 neo-nazis derriere certains communiques solidarite et progres |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Mar 8 Mai 2012 - 16:54 | |
| C'est quoi cette histoire de Ron Paul et les 7 néo-nazis? Edit: Je viens de trouver sur le net. Je viens de lire la page qui lui est consacrée sur wiki et il est "étonnant" le gars. | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités internationales Mar 8 Mai 2012 - 18:12 | |
| - Citation :
- La vice-ministre chinoise des Affaires étrangères Fu Ying a indiqué que la Chine n'était pas optimiste quant au développement de la situation concernant l'île Huangyan, et que le pays était prêt à répondre à toute provocation de la part des Philippines visant à aggraver la situation.
Mme Fu a fait ces remarques lundi lors de sa rencontre avec Alex Chua, chargé d'affaires de l'ambassade des Philippines en Chine, a annoncé mardi le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué.
Mme Fu a initié la rencontre et déposé une représentation sérieuse à la partie philippine concernant la situation actuelle dans la région de l'île Huangyan. Il s'agit de la troisième rencontre entre les deux parties en un mois.
Durant les deux rencontres précédentes, Mme Fu a indiqué qu'elle avait demandé à la partie philippine de rester calme et de s'abstenir d'entreprendre des actions pouvant aggraver ou compliquer la situation.
"Cependant, il est évident que la partie philippine n'a pas encore réalisé qu'elle commettait des erreurs graves, et s'acharnait au contraire à aggraver davantage les tensions", a déclaré Mme Fu dans le communiqué.
La partie philippine a continué d'envoyer des vaisseaux de sa marine nationale dans la lagune de l'île Huangyan, et a fait à plusieurs reprises des remarques erronées qui ont induit en erreur le public philippin et la communauté internationale, nuisant ainsi sérieusement aux relations bilatérales, a-t-elle poursuivi.
"Par conséquent, Il nous est difficile d'être optimistes quant au développement de la situation", a-t-elle expliqué.
Selon le communiqué, Mme Fu a une fois de plus souligné l'appartenance de l'île Huangyan à la Chine lors de sa rencontre avec le chargé d'affaires philippin.
"Nous espérons que la partie philippine ne méjugera pas la situation et n'aggravera pas les tensions sans tenir compte des conséquences de ses actions", a indiqué Mme Fu.
En raison des provocations continuelles des Philippines, les navires de la marine chinoise continueront de rester en état d'alerte dans la zone maritime de l'île Huangyan, a-t-elle noté.
Afin d'offrir un environnement sain aux pêcheurs chinois pour leurs opérations dans leur zone traditionnelle de pêche, les navires de l'administration de la pêcherie de Chine offriront également aux pêcheurs services et assistance conformément à la loi chinoise, a-t-elle ajouté.
La Chine appelle la partie philippine à retirer ses navires de la zone maritime autour de l'île Huangyan, et à ne plus jamais interférer avec les opérations de ses bateaux de pêche ou avec les navires de sa marine nationale accomplissant leur mission conformément à la loi chinoise, a indiqué Mme Fu.
"La partie chinoise a également fait les préparatifs nécessaires pour parer à toute escalade de la situation provoquée par la partie philippine", a averti Mme Fu.
Mme Fu a annoncé que la Chine maintenait sa résolution de chercher des solutions diplomatiques à l'actuelle situation, et qu'elle appelait de nouveau les Philippines à répondre sérieusement aux inquiétudes chinoises et à traiter le problème de manière appropriée. http://french.news.cn/chine/2012-05/08/c_131575192.htm | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
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