Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 17 Nov 2011 - 16:55
Rappel du premier message :
yassine1985 a écrit:
Mais qui te parle de convictions c'est 'gens' là c'est pas des humanitaires c'est des Business Men planétaire, les conflits comme cela ils en raffolent soit c'est des cartes de pressions qui peuvent se loué aux amis, soit c'est des gisements de $ .
Je te l'accorde à sidi yallah je vais être sympa iwa, ça change quoi? Admettons que ce soit vrai, ça ne change rien.
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marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 14 Déc 2011 - 8:47
sur le programme commun : je ne vois rien
que du bla -bla sur des postes !!
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 10/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 14 Déc 2011 - 13:38
marques a écrit:
sur le programme commun : je ne vois rien
que du bla -bla sur des postes !!
c'est la dernière étape avant de se présenté devant le parlement , maintenant c'est l'étape de l’architecture gouvernementale .
puis leurs programme c'est kif kif a quelque détails prés
_________________
Pro rege, saepe, pro patria semper
اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 14 Déc 2011 - 19:06
De toute façon le programme est clair : ils ne feront pas mieux que les autres, si ce n'est pire... Déjà on devait se retrouver avec moins de ministres qu'actuellement, vers les 20 ministres, total on apprend que finalement on sera plus vers 25-30 ministres... quasiment la même chose qu'aujourd'hui ! Et aujourd'hui on apprend que finalement les promesses éléctorales du PJD, étaient fantaisistes et qu'ils ne les tiendront pas au niveau économique déjà...
Citation :
Gouvernement : Le PJD tempère ses ambitions
«À l’épreuve du pouvoir, dit-on, les promesses électorales finissent, toutes, par prendre les couleurs d’un idéal». C'est une assertion que ne démentira pas le Parti de la justice et du développement (PJD). La formation qui est sortie vainqueur des dernières législatives est en train de vivre l’expérience avant même sa prise effective de la gestion des affaires de l’État. Confronté à la réalité des faits, le parti de la lampe tempère ses prometteuses mais trop ambitieuses promesses électorales à l’aune desquelles, pourtant, il a pu séduire, pour une large proportion, les électeurs marocains. Réalité politique, d’abord, avec les concessions déjà accordées aux alliés de la coalition gouvernementale dans la formation du prochain cabinet, mais aussi, réalité socioéconomique qui constitue l’enjeu principal de la prochaine législature. Aux antipodes des engagements contenus dans le programme électoral du Parti, le chef de gouvernement, Abdelillah Benkirane, est sur le point d’opérer une sorte de revirement stratégique pour tenir compte de la donne actuelle dans laquelle survit l’économie nationale, mais également de la conjoncture internationale. Des facteurs qui convergent à réduire les marges de manœuvre du prochain gouvernement et qui imposent au PJD de revoir à la baisse ses prétentions, le temps de réajuster le tableau de bord de l’économie nationale. Aussi séduisant qu’il ait été, beaucoup d’analystes ont longuement débattu sur la «réalisabilité» du programme économique du PJD, surtout au lendemain de sa victoire aux élections, prime électorale qui lui donne le droit de diriger le prochain gouvernement. Si le parti n’a pas manqué d’arguments qui attestent de la pertinence et de l’impact des intentions du parti de la lampe, la problématique s’est plus orientée sur les moyens et instruments permettant de mettre en oeuvre le vaste chantier que constitue le programme du PJD. Alors que les Marocains attendent la formation du nouveau gouvernement et la déclinaison de la déclaration de politique générale, qui donnera une visibilité sur les orientations de la prochaine législature, la direction du PJD s’évertue à mettre les points sur les «i». «Les engagements que nous avions pris dans notre programme électoral sont étalés sur la durée de notre mandat», souligne Lahcen Daoudi, secrétaire général adjoint du Parti. C'est une manière assez prudente destinée à ne pas voir déchanter, assez tôt, l’opinion publique au niveau de laquelle, les promesses électorales restent encore assez vivaces. «Notre objectif, pour le moment, est d’améliorer la productivité nationale, pour améliorer la croissance», témoigne celui qui fait, également, office d’économiste en chef du PJD. En termes plus clairs, le programme de gouvernance commun à la coalition, sera, prioritairement axé sur le rééquilibrage des fondamentaux économiques pour doper la croissance. Le reste suivra après. Cet aveu sonne comme une sorte de compromission, puisqu’à l’évidence, Benkirane, rejoint, à quelques exceptions près, des recommandations formulées récemment par les experts du FMI, après un diagnostic minutieux des comptes nationaux.
Même combat, méthodes opposées
«Le principal défi pour le Maroc reste de parvenir à un taux de croissance du PIB qui aidera à réduire le chômage et à rehausser le niveau de vie, tout en assurant la viabilité à moyen terme des finances publiques». Telle est la principale conclusion des consultations des rapporteurs du FMI avec les autorités marocaines. C'est un objectif que partagent le FMI et le PJD, sauf que sur les moyens pour y parvenir, tous les oppose. La croissance économique dépend, en effet, à la fois des niveaux d’investissement, de la consommation intérieure et des exportations. Il reste à savoir si le moteur de croissance choisi par le PJD et qui devrait, logiquement servir de «guide line» au prochain gouvernement s’adapte au contexte actuel. À première vue, le PJD, mû par des considérations sociales, a une forte propension économique pour la croissance par la consommation. «L'augmentation du salaire minimum à 3.000 DH par mois, le relèvement du niveau des revenus de 40% sur 5 ans, la baisse d’impôt sur les revenus pour les classes moyennes et défavorisées, l'augmentation du niveau minimal des pensions à 1.500 DH par mois», sont autant de dispositions qui, si elles sont amenées à être mises en œuvre, devraient permettre d’améliorer nettement le niveau de vie de la population et donc favoriser la croissance. Or, à ce propos, le FMI précise avec force que «de nouvelles réformes visant à réduire les salaires minimums et les coûts d’embauche sont indispensables pour faire baisser le chômage», notamment celui des jeunes, qui constituent la force la plus active de l’économie nationale. Même combat donc - doper la croissance -, mais deux stratégies diamétralement opposées. La première, celle du parti de la lampe, est structurée autour «d’une politique favorable à la demande interne», faisant l’hypothèse d’un soutien à la consommation intérieure, qui aurait in fine un impact sur la production et donc sur l’investissement. La seconde, celle de l’autorité financière mondiale, plaide pour une grille inversée, où les dépenses d’investissement de l’État devraient être dirigées au profit des investisseurs, qui en améliorant leur niveau de productivité, favoriseraient la croissance, ce qui permettrait de dégager des ressources nouvelles pour la mise en place d’une réforme sociale en faveur «de l’éducation et de la santé».
Une politique de consommation difficilement réalisable
En termes explicites, le FMI soutient que «l’évolution des salaires devra être indexée sur celle de la productivité nationale». Cette recommandation rejoint celle des économistes, tels que Driss Benali, qui ont longtemps défendu le même principe. Or, le PJD avance, lui, l’idée d’une évolution de la consommation en corrélation avec celle de la productivité. Dans ce cas, rien n’indique a priori que l’allocation des ressources supplémentaires sera réellement affectée à la consommation, voire qu’elle portera sur la production nationale et non pas sur les produits importés. Au regard du faible degré de maturité du système de production nationale actuelle, où la productivité n’est toujours pas au rendez-vous, cette règle, ainsi que celle du FMI d’ailleurs, risque de ne pas être respectée, ce qui pourrait grever la croissance nationale, mais aussi la stratégie d’investissement et celle des exportations, qui seraient reléguées, de facto, au second plan. Si on considère de surcroît les faibles ressources dont disposera le prochain gouvernement, la question qui se pose alors est de savoir si une hausse des revenus pourrait aller de pair avec celles de l’investissement public. Pour une fois, PJD et FMI sont d’accord pour considérer, d’une part, la nécessité de l’instauration de partenariats public-privé et, d’autre part, de réformer le chapitre douloureux des dépenses publiques, qui devront être optimisées au plus haut point en ces temps de crise mondiale. Cette réforme passe essentiellement, pour l’un comme pour l’autre, par l’élargissement de la base d’imposition. Elle est aussi fonction de la rationalisation des dépenses de compensation, une thématique sur laquelle les deux parties sont d’accord sur le papier, mais qui posera pour le PJD un obstacle culturel et éthique considérable. En effet, le PJD ne pourra pas composer avec «ce dossier chaud», sans le soutien de son alliance, et notamment du parti du Premier ministre sortant Abbas El Fassi. Ce dernier, comme ceux qui l’ont précédé, n’ont eu d’autre choix que de continuer à maintenir les compensations à des niveaux allant toujours croissant, en ayant constamment à l’esprit la nécessité de maintenir intacte la paix sociale au Maroc. D’ailleurs, cette difficulté a été notifiée à la mission du FMI, qui a «souligné que pour mener à bien la réforme des subventions, il faudra vaincre la résistance du public et de la classe politique (...) grâce à une stratégie de communication bien conçue et bien appliquée». Pour les économistes, il faudra surtout faire preuve de courage politique. L’injonction est en tout cas claire, et pour savoir si elle incitera le prochain gouvernement au plus à revenir complètement, du moins à revoir son projet de réforme des dépenses publiques, il faut attendre le résultat des négociations entamées vendredi dernier par le comité mixte pour l’élaboration de la politique générale du prochain gouvernement.
Arbitrages nécessaires
La participation de la frange libérale du parti de l’Istiqlal pourra-t-elle opérer un virage pro-FMI de la prochaine politique gouvernementale ? Rien n’est moins sûr, connaissant la fermeté affichée et actuellement à l’épreuve de Benkirane. Sous quel habit Benkirane se jettera-t-il à l’eau ? Suivant la méthode FMI, ou celle du PJD, si les réformes envisagées de part et d’autre permettent, dans une hypothèse optimiste, de dégager de nouvelles ressources, ces fonds seront-ils suffisants pour le financement programmé des projets sociaux ? Pour Benkirane, «la lutte contre les situations de rentes séculaires et la corruption, conjuguée à une réforme des Institutions pourrait mobiliser des sommes (supplémentaires) inimaginables», de quoi constituer alors des marges de manœuvre notables pour le prochain gouvernement. La logique du FMI à ce propos est toute autre. Selon la mission, une politique budgétaire par trop expansionniste altèrerait, sur le court et moyen termes, le niveau d’investissement privé, un des principaux déterminants de la croissance. Cela explique pourquoi le FMI tient l’investissement privé pour principal moteur de croissance. Partant du constat qu'après avoir contenu l’expansion budgétaire en 2011, «un plan solide de rééquilibrage des finances publiques s’imposait en 2012 et à moyen terme pour garantir la viabilité budgétaire», les rapporteurs du FMI ont tiré la sonnette d’alarme. «En l’absence d’actions correctrices, le déficit budgétaire pourrait atteindre 6,5 -7,5 % du PIB, auquel cas la dette publique continuera de s’accroître». En outre, ces actions correctrices ne sont pas pour plaire aux économistes du PJD. Augmenter l’âge de la retraite et des cotisations, ramener la masse salariale publique en dessous de 10% du PIB, accroître la flexibilité du marché du travail, il y a là évidemment de quoi heurter la sensibilité sociale du PJD. De fait, les arbitrages entre le PJD et ses alliés seront des plus ardus. Adopter une politique de distribution des revenus qui pourrait, selon le FMI, avoir un impact négatif et sur la compétitivité et sur l’attractivité de l’économie marocaine ou suivre les recommandations de ce même FMI, mais dans cette configuration, être contraint d’expliquer aux Marocains, qui ont fortement sollicité le parti de Benkirane, de devoir faire encore plus de sacrifices, puisque tout investissement public productif, essentiellement en infrastructures, ne pourra avoir un impact positif direct sur la croissance, le niveau de vie de la population, ainsi que sur l’investissement privé, que sur le long terme. Voilà deux scénarii qui mettent Benkirane devant un choix cornélien certes, mais qui met en jeu à la fois sa crédibilité, mais aussi sa capacité à gérer les situations difficiles. En matière économique et sociale, le prochain mandat s’avère plus compliqué que ne l’a laissé croire l’euphorie postélectorale, surtout que l’opposition renforcée par son poids politique, fourbit déjà ses armes. «Nous attendons de voir comment le PJD pourra mettre en œuvre son programme, vus les moyens dont dispose actuellement le pays», avait déclaré Salaheddine Mezouar, président du RNI. Cette annonce vaut une mise en garde venant de celui qui a géré, pendant presque quatre ans, les cordons des finances nationales. Les Marocains, en tout cas, attendent un signal fort du gouvernement pour croire. Le débat sur la politique générale du gouvernement et la prochaine loi de finances risquent d’être assez mouvementés. En tout cas, les Marocains sont prévenus, Benkirane n'aura pas de baguette magique! Après tout, en politique, les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.
le soir echos
yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 14 Déc 2011 - 19:44
@Spartan benkirane l'avait dit sa sera difficile d'opéré 20 ministères et rien n'est encore officiel, et l'article n'est que avis+suppositions
sinon :
Citation :
Fermeture par Israël de l'accès à l'esplanade des mosquées à Al Qods Le Roi exprime sa vive condamnation
Le Roi Mohammed VI, président du Comité Al-Qods Acharif, a exprimé sa vive condamnation suite à la fermeture, lundi dernier, de la rampe donnant accès à Bab Al Maghariba et menant du mur des lamentations à l'esplanade des mosquées, indique mercredi un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la coopération.
“Le Royaume du Maroc dont le Souverain SM le Roi Mohammed VI préside le Comité Al-Qods Acharif, exprime sa vive condamnation de cette nouvelle action unilatérale visant à altérer le cachet authentique d'Al Qods Acharif et portant atteinte aux sentiments de tous les musulmans.”
Le Royaume du Maroc, souligne le communiqué, ne saurait accepter qu'une décision condamnable à tous les points de vue, et laissée de surcroît, à la municipalité de Jérusalem, sous prétexte de conditions de sécurité, soit traitée avec une telle légèreté par le gouvernement israélien.
Selon la même source, cette décision est contraire à la légalité internationale et aux résolutions de l'ONU interdisant toute modification du statut des territoires palestiniens occupés, y compris Al-Qods Acharif.
La Communauté internationale est au fait des motivations profondes des autorités israéliennes qui tentent, sous couvert d'alibis sécuritaires, de réaménager et élargir la rampe à des fins politiques et stratégiques évidents.
Le Royaume du Maroc qui demeure profondément attaché aux valeurs de paix, de dialogue et de modération, a mené d'intenses discussions sur ce sujet ces derniers jours pour insister sur la nécessité de mettre un terme à la logique du fait accompli et de relancer le processus de négociation, afin de parvenir à une solution juste et définitive conformément aux résolutions pertinentes et sur la base du principe de l'existence de deux Etats vivant côte à côte en paix et en sécurité.
Israël rouvre la rampe
Suite aux nombreuses protestations, notamment de la Jordanie -gardienne du site-, Israël a annoncé mercredi avoir rouvert la rampe d'accès à l'esplanade des mosquées de Jérusalem.
“Elle a été ouverte ce matin (mercredi)”, a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld.
AufaitMaroc
_________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 14 Déc 2011 - 20:40
Citation :
Aucune activité de pêche de la flotte européenne ne sera tolérée dans les eaux territoriales marocaines à partir de ce mercredi
Rabat -
Aucune activité de pêche de la flotte européenne ne sera tolérée et tous les bateaux opérant dans le cadre de l'accord de pêche Maroc-UE sont invités à quitter les eaux territoriales nationales ce mercredi avant minuit, affirme le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération dans un communiqué.
messages : 25545 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 14 Déc 2011 - 21:26
Ce sont les espagnols qui vont bader Eux qui refuse que l'UE augmente nos cotas de produits agricole
Citation :
Maroc: bateaux de l'UE priés de partir
Le Maroc a demandé aux bateaux de pêche opérant dans le cadre de l'accord de pêche qui le lie à l'Union européenne de quitter immédiatement les "eaux nationales" en réaction au vote des députés européens qui ont bloqué aujourd'hui la prorogation de cet accord de pêche bilatéral.
"Tous les bateaux opérant dans le cadre de cet accord de pêche sont invités à quitter les eaux territoriales nationales ce mercredi avant minuit", a annoncé le ministère marocain des Affaires étrangères dans un communiqué.
Juste pour info, ce n'est pas le Maroc qui avait demande de prolonger l'accord. Mais ce qui inquiétant c'est que ca sent trop la crise économique chez l'UE, et aussi le la perte de vitesse du lobby espagnol qui avant pouvait tout seul faire adopter cet accord.
Berf quelques milliers d'emplois en moins pour les espagnols, on se demamde qui fera faillite le premier entre l'espagne et l'italie après la grece
BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 14 Déc 2011 - 21:52
Ces eurodéputés "Verts" et comunistes mettront l'Europe a genoux...
Il faut que l'on reste ferme, notre intégrité territorial ne se marchande pas. Que ce soit avec les filles d'à coté, les danseurs de tamtam, ou les hipies européens...
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
AVEROUES Lt-colonel
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 13:32
Contrairement à ce se dit ca n'a aucun rapport avec le polisario ou quoi que ce soit
D'ailleurs tous les députés espagnoles au parlement euopeens ont votés pour l'accord sauf 5 députés.
L'allemagne n'a plus envi de payer quoi que ce soit pour les autres pays européens. Mais les problèmes ne vont que commencer pour L'UE, l'espagne demande dèjà une compensation urgente. On va vivre le même feulleton des protestations des pêcheurs espagnoles à bruxelles comme entre 2000 et 2005.
Et là la commision européene lance déjà des annonces comme quoi ils veulent un nouvel accord, Mais apparement ils n'ont pas bien compris le Maroc ne veut rien négocier et même cette accord n'en veut pas, c'est à la demande de l'UE qu'il avait engagé des négociations de prolongement.
Cette accord avait des rpercussions néfastes sur le secteur au Maroc, à Safi le chomage a fait des ravages suites au diminutions des stocks de poissons et la fermetures des unités industriels, pareil pour tantan, agadir, tarfaya, laayoune , boujdour et dakhla
Citation :
"Si un nouvel accord devait être proposé et conclu, il aurait besoin d'apporter des réponses convaincantes aux questions-clé" en matière d'environnement, de viabilité économique et de conformité au droit international, a toutefois prévenu Maria Damanaki.
Le vote du Parlement européen envoie aussi "un message fort au gouvernement marocain, qui aurait besoin de s'engager sur tous ces points en faveur d'un meilleur accord", a-t-elle ajouté.
Elle me fait rire celle la, Il n'ya aucun message ni fort ni faible pour le Maroc.Le Maroc ne veut ni un meilleur accord ni un mauvais. c'est fini madame. Le seul message que vous allez avoir c'est de la part des pêcheurs espagnoles que tu va les vois tous les jours devant ton bureau
AVEROUES Lt-colonel
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 13:39
Le Maroc ne va plus négocier avec l'UE, la priorité maintenant est aux entreprises Marocaines, et avec des pays,tiers (chine russie japan...) et pas des organisations de type UE.
Citation :
Aziz Akhennouch : La fin de l'accord de pêche Maroc-UE "est plutôt une opportunité pour le Maroc"
Après le rejet de la reconduction de l’accord de pêche Maroc-UE, suite au vote au parlement européen hier, mercredi 14 décembre, les réactions marocaines ont été fermes et immédiates. Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture et de la pêche maritime prévient, pour sa part, des conséquences de ce vote négatif sur les relations maroco-européennes.
Yabiladi : Comment réagissez-vous au refus du Parlement européen de proroger l’accord de pêche qui liait le Maroc à l’UE ?
Aziz Akhennouch : La commissaire européenne Damanaki n’a malheureusement pas pu porter ce projet au sein du parlement. Le projet n’a pas été voté de manière favorable. Mais nous ne pensions pas qu’après tant de discussions et de signatures avec la Commission, nous n’arriverions pas à une conclusion favorable, c’est avec regret que nous enregistrons ce vote. Un vote que nous respectons bien évidemment. Le Maroc va compter sur ses propres moyens pour le développement du secteur halieutique. Le Maroc a fait énormément de progrès ces dernières années. Nous regrettons que l’UE n’ait pas voulu récompenser cet effort qui s’inscrit dans la durabilité avec une gestion des plans d’aménagements, des quotas, le suivi par GPS des bateaux en mer. Nous avons fait énormément de programmes mais on n’en a pas tenu compte. Aujourd’hui on nous envoie sur un autre accord pour recommencer à discuter [les négociations]. Je pense que le Maroc dispose énormément de professionnels et d’entreprises qui veulent pêcher cette ressource et la transformer en faveur du pays. En fin de compte c’est plutôt une opportunité pour le Maroc.
Quel sera l’impact de ce refus sur les rapports Maroc-UE ?
AZ : Je reprends tout simplement ce qui a été dit dans le communiqué du parlement européen : Ce vote va avoir des conséquences très négatives sur les relations entre le Maroc et l’UE !
Allez-vous, à présent, vous tourner vers d’autres partenaires, d’autres pays ?
AZ : Je ne peux pas citer de pays. Mais une chose est sûre, il y a la possibilité d’abord de donner cette exploitation aux entreprises et aux professionnels marocains mais aussi à tout pays avec lequel royaume entretient d’excellentes relations bilatérales. Et sur ce dernier point, les demandes ne manquent pas.
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 13:45
Poussons la logique à son terme : est-ce que quand ils achètent du pétrole, ils sont assurés que la population autochtone bénéficie des retombées économiques ? qu'ils aillent au diable.
PGM
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 14:12
A noter que bon nombres de ces euro-méchants sont en relations avec des ONG de leurs pays, qui leurs fournissent des "bénévoles" pour leurs compagnes éléctorales et autres activités de terrain, ONG souvent financé par d'occultes organismes de coppération internationale, habitués aux valises fournis par des attachés militaires d'ambassades d'une république démocratique et populaire....
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 17:19
AVEROUES a écrit:
Le Maroc ne va plus négocier avec l'UE, la priorité maintenant est aux entreprises Marocaines, et avec des pays,tiers (chine russie japan...) et pas des organisations de type UE.
Citation :
Aziz Akhennouch : La fin de l'accord de pêche Maroc-UE "est plutôt une opportunité pour le Maroc"
Après le rejet de la reconduction de l’accord de pêche Maroc-UE, suite au vote au parlement européen hier, mercredi 14 décembre, les réactions marocaines ont été fermes et immédiates. Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture et de la pêche maritime prévient, pour sa part, des conséquences de ce vote négatif sur les relations maroco-européennes.
Yabiladi : Comment réagissez-vous au refus du Parlement européen de proroger l’accord de pêche qui liait le Maroc à l’UE ?
Aziz Akhennouch : La commissaire européenne Damanaki n’a malheureusement pas pu porter ce projet au sein du parlement. Le projet n’a pas été voté de manière favorable. Mais nous ne pensions pas qu’après tant de discussions et de signatures avec la Commission, nous n’arriverions pas à une conclusion favorable, c’est avec regret que nous enregistrons ce vote. Un vote que nous respectons bien évidemment. Le Maroc va compter sur ses propres moyens pour le développement du secteur halieutique. Le Maroc a fait énormément de progrès ces dernières années. Nous regrettons que l’UE n’ait pas voulu récompenser cet effort qui s’inscrit dans la durabilité avec une gestion des plans d’aménagements, des quotas, le suivi par GPS des bateaux en mer. Nous avons fait énormément de programmes mais on n’en a pas tenu compte. Aujourd’hui on nous envoie sur un autre accord pour recommencer à discuter [les négociations]. Je pense que le Maroc dispose énormément de professionnels et d’entreprises qui veulent pêcher cette ressource et la transformer en faveur du pays. En fin de compte c’est plutôt une opportunité pour le Maroc.
Quel sera l’impact de ce refus sur les rapports Maroc-UE ?
AZ : Je reprends tout simplement ce qui a été dit dans le communiqué du parlement européen : Ce vote va avoir des conséquences très négatives sur les relations entre le Maroc et l’UE !
Allez-vous, à présent, vous tourner vers d’autres partenaires, d’autres pays ?
AZ : Je ne peux pas citer de pays. Mais une chose est sûre, il y a la possibilité d’abord de donner cette exploitation aux entreprises et aux professionnels marocains mais aussi à tout pays avec lequel royaume entretient d’excellentes relations bilatérales. Et sur ce dernier point, les demandes ne manquent pas.
Très bonne nouvelle, merci Dieu... les turcs, les japonais ou les coréens voir même les chinois se feront un plaisir de collaborer avec nous
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 17:30
6000 emplois vont être perdus par les espagnols
ils se sont mis dans de sales draps les pauvres ..d'autant plus qu'ils ne vont pas tarder à voir les chinois ou les russes ou japonais débarquer à leur place .....
rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 17:35
Le Maroc va t-il en profiter pour développer une véritable industrie de la pêche et de la transformation de celle-ci ayant pour but de nourrir le pays, de créer des emplois, ou bien, se contentera t-il de céder ses eaux territoriales à un autre requin?
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 17:41
rafi a écrit:
Le Maroc va t-il en profiter pour développer une véritable industrie de la pêche et de la transformation de celle-ci ayant pour but de nourrir le pays, de créer des emplois, ou bien, se contentera t-il de céder ses eaux territoriales à un autre requin?
très bonne question !!!
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 17:57
rafi a écrit:
Le Maroc va t-il en profiter pour développer une véritable industrie de la pêche et de la transformation de celle-ci ayant pour but de nourrir le pays, de créer des emplois, ou bien, se contentera t-il de céder ses eaux territoriales à un autre requin?
excellente question il faut se révéillé peutre avec benkirane on poura .
c'est beau de réver
mox Capitaine
messages : 949 Inscrit le : 26/07/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: ... Jeu 15 Déc 2011 - 18:10
Citation :
Réaction du Maroc face au rejet des accords de pêche par le parlement européen
Contre toute attente, les députés européens ont rejeté, le 14 décembre 2011, la prolongation de l’accord de pêche entre l’Union Européenne et le Maroc. Un accord pourtant avalisé par la Commission en juillet dernier. Celui-ci permettait à quelque 120 bateaux de pêche battant pavillon de 11 pays européens de pêcher dans les eaux territoriales marocaines. En échange le Maroc recevait une compensation d’environ 31 millions d’euros et les redevances payées par les armateurs en fonction de captures. En réaction à ce rejet, Rabat a pris une décision souveraine celle d’inviter tous les navires de pêche européens à quitter immédiatement ses eaux territoriales.
Quelles conséquences pour les pays européens et pour le Maroc ?
Pour le Maroc, rien. Il suffira au gouvernement marocain de négocier et redistribuer les licences de pêche avec des pays grands consommateurs des produits de la mer tels que le Japon, la Chine, l’Inde ou encore la Russie. Une nouvelle qui devrait ravir les Marocains qui verront le prix du poisson baisser.
Quant aux conséquences pour l’Europe : la perte de revenus pour les marins-pêcheurs, l’augmentation vertigineuse du prix du poisson - le panier de la ménagère, déjà malmené, en prendra un coup - la diminution des activités industrielles liées aux produits de la mer avec un risque élevé de dégraissage de personnel et la baisse des revenus pour les brasseries en Espagne et au Portugal. D’ailleurs, l’Espagne, en colère, a sollicité en urgence une compensation financière à l’Union Européenne pour les dommages que va subir la flotte de pêche espagnole. La France, elle, "regrette vivement" que le Parlement européen se soit opposé à la proposition de prorogation de cet accord qui constitue le cadre de partenariat le plus important conclu par les 27 en matière de pêche.
En conclusion, la réaction, ferme, du Maroc est une réponse cinglante aux députés européens et la démonstration claire et nette que l’intégrité territoriale marocaine n’est pas négociable et qu’il ne souhaite pas marchander à ce sujet. Dans ce dossier de la pêche le Maroc n’est pas perdant, ni économiquement, ni politiquement, ni diplomatiquement. Les marocains seront certainement heureux de voir le prix du poisson baisser et d’accueillir des sociétés de pêches asiatiques. D’ailleurs, il y a quelques années, le parlement européen avait pris une décision similaire. Mal lui en prit, il a dû revenir dare-dare sur sa décision et Rabat avait accordé les licences de pêche.
Imaginons un seul instant, que le gouvernement marocain refuse cette fois-ci d’accorder ces mêmes licences et de tourner le dos aux demandes du Parlement Européen ? Les armateurs et les pêcheurs européens, les professionnels du tourisme et de l’industrie liés à cette activité devraient se rendre au Parlement Européens pour protester et défendre leurs intérêts.
http://www.afrik.com/article24363.html
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 18:12
rafi a écrit:
Le Maroc va t-il en profiter pour développer une véritable industrie de la pêche et de la transformation de celle-ci ayant pour but de nourrir le pays, de créer des emplois, ou bien, se contentera t-il de céder ses eaux territoriales à un autre requin?
le secteur est bien développé il n'y a aucune dépendance l'accord ne dépasse pas 8% des prises annuelles.
rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 18:31
Je ne parle pas de dépendance, je parle d'indépendance. Cerise sur le gâteau, il est prévu que les prix du poisson vont baisser pour les marocains, que demander de plus? La mission première d'un gouvernement responsable est de nourrir la population, pas d'enrichir les spéculateurs.
FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 18:48
rafi a écrit:
Le Maroc va t-il en profiter pour développer une véritable industrie de la pêche et de la transformation de celle-ci ayant pour but de nourrir le pays, de créer des emplois, ou bien, se contentera t-il de céder ses eaux territoriales à un autre requin?
louer les eaux territoriales aux Espagnoles pour la misérable somme de 36 millions d'euro par année, a surtout des considérations politiques, adoucir la position politique de l'Espagne EX colonisateur du Sahara
AVEROUES Lt-colonel
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 20:23
Qui veut la peau de l'espagne au sein de l'UE???????????
il ne reste plys que le senegal et la guinée et la boucle est bouclé
Citation :
La Mauritanie et l'UE échouent à conclure un nouvel accord de pêche
NOUAKCHOTT - La Mauritanie et l'Union européenne (UE) ont échoué jeudi à s'entendre sur les termes d'un nouvel accord de pêche, à l'issue des dernières négociations avant l'expiration de l'actuel accord conclu en 2008 pour quatre ans, ont indiqué les deux parties à Nouakchott.
Ce cinquième round des négociations devait être le dernier mais il n'a pas permis de conclure un nouvel accord, a expliqué le négociateur mauritanien Cheikh Ould Ahmed.
Sur la partie financière, nous ne sommes pas tombés d'accord, l'UE ayant trouvé la contrepartie exigée par la Mauritanie excessive et sa contre-proposition est en-deçà du minimum négociable, a-t-il expliqué.
Notre désaccord se base sur l'évaluation que chaque partie fait de l'effort de pêche, mais nous avons l'opportunité d'y réfléchir davantage en vue de prochaines négociations, a déclaré à l'AFP Stefaan Depypere, un responsable à la Direction générale des Affaires maritimes et de la pêche à la Commission européenne.
L'actuel accord, qui arrive à terme le 31 juillet 2012, autorise des navires des pays européens à pêcher dans les eaux mauritaniennes en contrepartie du versement d'une aide de 305 millions d'euros sur quatre ans au secteur de la pêche en Mauritanie, selon des sources européennes.
Ce blocage intervient au lendemain de la rupture d'un accord de pêche entre l'UE et le Maroc, qui a contraint les navires européens à immédiatement quitter les eaux du royaume, au grand dam des Espagnols.
Le Parlement européen a en effet refusé mercredi de prolonger jusqu'en février prochain cet arrangement qui permet notamment à quelque 120 navires de onze pays de l'UE européenne d'opérer dans les eaux du Maroc, en échange d'une contrepartie financière annuelle de 36,1 millions d'euros et de redevances payées par les armateurs.
Les élus jugent notamment que l'accord ne prend pas clairement en compte les intérêts de la population du Sahara occidental, annexé par Rabat en 1975, et qui jouxte la Mauritanie.
Mauritaniens et Européens ont refusé de révéler leurs propositions financières, mais ont dit s'être entendus sur d'autres points, devant constituer l'ossature de prochaines discussions.
Selon eux, ces points de convergence concernent notamment le transbordement des prises au port de Nouadhibou (nord-ouest), le débarquement au même port des produits de la pêche de fond. Ils stipulent aussi que les marins travaillant sur les bateaux européens autorisés dans les eaux mauritaniennes devraient comprendre 60% de Mauritaniens, et que 2% de leurs prises pélagiques (de haute mer) devraient être destinées aux poissonneries nationales.
Les deux parties ont également convenu de reculer à 20 milles au lieu de 13 actuellement (32 km au lieu de 21) la zone de pêche et de créer des zones tampon pour protéger la ressource, a indiqué Cheikh Ould Ahmed.
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 21:11
Citation :
Mais selon le syndicat Comisiones Obreras (CCOO), ce sont mille emplois qui sont menacés dans le secteur de la pêche et 5.000 autres dans les secteurs dérivés.
L'Espagne, en proie à un chômage record de 21,52%, a de son côté protesté jeudi en demandant une compensation financière à l'Union européenne.
Tout allait déjà mal. Maintenant, c'est un désastre. Personne ne s'attendait à cela, a expliqué Francisco Jimenez, un représentant du groupement des pêcheurs de Las Palmas aux Canaries, où tous les bateaux étaient aussi rentrés à quai jeudi.
Il a estimé qu'aucune autre zone de pêche n'était envisageable pour la flotte des Canaries. Si aucune autre décision n'est prise, les gens iront grossir le nombre de chômeurs, a-t-il dit.
AVEROUES Lt-colonel
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 21:17
A la fin de la video, explique à qui veut l'entrendre et l'autre blairau du PE, qu'il n'y aurra pas de nouvel accord ni nouvelle formule, c'est fini ADIOS
rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 15 Déc 2011 - 21:22
Je préfère que le poisson péché au Maroc se vende sur les marchés marocains, péchés par des marocains, au profit des marocains, y compris lors de sa transformation tant à destination d'autres parties du pays que vers l'étranger si besoin est. Un jour peut-être les espagnols vendront Ceutas et Melilla pour quelques tonnes de poissons en conserve made in Maroc, sans un coup de feu de tiré, ce qui vous avouerez, joindrait l'utile à l'agréable.