Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

"Il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre..."

Fahed64 a écrit:

Annabi, c'est malheureux mais fremo n'est que le fruit de 38 ans de tentative de division de la part d'El Mouradia Tu ne peux empêcher quelqu'un à qui te veux prendre sa terre de ne pas t'aimer à fortiori si toi même tu "banalises" certain concept de pseudo neutralité du gouvernement algériens....

J'ai remarqué que certains parmi la société civil sous estimaient l'impacte de la politique de Fitna orchestré par vos dirigeant! Lorsque Hassan 2 Allah yra7mo disait " il ne faut pas insulter l'avenir" c'est parce que il voyait ce jour arriver à grand pas! Le jour ou les voisins ne se connaitront même plus au point de s'insulter continuellement/perpétuellement....

fahed je comprend le sentiment des marocains et aussi algériens ( nous aussi avons notre mûr des cons ) mais il faut garder à l'esprit la culture et l'enseignement de notre religion ...pour moi les frontières géo ..sont des frontières de l'enfer de jahanem..et du satan et ses disciples sur terre ...tu crois que la terre marocaine n'est pas ma terre ..et celle de l'algérie n'est pas aussi aux marocains...soyons intéligents au moins sur les forums d'échanges..et prêchant la bonne parole ...et j'en suis sûr que mon génome s'approche plus de certains marocains que de certains algériens ...donc les appelations algérien , marocain ,tunisien....ne me fait pas "bander"

la presse algérienne a tendance allumer le torchon avec le Maroc quand le pouvoir souhaitefaire diversion pour couvrir les gros scandales de corruption dans plein de domaines qui secoue le pays a commencer par sonatrach le vol de document de la cour etc etc etc quant au appel a la guerre j'ai deja entendu un certain trou du .... du nom de bougataya je crois bien président du groupe de l'amitiée algero saKHarawi menacer le Maroc lors d'une allocution dans le journal echourouk la video se trouve sur youtube

c est cool ce que tu dit annabi mais ont aimerait que tu t offusque autant quand des diplo algerien soutienne ouvertement des meurtier de marocain, denigre le maroc... ( sa aussi c est du zit sur le feu...)

Slm

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Une Fondation britannique envisage de former 300 entrepreneurs en Algérie

LONDRES - La Fondation britannique ’’Mowgli’’, versée dans la formation de chefs d’entreprises, envisage de former 300 entrepreneurs en Algérie au cours des deux prochaines années, a déclaré a l’APS son représentant M. Mustapha Koriba.


’’Nous avons déjà mené trois missions de formation en Algérie auxquelles 76 entrepreneurs et mentors algériens ont participé. Notre objectif est d’atteindre près de 300 au cours des deux prochaines années’’, a affirmé ce responsable.

Financé par le Fonds arabe de participation et partenariat sous la tutelle du Foreign Office, ’’Mowgli’’ a pour mission principale de soutenir les entrepreneurs à travers le mentorat qui est essentiellement un programme d’accompagnement des entrepreneurs par des mentors pendant 12 mois.

L’organisation, créée en 2008 et basée en Angleterre, a mené à ce jour, 36 missions de formation dans les pays arabes, a fait savoir ce responsable.

Il a confirmé l’importance des entrepreneurs dans la croissance économique et la création de l’emploi durable dans la majorité des économies du monde y compris celle de l’Algérie.

Mowgli est une organisation bénévole à but non lucratif. Les mentors donnent leurs temps bénévolement et sont souvent des entrepreneurs avec beaucoup d’expérience, a-t-il précisé.

"Nous n’avons rencontré aucune difficulté en Algérie dans le cadre de ces programmes", a souligné M. Koriba qui s’est dit "ébloui" par les qualités des entrepreneurs en Algérie.

’’Personnellement, je les considère au même standard et niveau que ceux avec qui j’ai travaillé en Angleterre’’, a-t-il déclaré. Pour lui, il existe en Algérie de jeunes entrepreneurs qui ont un ’’énorme potentiel’’ dans leurs secteurs d’activités.

http://www.aps.dz/Une-Fondation-britannique-envisage.html

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Déploiement de marines US en Espagne : les explications du journaliste d’El Pais, Ignacio Cembrero

La décision des Etats-Unis de déployer une force d’intervention rapide de 500 marines en Espagne vise à protéger les intérêts américains dans l’Afrique du Nord et le Sahel en cas de danger et ne vise pas l’Algérie en particulier, indique à TSA, ce jeudi 2 mai, Ignacio Cembrero, journaliste au quotidien espagnol El Pais et spécialiste du Maghreb.

« Les Américains ont demandé l’installation d’une force de réaction rapide dans la base de Moron (située à Séville, en Andalousie, ndlr) suite aux évènements de Benghazi (l’assassinat de l’ambassadeur Chris Stevens, ndlr) leur permettant d’intervenir rapidement pour protéger leurs intérêts et leurs ambassades dans les pays d’Afrique du Nord et du Sahel», explique M. Cembrero, précisant qu’El Pais, qui a sorti cette information, « n’a à aucun moment cité l’Algérie ». Plusieurs bases américaines existent en Espagne depuis les années 1950, selon lui. « Ce sont des bases conjointes hispano-américaines », souligne-t-il.

« Un tissu d’inepties malveillantes »

Il y a près d’une semaine, le journal londonien Al Quds Al Arabi a indiqué, en se basant sur l’information d’El Pais, que la principale mission de ce contingent américain était de se préparer à une intervention rapide en prévision d’un soulèvement en Algérie.

L’Algérie a ensuite assuré qu’elle n’était pas particulièrement visée par le déploiement américain. L’article d’Al Quds Al Arabi a été « commis » par un journaliste « bien connu dans notre voisinage géographique immédiat », avait déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, en qualifiant cet article de « tissu d’inepties malveillantes ». Il avait ajouté que « la référence fielleuse faite à la situation politique et à la stabilité en Algérie est totalement infondée et absurde ».

Louisa Hanoune appelle à la mobilisation générale

Mercredi, la porte-parole du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, est revenue sur le sujet, en appelant, lors d’une conférence de presse à l’occasion de la Fête des travailleurs, les partis, les syndicats et les personnalités attachés à la souveraineté nationale à exprimer « pacifiquement » leur refus de toute tentative étrangère d’ingérence dans les affaires intérieures du pays, rapporte l’agence officielle APS.

Mme Hanoune s’est étonnée que certaines parties, sans les citer, exploitent la maladie du président Abdelaziz Bouteflika pour « justifier une intervention militaire », soulignant que « le peuple est le seul habilité à décider du régime politique qu’il souhaite avoir et du programme politique à appliquer ».

Interrogé par TSA, Amar Belani refuse de polémiquer avec Louisa Hanoune. « En tant que porte-parole du ministère des Affaires étrangères, il ne m’appartient pas de commenter les propos des responsables de partis politiques, qui sont tout à fait dans leur rôle. Toutefois, je maintiens mot pour mot la déclaration que j’ai déjà faite sur le sujet. »


http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/292-deploiement-de-marines-us-en-espagne-les-explications-du-journaliste-d-el-pais-ignacio-cembrero

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Le groupe entend faire pression sur le gouvernement algérien : BP va retarder ses projets en Algérie
http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/297-le-groupe-entend-faire-pression-sur-le-gouvernement-algerien-bp-va-retarder-ses-projets-en-algerie

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jeudi, 02 mai 2013 19:14
Hydrocarbures : le chantage stratégique de BP à l’Algérie
Lounes Guemache

Le groupe pétrolier britannique BP, premier investisseur étranger en Algérie, a décidé de retarder deux projets gaziers importants. La société a justifié sa décision par les conséquences de l’attaque terroriste d’In Amenas qui a ciblé un de ses sites en janvier dernier.

Elle a également évoqué les conditions d’investissements.

Cette annonce de BP constitue un double coup dur pour l’Algérie. Le premier concerne la crédibilité de l’Etat algérien et particulièrement ses forces de sécurité. Même si le groupe ne le dit pas clairement, BP n’est pas convaincu par les mesures prises par les autorités algériennes après l’attaque d’In Amenas pour assurer la sécurité des sites pétroliers et gaziers du pays. En fait, BP souhaiterait avoir accès à plus d’informations à caractère sécuritaire, ce que les Algériens refusent. Le groupe britannique voudrait également voir l’Etat algérien prendre en charge une partie des frais liés aux nouvelles mesures de sécurité. Selon BP, les frais liés à la sécurité ont triplé, pour atteindre 15% des dépenses d’exploitation.

Le second coup dur concerne l’économie algérienne. BP a décidé de retarder ses deux projets gaziers dans un contexte très difficile, marqué par une chute de la production de pétrole et de gaz algériens. Malgré les nombreux démentis du ministre de l’Energie, Youcef Yousfi, la baisse de production et prochainement des revenus est un sérieux problème qui commence à préoccuper les décideurs. L’Algérie n’a pas préparé l’après-pétrole et les dépenses de l’Etat ont explosé ces dernières années. Une baisse des revenus pétroliers et gaziers est à même de menacer la paix sociale.

BP a mis en avant les conditions d’investissements jugées contraignantes. Pourtant, la loi sur les hydrocarbures a été amendée au début de l’année. Mais les amendements ont été jugés trop timides par les acteurs étrangers du secteur, malgré l’introduction de plus de souplesse fiscale.

La décision de BP ressemble, à s’y méprendre, à du chantage. Elle ne sera pas sans conséquence sur les autres investisseurs étrangers. Quand le principal investisseur étranger se plaint de contraintes et de difficultés, il envoie un signal fort aux autres acteurs du secteur, qui pourraient suivre. Jusqu’à présent, le gouvernement a tenu tête aux investisseurs étrangers, en refusant de céder sur les nouvelles lois. Mais les projets et les dossiers concernaient des secteurs peu stratégiques : immobilier, industrie, tourisme, banques-assurances… Pour la première fois, la menace concerne le seul secteur stratégique pour le pays : les hydrocarbures. Un test décisif pour le pouvoir.

Citation :

eudi, 02 mai 2013 19:48
Plusieurs compagnies énergétiques quittent l’Algérie
Hayet Zitouni

BP n’est pas le seul groupe énergétique étranger à réduire ses investissements en Algérie. Une source industrielle, citée, ce jeudi 2 mai, par Reuters, rappelle que, le mois dernier, la société américaine Hess Corp a vendu une de ses deux participations en Algérie à l’espagnol Cepsa à cause de trop mauvais rendements.


Le groupe britannique BG est également en train de quitter l’Algérie et rendre sa licence, qui arrive à expiration en septembre, sur le bloc d’Hassi Ba Hamou, à cause de négociations au point mort avec Sonatrach. Et l’une des plus grosses compagnies énergétique américaines – dont le nom n’a pas été dévoilé – qui avait étudié la possibilité d’investir en Algérie, a finalement choisi de développer des projets ailleurs, toujours selon la même source.

De tels départs interviennent après des années de plaintes à propos des conditions d’investissements énergétiques, rappelle Reuters. Ce qui a conduit à une baisse de production en pétrole et en gaz, ces dernières années, en Algérie.

Ces mêmes sources avaient espéré des évolutions lors de la visite à Londres de Youcef Yousfi, en avril dernier. « Malheureusement, ce fut la visite des occasions manquées » entre la délégation algérienne et BP, Shell, ExxonMobil, Hess, OMV et Petroceltic, raconte un des participants. « Je n’attends aucun changement législatif en 2013, alors que toute l’attention est portée sur la campagne présidentielle », reconnaît une source chez Sonatrach, citée par l’agence Reuters.

TSA

Citation :

L'Algérie à bout de souffle
Publication: 01/05/2013

ALGÉRIE - La nouvelle hospitalisation du président algérien, Abdelaziz Bouteflika, 76 ans, jette une ombre sur son avenir à la tête du pays. Alors que les appels s'étaient multipliés ces dernières semaines pour qu'il prétende l'année prochaine à un quatrième mandat, cet incident illustre toutes les contradictions d'un système tétanisé par la perspective inévitable de son renouvellement.

La disparition éventuelle du président changerait-elle la structure du pouvoir à Alger?

A priori non. En Algérie, contrairement aux régimes arabes d'avant les révoltes de 2011, la personne du chef de l'Etat ne se confond pas avec le système qui l'entoure.

Comme eux toutefois, le régime algérien est très opaque. A telle enseigne que l'étendue réelle des pouvoirs de celui à qui on en prête le plus, à savoir le général Mohamed Médiène, dit Toufik, tient presque de la légende urbaine.

Le pouvoir à Alger est décentralisé, fragmenté entre différents clans rivaux. Selon les moments, Bouteflika et son clan sont au mieux un des rouages moteurs, au pire une simple vitrine.

Historiquement, la réalité du pouvoir appartient à l'armée, en particulier aux services de renseignements et de sécurité (le DRS), que dirige Toufik. Les militaires se sont imposés face aux civils depuis la guerre d'indépendance contre la France (1954-62). Du coup d'Etat du colonel Houari Boumédiène en 1965, à l'élection d'Abdelaziz Bouteflika en 1999, les présidents de plein exercice ont d'ailleurs tous été des militaires.

Bouteflika est un civil. C'est un ancien ministre des Affaires Etrangères de Ben Bella et Boumédiène, tombé en disgrâce après la disparition de ce dernier en 1978. A la fin de la "décennie noire" (la guerre civile des années 1990), il a été réhabilité par le système qui avait alors besoin d'une figure politique consensuelle et rassurante.

Aujourd'hui, une large frange des militaires aimeraient voir passer la main le président qui détient désormais le record de longévité au pouvoir. Le clan Bouteflika fait en outre l'objet d'une intense campagne de dénigrement.

Le récent accident vasculaire présidentiel est sans doute à relier à l'état d'énervement provoqué par les mises en cause répétées contre Saïd Bouteflika. Ce frère que le président aurait aimé avoir comme successeur a en effet été relevé de ses fonctions officielles peu avant l'annonce de l'hospitalisation du chef de l'Etat.

Pour Alger, ce n'est donc pas la succession de Boutef' qui pose problème en soi, c'est le fait qu'elle ouvre la porte à un inévitable changement de génération et à un rééquilibrage entre les clans au pouvoir.

En quoi le changement de génération pose problème?

Alors que l'immense majorité des Algériens a moins de 30 ans, leurs principaux dirigeants sont des septuagénaires. Comme Bouteflika, ce sont tous des vétérans de la guerre d'indépendance qui continuent de se parer de cette légitimité historique pour justifier leur accaparement du pouvoir.

En premier lieu, ils ne sont plus en phase avec les aspirations d'une société de plus en plus éduquée, qui réclame davantage de droits, de liberté et de justice dans un pays rentier gangréné par la corruption. Ces derniers mois, les scandales se sont succédé, notamment dans le secteur hautement stratégique des hydrocarbures, contribuant à dégrader un climat social déjà très tendu.

Ensuite, les vieux dirigeants hésitent à lâcher les manettes par peur, non seulement de perdre leurs prébendes, mais surtout d'être ultérieurement mis en cause par la justice. Chaque clan au pouvoir est à cet égard réputé détenir des dossiers compromettants sur les autres. Ce qui renforce la logique de statu quo.

Cependant, le temps devrait se charger de résoudre le problème. De nombreux ex-hauts dirigeants, dont d'anciens présidents, sont décédés ces derniers mois. Il se dit que Bouteflika lui-même a très peur et s'est rapproché de la religion. Depuis la révélation de sa maladie en 2005, le président apparaît de plus en plus affaibli.

A l'occasion des 50 ans de l'indépendance algérienne l'année dernière, le chef de l'Etat avait souligné qu'il était temps de passer la main à la jeune génération. Jusque-là, il n'avait rien dit de ses intentions pour la prochaine élection présidentielle de 2014, mais certains de ses soutiens le poussaient à se représenter.

Son passage au Val-de-Grâce parisien pourrait définitivement exclure cette possibilité. Cela dit, comme le souligne la presse algérienne, son absence probable du jeu électoral ne sera pas un gage de renouveau automatique.

Si le régime actuel est en place pratiquement depuis l'indépendance, voire avant d'une certaine manière, c'est parce qu'il est toujours parvenu à donner l'illusion qu'il se renouvelait. Pour 2014, il va pourtant devoir faire plus qu'arborer une façade rafraîchie s'il veut remédier à l'instabilité populaire.

L'Algérie n'est-elle pas une exception face aux "Printemps Arabes"?

Elle a jusque-là évité l'abîme vers lequel ont plongé d'autres pays. C'est du moins ce que doivent se dire les dirigeants à Alger.

Fin 2010, des manifestations violentes avaient aussi envahi les rues d'Algérie. Comme d'habitude, le régime s'en était sorti par des pirouettes. Il avait mis fin à l'état d'urgence et promis des mesures économiques pour calmer la colère sociale.

Outre la structure originale du pouvoir, le cas algérien est particulier pour une raison historique: en 1988, un soulèvement populaire sans précédent avait déjà conduit le pouvoir à s'ouvrir. Les Algériens avaient découvert par la suite le multipartisme, la liberté d'expression, la multiplication des organes de presse... et la terreur islamiste.

Le régime se plaît donc à dire que l'Algérie et les Algériens ont déjà fait leur révolution, et que pour les islamistes, ils ont déjà "donné". Le premier point est plus que discutable. Ce qui est certain, c'est que le traumatisme de cette époque récente joue comme un frein à la rébellion ouverte contre le pouvoir.

Pour autant, le régime d'Alger reste condamné à faire bouger les choses. Outre l'incurie économique des autorités, le plus grand pays du Maghreb est un foyer vivace de fondamentalisme, où se trouve notamment la matrice des organisations djihadistes au Sahel.

Certes, les formations islamistes ont été officiellement battues aux élections législatives de 2012. Mais il est encore prématuré de parler d'une véritable "exception algérienne".

http://www.huffingtonpost.fr/benoit-margo/politique-algerie_b_3183779.html?utm_hp_ref=international

Une question les freres,
baisse de production du petrole algerien??
cela veut dire quoi concretement?declin des reserves ou manque d'attractivité et donc d'investissement du secteur petrolier en algerie?
l'apres petrole selon les informations que j'ai,c'est en 2020

Arsenik tu es officiellement avertis toi aussi

@ricard: plusieurs facteurs y jouent:
-y´a dabord un flechissement continu de la production d´hydrocarbures algeriennes depuis quelques années malgres les petites decouvertes trouvés ici et la
-le managemant amateuriste et scandaleux de sonatrach n´aide pas a parer a cette situation,bcp de cadres ont ete poussés a l´etranger sous khelil.
-ce qui complique encore la situtation c´est la baisse vertigineuse des prix a l´international a cause de la baisse de consommation et resultats decevants de l´economie mondiale en general,des pays gros consommateurs s´autonomisent graduellement et deviennent une serieuse concurrence grace a la revolution des gaz de schistes(USA),le gaz sera bradé a moyen terme pour affaiblir la Russie.
-et pour terminer,bcp de firmes pressent Alger a renegocier les prix des contrats long terme qui viennent a terme en 2013/14,le trend vers le marché spot est haussier aussi(2 fois moins cher que le gaz algerien)

https://www.facebook.com/notes/dzwikileaks/la-production-dhydrocarbures-en-net-recul-en-alg%C3%A9riele-rapport-inqui%C3%A9tant-de-lop/243449055679230
http://www.algerie-focus.com/blog/2011/05/27/la-production-d%E2%80%99hydrocarbures-en-algerie-entame-son-declin-apres-une-baisse-de-6-en-2010/
http://www.elwatan.com/economie/l-italien-edison-obtient-une-baisse-des-prix-du-gaz-algerien-02-05-2013-212277_111.php
http://www.lematindz.net/news/11487-gaz-de-schiste-des-pressions-sur-lalgerie-pour-baisser-ses-prix-de-gaz.html
http://www.africaintelligence.fr/LAE/gaz/2013/01/08/gdf-se-bat-pour-le-prix-juste,107938847-GRA

analyse du prof Mebtoul
http://www.lnr-dz.com/index.php?page=details&id=3787

L'Algérie pourra tenir sans pétrole encore 10 ans. Ils sont pas du tout préparé pour l'après pétrole. Ils ont pas autant d'argent que les Khalijis et de plus, ces derniers sont plus préparés. Par exemple, le pétrole constitue seulement 8% des revenues de Dubaï.

Baybars a écrit:

L'Algérie pourra tenir sans pétrole encore 10 ans. Ils sont pas du tout préparé pour l'après pétrole. Ils ont pas autant d'argent que les Khalijis et de plus, ces derniers sont plus préparés. Par exemple, le pétrole constitue seulement 8% des revenues de Dubaï.

oui mais dubai c'est cassé la geule et sa situation est pire que l'économie espagnol heureusement pour elle il y a abu dhabi qui règle les facture qui elle a des revenu a plus de 90% du pétrole certes il sont mieu préparé que l'algérie mais honnetement ils ne sont pas un exemple

arsenik a écrit:

oui mais dubai c'est cassé la geule et sa situation est pire que l'économie espagnol heureusement pour elle il y a abu dhabi qui règle les facture qui elle a des revenu a plus de 90% du pétrole certes il sont mieu préparé que l'algérie mais honnetement ils ne sont pas un exemple

Euhh, non, l'économie de Dubaï est totalement redressée. Ils ont autant d'argent pour tenir 100 ans sans pétrole.

Algérie: Deux découvertes de pétrole dans le bassin de Berkine

http://fr.allafrica.com/stories/201301020718.html

ce n'est pas le pétrole qui pose problème des forages,
c'est plutôt le prix du baril qui monte et qui descend

l'Algérie est plutôt un pays gazier a ce que je sache

et pétrole

chapy a écrit:

et pétrole

oui mais essentiellement gazier vous ete un peu comme le qatar

c'est pas faux aussi arsenik

puis le reste

le tout n est pas dans les richesses mais dans la redistribution en France quand on voit les algériens on se demande vraiment si leur pays est riche
rien que dernièrement une équipe de danseurs de ballet qui représente l'Etat algériens et le ministère de la culture ont demandé l'asile et l'on obtenus au Canada
richesse oui mais pourquoi le peuples prend ses jambes a son cou dès que possible

mourad27 a écrit:

le tout n est pas dans les richesses mais dans la redistribution en France quand on voit les algériens on se demande vraiment si leur pays est riche
rien que dernièrement une équipe de danseurs de ballet qui représente l'Etat algériens et le ministère de la culture ont demandé l'asile et l'on obtenus au Canada
richesse oui mais pourquoi le peuples prend ses jambes a son cou dès que possible

sa c'est un autre débats qui est d'ailleurs tabou en algérie et meme pour les algérien de france

Et c'est. Un débat qui dépasse les frontières algériennes...

Pgm

mourad27 a écrit:

le tout n est pas dans les richesses mais dans la redistribution en France quand on voit les algériens on se demande vraiment si leur pays est riche
rien que dernièrement une équipe de danseurs de ballet qui représente l'Etat algériens et le ministère de la culture ont demandé l'asile et l'on obtenus au Canada
richesse oui mais pourquoi le peuples prend ses jambes a son cou dès que possible

en Algérie le pays reste riche et ce qui fait fuir quelques Algériens c'est le salaire qui est bien bas part rapport au pouvoir d'achat (pour ceux qu'ils veulent bien travailler bien sur)
moi même quand je vais en Algérie je me pose la question "comme font ils pour y arriver le pire c'est qu'ils ont de l'argent plein les poches.
pour ceux qui on un bon poste ils s'en sorte très bien rien qu'a voir les maisons et voitures qu'ils ont.

Richtig

Le salaire net mensuelle moyenne dans le secteur public est de 410€ alors que celui net dans le privée est de 240€ Comment veux tu que les gens aient envie de travailler 40h/semaine, 8h/jour alors que dans la fonction public la vie esttttttttttttttttt bellllleeeeeee

PS: Pour s'en sortir il reste que le black, le secteur de l'informel! Voila pourquoi les gens achètent cash leur voiture (ok les crédit sont interdis ) et que le marché à exploser à 500 000 unités/ans!!!!

faut et archi faux

ou ta vue que les crédits était interdit en algérie

chapy a écrit:

faut et archi faux

ou ta vue que les crédits était interdit en algérie

Tu es sérieux la Chapy Tu viens de te décrédibiliser à un point


Le crédit à la consommation est interdit en Algérie depuis 2009! Sauf pour les prêt immobilier, mais lorsque l'on connait la pénurie de logement sa sert à rien

http://ribh.wordpress.com/2009/07/30/algerie-credit-consommation/

http://www.alterinfo.net/notes/Le-FMI-exhorte-l-Algerie-a-relancer-le-credit-a-la-consommation_b4916513.html

Si l'Algérie se grouille pas et ses dirigeants surtout , de faire des reformes dans tout les secteurs économiques , bancaires , dans tout les domaines qui permettent de batir une économie solide hors hydrocarbures , je n'arrive meme pas a imaginer l'apres petrole comment sa va etre , le reveil sera tres dur ... Deja il faut au moins 15 20 ans pour que toute la mayonnaise prenne , eux en 2013 et pour je pense encore plusieurs années , ils ne se sont pas encore rendu compte que dans 10 - 15 - 20 ans , il faudra plus compter sur les hydrocarbures , et sans un secteur economique réformé , c'est la chute assuré ! Vraiment , ils n'ont aucunes vision sur le long termes ces dirigeants . Ow , c'est une érésie , en 2013 , d'interdire le credit a la consommation , d'avoir des lois aussi stupides que si quelqun veut investir dans le pays , il faut qu'il ai un associé algérien qui a la majorité des parts dans le business ...

Ils se disent alllah le bitroule , 200 milliards on est riche , l3am ziine , mais dans quelques années ils vont moins rigolé , et meme le peuple malheuresment est dans la meme pensée que ses dirigeants . Il n'y a pas un algérien que j'ai rencontré dans ma vie qui ne ma pas dit "L'Algerie n'a aucune dette , pouissanze rigional ... " . Alala