Guerre Civile en Syrie

Rappel du premier message :

Citation :

La Syrie subitement privée d'internet

SAN FRANCISCO, 8 mai (Reuters) - Les connexions entre la Syrie et l'extérieur ont été coupées mardi, selon des données de Google et d'autres groupes spécialistes du secteur.

Selon Google, le trafic de données a subitement cessé peu de temps avant 19h00 GMT.

"C'est quelque chose que nous avons vu à deux reprises", a dit Christine Chen, responsable en chef chargée de la liberté d'expression chez Google. "Cela s'est produit en Syrie en novembre dernier et en Egypte au cours du Printemps arabe."

En l'état, rien ne permet de déterminer avec certitude l'origine de la coupure, à moins qu'une des parties du conflit qui ensanglante le pays ne la revendique, ont dit des experts.

Les données de Google montrent que les perturbations sont limitées à la Syrie et qu'elles affectent tout le pays.

L'immense majorité des sites syriens étaient de leur côté inaccessibles depuis l'étranger.

"Effectivement, (les perturbations) déconnectent la Syrie des communications passant par internet. Rien ne permet de dire si les communications par internet avec la Syrie fonctionnent encore", a écrit Dan Hubbard, un cadre du cabinet OpenDNS, spécialisé dans les infrastructures de services.

"Si nous ne pouvons pas nous permettre d'émettre le moindre commentaire sur l'origine de ces perturbations, les incidents précédents avaient été provoqués à la fois par des fermetures demandées par le gouvernement et par des dégâts subis par les infrastructures, qu'il s'agisse de coupures de réseaux de fibres ou de coupures de courant." (Joseph Menn, Nicolas Delame pour le service français)

http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL6N0DP00Z20130508

Justement ça me semble encore plus dangereux par hélicoptère, quand on connait le nombre de MANPADS qui sont tombés entre les mains des terroristes, m'enfin bon..

vipsdesvips a écrit:

Ya des dizaines de videos de parachutages de supply par helicos.
Idem a Nubl, prison centrale d'alep, deir, ect...

ps : les vaillants qusayris ont repris arjoun et hamadiyeh a l'alliance chiito-alaouite.
J'ai vu au moins trois blindes hs.

Des elements de la brigade tawhid serait a quelques kms de qusayr, mais l'info me parait pas bizarre, je vois pas par ou ils seraient passer.

J'ai entendu cette rumeur de la brigade Tawhid, mais la zone est bouclée, si c'est vrai, sa serait par le passage de Kadesh au nord (oui, la fameuse bataille de Kadesh). Mais je crois pas à cette information.

Assaidi a écrit:

Justement ça me semble encore plus dangereux par hélicoptère, quand on connait le nombre de MANPADS qui sont tombés entre les mains des terroristes, m'enfin bon..

https://youtu.be/dQAKnWunrRg

quand t'as des armes, tu t'en sers, si tu t'en sers pas, c'est que t'en a pas/plus, faut pas etre general pour le comprendre...

Citation :

Syrian opposition to boycott Geneva talks


http://www.aljazeera.com/news/middleeast/2013/05/2013530121785728.html?utm_content=automate&utm_campaign=Trial6&utm_source=NewSocialFlow&utm_term=plustweets&utm_medium=MasterAccount

excellente initiative

Se rejouir que le monde musulman autour de l'etat sioniste va continuer a etre divisé croissant chiite/sunnite... wouow super!
Vraiment j'ai du mal a comprendre certain.

ibnbattuta a écrit:

Se rejouir que le monde musulman autour de l'etat sioniste va continuer a etre divisé croissant chiite/sunnite... wouow super!
Vraiment j'ai du mal a comprendre certain.

je suis sur un forum libanais et meme les chretiens ont capter depuis des lustres la supercherie de la resistance chiite...
Ils ont subi l'aas pendant +- 30 ans, ils savent ce qu'il en ait.
Leur resistance. c'est contre les musulmans seulement...

https://now.mmedia.me/lb/en/nownews/hezbollah-critic-receives-death-threats-grandmothers-house-attacked

Edit modération: Guerre en Syrie

refugies syriens au Liban brulant l'aide des traitres du Hizb-Iran.

Citation :

EDIT : C'est des refugies palestiniens au Liban, ain hilweh.

C'est des soldat ou du matériel ?

Ryad a écrit:

C'est des soldat ou du matériel ?

Je doute que ce soit des hommes qui se font larguer à cause de la grande présence de 23/14 et 12,7mm dans les parages, ce sera un vrai tir aux pigeons. Mais n'empeche que ça se pourrait que ce soit un largage de troupe d'élite à basse altitude àfin de d'attaquer les arrières (comme le faisait les soviets contre les afghans).

Ryad a écrit:

C'est des soldat ou du matériel ?

vivres + munitions.

vips ou Baybars vous n'auriez pas un site qui suit de très prés le conflit syrien avec des vidéos photo schéma etc.

http://yallasouriya.wordpress.com/
https://now.mmedia.me/lb/en/nowsyria

puis t'as les media center de chaque region/front que tu peux suivre sur twitter/fb/youtube.

Merci Vips.

vipsdesvips a écrit:

refugies syriens au Liban brulant l'aide des traitres du Hizb-Iran.

Citation :

EDIT : C'est des refugies palestiniens au Liban, ain hilweh.

il faudrait qu'il brûle l'aide occidentale aussi

De rien Ryad

ibnbattuta a écrit:

Se rejouir que le monde musulman autour de l'etat sioniste va continuer a etre divisé croissant chiite/sunnite... wouow super!
Vraiment j'ai du mal a comprendre certain.

Un max de sunnites, chiites, chretiens, druzes denoncent la politique iranienne dans la region et ses larbins du hizb.
Et avec le flot de bodybags vers le Liban, ca va augmenter...

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=PSVZhA8cBTE

arsenik a écrit:

vipsdesvips a écrit:

refugies syriens au Liban brulant l'aide des traitres du Hizb-Iran.

Citation :

EDIT : C'est des refugies palestiniens au Liban, ain hilweh.

il faudrait qu'il brûle l'aide occidentale aussi

Quelle bande d'abrutis

Un indien, un américain et un britannique tués par l'armée syrienne à Idlib.

Par ailleurs, plusieurs villages de la périphérie de Qoussair ont été reconquis par les forces du régime.

Assaidi a écrit:

Un indien, un américain et un britannique tués par l'armée syrienne à Idlib.

Par ailleurs, plusieurs villages de la périphérie de Qoussair ont été reconquis par les forces du régime.

Quels villages ?

dans une interwiew a El Manar, Assad souhaite soumettre a reférendum, tout projet issu de Geneve. Autant dire un torpillage en règle. Comment tenir un referendum dans pays aussi déchiré et fragmenté ?

sur qussayr:

Citation :

Syrie: Qousseir, verrou de la guerre en Syrie?

Par Catherine Gouëset, publié le 31/05/2013 à 08:27
La ville de Qousseir est depuis plus d'un an un noeud crucial de la guerre en Syrie. Le régime et le Hezbollah libanais ont massé leurs forces pour cette bataille symbolique. S'ils l'emportaient, des terribles massacres sont à craindre.
En cas de chute de Qousseir au mains des forces du régime, "le scénario le plus probable serait celui du nettoyage ethnique" pour chasser les 20 à 25.000 habitants qui résident dans la ville.

Pourquoi le régime syrien a-t-il fait appel à l'aide à plusieurs centaines de combattants du Hezbollah libanais à Qousseir? Pourquoi a-t-il envoyé la garde républicaine, l'une de ses meilleures unités?

Cette ville, qui comptait 30 000 habitants avant le conflit, est depuis le début du soulèvement, au coeur de la crise en Syrie en raison de sa position stratégique, à une trentaine de kilomètres de Homs et 15 de la frontière libanaise. Elle est grande partie passée aux mains de la rébellion en décembre 2011, et le régime n'a jamais réussi à déloger les combattants de l'Armée syrienne libre (ASL).

Assaut avec l'aide du Hezbollah
Le 19 mai, aidé de plusieurs centaines d'hommes du Hezbollah, l'armée a lancé l'assaut sur Qousseir. Le chiffre de 1700 combattants libanais a été évoqué; le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a quand à lui avancé le nombre de 3 à 4000 combattants du Hezbollah. Reste que dans cette bataille, comme souvent dans toutes les guerres, il est toujours difficile de faire la part des choses entre la propagande des uns et des autres et les faits. Ainsi, ce 19 mai, l'armée annonçait contrôler le coeur de Qousseir, mais si elle a progressé, il semble que cette avancée a été moins couronnée de succès que ce que proclamait l'Etat major de Damas, les rebelles ayant également reçu des renforts d'autres fronts..

Qousseir se trouve sur un axe crucial pour le régime car elle est située sur la route reliant Damas au littoral, sa base arrière. En face, "d'un point de vue stratégique, l'intérêt de Qousseir réside dans le fait qu'elle est un point de passage des réseaux d'approvisionnements des rebelles de Homs et sa région depuis le Liban. Prendre la ville permettrait de couper ces réseaux dans une large mesure et donc d'asphyxier les rebelles dans la province", explique Thomas Pierret, spécialiste de la Syrie. "Depuis cette ville, les rebelles peuvent également mener des attaques sur les autoroutes Damas-Homs et Homs-Tartous, deux axes vitaux pour la survie du régime", complète le chercheur.

Une dimension symbolique
"La bataille a désormais acquis une dimension symbolique importante pour l'opposition en raison de l'engagement du Hezbollah dans la bataille, qui fait de cette dernière un front non plus seulement du conflit syrien entre sunnites et Alaouites, mais d'un affrontement régional entre sunnites et chiites", ajoute encore Thomas Pierret.

Déjà, en février 2012, l'écrivain Jonathan Littel qui s'était rendu dans Homs assiégée, citait les propos d'un activiste: "Jamais le régime ne lâchera Qousseir. S'ils perdent Qousseir, ils perdent toute la frontière."

A majorité sunnite, Qousseir comprenait une minorité chrétienne, mais également alaouite avant le conflit. Une partie d'entre eux a quitté la ville. Pour le père jésuite Paolo dall'Oglio, fondateur d'un monastère à Mar Mousa, expulsé en juin 2012 de Syrie par le régime de Bachar el-Assad dont il dénonçait les crimes, celui-ci a utilisé le particularisme clanique des ces minorités. "Une partie d'entre eux ont fui la ville quand elle est passée aux mains des rebelles, mais ce sont ceux qui s'étaient associés aux forces du régime contre les révolutionnaires. D'autres, parmi les chrétiens de Qousseir ont soutenu la révolution aux côté de la majorité sunnite", explique-t-il à L'Express.

Depuis le début de l'offensive conjointe de l'armée et du Hezbollah et après l'envoi de renforts de la garde républicaine syrienne et de la milice libanaise mercredi, l'étau se resserre sur les rebelles. Ceux-ci ont été repoussés à l'est de la rivière Oronte.

La crainte d'un Srebrenica syrien
« Le scénario le plus probable: des massacres de civils faisant des dizaines ou des centaines de victimes, destinés à convaincre le reste de la population, si elle ne l'a pas déjà fait, de quitter les lieux »

La Coalition de l'opposition syrienne a lancé jeudi un appel "urgent" pour secourir un millier de civils blessés piégés dans la localité. "La ville manque totalement de médecins, de personnel soignant et de kits d'aide de première urgence", a indiqué l'opposition, appelant à une "action immédiate des organisations d'aide internationales".

En cas de prise de contrôle par les troupes du régime des derniers bastions de Qousseir encore aux mains des rebelles, il y a lieu de craindre le pire pour les quelque 20 à 25.000 habitants qui s'y trouvent toujours: "Le scénario le plus probable, explique Thomas Pierret, est celui du nettoyage ethnique tel qu'on l'a déjà observé dans certains quartiers de Homs par exemple: des massacres de civils faisant des dizaines ou centaines de victimes, destinés à convaincre le reste de la population, si elle ne l'a pas déjà fait, de quitter les lieux et de ne pas revenir".

Le père Paolo Dall'Oglio a les mêmes craintes. Il est convaincu que les troupes du régime et les chabihas (miliciens) qui les accompagnent se livreront à des massacres à grande échelle. Il rappelle que les principaux massacres ethniques commis par les sbires du régime depuis le début de la crise ont eu lieu dans cette région: Houla, Koubeir, Tall Kalakh, ou plus récemment Bayda et Baniyas. Toutes ces villes sont dans, ou à la marge, de la région alaouite de Syrie, dont le clan Assad entend faire une zone de repli, au cas où il perdrait le contrôle du reste du pays. Pour cela, il lui faut chasser ou exterminer les populations des villages ou quartiers sunnites de cette région.

"La communauté internationale fait preuve d'une irresponsabilité criminelle dénonce Paolo Dall'Oglio. Ce régime n'a aucune intention de négocier. Préparer un Genève 2, ou un Genève 3 (allusion à l'accord de Genève de 2012 qui prévoyait un gouvernement de transition, promesse aussitôt piétinée par le régime) ne fait que préparer des dizaines voire des centaines milliers de morts de plus".

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/syrie-qousseir-verrou-de-la-guerre-en-syrie_1253335.html#WA8pEcdprB22zRSR.99

l'express

PGM

vipsdesvips a écrit:

Assaidi a écrit:

Un indien, un américain et un britannique tués par l'armée syrienne à Idlib.

Par ailleurs, plusieurs villages de la périphérie de Qoussair ont été reconquis par les forces du régime.

Quels villages ?

Jouadiya, Arjoun, Barak, les vergers à l'est de la ville également.

Par ailleurs, la police turque à interpellé 12 membres d'Al Nosra qui étaient en possession de gaz sarin. Mais qu'est ce que va bien pouvoir dire Erdogan ?

A mon avis, on trouvera pas cette info dans les des médias pro-AKP soit 90% des médias en général donc il n'aura pas de pressions, donc rien à dire

Citation :

Analysis: Israel could swoop on S-300 missiles in Syria, but with risks

JERUSALEM (Reuters) - Israel could overcome advanced S-300 anti-aircraft missiles if they were deployed in Syria but any strikes on the system would be difficult and risk alienating its supplier, Russia.

Israel has pledged to take preventive action, seeing a future Syrian S-300 as a "game-changing" threat to its own airspace as well as to the relative free rein with which it now overflies its northern foe and neighboring Lebanon.

Experts agree that Israeli sabotage or open force to disrupt delivery by Russia is extremely unlikely - a view seemingly shored up by Syrian President Bashar al-Assad's announcement on Thursday that the first missiles had arrived.

That leaves Israel lobbying Moscow to slow down the shipment in hopes it would be overtaken and scrapped if Assad fell to a more than two-year-old rebellion, and in parallel preparing counter-measures to neutralize the S-300 on the ground in Syria.

The Israeli newspaper Haaretz quoted National Security Adviser Yaakov Amidror as warning European diplomats that Israel would "prevent the S-300 missiles from becoming operational". That may be achieved by ensuring Assad does not get the full system, experts say, or by disabling it militarily if he does.

"The S-300 would be the pinnacle of Russian-supplied arms for Syria," Colonel Zvika Haimovich, a senior Israeli air force officer, told Reuters in an interview. "Though it would impinge on our operations, we are capable of overcoming it.

He said Israel's "red line" on the S-300 was "between Syria and others". This was a hint Israel might hold off on bombing the batteries as long they did not appear set on shooting down planes within Israeli airspace, of being transferred to Lebanese Hezbollah guerrillas or to Iran - both staunch allies of Assad and enemies of Israel, or of being looted by Islamist rebels.

MARKETING MOSCOW

The Israelis excel in electronic warfare. In 1982, they "blinded" Soviet-supplied Syrian anti-aircraft units in Lebanon, then destroyed 19 of them without Israeli losses. Similar technologies helped Israeli jets destroy a suspected nuclear reactor in Syria in 2007 and, this year, to hit Syrian targets on at least three occasions to prevent what intelligence sources called attempts to move advanced weaponry to Hezbollah.

A source close to Russia's defense ministry agreed that the Israelis "likely have a million ways to combat the S-300 electronically". But he questioned their feasibility because they had not been tested in war.

"So, whether the S-300 would fail or not cannot be known".

Robert Hewson, an IHS Jane's air power analyst, predicted Israeli prowess would prevail in Syria while cautioning that the S-300 would be the most formidable air defense system it had ever faced. "Israel has had nasty surprises from these things before," he said, noting its steep losses to the Soviet anti-aircraft missiles used by Syria and Egypt in the 1973 war.

Hewson felt Israel would prefer to destroy the S-300 in Syria but may opt instead just to circumvent it as required for missions, especially if there was the risk of inadvertently killing or wounding Russians helping to install the system.

Security sources have put the number of Russian military personnel in Syria at several hundred.

"The Russians would react badly to losing their people, and Israel knows that equally," Hewson said.

Former Israeli defense minister Moshe Arens said Moscow should be mindful of the harm that seeing the S-300 defeated in Syria would do to exports of the system elsewhere.

Past clients include Cyprus, whose S-300, posted on the Greek island of Crete, may have given Israel's air force a chance for test runs during maneuvers over the Mediterranean.

"I'd be very surprised if the Russians deliver this system (to Syria)," Arens told Israel Radio. "It would become apparent that our air force is capable of besting this system, and that would not make for good advertising."

Playing down the strategic challenge that would be posed to Israel by a Syrian S-300, Arens added. "We are not afraid. This would simply change the situation, and we are not interested in the situation being changed to our detriment."

HAZY DEPLOYMENT TIMELINE

The timeline for the anticipated Syrian deployment of the S-300 remains hazy. Hewson said it could be "up and running within a minimum of a few weeks" once all components were in, and provided qualified Syrian personnel were available.

But the Russian defense ministry source said he knew of no Syrians who had already been trained by Moscow, and put the completion of the S-300 delivery at "six to 12 months from now".

Assuming Assad survives in power, such a lag could provide Israel with thwarting opportunities.

Hewson said the truck-towed S-300 would be physically hard to conceal. Its radar, if activated, would emit a distinctive signal that Israel could easily monitor, he added.

Diplomatic alternatives may not have been exhausted, though.

Yuval Steinitz, a senior member of Prime Minister Benjamin Netanyahu's cabinet, held on Thursday what political sources described as a discussion of the Syrian S-300 deal with Russian Ambassador Sergei Yakovlev.

In 2010, following Israeli appeals, Russia scrapped an S-300 sale to Iran. In what may have been a quid pro quo, the Israelis also agreed that year to sell Russia surveillance drones that would narrow its technological military gap with rival Georgia.

Russia now has other strategic interests - for example, investment in Israel's Mediterranean gas fields. Silvan Shalom, another Israeli cabinet minister, told Reuters that Russian President Vladimir Putin mentioned the gas fields while hosting Netanyahu in Sochi on May 14 for talks that focused on Syria.

But Zvi Magen, a former Israeli ambassador to Moscow, was skeptical that Israel could offer anything that would spur Putin to slacken his support for Assad. "There's too much at stake here for the Russians," he said.

He was alluding to the conflagration's wider geo-strategic dimensions - pitting a Russian preference to keep Syria under Assad's control to preserve Moscow's last significant toehold in the Middle East against a Western and Gulf Arab desire for the downfall of Assad to roll back Iranian influence in the region.

(Additional reporting by Thomas Grove in Moscow; Editing by Jeffrey Heller and Mark Heinrich)

Reuters

traduction via google translate :

Citation :

JERUSALEM (Reuters) - Israël pourrait surmonter avancées S-300 missiles anti-aériens s'ils ont été déployés en Syrie mais les grèves sur le système serait difficile et risque de s'aliéner son fournisseur, la Russie.

Israël s'est engagé à prendre des mesures préventives, en voyant un avenir syrien S-300 comme une menace "game-changer" à son propre espace aérien ainsi que de la laisser libre cours relative avec laquelle il survole maintenant son ennemi le nord et le Liban voisin.

Les experts conviennent que le sabotage israélien ou à force ouverte pour perturber la livraison par la Russie est extrêmement peu probable - une vue apparemment étayé par l'annonce du président syrien Bachar al-Assad jeudi que les premiers missiles étaient arrivés.

Cela laisse Israël lobbying Moscou à ralentir l'envoi dans l'espoir qu'il serait dépassé et abandonné si Assad est tombé à un plus de deux ans, la rébellion, et dans la préparation parallèle des contre-mesures pour neutraliser le S-300 sur le terrain en Syrie .

Le quotidien israélien Haaretz a cité conseiller de sécurité nationale Yaakov Amidror comme un avertissement diplomates européens qu'Israël «empêcher les missiles S-300 à partir de devenir opérationnel". Cela peut être réalisé en veillant à Assad n'obtient pas la totalité du système, disent les experts, ou en désactivant militairement s'il le fait.

"Le S-300 serait le summum d'armes russes fournies pour la Syrie, le« colonel Zvika Haimovich, un officier de l'armée de l'air israélienne supérieurs, a déclaré à Reuters dans une interview. "Bien que cela empiéterait sur nos activités, nous sommes capables de surmonter.

Il a dit «ligne rouge» d'Israël sur la S-300 était "entre la Syrie et les autres». Ce fut un soupçon Israël pourrait tenir au loin sur bombarder les batteries aussi longtemps qu'ils ne semblent pas mettre en abattant les avions dans l'espace aérien israélien, d'être transféré aux guérilleros du Hezbollah libanais ou à l'Iran - deux fidèles alliés d'Assad et les ennemis d'Israël, ou de pillées par les rebelles islamistes.

MARKETING MOSCOU

Les Israéliens excellent dans la guerre électronique. En 1982, ils «à l'insu» des unités anti-aériennes syriennes Soviétique-fournis au Liban, puis détruit 19 d'entre eux sans pertes israéliennes. Des technologies similaires ont aidé les avions israéliens détruisent un réacteur nucléaire présumé en Syrie en 2007 et, cette année, pour frapper des cibles syriennes sur au moins trois reprises pour empêcher que des sources de renseignement appelés tentatives pour passer des armes sophistiquées au Hezbollah.

Une source proche de ministère de la Défense de la Russie ont convenu que les Israéliens "ont probablement un million de façons de lutter contre le S-300 par voie électronique". Mais il s'interroge sur leur faisabilité, car ils n'avaient pas été testé dans la guerre.

"Donc, si le S-300 aurait échouer ou ne peut pas être connu".

Robert Hewson, analyste de la puissance aérienne IHS Jane, a prédit prouesses israélien prévaudrait en Syrie tout en avertissant que le S-300 serait le système de défense aérienne le plus redoutable qu'il ait jamais été confrontée. «Israël a eu de mauvaises surprises de ces choses avant," at-il dit, notant ses lourdes pertes aux missiles anti-aériens soviétiques utilisés par la Syrie et l'Egypte dans la guerre de 1973.

Hewson a estimé qu'Israël préfère détruire le S-300 en Syrie, mais il peut opter simplement pour contourner tel que requis pour les missions, en particulier si il y avait le risque de tuer ou de blesser par inadvertance Russes aider à installer le système.

Des sources de sécurité ont mis le nombre de militaires russes en Syrie à plusieurs centaines.

"Les Russes réagiraient mal à perdre leur peuple, et Israël sait que même", a déclaré Hewson.

L'ancien ministre israélien de la Défense Moshe Arens a déclaré que Moscou devrait être conscient du tort que de voir le S-300 défait en Syrie ferait à l'exportation du système ailleurs.

Anciens clients incluent Chypre, dont S-300, posté sur l'île grecque de Crète, peut avoir donné la force aérienne d'Israël une chance pour le test s'exécute lors de manoeuvres sur la Méditerranée.

«Je serais très surpris si les Russes livrer ce système (en Syrie)," Arens a déclaré à Radio Israël. "Il devient évident que notre armée de l'air est capable de surclassant ce système, et qui ne ferait pas pour une bonne publicité."

Minimiser l'enjeu stratégique qui serait posé à Israël par un Syrien S-300, Arens ajouté. "Nous n'avons pas peur. Ce serait tout simplement changer la situation, et nous ne sommes pas intéressés par la situation étant changé à notre détriment."

CALENDRIER DE DÉPLOIEMENT HAZY

Le calendrier pour le déploiement syrien anticipée de la S-300 reste floue. Hewson dit qu'il pourrait être "opérationnel dans un délai minimum de quelques semaines" une fois que tous les composants se trouvaient, et fourni du personnel qualifié syriens étaient disponibles.

Mais la source du ministère russe de la Défense a déclaré qu'il ne connaissait pas les Syriens qui avaient déjà été formés par Moscou, et de mettre l'achèvement de la S-300 livraison à «six à 12 mois à partir de maintenant".

En supposant Assad survit au pouvoir, un tel retard pourrait fournir à Israël des possibilités contrecarrer.

Hewson a déclaré que le camion remorqué S-300 serait physiquement difficile à dissimuler. Son radar, s'il est activé, émettrait un signal distinctif qu'Israël pouvait facilement suivre, at-il ajouté.

Alternatives diplomatiques n'aient pas été épuisés, cependant.

Yuval Steinitz, un membre du cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui s'est tenue ce jeudi des sources politiques décrites comme une discussion sur le Syrien S-300 traitent avec l'ambassadeur russe Sergei Yakovlev.

En 2010, suite aux appels israéliens, la Russie mise au rebut d'un S-300 à l'Iran vente. Dans ce qui pourrait avoir été un quid pro quo, les Israéliens ont également convenu cette année de vendre Russie drones de surveillance qui permettrait de réduire son écart technologique militaire avec la Géorgie rival.

La Russie a désormais d'autres intérêts stratégiques - par exemple, l'investissement dans des champs gaziers méditerranéenne d'Israël. Silvan Shalom, un autre ministre du cabinet israélien, a déclaré à Reuters que le président russe Vladimir Poutine a évoqué les champs de gaz tout en accueillant Netanyahu à Sotchi le 14 mai pour des entretiens axés sur la Syrie.

Mais Zvi Magen, un ancien ambassadeur d'Israël à Moscou, était sceptique qu'Israël pourrait offrir tout ce qui pourrait stimuler Poutine pour détendre son soutien à Assad. "Il ya trop en jeu pour les Russes", at-il dit.

Il faisait allusion à des dimensions géo-stratégiques plus larges de l'incendie - opposant une préférence russe pour maintenir la Syrie sous le contrôle de M. Assad à préserver dernier toehold significative de Moscou au Moyen-Orient contre une volonté arabe de l'Ouest et du Golfe pour la chute de Assad de faire reculer l'influence iranienne en la région.

PGM

Exactement ce que je me disais, les Russes vont se prendre une gifle au niveau du marketing si les Israéliens font ce qu'ils veulent malgré le système

PGM a écrit:

Citation :

Syrie: Qousseir, verrou de la guerre en Syrie?

La question qui se pose est : si Quousseir a une telle imporatnce , pourquoi le régime a attendu qu'elle soit sous le contrôle des rebels pour , ensuite, fournir un tel effort pour la récupération .ils auraient dû alors fortifier ça bien avant de manière préventive !
je crois que son importance pour les rebels a évolué tout au long du conflit , et l'AAS ne s'y attendais pas .Sinon on aurait assisté à un travail préalable du style Rommel .
Au début de la guerre , on disait que c'était Alepp qui était décisive , et nous voilà avec tous les regards tournés vers Quousseir comme quoi... en guerre tu ne peux pas tout prévoir