Marcron s exprime sur les autorité libanaise comme s il s agissait de ses administrés c'est quel genre de relations ça ? et quel genre de diplomatie
Citation :
Emmanuel Macron fustige la « trahison » des autorités d’un Liban plus que jamais en crise
Les partis politiques libanais s’étaient engagés auprès du chef de l’Etat français à former un cabinet de ministres « compétents » et « indépendants ». Mais samedi, le premier ministre désigné, Moustapha Adib, chargé de le former, a jeté l’éponge.
Le Monde avec AFP Publié hier
Le président français Emmanuel Macron a fustigé, dimanche 27 septembre, la « trahison » de la classe politique libanaise, au lendemain de l’échec d’une tentative de former un gouvernement dans ce pays plus que jamais en crise et à l’arrêt. « J’ai honte » pour les dirigeants libanais, a lancé le président français sur un ton grave et tendu, lors d’une conférence de presse convoquée à la hâte à l’Elysée.
Le Liban se retrouve dimanche sans la moindre perspective de sortie de crise après le renoncement du premier ministre désigné Moustapha Adib, incapable de former un gouvernement en raison de querelles politiciennes sur les portefeuilles.
Ce renoncement semble marquer l’échec de l’initiative lancée par M. Macron après la tragique explosion du 4 août au port de Beyrouth, nouvelle épreuve pour un pays en proie à la pire crise économique, sociale et politique de son histoire.
Les partis politiques s’étaient engagés auprès de M. Macron, venu à Beyrouth début septembre, à former un cabinet de ministres « compétents » et « indépendants » dans un délai de deux semaines, condition pour l’envoi d’aide internationale nécessaire au redressement du pays. Dimanche soir, le chef d’Etat français a « pris acte de la trahison collective » des partis libanais qui, selon lui, « portent l’entière responsabilité » de cet échec.
« Le Hezbollah ne doit pas se croire plus fort qu’il ne l’est »
Sa parole était attendue - « Un renoncement aux graves répercussions et les regards tournés vers Macron », a titré dimanche le quotidien arabophone Annahar -, mais les options qui s’offrent à lui paraissent limitées dans l’immédiat. Les dirigeants du pays du Cèdre disposent d’une « dernière chance » de respecter leurs engagements, afin de constituer un « gouvernement de mission et obtenir de l’aide internationale », a-t-il exhorté.
En jetant l’éponge samedi, M. Adib a dit constater l’inexistence d’un consensus entre les partis en dépit de l’urgence de mener les réformes réclamées par la communauté internationale pour débloquer des milliards de dollars d’aide.
Les craintes vont crescendo d’une dégradation supplémentaire de la situation dans le pays, où la classe dirigeante quasi inchangée depuis des décennies est accusée de corruption, d’incompétence et d’indifférence par une grande partie de la population.
Le chef de l’Etat doit désormais mener de nouvelles consultations parlementaires contraignantes pour désigner un premier ministre. Mais ce processus risque, une nouvelle fois, de s’éterniser, voire d’échouer.
La formation du gouvernement a été entravée par les revendications du parti chiite Hezbollah, un allié de l’Iran qui domine la vie politique libanaise, et de son allié Amal qui réclamaient le portefeuille des finances. Selon les observateurs, leur obstination est liée aux sanctions américaines imposées à un ministre d’Amal, qui était aux finances, et à deux compagnies affiliées au Hezbollah.
Le Hezbollah « ne doit pas se croire plus fort qu’il ne l’est », a tancé dimanche soir Emmanuel Macron. Ce parti « ne peut en même temps être une armée en guerre contre Israël, une milice déchaînée contre les civils en Syrie et un parti respectable au Liban. C’est à lui de démontrer qu’il respecte les Libanais dans leur ensemble. Il a, ces derniers jours, clairement montré le contraire ». « La volonté de Amal et de Hezbollah était de ne faire aucune concession », a dénoncé le président français.
Un horizon de « quatre à six semaines »
Emmanuel Macron jette un horizon de « quatre à six semaines » pour que les bailleurs internationaux voient s’il est encore possible pour le Liban de se doter d’un gouvernement de mission ou s’il faut envisager un changement complet de paradigme pour le pays du Cèdre.
« A l’horizon environ d’un mois, un mois et demi, nous serons obligés de faire le bilan (…). S’il n’y a aucune avancée sur le plan interne, alors nous serons obligés d’envisager une nouvelle phase de manière très claire et de poser la question de confiance : est-ce qu’un gouvernement de mission sur la base de la feuille de route est encore possible ? ou est-ce qu’il faut à ce moment-là changer la donne et aller peut-être dans une voie plus systémique de recomposition politique au Liban ? », a-t-il déclaré, ajoutant que ce serait une piste « très aventureuse ».
M. Macron a jugé que, faute d’un accord sur les bases évoquées en août, le Liban risquait soit la « guerre civile », soit de continuer de s’enliser avec un gouvernement de « profiteurs ». Et dans tous les cas, que le pays ne pourrait pas compter dans ces conditions sur une aide financière internationale dont il a cruellement besoin.
Les craintes pour le pays sont également d’ordre sécuritaire, avec une recrudescence des violences. Dimanche, deux soldats ont été tués par des « terroristes » selon l’armée, au lendemain de la mort de neuf membres d’une cellule liée au groupe djihadiste Etat islamique au Liban nord.
Le drame de trop
De son côté, les Etats-Unis se sont dits « déçus par la classe politique libanaise, qui n’a pas placé le peuple devant la politique politicienne ». « Tout continue comme avant à Beyrouth », a déploré un porte-parole de la diplomatie américaine.
M. Adib a succédé à Hassan Diab, qui avait démissionné après l’explosion dévastatrice le 4 août dans un entrepôt où étaient stockées d’importantes quantités de nitrate d’ammonium au port de Beyrouth : plus de 190 morts, plus de 6 500 blessés et des quartiers détruits.
C’était le drame de trop dans un pays souffrant d’une dégringolade de la monnaie nationale, d’une hyperinflation et d’une paupérisation à grande échelle de sa population, sans oublier la pandémie de Covid-19. Lundi, le président Michel Aoun, un allié du Hezbollah, avait averti que le Liban se dirigerait vers « l’enfer » en l’absence d’un nouveau gouvernement.
Pour le politologue Karim Bitar, « à défaut d’aller en enfer, nous assisterons probablement à une escalade de la violence, à une fragilisation des institutions publiques, à une aggravation de la crise économique et à une vague d’émigration ».
Macron se prend pour DeGaulle, Mitterand ou Chirac...Il a pas encore compris que la France des années 60, des années 80 et meme des année 90-2000, n'est plus la France de 2020
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Macron se prend pour DeGaulle, Mitterand ou Chirac...Il a pas encore compris que la France des années 60, des années 80 et meme des année 90-2000, n'est plus la France de 2020
Il se prend pour Napoléon et la France des 1800
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités internationales Jeu 1 Oct 2020 - 0:44
Citation :
Le Hezbollah prévient Macron qu'il ne peut pas se comporter en "chef du Liban"
29/09/2020 | 23:51
BEYROUTH, 29 septembre (Reuters) - Le Hezbollah ne s'est jamais engagé à accepter n'importe quelle forme de gouvernement pour le Liban, a déclaré mardi soir le chef du puissant mouvement chiite, Hassan Nasrallah, ajoutant qu'il saluait l'initiative de la France mais que cela n'autorisait pas Emmanuel Macron à se comporter en chef d'Etat du Liban.
Le secrétaire général du Hezbollah, qui s'exprimait dans un discours télévisé, estime en outre que l'approche adoptée par le dirigeant français, avec ultimatum fixé pour la formation d'un "gouvernement de mission", doit être reconsidérée sous peine de ne produire aucun résultat.
Plus tôt dans la journée, ses alliés chiites du mouvement Amal avaient exprimé du respect pour le rôle qu'Emmanuel Macron s'est attribué au Liban après la catastrophe survenue début août sur le port de Beyrouth mais s'étaient dits également surpris des accusations du président français, qui a en partie imputé au tandem chiite la démission du Premier ministre désigné Moustapha Adib, incapable de former un gouvernement.
Dimanche en fin de journée, Emmanuel Macron, qui s'est fortement impliqué dans la crise libanaise, a dénoncé lors d'une conférence de presse organisée en duplex entre Paris et Beyrouth la "trahison collective" de la classe politique libanaise qui, a-t-il dit, s'était engagée auprès de lui lors de sa visite à Beyrouth, début septembre, à former sous quinze jours un "gouvernement de mission".
Il a également appelé le Hezbollah à une "clarification". "Le Hezbollah ne peut en même temps être une armée en guerre contre Israël, une milice déchaînée contre les civils en Syrie et un parti respectable au Liban", a-t-il dit.
Dans sa réponse, Nasrallah a rejeté le terme de "trahison".
"Qui parle de trahison ?", a dit le chef du Hezbollah.
"Nous ne nous sommes pas engagés à accepter un gouvernement quelles que soient sa configuration ou sa forme", a-t-il poursuivi.
"Nous avons accueilli le président Macron quand il s'est rendu au Liban et nous avons salué l'initiative française, mais pas qu'il se comporte en juge et partie, en gouverneur du Liban", a-t-il poursuivi.
Hassan Nasrallah a par ailleurs accusé Saad Hariri de même que d'anciens Premiers ministres libanais, sunnites, de chercher à exploiter à des fins politiques l'implication de la France dans la crise politique, économique et financière du pays. Ils ont tenté, a-t-il dit, d'isoler le Hezbollah et ses alliés, qui détiennent les clefs de la majorité au Parlement.
Dans son intervention dimanche soir à l'Elysée, Emmanuel Macron a écarté l'idée d'imposer "à ce stade" des sanctions à l'encontre de dirigeants libanais mais leur a donné quatre à six semaines pour former ce gouvernement de mission. (Ellen Francis et Raya Jalabi version française Jean-Philippe Lefief et Henri-Pierre André)
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Jeu 1 Oct 2020 - 1:41
Ou mazal les claques à venir ! La France soutient implicitement l'Arménie
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Invité Invité
Sujet: Re: Actualités internationales Jeu 1 Oct 2020 - 6:46
Je pense qu il sest autoproclamé hero de la lutte contre les ottomans
plus serieusement, les allemands et les anglais font moin de tapage mais sont plus efficace face à la turquie
Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Jeu 1 Oct 2020 - 16:38
Macron agit exactement comme les français lors de la bataille de Nicopolis !
Sur de lui, n'écoutant pas les conseils de ses alliés et voulant impérativement aller au contact en fonçant sans réfléchir car sur le papier supérieur technologiquement.
Ce fut la dernière croisade ...
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Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Lun 5 Oct 2020 - 0:01
Cet article est un reflet direct de la perception de la politique française à l'international, les américains ne sont pas dupes du jeux de Jupiter, l'ambitieu incompétent:
Is it Macron — not Trump — who's breaking the NATO alliance?
Last November, French president Emanuel Macron shocked and puzzled many when he suggested that NATO is becoming brain dead. Angela Merkel condemned Macron’s “drastic words.” NATO’s Secretary-General Jens Stoltenberg also reacted swiftly to rebuff Macron, while praising Washington’s commitment to the organization. Ten days later — and ahead of the NATO summit in London — Marcon reinforced his remarks while standing alongside Stoltenberg, suggesting the alliance has become too focused on budget issues instead of evolving geopolitics.
President Trump’s response that Macron’s NATO comments were “disrespectful” was on point.
Macron’s well-planned rhetoric was meant to steer media attention toward America’s reduced support for the alliance while propping up France as leading the way. At the same time, Macron worked quietly on positioning France with Russia and the United Arab Emirates to support a military coup in Libya in order to gain access to the war-torn country’s vast riches.
France’s destructive role in destabilizing Libya by supporting the Haftar war machine and unprecedented coordination with Vladimir Putin resulted in a significant presence of Russia-backed Wagner Group fighters, as well as the establishment of a Russian military base in Sirte, prompting AFRICOM to raise the alert in Washington. Without Turkey’s military intervention in Libya, called for by the internationally recognized government in Tripoli, there would now be several Russian military bases in Libya, seriously endangering the southern flank of European and NATO security.
Macron's pretense has been on full display with the Libya crisis. While France has been quick to condemn Turkey's actions in Libya, it has turned a blind — yet complicit — eye to interference by other countries. The colossal defeat of both Haftar’s forces and France’s foreign policy aspirations in Libya only further antagonized Macron’s resentment towards Turkey, a NATO ally. And yet, Macron continues his attempts to maneuver and impose French influence in Libya. For example, at the United Nations last week, Macron announced a new initiative to bring together and re-engage Libya’s neighboring countries to help create a solution to Libya’s conflicts.
In reality, what Libya needs is for the UN Security Council to appoint a new UN special envoy for Libya, to continue Ghassan Salame’s work toward a permanent political solution. This was within reach and ready to be announced at the Ghadames National Conference. The conference, tirelessly organized by UNSMIL over 18 months, intended to set the new elections, among other important issues. It never took place because of Haftar’s offensive against Western Libya, an effort that Macron supported.
The UN Security Council should heed the request presented by Taher El Sonni, the Libyan Permanent Representative to the UN, during the UN General Assembly: A new UN special envoy for Libya must be appointed to continue Salame’s good work. The task is made all the more complicated by the social and political wreckage Haftar created within Libya.
Outside of Libya, recent heightened tensions due to the maritime dispute between Greece and Turkey gave Macron a new opportunity to reassert France’s role in the region.Macron sent jets and warships to the Eastern Mediterranean to support Greece, but under whose auspices? France does not share a maritime border in the Eastern Mediterranean, nor did the EU call upon Macron to send warships to those waters. The French tout de force has already produced some results as France will sell Rafale fighter aircraft to Greece, a deal that will certainly help France’s faltering economy, shaken by the longest strikes in decades.
When it comes to the tensions between Turkey and Greece in the Eastern Mediterranean, the UNCLOS (UN Convention for the Law of the Sea) endorses the coastal waters equidistance principle as a method to determine maritime borders “from the nearest point of the baselines from which the breadth of the territorial sea of each of the Two States is measured.” This is the approach France should be taking instead of ratcheting up an already tense situation.
It is Germany’s ongoing diplomatic efforts, and not France, that exemplifies true EU leadership by working seriously to bring NATO allies Greece and Turkey to the negotiating table.
Sasha Toperich is senior executive vice president of the Transatlantic Leadership Network. From 2013 to 2018, he was a senior fellow and director of the Mediterranean Basin, Middle East and Gulf initiative at the Center for Transatlantic Relations at the Paul H. Nitze School of Advanced International Studies at Johns Hopkins University in Washington, D.C.
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rmaf Administrateur
messages : 15618 Inscrit le : 18/03/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Ven 16 Oct 2020 - 15:09
La désinformation à la française
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Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Ven 16 Oct 2020 - 17:13
J’ai regardé déjà ! Ils sont magique.
La Turquie devient leur hantise! Erdogan avait prévenu Macron « tu as pas finis d’avoir des problèmes avec moi »
A l’heure actuelle il y a juste 0 balance dans le traitement de l’info c’est une autoroute ouverte à la partie arménienne
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Stinger Colonel
messages : 1751 Inscrit le : 18/06/2020 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: Actualités internationales Ven 16 Oct 2020 - 17:58
Fahed64 a écrit:
J’ai regardé déjà ! Ils sont magique.
La Turquie devient leur hantise! Erdogan avait prévenu Macron « tu as pas finis d’avoir des problèmes avec moi »
A l’heure actuelle il y a juste 0 balance dans le traitement de l’info c’est une autoroute ouverte à la partie arménienne
L'information est libre nous dit-on
Pauvre france ...
rmaf Administrateur
messages : 15618 Inscrit le : 18/03/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Ven 16 Oct 2020 - 18:08
Délire total
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Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Lun 2 Nov 2020 - 22:23
Il y aurait eu une attaque terroriste à Vienne.
2 terroristes ont ouvert le feu proche d'une synagogue. 1 terroriste a été abattu l'autre en fuite.
J'ai vu une video ou ça a tout l'air d'être un daeshien
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Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Lun 2 Nov 2020 - 22:28
7 morts confirmés RIP
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12323 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Lun 2 Nov 2020 - 23:11
ils ont tenté un remake de l'attaque de Paris il y a 5 ans. RIP a mes amis autrichiens et a la population de Vienne que je visite tous les ans
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Northrop General de Division
messages : 6028 Inscrit le : 29/05/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Lun 2 Nov 2020 - 23:46
Rip aux victimes et honte aux terroristes salissant la rèputation au bon.
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Invité Invité
Sujet: Re: Actualités internationales Mar 3 Nov 2020 - 1:21
Soutient au peuple autrichien
felipe21 Lieutenant
messages : 704 Inscrit le : 23/08/2014 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Mar 3 Nov 2020 - 1:42
- Deux personnes sont mortes et plusieurs ont été blessées, lundi 2 novembre au soir, lors de fusillades dans le centre de Vienne, la capitale autrichienne. Six sites différents ont subi une attaque.
- Un des auteurs a été abattu, a aussi fait savoir la police locale. Un autre a été arrêté après un échange de coups de feu, et un tireur est toujours recherché.
- Un policier a par ailleurs été gravement blessé. En tout, une quinzaine de personnes ont été transportées à l’hôpital.
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Mar 3 Nov 2020 - 10:51
L'assaillant serait nord-macédonien.... C'est devenu la peur à chaque attentat, qu'on y trouve impliqués des marocains....
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Vamtac Sous lieutenant
messages : 633 Inscrit le : 13/01/2020 Localisation : España Nationalité :
Sujet: Re: Actualités internationales Ven 25 Déc 2020 - 23:54
L'explosion d'une voiture fait trois blessés aux États-Unis: la police parle d '"acte intentionnel"
Le FBI enquête sur ce qui s'est passé vendredi matin à Nashville, Tennessee. L'expert parle d'un possible acte terroriste.
La police de Nashville (Tennessee, Etats-Unis) a rapporté ce vendredi (25/12/2020) que trois personnes avaient été blessées après une explosion survenue tôt le matin. Les forces de sécurité pensent qu'un véhicule est impliqué dans ce qui s'est passé. Des agents du FBI étaient présents sur les lieux, ainsi que des pompiers et des policiers.
"Cela semble être un acte intentionnel. Les forces de sécurité ferment les rues pendant que l'enquête se poursuit", a déclaré le département de police sur son compte Twitter. La force de l'explosion a causé de graves dommages aux façades des bâtiments, en plus de déraciner des arbres et de mettre le feu à au moins deux véhicules.
Selon les chaînes de télévision locales, lorsque l'explosion s'est produite, vers 6h30 heure locale (12h30 GMT), des flammes et de la fumée noire ont pu être aperçues dans le centre-ville de Nashville, le cœur touristique de la ville qui regorge de bars, restaurants et établissements où vous pouvez écouter de la musique live. L'explosion a été entendue à des kilomètres à la ronde.
Les blessés ont été transportés vers des hôpitaux voisins, mais aucun n'est dans un état critique, a déclaré le porte-parole de la police Don Aaron lors d'une conférence de presse. "C'était une explosion majeure, comme vous pouvez le voir. Oui, nous pensons que c'était un acte intentionnel", a ajouté le responsable, qui n'a pas fourni plus de détails, tels que des détails sur les suspects ou d'éventuelles motivations.
_________________ SI VIS PACEM, PARA BELLUM
DULCE BELLUM INEXPERTIS
Le vrai soldat ne se bat pas parce qu'il déteste ce qui est devant lui, mais parce qu'il aime ce qui est derrière lui...
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités internationales Lun 18 Jan 2021 - 20:10
Kelly Hammond - University of Arkansas - Newlines Magzine a écrit:
The Terrible ‘Sinicization’ of Islam in China
How China persecutes the Uyghurs and targets other Muslim minorities in a bid to assimilate them
In the past three years, over 1 million Uyghurs in the People’s Republic of China have been enduring a systemic, state-run campaign of incarceration and internment in “re-education camps” in one of the world’s worst human rights abuses. The story has begun to receive the coverage it deserves in major media outlets, like in this investigative report updated last month by The New York Times, which shows satellite images of an expansion of these internment camps despite China’s claim that the camps had been shrinking as “reformed” Uyghurs rejoined society.
But what is less known is that the Uyghurs, a Turkic Muslim minority who live in Western China, are not the only targets. Muslims living all over the country find themselves enduring egregious violations of their rights, including draconian measures such as being forced to eat pork and drink alcohol and to shave their beards or remove their headscarves. They are persecuted for having connections — real or perceived — to Muslim intellectuals abroad, and many are denied passports and the right to travel, including to hajj pilgrimages. State authorities have also been prohibiting the adhan (call to prayers) and removing minarets, even bulldozing some mosques in their entirety.
While there have been repressive campaigns that target minorities in China’s history, the current systemic violations are far more sinister, thanks to sophisticated surveillance and fast-evolving AI technology. That, combined with the growing role China plays in the world economy and the ongoing ripple effect of the “global war on terror,” western China has become a dystopian experiment where the Uyghurs are among several test subjects. There is little reason to expect this experiment will stop in the near future, or remain confined to just one part of a sprawling nation.
At the heart of these repressive policies is China’s aim of the “de-Islamization” of Muslims or, as some call it, the “Sinicization” of Islam.
Sinicization describes the process through which groups — be they Mongolians, Muslims, or Tibetans — are absorbed into the Sinosphere through acculturation, policies of assimilation, or more direct policies of cultural imperialism. A case in point is China’s recent move to forbid religious teachings in Arabic, remove Arabic signage on restaurants and shops, and shutter Islamic bookstores, often detaining owners.
In essence, Muslims are being assimilated into the dominant Han Chinese culture through the erasure of Islamic practices in China. These are intentional policies implemented by the state to reduce the visibility of Islamic practices in daily life. Observers fear that the increasing restrictions in Ningxia and Gansu, where the majority of the population is Hui, could mean that the Xinjiang-style internment camps might make their way to other parts of China where Muslims make up the majority of the population.
China’s population comprises 92 percent ethnic Han, leaving 130 million Chinese people to fall into one of 56 separate ethnic groups, as designated by the Communist Party. Of those ethnic groups, 10 are Muslim, totaling around 40 million people — less than 2% of the country’s population. These Muslim minority groups include, in descending order by size, the Hui, who account for nearly half of China’s Muslims, followed by the Uyghurs, Kazakhs, Kyrgyz, Salars, Tajiks, Uzbeks, Bonan, and Tatars, who currently number around 5,000.
China’s repressive policies have led to resistance from local communities who resent the long arm of the state interfering in their private religious affairs. At least one protest, against the demolition of the Weizhou Grand Mosque, has been successful. But if that was a rare sign of concession on behalf of the Chinese state, it seems likely to come to an abrupt end.
Islam was introduced to China by envoys from the Middle East who traveled to meet Emperor Gaozong of the Tang Dynasty in the 7th century. Shortly after this visit, the first mosque was built in the southern trading port of Guangzhou for Arabs and Persians who traveled around the Indian Ocean and the South China Seas working as traders. During this time, Muslim merchants established themselves in Chinese ports and in trading posts along what we now call the Silk Roads. During this time, Muslims lived segregated from the Han Chinese populations for almost five centuries.
It was not until the Mongol Yuan Dynasty came to power in the 13th century that Muslims came to China in unprecedented numbers to serve as administrators for the new rulers who were descendants of Genghis Khan, founder of the Mongol Empire.
The Mongols had little experience running a bureaucracy as large as the one in China, so they turned to the capable administrators from important Silk Road cities like Bukhara and Samarkand in Central Asia. They recruited and forcibly relocated hundreds of thousands of Central Asians and Persians to the Yuan court to help them govern the expanding empire.
During this time, wealthy officials continued to bring their wives with them, while lower-ranking officials took local Chinese wives who converted to Islam.
For the next 300 years or so — throughout the Ming Dynasty — Muslims continued to be influential in court politics. Zheng He, the admiral who led Chinese fleets on exploratory and diplomatic journeys throughout Southeast Asia and the Indian Ocean, was a Muslim eunuch. His familiarity with Arabic—the lingua franca of the Indian Ocean—and his knowledge of the social and cultural graces associated with Islam made him an ideal choice to lead these massive expeditions.
Throughout this time, Islamic practices and Muslims adapted to China. Many Muslims could read Arabic and/or Persian, although they could not speak the language. They also wrote extensively about Islam in Chinese. In part, these were efforts to make Islam understandable to the non-Muslim majority who lived around them. However, the corpus of writing that Chinese Muslim intellectuals developed — known as the Han Kitab (Han for “Han” Chinese, and kitab is Arabic for “book”) — dealt with issues that were particular to Muslims living in the Sinosphere, such as how to reconcile Confucianism with Islam.
In the 18th century, the relationship between Muslims and the state in China started to change. The Manchu Qing Dynasty, which lasted from 1644-1911, was China’s last dynasty. They were also not Han Chinese. The Manchus had great territorial aspirations to bring far-flung lands — like Tibet, parts of Mongolia, and what is now called the Xinjiang Uyghur Autonomous Region — more directly under their imperial purview.
This territorial expansion led to clashes with Muslim populations, and throughout the 19th century there were a number of Muslim-led revolts against Qing rule. These revolts were staged in opposition to more direct control from Beijing over regions where Muslim powerbrokers had generally governed with relative autonomy. But the state violently suppressed these revolts, thus ending a long period of accommodation for Muslims in China.
By the late 19th century, Beijing was sending Han Chinese bureaucrats to govern western China. Xinjiang, which literally translates as “the new territories” was officially made a province of the Qing empire in 1884.
During the tumultuous years after the fall of the last dynasty, Muslims, once again, were able to act with relative autonomy from Beijing. They looked to different powers, like the Japanese or the Soviets, to help them back reform plans.
These communities were also actively involved in the global circulation of ideas of what it meant to be both modern and Muslim, and they tried to implement changes within their own communities. But then the empire fractured, and China entered a constant state of war — both civil and international — throughout the first half of the 20th century, until the Communist Party of China reinstated most of the territorial integrity of the defunct Qing empire.
After the founding of the People’s Republic of China in 1949, ethnographers and anthropologists divided the people who lived within the borders of the new state into 56 ethnic groups based on relatively ambiguous criteria such as shared language, territory, history, and traditions.
In the first years after the establishment of the PRC, Muslims once again enjoyed relative religious freedom while the new state tended to other priorities. However, during the most chaotic years of the Cultural Revolution, between 1966 and 1969, mosques were yet again defaced, Qurans and religious texts burned, and Muslims were prohibited from performing hajj. The revolutionary Communist Red Guards banned expression of religion, though after Chairman Mao Zedong’s death in 1976, the Communists adopted more relaxed policies toward Muslims.
History often repeats itself, but what is unfolding today in China regarding its Muslim minority is in fact more organized, more efficient, and much more alarming than the dynamics of the past Many older Muslims living today remember the bleak days of the Cultural Revolution. Some might even recount the tumultuous period as a mirror for what is currently taking place in China.
History often repeats itself, but what is unfolding today in China regarding its Muslim minority is in fact more organized, more efficient, and much more alarming than the dynamics of the past.
With the onset of the war on terror, led by the United States in the aftermath of the Sept. 11 attacks, the Chinese government seized the opportunity to cast Uyghurs in Xinjiang as “terrorists” and “extremists.” Islam was presented as a threat to the state and to stability throughout the region, giving officials a justification for crackdowns on Muslim communities. These state-driven campaigns have been successful, and Islamophobia has become rampant among the Han Chinese majority.
During this time, the Hui were touted as a model minority. After all, they speak Chinese and are seen as valuable assets to help smooth diplomatic relations between the Chinese state and Muslim nation-states around the world, all while the Uyghurs were being corralled into concentration camps. But in 2019, the state’s Islamophobia finally caught up with the Hui.
Observers began noticing crackdowns on Islam and Islamic practices in the predominantly Hui communities in the Chinese provinces of Gansu and Ningxia in ways that are more lasting and profound than the sanctioning of Islam during the Cultural Revolution.
These policies are organized and centralized. They rely on an aggressive surveillance state developed by China’s sophisticated high-tech sector and overseen by the security apparatus in Beijing. Last month, a report published by The Washington Post detailed ways in which China’s tech giant Huawei had been testing facial recognition software that could send automated “Uyghur alarms” to government authorities when its cameras identified someone as belonging to the oppressed minority. Another report, first discovered by the surveillance industry publication IPVM, also showed how the tech giant Alibaba, long touted as “China’s Amazon”, showed clients how to use its software to detect the faces of Uyghurs and other ethnic minorities within images and videos. A report published by The New York Times last summer further unveiled how China’s hackers built malware to spy on Uyghurs through smart phones since as far back as 2013, suggesting that the campaign was an early cornerstone in China’s wide dragnet of Uyghur surveillance that extends to collecting DNA, voice prints, facial scans, and surveillance of exiled Uyghurs in as many as 15 countries.
These policies, unprecedented in their high-tech reach, are being extended to other minority groups, including Tibetans and Mongolians. If the end goal is the complete assimilation of all minority groups — be they Muslim or not — into the dominant Han Chinese culture, the plan seems to be working, at least for now.
China’s growing economy plays a pivotal role in facilitating these practices or, at least, in encouraging the international community to turn a blind eye. Through the Belt and Road Initiative, a long-term plan to generate trade through infrastructure and energy sectors through investments in and loans to developing countries across Eurasia and the Indian Ocean, China has essentially bought the silence of Muslim-majority states like Indonesia and Pakistan that might otherwise have objected to the treatment of their Muslim brethren.
Indeed, the global economy has become so entwined with the labor camps in Xinjiang that the US recently planned to ban imports of cotton and tomatoes from China because of the high probability that these commodities were cultivated by indentured Muslim laborers. For many Uyghurs, this step comes too late. And there is little reason to believe that it will force a reckoning in China. As the world remains complacent about these abuses, Chinese President Xi Jinping and his regime will only grow more emboldened to extend these campaigns to minorities who are also citizens of China.
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Sujet: Re: Actualités internationales Dim 14 Fév 2021 - 13:04
https://edition.cnn.com/2021/02/04/media/cgtn-uk-license-ofcom/index.html a écrit:
L'OFCOM ( qui est l'autorité de régulation audiovisuel britannique) a censuré la chaine chinoise CGTN, pour motif qu'elle dépend du gouvernement chinois (ce qui n'est pas nouveau et les chinois ne se cachent pas) par mesure de rétorsion les chinois ont fait de même avec la BBC... les dems sont au pouvoir depuis moins d'1 mois .. censure de part et d'autres (les occidentaux sont à l'initiative et les chinois répliquent) rendent la compréhension des uns et des autres plus compliqués et favorisent donc les tensions..
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.