Actualités internationales

Rappel du premier message :

Bras de fer entre Londres et Ryad sur l'un des contrats du siècle


Le bureau britannique de détection des fraudes, le SFO, enquête sur une caisse noire liée à des contrats d'armement entre Londres et Ryad qui auraient permis de faire des cadeaux luxueux à la famille royale saoudienne. Du coup, le royaume wahabite menace de ne pas signer le contrat d'achat de 72 avions de combat Eurofighter Typhoon...et de se tourner vers le Rafale Dassault français


C'était l'un des contrats du siècle dans le secteur de l'armement. Il est aujourd'hui menacé. C'est du moins ce que l'Arabie saoudite veut faire croire. Ryad laisse en effet dire qu'elle pourrait renoncer à un contrat d'achat de 72 chasseurs Eurofighter Typhoon si la Grande-Bretagne n'abandonnait pas une enquête sur une présumée caisse noire destinée à des membres de la famille royale saoudienne, selon la presse britannique du week-end.

Le tabloïd britannique Daily Mail affirme même que l'Arabie saoudite se serait déjà tournée vers la France, à laquelle elle serait prête à acheter 24 Rafale de Dassault, le rival du Typhoon. Un accord avec la France pourrait, affirme le Mail, compromettre la signature définitive du contrat avec Eurofighter, d'une valeur de 10 milliards de livres (près de 15 milliards d'euros), prévue avant la fin de l'année. Un pré-accord commercial avait été conclu en aout entre l'Arabie et la Grande-Bretagne.

Le bureau britannique de détection des fraudes, le SFO, enquête en effet depuis deux ans sur un fonds présumé de 60 millions de livres sterling soit 89 millions d'euros appartenant au groupe de défense britannique BAE, un des constructeurs de l'Eurofighter. Ce fonds aurait servi à fournir des avantages en nature - comme des voitures de luxe - aux Saoudiens, pour s'assurer des contrats.

La semaine passée, le Sunday Times citant des sources anonymes avait rapporté que l'Arabie saoudite avait menacé de rompre ses relations diplomatiques avec la Grande-Bretagne si l'enquête se poursuivait. Riyad et BAE ont conclu plusieurs contrats très lucratifs depuis 1985. Notamment le prédécesseur de la vente des Typhoon qui avait été appelé Al Yamamah et portait sur uned énorme vente de matériels d'ramement notamment des avions de combat Tornado. Un contrat payé par Ryad...en baril de pétrole avant que les prix de l'or noir ne flambent. un véritable jackpot pour BAE Systems et les autres fournisseurs britanniques.

Aujourd'hui, un revirement saoudien sur les Typhoon conduirait, selon le Mail, à la perte de près de 50.000 emplois pour BAE Systems. Le groupe britannique, membre du consortium Eurofighter à 33%, aux côtés de l'Européen EADS (46%) et de l'Italien Alenia/Finmeccanica (21%), est le principal bénéficiaire du contrat des 72 chasseurs Eurofighter Typhoon.

Le tabloïd The Sun a pour sa part cité le patron de BAE, Mike Turner: "Cela a a trop duré. Le risque est que des milliers d'emplois aillent en France plutôt qu'en Grande-Bretagne", dit-il. "Nous continuons de coopérer avec l'enquête et pensons que nous n'avons rien fait de mal", a déclaré à l'AFP (Agence France Presse) un porte-parole de BAE, John Neilson.

"Le SFO est un organe gouvernemental indépendant et appartenant au système judiciaire. D'autres parties du gouvernement ne peuvent pas interférer avec ses enquêtes", a affirmé dimanche une porte-parole du ministère des Affaires étrangères à l'hebdomadaire Observer. Mais "nous sommes engagés à assurer que les accord commerciaux bilatéraux avec d'autres pays, dont l'Arabie saoudite soit mis en oeuvre effectivement et en douceur", a-t-elle tout de même souligné.


Dassault et son Rafale en embuscade
L'éventuel revirement saoudien, même s'il est encore peu probable, ferait bien les affaires de Dassault Aviation et de ses partenaires (Snecam-Safran, Thales, le missilier MBDA...) sur le programme d'avion de combat de dernière génération, le Rafale. Car ce dernier n'a encore remporté aucun succès à l'export. Même si récemment, le Délégué général pour l'armement du ministère de la défense, François Lureau, affirmait devant les députés de la Commission de la défense que la France devrait vendre à l'export une centaine de Rafale. Pour l'heure, c'est le bide. Echec à Singapour, échec en Corée du Sud... Le lobby américain qui place partout ses F16, F15 voire son futur F35 JSF mais aussi la concurrence du Saab Gripen suédois ou de l'Eurofighter Typhoon - sans parler des Sukhoï et Mig russes - éclipsent le Rafale. Il est toutefois en lice en Suisse et dans d'autres prochaines campagnes. Surtout, on l'annonce au Maroc, pour 12 à 18 exemplaires qui seraient payés...avec la cassette de la famille royale saoudienne, désireuse de faire plaisir à la fois au roi du Maroc et à la France. Quand on aime...

Source: latribune.fr

Ah oui ! évidement ....bisness is bisness....

Les Russes ont raison de tenter le coup. Khaddafi-la girouette indique toujours de quel côté souffle le vent des relations internationales. Mais le "Roi d'Afrique", titre qui lui a été attribué par je ne sais quelles tribus de Bamboulas, risque de ne plus avoir autant d'argent qu'avant, avec le recul du prix du baril.
Modé.(Intcpr): On utilise pas des thermes péjoratifs ou tendancieux içi alors faite attention aux mots utilisés !

Premier maire issu de l'immigration aux Pays-Bas

Ahmed Aboutaleb prendra ses nouvelles fonctions à la tête de la ville où était fortement implanté le leader populiste Pim Fortuyn, assassiné en 2002.

Citation :

Ahmed Aboutaleb, 47 ans, qui a la double nationalité néerlandaise et marocaine, a été désigné jeudi soir par le conseil municipal de Rotterdam.
Les Pays-Bas devraient avoir bientôt leur premier maire issu de l'immigration, le secrétaire d'Etat aux Affaires sociales Ahmed Aboutaleb, d'origine marocaine, qui devrait devenir le nouveau maire de Rotterdam, a-t-on appris vendredi auprès du ministère de l'Intérieur.

"Le maire de Rotterdam s'appelle Ahmed"
Ahmed Aboutaleb, 47 ans, qui a la double nationalité néerlandaise et marocaine, a été désigné jeudi soir par le conseil municipal de Rotterdam (580.000 habitants), deuxième ville du pays derrière Amsterdam. La désignation de M. Aboutaleb doit encore être entérinée par le gouvernement et acceptée par la Reine Béatrix. "C'est une formalité", a cependant indiqué un porte-parole de la ville.

Le choix de Ahmed Abouteleb, né au Maroc et arrivé aux Pays-Bas à 14 ans, était largement commentée par les médias néerlandais vendredi. "Le maire de Rotterdam s'appelle Ahmed", proclamait vendredi en une le quotidien de référence NRC. "C'est un choix surprenant et excitant", affirmait le Volkskrant (gauche). "C'est un grand pas en avant dans le débat de l'intégration", estimait le quotidien chrétien Trouw.

Pim Fortuyn "marchait" bien à Rotterdam
M. Aboutaleb, membre du parti travailliste (PvdA, coalition), est secrétaire d'Etat aux Affaires sociales depuis février 2007. Il devrait prendre, le 1er janvier 2009, ses nouvelles fonctions à la tête de la ville où était fortement implanté le leader populiste Pim Fortuyn, assassiné en 2002.

La double nationalité de M. Aboutaleb "n'est pas un problème", a déclaré sa porte-parole Petra Klap. "Les Marocains n'ont pas le droit de rendre leur passeport : il doit garder le sien", a-t-elle précisé. Les Marocains constituent l'une des principales communautés étrangères aux pays, avec 350.000 ressortissants, selon leur ambassade. (belga/7sur7)
17/10/08 14h31

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/455371/2008/10/17/Premier-maire-issu-de-l-immigration-aux-Pays-Bas.dhtml

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Le compte bancaire de Nicolas Sarkozy piraté

19/10/2008



Des escrocs ont réussi à se procurer les coordonnées bancaires du président de la République et ont prélevé de «petites sommes». Le chef de l'Etat a porté plainte.

Etre à l'Elysée ne protège pas des voleurs les plus audacieux. Nicolas Sarkozy a été victime d'un vol de données, révèle le Journal du Dimanche. Des escrocs sont parvenus à obtenir les coordonnées bancaires du chef de l'Etat et ont retiré de petites sommes, dans l'espoir de passer inaperçus sur le compte personnel du président. Nicolas Sarkozy a découvert la fraude et porté plainte en septembre.

Le procureur de la République de Nanterre, Philippe Courroye, a saisi la brigade criminelle et la brigade financière de cette affaire dont l'enquête se mène en toute discrétion, en raison du caractère «sensible» du dossier. Malgré ces grands moyens, les auteurs de ce vol n'ont pas été retrouvés. Preuve, estime le Journal du Dimanche, qu'ils sont loin d'être des amateurs.

Les occasions de se «faire dérober» ses coordonnées bancaires sont multiples : achat en ligne, consultation de ses comptes sur internet, commerçant indélicat, perte et vol de documents. Un trafic juteux de coordonnées bancaires s'est développé sur le net. Les escroqueries et infractions financières sont en hausse de 9% par rapport à 2007, a constaté l'Observatoire national de la délinquance.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/10/19/01016-20081019ARTFIG00032-le-compte-bancaire-de-nicolas-sarkozy-pirate-.php

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Energie
L'Opep impuissante à enrayer la chute du pétrole
24/10/2008 16:54 - L'Expansion.com


Malgré l'annonce par l'Opep d'une coupe conséquente de 5% de sa production journalière, les cours du pétrole perdaient encore 4 dollars vendredi. Explications.

Rien n’y fait. L’Opep a eu beau se réunir en urgence vendredi pour décider de réduire sa production de 1,5 million de barils par jour, soit la coupe la plus importante depuis 2003, les cours de l’or noir n’ont pas interrompu leur chute.

Le baril perdait environ 4 dollars par rapport à la veille où il s’était pourtant légèrement repris dans l’attente de la réunion. Le Brent de la mer du Nord, pour livraison en décembre, s’échangeait à 61 dollars à Londres. De son côté, le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre s'échangeait à 63,84 dollars sur le New York Mercantile Exchange. En l’espace de trois mois et demi, les prix du pétrole ont perdu plus de la moitié de leur valeur. Ils avaient atteint leur record historique en juillet à 147,50 dollars.

Pour certains observateurs, toutefois, la mesure peut encore marcher… à terme. La baisse de la production «ne va pas être mise en place avant novembre, et cela va prendre encore plus longtemps à se traduire par un déclin réel, explique ainsi Bart Melek, de BMO Capital Markets. Il est habituel qu'après une telle annonce de l'Opep les prix ne fassent pas grand chose. » Car si elle n’atteint pas les exigences des faucons de l’Opep, - l'Iran demandait ainsi une baisse de 2 à 2,5 millions de barils par jour -, la décision représente quand même une coupe de plus de 5% de l’offre du cartel.

Problème, elle intervient sur fond de panique boursière, elle-même alimentée par les perspectives d’une récession qui serait plus profonde et plus durable que prévu dans les pays développés, mais aussi plus globale en touchant également les pays émergents. Pour un nombre croissant d’analystes, l’heure ne serait plus au simple ralentissement de la consommation de pétrole. Une baisse ne serait pas à exclure dès cette année. Ce qui serait une première depuis 1983.

S’ajoute à ce contexte très défavorable, le regain continu et parallèle du dollar, dans lequel s’expriment les cours du pétrole. Or le billet vert ne cesse de marquer de nouveaux plus hauts, passant notamment vendredi sous le seuil des 1,25 dollars face à l’euro.

Enfin, l’Opep reconnaît elle même qu’elle ne détient pas seule les clés du marché pétrolier qu’elle ne contrôle qu’à 40%. Dans le communiqué publié à l'issue de sa réunion extraordinaire, elle invite les pays non-membres du cartel à imiter sa décision de baisse de la production, soulignant « qu'il ne fallait pas s'attendre à ce qu'(elle) soit la seule à porter le fardeau de restaurer l'équilibre du marché (pétrolier). » Mais la probabilité pour que cet appel soit entendu semble très faible.

La Russie, premier producteur mondial au coude à coude avec l'Arabie saoudite, devrait, dans les faits, s'abstenir. Et ce malgré son rapprochement avec l'Opep réaffirmé vendredi dans un communiqué commun. Moscou « compte sur l'Opep pour faire le sale boulot, estime ainsi Andrew Neff, analyste du cabinet Global Insight. La Russie pourrait réduire sa production, mais cela ne ferait que la pénaliser encore plus. Elle doit stabiliser sa production en Russie même », a-t-il ajouté, en référence au déclin, depuis le début de l'année, de la production russe.

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Les Etats-Unis désapprouvent la décision

La Maison Blanche a dénoncé vendredi la décision de l'Opep de réduire sa production de pétrole de 1,5 million de barils par jour en estimant qu'elle était contraire à de bonnes règles de fonctionnement du marché. Elle a aussi dénoncé le prix élevé du pétrole jusqu'à encore récemment comme l'une des causes du ralentissement économique actuel. "Nous pensons depuis toujours que la valeur des biens, y compris du pétrole, doit être déterminée par des marchés ouverts, concurrentiels, et non pas par ce genre de décisions contraires au marché", a dit un porte-parole de la Maison Blanche, Tony Fratto.

Citation :

Pétrole: la Norvège dit non à l'Opep et exclut de réduire sa production

OSLO - La Norvège a exclu vendredi de réduire sa production de pétrole, rejetant ainsi une demande de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui a appelé le même jour les pays non-membres du cartel à contribuer à une stabilisation des prix.

"La Norvège ne réduira pas sa prodution pétrolière dans les conditions actuelles du marché", a déclaré à l'AFP Stein Hernes, porte-parole du ministère norvégien du Pétrole et de l'Energie.

Selon des chiffres de 2007, la Norvège est le cinquième exportateur mondial de pétrole.

A l'issue d'une réunion d'urgence à Vienne vendredi, l'Opep a décidé de réduire son offre de 1,5 million de barils par jour, pour tenter d'enrayer la chute des prix, tout en appelant les pays non-membres tels que la Norvège et la Russie à se joindre à ses efforts.

Le prix du baril a toutefois continué son repli. Vers 13H20 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre s'échangeait à 63,84 dollars, en baisse de 4 dollars par rapport à son cours de clôture de jeudi.

A Londres, le prix du baril de Brent de mer du Nord pour livraison en décembre est tombé vers 11H30 GMT à 61 dollars, un nouveau plus bas depuis mars 2007.

(©AFP / 24 octobre 2008 16h11)

Il ne faut pas trop se rejouir de cette chute des prix du pétrole. C'est vrai qu'en tant que pays consommateur, une telle baisse devrait nous faire plaisir, mais il faut se demander pourquoi. Le pétrole est devenu plus cher car plus rare, les reserves existantes tendant à s'épuiser. Alors pourquoi ce recul ? C'est la production mondiale des biens et services qui est entrain de chuter, du fait de la crise financière internationale. Et ça ce n'est pas une bonne nouvelle. Ca me sert à quoi le carburant bon marché si je n'ai plus de travail ? Si le chômage fait des ravages en Europe, les européens n'auront plus de quoi acheter nos produits et venir passer leurs vacances au Maroc et on va chômer aussi, qu'à Dieu ne plaise.
Gardons la tête froide le temps de voir ou va nous mener cette crise.

Citation :

Les combats au Congo menacent de rallumer une guerre régionale

Des bataillons des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) qui devaient mettre en échec les rebelles de Laurent Nkunda dans la province orientale du Kivu, il ne reste qu'un dispositif en plein effondrement et une armée de fuyards. Les FARDC ont abandonné, mercredi 29 octobre, la ville de Goma, capitale régionale de l'Est du Congo, pillant ce qui pouvait l'être et se saisissant de véhicules pour faire retraite en direction de Bukavu, au sud du lac Kivu. Certains de ces soldats loyalistes n'ont fait que passer à Goma, fuyant l'avancée des troupes du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) de Laurent Nkunda, le rebelle tutsi congolais.

En fin d'après-midi, la poussée du CNDP se stabilisait dans les environs de Goma, des éléments rebelles installant même des positions près de l'aéroport, laissant grandir la menace d'une confrontation avec les 800 casques bleus de la Mission de l'ONU en RDC (Monuc) déployés dans Goma avec blindés et hélicoptères.

Le chef de la mission onusienne, Alan Doss, avait averti que ses hommes feraient "tout ce qui est nécessaire pour défendre la ville". Des hélicoptères de la Monuc ont bien tiré sur le CNDP, sans parvenir pour autant à dégager les abords de la ville. En fin d'après-midi, avant qu'une confrontation ait lieu entre casques bleus et rebelles, le CNDP déclarait un cessez-le-feu unilatéral pour "ne pas paniquer la population", selon un communiqué. Sur Radio France internationale (RFI), le chef rebelle a ajouté : "La Monuc ne pouvait pas tirer sur la ville, comme nous ne pouvions pas tirer sur la ville". "On a toujours dit qu'on n'était pas contre les Nations unies. Tout ce qu'on leur demande, c'est d'être neutres, de ne pas être à côté des FARDC", a-t-il ajouté.

APPEL À L'AIDE

Mercredi, des échanges de tirs à l'arme lourde ont eu lieu entre les armées congolaise et rwandaise depuis leurs territoires respectifs, au nord de Goma. Des responsables des FARDC ont déclaré à l'agence Associated Press que des troupes rwandaises avaient traversé la frontière. D'autres sources indiquent de simples échanges de tirs, probablement de mortiers.

Ceci ne devrait constituer qu'un incident si l'escalade de la tension entre Kigali et Kinshasa s'interrompt. Or, l'ambiance est plutôt à la fuite en avant. Le gouvernement congolais a appelé à l'aide l'Angola, qui a déjà contribué à sauver Kinshasa lors de la guerre précédente, en suppliant Luanda de venir "restaurer (sa) souveraineté" dans l'Est du Congo. Parallèlement, des démarches discrètes sont à l'oeuvre depuis Kinshasa pour tenter de mettre sur pied une force composée de troupes de plusieurs pays d'Afrique australe considérés comme des alliés.

En 1998, le Zimbabwe, l'Angola et la Namibie avaient envoyé des contingents défendre le pouvoir de Laurent-Désiré Kabila, père de l'actuel président, et affronter, dans une guerre régionale, les troupes de la coalition ennemie regroupant le Rwanda, l'Ouganda et le Burundi. "Si des troupes alliées sont déployées au Nord-Kivu, ce sera un casus belli pour Kigali", affirme un observateur de la région.


http://www.lemonde.fr/afrique/article/2008/10/30/les-combats-au-congo-menacent-de-rallumer-une-guerre-regionale_1112855_3212.html

Si les choses dégénèrent les éléments des FAR ( membre de MONUC) risque de se retrouvé ds une position délicate, pris entre 2 feu.

800 hommes pour couvrir une région aussi grande que la france vraiment pathétique....

voici une carte de la situation

Les Russes qui souhaitent la bienvenue à Obama

Citation :

Bienvenue (Dobro Pojalovat, en russe) dans le monde réel, monsieur le président Obama ! Dans un message adressé au Parlement de son pays, son homologue russe, Dimitri Medvedev a décliné aujourd'hui les "mesures de retorsion" que Moscou compte mettre en oeuvre si les Etats-Unis poursuivent l'élargissement de l'Otan et déployent leur bouclier antimissile en Europe de l'Est.

"Le conflit dans le Caucase a servi de prétexte pour introduire en mer Noire des navires de guerre de l'OTAN et imposer à l'Europe des systèmes de défense antimissile. Cela ne manquera pas d'entraîner des mesures de rétorsion russes", a affirmé le chef d'Etat russe.

Il a annoncé sa décision de maintenir en état d'alerte et de suspendre le démantèlement de la division de missiles stratégiques stationnée à Kozelsk, au sud-ouest de Moscou, dotée de missiles RS-18 (SS-19, selon l'Otan) d'une portée de 10.000 km. Il s'est dit prêt "en cas de nécessité (...) pour neutraliser le bouclier antimissile", de déployer dans l'enclave russe de Kaliningrad des missiles de théâtre Iskander (SS-26) d'une portée de 300 kilomètres (photo). La Russie devrait également déployer à Kaliningrad des moyens de lutte électronique pour contrecarrer le bouclier antimissile.

http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/

Citation :

Israel's Peres to attend meeting with Saudi king

By SHAWNA OHM – 3 hours ago

JERUSALEM (AP) — Israeli President Shimon Peres plans to join the Saudi monarch at a U.N. interfaith conference this month, Peres' office said Wednesday, raising the possibility of an unprecedented public meeting between the heads of state of the longtime adversaries.

Peres, a Nobel Peace Prize laureate, has spoken favorably of a Saudi-sponsored plan that calls for a comprehensive peace between Israel and the Arab world.

A spokeswoman confirmed the Israeli president would attend next week's gathering in New York, though it was unclear whether Peres and Saudi King Abdullah would meet separately or discuss the peace plan. President Bush, Arab leaders and the Italian prime minister are expected to attend.

"President Peres and King Abdullah will take part in a special assembly that will be entirely dedicated to the bringing together of religions and will make remarks from the same stage together with presidents, prime ministers and kings," Peres' office said.

It said Peres hopes to bring along Jewish, Muslim and Christian leaders from Israel as well.

Public meetings between Israeli and Saudi officials are extremely rare, and never have such senior figures come into public contact.

Saudi Arabia has confirmed that Abdullah is attending the gathering, though Saudi officials were not available Wednesday to comment on a possible meeting with Peres. They have previously noted that Saudi Arabia sits on international bodies, such as the United Nations, with Israel.

The leaders of Jordan, Kuwait, Philippines, Pakistan, Qatar, Morocco, the United Arab Emirates and the Palestinian Authority have also confirmed they will attend, Enrique Yeves, a spokesman for the U.N. General Assembly president, told reporters Wednesday.

Under the 2002 Saudi peace plan, the Arab world would recognize the Jewish state in exchange for a full Israeli withdrawal from all lands captured in the 1967 Mideast war.

Israeli officials have said the plan is a good basis for negotiations, though they want to retain some of the captured territories.

With current peace talks with the Palestinians and Syria making little headway, Peres has said the Saudi initiative could be an alternative route to peace. Other politicians, including Defense Minister Ehud Barak, have also expressed interest in the Saudi plan. Israel has peace agreements with just two Arab countries, Egypt and Jordan.

Peres' presidential role is largely ceremonial. But as a Nobel laureate, he is widely respected in the international community, and a warm reception at the U.N. gathering could help build public support for the Saudi plan.

The conference is the second in a series of dialogues spearheaded by Abdullah.

The king, whose country bans non-Muslims from openly practicing their religion, has expressed interest in increasing inter-religious goodwill, encouraging meetings between sects of Islam and asking Muslims to reach out to their non-Muslim neighbors.

The U.N. gathering is scheduled for Nov. 11-13 in New York. The first conference was held in Spain in July.

http://ap.google.com/article/ALeqM5irTQHD0P4tNOCrFTA03arKe0BUWQD94905MG1

Good news for world economy





Wall Street pares gains after China stimulus


By MADLEN READ
NEW YORK (AP) - Wall Street strived to hold onto gains Monday, encouraged by a $586 billion stimulus package in China but still nervous about U.S. companies struggling with plunging sales.
China's plans to boost its economy through a mix of spending, subsidies, looser credit policies and tax cuts sparked rallies in Asian and European markets. The package could benefit multinational companies with business in China such as General Electric Co. and Caterpillar Inc.
"We're getting a global response to a global crisis, and that's very positive," said Hugh Johnson, chairman and chief investment officer of Johnson Illington Advisors. He said China has traditionally been hesitant to provide stimulus out of fear of inflation.
However, while many investors are eager to grab stocks that have gotten very cheap in the past couple months, there is still a great deal of caution in the market. Several industries, notably automakers, are seeing sales drop precipitously. And in a stark reminder that even large, established companies are suffering, electronics retailer Circuit City Stores Inc. filed for bankruptcy protection Monday.
"That's likely to hold any recovery somewhat in check," Johnson said. "We're arguably undervalued, so we can work our way higher. But it's not going to be with a lot of gusto."
The U.S. government's announcement Monday that it would provide additional financial assistance to troubled insurance giant American International Group Inc. gave the insurer's shares a boost, but raised worries that problems in the financial sector might be worse than Wall Street anticipated. Shares of most large and small banks fell by late morning trading.
AIG, which reported a $24.47 billion loss for the third quarter, saw its shares rise 42 cents, or 19 percent, to $2.53. The government said it will pour $40 billion into the company in return for partial ownership. AIG, which got a bailout in September, has so far received a total of $150 billion in government aid.
In late morning trading, the Dow Jones industrial average rose 48.91, or 0.55 percent, to 8,992.72, after rising more than 200 points in earlier trading.
Broader indexes also advanced but pared their gains. The Standard & Poor's 500 index rose 3.06, or 0.33 percent, to 934.05; and the Nasdaq composite index rose 1.71, or 0.10 percent, to 1,649.11.
Last week, the major indexes each lost about 4 percent. Trading this week is expected to remain volatile, but analysts have predicted the market will remain turbulent as it tries to recover from October's devastating losses.
With stocks higher, investors moved out of the relative safety of government bonds. The three-month Treasury bill's yield rose to 0.32 percent from 0.28 percent late Friday. A higher yield indicates less demand. The yield on the benchmark 10-year Treasury note rose to 3.81 percent from 3.79 percent late Friday.
Oil prices jumped above $63 a barrel Monday in Asia as regional stock markets rallied on China's economic stimulus plan, which could underpin demand for crude. A barrel of light sweet crude rose $3.10 to $64.14 on the New York Mercantile Exchange.
Investors are also watching for developments with General Motors Corp., Chrysler and Ford Motor Co. after the automakers met with congressional leaders last week in hopes of securing financial help.
GM - one of the 30 companies that make up the Dow - fell $1.06, or 24 percent, to $3.30. Ford shed 3 cents to $1.99.
Democratic leaders in Congress on Saturday asked the Bush administration to provide more aid to the struggling auto industry, which is losing money and shedding jobs as sales have dropped to their lowest level in a quarter century. House Speaker Nancy Pelosi and Senate Majority Leader Harry Reid said in a letter to Treasury Secretary Henry Paulson that the administration should consider expanding the $700 billion bailout program to include car companies.
Circuit City filed for bankruptcy protection about a week after it said it would close 20 percent of its stores. The electronics retailer, based in Richmond, Va., has been struggling as nervous consumers spend less and credit has become tighter. Shares plunged 14 cents, or 56 percent, to 11 cents.
Meanwhile, Citigroup Inc. is in talks to acquire a regional bank to boost the bank's presence in areas it already operates, including the Northeast, California and Texas, according to a report in The Wall Street Journal. The report, which did not name a potential target, said Chief Executive Vikram Pandit is attempting to broaden the bank's deposit base.
Shares of the bank fell 15 cents to $11.66.
The Russell 2000 index of smaller companies rose 0.23, or 0.05 percent, to 506.02.
Advancing issues outnumbered decliners by about 3 to 2 on the New York Stock Exchange, where volume came to 291.3 million shares.
Overseas, Japan's Nikkei stock average closed up 5.81 percent, and Hong Kong's Hang Seng index added 3.52 percent. In Europe, the Britain's FTSE 100 rose 1.45 percent, Germany's DAX added 2.17 percent, and France's CAC-40 rose 1.72 percent.
On the Net:
New York Stock Exchange: http://www.nyse.com
Nasdaq Stock Market: http://www.nasdaq.

juba2 a écrit:

Good news for world economy
Wall Street strived to hold onto gains Monday, encouraged by a $586 billion stimulus package in China but still nervous about U.S. companies struggling with plunging sales.
China's plans to boost its economy through a mix of spending, subsidies, looser credit policies and tax cuts sparked rallies in Asian and European markets. The package could benefit multinational companies with business in China such as General Electric Co. and Caterpillar Inc.
"We're getting a global response to a global crisis, and that's very positive," said Hugh Johnson, chairman and chief investment officer of Johnson Illington Advisors. He said China has traditionally been hesitant to provide stimulus out of fear of inflation.

Good news ???
Il faudrait plutôt se demander comment une économie déjà régulée par l'Etat, comme c'est le cas en Chine (pays capitaliste gouverné par un parti communiste, donc tres interventionniste) ait besoin d'injecter 586 millions de dollars dans son économie, avec tous les risques d'inflation ?
Les gourous de Wall street ne sont plus une réference Ils feraient mieux de se la boucler et d'attendre ce qui sortira du sommet du 15 novembre sur la crise.

Je les vois mal dire " c'est la catastrophe, le système est cassé, on va tous souffrir, sauf les plus riches, vous les pauvres, nodo 3la slamtkoum."
Moi, je vais commencer a me faire un stock de lentilles,de foul et de pâtes en prévision des jours qui arrivent et je planquerai mon argent sous mon matelas, comme ma grand mère.

pour le tourisme au maroc, c'est caaalme ces temps ci malgré les vacs de toussaint et l'armistice, y a pas foule qu vient au maroc,les europeens ont peur...alors qu'a la meme periode, ca se bousculait dans les aeroports

Citation :

Les fabricants d'armes russes victimes de la crise financière…
L'industrie russe de la Défense souffre d'une pénurie de liquidités en raison de la crise financière qui sévit dans le monde. C'est ce qu'a déclaré mardi le vice-Premier ministre russe, Sergueï Ivanov, au cours de la réunion d'une commission gouvernementale. Il a expliqué que de nombreux fabricants d'armes connaissaient des problèmes de " Cash Flow " pressants et que la situation pourrait devenir difficile pour l'industrie entière. M. Ivanov a demandé aux trois banques russes contrôlées par l'État, d'envisager la fourniture de prêts pour les coûts de personnel et d'exploitation, à des fabricants d'armes sous contrat avec le ministère de la Défense. Il a également proposé qu'une partie du budget de la Défense pour 2009, soit déboursée d'avance pour renforcer la base financière de cette industrie. Des observateurs font remarquer que l'impact de la crise financière pourrait fortement ralentir la réalisation des projets de modernisation des équipements militaires vieillissants de la nation.
(Radio Japon international, le 12-11-2008)

Pour les livraisons d'armes russes, il faudra attendre

Citation :

Renforcement des effectifs de l'armée chinoise à la frontière nord-coréenne…
L'armée chinoise aurait renforcé ses effectifs militaires sur sa frontière avec la Corée du Nord, après que les rumeurs sur les problèmes de santé du leader nord-coréen, Kim Jong-il, ait commencé à circuler. C'est ce qu'a annoncé le journal britannique Financial Times. Selon des responsables gouvernementaux américains cités par le journal, la Chine avait refusé de discuter avec Washington d'un dispositif d'urgence. Mais elle commençait, en septembre, à déployer davantage de soldats sur sa frontière avec le Nord, de peur que la situation instable ou un changement de régime en Corée du Nord, n'entraînent l'arrivée massive de réfugiés nord-coréens. La Chine est aussi en train d'installer davantage d'équipements destinés aux troupes sur cette frontière.
(KBS World radio, le 13-11-2008)

BenLaden fils cherche endroit chaud pour planter son "gitoun"

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Omar Ben Laden envisagerait de demander l'asile politique en Nouvelle Zélande…
Le fils de l'homme le plus recherché de la planète envisagerait de réclamer l'asile politique aux autorités de Wellington. Selon Zaina Al-Sabah, l'épouse d'Omar Ben Laden, 28 ans et rejeton d'Oussama Ben Laden, l'homme derrière les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, a indiqué que le couple n'est plus en sécurité au Moyen-Orient étant donné les idées pacifistes de son époux. Mme Ben Laden a confié au New Zealand Herald que la Nouvelle-Zélande à la réputation d'être un pays juste et équitable connu pour son attachement aux valeurs démocratiques. Omar Ben Laden n'a posé qu'une seule question au New Zealand Herald : " Est-ce qu'il fait froid en Nouvelle-Zélande ? " Il faisait alors 18 degrés à Auckland. " Oh, c'est très froid ", a-t-il répondu. Les autorités en place en Nouvelle-Zélande ont indiqué qu'une éventuelle candidature d'Omar Ben Laden serait étudiée comme toutes les autres demandes d'asile et devra satisfaire toute une série de critères rigoureux.
(Radio Australie, le 12-11-2008)

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Finlande : Mise à flot du plus gros paquebot du monde


L'Oasis of the Seas

24/11/2008

Cinq ans et demi après le Queen Mary 2, alors célébré pour son gigantisme, le paquebot Oasis of the Seas a été mis à flot vendredi aux chantiers STX (ex-Aker Yards) de Turku, en Finlande. Avec ses 225.000 tonneaux de jauge, le géant dépasse largement le QM2 (145.000 tonneaux). Long de 360 mètres, soit 15 mètres de plus que le liner de la Cunard, le futur navire amiral de Royal Caribbean Cruise Line disposera de 2700 cabines soit, à titre de comparaison, plus du double du nombre de cabines embarquées sur le MSC Poesia, dernier paquebot livré par les chantiers de Saint-Nazaire.
D'un coût de 1 milliard d'euros, l'Oasis of the Seas sera livré fin 2009. Il sera suivi, un an plus tard, d'un sistership, l'Allure of the Seas.
Ces navires ce distingueront par une cour centrale à ciel ouvert, avec notamment un vaste parc et, tout à l'arrière, un amphithéâtre extérieur.

www.meretmarine.com

Un A 320 s'abîme en Méditerranée
AFP
27/11/2008 | Mise à jour : 17:56 | Ajouter à ma sélection
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Un Airbus A 320 s'est abîmé dans la mer Méditerranée aujourd'hui vers 17H00 (16H00 GMT) au large de Saint-Cyprien (sud de la France) avec cinq personnes à bord au cours d'un vol d'entraînement, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime.

La carcasse de l'avion qui s'était envolé de Perpignan, a été repérée en mer, a-t-on précisé de même source. Le sort des cinq personnes à bord restait indéterminé à 18H00.

Deux vedettes ainsi qu'un avion de la Marine nationale, l'Atlantique II, et un hélicoptère de la Sécurité civile ont été envoyés sur la zone, a t-on appris auprès de la direction de la Sécurité civile.

Aucune confirmation de l'accident n'était disponible auprès du constructeur Airbus en fin d'après-midi.

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Un journaliste irakien jette ses chaussures sur Bush

Vor 1 Stunde



BAGDAD (AFP) — Un journaliste irakien a jeté, sans l'atteindre, deux chaussures sur le président américain George W. Bush et l'a insulté au moment où ce dernier serrait la main du Premier ministre irakien dans son bureau à Bagdad.

Alors que les deux hommes se rencontraient dans le bureau privée du Premier ministre Nouri al-Maliki, un journaliste irakien, assis au 3e rang, a bondi en criant "c'est le baiser de l'adieu, espèce de chien" et lancé ses chaussures, l'une après l'autre, sur le président américain.

Nouri al-Maliki a esquissé un geste de protection du président américain qui n'a pas été touché.

Le journaliste irakien, Mountazer al-Zaïdi, de la chaîne sunnite et antiaméricaine al-Bagdadia qui diffuse à partir du Caire, a été évacué de force par les services de sécurité irakiens et américains, en criant à l'adresse de George W. Bush "vous êtes responsable de la mort de milliers d'Irakiens".

Le président américain a d'abord souri, puis a repris un visage sérieux en voyant le nombre d'agents mobilisés.

Des journalistes irakiens se sont levés pour s'excuser platement auprès du président américain.

"Ne vous inquiétez pas. Merci de vous excuser au nom du peuple irakien. Cela ne m'a pas dérangé. Et si vous voulez tout savoir, c'était une chaussure de taille 10 (44 en taille française, ndlr)", a plaisanté le président américain.

Interrogé ensuite par un journaliste américain, George W. Bush a assuré qu'il n'avait "pas ressenti la moindre menace".

"Et alors, cet homme a jeté une chaussure sur moi ? C'est une manière d'attirer l'attention", a ajouté M. Bush.

Des traces de sang étaient visibles ensuite à l'endroit où l'homme a été emporté par les agents de sécurité.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5juMBNpLVK8ZsYX94KKF_ePiZ6RBw


vous pouvez voire la Vdieo ici

http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/7782422.stm

Dommage il l'a loupé....

La sécurité de W Bush a mit un certain temps avant de réagir !!
Le Pauvre il ira moisir a Guantanamo

Bush a bien compris le geste, ça se voit dans ses yeux. Tu peux être à la tête de la superpuissance, mais la dignité, c'est autre chose...
J'aurais bien aimé qu'il le choppe en plein dans sa face de crétin congénital.
Vu la lenteur de la sécurité, il aurait pu lui coller une claque ou deux.
Il a intérêt à rester dans son ranch au Texas, parce que des gestes comme ça, ça ne fait que commencer.

Citation :

Un journaliste jette ses chaussures à la tête de Bush

Obama doit bien rigolé devant sa télé
pauvre bushaussure

il l' a rate , oui c bien domage, mais il faut dire qu' il a de bons reflexes le petit S...