Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

Le clochard, une barrière de police dans le dos, parle à CNN ...

des parfaits hypocrites
Aucun mot sur les milliards de dollars dépensés pour le polizbel par leur pays et bien entendu pour rien et zero résultat...
Ils sont incapables de dire simplement cette vérité, car ils sont bounifisés dés la naissance et sont incapables de voir la vérité de leur pays en face ...

comme quoi, hirak ou pas, ce pays restera comme il est et pour des décennies ..

BOUBOU a écrit:

De toute façons l'Algéristan se sent visé par le Maroc dés qu'ils sont dans une situation inconfortable ou que le Maroc progresse.
Rappel: Quand SM Le Roi a donné ses instructions pour une baisse et organisation des tarifs de la RAM.
Quand on a ouvert la station solaire de Ouarzazate.
Quand Renault-Nissan et PSA se sont installé chez nous.
Quand on a créé Tanger Med et bientôt WestMed.
Quand on a construit la Mosquée Hassan II.
Quand on s'arme pour se défendre.
Quand on commerce avec l'Afrique.
Quand on réunis les parties en conflit en Libye.
Quand on respire.

et j'en passe...

Et même quand SM le Roi en personne leur tend la main et appel faire table rase des différents pour bâtir deux pays forts, ils se sentent visés

C'est pas nouveau.
Rappel de la réaction hystérique des journaux et des politiques Algériens suite a l'ouverture de Renault Tanger. Qui faisait des menaces et des pressions sur le gouvernement FR, en exigeant l'ouverture d'une usine chez eux... Comportement de frustré et de gamin.

Citation :

« Le Mossad à nos frontières ». Le titre du quotidien algérien L’Expression résume l’humeur dominante à Alger au lendemain de la signature, mercredi 24 novembre à Rabat, d’un accord sécuritaire – officiellement nommé « mémorandum d’entente en matière de défense » – entre le Maroc et Israël aux lourdes conséquences géopolitiques régionales. Pour les Algériens, aucun doute n’est permis : la visite inédite, dans la capitale du royaume chérifien, du ministre israélien de la défense, Benny Gantz, qui a paraphé le document avec son homologue marocain, Abdellatif Loudyi, porte en germe la déstabilisation de l’Algérie. « Israël sera chez elle au Maroc et aura l’Algérie à portée de missile, de drone et même d’incursion dans ses territoires », ajoute le quotidien, proche des cercles de pouvoir à Alger.

Le commentaire fait écho à la réaction de l’ancien premier ministre algérien Abdelaziz Djerad – « L’Algérie est visée » – au lendemain de l’annonce du « deal de Trump », le 10 décembre 2020. Aux termes de cet accord, Washington reconnaissait la « marocanité » du Sahara occidental en échange de la normalisation diplomatique entre le Maroc et Israël dans le cadre des « accords d’Abraham ». En moins d’un an, le scénario d’un resserrement des liens sécuritaires entre les deux pays – le mémorandum du 24 novembre entend promouvoir « les échanges d’expériences et d’expertise, le transfert technologique, les formations ainsi que la coopération dans le domaine de l’industrie de défense » – n’a cessé de s’approfondir, faisant fi de l’alarme algérienne comme des oppositions au sein de l’opinion marocaine.

Lire aussi Le Maroc et Israël signent un accord sécuritaire historique
Le régime de Rabat les a ignorés au nom d’un impératif national jugé impérieux : la pérennisation de son emprise sur le Sahara occidental, que lui disputent les indépendantistes sahraouis du Front Polisario depuis le départ de l’ancien colonisateur espagnol, en 1976. Le royaume marocain a toujours considéré le soutien politique et militaire d’Alger au Polisario comme une agression contre son intégrité territoriale. Il riposte avec cette alliance militaire spectaculaire avec Israël, tout en proclamant sa solidarité avec le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK) – une sorte de réponse du berger à la bergère.

Course aux armements

Une telle évolution bouleverse les équilibres stratégiques au Maghreb occidental. Alors qu’Alger a rompu cet été sa relation diplomatique avec Rabat en réaction à ses manœuvres jugées « hostiles », l’heure est à la guerre des mots et à une course aux armements en train de transformer cette région en poudrière.

L’Algérie affichait en 2020 le premier budget militaire du continent africain (9,7 milliards de dollars, soit 7,9 milliards d’euros). Le Maroc dépensait, lui, deux fois moins, mais se lance désormais dans un programme ambitieux d’acquisitions qui pourrait porter son budget militaire à 12,8 milliards de dollars en 2022, selon la presse marocaine. Israël devrait y contribuer – Benny Gantz a évoqué à Rabat la perspective d’« exportations israéliennes » –, en particulier sur des créneaux que prise le royaume chérifien : les drones et les technologies d’espionnage. L’affaire du logiciel espion Pegasus a montré qu’une coopération secrète entre les deux pays existait déjà de longue date. Elle est désormais officielle et vouée à s’amplifier.

Lire aussi En Algérie, le gouvernement tente de réguler la « crise de la patate »
Face à la posture conquérante du Maroc, l’Algérie semble sur la défensive, handicap hérité de son effacement diplomatique pendant les dernières années de règne d’Abdelaziz Bouteflika. « Il y a un profond désarroi des dirigeants algériens face aux dernières évolutions régionales », relève le chercheur Flavien Bourrat, spécialiste du Maghreb.

Toutefois, l’arrivée cet été à la tête du ministère des affaires étrangères de Ramtane Lamamra, déjà patron de la diplomatie algérienne entre 2013 et 2017 et ancien ambassadeur à Washington (1996-1999), semble marquer une remobilisation de l’Algérie dans l’arène régionale. La révision constitutionnelle de novembre 2020, qui autorise la projection de l’armée algérienne hors de ses frontières, avait déjà envoyé un premier signal, certes à ce stade purement formel. L’heure est désormais à un redéploiement sur trois fronts bien distincts.

Une relation conflictuelle avec Paris

En premier lieu, l’Algérie réinvestit lourdement le dossier sahraoui, qu’elle avait quelque peu négligé ces dernières années. De l’avis des observateurs de la scène algérienne, le soutien militaire d’Alger au Front Polisario devrait s’accroître, en sus de l’appui diplomatique à la cause sahraouie fourni dans les instances internationales (Union africaine, Nations unies…). En outre, les Algériens devraient faire davantage sentir leur présence via des convois de camions civils – transportant des biens exportés vers la Mauritanie et le Sénégal – sur le circuit traversant les « territoires libérés » du Sahara occidental, à l’est du « mur de séparation » construit par les Marocains.

« Il s’agit de signifier au Maroc qu’il ne fera pas la loi dans cette zone », commente Akram Kharief, expert algérien en sécurité et fondateur du site Menadefense. Le 16 novembre, un convoi de 28 semi-remorques chargés de produits (ciment, biens agroalimentaires…) s’est ainsi élancé au nom de « l’accès aux marchés africains » sur ce parcours sinuant à une distance d’environ 50 km du mur marocain. Le geste était éminemment politique, plus de deux semaines après un bombardement marocain ayant coûté la vie à trois camionneurs algériens. A l’évidence, un tel incident peut désormais se renouveler à tout instant.

Lire aussi France-Algérie : les dessous de la crise diplomatique
Le deuxième front stratégique où l’Algérie entend se redéployer est le Sahel, où une lutte d’influence l’oppose déjà au Maroc. La rivalité est appelée à s’exacerber. Le Mali en sera le théâtre le plus sensible, dans le contexte de la révision à la baisse de l’opération militaire française « Barkhane ». L’Algérie et le Mali partagent en ce moment une relation conflictuelle avec Paris, ce qui les rapproche. Alors que les troupes maliennes viennent de se réinstaller sur la base de Tessalit – un mois après celle de Kidal – dans la foulée du départ des soldats français du nord du pays, les Algériens ont repris les approvisionnements en eau et en essence qu’ils avaient interrompus lors de l’éclatement de la crise franco-algérienne.

L’attitude d’Alger à l’égard de la compagnie de sécurité russe Wagner, dont l’éventuelle arrivée à Bamako fait l’objet de spéculations, demeure une inconnue. La proximité des relations militaires entre l’Algérie et la Russie pourrait donner à penser que les Algériens n’y verraient pas d’inconvénient. Leur allergie – déjà manifestée en Libye – à l’endroit de forces étrangères gravitant dans leur environnement immédiat pourrait toutefois les conduire à plus de réserve. Quoi qu’il en soit, la priorité pour Alger sera de contrer l’influence du Maroc dans cette région.

Il n’est toutefois pas sûr que le gouvernement malien soit d’une fiabilité à toute épreuve, ainsi que l’a montré, mi-octobre, la visite à Rabat du ministre malien des affaires étrangères, qui a déclaré ne rien vouloir entreprendre « contre les intérêts du Maroc ».

Un front anti-occidental ?

Le Niger fait également l’objet de toutes les attentions d’Alger. Outre les défis sécuritaires partagés, la construction annoncée du gazoduc Trans Saharan Gaz Pipeline (TGSP), voué à relier le Nigeria à l’Algérie via le Niger, a réactualisé l’enjeu de la relation bilatérale. Le transit de ce gaz destiné à l’Europe est stratégique pour Alger.

Tel est le troisième front que guigne l’Algerie : un « grand jeu » où elle pourrait redonner de sa voix perdue. Sa relation historique avec la Russie – source de 69 % des ses achats d’armes – est en train d’être revigorée, comme l’ont illustré ces dernières semaines des exercices conjoints au large d’Oran ou en Ossétie du Nord.

Lire aussi Sahara occidental : le risque d’une escalade entre le Maroc et l’Algérie
Un rapprochement avec la Chine, déjà économiquement très présente en Algérie, est également envisageable. Un front anti-occidental en germe ? Les appels du pied adressés à deux pays européens, l’Espagne (elle aussi en délicatesse avec Rabat) et l’Italie (le président Sergio Mattarella a reçu un accueil en grande pompe début novembre à Alger), nuancent l’idée d’une radicalisation diplomatique de l’Algérie. Le risque n’en est pas moins réel : tout dépendra de l’attitude des Occidentaux dans le dossier du Sahara occidental, relevant toujours de résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.

La fameuse ''impartialité'' du monde, on regarde que le point de vue de l'un..D'ailleurs si quelqu'un peut m'expliquer en quoi le retour de leur Kissinger rends leur diplomatie plus ''efficace'', parce que à ma connaissance c'est un échec la dernière résolution onusienne est un échec (vu qu'ils ont pleuré et que le Sahara Marocain est l'unique objet de leur mobilisation diplomatique) ils ont même pleuré après sa..

Merci Bruce pour le partage. Magnifique article du Monde du grand art. Vous remarquez pas depuis 1 ans la presse française au chevet de l'Algérie ?

"Quels sont vos symptômes ? Vous avez mal ou ? Qu'est ce qui vous soulagerez ?"

Plus je lis ce genre d'article plus je me dis on a raison de foncer devant tant de mal intention et d'hypocrisie.

Citation :

En outre, les Algériens devraient faire davantage sentir leur présence via des convois de camions civils – transportant des biens exportés vers la Mauritanie et le Sénégal – sur le circuit traversant les « territoires libérés » du Sahara occidental, à l’est du « mur de séparation » construit par les Marocains.

« Il s’agit de signifier au Maroc qu’il ne fera pas la loi dans cette zone », commente Akram Kharief, expert algérien en sécurité et fondateur du site Menadefense. Le 16 novembre, un convoi de 28 semi-remorques chargés de produits (ciment, biens agroalimentaires…) s’est ainsi élancé au nom de « l’accès aux marchés africains » sur ce parcours sinuant à une distance d’environ 50 km du mur marocain. Le geste était éminemment politique, plus de deux semaines après un bombardement marocain ayant coûté la vie à trois camionneurs algériens. A l’évidence, un tel incident peut désormais se renouveler à tout instant.

Donc l'Algérie veut se donner le droit de traverser des territoires qui ne lui appartiennent pas au mépris de l'avis des population locale

Cependant entre le fantasme de Khria et la réalité, il y a un fossé énorme

Vous savez en quoi les israéliens sont redoutés, ce sont les opérations de psycho guerre en plein territoire ennemi.
Je recommande aux camionneurs algériens de songer à leurs femmes et enfants et qui va subvenir à leurs besoins et à qui va satisfaire leurs épouses avant de tourner la clé du contact et prendre cette route de blad nass

un article qui sent bon les années 70

Marhba Ssi Fahed...l'article du monde est incroyable de partialité d'abord il donne la parole à notre ''pundit'' préféré ''Captain gros mytho'' qui bien sur vomit la propagande de son pays, le torchonnier qui a écrit cet article n'a même pas eu la partialité d'écrire que c'est selon le régime algérien, il fait une affirmation alors que même la minurso ne l'a pas faite..Bref encore une fois c'est une preuve supplémentaire que politiquement y'a rien a tiré de la France (et ce quelque soit le locataire de l'Élysée , je pense qu'il faut rester juste en ne mettant pas tout sur le dos de Macron), oui elle dira les même conneries habituelle ''base sérieuse blablabla..'' mais dans son intérêt (et au final c'est ce qui prime) c'est plus intéressant d'entretenir ce conflit fictif, à nous aussi d'agir en conséquence et de montrer qu'on est pas un ''terrain'' conquis...Bref comme l'a dit Ssi Marques si l'article était daté de Novembre 70 que ca m'aurait pas surpris

Cet article signifie peut être que le ministre français en visite de prospection économique au Maroc est rentré brodouille

Leur caravane n’est pas passée par bie lahlou si?

Zakaria a écrit:

Leur caravane n’est pas passée par bie lahlou si?

Tu as vue une vidéo qui prouve le contraire ?

Le Sahara est zone interdite pour bouzbal et civil. La NMZ est une zone de guerre et le message est passé

On connait les analyses foireuse de GrosPorcDz
Qui raconte n'importe quoi sans aucune preuve

Fox-One a écrit:

Cet article signifie peut être que le ministre français en visite de prospection économique au Maroc est rentré brodouille

On a même arrêté les vols avec la France après son passage...

Deux info:
Aujourd'hui le prix du pétrole a chuté de 10$ (-13% au moment où j'écris ce message)

Dans la loi de finance pour 2022 en Algérie la suppression des subvention à été décidé (ça a déjà été voté
et ça concerne un montant total de 19 milliard de dollars). Cela indique qu'ils vont bientôt contacter le FMI et commencent à s'y préparer...

19 milliards de subventions ? Soit ce chiffre est bidon, soit les prix vont prendre une énorme claque !

c est le vrai chiffre. ils ne vont pas les supprimer d un coup. ce qu ils ont voté c est que le gouvernement peut décider à tout moment de le faire sans revenir au parlement: donc sur simple décision réglementaire.

Ils ne peuvent pas le faire d un coup sinon c est l explosion sociale mais ils ne peuvent plus les maintenir car ils n ont plus les moyens

Algérie: la Loi de finances 2022 satisfait le FMI, mais soulève des craintes d'explosion sociale https://afrique.le360.ma/algerie/economie/2021/11/26/36168-algerie-la-loi-de-finances-2022-satisfait-le-fmi-mais-souleve-des-craintes-dexplosion-sociale#.YaFGbTEXqAg.whatsapp

j'ai vue son interview a la presse locale quelques notes :
les journalistes ont eu des ordres de ne parler ni du Maroc ni du SO ni rien
au chapitre affaires étrangères :
question sur les échanges avec la france et la un discours appaisant
une autre sur la réorme de la ligue arabe et le retour de la syrie
et le journaliste cloture l'interview avant de donner la parole de cloture a tebboune
qui dit :

je me désole des relations avec le Maroc et qu'un ministre israélien depuis 1948 qui menace l'algérie depuis le sol marocain
pas un mot sur benny gantz sa visite a retourné les calculs du régime upside down ils ne veulent pas envenimer les choses

il est bizarre soit il prépare quelque chose soit il sait plus sur quel pied dancer
son interview n'a rien apporté d'interessant il veut juste pousser son peuple a aller aux urnes
après sa dernière réponse pour clotuer l'interview il a encore parlé 10 de plus pour rien dire c'est une chakchouka

mourad27 a écrit:

il est bizarre soit il prépare quelque chose soit il sait plus sur quel pied dancer
son interview n'a rien apporté d'interessant il veut juste pousser son peuple a aller aux urnes
après sa dernière réponse pour clotuer l'interview il a encore parlé 10 de plus pour rien dire  c'est une chakchouka

Ils font dans leurs froc tout mou aux somment de l'état et comme leurs peuples aiment les gueulard ils leurs donnent de la gueule qu'il veulent entendre à l'image du peuple juste geuler pour geuler


Mais au final ça fais les victimes derrière

mourad27 a écrit:

j'ai vue son interview a la presse locale  quelques notes :
les journalistes ont eu des ordres de ne parler ni du Maroc ni du SO ni rien
au chapitre affaires étrangères :  
question sur les échanges avec la france  et la un discours appaisant
une autre sur la réorme de la ligue arabe et le retour de la syrie
et le journaliste cloture l'interview avant de donner la parole de cloture a tebboune
qui dit :

je me désole des relations avec le Maroc et qu'un ministre israélien  depuis 1948 qui menace l'algérie depuis le sol marocain
pas un mot sur benny gantz sa visite a retourné les calculs du régime upside down ils ne veulent pas envenimer les choses  

"Balad 3arabi ou ihaddad balad 3arabi" : ça va augmenter la côte de popularité chez les kabyles et autres Amazighs...

pas un mot sur les 3 algerien qui son mort au nomansland pourtant il avait promis la vengeance
pas un mot sur le SO
pas un mot sur le sahel le mali wagner
pas un mot sur la mauritanie et les rapports économique
la tunisie
la libye
il se pose en victime du Maroc et de son alliance avec Israël
meme son intervention et millimétrée il ne veut pas qu'on lui pose des questions il veut juste dire
lapid nous a menacé depuis le Maroc
il fini son intervention avec un geste de la main du genre : je ne dirais pas plus
je pense quon l a briffé grosso modo laqwa ferme ta gueule

quand on analyse un peu sa façon d'être lors des interviews on remarque qu'il parle longuement sur les sujets qui nont aucun interet et qu un président de la République ne doit pas aborder et la.il est à l'aise
mais les sujets importants régionaux haftar le Maroc le sahara israel etc il compte ses mots et coupe court ce qui veut dire que ce n'est pas lui quqi décide de la politique étrangère

Il n'a pas eu de directive de stink-rriha dans ce sens...

Il a quand meme jeter quelque crotte de nez sur le Maroc
quand il parle de pays ou le peuple creve de faim, etc...

Mais bon c'est vrai que ce Majid Crazy Show est moins hystérique que les autres, peut etre qu'il se sont rendu compte que cela en servait a rien...

D'ailleur depuis la résolution de l'ONU, notre ami, l'Envoyé spéciale algérien pour le Sahara, a l'itéralement fermée sa grande gueule aprés le fiasco a l'ONU ( tant mieux j'en dmandé pas tant)
Meme l'ex porte parole, qui n'esité pas a qualifié le gouvernement marocain de Mahzen, s'est fait virer...

Vous donnez de l'importance à un vendeur de cocaïne les amis