Actualités Aéronautique et Spatiale

Rappel du premier message :

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Viking Air : Le Twin Otter de retour


Le premier DHC-6 400 Twin Otter de série s’est envolé pour la première fois hier aux installations du constructeur à Calgary en Alberta au Canada.



Premier vol du Viking Air DHC-6 Twin Otter série 400

L’appareil, numéro de série 845 immatriculé C-FMJO, est le premier appareil de production Twin Otter depuis que De Havilland Canada en avait cessé la production en 1988 avec la livraison de l’appareil 844. Ce premier appareil sera vendu à l’entreprise suisse Zimex Aviation dès que le DHC-6 400 sera certifié par les autorités canadiennes (Transport Canada) et européennes (EASA).
Steve Stackhouse, directeur des opérations en vol de Viking Air, secondé par le président et CEO David Curtis était aux commandes de l’appareil pour ce vol initial : « L’appareil s’est comporté comme prévu, il est très stable, rapide et même si j’ai des milliers d’heures de vol sur ce type d’appareil, j’ai eu beaucoup de plaisir à le piloter. »
« C'est un jalon important, non seulement pour Viking et toute notre équipe, mais aussi pour nos nombreux clients », a commenté David Curtis. « Faire voler le premier nouveau Twin Otter en 22 ans est l'aboutissement de plusieurs mois de travail acharné et de détermination par notre personnel et nos partenaires notre chaîne d'approvisionnement ».
Le premier appareil de production a été immatriculé C-FMJO en honneur de Michael J. Orr, un ancien membre du conseil d’administration de Viking Air décédé en octobre dernier.
Viking Air a annoncé le lancement d’une version modernisé du Twin Otter en octobre 2007 avec l’introduction du DHC-6 série 400 qui a subit plus de 400 modifications par rapport à son prédécesseur. Parmi ces modifications, il y a une nouvelle suite avionique Honeywell Primus Apex et des moteurs Pratt & Whitney Canada PT6A-34

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Hawker Beechcraft : Sortie d’usine du 2000e King Air C90


La société américaine Hawker Beechcraft Corporation (HBC) a annoncé que le 2000e King Air C90 est sortie de la chaine d’assemblage de Wichita au Kansas.


Hawker Beechcraft King Air C90GTx

© Hawker Beechcraft

La série C90 inclus tous les modèles dont les numéros de série débutent par LJ, soit les 90, A90, B90 et C90. Le 2000e exemplaire, un King Air C90GTx, sera livré plus tard cette année, dès que la finition intérieure sera complétée.
« Ce moment excitant est le résultat direct de notre stratégie d’intégrer de nouvelles technologies dans nos appareils en alignement avec les besoins de nos clients, » a déclaré William (Bill) Brown, vice-président exécutif de HBC, Global Operations. « L’amélioration continue de nos produits est la raison du succès de la famille King Air. »
Le King Air 90 est entré en service en 1964 et représente une bonne partie des 6500 exemplaires produits de la famille King Air. Le dernier né de la famille C90, le C90GTx, a un poids brut plus élevé et est équipé d’ailettes (winglets) en matériaux composites permettant d'améliorer l’autonomie de l’appareil. Il peut accommoder jusqu’à sept passagers et son prix unitaire est d’environ 3,5 millions $US.

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Boeing : Saudi Arabian Airlines commandes des 777 et des 787


12 777-300ER et 8 787 viendront compléter la flotte du transporteur arabe.


Boeing 777-300ER de Saudi Arabian Airlines

© Boeing

Boeing a annoncé la semaine dernière que Saudi Arabian Airlines, la compagnie nationale d'Arabie Saoudite, avait passé une commande ferme portant sur douze Boeing 777-300ER et huit Boeing 787. Les 777 sont assortis de dix avions en option et sont estimés à plus de trois milliards de dollars selon les prix officiels.
Les Dreamliners étaient quant à eux attribués à l'origine à ALAFCO, le loueur koweitien, et ont fait l'objet d'un accord entre les deux parties. ALAFCO annule donc une partie de sa commande. Saudi récupère les avions de la compagnie de leasing.
Saudi Arabian choisit donc le 777 pour compopser entièrement sa flotte long courrier. A terme, avec ses 777-200ER, la compagnie arabe exploitera jusqu'à 35 Boeing 777.

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Airbus : Le dernier A340 effectue son premier vol


C'est le gouvernement koweïtien qui réceptionnera cet avion dans quelques semaines.


Airbus A340-500 Koweitien

Cet Airbus A340-500 sera probablement le dernier A340 à être produit. C'est aussi le second A340-500 que recevra le gouvernement koweïtien. L'avion est provisoirement immatriculé F-WWTZ et le numéro de série est 1102.
Aucun autre A340 ne sera désormais fabriqué sauf si Airbus recevait une commande conséquente pour ce type d'avion.

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Airbus lance officiellement l'A320 NEO


L'A320neo, équipé des nouveaux moteurs Leap-X et PW1000G, va être proposé en option aux compagnies aériennes pour une livraison à partir de 2016. Il consommera 15% de moins qu'un A320.


Airbus A320neo

L'avionneur européen s’est enfin décidé sur la remotorisation de son mono-couloir. L'appellation A320neo, pour New Engine Option (nouvelle option de motorisation), est sortie officiellement dans la presse et la nouvelle mouture de l'A320 est proposée aux compagnies, en plus de la version ordinaire de l'A320.
Ce sont les réacteurs de CFM et de Pratt&Whitney qui ont été choisis. Le Leap-X et le Pure Power PW1000G devraient permettre d'économiser près de 15% en consommation de carburant. Rolls-Royce à traver le consortium IAE est donc exclu de cette évolution. Comme les avions livrés à partir de 2012 (en option), l'A320neo sera équipé des winglets d'Airbus, baptisés Sharklets. Le premier exemplaire de cette nouvelle version du moyen-courrier européen devrait être livré au premier semestre 2016. Le PW1000G doit entrer en service dans sa version PW1524G en 2013 sous les ailes du CSeries de Bombardier alors que le Leap-X ne le fera qu'en 2016 avec l'avion chinois COMAC C-919.
Outre une consommation moindre et des émissions de NOx réduites de plus de 10%, l'avion pourra voler 950km de plus qu'un A320 classique ou bénéficier d'une charge marchande accrue de deux tonnes. Airbus prévoit de vendre quatre mille A320neo dans les quinze prochaines années. “Nous sommes convaincus que l’A320neo connaîtra un immense succès sur tous les marchés et auprès de tous les types d’utilisateurs, offrant d’immenses avantages avec des changements mineurs. Notre but est de tirer le meilleur parti d’un appareil connu pour sa régularité technique en exploitation et sa maturité, et de le rendre encore plus efficient et respectueux de l’environnement”, a déclaré Tom Enders, PDG d’Airbus.
Cela fait quelques mois qu'on entend parler de l'A320neo. John Leahy avait même lancé le nom alors que l'on parlait d'A320 remotorisé. Il a fallu trouver les ressources d'ingénierie pour que le projet puisse être mené à bien. Airbus développe toujours son A350 et doit absolument éviter des retards pour ne pas tomber dans la spirale que le constructeur a connu sur les programmes A380 ou A400M. Airbus doit retrouver une crédibilité à ce niveau et ne pas commettre les mêmes erreurs que Boeing avec son 787. Enfin, EADS a dû donner son aval pour lancer le projet. Tom Enders confirme : "Trouver les ressources nécessaires pour l’A320neo n’a pas vraiment été chose facile. Le facteur déterminant a été l’élaboration d’un phasage rigoureux de nos ressources cruciales en engineering pour l’ensemble de nos programmes de développement, et l’optimisation du management et de l’organisation de tous nos programmes et projets R&T.”
Outre l'A320, ce sont aussi les A319 et les A321 qui sont concernés par cette évolution. L'A318 quant à lui ne trouvera pas de nouvel envol avec cette nouvelle motorisation.

aeroweb-fr

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PICTURES: Dagestan Tu-154 crashes at Moscow
Two people have been killed after a Russian-operated Tupolev Tu-154 crashed while attempting an emergency landing at Moscow Domodedovo.

The Russian emergency situations ministry states that the aircraft, with 168 on board including eight crew, was operating from Moscow to Makhachkala, in Dagestan.

It identifies the operator of the tri-jet as Dagestan Airlines.

"As a result of the emergency landing of the Tu-154, two people were killed and another 40 injured," the ministry says. "The exact number of victims is being clarified."

Preliminary information from Domodedovo operator East Line claims that the aircraft had departed Moscow Vnukovo but was returning to the capital after losing power in all three engines.

Air Transport Intelligence news

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Discovery launch pushed back again, now looking to February

With NASA engineers still unable to determine the cause of cracks on space shuttle Discovery's external fuel tank, the launch has been pushed back to 3 February at the earliest, the US space agency says.

Engineers need more time to conduct tests to get to the root cause of the cracks on two 21ft-long (67.4m) aluminium stringers on the shuttle's external tank. Though the cracks have been repaired and thermal protective foam reapplied, NASA says more tests are required to determine if Discovery can launch safely.

NASA will attempt to replicate the cracks that occurred when loading the tanks to obtain higher-fidelity information about what goes on under the foam during cryoloading, says Bill Gerstenmaier, NASA's associate administrator for space operations. After removing the protective foam and instrumenting the stringers, the foam will be reapplied before filling the tank.

"Between those two tests, we think we'll get enough information that we can move forward," Gerstenmaier says. The testing also will confirm the integrity of repairs to the ground umbilical carrier plate, which leaked an unsafe amount of gaseous hydrogen during Discovery's 5 November launch attempt.

The date of the test is under evaluation, but NASA says it is working on a timeline and hopes to complete the work before the end of 2010. Even if testing and evaluation are complete by year-end, NASA has other space traffic it must work around to reschedule Discovery's launch.

Russian-launched resupply and crew swap missions are continuing as scheduled, keeping the impact of Discovery's delays to a minimum on the International Space Station (ISS), NASA says. But Discovery's delays mean that the earliest opportunity for the liftoff of the final scheduled shuttle mission -- STS-134 with Endeavour - is now 1 April.

Discovery has faced a string of problems trying to get off the ground for its final flight. The original September launch was initially pushed back when payloads to be delivered to the International Space Station (ISS) were not ready on time.

Then the planned 1 November take-off was repeatedly scrubbed, first to repair leaking helium and nitrogen gas lines on the Shuttle's orbital manoeuvring system pod, which took longer than expected. Electrical problems discovered during a routine engine power-up and check-out and weather added further delays.

The mission will deliver a pressurised logistics module called Leonardo to the 10-year-old ISS. Leonardo, built by the Italian space agency, will be permanently attached to the space station and used to transfer cargo to and from the station. The Shuttle will also carry Robonaut 2, a 136kg (300lb) humanoid robot developed by NASA, making its first trip into space for testing.

Flight International

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Common airspace treaty signed in the Netherlands

Civilian and military representatives today signed a treaty to establish the Functional Airspace Block Europe Central (FABEC). The signing brought joint management of the airspace of the Netherlands, Belgium, Germany, France, Luxembourg and Switzerland one step closer. It should also lead in 2012 to shorter routes, resulting in more efficient, more punctual and more environmentally friendly air traffic.

‘The elimination of those invisible borders will lead to less fuel consumption and faster routes,’ according to Netherlands State Secretary for Infrastructure and Environment, Joop Atsma. That will benefit the economy, the environment and the passenger.” Atsma, along with Commodore Chris Lorraine of the Military Aviation Authority, signed the treaty in Brussels on behalf of the Netherlands.


FABEC Council

The six countries will cooperate in the area of airspace management, harmonisation of regulations and procedures, providing aviation services, civil-military cooperation, and oversight. To manage those responsibilities, the FABEC nations are establishing a council with representatives from civil and military aviation.


Complex airspace

The airspace of the participating countries is one of the busiest and most complex in the world. Most of the major European airports and important civilian flight routes and military training areas are found in the zone. FABEC airspace covers 1.7 million km² and handles approximately 5.5 million flights annually, approximately 55% of all European air traffic.

defpro

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SpaceX’s Falcon 9 rocket and Dragon spacecraft launched from Launch Complex 40 at Cape Canaveral Air Force Station at 10:43 a.m. EST. This is first demonstration flight for NASA's Commercial Orbital Transportation Services (COTS) program, which will provide cargo flights to the International Space Station.

The Dragon capsule has separated from the second stage and is in orbit at a 34 degree inclination, 187 miles above Earth.. It’s expected to perform two orbits while controllers put the spacecraft through several maneuvers before it re-enters the atmosphere and splashes down in the Pacific Ocean about 500 miles west of the coast of Mexico.

A post-flight news conference is planned on NASA TV today from Kennedy Space Center’s Press Site about an hour after splashdown. Currently, that would be about 3:30 p.m. EST.

http://www.nasa.gov/offices/c3po/home/cots_project.html

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Boeing Phantom Ray Takes a Ride on NASAs Shuttle Carrier Aircraft


December 14, 2010 by Rob Vogelaar · Leave a Comment


ST. LOUIS, Dec. 13, 2010 — The Boeing [NYSE: BA] Phantom Ray unmanned airborne system sits atop a NASA Shuttle Carrier Aircraft (SCA), a modified Boeing 747, as it takes off at 1:40 p.m. Central time for today’s test flight at Lambert International Airport. The 50-minute flight was conducted in preparation for Phantom Ray’s upcoming transport on the SCA to the Dryden Flight Research Center at Edwards Air Force Base, Calif.
“This is exciting not just because it’s the first time that an aircraft other than the space shuttle has flown on the SCA, but also because it puts Phantom Ray that much closer to making its first flight,” said Craig Brown, Phantom Ray program manager for Boeing.
The SCA flights with Phantom Ray are being conducted under a Boeing-funded, commercial Space Act Agreement with NASA. Once Phantom Ray arrives at Dryden, it will undergo ground and high-speed taxi tests to prepare for its first flight in early 2011.
Phantom Ray is one of several programs in Boeing’s Phantom Works division that are part of the company’s rapid prototyping initiative to design, develop and build advanced aircraft and then demonstrate their capabilities.
Source and photo: Boeing

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La Wallonie, poubelle aérienne de l'Europe?

© photo news
L'annonce dans la presse de l'arrivée possible de la compagnie aérienne irlandaise low-cost Ryanair à l'aéroport de Liège fait bondir vendredi la Fédération inter-environnement de Wallonie qui se demande "jusqu'à quand la Wallonie acceptera d'être la poubelle aérienne de l'Europe? ".

La presse révélait vendredi matin que Ryanair pourrait s'installer à l'aéroport de Liège à la suite de la décision du gouvernement allemand d'appliquer une nouvelle taxe sur les billets d'avions. Si Ryanair n'a à ce stade pas confirmé encore son arrivée à Liège, cette annonce a fait réagir la Fédération inter-environnement Wallonie, qui voit en l'arrivée possible de la compagnie irlandaise à Liège "une occasion de plus pour qu'une société cynique échappe à sa responsabilité sociale et environnementale, en faisant miroiter aux responsables politiques quelques emplois ("irlandais") qui disparaîtront à la première occasion venue...".

Pour la Fédération, le coût des "nombreuses incidences générées par le transport aérien (pollution, etc.) est aujourd'hui pris en charge par la collectivité" car il n'est pas répercuté sur le prix des billets d'avion.

Elle plaide dès lors pour l'instauration d'une "fiscalité aérienne digne de ce nom" pour y pallier et demande que la Wallonie arrête d'être "la poubelle aérienne de l'Europe". (belga)
17/12/10 18h53

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Boeing reprend ses vols d'essai du 787 "Dreamliner"

© epa
Le constructeur aéronautique américain Boeing a annoncé jeudi la reprise ce même jour des vols d'essai de son long-courrier 787 "Dreamliner", qui étaient interrompus depuis un incendie en novembre dans la cabine de pilotage d'un de ses appareils.


© epa "Pour commencer, nous reprendrons une série de tests menés par Boeing qui restent à effectuer dans le programme de vols d'essai", a indiqué le groupe dans un communiqué. Il n'a pas précisé quand il comptait livrer son premier 787, destiné à la compagnie japonaise ANA. "Nous prévoyons d'achever notre évaluation du calendrier de ce programme en janvier", a indiqué Boeing.

Les vols des six appareils destinés à tester la fiabilité de ce nouveau modèle, qui a déjà trois ans de retard sur le calendrier initial, avaient été suspendus après un incident électrique le 9 novembre.

Ce jour-là, une armoire électrique avait pris feu en vol, répandant de la fumée dans la cabine de pilotage et le forçant à atterrir d'urgence. Jusqu'à cet incendie, la première livraison à ANA était prévue vers le mois de février. Elle a été repoussée à une date indéterminée. "Ces dernières semaines, la société a poursuivi ses essais au sol dans le cadre du programme de certification", a rappelé le constructeur jeudi. (afp)

23/12/10 22h20

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Une fusée indienne explose

AFP
Une fusée indienne transportant un satellite de communications a explosé après avoir décollé dans le sud du pays, selon des images de la télévision. La fusée a explosé dans un panache de flammes et de fumée après avoir décollé de la base de lancement de Sriharikota située à environ 80 kilomètres de la ville de Chennai, dans le sud du pays.

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Explosion d'un Tu-154 en Russie: les boites noires repérées



Les boites noires de l'avion de ligne Tupolev Tu-154, explosé samedi sur l'aéroport de Sourgout (Sibérie), ont été localisées, a annoncé dimanche dans un communiqué le Comité interétatique de l'aviation (MAK).
"L'enregistreur phonique et l'enregistreur de paramètres ont été repérés, leur décryptage a débuté", indique le document.
L'avion opérant un vol à destination de Moscou, avec à son bord 116 passagers et 8 membres d'équipage, a pris feu lors du roulage suite à l'incendie d'un de ses moteurs. L'incident a fait trois morts et plus d'une quarantaine de blessés.

RIA Novosti

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Aéronautique : le continent dans le radar d'EADS

Malgré des résultats africains en baisse, le groupe européen EADS, premier avionneur mondial grâce à sa filiale Airbus, maintient ses ambitions sur le continent. Pour cela, il multiplie les partenariats avec des acteurs locaux et se diversifie dans la défense et les satellites.

EADS. Derrière ce sigle se cache la European Aeronautic Defence and Space Company, leader mondial dans l’aéronautique et l’espace, civil et militaire. Avec un chiffre d’affaires de 42,8 milliards d’euros en 2009, sa filiale Airbus totalise aujourd’hui plus de la moitié des ventes du consortium européen, qui vient de fêter ses dix ans d’existence. « Nous ambitionnons d’atteindre un équilibre 50/50 entre le civil et la défense », explique Jean-Philippe Gouyet, vice-président Afrique du groupe. Sur le continent (1,3 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2009, 30 % de moins en 2010), le groupe est devenu un acteur incontournable : ses Airbus sillonnent le ciel, ses satellites occupent l’espace et ses systèmes de surveillance électronique sont en passe de quadriller les frontières.

L’Afrique est depuis longtemps le théâtre d’une véritable compétition entre Airbus et son concurrent américain, Boeing. Les liaisons transversales, notamment, sont considérées par le groupe européen comme un levier de croissance évident. « Pouvoir faire dans la journée Bangui-N’Djaména, Yaoundé-Bamako ou Bamako-Abuja… Il y a un besoin », assure Jean-Philippe Gouyet. Mais les résultats se font attendre : Asky (filiale d’Ethiopian Airlines) ne vole pas sur Airbus et le contrat de leasing de deux A320 pour Sénégal Airlines (qui sera lancé dans les jours qui viennent et dont la vocation est de faire de Dakar un hub régional) a été conclu directement avec l’américain General Electric Capital Aviation Services (Gecas), malgré la proximité d’EADS avec le ministre de tutelle, Karim Wade.

Une vision à long terme

Le constructeur mise notamment sur l’Afrique de l’Est, où Ethiopian Airlines (qui a commandé douze A350 en 2009) et Kenya Airways sont deux acteurs majeurs. « Mais nous sommes très attentifs aux besoins exprimés par d’autres pays tels l’Ouganda, le Rwanda et la RD Congo. Des pays prometteurs pour nous, et pas uniquement dans l’aérien », assure le vice-président Afrique.

Bien sûr, l’Afrique du Sud est aussi dans son collimateur. Pour EADS, le tournant s’est opéré en 2003, quand South African Airways (SAA) est passé du tout-Boeing au tout-Airbus, avec un contrat portant sur une quarantaine d’appareils (340 et 320, long- et moyen-courriers). Le succès de la négociation, menée par le patron de la division Afrique, l’homme de réseaux Philippe Bohn, a propulsé SAA au rang de premier client africain du groupe et de première compagnie de l’hémisphère Sud à se doter des A340/600, qui transportent plus de 350 passagers. Cette victoire commerciale repose sans doute en partie sur un partenariat de long terme avec des universités et des entreprises aéronautiques locales : dans ce cadre, un centre de maintenance, de recherche et développement, et de formation a été ouvert en septembre 2010.

« L’Afrique a changé », constate le dirigeant, et un contrat ne se résume plus, aujourd’hui, à une simple vente. Le groupe dit par ailleurs suivre la politique industrielle de la France, qui veut faire de l’Afrique du Sud un partenaire industriel de premier plan. EADS est-il le bras industriel de la politique étrangère française et européenne ? « On ne se mêle pas de politique », assure-t-on au siège.

Filiales maghrébines

La stratégie est la même au Maghreb. L’exemple le plus récent est celui de Tunisair. Le contrat de seize avions signé en 2008 s’est accompagné d’un plan d’investissement de 100 millions d’euros et de la création dans la banlieue de Tunis de la filiale Aerolia (fabrication de sous-ensembles pour Airbus), avec l’objectif de créer plus de 2 000 emplois. Les premiers avions ont été livrés à la compagnie nationale et Aerolia est opérationnel pour fournir des pièces au constructeur.

Au Maroc, « les relations sont historiques ». À Casablanca, Maroc Avia­tion, filiale d’EADS, réalise par exemple des pièces composites pour Airbus et Eurocopter (hélicoptères civils et militaires) alors que, ironie de l’histoire, la Royal Air Maroc (RAM) a toujours privilégié Boeing pour équiper sa flotte. Pour le consortium européen, conquérir un nouveau marché est un travail de longue haleine. « Très clairement, Mohammed VI prévoit dans son plan de développement économique un pan aéronautique dans lequel le groupe EADS a toute sa place », se réjouit Jean-Philippe Gouyet. Et de rappeler la signature en 2009 d’un contrat de huit ATR-600 (de 48 à 70 places) avec la filiale de la RAM dédiée au transport aérien domestique (Royal Air Maroc Express), qui seront livrés cette année.

La sécurité, un secteur clé

La filiale d’armement MBDA (détenue à 37 % par EADS) est aussi sur les rangs pour armer les trois frégates françaises et les trois navires militaires hollandais que réceptionneront prochainement les forces royales marocaines. De même, il y a deux ans, EADS a remporté l’appel d’offres pour la sécurisation du port de Tanger Med.

La défense : un secteur « sensible, où l’on communique moins », avoue Jean-Philippe Gouyet, mais néanmoins très porteur. Aussi, la montée du terrorisme dans le Sahara ou encore la piraterie dans l’océan Indien offrent-elles au groupe de bonnes perspectives commerciales. « Il y a de gros enjeux de sécurité pour les États dans la zone sahélienne », relève le vice-président Afrique. Mais surveiller des frontières dans un désert reste compliqué… Fort de son expérience au Qatar ou en Arabie saoudite (un contrat de 2,1 milliards d’euros pour la surveillance des frontières remporté en 2009), EADS se positionne systématiquement « sur tout le continent dans le domaine de la surveillance et de la sécurité des frontières et des côtes, notamment avec [ses] systèmes électroniques de surveillance et [ses] offres réseaux de communication ».

La signature pour la production de radars avec le ministère de la Défense algérien est un autre exemple de succès du groupe dans la région. Et ce malgré un déficit d’image : EADS – reconnu de nationalité française – pâtit des bisbilles politiques entre Paris et Alger. Avantage d’être européen : c’est la partie allemande du groupe qui a négocié le contrat algérien.

Au Gabon, « les choses se font sereinement ». EADS entretient des relations étroites avec le président Ali Bongo Ondimba, « qui s’est toujours intéressé de près aux questions de défense », note Jean-Philippe Gouyet. Un contrat avec Libreville fera peut-être oublier l’affaire des huit A400M (avions de transport militaire) en Afrique du Sud, sur laquelle le groupe préfère garder le silence : EADS a vu sa commande de 724 millions d’euros annulée par Pretoria, malgré une avance de 200 millions. Une négociation douloureuse est toujours en cours.

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2609p068-069.xml0/algerie-france-afrique-senegalaeronautique-le-continent-dans-le-radar-d-eads.html

vu hier soir au JT de la RTBF
un centre logistique va être crée sur l'aéroport de Liege pour les produits Halal
en effet le marché hala etant en expension en Belgique, il apparait nécéssaire de
créer une infrastructure adaptée pour ces produits
une société déja active dans le domaine a été presentée
un bon point donc pour la Belgique

Leo Africanus a écrit:

Citation :

Au Maroc, « les relations sont historiques ». À Casablanca, Maroc Avia­tion, filiale d’EADS, réalise par exemple des pièces composites pour Airbus et Eurocopter (hélicoptères civils et militaires) alors que, ironie de l’histoire, la Royal Air Maroc (RAM) a toujours privilégié Boeing pour équiper sa flotte. Pour le consortium européen, conquérir un nouveau marché est un travail de longue haleine. « Très clairement, Mohammed VI prévoit dans son plan de développement économique un pan aéronautique dans lequel le groupe EADS a toute sa place », se réjouit Jean-Philippe Gouyet. Et de rappeler la signature en 2009 d’un contrat de huit ATR-600 (de 48 à 70 places) avec la filiale de la RAM dédiée au transport aérien domestique (Royal Air Maroc Express), qui seront livrés cette année.

certain parlent du cout de maintenance d'autres évoque la nationalité du vice président commercial

He les gars qui veut s’offrir un jet c seulement 70.000,00 Livre ser

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Rare Harrier jump jet goes up for sale in Queensbury

Harrier XW269 was restored on a hillside at Queensbury A rare Harrier jump jet is up for sale for nearly £70,000 after having been restored by a group of aviation enthusiasts on a farm in Queensbury. Taking 12 months and around 1,000 hours of work, the two-seater T2 Harrier is now attracting bids on eBay. The classic RAF aircraft was built in 1971 and flew on many NATO exercises in West Germany during the Cold War. Aircraft restoration expert and Harrier fan Chris Wilson said: "It does make the ultimate garden feature." Chris, who is managing director of Jet Art Aviation, said the decommissioned jet was a classic piece of British engineering and deserved to go to a good home. "It is a masterpiece really. The aircraft is unique and it is the only one in the world that can do what it can do. The Queensbury Harrier took 12 months and 1,000 hours to restore "It does generate a lot of interest. At air shows everyone gets off their seats, everyone stares." Famed for their ability to hover and to take off and land vertically, Harriers were one of the defining images of the Falklands war in 1982. Taking a year to restore, Chris said it was never going to be an easy task to make a plane which had seen years of service look like new. On the scrapheap "It looked like a wreck and if we had not taken it on then it would probably have ended up on the scrapheap," he said. "We did everything from replacing the tyres to the undercarriage, then we put it back together with a full paint job and rebuilt the cockpit." At 60 ft long and 26 ft wide, this former 'Cold Warrior' looks perhaps a little out of place in its current home on a hillside in Queensbury. But Chris said this was where all the hard work restoring Harrier XW269 was carried out. "The elements have hindered us a little. It has all been done by working outside in all weather," he said. The Harrier was, of course, stripped of all its equipment and weaponry before it left the RAF, but it now looks ready for action once again. Chris said: "There is a set of inert cannon gun pods, a pair of drop tanks and a pair of inert rocket pods. "They look very real and it looks like it is fully-armed." A number of people have already shown an interest in the sale of the Harrier. But with an asking price of £69,999 Chris said it was likely that the plane would end its days as a museum exhibit or in the garden of a celebrity.

bbc.co

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Le constructeur américain Cirrus acheté par des chinois


Cirrus Industries, le plus important fabricant d’appareils à pistons du monde, a été acheté à 100% par China Aviation Industry General Aircraft Co Ltd (CAIGA).


CAIGA fait de bonnes affaires ces temps-ci aux États-Unis, l’entreprise chinoise a récemment acquis les actifs du constructeur Epic Aircraft, du motoriste Teledyne Continental et s’est également montré intéressé à acheter le petit constructeur Emivest Aerospace, producteur du jet SJ30, actuellement sous la protection de la loi sur les faillites.
Brent Wouters, président et chef de la direction de Cirrus, en commentant la transaction, a déclaré : « Cette transaction aura un impact positif sur notre entreprise et nos clients parce que nous partageons une vision commune avec Caiga de faire croître notre entreprise d'aviation générale dans le monde entier. Caiga apporte de nouvelles ressources qui nous permettront d'accélérer nos programmes de développement d'avions et d'accélérer notre expansion mondiale. » M. Wouters a également commenté l'impact positif sur l'emploi : « Caiga comprend la force et le talent de la main-d'œuvre Cirrus et l'importance de la marque Cirrus dans le secteur de l'aviation générale. Caiga investira dans les usines du Minnesota et du Dakota du Nord, en s'engageant à poursuivre l'utilisation de nos installations de production. »
Meng Xiangkai, président de Caiga, a déclaré : «Caiga est déterminé à être un leader international dans la fourniture de produits et services de l'aviation générale et les avions à pistons légers est un des secteurs qui nous attire le plus. Nous sommes très optimiste pour commencer notre partenariat avec Cirrus et ajouter la marque Cirrus comme la pierre angulaire de notre portefeuille de produits de l'aviation. Nous sommes profondément impressionnés par la performance de Cirrus dans l'industrie, en particulier avec la qualité de ses produits, l'équipe de gestion exceptionnelle, des employés hautement qualifiés et des installations de production de pointe. Nous sommes impatients de travailler avec l'équipe de Cirrus et de continuer à accroître le volume de production afin de consolider sa position de leader dans l'industrie de l'aviation générale mondiale.»


La transaction devrait être complétée d’ici le milieu de l’année. Elle devra être approuvée par les autorités antitrust et par le comité sur les investissements étrangers du gouvernement américain ainsi que par les autorités chinoises. Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé.
Cirrus est actuellement la propriété de la société d’investissement Arcapita. Le constructeur produit les populaire quadriplaces SR20 et SR22 et développe également un petit jet privé monomoteur, le SF50, qui doit entrer en service en 2014. Plus de 5000 exemplaires ont été livrés par le constructeur depuis sa fondation en 1984. Cirrus est reconnu dans l’industrie comme étant la première entreprise à avoir certifié un système de parachute de série pour les atterrissages d’urgence.

aeroweb-fr

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Le lanceur Taurus XL tombe dans le Pacifique avec le satellite Glory



Le lanceur américain Taurus XL, qui devait mettre en orbite le satellite d'observation de la Terre baptisé Glory, est tombé dans le Pacifique Sud, a annoncé vendredi Omar Baez, responsable du lancement, lors d'une conférence de presse diffusée sur le site de la NASA.
La fusée-porteuse Taurus XL a décollé vendredi, à 10h09 GMT, depuis la base aérienne de Vandenberg, en Californie. Trois minutes plus tard, la coiffe du lanceur n'a pas été éjectée à temps et la fusée n'a pas réussi à atteindre la vitesse requise pour placer le satellite en orbite.
Le tir précédent d'un Taurus XL transportant un autre satellite de télédétection de la NASA, Orbiting Carbon Observatory (OCO), a aussi échoué pour la même raison, en 2009.

RIA Novosti

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Eurocopter améliore sa gamme et présente l'EC145 T2


L'hélicoptériste dévoile une nouvelle version de l'EC145 ainsi que des modernisations de quatre autres modèles lors du salon Heli-Expo à Orlando.

C'est l'une des principales nouveautés du salon Heli-Expo qui se tient actuellement à Orlando, en Floride. Eurocopter a dévoilé le 7 mars dernier l'EC145 T2, une profonde évolution de son célèbre biturbine. Au menu : de nouvelles turbines Turbomeca, une boite de transmission améliorée, une nouvelle avionique, un pilote automatique 4-axes et surtout l'adjonction d'un fenestron sur le rotor de queue. Autant d'améliorations qui devraient contribuer à améliorer les performances et la fiabilité de l'EC145, selon Eurocopter.
Ce sont déjà 17 exemplaires d'EC145 T2 qui ont été commandés, notamment par le groupe espagnol Inaer et par des opérateurs américains pour des versions EMS (évacuation médicale sanitaire). L'entrée en service est prévue pour 2013.
L'EC145 est un des « best seller » de l'hélicoptériste européen. Il a d'ailleurs été sélectionné par l'US Army dans une version de reconnaissance armée baptisée UH-72 dans le cadre du programme LUH (Light Utility Helicopter). A noter que cette nouveauté n'en est pas une à proprement parler, puisque des images du prototype en vol circulent depuis plus d'un mois sur Internet.
Eurocopter a présenté plusieurs autres modernisations de modèles existants : l'AS350 B3e, version mis au goût du jour de l'Ecureuil équipée de moteurs plus puissants (certification cet été), et l'AS365 N3e qui aura de meilleures performances en conditions « haute altitude/temps chaud ». Ce dernier sera également équipé d'une tête de rotor Starflex et sera certifié au premier trimestre. La filiale d'EADS a également dévoilé les EC135 T2e et P2e, deux nouvelles versions du bimoteur EC135 dont la masse maximale au décollage (MTOW) a été augmentée à 2.950 kg.
A noter que Turbomeca reste plus que jamais le motoriste de référence d'Eurocopter, comme en témoigne le lancement de la nouvelle famille de moteurs Arriel 2+ d'une puissance de 894 à 951 ch sur arbre, spécialement destinée à trois de ces nouvelles versions d'hélicoptères.
Ainsi les premiers membres de cette famille, les Arriel 2D, Arriel 2E et Arriel 2N sont respectivement destinés à l'AS350 B3e, l'EC145 T2 et l'AS365 N3e.
Au programme de cette nouvelle famille de turbines, une puissance thermique accrue avec une nouvelle conception de plusieurs composants. La maintenance de ces moteurs a par ailleurs été simplifiée avec un TBO (Time Between Overhaul) annoncé à 4.000 heures et qui devrait au final atteindre les 6.000 heures après leur mise en service.
La certification de l'Arriel 2D est prévue pour mi-2011, celle de l'Arriel 2E l'année suivante et celle de l'Arriel 2N pour mi-2013.
FJ
(photo Eurocopter)

air-cosmos.com

les missions ExoMars seront testés a l´est du Royaume,pres de la frontiere algerienne

un institut de recherche international en cooperation avec l´Uni Cadi Ayyad,pour le compte de la NASA

http://www.astrobio.net/exclusive/3833/testing-mars-missions-in-morocco

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Le vaisseau spatial russe Soyouz TMA-M atterrit au Kazakhstan




Le vaisseau spatial russe Soyouz TMA-M s'est posé mercredi au Kazakhstan après une mission en orbite, rapporte un correspondant de RIA Novosti depuis le Centre russe de contrôle des vols (TsOUP) à Korolev, dans la région de Moscou.
Le Soyouz TMA-M (M pour "modernisé") a ramené sur Terre l'Américain Scott Kelly et les Russes Alexandre Kaleri et Oleg Skripotchka. Les trois membres d'équipage ont bien supporté la descente et l'atterrissage, leur état de santé est satisfaisant, a indiqué un commentateur du TsOUP se référant à un officier du service russe de récupération des cosmonautes.
Après avoir quitté la capsule Soyouz, les membres d'équipage subiront un examen médical dans un hôpital mobile et se rendront en hélicoptère à l'aérodrome kazakh de Karaganda d'où les deux Russes partiront pour Moscou et l'Américain Scott Kelly pour les Etats-Unis.

RIA Novosti