Actualités nationales

docleo a écrit:

Comique

C'est comme si on assistait à une séance de simulation ridicule ils sont des vrais psychotiques ces gens; mais c'est amusant comme même Cette vidéo passera très bien dans la catégorie divertissement

Samyadams a écrit:

lida a écrit:

l'histoire se repete encore une fois, rappelons-nous le mouvement ila al amame de 1965*la face caché du 20fifi*.

Ila al amam a été crée au début des années 70, Lida. Après l'assassinat de BenBarka, en 1965, c'était plutôt le Tanzim, bras armé de l'UNFP, qui avait décidé d'appliquer "l'option révolutionnaire". L'aventure a pris fin en 1973, avec l'échec de l'implantation d'un maquis au Maroc. Mais Tanzim, ila al amam et 20 février, c'est comparer l'incomparable. Le Tanzim était composé d'ancien résistants de l'ALN sud et de jeunes gauchistes, parmi lesquels Mustapha El Ouali, futur fondateur du Polisario. Certains d'entre eux ont même fait le coup de feu contre Israël, dont un sniper marocain qui avait fait parler de lui chez les Sionistes et qui a été plus tard passé par les armes au Maroc. Ila al amam, même si ses militants ont menée une mauvaise analyse de la situation socio-politique du Maroc au point de croire qu'ils pouvaient entamer une lutte armée et créer les "Brigades rouges mobiles" pour ce faire, comptait dans ses rangs une élite intellectuelle dont il n'y a même plus trace au sein d'Annahj Addimokrati. Quel équivalent actuellement au poète et écrivain Abdellatif Laâbi ? Quel équivalent au géologue Abraham Serfati ? Quand Anas Balafrij prend sa plume, c'est un plaisir que de le lire. Ni Annahj Addimokrati et encore moins les 20 fifi ne sont capables de publier une revue de la qualité intellectuelle de "Souffles".
Les minables pseudo-gauchistes de nos jours sont plutôt à comparer aux "Qa3idynes", les "basistes" du campus universitaire des années 80 qui se sont prétendus héritiers d'Ila al amam, mais qui sont plus des subversifs que de vrais marxistes.

oui ce que tu dis est vrai, Samy.j ai melanger tout ,UNEM qui fondent le Mouvement de 23mars *l’UNEM version 23 mars est dissoute le 24 janvier 1973* et apres en 1970 le mouvement de ila al amame ete cree.

en 73 c'etait aussi les fquih basri et un certain mohamed bennouna alias mahmoud qui voulaient creer des foyers revolutionnaires dans l'atlas(a lire le livre de mehdi bennouna fils du guerrillo:heros sans gloire) c'est tres instructif sur cette periode.

une reconnaissance à une 15aine d'années de réformes démocratiques :

Citation :

L'APCE accorde le "statut de partenaire pour la démocratie" au Maroc


Strasbourg- L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, réunie en session plénière à Strasbourg (Est de la France), a voté mardi à la quasi-unanimité une résolution octroyant au Parlement marocain le "statut de partenaire pour la démocratie" auprès de cette institution parlementaire paneuropéenne.



Le texte de la résolution a été adopté à 122 voix pour sur 230 votants et 124 exprimés, sur la base d'un rapport présenté par M. Luca Volontè, rapporteur de la commission politique.
Le débat et le vote de ce statut ont eu lieu en présence d'une importante délégation d'une vingtaine de parlementaires marocains conduite par MM. Abdelouhad Radi, président de la Chambre des représentants, et Mohamed Cheikh Biadillah, président de la Chambre des conseillers.




MAP

thewa3r a écrit:

je n'ai pas compris comment cette liesse s'est transformée en une chasse à l'homme motivée par la haine à l'égard de ceux du 20 Fev . où est donc la liberté tant clamée et la démocratie tant révée . ces gens ne sont meme pas capable d'accepter l'existence de leur l'adversaire en étant victorieux ; que feraient ils en cas d'echec .

la démocratie et la libérté , ça s'assume .cela signifie que je dois accepter de vivre cote à cote avec celui que je ne supporte pas .

attends le 1 Juillet et ils verront le PEUPLE, le vrai, dire son mot, son mot FINAL !!!

il le dira d'une maniére massive, démocratique et puissant ....

la claque sera à l'image du 4-0 du match Maroc-Algérie et le peuple, sitôt les bureaux de vote clos , sortira dans les rues pour rire, s'amuser et danser , klaxonner et brandir le drapeau Marocain ....

le nuit sera belle le 1er Juillet 2011 , je l'attends depuis le mois de Février

et le souffle démocratique du Maroc REEL nettoyera ses rues et avenues et enverra ces huluberlus à la poubelle de l'histoire

Samyadams a écrit:

lida a écrit:

l'histoire se repete encore une fois, rappelons-nous le mouvement ila al amame de 1965*la face caché du 20fifi*.

Ila al amam a été crée au début des années 70, Lida. Après l'assassinat de BenBarka, en 1965, c'était plutôt le Tanzim, bras armé de l'UNFP, qui avait décidé d'appliquer "l'option révolutionnaire". L'aventure a pris fin en 1973, avec l'échec de l'implantation d'un maquis au Maroc. Mais Tanzim, ila al amam et 20 février, c'est comparer l'incomparable. Le Tanzim était composé d'ancien résistants de l'ALN sud et de jeunes gauchistes, parmi lesquels Mustapha El Ouali, futur fondateur du Polisario. Certains d'entre eux ont même fait le coup de feu contre Israël, dont un sniper marocain qui avait fait parler de lui chez les Sionistes et qui a été plus tard passé par les armes au Maroc. Ila al amam, même si ses militants ont menée une mauvaise analyse de la situation socio-politique du Maroc au point de croire qu'ils pouvaient entamer une lutte armée et créer les "Brigades rouges mobiles" pour ce faire, comptait dans ses rangs une élite intellectuelle dont il n'y a même plus trace au sein d'Annahj Addimokrati. Quel équivalent actuellement au poète et écrivain Abdellatif Laâbi ? Quel équivalent au géologue Abraham Serfati ? Quand Anas Balafrij prend sa plume, c'est un plaisir que de le lire. Ni Annahj Addimokrati et encore moins les 20 fifi ne sont capables de publier une revue de la qualité intellectuelle de "Souffles".
Les minables pseudo-gauchistes de nos jours sont plutôt à comparer aux "Qa3idynes", les "basistes" du campus universitaire des années 80 qui se sont prétendus héritiers d'Ila al amam, mais qui sont plus des subversifs que de vrais marxistes.

bien dit samy comme il se dit il faut pas comparer l'incomparable.

Je trouve l article intéressant

Citation :

DESSINE-MOI LA DÉMOCRATIE!
PAR MOUNA HACHIM

Mouna Hachim est titulaire d’un DEA en littérature comparée. Depuis 1992, elle a éprouvé sa plume dans les métiers de la communication et de la presse écrite. Passionnée d’histoire, elle a publié en 2004 «Les Enfants de la Chaouia», un roman historique et social, suivi en 2007 d’un travail d’érudition, le «Dictionnaire des noms de famille du Maroc» (Ph. MH)

L’idéal démocratique relève-t-il de l’utopie? Est-ce que la démocratie se décrète par des mots ou se travaille-t-elle au quotidien? Comment accepter la cohabitation contradictoire de la démocratie, de l’injustice et des inégalités? Qu’est-ce même que la démocratie, confondue parfois de manière absolue avec la liberté? Est-ce du fatalisme que d’accepter de laisser son destin dirigé par autrui, hier les dieux antiques, aujourd’hui d’autres seigneurs et lois internationales du marché?!

Non, ces questions ne sont pas des sujets du bac, mais des interrogations concrètes, à l’échelle nationale et internationale, à l’heure où le débat au Maroc est lancé sur le projet d’une nouvelle Constitution voulue plus démocratique; où les rues arabes sont enflammées, entre guerre, répression et incertitudes; où la contestation gagne l’Europe avec le cri de quelques indignés sous la bannière de «Réelle démocratie maintenant!».

Cela ne nous empêche pas toutefois de prendre du recul, à la redécouverte de l’idée même de la démocratie, considérée si ce n’est comme le meilleur, du moins, comme le moins pire des régimes politiques, tout en relevant quelques contradictions.

Il est significatif à ce propos de commencer par le philosophe Platon, contemporain de la démocratie athénienne réputée être l'ancêtre des démocraties modernes. Il élabora ainsi une critique radicale de la démocratie et proposa un régime original qu’il appela timocratie, défini comme un gouvernement régi par l’honneur. Quelle démocratie est-ce celle qui exclue les femmes, les esclaves et les étrangers, où le vote des riches a plus de poids et où la plupart des hautes fonctions sont attribuées aux nobles familles?

Loin du mythe euro-centriste du fabuleux miracle grec, la démocratie a existé dans d’autres sociétés antiques comme l’Inde où l'une des plus anciennes traces de civilisation démocratique a été signalée, de même qu’à travers l’histoire en Chine, au Japon, en Afrique…, le principe adopté étant la décision par consensus au sein de la majorité.

En Occident médiéval, considéré comme héritier du monde gréco-romain, la majorité des régions, à part de rares exceptions, était gouvernée par des seigneuries à la mode féodale.

Après la Révolution Glorieuse de 1688 en Angleterre, on assiste à la codification de certains droits augmentant l'influence du Parlement. Les États-Unis d'Amérique restent toutefois considérés comme la première démocratie libérale avec un engagement constitutionnel élaboré en 1788, fondant les principes de liberté et d'égalité.

La définition même de la démocratie sera résumée par Abraham Lincoln selon la fameuse formule de «gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple».

En France, c’est après la Révolution de 1789 que l'Assemblée nationale a été établie sur la base des principes libéraux, tandis que le suffrage universel apparaît avec le soulèvement populaire de 1848.Un accouchement douloureux qui impose quelques observations, à savoir l’existence de l’esclavage et la colonisation qui mit en place, dans les colonies, des administrations directes non représentatives des populations locales, tout en limitant initialement sur leur sol, le droit de vote sur la base de la fortune (suffrage censitaire) et en excluant certaines couleurs et ethnies.

La démocratie ne prémunit pas non plus contre l’arrivée au pouvoir de grands criminels de la stature de Hitler, et ce, de manière tout à fait démocratique.
Par ailleurs, pendant la guerre froide, le bloc de l'Est qui rangea dans la catégorie «impérialisme culturel», la démocratie du monde capitaliste se présenta comme des démocraties populaires, alors que ses pays ne s’embarrassaient ni du monopole d'un parti unique ni de la violation des libertés.

Concernant le monde musulman cette fois, il est convenu de se demander, non sans soubassements idéologiques parfois, si l'islam est compatible avec la démocratie dans sa version occidentale.

Si le concept de démocratie a été introduit dans le monde musulman à la fin du XI Xe siècle, il n’en reste pas moins que ses fondements existent dans l’islam avec l’adoption de notions comme Choura (la consultation) ou l’Ijmaâ, (consensus, correspondant au Vox populi), une des sources du droit musulman en vertu d'un hadith disant: «Ma communauté ne se réunira pas sur une erreur».

Comment ignorer également la Charte de Médine, considérée par les érudits musulmans comme la première Constitution écrite d’un Etat musulman. Définissant les droits et les devoirs de communautés pluriconfessionnelles, elle est régie par un ensemble de principes d´application universelle en matière de justice, de tolérance et de liberté.

Mais quel que soit le nom donné à ce modèle de vie en communauté, force est de constater un décalage flagrant entre les applications sur le terrain et l’idéal de justice et d’unité sociale préconisé par Dieu et le Messager, voire les constructions philosophiques d’une Cité Vertueuse couronnant le système philosophique de Farabi, au regard des nombreuses atteintes allant du despotisme à l’inégalité des sexes, l’injustice sociale, etc.

Dans son ouvrage, «La démocratie des autres. Pourquoi la liberté n’est pas une invention de l’Occident», le prix Nobel d'économie indien Amartya Sen précise qu’une définition formelle ne peut rendre justice à l'idée maîtresse de la démocratie, car bien des régimes autoritaires usent et abusent d'élections. Il ajoute dans cette même logique que des formes d’organisation politique n’adoptant pas le système d’élection classique se rapprochent de la gouvernance démocratique, à travers la représentation de la pluralité des opinions, le principe étant de privilégier le débat public.

De son côté, le penseur allemand Jürgen Habermas, théoricien du Patriotisme constitutionnel et de l’éthique de la discussion, présente une nouvelle approche de la démocratie, tenant compte de la complexité des sociétés et envisageant le rôle des médias par l’intégration de voix marginales dans une optique de consensus par la négociation.

En la matière, le philosophe américain John Rawls affirme: «En définitive, le concept fondamental d’une démocratie fondée sur la délibération est le concept du débat en soi».

Ramené à notre contexte actuel marocain, il s’agit d’une invitation générale à ouvrir un débat public serein où aucune partie ne se condamnerait à être spectatrice. Un débat basé sur l'objectivité, soumis à la discussion rationnelle dans une logique pragmatique et constructive.

Il est étonnant à ce titre de constater que certains d’entre ceux qui ont refusé de soumettre des propositions au projet de Constitution se plaignent ensuite d’avoir été exclus du débat. Il est tout aussi stérile de déplacer la contestation sur le seul terrain des manifestations sans apporter de concrètes contre-propositions. Que dire aussi de ceux qui oublient que le système démocratique implique des devoirs dont la participation à la mécanique de décision appuyée sur le vote, de même que l’obéissance à la loi et à l’expression de la volonté générale, censée garantir à son tour le respect des minorités.

Fremo a écrit:

une reconnaissance à une 15aine d'années de réformes démocratiques :

Citation :

L'APCE accorde le "statut de partenaire pour la démocratie" au Maroc


Strasbourg- L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, réunie en session plénière à Strasbourg (Est de la France), a voté mardi à la quasi-unanimité une résolution octroyant au Parlement marocain le "statut de partenaire pour la démocratie" auprès de cette institution parlementaire paneuropéenne.



Le texte de la résolution a été adopté à 122 voix pour sur 230 votants et 124 exprimés, sur la base d'un rapport présenté par M. Luca Volontè, rapporteur de la commission politique.
Le débat et le vote de ce statut ont eu lieu en présence d'une importante délégation d'une vingtaine de parlementaires marocains conduite par MM. Abdelouhad Radi, président de la Chambre des représentants, et Mohamed Cheikh Biadillah, président de la Chambre des conseillers.




MAP

Cette annonce est IMPORTANTISSIME. Certains ne l'ont peut être pas relevé mais dans le contexte actuel des pays arabes c'est un grand appui au Maroc.

Triste willy meyer

.[/quote]


enverra ces huluberlus à la poubelle de l'histoire

[/quote]


je suis d'accord pour les envoyer à la poubelle , pas à la morgue

Qui a parlé de morgue!

Vous cherchez toujours des martyrs!
Un bon conseil eviter les quartiers populaires, ils vont vous devorer tout cru. Ces gens la detestent qu on les prend pour des sauvage facilement manipulable.

je vois que tu m'adresse ce conseil . mais je ne suis pas un des leur . j'essaie juste d'etre objectif .

Je te présente mes excuses alors.

La résolution est définitivement adopté

Citation :

Conseil de l’Europe : le Maroc élu « partenaire pour la démocratie
Mardi, 21 Juin 2011 16:06

L’Assemblé Parlementaire du Conseil de l’Europe a octroyé, le 21 juin, le statut de « partenaire pour la démocratie » au Maroc, qui devient ainsi le premier pays non membre de l’Assemblée de Strasbourg à bénéficier de ce label. Le vote a été obtenu par 122 voix contre deux et six abstentions. Le député Luca Volonte, rapporteur du projet de résolution, a expliqué que l’accueil du Maroc au sein de l’AP du Conseil de l’Europe, traduisait la reconnaissance « des progrès qui ont été réalisés au Maroc ». « Nous saluons de façon positive les propositions qui ont été faites portant réforme de la Constitution », a ajouté le député italien.

La résolution adoptée à Strasbourg reconnaît ainsi au Maroc son adhésion aux valeurs du Conseil de l'Europe. En premier lieu, le respect des principales normes démocratiques du Conseil en matière de droits humains, d’égalité entre hommes et femmes, la tenue d’élections libres et équitables, etc. La réforme de la Constitution du pays qui sera soumise à référendum le 1er juillet, avec un meilleur rééquilibrage des pouvoirs, a visiblement fait bonne impression à Strasbourg. A travers ce nouveau statut, les parlementaires marocains pourront participer aux travaux de l'Assemblée Parlementaire et d’y prendre la parole, sans toutefois bénéficier du droit de vote. Ainsi après avoir obtenu en 2008, le Statut avancé auprès de l’Europe des 27, le Maroc est crédité de la qualité de Partenaire de la démocratie au sein de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. Il s’agit d’une instance qui regroupe les parlements des 47 Etats du Vieux continent. Elle se fixe pour objectif de rechercher les points de rencontre avec les pays voisins en matière de mutation démocratique, de bonne gouvernance et de respect des droits humains.

http://www.statut-avance.com/index.php?option=com_content&view=article&id=266:conseil-de-leurope--le-maroc-elu-l-partenaire-pour-la-democratie-r-&catid=1:latest-news

thewa3r a écrit:

Citation :

enverra ces huluberlus à la poubelle de l'histoire

je suis d'accord pour les envoyer à la poubelle , pas à la morgue

ils ne méritent pas la morgue ou un futile statut de martyr qui ne leur servira qu'à rentrer dans le panthéon ignoble d'El Khazira ..

les seuls martyrs que je connais, sont ceux qui sont morts dans le Sahara Marocain et pour leur pays

ces huluberlus sont plutôt pathétiques, incultes et d'une pauvreté politique et culturelle indigne du marocain moyen...

Citation :

Remise de dettes en faveur d'agriculteurs marocains
mercredi 22 juin 2011 18h37
RABAT, 22 juin (Reuters) - Le gouvernement marocain et le Crédit agricole du Maroc (CAM) ont annoncé mercredi qu'ils assumeraient à parts égales une remise de dettes de plusieurs millions d'euros en faveur de 80.000 agriculteurs.

Cette annonce est survenue à huit jours du référendum constitutionnel annoncé par le roi Mohammed VI.

Soucieuses d'éviter des troubles similaires à ceux qui ont éclaté dans d'autres pays du monde arabe, les autorités marocaines ont récemment relevé les salaires et porté à 45 milliards de dirhams, un quasi triplement, les subventions aux produits alimentaires et à l'énergie.

Jamaledine Jamali, secrétaire général du CAM, a assuré que la remise de dette, la première en sept ans, était dénuée de toute motivation politique, bien qu'elle intervienne à quelques jours du 1er juillet, date du référendum sur les réformes constitutionnelles proposées par le roi.

"Le roi a ordonné cette opération en avril et il nous a fallu du temps pour la préparer (...) La dernière fois que nous avons fait quelque chose comme cela remonte à 2005, après des sécheresses qui ont frappé l'agriculture plusieurs années de suite.

"Nous avons été encouragés à effectuer ces opérations par le fait que les trois dernières campagnes ont été très bonnes et que nous avons remarqué une forte augentation des investissements dans l'agriculture. Nous voulons encourager les paysans à investir", a-t-il ajouté. (Souhail Karam, Nicole Dupont pour le service français)

© Thomson Reuters 2011 Tous droits réservés.

Citation :

Le Maroc met un pied à Strasbourg

le 22/06/2011 à 00:00 par Michel Arnould


L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a accordé hier le statut de « partenaire pour la démocratie » au parlement marocain. Le Maroc devient ainsi le premier pays non européen à pouvoir siéger au sein de l’assemblée, qui compte 47 pays membres.

Ce statut, créé en 2010, est destiné avant tout aux pays du pourtour méditerranéen, et en particulier à ceux qui viennent d’animer le « printemps arabe », Tunisie, Égypte, Maroc et, plus tard Libye ou Syrie.

Sous un nouveau nom, il reprend une expérience qui avait connu un très grand succès à la fin des années quatre-vingt, après la chute du rideau de fer. À l’époque, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe avait très rapidement accueilli les anciens pays socialistes, en leur offrant le statut d’invité spécial qui permettait de participer aux travaux de l’assemblée, avec droit de parole mais sans droit de vote.

Ce sera le cas pour le Maroc qui pourra envoyer à Strasbourg une délégation de six parlementaires.

En contrepartie, le Conseil de l’Europe demande à ce que le royaume se réforme en abolissant la peine de mort, en luttant contre la corruption et pour une réelle égalité homme femme, ou encore en assurant l’indépendance de sa justice.
« Une réforme constitutionnelle qui va dans le sens du Conseil de l’Europe »

Dans son intervention M. Abdelwahad Radi, président de la chambre des représentants, la chambre basse du parlement chérifien, a estimé que la réforme constitutionnelle annoncée par le roi Mohamed VI le 17 juin dernier, et qui sera soumise à un référendum populaire le 1 er juillet, allait dans le sens des vœux du Conseil de l’Europe, puisque la réforme consacre « la séparation des pouvoirs et l’équilibre entre les différents pouvoirs, la garantie de la pluralité et de l’alternance politique, grâce à des élections libres, transparentes, débouchant sur un parlement qui a en charge la totalité du champ législatif, un gouvernement fort et responsable devant la nation, et une justice indépendante des autres pouvoirs. »

Interrogé par notre journal pour savoir pourquoi, dans de telles conditions, l’opposition et en particulier le Mouvement du 20 février continue de manifester, Abdelwahad Radi dit comprendre les opposants : « Ce sont des gens qui veulent beaucoup plus et c’est normal. Mais il y a une différence entre le Maroc et les autres pays arabes qui traversent une crise de légitimité de leurs institutions, ce qui n’est pas le cas du Maroc. Néanmoins, en démocratie, il est normal que sur chaque chose il y ait des gens pour et des opposants. »

le 22/06/2011 à 00:00 par Michel Arnould

http://www.lalsace.fr/actualite/2011/06/22/le-maroc-met-un-pied-a-strasbourg

Citation :

M. Karim Ghellab a procédé, mercredi, au lancement des travaux de construction des entrepôts au niveau de la Zone d'Activités Logistiques (ZAL) de Casablanca-Mita.

La ZAL de Mita est "adossée au port sec et s'étale sur une superficie de 32 Ha, pour développer 120 000 m2 de surfaces construite d'entrepôts et de bureaux annexes", indique-t-on dans un communiqué de l'Office national des chemins de fer (ONCF).

"Ces entrepôts, répondant aux meilleurs standards internationaux, seront destinés aux professionnels de la logistique, pour y offrir des services intégrés et des prestations génératrices de valeurs ajoutées", ajoute-t-on.

L'investissement global pour le développement de la ZAL de Casablanca est estimé à 600 millions de DH, précise-t-on de même source, ajoutant que l'ONCF a lancé la réalisation de la tranche I de ce projet qui va s'étaler sur une superficie de 12 Ha.

Le programme de cette 1-ère tranche comprend des entrepôts de Messagerie (3406 m2), des entrepôts de Stockage ( 26 260 m2), des bureaux annexes (1284 m2), un centre d'aires (4 450 m2), soit un total de surface construite de 35 400 m2 et un VRD de 78900 m2.

Cette 1-ère tranche sera livrée dans une année et mobilisera un investissement de 200 Millions de DH.

Par la réalisation de la plateforme logistique de Casablanca, l'ONCF concrétise le premier maillon de cet "important et ambitieux" projet qui comprend le Port Sec sous douane de MITA mis en service depuis juillet 2008, rappelle-t-on.

Ce port sec, qui s'étale sur une superficie de 8 ha, a nécessité un investissement d'environ 100 Millions de DH et constitue le prolongement du port de Casablanca en matière d'import / export de conteneurs.

Il concerne la première phase du projet intégré de la plateforme logistique qui s'étalera sur une superficie globale de 40Ha. La position géographique de ce port sec lui confère des atouts indéniables en matière d'inter-modalité, sachant qu'il est situé à 6 Km du port de Casablanca et qu'en plus d'être relié par voie ferrée à ce port, il a également un accès facile à l'autoroute et aux grandes artères de Casablanca.

L'ONCF, qui a fait le choix stratégique de se positionner dans le secteur de la logistique, a arrêté un ambitieux programme pour la période 2010-2020 pour la construction d'un réseau de plateformes logistiques couvrant les principaux centres économiques du Royaume: Casablanca, Fès, Marrakech, Tanger, El Jorf Lasfar et Oujda, indique-t-on.

Ces plateformes logistiques sont composées de ports secs sous douane destinés au traitement des conteneurs à l'import et à l'export, et de zones d' activités logistiques (ZAL) adossées aux ports secs et comportant des entrepôts logistiques et des services annexes (bureaux, parkings, gestion immobilière...).

Ce programme logistique de l'ONCF, dénommé "Plan Oncf Logistique Emergence" s'inscrit en droite ligne avec la stratégie nationale pour le développement de la compétitivité logistique faisant l'objet du Contrat-Programme 2010-2015. Il prévoit à terme de développer une surface construite de 1 Million de m2 d'entrepôts (stockage, messagerie... ).

A travers son programme logistique, l'ONCF ambitionne d'être un acteur structurant de la logistique au Maroc, offrant à ses clients et aux opérateurs économiques, en complément au transport ferroviaire, des solutions globales et homogènes, dans l'ensemble du royaume et à forte valeur ajoutée.

MAP

un video intéressante , TFF répond a des questions comme le sahara le maghréb le golf et autre a voir

ps la qualité de la video est pas bonne mais on écoute bien

Citation :

secteur textile-habillement
20.000 jeunes embauches et un besoin de 10.000 autres


20.000 jeunes ont été embauchés dans le secteur du textile-habillement, au titre de la première moitié de l'année en cours, a-t-on annoncé ce mercredi à Casablanca lors d'une rencontre sur le programme formation/insertion de 20.000 jeunes en 2011.

Ce programme a fait l'objet d'une convention signée en mars dernier entre l'Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT) et l'Association marocaine des industries de textile et de l'habillement (AMITH).

Le DG de l'Office, Larbi Ben Cheikh, a rappelé que cette convention prévoit notamment d'apporter assistance, dans une première phase, aux entreprises adhérentes à l'AMITH dans le recrutement de lauréats non encore insérés, de réviser en collaboration avec l'Association les cursus de formation pour répondre au plan d'urgence et d'accueillir les jeunes dans les établissements de formation professionnelle.

Elle vise également à sélectionner les candidats à la formation, décliner les besoins par ville, profil et type de poste recherché, accompagner l'insertion des stagiaires dans le milieu du travail et à organiser conjointement avec l'OFPPT, au niveau des régions et des centres de formation, des tables rondes avec les candidats.

Selon une étude de l'AMITH diligentée auprès d'une centaine d'entreprises, le besoin du secteur en compétences s'établit à 10.000 autres emplois à fin 2011.

Aufait-MAP

Citation :

LES GREFFIERS FONT PLIER LE GOUVERNEMENT
ACCORD DE PRINCIPE SUR LA RÉFORME DE LEUR STATUT
UNE AUGMENTATION NETTE DE 800 À 2.900 DH
ORGANISATION JUDICIAIRE, UN PROJET DE LOI QUI FÂCHE

Ils ont fini par faire plier le gouvernement El Fassi et son ministère de la Justice avec. L’Exécutif vient de soumettre son offre finale au Syndicat démocratique de la justice (SDJ). Ce dernier, affilié à la Fédération démocratique du travail (FDT), approuve -avec quelques réserves tout de même- la proposition gouvernementale intervenue suite à la suspension des grèves. Le bureau national du syndicat chapeauté par Abdesadek Essaidi «a été délégué par ses affiliés pour signer l’accord» portant sur la réforme du statut des greffiers. «Pas de date fixe pour parapher cet accord préliminaire. La direction des ressources humaines en rédige encore les clauses qui seront intégrées à la loi», affirme une source au ministère de la Justice. A l’heure où nous mettions sous presse, le Conseil de gouvernement se tient à Rabat et le dossier des greffiers est prévu à l’ordre du jour.

Les greffiers auront droit à une augmentation nette de 800 à 2.900 DH en plus des 600 DH accordés par le gouvernement dans le cadre du dialogue social. Cette hausse de salaire avec effet rétroactif court à partir de janvier 2011 et sera integrée dans la base de calcul de la retraite des 12.600 greffiers. L’échéance fixée coïncide avec la date à laquelle le ministre de la Justice, Me Mohamed Taïb Naciri, a pris ses fonctions. Les indemnités du Fonds spécial ont été finalement sauvegardées. Les cafouillages ayant marqué les négociations entre ministères (Finances et Justice) d’abord et syndicats ensuite ont laissé planer des interrogations sur la destinée des 250 millions de DH destinés au Fonds spécial. Difficile de savoir jusqu’à présent si cette somme a été allouée pour les indemnités ou la trésorerie du Fonds.

Des indemnités octroyées également pour les heures supplémentaires et les permanences. Ali Shoul, le vice-secrétaire général de la Fédération nationale de la justice (FNJ), les qualifie de «ridicules»: «Les juridictions ne profitent pas toutes de ces indemnités et le barème les fixe de 6 à 12 DH par heure. Or le gouvernement a fait table rase des indemnités les plus significatives: logement, robe et risques professionnels.

.». Ces critiques n’excluent aucun des 9 points de l’accord (voir encadré).

La FNJ, affiliée à l’Union nationale du travail au Maroc, «n’a pas reçu jusqu’à présent l’offre gouvernementale. Et ceci au même titre que le Syndicat national de la justice proche de la CDT». Elle a ainsi maintenu sa grève du 21 au 23 juin, malgré les coups de fil tardif de dimanche dernier. Shoul soutient que «le ministère de la Justice a sollicité la fédération pour interrompre le débrayage». Mais en vain, la décision «a été déjà prise». La Fédération que mène Abdeladim Ahmid a, semble-t-il, été «flouée» par le ministère de la Justice: «il n’a pas tenu promesse quant à présenter, le 15 juin (voir deux jours après), la proposition officielle». Celle-ci ne devait l’être en fait qu’après le visa de la Primature.

Toujours est-il que la Fédération nationale de la justice laisse entendre qu’elle ne crachera pas dans la soupe. N’empêche que le feu vert de sa base, disséminée dans les 22 arrondissements judiciaires, est un préalable. Tout porte à croire qu’ils n’auront pas beaucoup de marge. Au moment où le déficit public s’aggrave, l’argentier du Royaume, Salaheddine Mezouar, a dépêché un de ses conseillers au ministère de la Justice pour soumettre son offre budgétaire finale. Le gouvernement El Fassi, lui, doit en plus composer avec un agenda politique très serré: le référendum constitutionnel du 1er juillet et les élections législatives anticipées en octobre.

Si le Syndicat démocratique de la justice pèse dans ces négociations, c’est grâce à ses 75% de représentativité professionnelle. De quoi faire pousser des cheveux blancs à tout un gouvernement et aux professionnels du droit, avocats et traducteurs assermentés surtout.
Parallèlement, la trésorerie des juridictions a fondu. Les grèves entamées depuis septembre 2010 se sont soldées par 234.000 journées de travail perdues. L’Etat-employeur a pourtant payé en salaire environ 85 millions de DH aux grévistes, selon le ministère de la Justice. Ces chiffres-là ne tiennent pas compte des grèves d’avril, mai et juin 2011. L’accord de principe de ce puissant syndicat et du gouvernement sera incessamment scellé. Il faut juste régler les dernières formalités. Ce feuilleton a son enseignement. Le syndicat des greffiers -affilié à la FDT, centrale proche des socialistes (USFP)- a tenu la dragée haute à un ministre sans étiquette politique. Réduisant presque à néant ses prétentions à réformer la justice.

Les autres points de l’accord

La proposition du gouvernement porte aussi sur la suppression de l’échelle 7. Un retour en fait pour les greffiers au statut initial de 1967 et création de nouveaux grades. Les concours de promotion seront ouverts aux fonctionnaires diplômés. L’accord prévoit l’amendement de l’article 4 du statut de la fonction publique. Il va octroyer aux greffiers un statut spécial dans la fonction publique. Il est question aussi de revoir le décret 403 qui régit le système des promotions… Le quota proposé est de 36%. Or la Fédération nationale de la justice misait sur 50%. Il exige, au même titre que le Syndicat démocratique de la justice, le retrait d’une disposition exceptionnelle dans le projet de loi relatif à l’organisation judiciaire. Elle prévoit qu’en «cas d’absence du greffier», le président de l’audience peut faire appel à un citoyen sous serment pour tenir cette fonction.


Faiçal FAQUIHI

Economiste

Hélios 2 est opéré par l'armée Française et surtout par la Direction du renseignement militaire (DRM) (ministère de la Défense) et la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) (ministère de la Défense)...et L'European union satellite centre (EUSC) regroupant l'Allemagne, la Belgique, l'Italie, l'Espagne et Grèce.

l'article de hiba ne tient pas la route !!

comme quoi l'espagne ne connait pas nos positions et mouvements ??? un article que j'eviterai meme de lire

Citation :

RABAT - Le Maroc s'achemine progressivement vers l'abolition de la peine de mort et l'adoption du projet de révision constitutionnel le 1er juillet, qui consacre le droit à la vie, va accélerer ce processus, selon un haut responsable marocain.

"Le Maroc s'achemine progressivement vers l'abolition de la peine de mort", a déclaré vendredi à Rabat le directeur de la direction des affaires pénales Mohamed Abdennabaoui.

"Si le projet de révision constitutionnelle qui consacre pour la première fois le +droit à la vie+ est adopté le 1er juillet, cela va accélerer le processus d'abolition de la peine de mort", a indiqué M. Abdennabaoui, qui dirige la plus importante direction du ministère de la Justice marocain.

M. Abdennabaoui s'exprimait en marge de l'ouverture de l'assemblée générale de la Coalition internationale contre la peine de mort, qui se tient pour la première fois dans un pays arabe.

Un projet de réforme de l'actuelle constitution marocaine, qui renforce les attributions du Premier ministre tout en préservant les pouvoirs politiques et religieux du roi, sera soumis à un référendum populaire le 1er juillet.

"Personnellement, je suis favorable à ce que la peine de mort soit abolie", a-t-indiqué.

Quelque 103 condamnés à mort, dont deux femmes, attendent leur exécution dans les "couloirs de la mort" au Maroc, a précisé M. Abdennabaoui, qui a présenté ces chiffres comme étant les "derniers chiffres officiels".

Ont notamment participé à cette réunion Federico Mayor Zaragoza, le président de la Commission internationale contre la peine de mort, Eneko Landaburu, ambassadeur de l'Union européenne au Maroc, ainsi que Me Abderrahim Jamaï, de la Coalition marocaine contre la peine de mort.
Par AFP