La politique américaine comme si vous y étiez...

Rappel du premier message :

Citation :

Ce militant démocrate qui défie Barack Obama

Candidat à la présidence, Darcy Richardson exprime la frustration d’une partie des progressistes états-uniens face au bilan du président sortant. Il participe aux primaires démocrates afin de «r amener,dit-il, Obama à gauche ».

Il n’a eu droit qu’à quelques entrefilets 
dans deux, trois journaux mais le New York Times ne l’a pas cité une seule fois dans 
l’un de ses articles. Il ne collecte que quelques milliers de dollars de-ci, de-là. Il ne bénéficie donc ni de la puissance financière ni de la couverture médiatique, éléments indispensables à toute campagne électorale 
aux États-Unis. Pourtant Darcy Richardson 
est bel et bien candidat à la présidence des 
États-Unis (www.darcy2012.com). Mieux 
même, il est le seul à défier Barack Obama 
dans plusieurs États. Même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, 
il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation 
de son candidat.

« Je suis le premier à admettre que je n’ai aucune chance de battre, voire d’inquiéter le président sortant », répète Darcy Richardson en 
préambule des rares interviews que des chaînes locales lui accordent. Même si Eugene 
McCarthy constitue sa référence politique 
(les deux hommes ont notamment milité ensemble au début des années quatre-vingt-dix dans l’aile gauche du Parti démocrate), ce féru d’histoire sait que 2012 n’est pas 1968. Cette année-là, le sénateur progressiste du Minnesota, Eugene McCarthy, avait défié, au nom 
du mouvement antiguerre, Lyndon Johnson, président depuis 1963, embourbé dans 
son escalade militaire au Vietnam. Après 
des premières primaires très serrées, 
Johnson renonça finalement à se représenter.

Pourquoi dès lors se lancer dans une telle 
bataille à cinquante-six ans ? Parce qu’Obama 
doit répondre de son bilan, rétorque en substance cet ancien assureur devenu auteur et bloggeur (www.battleground.com). « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. » L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous 
George Bush. « Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que 
le premier mandat d’Obama est en fait un 
troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush. »

Darcy Richardson a reçu le soutien 
de la Nouvelle Alliance progressiste (www.newprogs.org), organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte 
de la Maison-Blanche et qui avait appelé 
à une candidature unifiée pour défier 
Obama. Aucune des personnalités évoquées 
depuis plusieurs mois (Jeffrey Sacks, Robert Reich, Bernie Sanders, Dennis Kucinich…) 
n’a relevé le gant. Darcy Richardson, si. 
Son slogan de campagne : « Un démocrate progressiste pour président. » Et son espoir : « Ramener Obama à gauche. »

http://www.humanite.fr/monde/ce-militant-democrate-qui-defie-barack-obama-491746

Citation :

Aux États-Unis, il n’y a pas que Lyndon LaRouche pour accuser Obama d’avoir trahi ses promesses. Bien que boudé par la grande presse, le démocrate progressiste Darcy Richardson défie le président Barack Obama dans plusieurs États dans la course à la présidentielle. Car, même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.

Pour Darcy Richardson, qui mène lui aussi campagne pour rétablir la séparation des banques d’affaires des banques de dépôt (retour au Glass-Steagall Act), le bilan du mandat d’Obama est plus que calamiteux : «  Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat.  »

Et comme le précise un article paru dans l’Humanité du 8 mars : « L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite  : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. "Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush." »

La référence politique de Darcy Richardson reste Eugene McCarthy (rien à voir avec l’anti-communiste Joseph McCarthy). Ce sénateur progressiste du Minnesota avait défié en 1968, au nom du mouvement contre la guerre du Vietnam, Lyndon Johnson, président depuis 1963. Eugene McCarthy était aussi en très bonnes termes avec Lyndon LaRouche et s’était fait remarquer en 1988 en faisant campagne en faveur de l’Initiative de défense stratégique (IDS), initiative anti-guerre initié par LaRouche et caricaturé par la presse comme « la guerre des étoiles ». Il avait également signé l’appel pour un Nouveau Bretton Woods de LaRouche.

Aujourd’hui, Darcy Richardson dispose du soutien de la Nouvelle Alliance progressiste, organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Le slogan de campagne de Richardson  : «  Un démocrate progressiste pour président.  » Son espoir  : «  Ramener Obama à gauche.  »

http://www.solidariteetprogres.org/Le-candidat-democrate-progressiste-Darcy-Richardson-Obama-c-est-Bush-III_08678

J'ai pas pu voir

Je vais re-regarder le tout.

Je viens de voir. Il a botté en touche comme a dit bruce .... soit c'est une quenelle pour nous ou pour nos "ennemies" !

Mais vu comment il évite le sujet, je pense que c'est positif car comme on dit pas de nouvelle, bonne nouvelle

https://ledesk.ma/encontinu/blinken-annonce-que-les-accords-dabraham-seront-examines-et-esquive-le-cas-du-maroc/ a écrit:

Aaah le desk et leur fameuse partialité .. on dirait que ça les dérange qu'il n'ait pas soutenu la thèse des caporaux

Le blocage des F35 pour les UAE c'est le rappel à l'ordre pour les émiratis qui ont fait beaucoup de zèle en Libye en s'alliant avec les russes, et un petit rappel de la part d’Israël que c'est elle qui décide pour les armes stratégiques US vendues aux pays du Golf, une manière de signifier à MBZ que son argent ne suffit pas pour ce genre de transaction, il faut la bénédiction de l'état hébreux.

Pour les Saouds, ils sont trempés dans le sang yéménite jusqu'aux shemaghs, cette guerre a trop duré et les démocrates essayent de se distancier de la politique de Trump sur ce sujet. Le blocage des livraisons de munitions de pointe est une manière de forcer MBS à calmer le jeu et à lever le pied car si les choses continuent comme telles, dans un an ou deux ça deviendra ni plus ni moins LA catastrophe humanitaire de ce 21 siècle.

Pour le Maroc, on a obtenu quoi? 4 drones de pointe, oui, mais il n'y a pas de quoi fouetter un chat, au prix des 4 SEAGUARDIAN et en négociant comme il faut on aurait pu obtenir facilement une flopée de drones chinois Wing Loong 2 (les US nous ont justement vendu les SG pour éviter qu'on aille se fournir ailleurs). Idem pour le Patriot. Si on compare les contrats de l'UAE et de l'AS avec celui du Maroc, même en bloquant le notre, les US n'influeront en rien sur notre évolution militaire, vu que ce qu'on leur a acheté n'est même pas le dixième de ce que les khalijis s'attendent à recevoir.

Et puis il faut toujours se remémorer une chose importante, que j'ai entendu maintes fois lors des passages télévisés des officiels israéliens juste après l'annonce de la reprise des relations diplomatique entre le royaume et l'état hébreux, ils ont clairement fait comprendre que pour Israël, les accords signés avec les autres pays arabes sont tous à mettre dans un côté de la balance, et que celui avec le Maroc est à mettre de l'autre côté, vu l'importance et le poids d'un allié comme le Maroc pour Israël. Et comme l'a souligné Ssi Simplet, les démocrates mettent la pression pour que les khalijis se remettent au pas et qu'ils passent ensuite à la caisse.

C'est toujour une question de Consensus au niveau international
Trump a voulu la jouer solo ce qui a provoquer des tensions, les Dem veulent revenir dans le jeu avec les autres...

Pour le MO, le Consensus veut qu'il y ais un équilibre des forces en présence...l'armement massif que Trump a signer pourrait déséquilibré la chose d'ou le frein des Dems, mais ces meme Dems ont fait voler un B-52 pour signifier a l'Iran de ne pas aller trop loin...

Pour le Sahara, Il y a un consensus sur la Marocanité du Sahara donc je ne croit ni a un retour en arrière ni a un gel de la reconnaissance US. Ce qu'il faut maintenant c'est travailler la France.

Par ailleurs, dans les accords d'Abraham, je ne croit pas avoir vu que les USA s'engager a livrer des F35 aux UAE, alors que dans la Déclaration de Rabat, il ait écrit noir sur blanc, que les USA reconnaissait le Sahara comme marocain et il y a la signature des USA sur ce document...

QuickShark a écrit:

Et puis il faut toujours se remémorer une chose importante, que j'ai entendu maintes fois lors des passages télévisés des officiels israéliens juste après l'annonce de la reprise des relations diplomatique entre le royaume et l'état hébreux, ils ont clairement fait comprendre que pour Israël, les accords signés avec les autres pays arabes sont tous à mettre dans un côté de la balance, et que celui avec le Maroc est à mettre de l'autre côté, vu l'importance et le poids d'un allié comme le Maroc pour Israël. Et comme l'a souligné Ssi Simplet, les démocrates mettent la pression pour que les khalijis se remettent au pas et qu'ils passent ensuite à la caisse.

Source ?

Pour les contrats avec les UAE c'était clair que beaucoup de responsables israéliens y compris le ministre de la défense étaient contre le contrat d'armement et ils l'ont manifesté clairement, cependant le jeux israélien/américain et toujours harmonieux, ce gel temporaire du contrat est un message pour les pays du Golfe qui n'ont pas encore normaliser avec Israël ( SA et kowit ...) donc ils doivent faire vite et ne pas trop se la jouer malin.
Pour le Maroc la réponse du secrétaire américain est plus que Claire à mon avis, je vous rappel la réponse de pmpeo après l'intervention du Maroc au guergarat à presque la même question on u la même réponse et de la même manière.
Je pense que la position de la nouvelle administration va être mise au clair par le président Baiden lui même très probablement au cours d'un futur appel téléphonique avec le Roi, c'est juste une intuition pas plus

La Declaration Conjoint de Rabat donne jusqu'a fin janvier pour mettre en application les décisions prises en décembre puis de prendre de nouvelle action a la fin janvier
On sait qu'il y a un accord commercial Maroc-Israel qui a été fait entre Perez et MHE. On sera fixer sur le reste semaine prochaine.

Samurai a écrit:

QuickShark a écrit:

Et puis il faut toujours se remémorer une chose importante, que j'ai entendu maintes fois lors des passages télévisés des officiels israéliens juste après l'annonce de la reprise des relations diplomatique entre le royaume et l'état hébreux, ils ont clairement fait comprendre que pour Israël, les accords signés avec les autres pays arabes sont tous à mettre dans un côté de la balance, et que celui avec le Maroc est à mettre de l'autre côté, vu l'importance et le poids d'un allié comme le Maroc pour Israël. Et comme l'a souligné Ssi Simplet, les démocrates mettent la pression pour que les khalijis se remettent au pas et qu'ils passent ensuite à la caisse.

Source ?

Pareil je l'ai lu dans un journal israélien, en plus d'un spécialiste israélien qui était passé sur une chaine arabe avait dit la même chose, le Maroc est considéré comme extérieur au monde arabe. C'est une manière pour eux de noyauter le MO

Pour les F-35 des UAE déjà après le deal le congres a tenté de le bloquer, il y avait un grand bloc de sénateurs/congressmen opposés au deal, l'opposition était évidente et même israel ne le soutenait pas.
Pour notre cas le camps adverse ne peut même pas rallier 10% du congress/senat.

Notre lobby ux USA est plus fort que celui des pays de golf ou la junte d'alger. Et il est devenu encore plus fort avec le ralliement d'autres lobby juifs.
Les F35 pour les émirats, c'était juste une promesse ou engagement des usa, il n' ya pas eu de signature. Les émirats ont mal négocié l'accord d'abraham, ils l'ont fait dans la précipitation. En fait, en contre partie ils ont eu juste une promesse, ça n'avait pas été acté dans les accords d'abraham, d'ailleurs Netanyahu l'avait bien signalé à l'époque quand il a dit que ce ne faisait pas partie de la normalisation avec les émirats.

Blinken doit "rentrer" dans le dossier du Sahara Marocain avec son administration et lancer ensuite sa mécanique diplomatique US, il vient d'arriver et c’est lui qui doit faire la mise en œuvre ...

Visiblement, il ne l'a pas encore préparé , ni réfléchi et c'est normal, préférant s'occuper des affaires les plus chaudes : gestion des mahbouls du Moyen Orient

Personnellement, je n'aurais pas vendu des F35 à ces mahbouls ; le risque d'en voir un détruit par accident ou volé par les Iraniens , m'aurait inquiétè

Donc on gèle et on discute avec le Pentagone et Tsahal sur les dernières ventes d'armes; qu'est ce qu'il faut annuler et qu'est ce qu'il faut leur fournir

Autre chose : cette annonce fait plaisir à l'aile bobo de gauche des Dems ... et politiquement, il faut leur donner qq chose à croquer

RED BISHOP a écrit:

C'est toujour une question de Consensus au niveau international
Trump a voulu la jouer solo ce qui a provoquer des tensions, les Dem veulent revenir dans le jeu avec les autres...

Pour le MO, le Consensus veut qu'il y ais un équilibre des forces en présence...l'armement massif que Trump a signer pourrait déséquilibré la chose d'ou le frein des Dems, mais ces meme Dems ont fait voler un B-52 pour signifier a l'Iran de ne pas aller trop loin...

Pour le Sahara, Il y a un consensus sur la Marocanité du Sahara donc je ne croit ni a un retour en arrière ni a un gel de la reconnaissance US. Ce qu'il faut maintenant c'est travailler la France.

Par ailleurs, dans les accords d'Abraham, je ne croit pas avoir vu que les USA s'engager a livrer des F35 aux UAE, alors que dans la Déclaration de Rabat, il ait écrit noir sur blanc, que les USA reconnaissait le Sahara comme marocain et il y a la signature des USA sur ce document...

Un "gel" ou "suspension" peut être appliqué pour des contrats d'armes, mais pas pour la reconnaissance du sahara marocain. Sinon, ça donnerait à cette affaire un aspect "commercial", chose que les responsables américains éviteront. L'argument américain est que la reconnaissance du sahara est la seule solution possible pour régler ce conflit.

la reconnaissance du Sahara marocain par les USA c'est pas juste un acte ou décision bilatérale, Mais elle rentre aussi dans le cadre du Duel entre les USA et la Chine

Les USA doit consolider ses positions sinon elle va être évincer dans un laps de temps
.

Un autre aspect très important et qu'il ne faut pas négliger c'est celui de la nature de l'accord de normalisation entre le Maroc et l'Israël, c'est en effet un accord de partenariat stratégique qui dépasse une simple normalisation ou accord de paix sachant que on est pas en guerre d'ailleurs.
Ce qui veut dire que la logique est complètement différente, autre chose c'est que les USA ont beaucoup de choses à gagner aussi dans l'affaire, c'est pas seulement faire plaisir au marocain pour les récompenser pour l'accord avec les Israéliens loin de là les USA actuellement ont assuré leur domination géostratégique de toute l'Afrique de l'ouest et aussi le détroit du jibraltar. bref beaucoup de points qui font que le dossier marocain n'est pas du tout semblable aux autres est très loin d'être le sujet d'une quiconque surenchère entre les deux administration, c'est peut être parmi les rares dossier qui pourrait faire un objet de consensus entre les deux parties à savoir qu'est-ce qu'on a mis sur la table de négociation durant les deux dernières années et les aspects non déclaré de ce deal....

simplet a écrit:

la reconnaissance du Sahara marocain par les USA c'est pas juste un acte ou décision bilatérale, Mais elle rentre aussi dans le cadre du Duel entre les USA et la Chine

Les USA doit consolider ses positions sinon elle va être évincer dans un laps de temps
.

Sur le sujet du Sahara Marocain, la Chine est très claire et ne posera pas de probléme aux US : le polizbel n'existe pas et il est interdit à tout officiel Chinois de discuter même 1 minute avec un polizbel ...

D'ailleurs, lors des réunions Afrique - Chine, le polizbel est dégagé et mis à la porte ...Et ils sont interdits d'entrer en Chine

La Chine ne joue jamais avec la carte séparatiste dans ses relations internationales, vu ses propres sujets (Tibet, Taiwan, Hong Kong etc...) et un traitement type "autonomie élargi" que la Chine pratique dans beaucoup de ses régions dites autonomes a toujours eu la faveur de Pékin

Ce sont les algériens qui fantasment sur un soutien Chinois (base militaire ou débilités comme çà) et qu'ils n'auront jamais

Daniel Benaim de parent d’origine marocaine a été nommé comme « Deputy Assistant Secretaries » pour la région « near east»

The Bureau welcomes newly appointed Deputy Assistant Secretaries Hady Amr and Dan Benaim, as well as Senior Advisor Asha Castleberry-Hernandez to our team. Their regional and policy expertise will play an important role in advancing America’s mission in the Middle East.

— U.S. State Dept - Near Eastern Affairs (@StateDept_NEA) January 28, 2021

https://www.whitehouse.gov/briefing-room/statements-releases/2021/01/28/statement-by-nsc-spokesperson-emily-horne-on-national-security-advisor-jake-sullivans-call-with-head-of-cabinet-bjoern-seibert-of-the-european-commission/ a écrit:

Ca va pas être joyeux pour la Turquie avec Biden..

Quand le chat n'est pas la les souris dansent.... le chat est revenu

Ils ont observés pendant 4 ans et il y en a qui sont entrain de subir leur frustration /soif d'affirmation.

Fahed64 a écrit:

Quand le chat n'est pas la les souris dansent.... le chat est revenu

Ils ont observés pendant 4 ans et il y en a qui sont entrain de subir leur frustration /soif d'affirmation.

La Turquie a bombé le torse trop tôt, ils n'ont même pas le PIB de l'Espagne, et ils rêvent de dessins néo-ottomans.


Le MO est peu à peu entrain d'échapper au control des US, ils ne sont pas dupes, il resserrent les boulons.
TRUMP était un business man mais sur le MO c'était trop simple pour le KSA et l'UAE il suffisait de flatter son ego pour tout avoir, avec Kuchner qui était plus préoccupé par servir Israël que l'intérêt des USA;

Savoir bien profiter de cette contradiction...

Alex Ward - VOX a écrit:

Joe Biden is already facing an ally problem

Biden’s biggest foreign policy challenge? Getting Europe on board.

Alliances are the keystone of President Joe Biden’s foreign policy agenda. Whether confronting China, curbing the coronavirus pandemic, or addressing climate change, Biden has repeatedly emphasized the critical importance of working with allies to tackle major global challenges.

But the problem with keystones is that if they crumble, the rest of the structure falls with them. And less than a week into Biden’s presidency, the edifice is starting to shake. That’s because, on a number of prominent issues from China to Venezuela to trade, the United States and its closest European allies are out of sync.

Last December, the European Union signed a long-promised investment deal with China despite the public concerns of Biden’s then-incoming National Security Adviser Jake Sullivan. The worry now is China will not only tighten economic relationships with America’s transatlantic allies but also use that newfound access to steal intellectual property from European industries.

This week, the EU as a bloc downgraded its support for Juan Guaidó, the Venezuelan opposition leader European nations and the US have considered the country’s interim president since 2019. Now the EU says Guaidó is a “privileged interlocutor,” potentially exposing a gap in the transatlantic strategy to depose the nation’s dictator, Nicolás Maduro.

Biden also on Monday signed his “Buy American” executive order to ensure the US government “whenever possible” purchases items “that will help American businesses compete in strategic industries and help America’s workers thrive.” Experts fear European governments will view that move as a continuation of former President Trump’s protectionist economic policies.

No two governments are ever in perfect alignment, and rifts between the US and European nations have existed for decades. But early signs indicate Biden can’t just reflexively count on European support, which makes getting longtime allies on his side a much higher priority.

“The Europeans are not keen on following the US” in whatever it wants to do, said Erik Brattberg, the Europe program director at the Carnegie Endowment for International Peace in Washington, DC. “Just because Biden is being nice and he’s not Trump doesn’t change that calculus.”

The US-China investment deal poses headaches for Biden
At the very end of 2020, the EU and China struck a long-promised investment deal. While details remain thin, the main thrust of the agreement is that European countries in the bloc will have greater access to the Chinese market and have their companies treated more fairly in China, while Beijing will make commitments on issues ranging from the use of forced labor to the practice of forcing tech companies to hand over valuable trade secrets in order to gain access to the Chinese market.

Experts say the deal made sense for the EU. After all, its companies would now have greater access to the world’s biggest market, potentially boosting the continent’s economy for decades to come.

But analysts also note that the cons might outweigh the pros. Beijing, they suspect, likely agreed to the deal in order to preempt a Biden-led transatlantic effort to pressure China over its economic and trade practices.


Chinese President Xi Jinping meets with German Chancellor Angela Merkel, French President Emmanuel Macron, President of the European Council Charles Michel, and President of the European Commission Ursula von der Leyen via video link in Beijing on December 30, 2020

The new administration seems to agree. Sullivan, Biden’s top national security aide, expressed his concern about the deal just days before it was finalized. “The Biden-Harris administration would welcome early consultations with our European partners on our common concerns about China’s economic practices,” he tweeted on December 21. That statement wasn’t an outright “don’t do this,” but it wasn’t a clear “we welcome this agreement,” either.

Getting the EU to shift course will be difficult. It just made the agreement, and the bloc lacks a singular agency with which the US can share intelligence about China’s aims. That means Biden’s staff must go country by country to explain what they know about Beijing’s true economic goals and the alleged security threats Chinese technology companies pose.

“In a lot of ways the Trump policies were right, but the European didn’t like the rhetoric,” said Ryan Tully, who served as the senior director for Europe on Trump’s National Security Council. “Now you’re seeing the right rhetoric, but I’m concerned there is a backsliding of the right policies.”

If Biden hoped his presence — or Trump’s absence — would automatically mean closer US-EU ties on China policy, he should think again. “Biden’s team needs to recognize that it has to engage Europe on creating a joint strategy against China,” Brattberg told me, not just impose its own strategy on Europe.

The US and EU see their Venezuela problem differently
In early 2019, the US marshaled a global coalition of over 50 countries to recognize Guaidó as Venezuela’s legitimate president.

They argued that the May 2018 presidential election was rigged to give Maduro a second six-year term and that under Venezuela’s constitution, Guaidó, as the head of the National Assembly (the country’s legislative body), was the rightful — albeit temporary — leader of the country.

The EU was a major member of that global coalition, but on Monday it downgraded its view of Guaidó’s leadership. The bloc considers him a “privileged interlocutor” now — meaning a key leader the EU will still engage with — just not the interim president of the country.

The reason for the change may be straightforward: Venezuela just held National Assembly elections last year that Guaidó and his cohort refused to participate in, alleging the vote was rigged against them. As a result, Guaidó is no longer the head of the legislature and therefore can’t constitutionally be considered the nation’s interim president. However, the bloc did reiterate “its support to all those working towards a democratic future for Venezuela” in its Tuesday statement.

Even so, that stance means the US and EU currently see Guaidó differently. During his confirmation hearing to be secretary of state last week, Antony Blinken said the Biden administration would still consider Guaidó as Venezuela’s legitimate leader. (Blinken was confirmed on Tuesday for the job.)

What that means for the future of US and EU policy toward Venezuela is unclear. Laura Gamboa, an assistant professor at the University of Utah, said the differing view of Guaidó’s status clearly “weakens America’s ability to make the effort seem more multilateral,” even if Washington and Brussels share the same goal of kicking Maduro out of power.

But the University of Pennsylvania’s Dorothy Kronick told me the EU may have just done Biden a favor. By minimizing Guaidó’s importance, the Europeans gave the Americans more space to support other democratic groups in Venezuela and not rely solely on Guaidó to depose the dictator. “This statement from the EU is in no way backtracking from the commitment to restore democracy to Venezuela,” she said. “This is about looking for the most successful and effective strategy.”

Still, that it’s easy to question whether the US and EU are on the same page regarding Venezuela is a problem the Biden administration needs to fix.

Biden’s “Buy American” pledge will anger Europe
The Obama administration sought to sign a trade deal with Europe known as s the Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP), which would make it easier for American products to be sold in Europe and vice versa. Both sides failed to strike an agreement, though, and further talks died after Trump became president.

Some in Europe may have hoped Biden, who was Obama’s No. 2 during the TTIP negotiations, would rekindle the push for free trade across the Atlantic. Instead, they’ve been left to smolder as Biden on Monday signed a “Buy American” executive order to prioritize US federal government purchases of US-made items over foreign-made ones.

Immediately, the UK-headquartered Financial Times reported that “America’s top trading partners and strategic allies, including Canada and a number of European countries, have long complained that buy American measures are a protectionist attempt to shut out their multinationals from the US economy.”

Brattberg, the Europe program chief at the Carnegie Endowment, noted the same thing in our conversation. “Europeans are a bit concerned that protectionist policies may continue under Biden,” he told me.

That could present a growing problem. Biden’s team promised to pursue a foreign policy that would bolster America’s working class, and ensuring the government helps US companies thrive is one way to do that. But leaning too much into “Buy American” will only anger European allies who have long waited to compete fairly in the US market against local firms.

Economic tensions between the US and Europe are already quite high. The Trump administration placed billions in tariffs on European goods, and both the US and EU recently concluded a rancorous trade dispute over subsidies to their major aviation companies. If there was ever a time to calm nerves about the state of transatlantic trade relations, it’d be now — and “Buy American” seems likely to do the opposite.

None of this is to say Biden is grossly imperiling US-EU relations. It already looks like the continent’s leaders are happier to see him in the Oval Office than Trump. But it’s just not clear that Biden has the tight-knit bond he hoped to form — proving a big foreign policy problem for his early presidency.

Trump lui savait très bien que l'Europe est une prostituée qui est prête à vendre pour celui qui donne plus c'est pour ça qu'il a pris de telles démarches, sincèrement la politique extérieure de Trump était plus efficace, malheureusement le cov19 est venu pour casser tout son travail je commence à douter que c'est une conspiration chinoise justement pour l'empêcher de faire un deuxième mandat.
Maintenant Baiden a deux choix seulement, continuer dans la ligne dure de Trump et ne rien céder à qui que ce soit voir durcir plus sa politique et exiger plus ou donner des concessions et avoir une politique Obama bis

Pour le Maroc, en tout cas, une divergence Europe USA ne peut que servir nos intérêts, de la même façon qu'une divergence UK Europe.

ralek1 a écrit:

Pour le Maroc, en tout cas, une divergence Europe USA ne peut que servir nos intérêts, de la même façon qu'une divergence UK Europe.

Exactement, et c'est tout ce que je souhaite...