perso je suis pour que les opérateurs locaux profitent des marchés et tout ça mais je voit d'un mauvais oeil ce akhennouche qui a la casquette de ministre de l'agriculture et qui en meme temps signe des accord de ce genre via son entreprise afriquia gaz c'est immoral
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Atlantic aime ce message
Auteur
Message
Stinger Lt-colonel
messages : 1387 Inscrit le : 18/06/2020 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 19 Aoû 2021 - 23:26
Fahed64 a écrit:
Si ont continue sur cette lancée on va finir l’année avec 42B$ d’export du jamais vue
Si on enlever les freins à l'économie on aurait le double quand tu vois ce que font d'autres
Shugan188 Modérateur
messages : 5256 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 20 Aoû 2021 - 13:36
Exclusif: le fisc marocain réclame 110 millions de dollars à Nestlé
Abashi Shamamba 3 - 4 minutes
Par Abashi Shamamba.
Par son montant, le rappel d’impôts infligé par le fisc marocain à Nestlé Maroc est historique. L’administration fiscale marocaine réclame un milliard de dirhams (110 millions de dollars) à la filiale du groupe agroalimentaire suisse à la suite d’un contrôle mené par la redoutable équipe de la division nationale des vérifications fiscales relevant directement du patron de la Direction Générale des Impôts à Rabat.
Le fisc a en effet rejeté la méthode de calcul des prix de transfert appliquée par Nestlé Maroc, c’est-à-dire, les prix auxquels sont facturés les achats et les ventes des biens et services entre la société et les autres filiales du groupe, mais aussi avec sa maison-mère. Il est reproché à Nestlé Maroc d’organiser indûment un transfert des bénéfices à sa maison mère en minorant le résultat imposable au Maroc par la manipulation des prix de transfert. Depuis son siège à Genève, le groupe Nestlé a dépêché des avocats fiscalistes qui se sont joints aux consultants locaux du cabinet EY pour assister sa filiale dans la procédure engagée devant la Commission nationale de recours fiscal pour contester ce redressement. Négociations ouvertes avec la DGI
Sonné dans un premier temps, le management de Nestlé Maroc se montre aujourd’hui serein car la société s’est approchée de l’administration fiscale afin de trouver un accord à l’amiable et, au passage, obtenir une décote sur ce gigantesque redressement fiscal. Imane Zaoui, directrice générale de Nestlé Maroc, se dit confiante sur l’issue de ces tractations. Pour elle, «la méthode utilisée par Nestlé Maroc est un schéma mondial implémenté dans toutes les filiales du groupe». Pas sûr que cet argument puisse convaincre le fisc marocain. Il semble que les discussions entre les deux parties seraient plus proches de la rupture que d’une transaction, assure une source.
Selon la loi marocaine, dans une transaction entre le fisc et un contribuable, une remise sur le montant des redressements fiscaux ne peut porter que sur des questions d’interprétation et non de droit. En gros, il n’est pas possible de réduire la note de la TVA non versée au Trésor, mais le fisc peut concéder une baisse sur les montants des pénalités de retard ou du niveau des redevances qu’une entreprise a versé à sa maison-mère au titre de l’assistance technique.
Dans les opérations de contrôle fiscal des filiales de multinationales au Maroc, les prix de transfert constituent le point-focus sur lequel se concentrent les inspecteurs des impôts lors des opérations de vérification des comptabilités des sociétés. En la matière, c’est la doctrine émise par l’OCDE avec au cœur le principe de pleine concurrence, qui fait autorité dans tous les pays. Mais tout le monde, entreprises comme administrations fiscales, n’en fait pas la même lecture. Pour prévenir le contentieux et donner plus de visibilité aux entreprises, le législateur marocain a institué le mécanisme des «accords préalables sur les prix de transfert». Celui-ci consiste à faire valider à l’avance par la Direction Générale des Impôts la méthode de calcul des prix de transfert. L’accord est valable cinq ans.
Bruce Wayne, Jihad et redman aiment ce message
redman Aspirant
messages : 592 Inscrit le : 14/10/2011 Localisation : FRANCE Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 22 Aoû 2021 - 12:01
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 25 Aoû 2021 - 17:03
La francophonie économique .... La guérison du Maroc est encore loin avec ce genre d'élites ....
MAP a écrit:
La francophonie économique, un levier puissant pour la relance post-Covid (Président de la CGEM)
mercredi, 25 août, 2021 à 14:51
Paris – La francophonie économique peut constituer un levier puissant pour la relance post-Covid, a affirmé le président de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), Chakib Alj.
Le choc de la pandémie a fait ressortir l’importance des sous-ensembles, qu’ils soient régionaux ou communautaires, a indiqué le président de la CGEM qui intervenait, mardi à Paris, lors d’un panel sur le thème “La francophonie économique : une valeur ajoutée pour le secteur privé ?”, organisé dans le cadre de la première Rencontre des Entrepreneurs Francophones, à l’initiative du Medef, le patronat français.
Selon M. Alj, l’espace francophone doit adopter “une posture offensive pour renouer avec la croissance et repenser ses partenariats économiques et commerciaux, pour qu’ils soient plus inclusifs, plus ouverts et plus durables”. Il a également estimé que “la Francophonie doit devenir un levier de développement économique pour les pays” formant cet espace.
“Pour que la Francophonie ne soit plus qu’un partage de langue mais plutôt un véritable espace économique, il faut qu’elle représente un avantage compétitif et qu’elle apporte de la valeur ajoutée palpable pour les entreprises”, a affirmé le président de la CGEM pour qui le potentiel est là, encore faut-il l’exploiter de manière plus ambitieuse et volontariste.
En effet, a souligné le président de la CGEM, les pays de l’espace francophone ont d’innombrables atouts qui peuvent profiter à leurs partenaires économiques. Si les uns disposent de ressources naturelles abondantes, d’autres sont connus pour leurs avancées technologiques ou encore scientifiques, et d’autres sont plus avantagés par la qualité de leurs ressources humaines qualifiées.
Pour profiter de ces complémentarités, il a appelé les opérateurs économiques francophones à mettre en place “une plateforme francophone de partage des opportunités d’affaires et d’investissement, qui pourrait être consolidée par un mécanisme de financement francophone”.
Le président de la CGEM a souligné également la nécessité de travailler sur la densification des voies de circulation du commerce, à travers, notamment, le renforcement des voies maritimes et aériennes, le développement de la connectivité économique et financière, “afin que l’on se débarrasse des barrières qui entravent le commerce entre nos pays”.
“Au Maroc, nous avons construit, depuis plusieurs années, un socle très favorable au développement de la coopération avec nos partenaires européens et africains en termes de connectivité maritime : avec les ports de Tanger-Med, de Casablanca et des futurs ports de Dakhla Atlantique et de Nador Med, de connectivité aérienne : avec la Royal Air Maroc qui dessert la majorité des capitales des deux continents; et de connectivité économique et financière: avec trois banques marocaines présentes dans 24 pays africains, dans toute l’Europe et Casablanca Finance City, qui représente un hub financier africain”, a expliqué le président de la CGEM.
Sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI, a-t-il ajouté, les opérateurs économiques marocains, toutes tailles confondues, opèrent aujourd’hui dans plus de 30 pays du Continent créant, avec leurs partenaires locaux, de la valeur ajoutée partagée et des emplois pérennes. Et, “si cet ancrage s’accentue, au fil du temps, c’est aussi grâce à la collaboration étroite que le Royaume entretient avec les pays de l’espace francophone”, a-t-il considéré.
“Le Maroc est également un promoteur de la coopération triangulaire, avec ses partenaires traditionnels comme la France, pour l’accélération de l’émergence de l’Afrique, en matière de promotion du capital humain, d’insertion des jeunes, de construction d’infrastructures, de développement durable ou encore d’innovation”, a encore relevé le président de la CGEM.
De l’avis du président de M. Alj, “le renforcement de la francophonie économique ne peut se faire sans un engagement fort des secteurs privés francophones, en parfaite harmonie avec l’action des États et de la société civile, pour une coopération rénovée, dans un esprit de partage et de co-construction”.
C’est pour cela que la CGEM, en tant que représentant du secteur privé marocain, “affirme sa mobilisation et son attachement à coopérer avec l’ensemble de ses homologues francophones pour identifier des quick wins, mais aussi les contraintes à lever pour permettre à la francophonie économique d’atteindre son plein potentiel”, a-t-il affirmé avant de souligner que “notre objectif commun est de renforcer nos échanges, de créer de nouveaux marchés, de co-investir et de co-produire”.
Et de conclure que “ces ambitions prendront tout leur sens si nous œuvrons, dès à présent, main dans la main, pour consolider nos acquis et aller au-delà, en traçant une feuille de route économique post-Covid conjointe, au service de nos entreprises et de nos populations”.
Le panel “La francophonie économique : une valeur ajoutée pour le secteur privé ?”, a été marqué par des interventions de Karl Blackburn, président et chef de la direction du Conseil du patronat du Québec, Mohamed Zeine El Abidine Cheikh Ahmed, président de l’Union des Patronats du Sahel (UPAS), Michèle Detaille, présidente de la Fédération des Industriels Luxembourgeois (FEDIL), Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’Etat auprès du Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Samir Majoul, président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), et de Geoffroy Roux de Bezieux, président du Mouvement des entreprises de France (MEDEF).
La première Rencontre des Entrepreneurs Francophone réunit mardi et mercredi des délégations patronales ainsi que des chefs d’État et des personnalités de premier plan venus de quatre continents qui ont la francophonie en partage, et ce pour “sceller une communauté francophone d’affaires unique au monde”.
Cet évènement, organisé dans le cadre de l’Université d’été du MEDEF, l’un des temps forts de la rentrée politique et économique en France, a été marqué par le lancement d’une plateforme de dialogue des patronats francophones pour renforcer leurs flux d’affaires à laquelle a adhéré la CGEM.
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Bruce Wayne, Fahed64, Ichkirne, youssef_ma73 et Shugan188 aiment ce message
Fox-One General de Division
messages : 7911 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 25 Aoû 2021 - 17:57
Adam a écrit:
La francophonie économique .... La guérison du Maroc est encore loin avec ce genre d'élites ....
malheureusement, la France peux toujours compter sur ses fidèles sujets, ALLAH y3fou..
romh General de Brigade
messages : 3685 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 25 Aoû 2021 - 18:41
Du grand n'importe quoi, c'est désolant vraiment, le chef des patrons qui parle de francophonie économique en 2021
On appelle ça une feuille de route ????? L'incompétence des gens en charge de la gestion de certains secteurs stratégiques va nous casser les pieds malheureusement, c'est une présentation digne de'un exposé de deuxième année où troisième année licence, je vous invite à voir ou consultez les rapports élaboré par l'agence internationale de l'énergie, ou juste les fiche de projet réalisé par certains entreprise privé, c'est grave de voir un plan si stratégique pour le Maroc son avenir et son énergie, élaborer et présenté par un tel amateurisme et une tel médiocrité, Je le demande quel sont les études quantitatives que ce ministère a fait pour élaborer un tel plan, exp: estimation de l'évolution de la demande énergétique, estimation de la valeur économique générée par l'utilisation du gaz dans certains secteurs, estimation de l'évolution des prix, estimation de l'évolution des investissements dans ce secteur sur la lumière de la situation actuelle, la simulation des différents scénarios du mixte énergétique, réalisation des évaluations financière (Real options analysis and risque assessment) pour les différentes form d'utilisation de gaz, (gaz to power, gaz to gaz, gaz to liquid...) Bref je peut vous confirmer que ce plan a été réalisé en quelques jours par quelqu'un qui l'a donné au ministre juste pour caché son échec phénoménal dans le plan gaz to power et avec une improvisation au de là de la maladresse ou l'incompétence
Hotel ECHO, Fahed64, Jihad, Adam et Shugan188 aiment ce message
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Aoû 2021 - 16:12
De toute façon ce gouvernement incompétent va se barrer dans un mois max, la vrai feuille de route viendra d'ici la fin de l'année lors du nouveau gouvernement.
QuickShark aime ce message
Shugan188 Modérateur
messages : 5256 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Aoû 2021 - 16:20
Vous voulez rire ,voici qui participe à l élaboration de la stratégie énergétique marocaine: https://www.giz.de/en/worldwide/58062.html
Fahed64 Administrateur
messages : 24819 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Aoû 2021 - 16:38
Shugan188 a écrit:
Vous voulez rire ,voici qui participe à l élaboration de la stratégie énergétique marocaine: https://www.giz.de/en/worldwide/58062.html
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
romh General de Brigade
messages : 3685 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Aoû 2021 - 16:41
Alors on coupe les relations avec un partenaire au quel on a confié le traçage du futur de notre secteur d'énergie ? Autre chose quand je vois la qualité des échanges dans certaines conférences ou les documents produits par certains organismes allemands dans le secteur d'énergie je dis qu'on se fiche de notre gueule avec le document produits par le ministère et je me demande quel type d'expertise ou de contribution allemande ou internationale ont intervenue lors de l'élaboration de cette feuille de route, pour les partenaires nationaux irsen onee et autres il vaut mieux que je garde le silence
Hotel ECHO et daama94 aiment ce message
Shugan188 Modérateur
messages : 5256 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Aoû 2021 - 16:52
Faite un tour dans le section Maroc ,quand l ambassadeur de l Allemagne a parlé du fédéralisme ,il n a pas parlé à partir d un vide.
romh aime ce message
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 27 Aoû 2021 - 15:34
https://mipa.institute/8681
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Fahed64, romh et QuickShark aiment ce message
Fahed64 Administrateur
messages : 24819 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 27 Aoû 2021 - 18:16
Je mets cela ici, bon en gros le plan B..... c'est la barge flottante
Citation :
Arrêt du gazoduc Maghreb-Europe : que risque le Maroc ?
Le ministère algérien de l’Énergie et des Mines Mohamed Arkab a affirmé, le 26 août, que l’approvisionnement en gaz de l’Espagne se ferait désormais à travers le gazoduc Medgaz. L’abandon du gazoduc Maghreb-Europe prive le Maroc de sa source majeure de gaz naturel. Mais le royaume a préparé d’autres options pour assurer son approvisionnement.
L'’Algérie va-t-elle abandonner le gazoduc Maghreb-Europe, passant par le territoire marocain ? C’est ce que laisse entendre un communiqué du ministère algérien de l’Énergie et des Mines, rapporté par l’agence officielle APS le 26 août.
À l’issue d’une rencontre avec l’ambassadeur espagnol à Alger, le ministre algérien de l’Énergie et des Mines Mohamed Arkab a affirmé “l’engagement total de l’Algérie à couvrir l’ensemble des approvisionnements de l’Espagne en gaz naturel à travers le Medgaz” qui relie directement les deux pays, informe le communiqué.
Selon la même source, le ministre a mis en avant “le récent projet d’extension de la capacité du gazoduc Medgaz” et rappelé “les efforts déployés par l’Algérie pour garantir la sécurité des approvisionnements en gaz naturel du marché espagnol”. Exit donc le gazoduc Maghreb-Europe (GME), qui assurait jusqu’à présent 30 % du gaz naturel consommé dans la péninsule ibérique, et au titre duquel le Maroc reçoit 7 % de droit de péage.
5 % des besoins en gaz Le contrat qui lie l’Algérie et le Maroc pour l’exploitation de ce gazoduc expire le 31 octobre prochain. Le 19 août dernier, la directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra avait affirmé la volonté du Maroc de maintenir ce gazoduc qui, pour elle, “est un formidable outil de coopération gagnant-gagnant et un exemple de projet régional structurant et mutuellement bénéfique”.
En activité depuis 25 ans, le GME fournit au Maroc annuellement 600 millions de m3, soit plus de 65 % des besoins en gaz du royaume (le marché du gaz naturel est évalué à près de 900 millions m3 avec une production locale de 100 millions m3). Ce gaz naturel alimente deux centrales à gaz à cycle combiné, Ain Beni Mathar et Tahaddart. Les deux centrales assurent près de 17 % de la production d’électricité du pays.
En cas de rupture d’approvisionnement en gaz, le Maroc risque-t-il une pénurie d’électricité ? Un scénario peu probable selon un proche du dossier, qui affirme que le royaume dispose des capacités installées nécessaires pour parer à toute éventualité. Concernant les deux centrales à gaz à cycle combiné, une source au sein d’une institution publique nous apprend que cette éventualité a déjà été prévue par l’ONEE et le ministère de tutelle.
Des unités flottantes de gaz Sans expliquer les détails de ce plan, notre interlocuteur évoque des stocks de gaz suffisants pour approvisionner les centrales de Ain Beni Mathar et Tahaddart sur plusieurs mois.La seconde option est l’utilisation de FSRU (Floating Storage Regasification Unit) ou unités flottantes de transport de gaz liquéfié. Solutions rapides et flexibles, les unités flottantes permettent de transporter le gaz naturel à l’état liquide, de le ramener à l’état gazeux et de l’injecter sur le réseau de gaz naturel.
En avril dernier, le ministère de l’Energie a lancé un appel à manifestation d’intérêt (AMI) dans le but d’“identifier les sociétés opérant dans les domaines de la construction des FSRU, en vue du lancement éventuel d’un appel d’offres ou d’un partenariat public-privé (PPP)”.
Les ports susceptibles d’accueillir cette unité sont Mohammedia, Nador West Med et Kenitra. L’AMI prévoit de connecter le gazoduc évacuant le gaz du FSRU au gazoduc GME. La présélection est programmée pour octobre 2021.
Cet AMI figure dans la première phase de la feuille de route du gaz naturel 2021-2050, dévoilée par le ministère de l’Énergie le 18 août dernier. La stratégie qui vise à développer un marché gazier à destination des industriels et pour la transformation en énergie, prévoit aussi l’approvisionnement en GNL à travers des camions-citernes ou Isotanks, et la mise à disposition de terminaux onshore.
Sur le long terme (2030-2050), le gazoduc Nigéria-Maroc sera opérationnel et pourra fournir les besoins nationaux en gaz naturel, estimés à plus de 3 milliards de m3 en 2040.
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
QuickShark aime ce message
mourad27 Modérateur
messages : 7944 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 28 Aoû 2021 - 15:10
un chantier a agadir exporte un bateau de pêche propulsion hybryde a un client en france bretagne (berceau de la construction navale francaise )
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
kolopoi12, Tanjawi, Voldenuit, Khalid, Fox-One, Hotel ECHO, QuickShark et Arbalo aiment ce message
PGM Administrateur
messages : 11663 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 28 Aoû 2021 - 16:54
Pour le gaz et histoire de consolider notre projet avec le Nigeria, il serait judicieux de se fournir en gnl chez eux. Alger qui avait un client captif a ses portes, va permettre à un concurrent de s'installer juste a côté....
_________________
Voldenuit, Khalid, Hotel ECHO, hdary, Adam, QuickShark, sraboutibada et aiment ce message
mourad27 Modérateur
messages : 7944 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 29 Aoû 2021 - 20:05
j'aimerais partager avec vous cet article de 2008 d'ignacio cembrero sur les projets electrique de ain beni mathar et tahadart tout deux attribué sa des société espagnoles a un moment ou le Maroc n'utilisait pas le gaz algérien il y avait surement un accord entre le Maroc et l'Espagne de fournir du gaz pour leur fonctionnement en contrepartie que les projets soient attribuées a des société ibériques ou du moins une bonne partie de leurs besoins je me rappelle a un moment donné que les espagnols (je l'ai lu quelque part) commandaient du gaz via el GME uniquement pour le laisser en service alors qu'ils avaient presque abandonné le gaz algerien mais en réalité ces commandes avaient pour fonction de fournir le gaz pour les centrales electriques comme prévu dans l'accord (c'est mon avis perso suite aux recoupement ici et là)
le Maroc a ensuite demandé a sonatrach d'étudier un contrat d'appro d'un milliards de m3 de gaz annuel sur 10 ans justement pour palier a la faiblesse des quantités transitantes vers la péninsule ibérique suffisamment pour alimenter les centrales et une partie du marché intérieur tout ça pour dire que l'espagne a mon sens a une responsabilité vis a vis du Maroc dans cette affaire en acceptant le projet du medgaz il y avait deja ce risque que l'algérie cour circuite le GME ou l'utilise comme outil politique et quid des engagements espagnols grace auxquel leurs société ont decroché un marché stratégique chez nous ils doivent nous fournir le gaz en retour sinon quel interet pour notre pays de leur offrir des marchés s'ils ne respectent pas leurs engagements
Citation :
Le Maroc finit par « sucer » le gaz algérien Abener construit la plus grande centrale électrique à cycle combiné au monde dans l'est du pays IGNACIO CEMBRERO 11 MAI 2008 - 00:00 CEST Petit à petit, furtivement, le Maroc brise un tabou. Malgré les mauvaises relations qu'il entretient avec l'Algérie, il commence à profiter du gaz algérien qui, via le gazoduc Europe-Maghreb, traverse son territoire pour aboutir en Espagne.
Jusqu'à récemment, les autorités marocaines s'accrochaient au dogme selon lequel la sécurité énergétique était en contradiction avec la consommation de gaz de son voisin et adversaire. Ce n'est pas en vain que leur frontière commune, longue de 1 560 kilomètres, est fermée depuis 14 ans et les saisies diplomatiques entre Alger et Rabat sont fréquentes.
Le Maroc abandonne cependant sa doctrine traditionnelle aux mains de plusieurs sociétés espagnoles. D'abord c'était Endesa et maintenant ce sera, à plus grande échelle, Abener.
Dans les discours il est omis d'indiquer l'origine algérienne du gaz qui sera utilisé Rabat renonce au péage de transit et choisit de profiter du gaz A Ain Beni Mathar, ville poussiéreuse et perdue de l'est du Maroc, Abener, la filiale énergie d'Abengoa, va construire la plus grande centrale électrique à cycle combiné au monde avec une technologie qui combine un champ solaire, deux turbines à gaz et une vapeur.
Il faudra 180 000 mètres carrés - l'équivalent de 25 terrains de football - pour installer les capteurs solaires qui produiront 20 mégawatts auxquels il faudra ajouter ceux des autres turbines. Au total, 472. Ce contrat, le plus important réalisé par Abener dans son histoire, s'élève à 469 millions d'euros, dont 27,5 millions seront financés par un fonds dépendant de la Banque mondiale.
Abener a remporté un appel d'offres de la compagnie d'électricité marocaine ONE presque en même temps qu'elle était lauréate d'un autre appel d'offres, cette fois en Algérie, pour construire à Hassi R'Mel une centrale similaire à la centrale marocaine, mais de moindre puissance (150 mégawatts) pour un montant de 280 millions d'euros.
Le projet marocain est suffisamment important pour que le roi Mohamed VI se rende le 28 mars à l'inauguration des travaux, même si, en pratique, ils ont commencé trois semaines plus tard. Abener est confiant que l'usine commencera à fonctionner en 2010.
Cependant, dans les discours d'ouverture et les communiqués de presse, tout le monde a évité de mentionner explicitement l'origine du gaz que la nouvelle usine consommera. Celui-ci sera érigé à côté du gazoduc Maghreb-Europe, que les Catalans préfèrent appeler Duran-Farrell, dont le trajet au Maroc est de 540 kilomètres. Le gaz sera donc algérien bien que le gazoduc soit géré par Metragaz, filiale de Gas Natural.
Le gaz est le seul produit qui passe légalement - tout le reste est de la contrebande - d'un pays à l'autre. Mais jusqu'à récemment, les Marocains préféraient faire payer pour autoriser le transit - environ 80 millions de dollars par an - au lieu de profiter de leur part des 9 milliards de mètres cubes qu'il transporte annuellement. Ce montant équivaut à 75 % du gaz que l'Espagne importe d'Algérie.
Le canon que le Maroc reçoit est secret, mais des sources dans le secteur du gaz le situent à 8% alors que le ministre algérien de l'Energie, Chakib Khelil, l'a jadis relevé à 12%. Pour éviter de payer ce péage, le deuxième gazoduc entre l'Espagne et l'Algérie, le Medgaz, qui sera achevé en 2009, ne traversera pas le Maroc.
Un tube immergé d'environ 200 kilomètres reliera directement Beni Saf (Algérie) à Almeria. Il transportera environ 8 000 millions de mètres cubes. "Ce sera plus sûr car cela interconnectera deux pays directement et moins cher car cela ne paiera pas de droits de passage", a déclaré Khelil publiquement.
Endesa a été la première entreprise autorisée au Maroc à aspirer le gaz du gazoduc. En 2005, Juan Carlos et Mohamed VI ont inauguré une centrale thermique à cycle combiné de 384 mégawatts à Tahaddart, près de Tanger. Plus tard, timidement, Somaca, constructeur marocain contrôlé par Renault, a été incité à son tour à en profiter. Maintenant Abener entre avec force.
« Lorsque l'usine d'Abener fonctionnera, le Maroc absorbera la totalité du quota de gaz algérien auquel il a droit sans dépenser un dollar », commente un cadre du secteur. "C'est un changement radical", souligne-t-il. Jusqu'à présent, Rabat était réticent à consommer du gaz algérien en grande quantité.
Le pari gazier qu'esquisse aujourd'hui le Maroc n'est pas exclusivement tourné vers l'Algérie. Rabat envisage de construire une usine de regazéification de gaz liquéfié qatari ou russe à Tanger ou à Mohamedia pour un montant d'environ 407 millions d'euros. Vous ne pouvez pas mettre tous vos œufs dans le même panier.
Pour réduire sa dépendance énergétique, elle a également conclu en octobre un accord avec la multinationale française Areva pour extraire l'uranium du phosphate. C'est le premier exportateur mondial de ce minerai. La prochaine étape sera de construire une centrale nucléaire avec l'aide d'Areva.
Citation :
HASSAN II A OPTÉ POUR L'ALGÉRIE Gas Natural, principal importateur d'hydrocarbures algériens en Espagne, a annoncé, le 15 juillet 1999, lors d'une réunion tenue dans la salle à manger de la maison du ministre de l'Intérieur de l'époque, Driss Basri, un accord ambitieux pour gazéifier le Maroc avec des énergie.
Elle a commencé par construire plusieurs centrales à cycle combiné et a fini par amener du gaz algérien dans les foyers des principales villes marocaines. Des ménagères marocaines allaient cuisiner au gaz algérien.
"Sa Majesté connaît votre projet et l'approuve", a déclaré Basri, le bras droit d'Hassan II, à l'issue de la rencontre. Guzmán Solana, alors PDG de Gas Natural, et Antoni Llardén, son directeur général, ont eu du mal à cacher leur joie. C'était un pari audacieux de Basri car les relations politiques avec l'Algérie étaient déjà en mauvaise posture.
C'est pourquoi Basri a demandé avec insistance à ses invités si le gazoduc était réversible, s'il pouvait recevoir du gaz russe, norvégien ou qatari au cas où l'Algérie en couperait l'approvisionnement. La réponse était accablante : oui. Curieusement, le ministre marocain a invité ce correspondant à assister à la négociation à son domicile.
Une semaine après cette nomination, le 23 juillet, Hassan II est décédé et Basri est tombé en disgrâce . La signature du contrat a été reportée sine díe. Mohamed VI, le nouveau roi, n'a pas voulu continuer sur la voie tracée par son père car il se méfiait peut-être de Basri ou la dépendance énergétique qu'il allait avoir vis-à-vis de l'Algérie lui paraissait excessive.
"Maintenant, la hausse vertigineuse des prix du pétrole a poussé les responsables marocains à reconsidérer ces décisions", explique Fahd Irakien, journaliste économique à l'hebdomadaire Tel Quel . Le Maroc manque de ses propres sources d'énergie et le gaz naturel ne représente que 1% de sa facture énergétique.
Pour atténuer les effets de la hausse des prix de l'énergie - les importations de pétrole ont coûté 69 % de plus sur les quatre premiers mois de l'année qu'en 2007 - Mohamed VI a demandé au roi saoudien Abdallah de lui octroyer 500 millions de dollars et il l'a obtenu ce lundi. .
Pour économiser l'énergie, Rabat introduira également pour la première fois l'heure d'été. Il le fera à partir du 1er juin. -
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Hotel ECHO aime ce message
Dias63 Lieutenant
messages : 793 Inscrit le : 31/07/2018 Localisation : France Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 29 Aoû 2021 - 21:20
Fahed64 a écrit:
Je mets cela ici, bon en gros le plan B..... c'est la barge flottante
Citation :
Arrêt du gazoduc Maghreb-Europe : que risque le Maroc ?
Le ministère algérien de l’Énergie et des Mines Mohamed Arkab a affirmé, le 26 août, que l’approvisionnement en gaz de l’Espagne se ferait désormais à travers le gazoduc Medgaz. L’abandon du gazoduc Maghreb-Europe prive le Maroc de sa source majeure de gaz naturel. Mais le royaume a préparé d’autres options pour assurer son approvisionnement.
L'’Algérie va-t-elle abandonner le gazoduc Maghreb-Europe, passant par le territoire marocain ? C’est ce que laisse entendre un communiqué du ministère algérien de l’Énergie et des Mines, rapporté par l’agence officielle APS le 26 août.
À l’issue d’une rencontre avec l’ambassadeur espagnol à Alger, le ministre algérien de l’Énergie et des Mines Mohamed Arkab a affirmé “l’engagement total de l’Algérie à couvrir l’ensemble des approvisionnements de l’Espagne en gaz naturel à travers le Medgaz” qui relie directement les deux pays, informe le communiqué.
Selon la même source, le ministre a mis en avant “le récent projet d’extension de la capacité du gazoduc Medgaz” et rappelé “les efforts déployés par l’Algérie pour garantir la sécurité des approvisionnements en gaz naturel du marché espagnol”. Exit donc le gazoduc Maghreb-Europe (GME), qui assurait jusqu’à présent 30 % du gaz naturel consommé dans la péninsule ibérique, et au titre duquel le Maroc reçoit 7 % de droit de péage.
5 % des besoins en gaz Le contrat qui lie l’Algérie et le Maroc pour l’exploitation de ce gazoduc expire le 31 octobre prochain. Le 19 août dernier, la directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra avait affirmé la volonté du Maroc de maintenir ce gazoduc qui, pour elle, “est un formidable outil de coopération gagnant-gagnant et un exemple de projet régional structurant et mutuellement bénéfique”.
En activité depuis 25 ans, le GME fournit au Maroc annuellement 600 millions de m3, soit plus de 65 % des besoins en gaz du royaume (le marché du gaz naturel est évalué à près de 900 millions m3 avec une production locale de 100 millions m3). Ce gaz naturel alimente deux centrales à gaz à cycle combiné, Ain Beni Mathar et Tahaddart. Les deux centrales assurent près de 17 % de la production d’électricité du pays.
En cas de rupture d’approvisionnement en gaz, le Maroc risque-t-il une pénurie d’électricité ? Un scénario peu probable selon un proche du dossier, qui affirme que le royaume dispose des capacités installées nécessaires pour parer à toute éventualité. Concernant les deux centrales à gaz à cycle combiné, une source au sein d’une institution publique nous apprend que cette éventualité a déjà été prévue par l’ONEE et le ministère de tutelle.
Des unités flottantes de gaz Sans expliquer les détails de ce plan, notre interlocuteur évoque des stocks de gaz suffisants pour approvisionner les centrales de Ain Beni Mathar et Tahaddart sur plusieurs mois.La seconde option est l’utilisation de FSRU (Floating Storage Regasification Unit) ou unités flottantes de transport de gaz liquéfié. Solutions rapides et flexibles, les unités flottantes permettent de transporter le gaz naturel à l’état liquide, de le ramener à l’état gazeux et de l’injecter sur le réseau de gaz naturel.
En avril dernier, le ministère de l’Energie a lancé un appel à manifestation d’intérêt (AMI) dans le but d’“identifier les sociétés opérant dans les domaines de la construction des FSRU, en vue du lancement éventuel d’un appel d’offres ou d’un partenariat public-privé (PPP)”.
Les ports susceptibles d’accueillir cette unité sont Mohammedia, Nador West Med et Kenitra. L’AMI prévoit de connecter le gazoduc évacuant le gaz du FSRU au gazoduc GME. La présélection est programmée pour octobre 2021.
Cet AMI figure dans la première phase de la feuille de route du gaz naturel 2021-2050, dévoilée par le ministère de l’Énergie le 18 août dernier. La stratégie qui vise à développer un marché gazier à destination des industriels et pour la transformation en énergie, prévoit aussi l’approvisionnement en GNL à travers des camions-citernes ou Isotanks, et la mise à disposition de terminaux onshore.
Sur le long terme (2030-2050), le gazoduc Nigéria-Maroc sera opérationnel et pourra fournir les besoins nationaux en gaz naturel, estimés à plus de 3 milliards de m3 en 2040.
En gros, ceux qui gère ce dossier doivent prendre la porte parce que l'on a pas de solution concrète pour le 1 er septembre... Un pays qui nous veut que du malheur depuis 70 ans mais on a rien fait pour prévenir... Et malgré que l'on soit en large position de force sur ce dossier, quand la sonatrach signera le contrat, les généraux annonceront partout que le royaume leur faisait pitié et qu'ils sont une puissance régionale. Et pour le coup, ils auront raison sur ce sujet et on passera pour des clodos. Faut du changement au ministère des mines et j'sais pas quoi... La honte sur la gestion du dossier !
Hotel ECHO aime ce message
marques General de Brigade
messages : 3659 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Avec le PJD aux manettes du secteur depuis quelques années, dont un Rebbah occupé à distribuer des agréments de distributeurs de carburant et à monnayer les ouvertures de stations service à droite à gauche . Je crain pire que le pire.... On est loin d'une gestion procative à la MHE, mais alors là très très loin....On est foutu.
tu peux développé sur la distibution d'agréments et monnayer les ouvertures de stations service? Merci.
Ce sont des choses graves donc j'aimerais que tu ailles dans le détail et que tu nous donne les sources où tu as eu ces informations. Car je n'en ai jamais entendu parlé dans les média marocains.