Guerre contre le Terrorisme dans le Maghreb

Rappel du premier message :

le Terrorisme est certainement un ennemi commun entre le Maroc est l'Algerie. encore plus eguise chez nos voisins. un appel a la cooperation contre le Terrrorisme a ete deja lance par Sa Majeste le Roi, a l'occation des derniers Attaques d'Alger.

sur terre, comment imaginez vous une guerre Magrebine contre le terrorisme ??? et pensez vous que l'ANP et les FAR commbatront dans les memes Rangs cet ennemi imprevisible???

Il y'a un livre que j'ai lu à propos de cette sale guerre qu'avait à mener le peuple algérien, et ce livre porte ce meme nom, la Sale Guerre du Lt.Habib Souaidia, ex-officiers de l'ANP. Un livre qui ressele bien des secrets et dans lesquels vous pourrez lire des faits jamais racontés et qui si j'en venais à les écrire ici provoquerait bien des mauqueries.

J'ai lu ce livre, Boomer, on y apprend bien des choses, mais c'est impossible à vérifier

Samyadams a écrit:

J'ai lu ce livre, Boomer, on y apprend bien des choses, mais c'est impossible à vérifier

Combien connait on de livre qui ait poussé le Gneral Nezzar a faire le déplacement jusqu'en france pour se defendre devant le media ?

reese a écrit:

Si tu appelles ces cochons de l AQMI " des citoyens " c est que tu dois avoir une certaine ressemblance avec eux .

J'ai pleuré franchement.Vive le maroc et vive l'algérie.Que tout ceci cesse...

Il y a aussi le livre d'un ex-agent de la DRS, que je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de lire
Je n'oublierai jamais la scène du Général Khalid Nizar entrain de faire les cent pas dans le couloir du palais de justice, lors de son procès contre Habib Souaidia

Meme les militaires algeriens et les medias le sentent,le Pentagone n'a plus de patience avec l'arnp et boutef.

Citation :

DERNIÈRES RÉVÉLATIONS DU NEW YORK TIMES
Le Pentagone veut débarquer au Sahel
30 Octobre 2010 - Page : 3
Lu 3997 fois

Après l’Afghanistan et l’Irak, est-ce le tour du Sahel?

Le New York Times vient de dévoiler aux yeux du monde l’esquisse de la stratégie mise au point par les Américains.

Lundi 18 octobre, le Président Bouteflika reçoit la ministre française de la Justice, Michèle Alliot-Marie, dans une audience qui a duré deux heures, selon des sources fiables. Le fait n’est pas habituel, protocolairement et conventionnellement. Il est plutôt dicté par des impératifs sécuritaires d’urgence dont l’examen peut passer outre ces considérations.
Ancienne ministre de la Défense, elle connaît le dossier. Et puis, entre elle et les Algériens, il n’y a aucun a priori, contrairement à l’actuel ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner. Selon nos sources, le sujet du Sahel a pris la part du lion dan cet entretien. Mais dans ce dossier épineux du Sahel, il n’y a pas que la France. La lutte contre le terrorisme dans cette région constitue un domaine où la coopération entre l’Algérie et les USA donne des signes de bonne santé.
Selon nos sources, la visite, il y a exactement un an, du sous-secrétaire d’Etat américain pour le Moyen-Orient, Jeffrey Feltman, a été révélatrice. Et les services de renseignement algériens ont fait une lecture approfondie du séjour de M.Fetman à Alger. En plus des audiences accordées à l’émissaire américain par de hauts responsables algériens dont le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, ce séjour a coïncidé avec une intense activité politique, médiatique et sécuritaire au Maghreb, en France et en Amérique. Il a fallu attendre ces dernières semaines pour que tout ce puzzle éparpillé se mette en place. En effet, au début du mois en cours, le prestigieux journal américain le New York Times, a publié un dossier spécial intitulé «Le secret de l’offensive contre les terroristes sur les deux continents».
Quand c’est le New York Times qui le rapporte il faut y croire sachant que, il faut souligner, c’est un quotidien très proche des milieux opérationnels américains. Au même moment, la France multiplie les «tentatives» pour la libération des otages, cinq Français, un Togolais et un Malgache, enlevés le 17 septembre dernier sur le site de la mine d’uranium du groupe Areva situé à Arlit au nord du Niger.

Le plan du Pentagone
Au même moment, l’Algérie insiste également sur le fait que la gestion urgente imposée par le kidnapping de ressortissants étrangers au Sahel, les Occidentaux en particulier, doit demeurer entre les mains des Etats concernés. A propos justement de ce dernier point, le diplomate américain a déclaré: «Nous sommes inquiets de la question du terrorisme dans cette région. Nous croyons fermement qu’il est de l’intérêt de tout le monde de résoudre le problème de la sécurité au Sahel.»
Le même responsable a ajouté que les Etats-Unis respectent entièrement la souveraineté des pays du Sahel soulignant la «bonne coopération algéro-américaine contre le terrorisme». Cependant, plusieurs indices incitent à la réserve, à commencer par cette «folie délatrice» qui s’est emparée d’un journal dont la tuyauterie arrive jusqu’au bureau Ovale et à l’intérieur du Pentagone. C’est que le New York Times dévoile aux yeux du monde la stratégie mise au point par les Américains! Mais qui pourrait croire ça? En tout cas, il s’agit d’un effet d’annonce qui ne vaut que par son timing et non par son contenu, ont eu à observer nos sources.
Le message est destiné à préparer psychologiquement l’opinion publique américaine, échaudée par les meurtrières expéditions afghane et irakienne, et à prévenir les pays concernés. Seulement, à la Maison-Blanche, on semble conscient de la difficulté de convaincre les Américains de la nécessité d’une autre «aventure» armée en Afrique. Et c’est à peu près à travers ce lien offert par Al Qaîda que l’on essaie de tirer la France vers les sables mouvants du Sahel, une région que les Français connaissent parfaitement et qu’ils considèrent comme leur zone d’influence. Comme au Vietnam, toutes proportions gardées, les Américains auraient-ils l’intention de réactiver le rôle de sous-traitant joué par la France au Vietnam? se sont interrogées nos sources.
«Pour le moment, on n’en est pas encore à ce stade, mais les proportions prises ces dernières années par Al Qaîda au Maghreb islamique, offrent une grille de lecture qui n’écarte aucunement cette hypothèse. Il faut ajouter que pour des raisons historiques évidentes, les Français possèdent encore une longueur d’avance sur les Américains, cependant il n’est pas impossible que la situation aille dans le sens voulu par Washington. Les ingrédients sont à quelques détails près, les mêmes que ceux utilisés en Afghanistan ou en Irak: la guerre menée contre le terrorisme d’Al Qaîda, sauf que cette fois-ci, ce serait Par²is qui se charge des préliminaires», ont confié les mêmes sources.
Cela permettrait à l’Administration américaine de réunir toutes les conditions d’une présence militaire plus dense. Selon toujours le New York Times, l’Administration Obama mènerait actuellement une guerre secrète contre Al Qaîda et ses alliés. Une offensive qui concerne douze pays à travers le monde.

Ben Laden le catalyseur
Sans être explicitement cités, ces pays pourraient se situer dans le Sahara, à l’image de l’Algérie ou encore le Pakistan. Il y a, semble-t-il, également, des pays de l’ancien bloc soviétique minés actuellement par des guerres ethniques et religieuses. Pour mener ces opérations, l’armée américaine s’est dotée, d’après le New York Times, d’équipements technologiques ultrasophistiqués et d’équipes de commandos spécialisés. De même qu’elle a eu à recruter des compétences en matière d’espionnage et de collecte de l’information sur le terrorisme.
Même si elle reste dictée par des impératifs de haute importance stratégique pour les Américains, la lecture du quotidien new-yorkais demeure très instructive. La réapparition de Ben Laden à travers un message audio, transmis par le biais du canal «habituel» d’Al Jazeera en ce moment même, et que les Français déclarent avoir réussi à authentifier, n’est pas le fruit du hasard, mais celui d’un concours de circonstances élaboré sur une grande échelle.
«Dans ce message, un homme présenté comme Oussama Ben Laden déclare que l’enlèvement de cinq Français au Niger est la sanction du traitement injuste réservé aux musulmans en France», commente l’agence française de presse.
L’authenticité du message d’Oussama Ben Laden menaçant la France «peut être considérée comme acquise au vu des premières vérifications», a déclaré jeudi le ministère français des Affaires étrangères. «Ce message, dont l’authenticité peut être considérée comme acquise au vu des premières vérifications, ne fait que confirmer la réalité de la menace terroriste contre laquelle les autorités françaises ont pris et continuent de prendre les mesures appropriées pour assurer la sécurité du territoire et des ressortissants français», a dit le porte-parole du ministère, Bernard Valero.
«Ces déclarations de Ben Laden ne changent en rien notre appréciation de la situation de nos otages et n’entameront en rien nos efforts pour obtenir leur libération», a-t-il ajouté avant de conclure: «La France continuera à lutter contre le terrorisme aux côtés de ses partenaires.»
Interrogé sur une éventuelle intervention armée de la France, le président malien a précisé que «la France ne nous a rien demandé». «Pour le moment, nous n’avons pas de troupes françaises sur le sol malien. Si la demande est faite, nous apprécierons», a-t-il dit, ajoutant que «la réponse à la menace d’Al Qaîda était sahélo-saharienne».
«Nous ne sommes pas incapables de résoudre ces questions», a-t-il précisé, soulignant cependant que la France soutenait le Mali par l’échange de renseignements, d’équipement militaire et de formation des troupes.
Plus d’un mois après l’enlèvement des contractuels d’Areva, la situation reste encore floue, mais tout pourrait basculer d’un instant à l’autre, sacrifiant froidement les otages sur l’autel des intérêts stratégiques des Etats-Unis et de la France réunis.

Ikram GHIOUA

http://www.lexpressiondz.com/article/2/2010-10-30/82246.html

Defections dans L'aqmi :

Citation :

Al-Qaïda au Maghreb islamique a enregistré la défection de 28 jeunes Mauritaniens embrigadés dans ses camps du Sahara, d'après des sources militaires.

Vingt-huit jeunes Mauritaniens ont réussi à s'échapper des bases d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Ils « ont fui les bases d’Aqmi dans le Sahara et sont actuellement en route vers la Mauritanie », a affirmé à l'AFP une source militaire mauritanienne dans le Nord du Mali.

Ces jeunes seraient des « mineurs » d'après cette source. « Ils sont très jeunes et ont été endoctrinés. Certains ont même 14 ans [...] et ont été battus dans les camps par Aqmi », a-t-elle ajouté.

Infiltration

« Leur retour est le fruit d’un travail sur le terrain », d'après cette source. Ces défections auraient été obtenues grâce à l'infiltration du groupe terroriste par des éléments dépêchés par l’armée mauritanienne. L'information a été confirmée par une autre source étrangère sur le terrain.

Début novembre, six jeunes Mauritaniens avaient déjà fui les bases d'Aqmi selon les mêmes sources.

"Jeunesse égarée"

Ces défections tombent à pic pour Nouakchott, qui s'était donné pour objectif d'inciter la jeunesse « égarée » à revenir à la raison et « ré-épouser l'islam modéré » lors d'un forum sur le terrorisme et l'extrémisme organisé le mois dernier.

Une nouvelle loi sur le terrorisme avait été adoptée par le parlement mauritanien au mois de juillet ouvrant la voie du repentir aux combattants islamistes. Ceux qui se rendent aux autorités « avant leur arrestation » obtiennent des conditions spéciales pouvant aller jusqu'à leur mise en liberté sous contrôle. (avec AFP)

Jeune Afrique

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20101122090759/mali-desert-mauritanie-islamismenouvelles-defections-pour-aqmi.html

Infiltration + législation flexible = defections. La vie de jeunes mauritaniens ont été sauvé. J'espere que cette méthode va continuer à donner des résultats.

cette defection peux aussi être maquille en operation d'infiltration de l'aqmi en mauritanie

Citation :

Un garde communal et un patriote tués à Bordj Bou Arréridj
fayçal hamdani


Le bilan de l’attentat contre la garde communale de Haraza à 45 km au Sud-est de Bordj Bou Arréridj s’alourdit, a-t-on appris de source locale. Le patriote blessé lors de l’explosion d’une première bombe samedi vers 17h00 a succombé à ses blessures quelques heures après son transfert à l’hôpital de Bordj Bou Arréridj, ce qui porte le bilan de cette attaque à deux morts. Un garde communal avait en effet été tué sur le coup.
Une deuxième bombe a visé vers 20h30 une patrouille de la garde communale du même village faisant deux blessés, selon notre source.

Les deux bombes placées sous la chaussée ont été actionnées à distance par un groupe armé dont on ignore le nombre d’éléments. Les deux attentats ont eu lieu près d’un poste avancé du campement de la garde communale de Haraza.
TSA

Citation :

dimanche 28 novembre 2010
Algérie : deux gendarmes et six militaires blessés à Boumerdès

Deux gendarmes ont été blessés vendredi soir dans l’explosion d’une bombe artisanale dans la localité de Cap Djenet, à 25 km à l’est de Boumerdès, dans le nord de l’Algérie, a rapporté samedi le quotidien algérien El Watan sur son site internet.

L’engin meurtrier a été dissimilé dans un sac en plastique à 30 mètres du siège de la brigade de gendarmerie de la localité. Les sources d’El Watan indiquent qu’il a été actionné à distance à l’aide d’un téléphone portable.

Les deux gendarmes, touchés légèrement, ont été admis en urgence vers un hôpital de la périphérie.

Par ailleurs, un violent accrochage a eu lieu vendredi dans la soirée entre une patrouille pédestre des forces de l’Armée nationale populaire (ANP, armée gouvernementale) et un groupe d’islamistes armés, sur les hauteurs de Ammal, au sud de Boumerdès.

Le premier bilan fait état de six blessés dont un grièvement parmi les éléments des forces de l’ANP, indiquent des sources concordantes.(Xinhua)

Citation :

Un cortège officiel échappe miraculeusement à un attentat près de Boumerdès
feriel driss

Une bombe a explosé au passage d’un cortège officiel près de Thenia à l’est de Boumerdes dimanche vers à 16h45, sans faire de victimes, a-t-on appris de source sécuritaire. Le wali de Boumerdes, les autorités militaires et civiles locales
ainsi que Abdelkader Khelil, haut responsable au ministère de l’Intérieur étaient dans le cortège qui se dirigeait vers les Issers en provenance de Corso, selon la même source.

La bombe était placée aux abords de la RN 12 qui relie Alger à Tizi Ouzou. L’attentat n’a pas fait de victimes. Quelques dégâts matériels ont été occasionnés aux véhicules transportant les officiels. La bombe a explosé juste au passage des voitures de police qui escortaient le cortège officiel, selon la même source.
TSA

Citation :

"Progrès impressionnants" dans la lutte anti-terroriste au Sahel



Le commandant des forces terrestres d'Africom, commandement des forces américaines en Afrique, le général David Hogg, a fait état lundi à Alger de progrès "très impressionnants" dans la lutte anti-terroriste au Sahel menée par les pays de la région sous le leadership algérien.

"C'est un problème régional dont les forces terrestres algériennes ont pris le leadership et les progrès qui ont été réalisés sont très impressionnants", a-t-il déclaré lors d'un point de presse clôturant deux jours de visite en Algérie.

A la tête de l'Africom depuis juin dernier, le général Hogg a insisté sur le fait que le combat anti-terroriste dans le Sahel était "une question régionale".

L'approche régionale a été adoptée par les pays impliqués, a-t-il noté, en référence aux réunions qui se tiennent à Tamanrasset dans le sud algérien entre état-majors militaires des pays du Sahel et la décision d'établir à l'automne un centre régional du renseignement à Alger.

"Avec le leadership des forces armées algériennes et le travail qu'elles sont en train d'accomplir pour la coordination il y a eu progrès et cela demandera une approche régionale", a ajouté le général Hogg. "Il y a beaucoup à faire mais chacun comprendra que le terrorisme reste une menace pour nous tous".

Evoquant le rôle des Etats-Unis, le patron de l'Africom a déclaré que les "soutien et aide sont basés sur une demande adressée par les pays souverains et ne portent que sur une base de formation", a-t-il souligné.

Dans un communiqué publié par l'ambassade des Etats-Unis en Algérie, il est indiqué que le général Hogg s'est entretenu avec le conseiller du président Abdelaziz Bouteflika sur le terrorisme, le commandant des forces terrestres Ahcene Tafer, et avec le secrétaire général du ministère de la Défense le général Ahmed Senhadji. Les discussions ont porté sur "la coopération militaire et sécuritaire", selon la même source.

"Nous sommes ici pour une coopération et un partenariat continus et espérons dans la poursuite de cette relation avec les forces armées algériennes", a souligné ajouté le général américain.

AFP

http://www.aufaitmaroc.com/monde/afrique/2010/12/6/progres-impressionnants-dans-la-lutte-anti-terroriste-au-sahel

J'adore aussi cette phrase tu peut la mettre en valeur aussi.

Citation :

Evoquant le rôle des Etats-Unis, le patron de l'Africom a déclaré que les "soutien et aide sont basés sur une demande adressée par les pays souverains et ne portent que sur une base de formation", a-t-il souligné.

on peut meme mettre ca en gras si tu veux

Citation :

Evoquant le rôle des Etats-Unis, le patron de l'Africom a déclaré que les "soutien et aide sont basés sur une demande adressée par les pays souverains et ne portent que sur une base de formation", a-t-il souligné.

Citation :

Le général-major d’Africom : il n’y a aucune base militaire américaine en Algérie..Nous avons beaucoup à apprendre de l’expérience algérienne



06.12.2010

Le général-major David Hugue, chef des forces terrestres de l’Africom, a démenti les informations rapportées par les médias français dernièrement, et qui ont indiqué l’existence d’une base militaire américaine dans le Sahara algérien, et il dit : « il n’y a pas de base militaire américaine en Algérie », et a affirmé que « les USA ont beaucoup à apprendre de l’expérience algérienne. »

http://www.echoroukonline.com/fra/actualite/7481-le-général-major-d’africom-:-il-n’y-a-aucune-base-militaire-américaine-en-algérie..nous-avons-beaucoup-à-apprendre-de-l’expérience-algérienne.html

personne au monde ne donne un gramme de credibilité à un journal comme echourouk !!, ce journal fait même parler les morts (kennedy au sujet du polisario) ..

par ailleurs, c'est quoi cette fierté de se voir reconnu comme "expert en lutte contre le terrorisme" par les usa ?

il vaut mieux être expert en adduction d'eau, en construction ferroviaire, en fabrication de matériel médical, en gestion d'hopitaux etc ...

Des caresses dans le sens du poil rien de plus

Paris le 30/09/2009

Citation :

UNCLAS SECTION 01 OF 05 PARIS 001339

SENSITIVE
SIPDIS

DEPT FOR AF, INL, AND S/CT
LONDON AND LISBON FOR AFRICA WATCHERS
DOD FOR AF:HUDDLESTON
NSC FOR AF:GAVIN
DEPT PLEASE PASS USAID FOR GAST

E.O. 12958: N/A
TAGS: PTER PREL PINR EAID EU UK MA NG MR NI AG FR
SUBJECT: U.S.-FRANCE-EU DISCUSS SAHEL SECURITY ISSUES

¶1. (SBU) SUMMARY: U.S. government representatives met French, British, and European Union officials on September 10 in Paris to review efforts to address the security threat posed by terrorism in Africa's Sahel and Maghreb regions. There was broad agreement that the USG, France, and other third countries should identify areas of cooperation and mechanisms to coordinate and de-conflict efforts to improve multilateral and individual country capacity in the region to address immediate and long-term threats from al-Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM). The discussions focused on factors influencing the region's ability to address the AQIM threat, including the Sahel countries' lack of law enforcement and military capacity; the complexity of state relations with its nomadic populations, e.g. the Tuareg and Berbiche ethnic groups, the profitability of illicit trade and kidnapping networks; the need for Algeria to work more closely with its neighbors; the importance of better donor coordination; and undermining recruitment efforts that could expand the scope of radical Islam in West and Central Africa. Participants agreed on the need to meet in the future to exchange information regarding each other's efforts in region. END SUMMARY.

¶2. (SBU) Assistant Secretary of State for African Affairs Johnnie Carson led a high-level interagency delegation in discussions with a French delegation led by Under Secretary for Political Affairs (P)-equivalent Policy Director Jacques Audibert and Africa A/S-equivalent Stephane Gompertz. The U.S. and French delegations were joined by British and European Union counterparts for the afternoon session. The
discussion began with an exchange of information on the current security and political situation in the Sahel, which Gompertz described as France's "main area of concern" in sub-Saharan Africa and was followed by exchanges on a wide range of critical factors related to the region's terrorist threat. Martin Julliard, France's Head of Transnational Threats Section, Strategic and Security Affairs Department at the MFA, said that AQIM's political agenda was not well understood and was evolving over time. He noted that AQIM is
targeting westerners, but it was not clear whether it wanted to challenge the legitimacy of governments or even the states. Participants noted that while AQIM's northern group remains concentrated on Algeria, elements of the southern group have shifted away from acting primarily as logistical support for northern operations and have increased planning and operations in the Sahel. It was emphasized that the
southern group remained linked with its northern leadership, but has made inroads in recruiting in the Sahel, particularly in Mauritania, and has increased the scope and sophistication of its operations in parts of the Sahel during the past year.
USG and French participants considered whether there were opportunities to exploit apparent divisions within AQIM.
Remi Marechaux, an Africa Advisor to President Sarkozy summed up the situation succinctly, "we feel we are losing the battle between improved development in these countries and the increasing security threats in the region."

LACK OF CAPACITY
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¶3. (SBU) There was broad agreement among the participants that the focus countries of the conference (Mauritania, Mali, and Niger) lack the resources to fully control their vast territories. In addition, lack of governmental capacity remains a serious hindrance in terms of military/security effectiveness and developmental progress. The EU chair noted that each country posed specific challenges for partners in
addressing security threats:

-- Mali, where in addition to capacity constraints, there are questions about the government's willingness to confront and engage AQIM militarily, despite clear indications that AQIM maintains a degree of impunity within its Northern Mali "sanctuaries." S/CT Coordinator Daniel Benjamin noted that Mali is perhaps becoming more helpful, but French speakers consistently referred to the Malian position as "ambiguous"
and "enigmatic;"
-- Mauritania, which may possess greater political will for taking-on AQIM, but political instability following the recent coup hampered efforts to support its CT efforts; and Niger, where recent un-democratic maneuvering by President Tandja makes it difficult to offer new assistance.
NSC Senior Advisor Michelle Gavin underscored that our CT efforts cannot undercut our governance and democracy priorities in Africa. While remarking that President Tandja had already "won his gamble" to secure a third term and the French will focus their attention on pushing for credible elections, Gompertz stated that France did not have a clear strategy to balance its CT objectives with the urgency of promoting good governance and constitutional rule in the country.

PROFITS FROM ILLICIT TRADE AND KIDNAPPING
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¶4. (SBU) France's MOD Director of Strategic Affairs Pascal Texeira noted that AQIM is commonly understood to have only about 150 fighters in the Sahel, but it has significant financial resources for obtaining weapons and logistic support such as vehicles and radios from profitable illicit trafficking networks, including arms, people, drugs, and other contraband. Of even greater concern is AQIM's apparent success in securing large ransom sums for kidnapped westerners. When asked, U.K. FCO Director for Africa Adam
Wood confirmed that following the January murder of U.K. hostage Edwin Dyer, his country would play a more active role in the region, and would certainly support an AU initiative at the UN to rally international opposition against ransom payments in cases of piracy and hostage-taking, which he believed was being spearheaded by Algeria. Participants had not yet seen a draft of the resolution.

¶5. (SBU) Developing a better understanding of Tuareg activities and motivations was seen as an important priority, especially since they develop ad-hoc agreements with AQIM elements in support of trafficking and perhaps kidnapping.
Texeira stated that Mali views the threat of a new Tuareg rebellion as more dangerous than that from AQIM, and neither Mali nor Niger could count on Tuareg leaders to fight against AQIM. French and USG analysts also noted that breakdowns in traditional ethnic political, social and economic networks was potentially destabilizing.

NEED TO INVOLVE ALGERIA
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¶6. (SBU) A/S Carson raised the importance of getting Algeria involved in multi-national efforts to combat AQIM, and also for Algeria to work in concert directly with Mali to disrupt AQIM and criminal networks. "There can be no solution without Algeria," according to Texeira, who thought that Algeria would work with regional partners, but did not want to be implicated with "outside players." They noted that Algeria engages in limited intelligence-sharing and has made inquiries about other forms of counterterrorism assistance, but remains reticent about enhanced cooperation with potential western partners. Participants viewed positively Algeria's plans to organize a regional security summit in the coming months, but they agreed that there was relatively little information about summit objectives or the agenda.

TREAT OF SPREADING RADICALISM
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¶7. (SBU) The potential spread of AQIM (or some other brand of radicalized and violent Islam) in Africa was also a recurring issue. In particular, participants expressed deep concern that northern Nigeria is at risk of such influence.
AQIM personnel or facilitators had also reportedly been identified in Niger and Senegal recently. Guinea-Bissau and Guinea are also at risk should AQIM make greater inroads into the West African narcotics trade, according to Gilles de Kerchove, the European Union Council's Coordinator for Counter Terrorism. Part of the problem is that disenfranchised young men from the southern parts of the Sahel are moving north and joining the group.
Participants agreed on the need for a greater understanding of how AQIM successfully recruited militants/fighters/suicide bombers, especially from Mauritania. (Note: during a lunchtime conversation,
France's Ambassador to Mauritania explained to INR Analyst Bernadette Graves and Embassy Paris Africa Watcher that he sees no clear trend, nor does he understand the reasons for, AQIM's apparent success in recruiting young Mauritanians. He notes that these recruits have come from a variety of backgrounds and ethnic groups and the trend does not fit the commonly held view of Mauritania as a moderate, tolerant
Muslim country with Sufi traditions. End note.)

DONOR COORDINATION
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¶8. (SBU) One of the goals of the conference, and a recurring theme, was to improve assistance co-ordination among donors.
The U.S., France, and the EU provide a range of military and security training in the region. Assistant Secretary Carson discussed the background and goals of the U.S. interagency Trans-Saharan Counter Terrorism Partnership (TSCTP). He noted that TSCTP was a broad-based holistic approach to supporting regional CT efforts that includes military and law enforcement capacity-building, public diplomacy/strategic
communications, and support for local and national good governance. USAID Deputy Assistant Administrator Earl Gast observed that development indicators in the Sahel are among the worst in the world and USAID involvement in USG counter-extremism programming reflects that the regional vulnerability to terrorism is increased by the lack of employment opportunities for youth and poor or nonexistent governance and service delivery in large swaths of territory.

¶9. (SBU) France is focused on responding to Mali's request to assist its efforts to establish four forward operating bases in its northern frontier. It is also exploring how to support efforts to improve Malian administration and local governance in the north and improve customs and border security. Gompertz stated that France has security dialogues with Niger and Mali and would soon initiate discussions with
Mauritania. The French also highlighted the urgency of assisting countries with judicial reform, training of
prosecutors and magistrates, and criminal procedures.

¶10. (SBU) The EU completed an assessment of Mali in July and will visit Mauritania in October, but has postponed plans to visit Niger due to the current political situation. Future assistance may include border surveillance and customs services, and Sweden's Ambassador for Counter Terrorism Carin Wall highlighted the EU's desire to collaborate more closely with other actors, "not least the U.S."

¶11. (SBU) All three donors have or are considering programs in judicial processes and law-enforcement. A/S Johnson explained that the U.S. will likely establish a Regional Security Training Center in West Africa, and the EU noted that it is considering something similar: a Sahel-based "multi-functional" regional training center focusing on military, law enforcement, and border control and customs capacity building. The EU and French representatives highlighted the importance of building academies and "clearinghouses" to provide training to a range of security organs.

¶12. (SBU) The participants agreed to collect and share detailed information about the specific programs and projects each is pursuing or considering in the region as the first step for further consultations and coordination. Towards the end of the event, A/S Carson encouraged the participants to find the time and means to expand this type of dialog into other areas in need of greater mutual understanding and coordination in Africa, including the way forward in Somalia, Sudan, and the Great Lakes, and also for transboundary issues such as demographic pressures, democracy, and development priorities. A/S Johnson added judicial reform, including best practices in corrections as another timely need.

"LEAD FROM THE SIDE"
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¶13. (SBU) The three-plus groups agreed that supporting regional CT efforts in the Sahel was an important immediate and long-term priority, but there was a clear consensus that external actors must ensure that they limit visibility of their activities and avoid actions that would be seen as undercutting regional leadership over the issue. Elysee Advisor Marechaux noted that the French had not crafted a "Sahel plan" in order to avoid a potential backlash from Sahelian and Maghreb states suspicious of its intentions in the region. He noted that increasing the "profile" of the AQIM problem would likely enhance the group's Jihadist
"credentials" and attract potential recruits from inside and outside the region. A/S Carson agreed: "We don,t want to become part of the problem by appearing to take the lead; we need to lead from the side, not from out front." He noted that raising the profile of external actors in the region risked alienating key Sahelian interlocutors and further risked assisting AQIM recruiting and resourcing efforts. Ambassador Benjamin agreed that it was vital to ensure that the counterterrorism effort had a "local face."

COMMENT
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¶14. (SBU) This gathering will likely prove the kick-off to further discussions and closer cooperation. The French and the EU reps were willing to share their analysis of the situation, but were clearly also ready to defer to the U.S.'s assessment. More than one French participant who later joined a POL-hosted reception noted how impressed they were with the high level of participation by the U.S. and by A/S Carson's positive role as co-Chair of the event.

PARTICIPANTS
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¶15. (U) U.S.
- Johnnie Carson, Assistant Secretary of State for African Affairs
- Michelle Gavin, National Security Council Special Assistant to the President and Senior Director for African
Affairs
- Daniel Benjamin, Coordinator for Counterterrorism - David Johnson, Assistant Secretary of State for
International Narcotics and Law Enforcement Affairs - Vicki Huddleston, Department of Defense, Deputy Assistant Secretary of Defense for African Affairs
- Janet Sanderson, Deputy Assistant Secretary of State for Near Eastern Affairs
- Earl Gast, U.S. Agency for International Development Senior Deputy Assistant Administrator.
- Christopher Maier, Director for Counterterrorism National Security Council
- Bernadette Graves, Bureau of Intelligence and Research
- Daniel Epstein, Bureau of African Affairs
- Victor Nelson, Regional Officer, Office of the Coordinator for Counterterrorism
- Erin Barclay, Bureau of International Narcotics and Law Enforcement Affairs
- Embassy Paris Africa Watcher.

FRANCE
Presidency of the Republic
- Remi Marechaux, Advisor on Sub-Saharan Africa

Ministry of Foreign and European Affairs
- Jacques Audibert, Political Director
- Stephane Gompertz, Director of Africa and Indian Ocean
- Patrice Paoli, Director of North Africa and Middle East
- General Emanuel Beth, Director of security and defense cooperation
- Charlotte Montel, Advisor of the Minister for African Affairs, Cabinet
- Laurent Bigot, Head of West Africa Section, Africa and Indian Ocean Department
- Jocelyne Caballero, Head of Multilateral Affairs Section, Security and Defense Cooperation Department
- Martin Julliard, Head of Transnational Threats Section, Strategic and Security Affairs Department
- Alice Guitton, Head of the Democratic Governance Bureau, Global Economy and Development Strategies Department, Globalization, Development and Partnerships Directorate

National Defence Secretary General
- General Andre Lanata, Head of International Affairs Section, International Affairs, Strategic and Technologic Affairs Department

Ministry of Defence
- Colonel Benoit Houssay, Military Advisor of the Minister
- Colonel Jean-Jacques Toutous, Head of Africa Bureau, Joint Head-Quarters
- Colonel Emmanuel Maurin, Head of Regional Affairs Section, Strategic Affairs Delegation
- Pascal Teixeira, Director of Strategic Affairs
- Guy Thomas, Strategic Affairs Direction

Ministry of the Interior
- Michel Duclos, Diplomatic Advisor
- Emile Perez, Head of the Police International and Tehnical Cooperation Bureau.

EUROPEAN UNION
Presidency of the European Union
- Carin Wall, Ambassador for Counter Terrorism, Swedish Foreign Affairs
- Daniel Wolven, Swedish Embassy in Paris

European Commission
- Manuel Lopez-Blanco, Director for West and Central Africa, Directorate general for Development

European Union Council
- Gilles de Kerchove, Coordinator for Counter Terrorism

Member States
- Adam Wood, Director for Africa, Foreign and Commonwealth Office, United Kingdom
- Corin Robertson, Joint Head, Counter Terrorism Department, Foreign and Commonwealth Office, United Kingdom
- Hugo Shorter, Counsellor Global Issues, British Embassy in Paris
- Nina Hermann, First Secretary, German Embassy in Paris.

¶16. (U) This cable was cleared by U.S. conference
participants.
RIVKIN

Citation :

Lutte contre le terrorisme au Sahel: Le commandement militaire conjoint ne sera pas élargi

par Yazid Alilat
L'élargissement à d'autres pays africains du commandement militaire conjoint des pays du Sahel a constitué le gros des questions des officiers supérieurs de l'Alliance Atlantique (OTAN), en visite en Algérie, dans le cadre de la 117e session du cours principal du collège de Défense de l'Otan à Rome.

M. Dani Benchaâ, directeur général des Affaires politiques et de la sécurité internationale, au ministère des Affaires étrangères, a animé une conférence à l'intention de ces hauts officiers de l'OTAN, qui a porté notamment sur la lutte contre le terrorisme au Sahel. Interrogé sur l'absence de certains pays de la région du commandement militaire conjoint des pays de la région du Sahel, dont le siège est à Tamanrasset, il a affirmé que «la Libye, le Tchad et le Maroc» auxquels les militaires de l'Otan faisaient référence, «n'ont jamais fait une demande officielle d'intégration» à ce commandement. Aucun des ces pays n'a fait officiellement une demande pour rejoindre ce commandement militaire, a précisé le diplomate algérien. Plusieurs pays membres de l'OTAN avaient insisté, à plusieurs reprises et notamment lors des affaires des otages français capturés par Aqmi au Niger et au Mali, pour que le Maroc intègre cet ensemble militaire régional. «Le Maroc n'a aucune relation géographique avec le Sahel», a affirmé M. Benchaâ, avant de s'interroger: «comment voulez-vous ajouter des pays qui n'ont aucune relation avec le Sahel à ce commandement?» Au printemps dernier, le ministre délégué aux Affaires africaines avait déjà affirmé, sur cette question, que «le Maroc n'a aucune relation avec le Sahel». Actuellement, les pays membres de ce commandement militaire conjoint sont l'Algérie, le Mali, le Niger et la Mauritanie, alors qu'une réunion, organisée à Alger au mois d'avril dernier, avait regroupé les chefs d'Etat-major de ces pays et ceux de Libye, du Burkina-Faso et du Tchad; ces trois pays n'ayant fait, entre temps, aucune demande officielle pour rejoindre le commandement basé à Tamanrasset. Quant à la participation du Maroc, sa position géographique l'élimine automatiquement. Quant à la lutte contre le terrorisme au Sahel, M. Benchaâ a souligné qu'il faut lui donner une autonomie et une identité africaines dans son traitement. «Cependant, toute contribution et assistance sont les bienvenues, y compris celles de l'Otan», a-t-il précisé, soulignant qu'il existe un mécanisme de coopération entre les pays du Sahel, qui est à même de permettre une plus grande stabilité dans la région. «La lutte contre le terrorisme ne se limite pas à des moyens sécuritaires mais aussi à travers des moyens économiques», a-t-il estimé, saluant la décision du Conseil de sécurité de l'Onu, concernant la criminalisation du paiement des rançons.

Sur le dossier du Sahara Occidental, il a notamment affirmé devant les officiers de l'OTAN que l'Algérie «a (toujours) demandé pour que la légalité internationale soit respectée».»C'est pour cette raison que nous continuons à soutenir l'action des Nations unies et celle de M. Christopher Ross, l'envoyé personnel du SG de l'Onu», a-t-il ajouté, avant de relever que «l'action de l'Algérie se limite à une action diplomatique comme d'ailleurs le fait toute la communauté internationale». «C'est seulement notre appui à un principe cardinal pour qu'il y ait un ordre international et qu'on respecte la légalité internationale», a encore précisé M. Benchaâ. Il a encore affirmé que la «base essentielle qui anime la politique étrangère de l'Algérie est la légalité internationale qui condamne l'usage de la force militaire pour occuper un territoire. C'est un principe cardinal de la politique algérienne depuis son indépendance». Sur les relations extérieures de l'Algérie, il a indiqué qu'Alger est favorable pour de meilleures relations avec tous les membres de la communauté internationale, dont les Etats-Unis, la Russie et l'UE. «Il n'y a pas intentionnellement de relations privilégiées avec tel ou tel pays». Sur la lutte contre le terrorisme, M. Benchaâ a indiqué qu'»il est fondamental que la communauté internationale se mobilise contre ce fléau», avant de souligner que «l'Algérie avait combattu seule le terrorisme». «Il est clair que pour lutter contre le terrorisme, il faut éliminer le vecteur idéologique et faire en sorte de le confiner à une lutte contre la criminalité», a-t-il encore précisé aux officiers de l'OTAN. Par ailleurs, l'Algérie est favorable «au libre accès à la technologie nucléaire civile et est contre toute prolifération de l'armement nucléaire», notamment dans la région, a indiqué le diplomate algérien, selon lequel «il faut reconnaître que l'environnement sécuritaire autour de l'Iran a changé. Il y a des armes nucléaires en Asie, au Pakistan et en Inde mais personne ne parle des ogives nucléaires se trouvant en quantité en Israël». «Actuellement, je m'inquiète plus de l'arsenal nucléaire israélien», a-t-il encore relevé, mettant en garde contre le caractère dangereux du bellicisme militaire israélien.

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5146585

parceque ca existe encore ce machin?
remarquez la posture de plus en plus defensive devant les etrangers,quand il s´agit de ces 2 questions regionales,la pression monte

Une très vaste offensive se poursuit en ce moment a l'Est d 'alger , le signal GSM a meme été coupé dans 03 wilayas

Citation :

Abdelmalek Droukdel pourrait être parmi les terroristes tués

Abdelmalek Droukdel, chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), pourrait figurer parmi les dix terroristes tués au cours de l’opération déclenchée depuis jeudi contre les maquis islamistes en Kabylie. Une source sécuritaire autorisée a confié samedi 11 décembre à TSA que les services de sécurité sont convaincus de la présence du chef d’Aqmi dans la zone ciblée par les opérations de l’armée. « L’identification des corps se poursuit. Il n’est pas exclu que Droukdel soit parmi les terroristes tués », a précisé cette source.

Source: http://www.tsa-algerie.com/divers/abdelmalek-droukdel-pourrait-etre-parmi-les-terroristes-tues_13280.html

Citation :

Kabylie: 12 islamistes armés tués

Par Europe1.fr


Au moins douze islamistes armés ont été tués depuis jeudi au cours d'une vaste opération contre les maquis d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) en Kabylie, a rapporté samedi le quotidien arabophone Al-Khabar. Cette opération menée avec des moyens lourds et le soutien d'hélicoptères a été déclenchée jeudi sur la base d'informations fournies par un repenti, selon le quotidien arabophone Annahar. Selon les journaux, le groupe islamiste qui comprendrait des chefs d'Aqmi a été attaqué à la roquette par des hélicoptères. Une quinzaine d'abris ont été détruits, a précisé El Khabar. L'armée continuait samedi son opération contre d'autres membres du groupe armé dans cette région et dans les maquis voisins de Mizrana, près de Boumerdès (50 km est d'Alger) où les réseaux des trois opérateurs de téléphonie mobile présents en Algérie étaient quasiment inaccessibles. Ces réseaux ont été brouillés pour empêcher les islamistes de faire exploser des bombes à distance, selon le journal El Watan.

Source: http://www.europe1.fr/International/Kabylie-12-islamistes-armes-tues-333243/

Citation :

Abdelmalek Droukdel pourrait être parmi les terroristes tués

Bon débarras

Citation :

Le ratissage se poursuit à Sidi Ali Bounab
Des informations font état de lourdes pertes dans les rangs des terroristes
13-12-2010

De notre correspondant à Tizi Ouzou
Malik Boumati

Les forces de l’Armée nationale populaire continuent à faire pression sur les terroristes encerclés dans les maquis de Sidi Ali Bounab, à cheval entre les wilayas de Tizi Ouzou et Boumerdès. Les quelque 4 000 militaires déployés pour cette opération de grande envergure, menée, dit-on, par de hauts gradés, poursuivent leur avancée sur le terrain. Ce ratissage semble beaucoup plus important que les précédents, notamment avec cette décision de brouiller les réseaux de téléphonie mobile des trois opérateurs présents sur le marché, et ce, depuis la matinée de jeudi. Ce brouillage est, heureusement pour les usagers, interrompu tous les soirs. Après cinq jours de bombardements et d’accrochages incessants, l’information est toujours verrouillée à propos du ratissage de Sidi Ali Bounab, massif considéré depuis des années comme une zone de repli, mais aussi de transit pour les différents groupes armés. Ce verrouillage ne facilite pas le travail des journalistes qui subissent, de ce fait, le diktat de la rumeur, de la spéculation et, parfois, de l’intox. C’est ainsi que des informations ont circulé autour du déroulement des opérations comme celle qui donnait l’élimination d’une vingtaine de terroristes avant que le chiffre ne soit porté à treize en milieu d’après-midi d’hier. D’autres chiffres ont été également avancés, mais personne n’a disposé d’un bilan officiel ou proche de la réalité. Du côté des éléments de l’ANP, les informations font état de deux militaires tués lors des accrochages, alors qu’un troisième aurait été sérieusement blessé - amputation d’une jambe - dans l’explosion d’une bombe. D’un autre côté, aucune nouvelle n’est venue confirmer ou infirmer celle ayant circulé samedi dernier à propos de l’élimination du chef national du GSPC, Abdelmalek Droukdel. Mais, selon le journal électronique algérien Tout sur l’Algérie (TSA), les forces de sécurité se sont déplacées à Meftah, dans la wilaya de Blida, afin d’effectuer des prélèvements d’ADN sur des membres de sa famille pour les comparer avec ceux des cadavres des terroristes tués à Sidi Ali Bounab. D’autres familles de terroristes ont reçu, selon le même journal, la visite des services de sécurité aux mêmes fins.
http://www.latribune-online.com/evenement/44140.html

On est pas prêt dans savoir plus sur l'opération.

mox a écrit:

Citation :

Les forces de l’Armée nationale populaire continuent à faire pression sur les terroristes encerclés dans les maquis de Sidi Ali Bounab, à cheval entre les informations font état de deux militaires tués lors des accrochages, alors qu’un troisième aurait été sérieusement blessé - amputation d’une jambe - dans l’explosion d’une bombe.
http://www.latribune-online.com/evenement/44140.html

On est pas prêt dans savoir plus sur l'opération.

Allah Yarhamhoum et que Allah acceuille avec lui cse martyrs. Pour le troisieme, j'espere qu'il s'en sortirá inchallah.

Citation :

Opération de l’armée contre les maquis d’Al Qaïda en Kabylie : Les explications de DNA .

Des troupes de l’armée mènent depuis mercredi 9 décembre une opération de ratissage dans les maquis de Sidi Ali Bounab en Kabylie. Depuis le déclenchement de cette opération, plusieurs médias algériens et étrangers, y compris DNA, ont publié diverses informations se rapportant à cette opération. Quatre jours après les premières publications, un flou total et une belle confusion entourent cet événement rapporté en long et en large, y compris sur notre site.

En l’absence d’informations officielles de la part des autorités algériennes, en l’absence de communiqués officiels dont les auteurs sont clairement identifiés, nous avons décidé de ne plus rien publier sur cette opération pour ne pas rajouter à la confusion ambiante. Cette décision exige de notre part des explications.

D’abord les certitudes. Il y a bel et bien une opération militaire qui est menée depuis mercredi 9 décembre dans les maquis de Sid Ali Bounab, réputé depuis le milieu des années 1990 pour être un fief des groupes armés qui à l’époque appartenaient à l’organisation dénommée GSPC (groupe salafiste pour la prédication et le combat), devenue en 2006 Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) laquelle est dirigée par Abdelmalek Droukdel.

D’importants moyens humains et matériels sont engagés dans cette opération. S’il est impossible de quantifier ces moyens, le nombre de troupes déployées sur le terrain ainsi que les grades des officiers qui supervisent l’opération, il est certain que l’armée utilise depuis le début des opérations des hélicoptères. Des citoyens de la région ont bel et bien constaté le survol des ces avions et entendu les bruits de bombardements. Première certitude.

Le réseau téléphonique mobile des trois opérateurs public et privés est brouillé depuis le début de l’opération. Ce brouillage est-il lié à cette opération ? Oui, sans doute ! Mais là encore, il est impossible de le certifier avec exactitude. Ni les opérateurs ni les autorités civiles et militaires n’ont communiqué sur ce sujet, comme sur le reste d’ailleurs. Deuxième certitude.

C’est ici que s’arrêtent nos certitudes sur ce sujet. Nos lecteurs nous diront, ils nous l’ont déjà dit et écrit, pourquoi alors publier des informations dont nous ne sommes pas sûrs ; pourquoi rapporter des faits en citant des sources non identifiées ; pourquoi encore rapporter des informations qui peuvent paraitre, à posteriori fausses, partiellement inexactes, contradictoires, ou tout simplement fausses ?

Nous touchons ici au cœur du métier. Le journalisme n’est pas une science exacte et le journaliste n’est jamais à l’abri d’une manipulation pour une raison ou pour une autre. Le recours aux sources anonymes, aux sources non-identifiées, est un procédé aussi vieux que le journalisme. L’exemple le plus édifiant reste le scandale du Watergate révélé par le New York Times. Pendant des mois, les deux journalistes en charge de cette enquête ont publié une somme incroyable de révélations en ce basant essentiellement sur une source, dénommée « gorge profonde », sans jamais révéler son identité quand bien même ce scandale touchait le président des Etats Unis, Richard Nixon. Il aura fallu des années pour que l’un des auteurs, Bob Woodward, accepte enfin de divulguer le nom de cette source, Mark Felt, dans un livre remarquable de précision et de concision. (Gorge profonde : la véritable histoire de l’homme du Watergate). Ceci pour illustrer que le recours aux sources anonymes n’est pas un travers, une tare du journalisme.

Dans cette affaire dont nous parlons, nous avons essayé du mieux que possible de rapporter ce que nos journalistes ont constaté sur le terrain, ce qu’ils ont pu glaner ici et là comme bribes d’informations à partir de leurs sources habituelles : c'est-à-dire des policiers, des gendarmes, des patriotes, des gardes communaux et des membres des services secrets.

Tous les journalistes algériens qui traitent des questions sécuritaires, pour ne parler que de ceux là, se fient, ont recours, s’appuient, font appel à des sources tapies dans ces quatre corps des services de sécurité. Cette pratique existe depuis des années et tout le monde s’en accommode même si cette pratique est sujette à caution. Même si cette pratique est critiquée et critiquable en ce sens qu’elle ne met pas le journaliste à l’abri des manipulations. Les exemples sont multiples et le propos ici n’est pas de les sérier, de les critiquer ou de les dénoncer.

Pourquoi donc avons-nous publié nos informations sur cette opération et pourquoi avons-nous décidé de ne pas publier d’autres tant qu’elles n’émanent pas de sources identifiées ?

Nous avons essayé, dans le meilleur du possible, en prenant des précautions, de rapporter les faits que nos journalistes ont constatés sur le terrain. Nous avons aussi publié des informations en citant des sources sécuritaires en précisant que celles-ci ne souhaitent pas être identifiées. Nous avons également rapporté des informations en citant une agence, en l’occurrence Reuters, qui elle, évoque « une source sécuritaire », encore une fois non identifiée.

Nous aurions aimé envoyer nos reporters sur le terrain pour rendre compte in situ de ce qui se passe exactement autour de cette opération dans les maquis de Kabylie. Mais cela relève de l’exercice difficile, voire impossible. Parce que tout le périmètre est bouclé, parce que les militaires ne laissent personne s’en approcher, encore moins les journalistes. Sauf à avoir des journalistes « embedded » - encore faudrait-ils que les autorités l’acceptent et encore faudrait-il que les journalistes l’acceptent aussi compte tenu des risques qu’ils encourent ( ce qui peut se comprendre )-, il devient tout à fait impossible de faire autrement que de recourir aux sources anonymes, aux sources non identifiées, aux tuyaux distillés par ici et par là par ceux qui détiennent les informations.

Dans ce cas, il reste deux alternatives : continuer à fonctionner selon ce mode opératoire ou s’en écarter.

En l’occurrence, nous ne pouvons pas, nous ne pouvons plus, fonctionner sur ce mode. Dans cette affaire, nous sommes totalement à la merci de sources qui ne veulent pas être citées, qui ne veulent pas être identifiées. Ce l’est vrai d’ailleurs pour le reste, pour tout le reste, diront les lecteurs. Certes. Dans cette affaire, comme presque pour toutes les autres, les autorités algériennes font le black-out total. Comme si cette opération n’avait pas eu lieu. Comme si cette opération était le fruit de l’imagination de journalistes.

Mais telle qu’elle se présente, telle que nous la présentons tous, cette opération militaire n’est pas anodine. Elle est de grande envergure, écrivions nous. Oui. Encore faudrait-il que nous le prouvions. Avec des faits précis, concis, dont la véracité est incontestable.

Dès lors que nous écrivons que l’armée a engagé d’importantes troupes contre des maquis d’Al Qaïda en Kabylie ; dès lors que nous écrivons que cette opération vise le commandement d’Al Qaïda, que le chef de cette organisation, Abdelmalek Droudkel, pourrait figurer parmi les blessés ou parmi les personnes tuées lors de cette opération ; dès lors encore que nous ne sommes pas en mesure de vérifier avec exactitude nos informations, nous disons qu’il est nécessaire de ne pas en rajouter.

Souvenons d’un fait précis. Le 20 juin 2004, un communiqué officiel de l’armée algérienne indiquait que plusieurs terroristes ont été abattus lors d’une opération antiterroriste menée dans la région d’El Kseur, à Béjaia. Parmi les personnes tuées lors de ce raid figurait un certain « Droukdel Abdelmalek, alias Abou Mossab Abdelouadoud ». Plus de six ans après, ce dernier est toujours vivant, il dirige Al Qaïda au Maghreb et ferait partie de ceux qui auraient péri lors de l’opération qui est toujours en cours. Peut importe de savoir aujourd'hui si cet épisode relève du mensonge, de la manipulation, de la propagande, la vérité est que cette information s'est révélée fausse.

Que les choses soient claires, très claires : Nous parlons pour nous, c'est-à-dire pour DNA. Nous n’avons pas la prétention de donner des leçons aux confrères ; nous n’avons pas l’outrecuidance de remettre en cause ou de mettre en doute ce qu’ils publient ou impriment. Chacun est libre d’écrire ce que bon lui semble.

Bien sûr nos lecteurs pourraient nous dire pourquoi ce qui valable pour cette opération n’est pas valable pour le reste ? Pourquoi nous refusons de publier davantage sur cette opération dans la mesure où nos sources ne sont pas identifiées alors que dans d’autres articles nous n’hésitons pas à préciser que nos informations proviennent de sources anonymes ?

D’abord parce qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire. Parce qu’aussi nous n’avons pas peur de nous remettre en cause. Encore une fois, le journalisme n’est pas une science exacte, nous n’avons pas la science infuse. Nous ne sommes pas à l’abri d’une erreur, d’une faute, d’une manipulation. Il nous arrive de nous tromper et lorsque nous nous trompons, nous faisons un point d’honneur de l’admettre.

Prétendre que faire du journalisme en Algérie, écrire sur des faits d'actualités qui touchent à l'Algérie, reviendraient à s’affranchir du procédé qui consiste à recourir « aux sources anonymes », « aux sources généralement bien informées », « aux sources qui souhaitent garder l’anonymat », relève autant d’une vue de l’esprit que d’une tricherie. D’abord parce qu’en Algérie, les officiels cultivent le culte du secret. Parce qu’en Algérie, les officiels ont peur, pour une raison ou pour une autre, d’être cités, d’être identifiés. Parce qu’en Algérie, la nature du pouvoir est occulte, diffuse, opaque, obscure. Cette nature occulte est inscrite dans le disque dur du pouvoir algérien, elle fait partie de son ADN.

Est-ce pour autant une raison de s’en accommoder ? Pas du tout. Encore une fois, chacun fait comme il veut, comme il peut. Nous faisons de notre mieux, de notre possible, pour ne pas nous en accommoder. Et si nous nous trompons, nous comptons sur nos lecteurs pour nous le faire savoir.
http://dna-algerie.com/politique/42-interieure/945-operation-de-larmee-contre-les-maquis-dal-qaida-en-kabylie-les-explications-de-dna.html

Bravo DNA qu'elle franchise cela nous change de certains journaux, ils devraient peut être sens inspiré concernant le traitement de l'information internationnal, pas trés loin chez le voisin par exemple, mettre cette article comme chartre aux dessus de leurs Bureaux.

Citation :

les informations font état de deux militaires tués lors des accrochages, alors qu’un troisième aurait été sérieusement blessé

R.I.P

Citation :

Opération de l’armée contre les maquis d’Al Qaïda en Kabylie : Les explications de DNA .

Une belle leçon de journalisme que cet article, j'en félicite l'auteur

Citation :

En l’absence d’informations officielles de la part des autorités algériennes, en l’absence de communiqués officiels dont les auteurs sont clairement identifiés, nous avons décidé de ne plus rien publier sur cette opération...
(...) Tous les journalistes algériens qui traitent des questions sécuritaires, pour ne parler que de ceux là, se fient, ont recours, s’appuient, font appel à des sources tapies dans ces quatre corps des services de sécurité. Cette pratique existe depuis des années et tout le monde s’en accommode même si cette pratique est sujette à caution. Même si cette pratique est critiquée et critiquable en ce sens qu’elle ne met pas le journaliste à l’abri des manipulations.

C'est le syndrome "Judith Miller"

c'est vrai que droukdel a été tué et ressucité au moins 10 fois par la presse "militaire" algérienne ..

rappelez-vous en 2004

Citation :

Communiqué de l’état-major de l’ANP (20 juin 2004)


Les unités de l’Armée nationale populaire, engagées dans une vaste opération antiterroriste dans la région d’El-Kseur (wilaya de Béjaïa), ont abattu de nombreux criminels. Parmi ces terroristes figurent le criminel Sahraoui Nabil, alias Mustapha Abou Ibrahim, chef du groupe terroriste connu sous l’appellation du GSPC, ainsi que ses principaux adjoints dont Abbi Abdelaziz, alias Okacha El-Para, Khatab Mourad, alias Abdelber Abou Omar, Droukdel Abdelmalek, alias Abou Mossab Abdelouadoud. Des armes, des munitions et des documents ont été récupérés au cours de ces opérations qui se poursuivent toujours.
Source : Liberté, édition du Lundi 21 Juin 2004

http://www.lematindz.net/news/3537-revelation-droukdel-le-chef-de-laqmi-a-deja-ete-tue-en-juin-2004-puis-ressu.html

surtout antar zouabri il a tellement été de fois declaré mort. on parle du fils d' ali Belhadj parmis les mort aussi.

droukdel à la base il n etait pas au Sahel dernierement l? mais comment font ils pour ce déplacer comme ça en passant les mailles du filet sur des centaines de kilometres surtout sachant que les moyens de localisation sont de rigueur dans la région encore dans la région saharienne ok mais dans le nord?, surtout depuis la derniere prise d'otage, ou le meme droukdel demandait de négocier directement avec le chef d al kaida?